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RSS: #politique_économique

#politique_économique

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    CDB_77 @cdb_77 15/12/2024
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    France au bord de la #faillite : #Eric_Coquerel dévoile les secrets financiers ?

    ▻https://www.youtube.com/watch?v=DQC3ffpEeoE


    #finance #dissimulation #finances #erreur #compétitivité #interview #déficit #prévisions #croissance #commission_d'enquête #déficit #fiscalité #Bruno_Le_Maire #impôts #recettes #économie #covid #inflation #dépenses #riches #richesse #dividendes #taxation #revenu_professionnel #dilapidation #protection_sociale #cotisations_sociales #coût_du_travail #optimisation_fiscale #délocalisation_des_profits #politique_économique #taxe_Zucman #ISF #capitalisme_financiarisé #inégalités #investissements_publics #écologie #investissements_écologiques #néo-libéralisme #successions #consommation_populaire #règle_verte

    CDB_77 @cdb_77
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    CDB_77 @cdb_77 18/08/2024
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    200 milliards : le #coût exorbitant des #aides_publiques_aux_entreprises

    Près de 200 milliards d’euros. C’est le montant des #aides_publiques versées aux grandes #entreprises_privées sans aucune contrepartie. Ce montant a été révélé par une étude de l’Institut de recherches économiques et sociales (Ires) et du Clersé (groupe de chercheurs de l’université de Lille). Il s’agit du premier #budget de l’État : plus de 30% de son budget total, et deux fois plus que le budget de l’Éducation nationale. #Subventions_directes, #niches_fiscales et sociales en tout genre ou encore #aides régionales et européennes, ces 200 milliards prennent des formes diverses, mais ont une même finalité : partir en poussière chez des intérêts privés, plutôt qu’au service de la collectivité.

    Le #capitalisme français est sous #perfusion, selon le titre même de l’étude de l’Ires. Il ne survit qu’avec l’aide d’un État qui lui donne tout sans rien attendre en retour. Une histoire d’amour et de dépendance donc ; au détriment d’une #politique_économique sensée. Toutes les études, y compris celles des services ministériels eux-mêmes, le montrent : les effets de ces milliards d’aides sont faibles voire inexistants. Pour la dernière étude de l’Ires : « L’#efficacité des allègements du coût du travail se trouve sans doute ailleurs : dans le soutien apporté aux marges de l’entreprises« . La puissance publique utilise donc l’argent du contribuable pour augmenter le profit du secteur privé.

    Résultat : pas de création d’emplois, pas de hausse des salaires, pas de relocalisations de l’industrie, mais une augmentation des dividendes des actionnaires. Pourtant, Emmanuel Macron et son gouvernement refuse toujours fermement de s’attaquer à ce premier poste de dépense. Il a même augmenté les niches fiscales de 10 milliards d’euros pour 2024, le même montant qu’il a retiré aux #services_publics. Une politique qui entraîne la #France droit dans le mur. Notre article.

    D’où viennent ces 200 milliards ?

    Le gâteau des #aides_aux_entreprises a considérablement grossi ces dernières années : l’État accorde 3 fois plus d’aides au #secteur_privé qu’en 1999. Et ce gâteau se découpe en plusieurs parts. Le magazine Frustration fournit un graphique de la répartition de ces aides (►https://www.frustrationmagazine.fr/subvention-capitalisme). C’est environ 20% de #subventions directes de l’État ou des collectivités, 40% d’#exonérations de #cotisations_sociales, et 40% de niches fiscales et #baisses_d’impôts.

    https://linsoumission.fr/wp-content/uploads/2024/04/image-1.png

    Ces milliards d’aides ne tombent pas du ciel. Ils résultent très nettement des politiques des gouvernements libéraux depuis les années 2000. En particulier, des politiques d’Emmanuel Macron depuis 2017 et même avant, à la tête de l’Économie de François Hollande. Avant lui, les politiques de réduction des #cotisations_patronales des entreprises ont pavé le chemin sous Nicolas Sarkozy. Ensuite, le grand bond en arrière : la mise en place du #Crédit_d’Impôt_Compétitivité_Recherche (#CICE), qui a coûté à l’État plus de 100 milliards depuis 2013.

    Sa suppression permettrait de rapporter 10 milliards d’euros, a minima. La baisse pérenne des cotisations sociales est venue remplacer le CICE en 2019 par Macron, pour le même effet. D’autres dispositifs encore : le #Crédit_impôt_recherche (#CIR : sa suppression pour les grandes entreprises rapporterait 1.3 milliard), ou encore le #Pacte_de_Responsabilité (un ensemble de différents crédits d’impôts mis en place en bloc par François Hollande).

    Sous Macron, ces dispositifs perdurent et s’étendent. Ils cohabitent surtout avec d’autres milliards tendus par Macron aux entreprises. Par exemple, Macron a décidé seul de supprimer la #cotisation_sur_la_valeur_ajoutée_des_entreprises (#CVAE), qui bénéficiait aux collectivités territoriales, et de les rendre dépendantes aux recettes de la #TVA, l’impôt le plus injuste. Ce nouveau cadeau aux grandes entreprises coûte cette année 12 milliards d’euros, et coûtera 15 milliards en 2027.

    D’innombrables niches sont encore en vigueur : la niche « #Copé » (5 milliards d’euros) ou les niches fiscales défavorables au climat (19 milliards d’euros selon l’Institut d’étude pour le climat) pour ne citer qu’elles.

    200 milliards pour licencier ?

    Problème majeur : ces milliards d’aides aux entreprises se font sans contrepartie aucune. Bien souvent, elles permettent et encouragent même les attaques sociales des entreprises envers leurs salariés : baisses des salaires, #licenciements, #délocalisations, etc. Un exemple récent : l’entreprise #Forvia (ex-Forecia), fabricant français d’équipements automobiles. Depuis son lancement dans la filière de l’hydrogène, elle a touché 600 millions de subventions – et ce, hors CICE. Pourtant, le 19 février 2024, le directeur annonce d’une pierre deux coups le retour des bénéfices pour 2023 et la suppression progressive de 10.000 emplois pour les quatre prochaines années.

    Douche froide pour les salariés, dont l’entreprise annonce le même jour des bénéfices records et un grand #plan_de_licenciement qui ne dit pas son nom. L’Insoumission s’est entretenue avec des travailleurs de Forvia mobilisés contre la décision de leur direction. Ils dénoncent d’une même voix l’hypocrisie de leur direction mais aussi de la puissance publique :

    « On leur a donné 600 millions d’argent de l’Etat. Non seulement ils n’ont pas créé d’emplois mais en plus ils en suppriment. Ils touchent de l’agent pour virer les travailleurs, aussi simple que ça. C’était 600 millions pour un seul site de 300 salariés : ça fait 2 millions par salarié, et ils se permettent de fermer des sites. Juste pour leur marge. Et honnêtement, on a même l’impression que c’est nous qui payons le licenciement de nos collègues, puisqu’on va travailler plus pour compenser leur départ.« 

    Résultat direct et rationnel de l’absence de conditionnement social (et écologique) de ces aides publiques, les entreprises font ce qu’elles veulent de cet argent. Et Forvia est loin d’être la seule à profiter des aides d’entreprises pour augmenter ses marges au détriment des salariés, comme le soulignait l’étude de l’Ires. En 2019, le groupe #Michelin s’était déjà par exemple servi d’un crédit d’impôt (CICE) de 65 milliards d’euros pour délocaliser sa production en Pologne, en Roumanie et en Espagne.

