• Secret des affaires : musèlement de grande ampleur
    http://labrique.net/index.php/thematiques/politicaille/1080-secret-des-affaires-muselement-de-grande-ampleur

    http://labrique.net/images/numeros/numéro56/libertepresse.jpg

    Le 1er août dernier, la loi « secrets d’affaires » entre en vigueur à la suite d’une directive européenne. Un moyen supplémentaire de bâillonner les fouineur.ses et autres salarié.es bavard.es qui vivraient mal la surveillance ou l’empoisonnement de la moitié de la planète par leur employeur. Permise par un lobbying musclé et l’oreille attentive des politicards, l’adoption de la loi met en péril les petits journaux, les blogs, les lanceur.ses d’alerte grâce à une immunité disproportionnée. Explications.

    #En_vedette #Politicaille

  • Loi Blanquer : L’école de la défiance
    http://labrique.net/index.php/thematiques/politicaille/1073-loi-blanquer-l-ecole-de-la-defiance

    http://labrique.net/images/numeros/Numéro_59/JAWS3_001.jpg

    Jean-Michel Blanquer, ministre de l’éducation nationale, a réussi en trois ans à réformer en profondeur l’école depuis la maternelle jusqu’au lycée. Cette conversion de l’éducation au modèle néo-libéral s’achèvera à la rentrée 2019 lorsque tous les éléments du puzzle seront mis en place. La dernière réforme de Blanquer sur « l’école de la confiance » acte les derniers éléments de destruction du service publique d’éducation. Les faits suivants nous sont relatés par un professeur d’un lycée générale public dans le Nord.

    #En_vedette #Politicaille

  • The End of Political Cartoons at The New York Times (https://www.ch...
    https://diasp.eu/p/9185322

    The End of Political Cartoons at The New York Times

    HN Discussion: https://news.ycombinator.com/item?id=20150431 Posted by tin7in (karma: 210) Post stats: Points: 129 - Comments: 82 - 2019-06-10T20:22:18Z

    #HackerNews #cartoons #end #new #political #the #times #york HackerNewsBot debug: Calculated post rank: 113 - Loop: 122 - Rank min: 100 - Author rank: 105

  • #Commons and Contradictions: The #Political_Ecology of Elinor #Ostrom#ENTITLE blog – a collaborative writing project on Political Ecology

    Ostrom and her institutional economist collegues’ works are necessary to think a political ecology of the commons :

    Ostrom was not on the traditional left and didn’t research how capitalism, imperialism and allied structural forces shaped our society and environment. Indeed, we know that rather than commons failing because of lack of cooperation, they were often simply stolen and enclosed. Nonetheless, her detailed and open work provides huge intellectual stimulation and practical guidance to creating solutions that are democratic, diverse, equal and ecological. Finally, I would argue that politics, perhaps especially ecological politics, is about intervention and praxis, and in her defence of the commons, she made a very powerful intervention against all those who would argue, like Garrett Hardin, that the commoners should have their commons taken from them.

    https://entitleblog.org/2017/09/20/commons-and-contradictions-the-political-ecology-of-elinor-ostrom

    #enclosure #tragedy_of_the_commons #community_based_mangement #design_principles #García_López

  • Pursuing a Tradition of Political #cryptoeconomy
    https://hackernoon.com/pursuing-a-tradition-of-political-cryptoeconomy-e615fdbf8d60?source=rss-

    A redeeming aspect cryptoeconomics is its synthesis of a myriad disparate fields into one compelling narrativeSome of the most fascinating experiments in the history of economics, psychology, physics, politics, mathematics, and software engineering are unfolding before our eyes in the world of #cryptocurrency.Discussions about Austrian Economics, Anthropology, Governance, etc. all serve to counterbalance elements of Humanities against the bleeding edge technology of Cryptocurrency.Past the nightmares of hacks or scams, tribalism or Arthur Hayes driving a lambo, this tradition of confluence could be what redeems cryptocurrency’s emerging dream. By studying the world at large from as many lenses as possible to build a symbiotic place within it.Technological progress is too often periled (...)

    #political-cryptoeconomy #blockchain #bitcoin

  • Paye ta culture à la fac
    http://labrique.net/index.php/thematiques/politicaille/1031-paye-ta-culture-a-la-fac

    http://labrique.net/images/numeros/numéro56/teaboy_culture_udl.jpg

    Quand un service culturel apprend que son public passe de moins de 20 000 personnes à une soixantaine de milliers, ça ne peut que leur plaire. Si la fusion des universités fait apparaître clairement le remaniement des services et des budgets, on se demande ce qu’il advient de la culture. Pour ça, nous nous sommes penché.es sur un cas particulier, celui de la compagnie qui a joué à la soirée d’ouverture de la première saison culturelle estampillée « Université de Lille ». Sans être payée. Normal, ce sont des étudiant.es ! Ah bon ?

    #En_vedette #Politicaille

  • L’université rayonne, la misère aussi
    http://labrique.net/index.php/thematiques/politicaille/1030-l-universite-rayonne-la-misere-aussi

    http://labrique.net/images/numeros/numéro56/president_sur_son_trone.jpg

    « Nous pouvons être fier.ères d’avoir créé la grande Université de Lille » tels étaient les mots de Jean-Christophe Camart, président de cet établissement né de la fusion des trois pôles Lille 1, 2 et 3, qui rassemble désormais plus de 70 000 étudiant.es et 6 300 personnels et enseignant.es. Depuis janvier, l’université a subi de grandes transformations dans la gestion de ses services. Des ressources humaines aux méthodes d’affectation des étudiant.es, tout y est passé. Des dysfonctionnements étaient à prévoir et ils n’ont pas manqués.

