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  • @entreleslignesentrelesmots
    entreleslignesentrelesmots @entreleslignesentrelesmots 22/12/2020

    « Pornographie » l’alibi de la haine, de la torture et du crime organisé

    La pornographie n’est pas définie juridiquement. Pourtant, ce terme cache à lui seul une longue liste de violences sévèrement punies par le code pénal et par les conventions internationales : torture, viol, abus de vulnérabilité, proxénétisme, traite des êtres humains, incitation à la haine sexiste et raciste, injure sexiste, lesbophobe et raciste… On mesure ainsi le poids des mots et de leur puissante fonction sociale au service de l’impunité des criminels.

    ▻https://entreleslignesentrelesmots.blog/2020/12/22/pornographie-lalibi-de-la-haine-de-la-torture-et-du-cri

    #féminisme #pornographie

    entreleslignesentrelesmots @entreleslignesentrelesmots
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  • @entreleslignesentrelesmots
    entreleslignesentrelesmots @entreleslignesentrelesmots 19/12/2020

    Pornocriminalité. PornHub, « Jacquie et Michel », Dorcel : la fin de l’impunité

    Alors qu’aux Etats-Unis et au Canada, PornHub, l’un des géants du système pornocriminel est ébranlé, suite à la publication d’un article fouillé du New-York Times, nous demandons que des mesures soient prises en France, où les deux plus grandes plateformes de contenus pornocriminels « Jacquie et Michel » et « Dorcel » sont visées, directement ou indirectement par des enquêtes judiciaires.

    ▻https://entreleslignesentrelesmots.blog/2020/12/19/pornocriminalite-pornhub-jacquie-et-michel-dorcel-la-fi

    #féminisme #pornographie

    entreleslignesentrelesmots @entreleslignesentrelesmots
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  • @tintin
    gwyneth bison @tintin 18/12/2020
    4
    @gastlag
    @mad_meg
    @reka
    @grommeleur
    4

    Amelia veut révéler l’envers du porno en France - Page 1 | Mediapart
    ▻https://www.mediapart.fr/journal/france/171220/amelia-veut-reveler-l-envers-du-porno-en-france?onglet=full

    https://static.mediapart.fr/etmagine/default/files/maxresdefault_11.jpg

    Aux États-Unis, une polémique immense fait vaciller le géant du porno en ligne Pornhub. En France, une information judiciaire a été ouverte pour viols, proxénétisme aggravé et traite des êtres humains visant deux producteurs. Mediapart a rencontré une des plaignantes. Elle témoigne de ce qu’elle a vécu pour la première fois.

    #paywall

    gwyneth bison @tintin
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 18/12/2020

      ►https://seenthis.net/messages/887841

      ►https://seenthis.net/messages/890471

      ▻https://seenthis.net/messages/891714

      gwyneth bison @tintin
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 18/12/2020

      #pornographie #industrie_pornographique #porno #pascalop

      gwyneth bison @tintin
    • @colporteur
      colporteur @colporteur CC BY-NC-SA 18/12/2020

      Elle veut parler pour que personne ne le fasse « à [sa] place ». Amelia* est une des plaignantes au cœur de l’enquête judiciaire pour « traite des êtres humains aggravée », « viols », « #proxénétisme_aggravé » qui secoue l’industrie française du porno (lire notre enquête). À 28 ans, elle se raconte avec, pour seul signe de nervosité apparent, quelques cheveux qu’elle triture entre ses doigts.

      Elle se vit comme une lanceuse d’alerte. « Des choses avancent que parce que des gens osent prendre la parole. Aujourd’hui, je suis là pour ça, je n’ai pas la prétention de dire que je vais changer le monde. Mais je sais de quoi je parle », dit-elle ce soir de novembre, dans un bureau parisien.

      Amelia espère que sa « parole peut compter ». Mais elle ne sait pas si la société l’accueillera. Elle a renoncé à témoigner à visage découvert – quelque temps après notre premier rendez-vous, elle a simplement accepté qu’on l’enregistre, et qu’on en diffuse des extraits, avec une voix modifiée. Elle craint des « représailles ». « Je pense que la société n’est pas prête à entendre ce qui s’est passé », tant l’industrie du porno a façonné les désirs et les discours. « Les gens ne veulent pas voir. »

      Ce que raconte Amelia est pourtant arrivé à plusieurs autres jeunes femmes – elles sont cinq plaignantes dans la procédure – et fait écho aux révélations récentes du New York Times sur la plate-forme Pornhub, le plus gros site porno du monde, qui l’ont conduit à retirer des millions de vidéos. Son témoignage est parfois difficile à entendre.

      [vidéo]

      Son histoire commence en 2015. Enfin « vers 2015 » : Amelia oublie souvent les dates. « En terme de chronologie, il y a des choses que j’ai voulu oublier. Pour moi, encore aujourd’hui, c’est comme si ça s’était passé hier. »

      Amelia habite une ville moyenne de Seine-Saint-Denis, elle ne sait pas trop quoi faire de sa vie. Française d’origine marocaine, avec des parents « très cultivés », elle a interrompu une scolarité brillante. Elle travaille comme éducatrice sportive. Mais elle s’ennuie. « J’avais envie d’évoluer, j’avais envie de faire quelque chose de ma vie. » Elle manque aussi sacrément de confiance en elle. « J’ai des failles », dit-elle.

      « J’en étais arrivée à un point où je voulais complètement changer physiquement. Je pensais que la seule solution dans ma vie était d’être comme ce que la société veut que les femmes soient. J’ai pensé à la case chirurgie [esthétique – ndlr] », glisse Amelia.

      À chaque fois qu’elle le dit, elle peine à se départir d’un sentiment de honte, du moins de gêne. Amelia ressemble pourtant à des millions de jeunes femmes de son âge, adolescentes ou adultes en devenir, à un moment de leur vie où elles sont particulièrement vulnérables.

      Elle entend parler pour la première fois « d’escorting » par une de ses amies. Elle finit par accepter d’être mise en relation avec un « profil Facebook », celui d’une femme, qui va tisser avec Amelia une relation virtuelle « pendant des mois, tous les jours ».

      « Elle discutait tout le temps avec moi. Elle ne choisit pas ses victimes par hasard. C’est comme si elle comblait un manque. Elle est devenue une confidente », dit la plaignante, qui se raconte d’une traite, pendant deux heures et demie. Le profil Facebook lui parle de ses prestations d’escort, de l’argent qu’elle gagne, elle lui montre des billets, lui fait miroiter des sommes de plusieurs milliers d’euros. « Elle banalise, elle rend la chose amusante. »

      Alors, au fil des mois, Amelia glisse : « Au début, j’étais réticente, puis curieuse, et on finit par dire “pourquoi pas”. » Ce « pourquoi pas » se matérialise un soir, dans un hôtel de province. Après des mois d’échanges quotidiens sur Facebook, elle a accepté de coucher avec un inconnu, puis avec lui et un ami, contre rémunération.

      Elle a accepté « le minimum » – elle refuse la zoophilie et la sodomie, qu’on lui aurait proposées et qui lui auraient rapporté plus d’argent. La consigne donnée par l’organisateur du rendez-vous, selon Amelia : dès qu’elle arrive devant l’hôtel, elle doit embrasser celui qui l’attend, pour ne pas attirer les soupçons.

      Une nouvelle digue est brisée. « Je n’ai jamais embrassé un homme avec qui je n’ai jamais parlé. Cela fait sauter une barrière en nous. Tu as franchi quelque chose. Tu ne peux plus reculer. C’est le début. »

      À ce sentiment de ne plus tout à fait s’appartenir s’ajoute celui de la peur : la conscience de l’interdit, la crainte de l’illégal.

      Après avoir eu un rapport sexuel avec l’homme qui l’attendait – qui est, selon Amelia, la même personne que le profil Facebook féminin –, elle aurait reçu un message : elle doit quitter les lieux au plus vite, la police serait en route et le coursier qui devait lui remettre sa paie ne pourra pas venir.