    Et ces quelques exemples ne sont très certainement que l’arbre qui cache la forêt, au vu de l’ampleur des sommes engagées. D’une manière générale : beaucoup d’#argent_public pour les #actionnaires, qui aurait pu être consacré aux grands chantiers de #politiques_publiques. Combien d’écoles, d’hôpitaux, de lignes ferroviaires auraient pu être construits avec ces 200 milliards ? Combien de personnels soignants, de professeurs et d’AESH dans les écoles auraient pu être rémunérés ?

    Pour continuer d’arroser les entreprises, le Gouvernement fait les poches aux français

    Alors que le chantage à la dette et à la compression des dépenses repart de plus belle avec l’annonce des 5.5% de PIB de déficit, la #responsabilité de ces 200 milliards d’aides est immense. Le Gouvernement détourne les yeux de cette responsabilité et préfère concentrer ses attaques ciblées sur les dépenses sociales et les services publics. Les conséquences de ce récit politique sont déjà à l’oeuvre : moins 10 milliards d’euros passés par décret en février, multiples réformes de l’assurance-chômage, etc. Et d’autres coupes sont à venir pour atteindre les 3% de déficit d’ici 2027, jusqu’à 80 milliards d’euros de coupe selon Bruno Le Maire.

    Selon les mots de l’étude de l’Ires, « un État-providence caché en faveur des entreprises » se développe à l’heure où le Gouvernement détricote l’Etat-providence social. Romaric Godin résume la situation dans un article sur le chantage à la dette pour Mediapart : « L’épouvantail de la dette a pour fonction de démanteler ce qui reste de l’État social pour préserver les transferts vers le secteur privé et soutenir sa rentabilité face à une croissance stagnante.« 

    Plus encore, pour Benjamin Lemoine, sociologue et auteur de l’ouvrage L’Ordre de la dette (2022) : « Le maintien de l’ordre de la dette demande un dosage incessant entre le soutien au capital privé et une capacité à assurer sans chocs politiques le service de la dette, et depuis des années cette capacité repose entièrement sur le sacrifice de l’État social.« (►https://www.editionsladecouverte.fr/l_ordre_de_la_dette-9782707185501)

    Derrière le refus du Gouvernement de s’attaquer aux aides aux entreprises, c’est donc tout un #modèle_économique qui ne veut être remis en cause par les macronistes. Le #capitalisme_français repose tout entier sur ce système de #soutien_public_au_capital. 200 milliards, cela commence à faire cher le fonctionnement de l’#économie.

    #Conditionnement_des_aides, suppression des niches fiscales inutiles : les recettes fiscales existent

    Un autre modèle est pourtant possible. Toutes les études sur les aides aux entreprises parlent d’une même voix : il faut conditionner les aides. Elles rejoignent ainsi les revendications de la France Insoumise depuis des années. La suppression du CICE est au programme de l’Avenir en Commun dès l’élection présidentielle de 2017. De même pour le CIR, et toutes les niches « anti-sociales et anti-écologiques ». La France Insoumise a ainsi publié ce 28 mars ses « 10 mesures d’urgence pour faire face à l’austérité » dans un document intitulé « Moins de dépenses fiscales, plus de recettes fiscales !« .

    Au programme : rétablir l’#ISF (+15 milliards), taxer les superprofits (+15 milliards), supprimer le CICE (+10 milliards), supprimer le CIR (+1.3 milliards), supprimer les niches fiscales les plus polluantes (+6 milliards), rétablir la CVAE (+15 milliards), mettre en place une #imposition_universelle_sur_les_entreprises (+42 milliards), renforcer la #taxe_sur_les_transactions_financières (+10.8 milliards) et mettre fin à la #flat_tax (+1 milliards). Un large panel qui vise à montrer une chose : « Les seules dépenses à réduire sont celles en faveur des plus riches » écrit la France Insoumise, pour qui les 200 milliards d’aides seraient un bon premier ciblage.

    Une chose est certaine : il existe, effectivement, de nombreux postes de dépenses sur lesquels le Gouvernement pourrait se pencher pour réduire le #déficit_public. Conditionner les aides aux entreprises paraît être une étape essentielle.

    ▻https://linsoumission.fr/2024/04/05/200-milliards-aides-entreprises

    #alternative

    –—

    Le rapport est probablement celui-ci, datant de 2022, à moins qu’un nouveau n’a pas été publié depuis :

    Un capitalisme sous perfusion : Mesure, théories et effets macroéconomiques des aides publiques aux entreprises françaises

    La pandémie apparue à l’hiver 2019-2020 a souligné avec une acuité spectaculaire le rôle des aides publiques pour maintenir sur pied les entreprises face à la mise en arrêt artificiel de l’activité. Il ne s’agit cependant que d’une partie d’un processus plus ample et ancien de développement, par la puissance publique et depuis maintenant plusieurs décennies, de dispositifs de soutien des entreprises, dispositifs qui mobilisent les finances publiques et sociales (mêlant dépenses effectives et exonérations) mais qui ne sont pas recensés sous la forme d’une catégorie statistique dédiée.

    L’étude se penche sur cet enjeu des aides publiques aux entreprises en posant quatre grandes questions : Combien ? Pourquoi ? Pour quels effets ? Et enfin, à quelles conditions ?

    Les informations statistiques sur l’ensemble des mesures d’aide aux entreprises et leur évolution dans le temps existent, sont publiques mais souvent disséminées et parcellaires. En particulier, il n’existe pas de catégorie statistique qui les regroupe. Celles-ci sont constituées de trois composantes : les dépenses fiscales (avec notamment le crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi et le crédit d’impôt recherche), les dépenses socio-fiscales (exonérations de cotisations sociales employeurs) et les dépenses budgétaires de subvention et d’aide à l’investissement. Comme le montre l’étude, alors qu’elles oscillaient en moyenne autour de 30 milliards d’euros par an dans les années 1990, elles représentaient un montant de plus de 100 milliards d’euros par an dès 2008, et culminaient à 157 milliards en 2019, avant même la mise en œuvre du « quoi qu’il en coûte ».

    Mises en place selon des arguments en termes de compétitivité, d’emploi, d’investissement ou d’innovation, la discussion autour des effets théoriques et la revue de la littérature empirique laissent subsister de sérieux doutes sur la pertinence de ces mesures. Ces politiques peuvent de surcroît entraîner des effets d’accoutumance et de dépendance pour les entreprises, assorti d’un coût permanent pour les finances publiques et sociales, ceci pour des effets réels, mais souvent transitoires. Il en ressort l’idée que notre système économique est de plus en plus « sous perfusion » d’aides publiques aux entreprises.