    #En_vedette #Politicaille

  • La mare aux crevard.es - Episode 3
    http://labrique.net/index.php/thematiques/politicaille/1023-la-mare-aux-crevard-es-episode-3

    http://labrique.net/images/numeros/numéro55/bertrandchasse.jpg

    Bertrand à la chasse aux écolos Xavier Bertrand, président de droite – il a rendu sa carte LR – de la Région Hauts-de-France, soigne les chasseurs. En effet, Reporterre indique que l’ex-pharmacien « a réduit drastiquement les subventions aux associations écologistes locales ». C’est que, durant la campagne des régionales, Bertrand a reçu le soutien du parti Chasse, pêche, nature et traditions. Pour les remercier, Bertrand a nommé Guy Harlé d’Ophove, ancien frontiste, président actuel de la Fédération des chasseurs de l’Oise, à la tête de la commission en charge de l’environnement à la Région. En avril, ce dernier déclarait : « Ma première action a été de demander sur quels critères les 12 millions d’euros étaient versés aux organisations écologiques. Je puis vous assurer que tout cela va changer et que plus (...)

    #En_vedette #Politicaille

  • Un an après, la galère des anciens députés Caroline Fontaine - 3 aout 2018 - maris patch
    https://www.parismatch.com/Actu/Politique/Un-an-apres-la-galere-des-anciens-deputes-1567013

    Seuls 25 % des élus de l’Assemblée nationale ont survécu au raz-de-marée En marche !. Parmi les battus, une grande majorité de socialistes. Leur difficulté à retrouver un emploi signe la fin de « l’ancien monde ».

    C’est le premier signe d’un changement d’importance : ils ne décrochent plus leur téléphone aux premières sonneries. D’ailleurs, ils ne le décrochent plus du tout. Et ils ne rappellent pas. Difficile pour eux, qui ont tant aimé prendre la lumière, d’annoncer qu’ils ne s’en sortent pas. Les élections législatives de 2017 ont laissé 434 sortants sur le carreau, dont environ deux tiers sont PS ou écologistes. Un an après, leur reconstruction personnelle et professionnelle est, pour beaucoup, loin d’être achevée. Digérer l’humiliation de la défaite – certains n’ont pas passé le premier tour – a pris du temps. « Pendant les cinq ans de mon mandat, je me suis investi à 110 %, confie Philippe Baumel, ancien élu socialiste de Saône-et-Loire. Mon échec m’a semblé profondément ingrat. J’ai vécu pendant six mois une forme de tétanisation. J’ai eu beaucoup de mal à tourner la page. »

    Six mois, c’est le temps qu’il a fallu à Véronique Massonneau, ex-députée écolo de la Vienne, pour ne serait-ce que sortir de chez elle : « J’avais du mal à supporter la compassion des gens. » Idem pour Catherine Lemorton, ancienne présidente PS de la commission des Affaires sociales, qui avait vendu sa pharmacie pour se consacrer à son travail d’élue. « Après le choc », elle a flirté avec les abîmes : « J’ai flanché. Ne plus me sentir utile a été très violent pour moi. » « On a eu peur qu’elle se suicide », glisse une de ses anciennes camarades. « La politique est une drogue dure », s’excuse Alexis Bachelay, ex-député socialiste des Hauts-de-Seine et porte-parole de Benoît Hamon pendant la campagne de la primaire. Tous sont habités par un profond sentiment d’injustice : s’ils n’ont pas été réélus, ce n’est pas leur faute, non, mais celle de François Hollande et de son gouvernement. « J’avais un seul défaut circonstanciel, celui d’être socialiste », dit Catherine Lemorton. Un an après, les plaies ne sont pas encore toutes cicatrisées.


    Notre enquête révèle leur difficulté à trouver un emploi malgré leur réseau et leur expérience
    Un sevrage violent, voilà donc le premier enseignement de notre enquête. Pour tous, même pour les 225 qui ont fait valoir leurs droits à la retraite. « J’avais le sentiment de n’avoir pas démérité », confie Dominique Raimbourg, ancien patron socialiste de la commission des Lois à l’Assemblée. Mais eux, au moins, savent qu’à leur manière, ils ont eu « de la chance », selon les mots de Patricia Adam, son homologue PS à la Défense : « Je suis un privilégié dans le sens où je suis vieux ! » s’amuse Raimbourg. Leur téléphone sonne beaucoup moins, mais, grâce à leur pension, ils ont pu rester actifs – en s’impliquant dans des associations, des think tanks ou des fondations – sans crainte du lendemain. « Ça aide », confirme Jean-Christophe Cambadélis, ancien patron du PS et ex-député de Paris. Pour les autres, pour ceux qui, comme le dit Véronique Massonneau, ont eu « la mauvaise idée de n’avoir “que” 59 ans », notre enquête révèle leur difficulté à trouver un emploi malgré leur réseau et leur expérience. Une première.