      Amelia rentre en région parisienne. « Je faisais les choses mécaniquement. On pense encore qu’on va gérer, qu’on va être assez forte. » Mais cette nuit-là, « c’est le premier acte qui détruit tes fondations – déjà qu’elles n’étaient pas très solides ». « Tu te sens souillée », dit Amelia.

      À la maison, c’est encore le profil Facebook qui la rassure, dit-elle. Et lui propose une solution : tourner des « vidéos intimes », comme « entre potes », pour des plates-formes exclusivement accessibles « au Canada ». Il « n’utilise jamais le terme de pornographie. Il parle d’échangisme, de libertinage. Mais filmé ».

      Là encore, « tout est banal, tout est normal. Il n’y a pas de profondeur. Tu n’as même pas dit “oui” qu’il te propose. Et si tu dis “non”, on te propose quand même ».

      Un mois après environ, dit Amelia, elle fait son premier tournage. Il y en aura cinq au total, sur trois jours, dans un intervalle d’environ un mois et demi. À chaque fois, c’est le producteur connu sous le nom de « Pascal OP » qui est accusé d’être à la manœuvre. Deux fois avec, à ses côtés, un autre producteur connu, surnommé « Matt Hadix ». Amelia, elle, les nomme par leur état civil, respectivement « Pascal Ollitrault » et « Mathieu Lauret ».

      La nuit est tombée depuis longtemps et Amelia raconte d’une voix cristalline des scènes d’une très grande brutalité. Les mots sont précis, sans pathos. Elle s’en excuse devant nous – « Je ne sais pas ce que ça fait d’entendre une histoire comme ça » – et, d’elle-même, s’en explique.

      « Je pense encore maintenant que j’ai une distanciation, je n’arrive pas à rentrer vraiment dans ce que j’ai pu être et ce que je peux vivre. L’oubli des dates et la distanciation, ce sont encore les séquelles aujourd’hui. Mais ce n’est pas fait exprès. »

      La première scène racontée par Amelia dit déjà tout : elle se sent ballottée, d’un endroit à un autre, elle ne sait rien à l’avance, découvre au fur et à mesure qui est là, ce qu’elle doit faire. Elle demande une perruque, on la lui aurait refusée. Les hommes, eux, sont tous cagoulés, raconte Amelia. Elle dit qu’elle refuse la pénétration anale, elle en subit. « Tu dis non, mais ils s’en fichent, tout le monde s’en fiche. »

      « Je suis une loque, je me laisse guider, je n’ai envie de rien mais ça doit être fait. Je suis toutes les instructions. On ne m’a pas demandé avant. Et de toute façon, quand je demande avant, ils ne répondent pas… »

      Au beau milieu d’une scène, celui qui tient la caméra passe de l’autre côté. « Il ne se présente pas, il ne dit pas ce qu’il fait », dit-elle. Un autre homme – le propriétaire de l’appartement où elle tourne, se souvient-elle – se masturbe devant elle ; les « commentaires sexistes » fusent. « On te choque un bon coup pour que tout passe mieux, de plus en plus. »

      Amelia décrit un double mécanisme : « Dans tout le processus, à chaque étape, on se dit qu’on ne peut plus revenir en arrière. C’est un puits : petit à petit, tu descends un étage, et on éteint la lumière. »

      Amelia a tourné un « gang-bang », une pratique mettant en scène une femme avec au moins trois hommes. Là, ils étaient quatre, dit-elle. « Je ne sais pas qui sont les hommes qui vont me violer. Qui va faire quoi. À chaque fois, ils ont tous une cagoule. »

      Elle a aussi tourné un « bukkake », une pratique extrême désignant l’éjaculation de plusieurs hommes sur le visage d’une femme. « On ne sait pas combien de mecs vont arriver, 20, 30, 60… Je me souviens avoir demandé, on ne m’a jamais répondu. On est à l’étage, on ne descend que quand ils sont tous en rond. Quand on descend l’escalier, la vidéo tourne. Alors t’es obligée de continuer… tu ne peux pas revenir en arrière. »

      À chaque fois, Amelia a signé un contrat, après les scènes. Elle a été payée quelques centaines d’euros. Des contrats qui, a-t-elle appris depuis, ne vaudraient rien. Mais ils « te lient », dit la jeune femme. « C’est psychologique. »

      « Un mois, un mois et demi » après la première scène, elle découvre que les vidéos sont diffusées sur Internet ; sa vie bascule encore d’un cran. Elle n’ose plus sortir de chez elle, faire ses courses. Des hommes la reconnaissent dans la rue. Par deux d’entre eux, elle est interpellée dans la rue. Elle doit déménager. Elle coupe les ponts avec ses amis. Son compagnon reçoit des appels anonymes. Elle n’arrive plus à travailler. Elle perd l’estime d’elle-même et de son corps. Elle s’habille avec des « vêtements amples », elle fuit les rapports sexuels.

      « Ma vie s’est arrêtée. Pendant des années, j’ai perdu confiance en moi. Tout ce que j’avais de bon en moi, on l’a utilisé. On l’a détruit. »

      Régulièrement, ces dernières années, elle doit aller demander la suppression des vidéos sur les plates-formes de porno sur lesquelles elle réapparaît à intervalles réguliers. Elle s’en rend compte en croisant certains regards dans la rue, dit-elle.

      Passé l’effroi, le combat d’Amelia commence. Un « combat » de quatre ans, où elle va peu à peu dénouer le « stratagème » dont elle se dit la victime, à nommer ce qu’elle a vécu – « J’ai mis quatre ans à mettre le mot #viol. » « Quatre ans » au cours desquels elle va se heurter à des portes closes, et à une justice longtemps silencieuse.

      C’est en allant à un point d’accès au droit qu’elle a l’idée d’écrire au #procureur de la République de Bobigny (Seine-Saint-Denis). « Je me suis dit : je ne vais pas aller voir la #police, je pensais qu’ils n’allaient rien comprendre et je n’avais pas envie qu’on me regarde mal. »

      Elle n’obtient pas de réponse. Elle continue – c’est sa vie qui se joue. Amelia se rend à l’accueil du tribunal. Plusieurs fois, elle demande des nouvelles. On la renvoie vers l’ordre des avocats. Celle qui la reçoit ce jour-là lui aurait lancé : « Madame, c’est un contrat, il n’y a rien à faire, fallait y réfléchir avant. »

      Puis le commissariat de sa ville l’appelle : elle a rendez-vous avec un policier pour un entretien – aucune trace n’en sera trouvée par l’avocate d’Amelia ; tout semble hors procédure. La jeune femme raconte qu’elle s’entend une nouvelle fois dire que la justice ne peut rien pour elle. « Il n’y a pas de délit » , lui aurait dit le policier.
      C’est finalement en contactant le #Mouvement_du_Nid, connu pour son combat contre la prostitution, qu’Amelia sera finalement accompagnée, juridiquement et psychologiquement.

      « Je me sens pour la première fois écoutée. » Elle est intégrée à la procédure que les gendarmes parisiens ont lancée en mars dernier. Celle-ci a finalement conduit à l’ouverture d’une information judiciaire.

      Mi-octobre, le profil Facebook, également accusé d’être le faux client, J. D., et le producteur Pascal OP sont placés en détention provisoire. Ils sont accusés notamment de « viols », « proxénétisme aggravé » et « traite d’êtres humains aggravée ». Le site de Pascal OP – frenchbukkake.fr – est désormais inaccessible.

      Le producteur surnommé « Mat Hadix » ainsi que N.T.T., un assistant de Pascal OP, ont également été mis en examen et placés sous contrôle judiciaire, pour les mêmes chefs d’accusation. Tous bénéficient de la présomption d’innocence et, pour la plupart, nient les faits qui leur sont reprochés.

