• Réponse à #Kamel_Daoud : l’islam rigoriste n’a rien à envier à notre #Culture pornographique
    https://reflets.info/reponse-a-kamel-daoud-lislam-rigoriste-na-rien-a-envier-a-notre-culture-po

    Pointer du doigt les travers d’une société, et plus largement ceux d’une culture, voire d’une civilisation n’est pas sans risques. Ni sans conséquences. Même lorsque celui qui procède à cet exercice en est issu, et pense posséder une légitimité naturelle à l’analyser, ce sur quoi il a raison. Qui connaît le mieux une culture que […]

    #Tribunes #cologne #décadence #Islam #matérialisme_capitaliste #occident #porno #Réfugiés #sexe

  • Natasha Chart : La plus sexy des oppressions

    https://tradfem.wordpress.com/2015/12/18/natasha-chart-la-plus-sexy-des-oppressions

    Le journal britannique The Mirror affiche en gros titre « Femme de 91 ans asphyxiée lors d’un jeu sexuel avec un voisin marié ».

    Le meurtrier de cette femme l’a laissée étendue dans des draps ensanglantés, avec des ecchymoses sur le visage et ce que l’article décrit comme des « blessures génitales graves ». Le juge a libéré sous caution un voisin identifié par des tests d’ADN, puisque l’on « croit » que la femme est morte accidentellement. Qui croit cela et pourquoi ?

    Traduction française : Tradfem
    Article original : http://www.feministcurrent.com/2015/12/09/the-sexiest-oppression

    #Natasha_Chart est une organisatrice en ligne et une féministe vivant aux États-Unis.


    #femicide #pornographie #viol #violences #culture_du_viol #feminist_current #tradfem

  • Le non consentement sexuel féminin est-il excitant ? - Crêpe Georgette
    http://www.crepegeorgette.com/2015/12/01/non-consentement-sexuel-feminin-excitant

    Tout mon article servira à démontrer, au travers d’exemples, que le non consentement féminin est à la fois considéré comme sans importance mais aussi et surtout profondément excitant. Vous constaterez que les exemples sont fort différents les uns des autres ; quoi de commun entre un peintre du XVIIIème siècle et une comédie populaire des années 2010. C’est justement là que réside, à mon sens, l’intérêt de l’argumentation. Toutes nos pratiques culturelles sont imprégnées et ce, depuis des siècles, par l’idée que les violences sexuelles sont érotiques, séduisantes, excitantes et que le non-consentement féminin, en plus de n’avoir pas grande importance est excitant. Bien sûr il faudrait nuancer cette assertion ; cela dépend qui prend la femme qui ne consent pas. Pendant des siècles, le viol n’existait pas comme nous l’entendons aujourd’hui. Le viol conjugal n’existait pas et il était souvent fréquent que le viol par un inconnu soit considéré comme grave parce que le violeur avait pris le bien d’un autre, pas parce qu’il avait violé une femme.
    Nous vivons une situation assez schizophrénique ; d’un côté on nous explique que rien n’est pire que les violences sexuelles et de l’autre nous sommes conditionné-es à être excitées par leur représentation. Pire nous sommes mêmes fasciné-es par certains agresseurs sexuels si tant est qu’ils ne correspondent pas à l’image d’Epinal du violeur : Matzneff, Polanski, Deen, Cosby, Polac. La liste est longue.

    #culture_du_viol #sexualité #viol #hétérosexualité #érotisme #pornographie

  • Two More Women Join Stoya in Accusing Porn Star James Deen of Sexual Assault
    http://www.themarysue.com/stoya-two-others-accuse-james-deen

    [ Trigger Warning : Description d’agressions sexuelles et commentaires misogynes qui en découlent ]

    « That thing where you log in to the internet for a second and see people idolizing the guy who raped you as a feminist. That thing sucks. » - Stoya.

    Depuis que l’actrice a dénoncé l’homme qui l’a violée, 2 autres actrices se sont exprimées sur les agressions qu’elles ont également subis par ce dernier. Il leur en faut du courage parce que contrairement à ce que racontent les mascus, les femmes ont une double peine : Après une agression elles doivent aussi subir le contrecoup misogyne qui leur rappelle leur place de « sous-être (...)

    #feminisme

  • Au Brésil, « Masterchef Junior » déchaîne le harcèlement sur une mineure - Libération
    http://www.liberation.fr/planete/2015/11/15/au-bresil-masterchef-junior-dechaine-le-harcelement-sur-une-mineure_14131

    Dès l’émission inaugurale de la première saison, fin octobre, une des quatorze finalistes, Valentina, 12 ans, a fait le buzz avec des compliments sur son physique, mais aussi un grand nombre d’allusions sexuelles.