    « J’ai réalisé qu’on paraissait obsolète », s’attriste Véronique Massonneau
    « Autrefois, les députés avaient des carrières longues, explique Emile Blessig, président du Groupe des anciens députés. S’ils perdaient leur siège, ils gardaient leur mairie, leur conseil général… » Désormais, l’interdiction du cumul des mandats les prive de cette possibilité de rebond. Autre changement, l’accession au pouvoir d’Emmanuel Macron a signé la fin de l’alternance, ce balancier qui garantissait un retour dans l’hémicycle : après la droite, la gauche et ainsi de suite. Résultat, beaucoup se sont retrouvés sans rien. « Je ne suis plus une personne publique, je n’ai plus à m’exprimer », coupe Sandrine Mazetier, ancienne vice-présidente socialiste de l’Assemblée nationale. « Je n’ai rien à vous dire. Je suis redevenu un citoyen ordinaire », prétend Kader Arif, autrefois plus bavard dans sa vie d’élu de Haute-Garonne ou de ministre délégué de François Hollande. « Certains ont pris de tels coups sur la gueule qu’ils ne veulent plus entendre parler de rien », décode Catherine Coutelle, présidente de l’Association des anciennes députées. Et ce d’autant moins que la poignée d’anciens députés qui ont raconté leurs difficultés ont récolté sur les réseaux sociaux une volée d’insultes, sur le thème : « Mais pour qui se prend ce privilégié ? » Alors ils préfèrent se taire.
     « Avant, une entreprise pensait qu’un politique pouvait lui apporter des marchés, analyse Jean-Christophe Cambadélis. Aujourd’hui, elle se dit qu’il va lui valoir des emmerdes »

    « La vague a touché beaucoup de monde, rappelle Véronique Massonneau. Il y a d’anciens ministres, des vice-présidents de l’Assemblée nationale sans emploi. Et comme on cherche tous dans les mêmes domaines – porte-parole de fondation, dans les relations institutionnelles –, les places sont rares. » Alors même que leur image s’est dégradée : « Avant, une entreprise pensait qu’un politique pouvait lui apporter des marchés, analyse Jean-Christophe Cambadélis. Aujourd’hui, elle se dit qu’il va lui valoir des emmerdes ! » Catherine Coutelle opine : « Elles n’ont pas envie de s’encombrer avec des gens battus et dévalués dans l’opinion. » De surcroît s’ils viennent du PS. Alexis Bachelay raconte : « J’ai passé quelques entretiens. Mon étiquette politique est complètement démonétisée. Dans l’ancien monde, on était recruté parce que, cinq ans plus tard, on allait être à nouveau au pouvoir. Là, on est tricard. » Tricard et ringardisé par les jeunes loups macronistes. « J’ai réalisé qu’on paraissait obsolète », s’attriste Véronique Massonneau. Un « retour au réel » d’autant plus dur que certains « ont pris de mauvaises habitudes, admet Jean-Christophe Cambadélis. Ils ne veulent pas perdre leur position sociale. Ils cherchent donc des emplois plus élevés dans la hiérarchie que ceux qu’on leur propose. » Leurs difficultés n’avaient pas été anticipées. Rien n’a été prévu par l’Assemblée. Ici, aucun accompagnement pour les aider dans leur reconversion.

    En juillet 2017, 97 ex-députés touchaient l’allocation de retour à l’emploi
    Même pour les fonctionnaires – un quart des sortants –, le retour au bureau s’est révélé compliqué. « Vous n’êtes pas toujours le bienvenu, rappelle Catherine Coutelle. Une directrice de recherche a été déclassée de trois échelons. Une autre mise au placard… » Alexis Bachelay a travaillé onze ans dans la fonction publique territoriale : « Ils me reprenaient à leurs conditions. Ce n’étaient pas les miennes. » Au terme de six mois de congé parental à 370 euros par mois, il s’est mis en disponibilité – sans droits au chômage – pour créer, comme tant d’autres, sa société de conseil. « Ce n’est pas très original, mais, quand vous avez été parlementaire, vous n’avez pas 50 000 possibilités de reconversion ! »

    En juillet 2017, 97 ex-députés touchaient l’allocation de retour à l’emploi (contre 44 après les législatives de 2012). Un an après, ils sont encore 70 à la percevoir. Et certains, comme Alexis Bachelay ou Véronique Massonneau, qui a obtenu de son précédent employeur une rupture conventionnelle, n’y ont pas droit. En 2007, Guillaume Bachelay, ancienne figure montante du PS, député battu en 2017, publiait un livre au titre toujours d’actualité : « Désert d’avenir ? Le Parti socialiste, 1983-2007 ». Sollicité pour cette enquête, il n’a jamais donné suite à nos appels. Tout comme d’anciens ténors du PS – Christophe Borgel, François Lamy, Pascal Cherki… Signe que la nouvelle vie de ces ex-piliers de la Rue de Solferino doit être encore en construction. Un an après la défaite.

    #députés #députées #PS #politicards #chômage #chômeurses #chômeurs #précarité #assurance-chômage #crise #pauvreté #politique #exclusion , retour de bâton , subir les lois qu’ils/elles ont voté #tricard #ringard #réel #solferino #assistanat #galère

    • C’est poignant, tant de misère humaine ...