      Contactés par Mediapart, trois des avocats n’ont pas répondu (voir notre Boîte noire). Seul celui de Mathieu Lauret, Me Wilner, a tenu à rappeler que si son client « mutualisait les dépenses » avec Pascal OP, « il ne tournait pas les mêmes scènes » et se serait contenté de « porno à la papa-maman ». Il n’aurait par ailleurs pas été présent lors des scènes, précise son conseil.

      Amelia a fini par lâcher sa mèche de cheveux d’entre ses doigts. Sa voix n’a pas tremblé. Ou si peu. Sa parole fait le silence d’autour d’elle. Elle dit : « J’ai eu la triple peine. Déjà avec l’arnaque, des gens qui nous mentent. Se faire violer. Et après, une vie qui est détruite. » À 28 ans, elle s’en crée une nouvelle.

      #violences_sexuelles #justice

      colporteur @colporteur CC BY-NC-SA
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 22/12/2020
      @colporteur

      big up @colporteur

      gwyneth bison @tintin
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  • @entreleslignesentrelesmots
    entreleslignesentrelesmots @entreleslignesentrelesmots 18/12/2020

    Gail Dines : Pornland – comment le porno a envahi nos vies (préface)

    Howard Stern propose régulièrement du porno dans son émission, ce qui lui a notamment valu d’être la deuxième célébrité la mieux payée au monde en 2006 ; la vie de Hugh Hefner, avec ses « petites amies » jeunes, blondes et pathétiquement naïves, a été l’objet de la très célèbre série télé Les Girls de Playboy diffusée sur la chaîne E ! News ; la célébrissime star du porno Jenna Jameson, autrice d’un best-seller, est régulièrement mentionnée, interviewée ou citée dans de nombreux magazines people

    ▻https://entreleslignesentrelesmots.blog/2020/12/18/gail-dines-pornland-comment-le-porno-a-envahi-nos-vies-

    #féminisme #pornographie

    entreleslignesentrelesmots @entreleslignesentrelesmots
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  • @tintin
    gwyneth bison @tintin 16/12/2020

    Pornhub just removed from its site 10 million+ unverified videos—nearly 75% of its entire video collection.

    via : ►https://traffickinghub.com

    gwyneth bison @tintin
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 16/12/2020

      After changing its policies to ban unverified uploaders and Mastercard and Visa’s decision to drop the platform entirely, Pornhub has removed millions of videos.

      ▻https://www.vice.com/en/article/jgqjjy/pornhub-suspended-all-unverified-videos-content

      #pornographie #pornhub

      gwyneth bison @tintin
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  • @tintin
    gwyneth bison @tintin 15/12/2020

    – Comment la pornographie ravage la vie des adolescentes |
    ▻https://ressourcesprostitution.wordpress.com/2017/05/16/comment-la-pornographie-ravage-la-vie-des-adolesce

    https://ressourcesprostitution.files.wordpress.com/2017/05/sextupkids_1280-600x3381.jpg

    Il existe une différence entre une culture dans laquelle quelqu’un doit s’efforcer de trouver de la pornographie et une culture dans laquelle la consommation de pornographie par les enfants et les adolescents arrive autant accidentellement qu’intentionnellement. Nous sommes dans une culture où la pornographie fait tout simplement partie de la vie quotidienne et de la croissance des enfants, que nous le voulions ou non.

    ça date de 2016 #pornographie

    gwyneth bison @tintin
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 15/12/2020

      entre deux dessins animées, une photo de meuf à poil (enfin en culotte soutif en cuir rouge) est déjà apparu à ma fille de 4 ans.

      gwyneth bison @tintin
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 15/12/2020

      #toxicité

      gwyneth bison @tintin
    • @baroug
      baroug @baroug 15/12/2020

      À cet âge là, il vaut mieux utiliser du matériel téléchargé que Youtube (à vrai dire à tous les âges mais encore plus)

      baroug @baroug
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 15/12/2020

      eh mais oui je vais faire ça, j’y avais pas pensé.

      gwyneth bison @tintin
    • @rastapopoulos
      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC 15/12/2020

      (ou des dvds de choses choisies avec soin :p 4 ans, la petite tauuupe <3 <3 ▻https://www.lesfilmsdupreau.com/prog.php?code=ta )

      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC
    • @baroug
      baroug @baroug 15/12/2020

      Rien ne vaut la petite taupe ▻https://www2.yggtorrent.si/torrent/filmvid%C3%A9o/s%C3%A9rie-tv/12811-krtek+taupek+la+petite+taupe+int%C3%A9grale+62+%C3%A9pisodes+1

      baroug @baroug
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 15/12/2020

      yes !!!

      gwyneth bison @tintin
    • @touti
      vide @touti 15/12/2020

      Ma fille à 8 ans jouait à un jeu internet pour fillettes que je croyais un peu débile mais innocent. Misère, en lui demandant de m’expliquer j’ai compris avec horreur qu’il lui fallait habiller une poupée virtuelle avec les vêtements les plus sexys pour se voir attribuer des points en se retrouvant sur une scène où les filles sont applaudies ou pas. Les points accumulés permettaient de rencontrer un ou des hommes virtuels qui offraient des voitures de sport aux plus méritantes ou le restaurant.
      Une véritable éducation à la prostitution, ça s’appellait « ma bimbo ». Le principal est qu’on ait pu en parler clairement pour démonter ensemble la perversité de ce jeu.

      vide @touti
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 15/12/2020

      #flippant

      gwyneth bison @tintin
    Écrire un commentaire
  • @tintin
    gwyneth bison @tintin 9/12/2020
    2
    @die_brucke
    @touti
    2

    Opinion | The Children of Pornhub - The New York Times
    ►https://www.nytimes.com/2020/12/04/opinion/sunday/pornhub-rape-trafficking.html

    https://static01.nyt.com/images/2020/12/06/opinion/04kristof-2-R/04kristof-2-facebookJumbo.jpg

    Pornhub prides itself on being the cheery, winking face of naughty, the website that buys a billboard in Times Square and provides snow plows to clear Boston streets. It donates to organizations fighting for racial equality and offers steamy content free to get people through Covid-19 shutdowns.

    gwyneth bison @tintin
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 9/12/2020

      via en français : ▻https://seenthis.net/messages/890397#message890432

      gwyneth bison @tintin
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 9/12/2020

      #to_read...

      gwyneth bison @tintin
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 9/12/2020

      Yet there’s another side of the company: Its site is infested with rape videos. It monetizes child rapes, revenge pornography, spy cam videos of women showering, racist and misogynist content, and footage of women being asphyxiated in plastic bags. A search for “girls under18” (no space) or “14yo” leads in each case to more than 100,000 videos. Most aren’t of children being assaulted, but too many are.

      gwyneth bison @tintin
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 9/12/2020

      After a 15-year-old girl went missing in Florida, her mother found her on Pornhub — in 58 sex videos. Sexual assaults on a 14-year-old California girl were posted on Pornhub and were reported to the authorities not by the company but by a classmate who saw the videos. In each case, offenders were arrested for the assaults, but Pornhub escaped responsibility for sharing the videos and profiting from them

      .

      gwyneth bison @tintin
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 9/12/2020

      #pornhub #pédopornographie #pedocriminalité #viol

      gwyneth bison @tintin
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 9/12/2020

      C’est l’histoire de #Traci_lords

      Because it’s impossible to be sure whether a youth in a video is 14 or 18, neither Pornhub nor anyone else has a clear idea of how much content is illegal.

      gwyneth bison @tintin
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 9/12/2020

      The issue is not pornography but rape.

      gwyneth bison @tintin
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 9/12/2020

      #revenge_porn

      gwyneth bison @tintin
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 9/12/2020

      https://static01.nyt.com/images/2020/12/06/opinion/04kristof-3/merlin_180739593_55fe487a-d128-47fa-90fc-c952ec23499d-superJumbo.jpg?quality=90&auto=webp

      Serena Fleites, now living in her car with three dogs, says, “A whole life can be changed because of one little mistake.”

      gwyneth bison @tintin
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 9/12/2020

      The problem goes far beyond one company. Indeed, a rival of Pornhub, XVideos, which arguably has even fewer scruples, may attract more visitors. Depictions of child abuse also appear on mainstream sites like Twitter, Reddit and Facebook. And Google supports the business models of companies that thrive on child molestation.

      gwyneth bison @tintin
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 9/12/2020

      Google returns 920 million videos on a search for “young porn.” Top hits include a video of a naked “very young teen” engaging in sex acts on XVideo along with a video on Pornhub whose title is unprintable here.

      gwyneth bison @tintin
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 9/12/2020

      sainte vache #exponentiel, c’est le mot du siècle en vrai.