    L’étude met enfin en évidence grâce à un modèle macroéconomique les différentes (in)efficacités des mesures de baisse de prélèvements obligatoires sur les entreprises selon qu’elles s’accompagnent ou pas de contreparties (par exemple en termes d’investissement productif), comparativement notamment à la dépense publique directe. Elle envisage également une utilisation alternative des sommes dépensées.

    En conclusion, l’étude s’interroge sur la conditionnalité des aides publiques aux entreprises, en particulier l’application de critères sociaux et/ou environnementaux.

    ►https://ires.fr/publications/cgt/un-capitalisme-sous-perfusion-mesure-theories-et-effets-macroeconomiques-des-ai

    CDB_77 @cdb_77
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    CDB_77 @cdb_77 27/07/2024
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    En #Finlande, un détricotage systématique des #droits_sociaux

    Facilitation des #licenciements, possibilité de faire grève restreinte, assurance #chômage moins accessible… La coalition en place, du centre à l’extrême droite, sape les droits des travailleurs.

    L’#extrême_droite s’est glissée au pouvoir en Finlande il y a un peu plus d’un an, et depuis, au sein de la coalition gouvernementale, elle grignote à marche forcée les #acquis_sociaux. Le 2 avril 2023, le Parti des Finlandais (extrême droite) gagne sept nouveaux sièges au Parlement et devient la deuxième force politique dans le pays. Il aura fallu deux mois d’âpres négociations pour que se forme une coalition des quatre partis, à savoir le Parti de la coalition nationale (conservateur, 20,8 %) du Premier ministre, le Parti des Finlandais (20 %), le Parti populaire suédois de Finlande (centre droit, 4,3 %) et les Chrétiens-démocrates (4,2 %).

    L’objectif du nouveau Premier ministre conservateur, Petteri Orpo, est de créer 100 000 emplois, de réduire la dette du pays et durcir la politique migratoire. Pour y parvenir, il prévoit de lourdes #réformes_sociales pour marquer un tournant de la rigueur dans ce pays de plus de 5,5 millions d’habitants.

    « On ferme les yeux sur le racisme, l’homophobie… »

    Pour donner le ton, la vice-Première ministre d’extrême droite et ministre des Finances, Riikka Purra, pose fièrement avec des ciseaux pour illustrer les mesures d’austérité du gouvernement. « Quand je vois cette image, cela me fait penser à une provocation à la façon de Javier Milei [le président argentin, ndlr] et sa tronçonneuse », s’agace Teivo Teivainen, professeur à l’université d’Helsinki. Restriction du #droit_de_grève, changement du système des accords collectifs, indemnité chômage, arrêt maladie, aide au logement… Le rouleau compresseur est lancé à toute vitesse. A tel point qu’en une année, la Confédération syndicale internationale a déclassé d’un rang la Finlande du peloton de tête des nations les plus respectueuses des #droits_des_travailleurs.

    Un an après les élections, il ne reste plus rien du discours social des « Vrais Finlandais » (ancien nom du parti) dont les revendications lors des campagnes législatives prônaient la protection des Finlandais de la classe moyenne et des travailleurs pauvres. « Le Parti des Finlandais a cette étiquette non officielle de parti des travailleurs non socialiste. Ils se sont très vite rangés derrière le programme économique de la droite des affaires », détaille Teivo Teivainen. Pour le spécialiste de la politique du pays, c’est un élément clé de l’acceptation du Parti des Finlandais comme un partenaire de coalition : « L’adoption d’une #politique_économique libérale leur a permis d’être acceptés parmi les partis de la droite traditionnelle. On ferme les yeux sur le #racisme, l’#homophobie… Au moins, ce sont des néolibéraux », résume-t-il.

    La liste des lois et réformes prévues est longue : introduction d’une journée de #carence pour les #arrêts_maladie, possibilité de #licenciement pour des « motifs pertinents », doublement de la durée d’emploi pour bénéficier de l’assurance chômage, changement des modalités des accords collectifs en entreprise. Elin Blomqvist-Valtonen, porte-parole du syndicat PAM, qui représente les employés de l’industrie du service, tire la sonnette d’alarme : « Les salariés que nous représentons sont particulièrement sensibles à ces réformes. Nos membres ne sont pas précaires par choix, mais parce qu’ils n’ont pas la possibilité de trouver un emploi stable. En réduisant leurs protections sociales, nous ne faisons que les mettre plus en danger. »

    Mobilisation sociale historique

    Pour s’y opposer, les organisations syndicales ont entrepris une #mobilisation_sociale historique à travers le pays. Le 1er février, au moins 300 000 salariés se sont mis en grève, soit un actif sur dix. Quatre mois plus tard, les députés du parlement finlandais ont voté un texte restreignant la durée du droit de grève politique à vingt-quatre heures. Celles initiées dans le cadre des négociations des accords collectifs sont passées à deux semaines. « Les grèves sont rares et ne sont utilisées qu’en dernier recours en Finlande. En limitant la durée des grèves politiques, le gouvernement vient confirmer une nouvelle fois son refus de dialoguer avec les #syndicats », déplore Pekka Ristelä, porte-parole de la centrale syndicale SAK.

    Le train de #réformes semble pourtant mal passer auprès des électeurs du parti d’extrême droite, qui a divisé par deux son score lors des dernières élections européennes par rapport à celles de 2019. Alors que l’alliance de gauche, qui était arrivée sixième en 2019, s’est hissée contre toute attente à la deuxième position lors du scrutin européen.

    ▻https://www.liberation.fr/international/europe/en-finlande-un-detricotage-systematique-des-droits-sociaux-20240621_EH7Z7
    #travail #néolibéralisme

    CDB_77 @cdb_77
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      Monolecte 😷🤬 @monolecte CC BY-NC-SA 27/07/2024

      Toujours la même politique qui appauvrit immanquablement la population et assèche les finances publiques en ne profitant qu’aux plus riches.

      Monolecte 😷🤬 @monolecte CC BY-NC-SA
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 21/06/2024
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    "Il ne faut pas renvoyer le programme du RN et le programme du NFP dos à dos"

    https://pixelfed.zoo-logique.org/storage/m/_v2/578583396227231930/530d83cd3-f15549/O3v4yGPn4fv6/6l3ixFrlc7md7nHHBSMOcObCeQquuAwyeC6XExuP.png

    « Il ne faut pas renvoyer le programme du RN et le programme du NFP dos à dos » : @ZemmourMichael déconstruit le discours discréditant la gauche sur la gestion des finances publiques : en comparant les programmes, il met en garde contre les risques de l’extrême droite au pouvoir.

    ▻https://x.com/KonbiniFr/status/1803744603906134095
    #extrême_droite #gauche #Michaël_Zemmour #économie #programme_politique #RN #rassemblement_national #front_populaire #programme_économique #exclusion #droite #sécurité_sociale #finances_publiques #irresponsabilité #discours #peur #impopularité #choix #Nouveau_front_populaire #salaires #point_d'indice #SMIC #fonction_publique #successions #impôts #Impôt_sur_la_fortune (#ISF) #pouvoir_d'achat #décrédibilisation #épouvantail #cotisations_sociales #retraite #politique_économique #austérité #vidéo

    CDB_77 @cdb_77
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      CDB_77 @cdb_77 22/06/2024

      Politique économique : le Nouveau Front populaire dessine un #changement_de_cap

      Le programme du Nouveau Front populaire, présenté le 14 juin, indique une direction de politique économique claire : il s’agit de reprendre le chemin d’une #politique_sociale et d’investissement (public et privé), articulée à une #politique_fiscale qui vise à (re)remplir les caisses et à instaurer davantage de #justice_fiscale. C’est une #réorientation marquée par rapport à la politique actuelle.