      Les 26 députés qui ont voté contre l’état d’urgence

      François Asensi (GDR) Alain Bocquet (GDR) Marie-George Buffet (GDR) Jean-Jacques Candelier (GDR) Patrice Carvalho (GDR) André Chassaigne (GDR)Jacqueline Fraysse (GDR)

      Laurence Abeille (non inscrit) Pouria Amirshahi (non inscrit) Isabelle Attard (non inscrit) Danielle Auroi (non inscrit) Michèle Bonneton (non inscrit) Sergio Coronado (non inscrit) Cécile Duflot (non inscrit) Noël Mamère (non inscrit) Philippe Noguès (non inscrit) Jean-Louis Roumégas (non inscrit)Eva Sas (non inscrit)

      Jean-Frédéric Poisson (LR)

      Fanélie Carrey-Conte (SRC) Linda Gourjade (SRC) Jean-Luc Laurent (SRC) Denys Robiliard (SRC) Barbara Romagnan (SRC) Gérard Sebaoun (SRC)Suzanne Tallard (SRC)
      Les 4 députés qui se sont abstenus

      Jean Lassalle (non inscrit)

      Nicolas Sansu (GDR)Gaby Charroux (GDR)

      Jean-Patrick Gille (SRC)

    • Erratum : la liste ci-dessus est la liste de ceux qui n’ont pas voté pour le reconduction de l’état d’urgence.
      Voici la liste des six qui n’ont pas voté l’état d’urgence :
      L’élu socialiste Pouria Amirshahi avait pour sa part annoncé son intention de voter contre. Deux autres socialistes, Barbara Romagnan et Gérard Sebaoun, l’ont également fait. Ainsi que les écolos Sergio Coronado, Noël Mamère et Isabelle Attard. La députée PS Fanélie Carre-Conte s’est pour sa part abstenue.

      Tout ça pour dire que le déconvenue aurait pu être plus douce en s’affirmant.

      Qu’en sera t-il pour les députés godillots de la tribu des DRH (futurs gestionnaires de camps) de LREM ?

    • Je ne me fous pas spécialement de leur gueule, c’est juste que je sais qu’il est facile de taper sur la gueule d’une partie de la population quand on a l’assurance de ne jamais se retrouver dans sa situation. Donc, le chômage, c’est toujours pour les autres, quand on veut, on peut, utilise ton foutu réseau et tu auras un boulot…
      Là, avec une réseau qui n’a rien à voir avec celui d’un chômeur en fin de droits, ils sont triquards.

      J’aimerais bien que ça les fasse réfléchir à ce qu’ils ont infligé aux autres.
      Cela dit, je me souviens quand on avait les anciens cadres qui arrivaient sur Actu>chômage. En fait de prise de conscience, on avait le droit à « pourquoi moi ? ».
      Désespérant.

    • Mais moi je me marre et sans aucune forme de honte. Ces gens là ils n’ont pas vocation à être député à vie non plus ou alors faut clairement aller en Chine et faire partie des pontes du PC chinois. Et ils viennent pleurer après…
      Ça me rappelle une entrevue entre le maire d’une petite ville de la banlieue de Lille avec des amis qui essayaient de mettre en place une mosquée et à qui le maire mettait des bâtons dans les roues régulièrement. Pendant la conversation le maire ne parlait qu’en terme de possession personnelle des ressources municipales : mon terrain, mes parkings etc Mon ami lui a alors dit « On ne va pas se mentir Monsieur X, on sait tous ici que vous êtes en CDD ». Le maire a rougi et n’a plus rien dit.
      Cerise sur le gâteau du texte : Cambadelis comme porte-parole, franchement ! Le gars il a été condamné plusieurs fois et il incarne la corruption et les magouilles du monde politique à lui tout seul.

  • De Lille à La Havane, Saint-Sauveur enterre le socialisme
    http://labrique.net/index.php/thematiques/politicaille/1022-de-lille-a-la-havane-saint-sauveur-enterre-le-socialisme

    http://labrique.net/images/numeros/numéro55/aurby-03.jpg

    Saint-Sauveur, sa gare, sa friche. L’occasion d’apprécier comment l’exposition « Ola Cuba ! » et le projet d’aménagement de la friche enterrent, chacun à leur manière, le socialisme. La première rend un dernier hommage au régime castriste. L’autre annonce la fin définitive du parti socialiste dans la région.

    #En_vedette #Politicaille

  • Julian now has No Internet, No Phone and No Visitors Allowed (https...
    https://diasp.eu/p/7148733

    Julian now has No Internet, No Phone and No Visitors Allowed

    We really should be doing what we can to support this guy.

    He’s a #political #prisoner in a situation where he doesn’t even have a #sentence. He has no idea when his time is going to be up.

    Also, if he gets forced out of the #embassy, and they #convict him of some #crime, it’s unlikely he’ll be given time served for the time he spent in the embassy.

    RT:

    #JulianAssange has been hit with new rules #limiting his #communications by officials at the #EcuadorianEmbassy in #London. The new measures include #bans on using the #phone and having #visitors, according to #WikiLeaks.

    The founder of the #whistleblowing website has reportedly found himself isolated within the embassy recently. In March, he had his #internet #access curtailed (...)

  • Non à l’intervention d’Alliance Vita à l’Université Lyon 1 : rassemblement le vendredi 20 avril
    https://rebellyon.info/Non-a-lintervention-d-Alliance-Vita-a-l-19038

    Nous, militant.es féministes et LGBTI, trouvons scandaleuse l’invitation faite le 20 avril à Blanche Streb, activiste et salariée d’Alliance Vita, dont les positions contre l’avortement et la PMA pour toutes les femmes sont de notoriété publique. Appel à rassemblement le vendredi 20 avril à 16h30 devant le bâtiment A de la fac de médecine, métro Laennec.