      I asked the National Center for Missing and Exploited Children to compile the number of images, videos and other content related to child sexual exploitation reported to it each year. In 2015, it received reports of 6.5 million videos or other files; in 2017, 20.6 million; and in 2019, 69.2 million.

      gwyneth bison @tintin
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 9/12/2020

      One study this year by a digital marketing company concluded that Pornhub was the technology company with the third greatest-impact on society in the 21st century, after Facebook and Google but ahead of Microsoft, Apple and Amazon.

      gwyneth bison @tintin
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 9/12/2020

      https://static01.nyt.com/images/2020/12/04/opinion/04kristof/04kristof-superJumbo.jpg?quality=90&auto=webp

      Mindgeek’s headquarters in Montreal

      gwyneth bison @tintin
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 9/12/2020

      A search for “13yo” generates 155,000 videos. To be clear, most aren’t of 13-year-olds, but the fact that they’re promoted with that language seems to reflect an effort to attract pedophiles.

      gwyneth bison @tintin
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 9/12/2020

      “Why do videos of me from when I was 15 years old and blackmailed, which is child porn, continuously [get] uploaded?” Nicole protested plaintively to Pornhub last year, in a message. “You really need a better system. … I tried to kill myself multiple times after finding myself reuploaded on your website.”

      Nicole’s lawyer, Dani Pinter, says there are still at least three naked videos of Nicole at age 15 or 16 on Pornhub that they are trying to get removed.

      “It’s never going to end,” Nicole said. “They’re getting so much money from our trauma.”

      gwyneth bison @tintin
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 9/12/2020

      One Pornhub scandal involved the Girls Do Porn production company, which recruited young women for clothed modeling gigs and then pushed them to perform in sex videos, claiming that the videos would be sold only as DVDs in other countries and would never go online .

      même ruse chez pascalop : ►https://seenthis.net/messages/887841

      #industrie_pornographique

      gwyneth bison @tintin
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 9/12/2020

      videos continue to surface and resurface on Pornhub

      gwyneth bison @tintin
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 9/12/2020

      only people who have confirmed their identities should be allowed to post videos.

      pas expert, mais effectivement, le problème ne semble pas technique.

      gwyneth bison @tintin
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 9/12/2020

      And call me a prude, but I don’t see why search engines, banks or credit card companies should bolster a company that monetizes sexual assaults on children or unconscious women.

      gwyneth bison @tintin
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 9/12/2020

      I don’t see any neat solution. But aside from limiting immunity so that companies are incentivized to behave better, here are three steps that would help: 1.) Allow only verified users to post videos. 2.) Prohibit downloads. 3.) Increase moderation

      .
      #pas_net

      gwyneth bison @tintin
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 9/12/2020

      Siri Dahl, a prominent porn star who does business with Pornhub, told me that my three proposals are “insanely reasonable.”

      gwyneth bison @tintin
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 9/12/2020

      we should also stand up to corporations that systematically exploit children. With Pornhub, we have Jeffrey #Epstein times 1,000.

      gwyneth bison @tintin
    • @touti
      vide @touti 10/12/2020

      The Internet Watch Foundation couldn’t explain why its figure for Pornhub is so low. Perhaps it’s because people on Pornhub are inured to the material and unlikely to report it. But if you know what to look for, it’s possible to find hundreds of apparent child sexual abuse videos on Pornhub in 30 minutes. Pornhub has recently offered playlists with names including “less than 18,” “the best collection of young boys” and “under- - age.”

      #viols
      #enfants
      #pornographie

      vide @touti
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 10/12/2020

      Pornhub annonce des mesures :

      ▻https://www.lemonde.fr/pixels/article/2020/12/09/mis-en-cause-par-le-new-york-times-le-site-pornographique-pornhub-annonce-de

      gwyneth bison @tintin
    • @touti
      vide @touti 10/12/2020

      Les menaces de Visa et Mastercard sont bidons, puisque le NYT stipule que Paypal s’est retiré de la plateforme porno bien avant …

      Concerns about Pornhub are bubbling up. A petition to shut the site down has received 2.1 million signatures. Senator Ben Sasse, a Nebraska Republican, called on the Justice Department to investigate Pornhub. PayPal cut off services for the company, and credit card companies have been asked to do the same. An organization called Traffickinghub, led by an activist named Laila Mickelwait, documents abuses and calls for the site to be shut down. Twenty members of Canada’s Parliament have called on their government to crack down on Pornhub, which is effectively based in Montreal.

      lien de la pétition avec des explications supplémentaires sur la campagne de Traffickinghub

      Shut Down Pornhub and Hold Its Executives Accountable for Aiding Trafficking
      ▻https://traffickinghubpetition.com

      vide @touti
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 10/12/2020

      le mec du NYT dit que c’est dans l’application de ces mesures que le diable se cache.

      gwyneth bison @tintin
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 11/12/2020

      la vidéo de l’association qui a déclenché l’enquête du NYT si je comprends bien : ▻https://www.instagram.com/tv/CCEUwGtJrzy

      dans les #, l’analogie avec l’esclavage est reprise, et ça pose certains problèmes depuis... le 19éme siècle :
      ►https://seenthis.net/messages/890624

      j’aurais pas trop de mal à dire que cette « croisade » semble menée par la droite, même si je m’en fous du moment que les ordures tombent, mais il va tout de même falloir faire bien gaffe à ce que les fafs QAnoneux du bulbe ne monopolisent pas la lutte...

      gwyneth bison @tintin
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  • @unagi
    unagi @unagi CC BY-NC 9/12/2020
    1
    @monolecte
    1

    LES ENFANTS DE PORNHUB | TRADFEM
    ►https://tradfem.wordpress.com/2020/12/08/les-enfants-de-pornhub

    https://tradfem.files.wordpress.com/2020/12/photo-fleites-pornhub.jpg

    Cette année, Facebook a retiré en trois mois de son site 12,4 millions d’images liées à l’exploitation d’enfants. En comparaison, le réseau Twitter a fermé en six mois 264 000 comptes l’année dernière pour exploitation sexuelle d’enfants. La direction de Pornhub répond à cela que l’Internet Watch Foundation, une organisation à but non lucratif basée en Angleterre qui lutte contre les images d’agressions sexuelles d’enfants, n’a signalé que 118 cas d’images d’agressions sexuelles sur Pornhub en près de trois ans, un chiffre apparemment négligeable. « L’élimination des contenus illégaux est une bataille permanente pour toutes les plateformes de contenu modernes, et nous sommes déterminés à rester en première ligne de cette lutte », a affirmé Pornhub dans sa déclaration.