    Ce déchaînement pédophile a révolté la journaliste de São Paulo Juliana de Faria, qui anime le blog féministe Think Olga. Elle a lancé deux jours plus tard sur Twitter un appel aux témoignages, sous hashtag #PrimeiroAssedio, « premier harcèlement ». En quelques jours, des dizaines de milliers de messages lui sont parvenus, racontant la violence verbale exercée par des adultes contre des enfants, violence qui parfois est allée jusqu’au viol. La franchise avec laquelle les internautes ont exprimé leurs fantasmes en dit long sur leur sentiment d’impunité.

    #culture_du_viol #pedophilie @tradfem #lolita #culture_pédophile #violences_sexuelles #pornographie

  • What Happened ? Pornhub Reports Significant Traffic Drop in Single Day
    http://sputniknews.com/art_living/20151115/1030127030/pornhub-traffic-drop.html

    Fallout 4 is the fifth part of a series of post-apocalyptic open world action role-playing video games developed by Bethesda Game Studios. On the launch date, 12 million copies of the game — at a total value of over $750 million — were shipped, according to a company report. The number of concurrent players online at one time reached 470,000 users, breaking the record of 360,000 players set by Grand Theft Auto V.

    On vit dans un monde formidable. Apparemment, la sortie d’un jeu vidéo peut faire baisser l’affluence sur les sites pornos.

  • Alicen Grey : Vous commencez à savoir ce qu’est la culture du viol, mais savez-vous ce qu’est la culture pédophile ?

    https://tradfem.wordpress.com/2015/11/07/alicen-grey-vous-commencez-a-savoir-ce-quest-la-culture-du-viol-m

    Vous dites « je suis un pédophile, mais pas un monstre », et je suis entièrement d’accord. Vous n’êtes pas un monstre – vous êtes un homme. Un homme plutôt banal. Une représentation microcosmique des perversions les plus fréquentes du patriarcat.

    Traduction française : Tradfem
    Article original : http://www.feministcurrent.com/2015/09/28/youve-heard-of-rape-culture-but-have-you-heard-of-pedophile-culture
    En portugais : https://www.facebook.com/cecinestpascica/posts/10153040587230855

    Alicen Grey est une écrivaine reconnue et l’auteure de Wolves and Other Nightmares. Artiste et activiste passionnée, elle lutte pour amener son auditoire vers le changement et la guérison. Son blog : http://www.alicengrey.com et sur Twitter : https://twitter.com/AlicenGrey

    #culture_pédophile #pédophilie #violences_sexuelles #pornographie #culture_du_viol #alicen_grey #tradfem #feminist_current

  • A la recherche du porno perdue | Quand Le Tigre Lit
    http://www.quandletigrelit.fr/recherche-porno-perdue

    Il y a deux semaines, Kevin a entrepris de savoir où ses cadeaux d’anniversaire ont bien pu être cachés par ses vieux. Ces derniers s’étaient absentés de 14 heures à 19 heures le samedi pour le concours hippique de sa sœur. Cinq heures pour retourner (et remettre en place) l’appartement et avoir la réponse à sa question : recevrait-il oui ou merde le dernier CD d’Unlimited System et/ou le dernier Street Fighter ? Si Kevin n’a pas eu la réponse à ces légitimes questions, il en a eu une autre d’importance.

    En effet, Kev’ a débusqué nettement plus intéressant : dans un tiroir en hauteur (au-dessus des slips du daron) de la chambre parentale, sa main a buté sur une dizaine de cassettes VHS. Parce que le rangement est placé trop haut, il n’a vu la jaquette d’une cassette que lorsqu’il l’a saisie. Il aurait pu ramasser une grenade fumante que sa réaction aurait été la même : il l’a jetée au loin en poussant un cri de victoire. Puis a intensément réfléchi aux conséquences de cette exquise découverte. Vite oubliés, les cadeaux.

    Avec une précaution qu’il s’est étonné posséder, Kevin a ôté quelques vidéos encastrées, tout en notant sur un bloc note la position de chacune d’elle en vue de les remettre en bon ordre. Sur le lit king-size sentant bon le papa, il a passé en revue son butin en lisant avec un intérêt non feint la présentation des acteurs et synopsis des aventures dans lesquelles ceux-ci évoluent. Un nouvel univers venait de s’ouvrir, encore plus exaltant que de savoir ce qu’il se passait dans les toilettes des filles. Plongé dans ses rêveries, Kev’ a repris conscience qu’à 18 heures. Impossible de prendre le risque de voir ses parents arriver, il a tout remisé dans le tiroir en veillant à respecter la disposition initiale.