    #Infos_locales

    / #Politicaillerie, #Rapports_sociaux_de_genre, #Manchette

  • Non à l’intervention d’Alliance Vita à l’Université Lyon 1 le 20 avril
    https://rebellyon.info/Non-a-l-intervention-d-Alliance-Vita-a-l-19038

    Nous, militant.es féministes et LGBTI, trouvons scandaleuse l’invitation faite le 20 avril à Blanche Streb, activiste et salariée d’Alliance Vita, dont les positions contre l’avortement et la PMA pour toutes les femmes sont de notoriété publique.

    #Infos_locales

    / #Politicaillerie, #Rapports_sociaux_de_genre, Une

  • J’expulse, j’ventile, j’me disperse
    http://labrique.net/index.php/thematiques/politicaille/969-j-expulse-j-ventile-j-me-disperse

    Le 6 février dernier, la justice condamne la Ville de Lille et la préfecture pour « voie de fait » quant à l’expulsion illégale d’un camp de Roms. Une trop rare occasion où ceux qui s’offrent quelques libertés avec l’État de droit se font tirer les oreilles par le tribunal. Retour sur un cafouillage où la pref’ et la Mairie se refilent la patate chaude et où s’effondrent les petits arrangements.

    #En_vedette #Politicaille

  • La mare aux crevard.es épisode 2
    http://labrique.net/index.php/thematiques/politicaille/985-la-mare-aux-crevard-es-episode-2

    Soutien à Darmanin, envers et entre couilles Gérald Darmanin, ministre du budget, vice-président à la Région, à la MEL et ancien maire de Tourcoing, est sous le coup de deux enquêtes. La première, pour suspicion de viol, a été récemment classée sans suite. Le parquet indique ainsi que « Les actes d’enquête réalisés n’ont pas permis d’établir l’absence de consentement de la plaignante et n’ont pas caractérisé davantage l’existence d’une contrainte, d’une menace, d’une surprise ou d’une quelconque violence à son endroit ». La seconde est en cours, en matière d’abus de faiblesse. Mediapart révèle ainsi qu’une femme aurait « fait l’objet de demandes à caractère sexuel en échange d’un nouveau logement » à Tourcoing. Alors que Mediapart met le focus sur la victime, une série d’élu.es de tous bords (principalement des (...)

    #En_vedette #Politicaille

    • mazette, y a quasi pas une phrase non démontable, on dirait une parodie.

      "Depuis douze mille ans, nous travaillons et vivons avec des animaux parce que nous avons des intérêts respectifs à vivre ensemble plutôt que séparés"
      Nous avons des intérêts objectifs à exploiter les animaux (les faire bosser pour nous, leur prélever lait oeufs ou fourrure, les tuer pour les bouffer). Eux n’ont aucun intérêt objectif à vivre avec nous. Seule exception : les chiens de chasse.

      "Les animaux domestiques ne sont plus, et depuis longtemps, des animaux « naturels »"
      Mais le processus de réensauvagement (dit "marronage") peut être très rapide

      "Et, grâce au travail que nous réalisons ensemble, ils ont acquis une seconde nature qui fait qu’ils nous comprennent, bien mieux sans doute que nous les comprenons."
      Pas grâce au travail réalisé ensemble mais du fait de leur statut subalterne et dépendant de l’humain pour bouffer, se protéger et se reproduire

      "Ainsi est-il probable qu’ils ne demandent pas à être « libérés »"
      LOL. biais de confirmation. "ça m’arrange de croire ça alors on va dire que c’est vrai, au du moins probable"

      "Ils ne demandent pas à retourner à la sauvagerie"
      Pour en être sûr il faut essayer : ouvrir les enclos et cesser les apports de fourrage, tu vas voir que la sauvagerie va revenir au galop (cas de le dire). sauf malheureusement chez les souches trop modifiées par la #zootechnie, n’ayant plus trace d’instinct.

      "Ils demandent à vivre avec nous"
      Re-biais de confirmation basé sur rien

      "ils demandent à vivre une existence intéressante, intelligente et digne"
      Et nous, humains moraux exploitant raisonnablement et "à l’ancienne" les animaux, déclarons qu’une vie domestiquée et dépendante (qui nous arrange) vaut mieux qu’une vie sauvage, et puis voilà.

      "dans nos pays européens, et depuis les années 60 dans l’ensemble du monde, il n’existe plus de famines liées à un manque de ressources"
      Heureusement qu’ils précisent depuis les années 60 et chez nous, c’est à dire depuis l’époque où la technique alliée à la profusion d’énergie fossile a mécanisé à outrance l’agriculture dans une minorité de pays qui exploitent les ressources des autres. bravo Paul Ariès.

      "Quand des gens meurent de faim quelque part, c’est parce que d’autres l’ont décidé. On ne voit pas en quoi le véganisme changerait quoi que ce soit à cette réalité."
      Et l’#accapparement des terres pour la production de fourrage pour la zootechnie, l’exploitation de terres rares, d’énergies fossiles, de main d’oeuvre quasi-esclave etc. c’est pas des conséquences de décisions ? On m’aurait menti ?

      "ce qui se fait de mieux pour nourrir un sol, le fumier"
      Houlà, de l’eau a coulé sous les ponte entre-temps, depuis lors la grande révolution de la biologie des écosystèmes nous a fait découvrir que ce qui se fait de mieux pour nourrir un sol, c’est la matière ligneuse.