    L’Internet Watch Fondation Internet Watch n’a pas pu expliquer pourquoi son chiffre pour Pornhub est si bas. C’est peut-être parce que les utilisateurs de Pornhub sont habitués à ces contenus et peu susceptibles de s’en plaindre. Mais si vous savez quoi chercher, il est possible de trouver en 30 minutes des centaines de vidéos d’agressions sexuelles d’enfants sur Pornhub. L’entreprise a même récemment proposé des playlists comprenant des titres comme « moins de 18 ans », « la meilleure collection de jeunes garçons » et « under-age » (mineurs). Le Congrès et les présidents successifs n’ont pratiquement rien fait à mesure que le problème s’aggravait. Le monde de la technologie, qui a rendu possible cette dérive, est resté essentiellement passif, dans une posture d’accroupissement défensif. Mais des reportages novateurs de mes collègues du Times en 2019 ont poussé le Congrès à commencer à débattre de stratégies concurrentes pour stopper l’exploitation des enfants.

    unagi @unagi CC BY-NC
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 9/12/2020

      Pornhub Erects Huge Billboard in Times Square After Long Search for a Great Non-Pornographic Ad
      ▻https://www.adweek.com/creativity/pornhub-erects-huge-billboard-times-square-after-long-search-great-non-porno
      ▻https://seenthis.net/messages/880683
      #pornhub

      Vanderling @vanderling
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 9/12/2020

      ▻https://seenthis.net/messages/890397

      Vanderling @vanderling
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 10/12/2020

      v.o : ►https://seenthis.net/messages/890471

      gwyneth bison @tintin
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 21/08/2021

      Pourquoi OnlyFans va-t-il interdire les contenus sexuels explicites sur son réseau ?
      ▻https://www.numerama.com/tech/733751-pourquoi-onlyfans-va-t-il-interdire-les-contenus-sexuels-explicites
      #pornographie #réseaux_sociaux

      Vanderling @vanderling
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  • @martin4
    martin dufresne @martin4 CC BY-SA 9/12/2020
    2
    @tintin
    @reka
    2

    Le pouvoir des mots...
    Une militante acharnée (Laila Micklewait, de l’organisme TraffickingHub) arrive à faire publier par un grand reporter de guerre (Nicholas Kristof, Prix Pulitzer) un reportage dévastateur dans le New York Times de dimanche sur l’exploitation d’enfants par une chaîne de vidéos et l’empire de pornocrates montréalais est discrédité en 48 heures !
    ▻https://tradfem.wordpress.com/.../08/les-enfants-de-pornhub

    martin dufresne @martin4 CC BY-SA
    • @rastapopoulos
      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC 9/12/2020

      #pornhub #porno #viol #pédophilie #pédo-pornographie

      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 9/12/2020

      Pornhub est la propriété de la société Mindgeek, un conglomérat privé de pornocrates qui compte plus de 100 sites web, sociétés de production et marques de commerce. Ses sites comprennent Redtube, Youporn, XTube, SpankWire, ExtremeTube, Men.com, My Dirty Hobby, Thumbzilla, PornMD, Brazzers et GayTube. Il existe d’autres acteurs majeurs du porno en dehors du parapluie Mindgeek, notamment XHamster et XVideos, mais Mindgeek est un titan de cette industrie. S’il opérait dans une autre industrie, le ministère de la Justice pourrait envisager un recours antitrust contre lui.

      gwyneth bison @tintin
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 9/12/2020

      Basée au Luxembourg pour des raisons fiscales, #Mindgeek est une société privée dirigée depuis Montréal. Elle ne révèle pas qui en est propriétaire, mais elle est dirigée par #Feras_Antoon et #David_Tassillo, tous deux Canadiens, qui ont refusé d’être interviewés.

      gwyneth bison @tintin
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 9/12/2020

      Bien que Pornhub ne veuille pas me dire combien de #modérateurs il emploie, j’en ai interrogé un qui m’a dit qu’environ 80 personnes travaillaient dans le monde sur les sites de Mindgeek. (En comparaison, Facebook m’a dit employer 15 000 modérateurs de contenus). Avec 1,36 million de nouvelles heures de vidéo téléchargées par an sur Pornhub, cela signifie que chaque modérateur doit autoriser plusieurs centaines d’heures de contenu par semaine.

      Les modérateurs visionnent les vidéos en « Fast Foirard », et il est souvent difficile d’évaluer si une personne a 14 ou 18 ans, ou si la torture qu’on lui inflige est réelle ou factice. La plupart des contenus qui mettent en scène des mineur-es concernent des adolescent-es, a déclaré le modérateur avec lequel j’ai parlé, mais certains proviennent de caméras d’espionnage placées dans des toilettes ou des vestiaires et ne montrent que des jeunes de 8 à 12 ans.

      #modération

      gwyneth bison @tintin
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 9/12/2020

      VO :
      the children of pornhub
      ►https://www.nytimes.com/2020/12/04/opinion/sunday/pornhub-rape-trafficking.html

      gwyneth bison @tintin
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 9/12/2020

      #revenge_porn

      gwyneth bison @tintin
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  • @etraces
    e-traces @etraces via RSS ART LIBRE 30/11/2020

    Amazon, Apple stay away from new French initiative to set principles for Big Tech
    ▻https://uk.reuters.com/article/us-france-tech/amazon-apple-stay-away-from-new-french-initiative-to-set-principles-for-

    PARIS (Reuters) - U.S. tech giants Amazon and Apple have not signed up to a new French initiative to get global tech companies to publicly commit to principles including paying their fair share of taxes, government officials said on Monday. French President Emmanuel Macron has sought for the past three years to cajole tech giants into collaborating with governments on a series of global challenges such as fighting hate speech online, preserving privacy or contributing to state coffers. (...)

    #Apple #Microsoft #Google #Amazon #Facebook #anti-terrorisme #écologie #pédophilie #pornographie #fiscalité #violence #GAFAM (...)

    ##fiscalité ##modération
    ►https://static.reuters.com/resources/r

    e-traces @etraces via RSS ART LIBRE
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  • @entreleslignesentrelesmots
    entreleslignesentrelesmots @entreleslignesentrelesmots 26/11/2020

    Analyses de gauche du porno

    Noam Chomsky dit à propos de la pornographie : « La pornographie représente l’humiliation et l’avilissement des femmes. C’est une activité scandaleuse. Les femmes sont avilies comme de vulgaires objets sexuels. Ce n’est pas ce que sont les êtres humains ». Il est allé plus loin lorsqu’on lui a posé la question la plus courante que les défenseurs de la pornographie aiment évoquer : Ces femmes n’ont-elles pas choisi d’être dans l’industrie du porno ? « Le fait que ces personnes acceptent et soient payées », a répondu Chomsky, « est à peu près aussi convaincant que d’affirmer que nous devrions être en faveur des ateliers clandestins en Chine où les femmes sont enfermées dans une usine et où l’usine brûle et où elles meurent toutes. Oui, elles ont été payées et ont consenti, mais cela ne me rend pas pour autant favorable à cette pratique. Donc, cet argument est irrecevable. Quant au fait que c’est l’érotisme de certaines personnes, eh bien, c’est leur problème. Cela ne veut pas dire que je dois y contribuer. S’ils tirent du plaisir de l’humiliation des femmes, alors ils ont un problème ».

    ▻https://entreleslignesentrelesmots.blog/2020/11/26/analyses-de-gauche-du-porno

    #féminisme #pornographie

    entreleslignesentrelesmots @entreleslignesentrelesmots
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  • @tintin
    gwyneth bison @tintin 23/11/2020

    Désirer comme un homme - Florian VÖRÖS - Éditions La Découverte
    ▻https://editionsladecouverte.fr/catalogue/index-D__sirer_comme_un_homme-9782348045394.html

    http://extranet.editis.com/it-yonixweb/IMAGES/DEC/P3/9782348045394.JPG

    Comment se noue la domination masculine dans les fantasmes ? Et par quels moyens cette domination pourrait-elle se dénouer ? À partir d’entretiens approfondis avec des hommes, Florian Vörös explore les imaginaires sexuels masculins à l’aune d’une pratique très courante, mais peu étudiée par les sciences sociales : le visionnage de pornographie. En mêlant conversations entre hommes sur le plaisir sexuel et réflexion d’inspiration féministe sur les normes, les hiérarchies et les violences de genre, cet ouvrage décrit avec minutie la fabrique sexuelle de la masculinité blanche. La comparaison des cultures sexuelles gay et hétéro permet aussi d’aborder un large éventail d’images, de discours, de pratiques et de sociabilités qui alimentent le désir.
    Qu’est-ce qu’être un homme, un « vrai » ? Être actif, puissant et pénétrant ? Se contrôler et se montrer invulnérable ? Se prétendre adulte et responsable ? Au plus près des paroles et des affects des participants à l’enquête – des hommes âgés de vingt à soixante ans, blancs et issus des classes moyenne et supérieure –, le sociologue interroge leur adhésion à un modèle hégémonique de masculinité, fondé sur une conception de la virilité comme force « naturelle » à « civiliser ».