      Est-ce que les #mesures sont crédibles ? Oui, les pistes de #financement aussi. Est-ce que tout pourra être mis en œuvre et selon quel calendrier ? On verra bien. Dans tous les cas, la situation économique est incertaine et ce, quel que soit le gouvernement qui sera nommé.

      La bonne question n’est pas celle du « #sérieux » – la politique actuelle à maints égards n’est pas sérieuse, ni socialement, ni économiquement, ni budgétairement – mais de savoir quel cap de politique économique nous choisissons pour faire face aux incertitudes et répondre aux questions écologiques et sociales qui se posent. Car oui, il y a le choix.

      Le débat sur le #réalisme est à côté du sujet

      On pourrait résumer le programme du NFP ainsi : suspendre l’application des réformes antisociales, redonner du pouvoir d’achat aux ménages, renforcer les #services_publics, récupérer de l’argent sur le #patrimoine, et générer en retour des #effets_économiques vertueux.

      Cette politique tourne le dos à celle mise en œuvre depuis 2017 dont l’orientation principale, revendiquée par Bruno Le Maire, est la baisse des prélèvements obligatoires et l’horizon la réduction du rôle de la #protection_sociale et des services publics. Cette politique menée à un rythme rapide, comme une fuite en avant, une recherche vaine d’un retour de la #croissance, ne récolte qu’une baisse de la #productivité.

      Une large partie des critiques sur le sérieux du programme du NFP provient de commentateurs pour qui le seul débat économique valable est de savoir s’il faut d’abord définancer les retraites, l’école, les deux en même temps, ou si on n’ajouterait pas encore un peu de baisse de prélèvements sur les entreprises, pour la route.

      Et lorsque ces réformes sont évaluées scientifiquement, qu’on en démontre le #coût_social ou le peu d’#efficacité_économique, le plus souvent ces personnes haussent les épaules et passent à la suivante. Evidemment, une autre politique économique est possible.

      Des mesures sociales tout à fait à portée de main

      Si on considère les principales mesures proposées par le Nouveau Front populaire, elles apparaissent tout à fait envisageables. Elles sont sans doute d’ailleurs un peu plus modérées que celles du programme de la Nupes en 2022, pour tenir compte de la dégradation depuis des comptes publics.

      Pour ne prendre que quelques mesures sur les sujets que je connais le mieux : suspendre la réforme des #retraites de 2023 pour revenir à 62 ans immédiatement est faisable, d’autant que la réforme a à peine commencé d’être appliquée. Cela représente environ 0,8 point de PIB en 2032 pour le système de retraite et c’est en grande partie financé par la hausse prévue des cotisations de 0,6 point pour les employeurs et 0,6 point pour les salariés, selon un chiffrage réalisé d’après le simulateur du COR.

      Il est prudent de ne pas s’engager trop avant sur le droit à la retraite à 60 ans pour toutes et tous, même s’il apparaît évident que pour certaines personnes et certains métiers pénibles qui ne sont aujourd’hui quasiment pas reconnus, la baisse de l’âge de départ devrait être appliquée rapidement.

      Annuler les réformes de l’#assurance_chômage est également très facilement réalisable, la précédente n’étant même pas encore complètement montée en charge et la prochaine n’étant pas encore appliquée.

      Revaloriser le #point_d’indice de la fonction publique de 10 % est un #choix_budgétaire non négligeable dont il s’agit de mesurer l’ampleur, à hauteur de 0,8 point de PIB, selon certaines estimations. Cette priorité constitue bien une partie de la réponse aux graves difficultés de recrutement que connaissent actuellement les services publics.

      C’est particulièrement vrai pour les deux plus importants que sont la santé et l’éducation, dont les concours ne font plus, du tout, le plein. Cela sera sans doute plus utile pour l’avenir que la baisse de la fiscalité pour les ménages les plus aisés.

      L’indexation des salaires, elle, existe sous une certaine forme chez nos voisins Belges, qui ne s’en plaignent pas, et cela mériterait qu’on s’y penche pour en affiner les caractéristiques techniques.

      Aller plus loin sur les recettes

      Côté recettes, là aussi les pistes sont claires : récupérer des moyens sur les patrimoines des millionnaires et milliardaires par le retour à un impôt sur la fortune et l’instauration d’un impôt élevé sur les très hautes #successions. Il est également urgent de revenir sur certaines #niches_fiscales ayant peu d’effet positif et très coûteuses.

      C’est peut-être de ce côté-là d’ailleurs que le programme mériterait d’être approfondi. Un passage en revue systématique de la politique fiscale depuis 2017 pourrait donner des pistes de financement utiles. En effet, depuis cette date, les baisses de prélèvements obligatoires décidées par les différents gouvernements s’élèvent à près de 70 milliards d’euros par an.

      Ces 70 milliards ont eu deux contreparties : une baisse (ou un ralentissement du financement) des protections collectives (retraite, chômage, services publics), mais également un creusement du #déficit_public. Selon l’OFCE, de l’ordre de 40 milliards d’euros de baisse de recettes n’ont jamais été compensés depuis sept ans. Alors que le déficit s’est élevé à 5,5 % du PIB en 2023, ces mesures non compensées représentent environ 1,4 point de PIB, ce qui n’est budgétairement pas très « sérieux ».

      Selon la même logique, revenir sur le #CICE et le #pacte_de_responsabilité, mis en place sous François Hollande, ou sur la baisse de la #cotisation_sur_la_valeur_ajoutée des entreprises (#CVAE) plus récente, pourrait donner davantage de marge de manœuvre. Certes, ce n’est pas parce que ces mesures fiscales étaient contestables, qu’on peut les supprimer toutes, et d’un coup : les entreprises, même si elles n’en avaient pas besoin, s’y sont accoutumées. Mais il y a de la marge pour commencer tout de suite, et récupérer des montants conséquents.

      C’est pour cela qu’une revue paraît opportune afin de savoir jusqu’où et à quel rythme on peut remonter la pente dévalée au cours des dernières années. De manière intéressante, certains amendements aux dernières lois de finances de la majorité présidentielle, le rapport Bozio-Wasmer en cours de rédaction, ou encore la Cour des comptes, esquissent déjà des pistes en ce sens.

      N’esquivons pas le débat démocratique sur la politique à mener

      Ce qui serait « sérieux », et démocratique, c’est que les médias d’information utilisent le temps de cette élection pour mettre en perspective les #visions de politiques économiques alternatives des trois pôles : la baisse des prélèvements et des dépenses sociales de LREM, espérant faire revenir de la croissance, sa version amplifiée par le RN assortie d’une politique économique xénophobe motivée par des orientations racistes, et le changement de cap proposé par le Nouveau Front populaire qui fait le pari d’une réorientation écologique et sociale, appuyée par la fiscalité et dans une perspective keynésienne.