      "l’agriculture sans élevage, c’est l’agriculture famineuse parce qu’elle épuise les sols"
      Là ça va tellement loin dans le nawak que je sais pas par où le prendre. Je vais essayer :
      – ce qui regènère les sols c’est le maintien ou l’augmentation du taux d’humus,et de la vie qui va avec
      – l’humus vient de la végétation (ligneuse notamment) et de sa digestion par l’écosystème du sol
      – les animaux ont un grand rôle dans la génération d’un humus stable, à titre d’exemple les vers de terre dont la biomasse par hectare, sur l’ensemble des écosystèmes terrestres dépasse de loin celle de tous les autres animaux
      – le fumier est issu d’un mélange de paille (végétal) et de bouse (résidu de végétal digéré). Il existe de nombreux autres amendement qui produisent un humus autant voire plus stable avec des dépeditions de carbone bien moindres le long de la chaîne.

      "Ce sont des rendements ridicules pour un travail de forçat car le compost de légumes est bien moins efficace pour faire pousser des légumes que le fumier animal. A moins de forcer le sol par de la chimie, évidemment. Et de labourer bien profondément. Mais, dans ce cas, on abîme les sols, en désorganisant l’écosystème qu’il est en réalité."
      LA LIGNINE. cf point précédent.

      "manger végan, l’absolu des régimes « sans », c’est se condamner à ingurgiter beaucoup de produits transformés, c’est-à-dire des assemblages de molécules pour mimer ce qu’on a supprimé"
      des "assemblages de molécules", no comment. par ailleurs ma soupe, mon porridge, mon pain, mes poêlées de légumes, mes compotes, j’aimerais bien savoir ce que c’est censer mimer.

      "Sans omettre d’ajouter la précieuse vitamine B12 à son alimentation."
      ah, la fameuse B12, la preuve ultime. sauf que la B12 ne provient pas des animaux (sinon on en aurait de base dans le corps vu qu’on est aussi des animaux) mais des bactéries du sol. la question n’est donc pas celle de la consommation d’animaux, mais de l’aseptisation croissante de notre bouffe, qui n’est pas non plus sans lien avec les problèmes d’immunité et ceux du microbiote intestinal.

      "il n’y a plus rien pour maintenir les paysages ouverts"
      mais c’est quoi leur problème avec les forêts ? http://www.peripheries.net/article75.html

      "ce mouvement nous met encore plus dans les serres des multinationales"
      C’est tout simplement faux car ça passe sous silence toutes les expérimentations faites autour de la #végéculture. Comme on en a maintenant l’habitude avec Porcher, elle nous met en avant un choix binaire entre d’un côté une agriculture autonome qui ne saurait se passer d’élevage (sauf qu’elle ne le démontre jamais) et d’un côté une agriculture cyborg dont le véganisme est l’idiot utile. après le biais de confirmation, la technique de l’homme de paille.

      ensuite, rapprochement sans queue ni tête entre véganisme et viande in vitro, comme s’il y avait un rapport entre les deux

      "[le véganisme] menace de nous condamner à la disette en nous ramenant à l’agriculture prédatrice des temps anciens."
      Putain mais informez-vous, sérieux, informez vous. Ne rien connaître à la dynamique d’un sol et prendre une posture d’autorité pour balancer des énormités pareilles, c’est grave.

      "Il menace de nous condamner à dépendre d’une alimentation industrielle 4.0."
      hors sujet

      "Il menace d’uniformiser nos paysages."
      Idem, affirmation sans aucune démonstration ni fondement. C’est la diversité de reliefs et de climats qui fait la diversité paysagère.

      "Il menace paradoxalement de nous faire perdre notre humanité incarnée et notre animalité en nous coupant des réalités naturelles par des zoos virtuels, des paysages transformés en sanctuaires, avec des chiens et chats remplacés par des robots."
      Total fantasme. N’en jetez plus.

      "Le véganisme est l’allié objectif d’une menace plus grande encore. Car, après tout, la meilleure façon de ne plus abîmer la nature est de s’en couper totalement."
      Nième procédé de l’homme de paille.
      Une fois de plus, s’ils veulent critiquer l’industrialisation de la vie, qu’ils s’en prennent à ce qu’il y a derrière au lieu de monter un faux débat et de prêter aux pratiques agricoles sans élevage tout et n’importe-quoi en termes d’intention et d’arrière-plan politique

      "De s’enfermer dans des villes, alimentées par des flux de molécules et des flux de données. Plus de sale, plus de propre, que de l’esprit sain tourné vers une morale ultime, l’amélioration de l’homme par son isolement total de la nature que l’on ne peut maîtriser et qui nous renvoie sans cesse à notre animalité. Oui, véganisme rime avec transhumanisme."
      Idem. Gros n’importe-quoi qui sort de nulle part, par mélange de pinceaux entre industrialisation du vivant et pratiques agricoles sans élevage.

      Tiens, encore plus loin dans les fantasmes en boucle :
      "La consommation de la viande a introduit, dès la préhistoire, l’obligation du partage, l’invention de la logique du don et du contre-don car un chasseur ne consomme jamais son propre gibier"
      Mais pourquoi un réseau d’horticulteurs végétaux ne pourrait pas pratiquer le don et contre-don ? Idem du gloubiboulga précédent.