    #pornographie (pas lu et je suis sceptique sur l’approche « culture (studies) pornograhique ». #masculinité

    gwyneth bison @tintin
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 23/11/2020

      #florian_vörös

      gwyneth bison @tintin
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  • @entreleslignesentrelesmots
    entreleslignesentrelesmots @entreleslignesentrelesmots 29/10/2020

    La vérité à propos de Pornhub

    ous n’avez probablement jamais entendu parler de MindGeek, l’énorme société de technologie qui possède Pornhub : le site porno le plus populaire au monde. Pornhub, qui reçoit 42 milliards de visites par an, est actuellement critiqué pour son manque apparent de contrôles de sécurité. Six millions de vidéos par an sont publiées sur le site ; certaines, selon les militantes anti-pornographie, montrent des viols et des agressions sexuelles. L’Internet Watch Foundation (IWF) a trouvé plus de 100 cas d’agressions d’enfants sur ce site entre 2017 et 2019.

    ▻https://entreleslignesentrelesmots.blog/2020/10/29/la-verite-a-propos-de-pornhub

    #pornographie #pedocriminalité #féminisme

    entreleslignesentrelesmots @entreleslignesentrelesmots
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  • @etraces
    e-traces @etraces ART LIBRE 21/10/2020
    1
    @reka
    1

    Derrière les écrans - Sarah T. Roberts
    ▻https://editionsladecouverte.fr/catalogue/index-Derri__re_les___crans-9782348064814.html

    Les nettoyeurs du Web à l’ombre des réseaux sociaux Employés par des sous-traitants aux quatre coins du monde, les modératrices et modérateurs de contenu sont les travailleurs de l’ombre chargés de purger les sites Internet, les réseaux sociaux et les applications mobiles des photos, vidéos ou commentaires abjects qui les inondent : propos haineux, cyber-harcèlement, injures racistes ou sexistes, automutilations et tortures, viols et décapitations, pédophilie… À travers des dizaines d’entretiens (...)

    #manipulation #pornographie #racisme #modération #sexisme #santé #SocialNetwork #censure (...)

    ##santé ##GigEconomy

    http://extranet.editis.com/it-yonixweb/IMAGES/DEC/P3/9782348064814.JPG

    e-traces @etraces ART LIBRE
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  • @monolecte
    M😷N😷LECTE 🤬 @monolecte CC BY-NC-SA 21/10/2020
    1
    @tintin
    1

    Mises en examen pour « viol, proxénétisme aggravé et traite d’être humain aggravé » (communiqués d’Osez le féminisme et des Effronté·es)
    ▻https://christinedelphy.wordpress.com/2020/10/20/mises-en-examen-pour-viol-proxenetisme-aggrave-et-traite-

    Quatre pornocriminels sont mis en examen pour « viol, proxénétisme aggrav...

    ►https://2.gravatar.com/avatar/ecd622e14581fc970bf3af643ac447fc?s=96&d=identicon&r=G

    https://christinedelphy.files.wordpress.com/2020/10/f36d30f2-2793-4bdd-89a9-ad22eec81fa5-1.jpeg

    M😷N😷LECTE 🤬 @monolecte CC BY-NC-SA
    • @biggrizzly
      BigGrizzly @biggrizzly CC BY-NC-SA 21/10/2020

      C’est pas là qu’on doit hurler à la misandrie et à l’irrespect de la présomption d’innocence ? Et, plutôt que râler, et si on leur proposait un poste dans un prochain gouvernement Macron ?
      (ceci est de l’humour noir)

      BigGrizzly @biggrizzly CC BY-NC-SA
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 21/10/2020

      ▻https://seenthis.net/messages/881821
      ▻https://osezlefeminisme.fr/pornocriminalite-ouverture-dune-enquete-contre-jacquie-et-michel-pou

      Le Mouvement du Nid, Osez le Féminisme ! et Les Effronté.es se réjouissent que, suite aux signalements faits par nos associations au Procureur de la République le 27 février 2020, le parquet de Paris ait décidé d’ouvrir une enquête préliminaire à l’encontre de la société « Jacquie et Michel » pour #proxénétisme aggravé et #viols. Nous dénonçons les violences sexistes et sexuelles inhérentes au système #pornocriminel et demandons justice pour les victimes.

      Nous exigeons la fin de l’impunité des violeurs, proxénètes et tortionnaires pornocriminels et nous réclamons justice pour les victimes. Nous exigeons la fermeture immédiate des sites qui diffusent les viols filmés des ces quatre pornocriminels, en premier lieu Jacquie et Michel et Dorcel, ainsi que la fermeture de la chaîne de « Jacquie et Michel » dans le bouquet de Canal plus.

      Vanderling @vanderling
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  • @entreleslignesentrelesmots
    entreleslignesentrelesmots @entreleslignesentrelesmots 20/10/2020

    Dans une société juste, il n’y a pas de place pour le porno

    https://entreleslignesentrelesmots.files.wordpress.com/2020/10/gail-dines-pornland.jpg

    Le libéralisme sexuel est cette idéologie qui exonère les exploiteurs de toute responsabilité à l’égard des personnes qu’ils violentent et exploitent sexuellement. C’est une idéologie qui est particulièrement véhiculée par l’industrie du porno, n’en déplaise à quelques adeptes libertariens qui voient dans ce secteur un apprentissage à la sexualité, un travail, ou un empowerment.

    Note sur : Gail Dines : Pornland – comment le porno a envahi nos vies

    ►https://entreleslignesentrelesmots.blog/2020/10/20/dans-une-societe-juste-il-ny-a-pas-de-place-pour-le-por

    #féminisme #pornographie

    entreleslignesentrelesmots @entreleslignesentrelesmots
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  • @entreleslignesentrelesmots
    entreleslignesentrelesmots @entreleslignesentrelesmots 19/10/2020

    Mises en examen pour « viol, proxénétisme aggravé et traite d’être humain aggravé » (communiqués d’Osez le féminisme et des Effronté·es)

    ▻https://entreleslignesentrelesmots.blog/2020/10/19/mises-en-examen-pour-viol-proxenetisme-aggrave-et-trait

    #pédocriminakité #pornographie #féminisme

    entreleslignesentrelesmots @entreleslignesentrelesmots
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  • @tradfem
    Tradfem @tradfem 13/10/2020
    3
    @reka
    @monolecte
    @rastapopoulos
    3

    #ANALYSES DE GAUCHE DU PORNO (compilation par #SONIA_ESS)
    ►https://tradfem.wordpress.com/2020/10/13/analyses-de-gauche-du-porno