      Si le Nouveau Front populaire gagne, il aura alors à sa disposition tous les moyens de l’Etat pour calibrer, orchestrer, séquencer les mesures de son programme, et proposer des décisions à arbitrer. La feuille de route est suffisamment explicite pour que cela démarre vite, l’administration sait faire. Un programme est là pour définir un cap, le début du chemin et un horizon. En l’espèce, celui du NFP trace des perspectives sans ambiguïtés et enthousiasmantes.

      ▻https://www.alternatives-economiques.fr/michael-zemmour/politique-economique-nouveau-front-populaire-dessine-un-changement-de-cap/00111532
      #crédibilité

      CDB_77 @cdb_77
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  • @la_vie_des_idees
    La Vie des idées @la_vie_des_idees via RSS 5/04/2021
    2
    @lianes1
    @monolecte
    2

    L’environnement est-il soluble dans l’économie ?
    ▻https://laviedesidees.fr/L-environnement-est-il-soluble-dans-l-economie.html

    À propos de : Eve Chiapello, Antoine Missemer, Antonin Pottier (coord.) Faire l’économie de l’environnement, Presses des Mines. Comment l’environnement est-il considéré par les discours et #statistiques économiques ? Un ouvrage collectif examine autant les études des économistes que les activités d’acteurs militants ou d’entreprises qui cherchent à mesurer l’environnement ou à en faire abstraction.

    #Économie #environnement #écologie
    ▻https://laviedesidees.fr/IMG/pdf/20210405_environnement.pdf
    ▻https://laviedesidees.fr/IMG/docx/20210405_environnement.docx

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    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 7/04/2021

      Faire l’#économie_de_l’environnement

      Le souci environnemental né du constat d’une pression dommageable exercée par les #activités_économiques sur la #biosphère a conduit à la multiplication d’initiatives et de #régulations destinées à endiguer les destructions. À la mise en économie de l’environnement qu’effectuent de fait les activités économiques quand elles prélèvent des #ressources, répondent les efforts de la #théorie_économique pour penser ces questions et l’élaboration d’instruments de #politique_économique destinés à intervenir. Cet ouvrage pluridisciplinaire (économie, sociologie, histoire, STS) explore les multiples facettes de ces mises en économie de l’environnement (par l’#exploitation, par la théorie économique et par les #politiques_environnementales) à partir d’analyses historiques et contemporaines destinées à en montrer les enjeux, limites et opportunités. Le bilan reste contrasté, ces différentes façons de faire l’économie de l’environnement pouvant tendre à négliger les spécificités biogéochimiques de la #nature jusqu’à faire l’économie d’une prise en compte ambitieuse de l’environnement.

      https://www.pressesdesmines.com/wp-content/uploads/2020/06/Faire_economie_environne_front.jpg

      ▻https://www.pressesdesmines.com/produit/faire-leconomie-de-lenvironnement
      #livre #Eve_Chiapello #Antonin_Pottier

      CDB_77 @cdb_77
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 7/07/2020

    Les politiques d’#austérité : à cause d’une erreur Excel ?

    Comment un article économique ayant eu une influence majeure sur les politiques d’austérité s’est finalement révélé faux, à cause d’une erreur de calcul sous #Excel.

    ▻https://www.youtube.com/watch?v=yeX_Zs7zztY&feature=youtu.be


    #science #politique #science_et_politique #croissance #dette #vidéo #économie #erreur #dette_publique #90_pourcent #politique_économique #Thomas_Herndon

    Le seuil de 90% de dette, cité dans l’article de #Reinhart - #Rogoff comme étant le seuil qui ne permet plus de croissance, et utilisé par les politiciens depuis...

    https://i.imgur.com/dMCskKS.png https://i.imgur.com/jXmDVs0.png

    CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 7/07/2020

      The #Reinhart - #Rogoff error – or how not to Excel at economics

      Last week we learned a famous 2010 academic paper, relied on by political big-hitters to bolster arguments for austerity cuts, contained significant errors; and that those errors came down to misuse of an Excel spreadsheet.

      Sadly, these are not the first mistakes of this size and nature when handling data. So what on Earth went wrong, and can we fix it?

      Harvard’s Carmen Reinhart and Kenneth Rogoff are two of the most respected and influential academic economists active today.

      Or at least, they were. On April 16, doctoral student Thomas Herndon and professors Michael Ash and Robert Pollin, at the Political Economy Research Institute at the University of Massachusetts Amherst, released the results of their analysis of two 2010 papers by Reinhard and Rogoff, papers that also provided much of the grist for the 2011 bestseller Next Time Is Different.

      Reinhart and Rogoff’s work showed average real economic growth slows (a 0.1% decline) when a country’s debt rises to more than 90% of gross domestic product (GDP) – and this 90% figure was employed repeatedly in political arguments over high-profile austerity measures.

      https://images.theconversation.com/files/22728/original/7hftcvxz-1366609674.jpg?ixlib=rb-1.1.0&q=45&auto=format&w=600&h=896&fit=crop&dpr=1#.jpg

      During their analysis, Herndon, Ash and Pollin obtained the actual spreadsheet that Reinhart and Rogoff used for their calculations; and after analysing this data, they identified three errors.

      The most serious was that, in their Excel spreadsheet, Reinhart and Rogoff had not selected the entire row when averaging growth figures: they omitted data from Australia, Austria, Belgium, Canada and Denmark.

      In other words, they had accidentally only included 15 of the 20 countries under analysis in their key calculation.

      When that error was corrected, the “0.1% decline” data became a 2.2% average increase in economic growth.

      https://images.theconversation.com/files/22729/original/9p3p8swn-1366609675.jpg?ixlib=rb-1.1.0&q=45&auto=format&w=600&h=922&fit=crop&dpr=1#.jpg

      So the key conclusion of a seminal paper, which has been widely quoted in political debates in North America, Europe Australia and elsewhere, was invalid.

      The paper was cited by the 2012 Republican nominee for the US vice presidency Paul Ryan in his proposed 2013 budget The Path to Prosperity: A Blueprint for American Renewal.

      Undoubtedly, without Reinhart and Rogoff, Ryan would have found some other data to support his conservative point of view; but he must have been delighted he had heavyweight economists such as Reinhart and Rogoff apparently in his corner.

      Mind you, Reinhart and Rogoff have not tried to distance themselves from this view of their work.
      Keeping records

      As said at the outset, this is not the first time a data- and/or math-related mistake resulted in major embarrassment and expense. In a summary of such historical clangers, Bloomberg journalist Matthew Zeitlin recently pointed to:

      NASA’s Mariner 1 spacecraft, destroyed minutes after launch in 1962, thanks to “a missing hyphen in its computer code for transmitting navigation instructions”
      an Excel spreadsheet error by a first-year law firm associate, who added 179 contracts to an agreement to buy the bankrupt firm Lehman Brothers’ assets, on behalf of Barclay’s bank
      the 2010 European flight ban, following the eruption of Iceland’s Eyjafjallajokull, for which “many of the assumptions in the computer models were not backed by scientific evidence”

      While many different types of errors were involved in these calamities, the fact that the errors in the Reinhart-Rogoff paper were not identified earlier can be ascribed by the pervasive failure of scientific and other researchers to make all data and computer code publicly available at an early stage – preferably when the research paper documenting the study is submitted for review.