      Bref, une tribune désolante par son indigence et ses procédés rhétoriques gros comme des maisons, et qui tombe complètement à côté de la plaque.
      #naufrage_intellectuel

    • @koldobika, @rastapopoulos

      Les animaux « n’ont aucun intérêt objectif à vivre avec nous. »

      Ben si, pour les protéger des prédateurs, par exemple. Car les animaux mangent aussi d’autres animaux, à ce qu’il paraît. Ou encore pour leur éviter d’avoir à chercher à bouffer...

      rapprochement sans queue ni tête entre véganisme et viande in vitro, comme s’il y avait un rapport entre les deux

      Ah ben là, c’est toi qu’est mal renseigné. Peut-être pas seulement le véganisme, mais le végétarisme constitue un juteux marché pour ce genre de truc.

      Pour le reste, il est vrai que cette tribune rate, à mon sens, l’essentiel, à savoir le déni et la mise à distance de la souffrance et de la #mort dans notre société trop aseptisée. D’où le rapport avec l’artificialisation du monde et le #transhumanisme.

      Tout y est maintenant trop lisse et sans aspérités. Les machines y ont fait leur chemin et une fraction de la population aspire à une #pacification encore plus grande de la vie - si c’est encore possible.

      Un militantisme moralisateur est actif qui cherche à imposer son #politically_correct, sa police de la pensée, etc. en culpabilisant les personnes avec des méthodes dignes des pires curés jésuites.

      Cette tribune est une réaction maladroite contre cette tendance, qui est bien loin de ne concerner que les vegans militants...

    • pour les protéger des prédateurs, par exemple

      oui sauf qu’initialement aucun animal sauvage n’a été de lui-même se mettre dans un enclos, qu’au bout du compte ils passent tous à la casserole, et qu’à aucun moment ils n’ont de moyen de piger les tenants et aboutissants de leur captivité et de leur domestication.

      Peut-être pas seulement le véganisme, mais le végétarisme constitue un juteux marché pour ce genre de truc

      dans la mesure où véganes et végétariens ne mangent pas de viande, ce serait plutôt à mon sens les omnivores soucieux du bien être animal qui seraient intéressés par un substitut garanti sans abattoir ni maltraitance.

      le déni et la mise à distance de la souffrance et de la #mort dans notre société trop aseptisée. D’où le rapport avec l’artificialisation du monde et le #transhumanisme.

      Effectivement ça rate l’essentiel, car d’une observation pertinente ils finissent par taper très très à côté. L’industrialisation totale de la vie se fout bien des véganes, elle n’a pas besoin d’eux pour s’imposer.
      et de nombreux véganes sont plutôt dans une mouvance punk autogestionnaire (pas explicitement anti-indus mais du moins dans l’esprit)

      une fraction de la population aspire à une #pacification encore plus grande de la vie - si c’est encore possible

      tristement ironique à l’heure où la violence économique en est à tuer les plus pauvres, mais de façon non visible pour les privilégiés, à coup de réformes APL, décrets, radiations abusives etc.

    • @koldobika et @rastapopoulos

      à aucun moment ils n’ont de moyen de piger les tenants et aboutissants de leur captivité et de leur domestication

      En effet, et c’est bien cela qui constitue la spécificité (et probablement pas la « supériorité », vu le peu d’usage qu’ils en font) des êtres humains sur les autres ( zootres ?) animaux.

      Il y a une sorte de contradiction à réclamer l’égalité entre les êtres humains et les animaux et en même temps à reconnaître que ces derniers ne sont pas capables des mêmes capacités de conscience et d’anticipation que nous-mêmes.

      Tout le problème de l’antispécisme réside là-dedans : on réclame une égalité abstraite au nom d’êtres qui n’ont pas les capacités de la réclamer eux-mêmes...

      Par exemple A. Caron ne parvient pas à sortir de cette contradiction :

      Pourquoi faudrait-il être végan   ?
      Le mouvement végan demande à ce que l’on ne consomme plus de produits d’origine animale. Mais comment se nourrir et sortir d’un modèle agro-industriel ? Le journaliste Aymeric Caron et la sociologue Jocelyne Porcher en débattent.

      http://www.lemonde.fr/idees/article/2018/04/21/pourquoi-faudrait-il-etre-vegan_5288594_3232.html

    • J’y connais pas grand chose en antispécisme, mais de mémoire, il y a pas mal de gens qui ne demandent pas une égalité abstraite, mais qui demandent à ne plus faire souffrir des animaux qui ont la capacité de souffrir (pas tous mais beaucoup quand même), lorsqu’on a la possibilité de faire autrement (de se nourrir ou vêtir autrement surtout). On peut pas appeler ça abstrait, c’est très concret.

      (Le débat avec Aude, Guillaume, Jocelyne et Xavier est demain soir, et je n’ai rien révisé ! Ça va pas être du gâteau pour intervenir, moi qui n’ai pas une très bonne mémoire. En plus obligé d’y aller avec mon fils, la te-hon si je dis des conneries…)

    • Pour le lien précédent avec Caron, je ne sais pas si je vais avoir le temps de vraiment le lire ce soir car je suis mort, mais juste le tout tout début, première réponse de Jocelyne Porchet :

      On peut penser que les relations de domestication ont rencontré l’intérêt de certaines espèces parce qu’elles leur apportent protection et sécurité alimentaire. La domestication n’est donc pas un rapport de domination et d’exploitation. C’est au contraire fondamentalement un rapport de pacification et de communication, l’inverse des rapports de prédation auxquels veulent nous ramener certains « libérateurs » des animaux.