    #Noam_Chomsky dit à propos de la pornographie : « La pornographie représente l’humiliation et l’avilissement des femmes. C’est une activité scandaleuse. Les femmes sont avilies comme de vulgaires objets sexuels. Ce n’est pas ce que sont les êtres humains ». Il est allé plus loin lorsqu’on lui a posé la question la plus courante que les défenseurs de la pornographie aiment évoquer : Ces femmes n’ont-elles pas choisi d’être dans l’industrie du porno ? « Le fait que ces personnes acceptent et soient payées », a répondu Chomsky, « est à peu près aussi convaincant que d’affirmer que nous devrions être en faveur des ateliers clandestins en Chine où les femmes sont enfermées dans une usine et où l’usine brûle et où elles meurent toutes. Oui, elles ont été payées et ont consenti, mais cela ne me rend pas pour autant favorable à cette pratique. Donc, cet argument est irrecevable. Quant au fait que c’est l’érotisme de certaines personnes, eh bien, c’est leur problème. Cela ne veut pas dire que je dois y contribuer. S’ils tirent du plaisir de l’humiliation des femmes, alors ils ont un problème ».
    Dans le livre de #Chris_Hedges, publié en 2009, L’empire de l’illusion : La Mort de la culture et le Triomphe du spectacle (LUX Éditeur), au chapitre 2, « L’Illusion de l’amour », Hedges consacre 33 pages à démanteler l’industrie du porno et à dénoncer les violences sexuelles
    « Dans notre société, on dit aux femmes qu’elles ont deux choix », déclare #Gail_Dines, autrice de Pornland : Comment le porno a envahi notre sexualité (#Éditions_LIBRE, 2020, Traduction : Nicolas Casaux). « Elles sont soit baisables soit invisibles. Être baisable signifie se conformer à la culture du porno, être sexy, être soumise et faire ce que l’homme veut. C’est la seule façon d’être visible. Vous ne pouvez pas demander aux adolescentes, qui meurent pour acquérir de la visibilité, de choisir l’invisibilité. »

    Traduction : #Tradfem
    Version originale : The price of the pleasure
    #système prostitutionnel #prostitution-prostitution_filmée #violences_masculines #exploitation_sexuelle

    Tradfem @tradfem
    • @reka
      Reka @reka CC BY-NC-SA 14/10/2020

      #pornographie

      Reka @reka CC BY-NC-SA
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  • @martin4
    martin dufresne @martin4 CC BY-SA 12/10/2020

    La vérité à propos de PORNHUB
    par JULIE BINDEL, dans The SPECTATOR, 2 octobre 2020

    Vous n’avez probablement jamais entendu parler de MindGeek, l’énorme société de technologie qui possède Pornhub : le site porno le plus populaire au monde. Pornhub, qui reçoit 42 milliards de visites par an, est actuellement critiquée pour son manque apparent de contrôles de sécurité. Six millions de vidéos par an sont publiées sur le site ; certaines, selon les militants anti-pornographie, montrent des viols et des gressions sexuelles. L’Internet Watch Foundation (IWF) a trouvé plus de 100 cas d’agressions d’enfants sur le site entre 2017 et 2019.

    Inspirés par la pétition créée par le mouvement Traffickinghub, qui a récemment atteint les deux millions de signatures, les militants portent la lutte contre la pornographie directement à la porte de MindGeek. Le 2 octobre, une manifestation, avec masques et distanciation sociale bien sûr, se déroule devant son siège britannique à Uxbridge, dans le Grand Londres, dans l’espoir que cette protestestation publique fasse pression sur le gouvernement pour qu’il accélère l’adoption de son règlement sur les préjudices en ligne et qu’il tienne les sites pornographiques responsables de leur complicité dans l’exploitation sexuelle. (...)
    ►https://tradfem.wordpress.com/2020/10/12/la-verite-a-propos-de-pornhub #pornographie #traite #agression sexuelle #pornhub #julie bindel #tradfem #pornland

    martin dufresne @martin4 CC BY-SA
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  • @etraces
    e-traces @etraces ART LIBRE 7/08/2020

    Google Ad Portal Equated “Black Girls” with Porn
    ▻https://themarkup.org/google-the-giant/2020/07/23/google-advertising-keywords-black-girls

    Searching Google’s ad buying portal for “Black girls” returned hundreds of terms leading to “adult content” Google’s Keywords Planner, which helps advertisers choose which search terms to associate with their ads, offered hundreds of keyword suggestions related to “Black girls,” “Latina girls,” and “Asian Girls”—the majority of them pornographic, The Markup found in its research. Searches in the keyword planner for “boys” of those same ethnicities also primarily returned suggestions related to (...)

    #Google #GoogleSearch #algorithme #pornographie #racisme #sexisme #discrimination #publicité

    ##publicité

    https://mrkp-static-production.themarkup.org/uploads/2020/07/single-search-2d-1200x628.jpg

    e-traces @etraces ART LIBRE
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  • @vanderling
    Vanderling @vanderling 27/07/2020

    ANTOINE BERNHART « UN THÉÂTRE DE LA CRUAUTÉ »
    ▻https://laspirale.org/peinture-658-antoine-bernhart-un-theÂtre-de-la-cruaute.html

    https://laspirale.org/header/658.jpg

    ANTOINE BERNHART « UN THÉÂTRE DE LA CRUAUTÉ »Meurtres, mutilations, viols, zoophilie et coprophagie, le travail d’Antoine Bernhart s’inspire de l’univers cruel des contes des frères Grimm, de la peinture de Balthus, du Marquis de Sade et des écrits de Georges Bataille.

    Ses premières planches sont publiées en 1968 dans la revue du groupe surréaliste Phases, avant qu’il ne s’en fasse exclure, au motif que ses dessins étaient jugés trop pornographiques. Au début des années 1980, il commence à utiliser la plume d’oie et l’encre de chine pour illustrer les thématiques qui feront sa notoriété : rock underground et contre-culture de l’époque, zombies ou scène de bondage. Il réalise ainsi de nombreuses oeuvres pour les pochettes de disques et les affiches de concerts des groupes tels que The Meteors, The Rattlers, The (...)

    #laspirale #pornographie

    Vanderling @vanderling
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 27/07/2020

      Graphzines - Antoine Bernhart
      ▻https://www.graphzines.net/auteur/antoine-bernhart

      Vanderling @vanderling
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  • @martin4
    martin dufresne @martin4 CC BY-SA 9/07/2020
    1
    @vanderling
    1

    GAIL DINES DÉNONCE UNE EXPLOITATION ÉHONTÉE DU RACISME DANS DES VIDÉOS HÉBERGÉES SUR PORNHUB
    ▻https://tradfem.wordpress.com/2020/07/09/titre-dune-video-de-lempire-pornhub-une-blanche-que-lon-baise-gem
    #PORNOGRAPHIE #RACISME #BLACK LIVES MATTER #GAIL DINES #CULTURE DU VIOL

    martin dufresne @martin4 CC BY-SA
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  • @etraces
    e-traces @etraces ART LIBRE 22/06/2020

    Not just nipples : how Facebook’s AI struggles to detect misinformation
    ▻https://www.theguardian.com/technology/2020/jun/17/not-just-nipples-how-facebooks-ai-struggles-to-detect-misinformation

    Automated moderation can be a blunt instrument – as users trying to post an image of Aboriginal men in chains discovered “It’s much easier to build an AI system that can detect a nipple than it is to determine what is linguistically hate speech.” The Facebook founder Mark Zuckerberg made that comment in 2018 when he was discussing how the company tackles content that is deemed inappropriate or, in Facebook terms, judged to be violating community standards. Facebook’s artificial intelligence (...)

    #Facebook #algorithme #manipulation #pornographie #censure #modération #COVID-19 #santé

    ##santé
    ▻https://i.guim.co.uk/img/media/f883d01d2d3fae6ff7a993fed26267357954a744/0_1014_2218_1330/master/2218.jpg

    e-traces @etraces ART LIBRE
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 31/07/2020

      la pornographie sur facebook

      https://64.media.tumblr.com/0b06c306a78e4123bca6b7322145a3c6/c14c5c5b64093715-f8/s540x810/e03f8a8379728425e7a0b4a85ce13ef637d3d07a.jpg

      Vanderling @vanderling
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  • @tradfem
    Tradfem @tradfem 19/06/2020
    3
    @vanderling
    @monolecte
    @tintin
    3

    #Robert_Jensen : Les hommes, la pornographie et le féminisme radical - la lutte en faveur de l’intimité dans le patriarcat
    ▻https://tradfem.wordpress.com/2020/06/19/robert-jensen-les-hommes-la-pornographie-et-le-feminisme-radical-

    En prenant au sérieux cette perspective critique de la pornographie, j’ai appris l’une des leçons les plus importantes de ma vie : le féminisme radical n’est pas une menace mais plutôt un cadeau pour les hommes. Lorsque j’ai rencontré la critique féministe radicale de la pornographie, elle m’est apparue comme l’analyse à ce jour la plus convaincante des contenus sexuellement explicites, d’autant plus vraie aujourd’hui et plus nécessaire que jamais. Dans cet article, je défends ces affirmations en m’appuyant non seulement sur les ressources disponibles, mais aussi sur ma propre expérience. Tout d’abord, un peu d’histoire.