      We’ve discussed this topic in a previous article on Math Drudge and another in the Huffington Post – emphasising that the culture of computing has not kept pace with its rapidly ascending pre-eminence in modern scientific and social science research.

      Most certainly the issue is not just one for political economists, although the situation seems worst in the social sciences. In a private letter now making the rounds – which we have read – behavioural psychologist Daniel Kahneman (a Nobel economist) has implored social psychologists to clean up their act to avoid a “train wreck”.

      Kahneman specifically discusses the importance of replication of experiments and studies on priming effects.

      Traditionally, researchers have been taught to record every detail of their work, including experimental design, procedures, equipment, raw results, data processing, statistical methods and other tools used to analyse the results.

      In contrast, relatively few researchers who employ computing in modern science – ranging from large-scale, highly parallel climate simulations to simple processing of social science data – typically take such care in their work.

      In most cases, there is no record of workflow, hardware and software configuration, and often even the source code is no longer available (or has been revised numerous times since the study was conducted).

      We think this is a seriously lax environment in which deliberate fraud and genuine error can proliferate.
      Raising standards

      We believe, and have argued, there should be new and significantly stricter standards required of papers by journal editors and conference chairs, together with software tools to facilitate the storage of files relating to the computational workflow.

      But there’s plenty of blame to spread around. Science journalists need to do a better job of reporting such critical issues and not being blinded by seductive numbers. This is not the first time impressive-looking data, later rescinded, has been trumpeted around the media. And the stakes can be enormous.

      If Reinhart and Rogoff (a chess grandmaster) had made any attempt to allow access to their data immediately at the conclusion of their study, the Excel error would have been caught and their other arguments and conclusions could have been tightened.

      They might still be the most dangerous economists in the world, but they would not now be in the position of saving face in light of damning critiques in the Atlantic and elsewhere.

      As Matthew O’Brien put it last week in The Atlantic:

      For an economist, the five most terrifying words in the English language are: I can’t replicate your results. But for economists Carmen Reinhart and Ken Rogoff of Harvard, there are seven even more terrifying ones: I think you made an Excel error.

      Listen, mistakes happen. Especially with Excel. But hopefully they don’t happen in papers that provide the intellectual edifice for an economic experiment — austerity — that has kept millions out of work. Well, too late.

      ▻https://theconversation.com/the-reinhart-rogoff-error-or-how-not-to-excel-at-economics-13646

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 7/07/2020

      https://i.imgur.com/0HNDBxt.png

      ▻https://www.peri.umass.edu/images/WP322.pdf

      CDB_77 @cdb_77
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  • @mediapart
    Mediapart @mediapart 9/05/2019
    1
    @simplicissimus
    1

    Privatisation d’ADP : le Conseil constitutionnel donne son feu vert à un référendum
    ▻https://www.mediapart.fr/journal/international/090519/privatisation-dadp-le-conseil-constitutionel-donne-son-feu-vert-un-referen

    Le Conseil constitutionnel a validé la proposition de loi portée par 248 parlementaires pour organiser un référendum sur la privatisation d’ADP. Les parlementaires ont neuf mois pour réunir 4,7 millions de signatures. Pour le gouvernement, c’est un revers politique d’importance : une opposition s’est formée face à lui et la vente d’ADP est bloquée.

    #POLITIQUE_ÉCONOMIQUE #ADP,_privatisation,_parlement,_référendum,_biens_publics,_A_la_Une

    Mediapart @mediapart
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  • @reflets
    Reflets [RSS] @reflets 25/01/2018
    2
    @vanderling
    @marielle
    2

    #macron et les 1 % : le tweet du berger à la bergère
    ▻https://reflets.info/macron-et-les-1-le-tweet-du-berger-a-la-bergere

    Lors de son discours à #Davos, Emmanuel Macron dénonçait un « capitalisme de stars qui bénéficient de la financiarisation et de la technologie », s’en prenant aux 1 % de la population accaparant l’essentiel des […]

    #Breves #injustice_sociale #politique_économique #retour_de_manivelle

    • #Davos
    Reflets [RSS] @reflets
    • @philippe_de_jonckheere
      Philippe De Jonckheere @philippe_de_jonckheere CC BY 25/01/2018

      Quelle impatience puisqu’on vous dit que #cela_va_ruisseler_velu

      Philippe De Jonckheere @philippe_de_jonckheere CC BY
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 25/01/2018

      https://pbs.twimg.com/media/DOLdTGNW0AAESR9.jpg

      ▻https://www.revolutionpermanente.fr/Vers-une-baisse-des-allocations-et-un-controle-journalier
      et oui ! il va remettre au boulot, avec son ami Gattaz 1 million de fainéants.
      http://p2.storage.canalblog.com/25/09/529468/118760782.jpg

      ►http://berth.canalblog.com
      il va pleuvoir des coups de pieds au cul
      #Berth #LREM #Medef

      Vanderling @vanderling
    • @marielle
      marielle 🐢🚩 @marielle 25/01/2018

      https://pbs.twimg.com/media/DUU8x2BW0AA6wHZ.jpg

      Comme dirait un grand sage :
      « La force, du foutage de gueule, est puissante en lui. »

      En fait, il dirait : puissante en lui est la force du foutage de gueule ?

      marielle 🐢🚩 @marielle
    • @sombre
      Sombre @sombre CC BY-NC-SA 26/01/2018

      Je me demande toujours pourquoi une attaque terroriste n’a jamais eu lieu pendant cette rencontre de raclures internationales. #cartel_de_Davos

      Sombre @sombre CC BY-NC-SA
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 26/01/2018

      Davos doit être l’endroit le plus surveillé au monde, en ce moment : les chiens de garde veillent sur leur maîtres.

      https://3.bp.blogspot.com/-7r3Ajk9eePk/TkEvuBgjIII/AAAAAAAAAOA/NAewyYlc4Zc/s320/collage.jpg

      ▻https://clebouille.blogspot.fr

      Vanderling @vanderling
    • @colporteur
      colporteur @colporteur CC BY-NC-SA 26/01/2018

      Le terrorisme commet des massacres de masse et s’attaque essentiellement à des quidams, pas à des responsables.

      Attaque pyrotechnique contre le Secrétariat d’Etat à l’économie suisse
      ▻https://renverse.co/Attaque-pyrotechnique-contre-le-Secretariat-d-Etat-a-l-economie-suisse-1373

      Les manifestations interdites à Davos à cause de la neige
      ▻https://www.letemps.ch/suisse/2018/01/22/manifestations-interdites-davos-cause-neige

      300 manifestants anti-Trump à Lausanne, un millier à Zurich
      ▻http://www.bilan.ch/economie/300-manifestants-anti-trump-a-lausanne-un-millier-a-zurich

      Zurich : plus d’un millier de manifestants contre la venue de Trump à Davos
      ▻http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2018/01/23/97002-20180123FILWWW00390-zurich-plus-d-un-millier-de-manifestants-contre-l

      colporteur @colporteur CC BY-NC-SA
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  • @la_vie_des_idees
    La Vie des idées @la_vie_des_idees 24/11/2017
    1
    @vanderling
    1

    À quand l’union des Balkans ?
    ▻http://www.laviedesidees.fr/A-quand-l-union-des-Balkans.html

    Lors du sommet de Trieste en juillet dernier, l’idée d’instaurer une zone économique commune dans les Balkans occidentaux a officiellement vu le jour. Suffira-t-elle à faire oublier leur désir d’intégration européenne à des pays encore marqués par les conflits de l’ex-Yougoslavie ?