      Peu importe mes idées perso, ya quand même un gros soucis juste rationnel, de démarche honnête d’argumentation non ? C’est pas scientifique au sens de la démarche, de pouvoir apporter des arguments prouvables etc.

      Le tout premier truc qu’on lui demande et elle répond « On peut penser que » ! C’est juste elle qui pense que, mais sans preuve de que dalle, aucune preuve historique, rien. Et ensuite sur cette base pourrie, là elle enchaine « n’est donc pas » !

      Genre elle commence par un truc totalement flou, tellement flou que c’est même pas une phrase d’autorité ("Il est clair que", « On sait bien que »… là c’est juste « On peut penser que », à la limite… en imaginant bien…), et de ça elle en tire une conclusion.

      Sérieux, c’est totalement WTF ce début de réponse, et ça engage pas du bon pour la suite…

      Moi perso c’est le genre de non-argumentation qui a tendance à me bloquer.

  • Série de discussions autour de la Justice : « la connaître, y faire face, vivre sans » du 21 au 23 mars
    https://rebellyon.info/Serie-de-discussions-autour-de-la-Justice-18817

    Il y a 10 ans, l’ « affaire de Tarnac » défrayait notre actualité. Depuis un cycle d’affrontements s’est rouvert au travers de la libération d’espaces (ZAD, maisons, quartiers, bois et jardins occupés) ou de l’expression de luttes autonomes, plus ou moins liées aux contextes de mouvements sociaux. Et l’arsenal policier et juridique s’est considérablement renforcé. Si on cherche aujourd’hui à interroger cette espèce de trajectoire contre-insurrectionnelle, ce n’est pas pour le plaisir de la généalogie ou par une passion à la fois morbide et critique qui magnifierait la toute puissance du système et l’impuissance des dominés. C’est parce que tout ce bazar pose des problèmes tactiques et stratégiques aux mouvements.

    #Infos_locales

    / #Répression_-_prisons, #Politicaillerie, (...)

  • Série de discussions autour de la Justice : « la connaître, y faire face, vivre sans » du 21 au 23 mars
    https://rebellyon.info/Justice-Institution-Destitution-18817

    Il y a 10 ans, l’ « affaire de Tarnac » défrayait notre actualité. Depuis un cycle d’affrontements s’est rouvert au travers de la libération d’espaces (ZAD, maisons, quartiers, bois et jardins occupés) ou de l’expression de luttes autonomes, plus ou moins liées aux contextes de mouvements sociaux. Et l’arsenal policier et juridique s’est considérablement renforcé. Si on cherche aujourd’hui à interroger cette espèce de trajectoire contre-insurrectionnelle, ce n’est pas pour le plaisir de la généalogie ou par une passion à la fois morbide et critique qui magnifierait la toute puissance du système et l’impuissance des dominés. C’est parce que tout ce bazar pose des problèmes tactiques et stratégiques aux mouvements.

    #Infos_locales

    / #Répression_-_prisons, #Politicaillerie, (...)

  • Polarization, Partisanship and Junk News Consumption over Social Media in the US – The Computational Propaganda Project
    http://comprop.oii.ox.ac.uk/research/polarization-partisanship-and-junk-news

    What kinds of social media users read junk news? We examine the distribution of the most significant sources of junk news in the three months before President Donald Trump’s first State of the Union Address. Drawing on a list of sources that consistently publish political news and information that is extremist, sensationalist, conspiratorial, masked commentary, fake news and other forms of junk news, we find that the distribution of such content is unevenly spread across the ideological spectrum. We demonstrate that (1) on Twitter, a network of Trump supporters shares the widest range of known junk news sources and circulates more junk news than all the other groups put together; (2) on Facebook, extreme hard right pages—distinct from Republican pages—share the widest range of known junk news sources and circulate more junk news than all the other audiences put together; (3) on average, the audiences for junk news on Twitter share a wider range of known junk news sources than audiences on Facebook’s public pages.

    #Fake_news #trump #Political_polarization

  • À vos marques, prêts… Fusionnez !
    http://labrique.net/index.php/thematiques/politicaille/959-a-vos-marques-prets-fusionnez

    La sélection à l’université s’invite une nouvelle fois dans le débat public. Un serpent de mer des gouvernements successifs qui souhaitent instaurer une université à deux vitesses, la première pour leurs rejetons, la seconde pour les enfants des classes pop’. Si cette idée fait réagir les étudiant.es, c’est oublier que depuis bientôt 10 ans, la mise en concurrence des universités se met en place. Derrière les arguments d’attractivité et de visibilité des facs, l’État les pousse à fusionner, en échange d’un soutien financier ridicule.

    #En_vedette #Politicaille

  • we don’t need no sélection !
    http://labrique.net/index.php/thematiques/politicaille/960-we-don-t-need-no-selection

    À écouter les représentant.es de l’Université, les réformes en cours répondraient aux attentes des étudiant.es. Pour ce faire, Frédérique Vidal, ministre de l’enseignement supérieur, propose ainsi, pour la rentrée 2018, de mettre fin au tirage au sort, pour le remplacer par un système de sélection censé être plus pertinent. Comprendre : une sélection des étudiant.es sur des critères plus que subjectifs.

    #En_vedette #Politicaille