    En 1979, au cours de ce qui est communément appelé aux États-Unis la deuxième vague féministe, Andrea Dworkin a publié Pornography : Men Possessing Women, un livre révolutionnaire analysant les bases patriarcales de cette industrie pornographique en pleine essor. Cette même année, le groupe Women Against Pornography a manifesté dans Times Square à New York pour protester contre l’acceptation de la pornographie par la culture dominante sous couvert d’une soi-disant éthique de libération sexuelle. Le mouvement féministe radical anti-pornographie naissant a exigé que les pornographes et les consommateurs principalement masculins rendent des comptes, et a contesté l’idéologie de gauche/libérale qui tentait de normaliser l’exploitation.

    Cette idéologie libertarienne utilisée pour défendre la pornographie faisait valoir des principes simples qui étaient particulièrement plaisants pour les hommes consommateurs : le sexe est une part naturelle de l’existence humaine, et la pornographie une simple illustration des variations de la sexualité humaine normale, produites pour des adultes consentants qui devraient avoir la liberté d’en regarder s’ils le souhaitent. La réponse des libertariens à la contestation féministe se résumait à : Ne soyez pas prude – il n’y a rien à craindre.

    Traduction : #Tradfem
    Version originale : ▻https://uncommongroundmedia.com/men-pornography-and-radical-feminism-the-struggle-for-intimacy-
    #pornographie #mobilisation_féministe #andrea_dworkin #gail_dines #violences_masculines

    Tradfem @tradfem
    • @martin4
      martin dufresne @martin4 CC BY-SA 20/06/2020

      Je crois que c’est Mad Meg qui a mentionné que les textes autobiographiques d’Andrea Dworkin étaient particulièrement convaincants. On annonce pour septembre chez New Press une biographie signée Martin Duberman qui semble passionnante:

      Bancroft Prize winner Duberman (Luminous Traitor) delivers an exhaustive, intimate, and admiring biography of feminist writer and activist Andrea Dworkin (1946–2005). He details Dworkin’s upbringing by socially conscious Jewish immigrants in New Jersey, horrific mistreatment by male prison doctors after being arrested for protesting the Vietnam War, and abusive marriage to a Dutch anarchist before tracking her “meteoric” rise in the feminist movement beginning with the publication of Woman Hating in 1974. Duberman highlights Dworkin’s reputation as a passionate—and sometimes shocking—orator, and documents her struggles to gain acceptance from her peers and mainstream publishers. He also notes her concerns over race and class divisions within the feminist movement, ties her presentation of gender as a social construct to an early understanding of trans issues, and categorizes her antipornography crusade as a pushback against the power of systemic patriarchy. Duberman defends against claims that Dworkin considered all intercourse rape, and discusses her relationships with men and women without shoehorning her into a queer identity. Selections from Dworkin’s letters and autobiographical writings bring her own self-assessment into the picture, helping Duberman to push back against detractors who saw her as a one-note antisexuality crusader. Through this empathetic and approachable portrait, readers will develop a new appreciation for Dworkin’s “combative radicalism” and the lifelong, unsteady truce she made with the feminist mainstream. (Sept.)

      ▻https://www.publishersweekly.com/978-1-62097-585-5

      martin dufresne @martin4 CC BY-SA
    • @monolecte
      M😷N😷LECTE 🤬 @monolecte CC BY-NC-SA 20/06/2020

      Toujours pas son œuvre massivement traduite en français et proposée en format numérique  ?

      M😷N😷LECTE 🤬 @monolecte CC BY-NC-SA
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 20/06/2020

      ça manque énormément (si on parle de dworkin)

      gwyneth bison @tintin
    • @tradfem
      Tradfem @tradfem 20/06/2020

      beaucoup d’articles ou d’allocutions d’andrea dwokin sont en ligne ici : ▻https://tradfem.wordpress.com/textes-dandrea-dworkin

      Tradfem @tradfem
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 20/06/2020

      oui merci, c’est déjà super, et c’est ces textes qui m’ont permis de la découvrir, mais je parle de ses autobiographies... On en trouve une en pdf par là :

      ▻https://seenthis.net/messages/823798

      mais ça manque en français...

      gwyneth bison @tintin
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  • @hlc
    Articles repérés par Hervé Le Crosnier @hlc CC BY 17/06/2020

    OnlyFans, l’Instagram payant qui pourrait révolutionner l’industrie porno
    ▻https://www.ladn.eu/media-mutants/reseaux-sociaux/onlyfans-instagram-payant-revolutionner-industrie-porno

    https://www.ladn.eu/wp-content/uploads/2020/06/camgirl.jpg

    Avec une augmentation de 75% des inscriptions durant le mois de mars (soit une estimation de 35 millions d’inscrits) et plus de 105 millions de tweets échangés sur le sujet, OnlyFans est bien LA plateforme sociale gagnante de la crise du coronavirus. Cet Instagram payant s’est imposé comme un nouvel acteur incontournable du Web et plus précisément de l’industrie du porno avec en ligne de mire, un modèle économique plus juste pour les femmes.
    Financement participatif du porno

    Créée en 2016 par une discrète entreprise technologique – Fenix International Limited – OnlyFans avait pour vocation première de concurrencer d’autres services de financement participatif comme Patreon ou Tipeee. Le principe est d’ailleurs sensiblement le même : une fois inscrits sur la plateforme, les internautes peuvent choisir un ou une créatrice de contenu et s’abonner à son fil d’actualité contre une somme allant de 5 à 20 dollars par mois. Mais, contrairement aux réseaux sociaux classiques, sur OnlyFans, il est possible de poster des photos dénudées ou des vidéos à caractère pornographique.

    OnlyFans est donc naturellement devenue une plateforme centrée sur cette pratique même si d’autres thématiques existent à la marge. « On peut dire que la nudité ou le porno constituent 85% du contenu, explique Jean-Baptiste Bourgeois, planeur stratégique chez We are Social. Mais on y trouve aussi des coach de yoga, des danseuses ou des performeuses notamment dans le domaine du strip-tease. Dans tous les cas, il faut comprendre que 95 % des créateurs de contenu sont des femmes et que leur public est composé de 95% d’hommes. »
    Quand Beyoncé adoube OnlyFans

    Jusqu’en 2020, la plateforme est restée relativement sous les radars. L’explosion a eu lieu à partir du mois de mars 2020, notamment à cause du confinement. Et on peut trouver plusieurs explications au phénomène. Subitement, les tournages de film porno ont été interdits et beaucoup d’acteurs de ce secteur vont se réfugier sur le réseau pour s’assurer des revenus. Un autre évenement va aussi assurer la popularité d’OnlyFans : il s’agit de la chanteuse Beyoncé qui, dans le morceau Savage remix sorti le 16 mars dernier, évoque le réseau dans son couplet « On that Demon Time, she might start a OnlyFans ». Le « Demon Time » en question est un phénomène qui a démarré lui aussi avec la crise du Covid-19 et avec la fermeture des clubs de strip-tease des grandes villes américaines. De nombreuses performeuses se sont alors réunies pour proposer des danses érotiques dans des vidéos live d’Instagram en partenariat avec l’application CashApp pour assurer une rémunération. « Avant Beyoncé, OnlyFans était un réseau de niche, poursuit Jean-Baptiste Bourgeois. Grâce à elle, c’est devenu une plateforme cool ».

    À partir de ce moment, le hashtag #OnlyFans s’est mis à décoller

    #Médias_sociaux #Pornographie #Only_Fans

    Articles repérés par Hervé Le Crosnier @hlc CC BY
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