    Essais & débats

    / #Europe, #Union_Européenne, #ex-Yougoslavie, #diplomatie, #politique_économique

    #Essais_&_débats

    La Vie des idées @la_vie_des_idees
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  • @la_vie_des_idees
    La Vie des idées @la_vie_des_idees 2/11/2017
    2
    @reka
    @unagi
    2

    Insaisissables conservateurs
    ▻http://www.laviedesidees.fr/Insaisissables-conservateurs.html

    En proposant une approche transnationale du #conservatisme au XXème siècle, les historiens Clarisse Berthezène et Jean-Christian Vinel montrent qu’il s’agit pas tant d’une doctrine clairement définie que d’un mouvement de réaction aux changements sociaux et à l’interventionnisme étatique en matière économique.

    Livres & études

    / conservatisme, #tradition, #politique_économique

    #Livres_&_études

    La Vie des idées @la_vie_des_idees
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  • @mediapart
    Mediapart @mediapart 19/10/2017
    1
    @colporteur
    1

    Ce que signifie l’obsession du contrôle des chômeurs
    ▻https://www.mediapart.fr/journal/france/191017/ce-que-signifie-l-obsession-du-controle-des-chomeurs

    La proposition d’un « contrôle journalier » des chômeurs de #Pierre_Gattaz n’est pas le fruit d’un esprit farfelu, c’est la partie visible d’une logique plus profonde qui réduit le chômeur à n’être qu’un simple instrument de la politique du coût du travail.

    #France #Economie #budget_2018 #chômage #Christophe_Castaner #politique_économique #réforme_de_l'assurance-chômage #réformes

    Mediapart @mediapart
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  • @mediapart
    Mediapart @mediapart 14/09/2017

    Exonération de la #taxe_d'habitation : quels seront les vrais gagnants ?
    ▻https://www.mediapart.fr/journal/economie/130917/exoneration-de-la-taxe-dhabitation-quels-seront-les-vrais-gagnants

    Le ministre de l’action et des comptes publics Gérald Darmanin a précisé ce matin les futurs seuils d’exonération de la taxe d’habitation. Mais l’efficacité économique de cette mesure, lissée sur trois ans et dans un contexte austéritaire, est incertaine.

    #Economie #baisse_d'impôts #budget_2018 #collectivités_locales #fiscalité #politique_économique

    Mediapart @mediapart
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  • @mediapart
    Mediapart @mediapart 13/09/2017

    Exonération de la #taxe_d'habitation : quels seront les vrais gagnants ?
    ▻https://www.mediapart.fr/journal/france/130917/exoneration-de-la-taxe-dhabitation-quels-seront-les-vrais-gagnants

    Le ministre de l’action et des comptes publics Gérald Darmanin a précisé ce matin les futurs seuils d’exonération de la taxe d’habitation. Mais l’efficacité économique de cette mesure, lissée sur trois ans et dans un contexte austéritaire, est incertaine.

    #France #Economie #baisse_d'impôts #budget_2018 #collectivités_locales #fiscalité #politique_économique

    Mediapart @mediapart
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  • @mediapart
    Mediapart @mediapart 21/08/2017

    Les choix économiques expliquent les difficultés politiques de Macron
    ▻https://www.mediapart.fr/journal/economie/210817/les-choix-economiques-expliquent-les-difficultes-politiques-de-macron

    En choisissant de donner la priorité à la consolidation budgétaire, #Emmanuel_Macron a modifié la logique de son programme économique et s’est aliéné une partie de l’opinion. Les efforts pour tenter de sauver la face d’une politique de « l’en même temps » et du « ni droite, ni gauche » ont achevé d’affaiblir sa position.

    #Economie #austérité #budget #budget_2017 #budget_2018 #politique_économique

    Mediapart @mediapart
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  • @mediapart
    Mediapart @mediapart 30/07/2017

    La #croissance française tient le cap, mais reste fragile
    ▻https://www.mediapart.fr/journal/france/300717/la-croissance-francaise-tient-le-cap-mais-reste-fragile

    Le #PIB français a progressé de 0,5 % au deuxième trimestre 2017, soit le même rythme que les deux derniers trimestres. Une amélioration qui tient avant tout à la hausse des exportations, mais qui ne valide pas la capacité du pays à résister à l’austérité programmée par le gouvernement. Un terminal du port du Havre, centre névralgique du commerce extérieur français. © Reuters

    #France #Economie #conjoncture #economie #politique_économique #reprise

    Mediapart @mediapart
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  • @mediapart
    Mediapart @mediapart 20/07/2017

    L’austérité achève la politique de l’« en-même-temps »
    ▻https://www.mediapart.fr/journal/france/200717/l-austerite-acheve-la-politique-de-l-en-meme-temps

    Gérald Darmanin, ministre de l’action et des comptes publics La démission du chef d’état-major n’est que la première conséquence d’un choix économique : celui de l’abandon de l’équilibre initial du programme d’Emmanuel Macron. Ce programme avait pu apparaître comme une forme de dépassement des impasses du néolibéralisme. Mais la pratique signe le retour de l’austérité, annonçant des déceptions et des secousses politiques.

    #France #Economie #austérité #budget #Emmanuel_Macron #politique_économique

    • #EMMANUEL MACRON
    Mediapart @mediapart
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  • @mediapart
    Mediapart @mediapart 20/07/2017

    L’austérité achève la politique de l’« en-même-temps »
    ▻https://www.mediapart.fr/journal/france/200717/lausterite-acheve-la-politique-de-l-en-meme-temps

    La démission du chef d’état-major n’est que la première conséquence d’un choix économique : celui de l’abandon de l’équilibre initial du programme d’Emmanuel Macron. Ce programme avait pu apparaître comme une forme de dépassement des impasses du néolibéralisme. Mais la pratique signe le retour de l’austérité, annonçant des déceptions et des secousses politiques.

    #France #Economie #austérité #budget #Emmanuel_Macron #politique_économique

    • #EMMANUEL MACRON
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  • @mediapart
    Mediapart @mediapart 30/06/2017

    Le gouvernement enfermé dans l’obsession budgétaire
    ▻https://www.mediapart.fr/journal/france/300617/le-gouvernement-enferme-dans-lobsession-budgetaire

    La dramatisation à l’extrême du rapport de la Cour des comptes, qui confirme pourtant la poursuite de la consolidation budgétaire, signale que le gouvernement d’Édouard Philippe demeure dans la même logique que ses prédécesseurs, fondée sur la réduction du déficit sous les 3 % du PIB sans prendre en compte les éléments macroéconomiques. Pourtant cet objectif, devenu celui du #budget 2017, n’a pas de signification économique et semblerait plus atteignable par une politique de soutien à la croissance.