    Kevin finit d’exposer sa trouvaille face à une dizaine d’yeux globuleux, certains accusant un début de larmes reconnaissantes. Julien, Sébastien, Irénée, Adil et Stéphane n’en peuvent plus. Le mieux qu’Irénée et Sébastien aient connu se trouve sur une chaîne cryptée où, au-delà des froufrous électrisants, ils jurent avoir entendu des cris de femmes. Concernant Julien et Sébastien, ils ont eu chacun la chance, deux fois, d’escamoter la surveillance parentale pour contempler, le dimanche soir, un film de seins sur une petite chaîne hertzienne qui n’en finit pas de monter – leurs regards hagards le lundi matin étant une bonne indication de la réussite de leur entreprise.

    Bref, les cinq compères veulent en savoir plus. Il veulent voir pour y croire. Demandent ardemment à ce que Kevin fasse tourner la cassette comme il fait la tournée des claques aux petits cons de CP. Leur camarade proteste, hors de question qu’une telle bombe se balade dans la nature. Merde, imaginez ce qu’il peut arriver ! Soit son père (ou, pire, sa mère) s’en rend compte rapidement et il passera un putain de mauvais quart d’heure. Soit un de leurs parents tombera dessus et demandera des comptes. Et là, Kevin sait pertinemment que la juste pression exercée fera de ses amis des petites balances. Que tous les doigts se pointeront vers lui et sa famille. Son père qui ne protège pas assez ses travers et laisse le fiston les louer à ses camarades. Toute une réputation qui vole en éclat, entre postures bien entendues de vierges effarouchées et ricanements dans les dîners mondains – chaque pater familias pensant à préalablement verrouiller un peu plus sa cachette à coquineries.

    Deuxième solution, tout le monde va chez Kevin se repaître de ces vidéos. A proscrire. Déjà, la maman du jeune enfant est femme au foyer, et à part les concours de canassons de Julie (une fois par trimestre) il y a toujours quelqu’un dans la maisonnée. Ensuite, il habite en marge de la ville, Sébastien et Adil mettraient plus d’une heure pour faire l’aller retour. Enfin, et plus embêtant, il n’y a pas de lecteur VHS chez Kevin. Cette dernière excuse a correctement fait marrer le groupe, hélas c’est la stricte vérité : papa K. a bel et bien des cassettes de cul chez lui, néanmoins il n’a pas de quoi en profiter. « On confie bien le sérail à l’eunuque », dit Sébastien. Si personne ne comprend la remarque, le groupe sent bien que papa Kevin en a pris pour son grade.

    Les voilà donc dans une impasse.

    #porno #VHS

  • Shockingly, a Porno Featuring Hijabis and Niqabis Is Not Very Sensitive Toward Islam | VICE | United States
    http://www.vice.com/read/shockingly-a-hijab-niqab-porno-is-not-very-sensitive-toward-islam-253

    What specifically can we expect to see in Women of the Middle East?
    First and foremost, I want to make sure that everyone knows I’m not trying to incite another Charlie Hebdo incident. But [out four scenes] basically represent different women from different regions in the Middle East, different kinds of ideas. [We’re] trying to be a little titillating, obviously, with the different kids of traditional dress. But I started the video by [thinking]: For Middle Eastern women, veiling is not just a way to suppress her sexual freedom, it’s a symbol for all the human rights violations against these women like rape and domestic violence.

    [It’s about] taking the veil off. Not condemning the Muslim religion, but showing that it’s sexually suppressing for women not being able to show their bodies, being hidden. So we thought we’d hit on that taboo... with an undertone of social commentary.

    Ce morceau d’anthologie m’avait échappé ! Libérons les musulmanes par le porno...

    #pornographie #islamophobie

  • 20150926_IRC846.png (PNG Image, 580 × 852 pixels) - Scaled (68%)

    Trouvé sur Angry Arab. Bon, probablement pas beaucoup de valeur statistique mais une petite surprise si on se tourne du côté des préférences de recherche. La « spécialité » française, c’est la « beurette » ! Voilà qui en dit très très long sur les phantasmes du mâle hexagonal... (Cf. les commentaires, mérités ou non on s’en fout, sur Rachida Dati et autres Vallaud-Belkacem...)

    #france #pornographie #phantasmes

  • La femme sex-toy pour l’Obs : une bouche, un sexe.
    http://blogs.mediapart.fr/blog/patricjean/160915/la-femme-sex-toy-pour-lobs-une-bouche-un-sexe

    L’image évoque toute la question de la pornographie et des sex toys intelligents que permettent la vidéo immersive, l’intelligence artificielle, etc

    Le docteur Richardson (une spécialiste des robots à la De Montfort University, Leicester) vient de lancer une campagne de sensibilisation à cette question. D’après elle, les sex-toys d’un nouveau genre ne font que « renforcer les stéréotypes à propos des femmes ».