    #France #Economie #3_%_de_déficit #déficit_public #dette_publique #Edouard_Philippe #politique_économique

    Mediapart @mediapart
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  • @mediapart
    Mediapart @mediapart 27/06/2017

    La #rigueur budgétaire est à l’ordre du jour
    ▻https://www.mediapart.fr/journal/economie/270617/la-rigueur-budgetaire-est-lordre-du-jour

    Bruno Le Maire a annoncé des « économies très concrètes » dès 2017. Une volonté de sabrer dans les dépenses malgré les coûts macroéconomiques qui a pour ambition de restaurer la « confiance » de l’Allemagne. La conversion du gouvernement aux orientations de la droite se confirme.

    #Economie #austérité #Bruno_Le_Maire #budget #economie #politique_budgétaire #politique_économique

    Mediapart @mediapart
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  • @mediapart
    Mediapart @mediapart 20/06/2017

    #croissance française : sous une solidité apparente, les faiblesses demeurent
    ▻https://www.mediapart.fr/journal/france/200617/croissance-francaise-sous-une-solidite-apparente-les-faiblesses-demeurent

    Dans sa #Note_de_conjoncture, l’Insee se félicite de la reprise de la croissance « solide » en #France en 2017. Mais si la croissance à 1,6 % pourrait être la plus solide depuis 2011, les fondamentaux de l’économie française demeurent faibles et fragiles. Et la politique envisagée par le gouvernement ne semble pas de nature à inverser la tendance.

    #Economie #budget #conjoncture_française #croissance_française #France #Macron #PIB #politique_économique

    Mediapart @mediapart
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  • @bce_106_6
    bce_106_6 @bce_106_6 17/06/2017

    Sociologie de Lille par le Collectif Degeyter (Radio)

    À Lille, le récit d’une agglomération reconvertie en métropole tertiaire, culturelle et créative semble avoir chassé les fantômes de la crise économique. Mais, cinquante ans après le début de sa désindustrialisation et sans nier les dynamiques économiques et culturelles nouvelles, la « bifurcation tertiaire » est loin d’avoir tenu ses promesses.

    Lille est aujourd’hui la grande agglomération régionale la plus ségrégée de France. Les politiques publiques nationales et locales se sont révélées impuissantes à réduire les inégalités sociospatiales héritées du développement industriel et à contrecarrer un chômage persistant. La reconversion tertiaire s’est accompagnée d’une précarisation accrue du marché du travail et de ségrégations renouvelées, tant sur le plan résidentiel que scolaire.

    Cet ouvrage rend compte de ces transformations, indissociablement politiques, économiques et sociales, qui font de l’agglomération lilloise un site privilégié pour comprendre les dynamiques inégalitaires des villes contemporaines.

    http://cdn.campuslille.com/images/stories/EulBCE/Angle_d_Attac/Sociologie_de_Lille.jpg

    Le collectif Degeyter est composé de neuf enseignants-chercheurs sociologues, politistes et géographes des universités Lille 1, Lille 2, Lille 3 et Paris-Est-MLV : Antonio Delfini, Fabien Desage, Fabien Eloire, Remi Lefebvre, Yoan Miot, Frédéric Poulard, Stéphanie Pryen, Juliette Verdière et Cécile Vignal (coord.).
    ►http://www.campuslille.com/index.php/entry/sociologie-de-lille-editions-la-decouverte
    Emission « Angle d’ATTAC ». Troisième Samedi de chaque mois, 12h sur Radio Campus Lille.

    #Radio #Audio #Lille #Sociologie #Métropole #Métropolisation #ségrégation #précarisation #Ville_contemporaine #Politique_économique #Radio_Campus_Lille

    • #Lille
    bce_106_6 @bce_106_6
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  • @mediapart
    Mediapart @mediapart 15/06/2017

    Réformer le droit du travail, pour quoi faire ?
    ▻https://www.mediapart.fr/journal/economie/150617/reformer-le-droit-du-travail-pour-quoi-faire

    La réforme du #Code_du_travail s’appuie sur l’apparente évidence de son efficacité, en réalité loin d’être certaine. Et l’impact macroéconomique de ces mesures pourrait, en période de consolidation budgétaire, être négatif et dangereux. L’optimisme n’est pas forcément de mise.

    #Economie #chômage #emploi #politique_économique #réforme_code_du_travail #réforme_du_marché_du_travail #réformes

    Mediapart @mediapart
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  • @mediapart
    Mediapart @mediapart 18/05/2017

    Le gouvernement se rallie à une #politique_économique de droite
    ▻https://www.mediapart.fr/journal/france/180517/le-gouvernement-se-rallie-une-politique-economique-de-droite

    Gérald Darmanin et #Bruno_Le_Maire lors du premier conseil des minsitres le 18 mai © Reuters Moins d’une semaine après son investiture, l’équation économique tenue par Emmanuel Macron s’est déjà sérieusement simplifiée. En nommant deux ministres de droite à #Bercy, le nouveau président de la République opte pour un programme classique de droite, fait de réformes structurelles et d’austérité budgétaire.

    #France #Economie #austérité #Finances #Gérald_Darmanin

    Mediapart @mediapart
    • @sandburg
      Sandburg @sandburg CC BY-SA 18/05/2017

      Ce que je redoute, c’est que le PS vienne choper un rôle d’opposition (pendant ce dernier quinquennat), faire son ouin-ouin pour redorer son image.
      Ne soyons pas dupe (ici, ça va), c’est les mêmes.

      Sandburg @sandburg CC BY-SA
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  • @mediapart
    Mediapart @mediapart 18/05/2017

    Le soutien de l’Allemagne, indispensable au projet Macron
    ▻https://www.mediapart.fr/journal/economie/180517/le-soutien-de-lallemagne-indispensable-au-projet-macron

    Emmanuel Macron a commencé à discuter de la réforme de la #zone_euro avec la chancelière Angela Merkel. Mais l’enjeu de cette évolution n’est pas seulement la survie de la zone euro à moyen terme, c’est aussi le succès de la #politique_économique « équilibrée » du nouveau président français.

    #Economie #Allemagne #Emmanuel_Macron #Gerard_Schröder #réformes_structurelles

    • #EMMANUEL MACRON
    Mediapart @mediapart
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  • @mediapart
    Mediapart @mediapart 16/05/2017

    Derrière la recomposition politique de Macron, l’uniformisation économique
    ▻https://www.mediapart.fr/journal/france/160517/derriere-la-recomposition-politique-de-macron-luniformisation-economique

    Si un gouvernement multipartisan est un séisme en politique, en économie, il s’agit d’un aboutissement. Depuis trois décennies, les politiques conduites par la gauche ou la droite n’ont cessé de se confondre. Macron met en œuvre le fameux précepte thatchérien “Tina” : « There is no alternative ».

    #France #Economie #Edouard_Philippe #Emmanuel_Macron #politique_économique

    Mediapart @mediapart
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