    L’article de Patric Jean n’est pas terrible pour cause d’ #androcentrisme.
    #male_gaze #publicité #bad_market #misogynie #pornographie #pedocriminel

    • D’accord avec toi @mad_meg, #bienvu c’est pénible ce glissement du texte vers un lectorat qui serait uniquement masculin, et en exclut donc les femmes autant que de la relation critique. Cette « population » qui devient ON se transforme en NOUS et passe finalement au JE. Ce n’est certainement même pas conscient chez Patric JEAN …

      Comme on le voit ici, à très bas coût, il sera bientôt possible d’offrir à la population l’illusion d’une jouissance permanente avec des tops models totalement obéissants et que l’on pourra traiter comme on le désire. Chacun selon ses goûts, on pourra donc s’isoler du monde et de ses réalités (dont d’autres s’occuperont pour nous) pour se perdre dans une constante satisfaction pulsionnelle. Ceux qui ont vu Matrix savent de quoi je parle...

      Mais c’est aussi crispant par l’oubli de rappeler les chiffres de la consommation pornographique essentiellement masculine.

    • Mais c’est aussi crispant par l’oubli de rappeler les chiffres de la consommation pornographique essentiellement masculine.

      Ben justement, si on parle de chiffres, ça ne correspond pas forcément à ce que tu dis : au niveau « qualité » (hum) on peut possiblement dire que les « scénarios », les modes de sexualité montrées, sont conçus et destinés en priorité pour des hommes hétéros (c’est assez clair quand même), mais par contre au niveau quantité : les statistiques montrent que 1/3 (un tiers !) des visites des sites porno sont des visiteuses. Donc ça reste une majorité de mec, mais c’est fort loin d’être anodin et de n’être que essentiellement masculin. Et la proportion augmente chaque année un peu plus apparemment.

    • C’est pas le manque de statistiques qui me pose problème. Moi je m’etais arréter sur l’argument « ca fait aussi du mal aux hommes » qu’utilise Partic Jean et que je trouve mauvaise. Ca me fait pensé que si le sexisme ne faisait un jour plus de mal aux hommes alors les hommes n’auraient pas à s’en occuper, ou que dans les domaines qui n’affectent pas les hommes la lutte contre le sexisme serait moins importante. J’ai pas été plus loin de son texte.

      Que les femmes soient un tiers à consommer du porno me surprend peu. Les femmes sont elevés dans la culture du regard masculin et de la sexualité masculine, le porno en fait parti.

      La chose qui me frappe dans l’extrait posé par @touti c’est la parenthèse « (dont d’ autres s’occuperont pour nous ) ». Ces Autres sont à mon avis les femmes et les personnes racisées. Le Nous c’est les hommes à qui s’adresse Patric Jean et ce fantasme de la femme robot sexuel qu’on peu brutalisé sans crise de conscience. Ce fantasme me fait l’effet d’une menace. et ce fantasme n’est pas rare.

    • Il me semble que Patrick Jean s’emploie à noyer le poisson, par rapport au texte de Kathleen Richardson, laquelle articule (ou déconstruit) un minimum cet aspect de la technolâtrie avec le masculinisme. Dans celui de P Jean il ne reste plus que la vague crainte d’un client de ce marché devant la « matrice » (tiens, encore un mot pas innocent du tout, question genre...) A se demander s’il ne cautionnerait pas quasi-ouvertement le recours à de tels ’jouets".

      En fait, je me demande pourquoi il poste ça : il me semble qu’il y avait amplement de quoi dire quant à un magazine qui prétend s’adresser aux femmes avec un tel titre et une telle couv ;
      et qu’il y avait amplement de quoi dire quant aux hommes qui auraient soi-disant « besoin » de pareils « sextoys ».

      Il me semble qu’au moins sur ce sujet, la question de la domination technologique vient en partie après, comme une conséquence de l’existence de ces hommes, et de l’entretien et du développement de leur masculinité dans ce qu’elle a de plus brutal et dominateur par des « besoins » qu’un sordide délire posthumaniste s’offre ainsi de satisfaire.

      Bref, au mieux, en le considérant avec indulgence, le texte de P. Jean me semble très mauvais, et ni fait ni à faire.
      Et je ne pense pas que l’indulgence soit ici de mise.

    • http://www.liberation.fr/economie/2015/09/18/les-robots-sexuels-dans-le-viseur-de-chercheurs-anglais_1385156

      Les robots sexuels dans le viseur de chercheurs anglais

      « Nous croyons que le développement de robots sexuels augmente l’objectivation des femmes et des enfants », peut-on lire sur la page dédiée à l’initiative. Ou encore : « Cette ambition de robot sexuel est soulignée par une référence aux échanges prostituée/client qui repose sur l’unique reconnaissance des besoins et désirs des acheteurs, les vendeurs étant réduits à l’état de choses (comme les robots). » Le groupe craint aussi une consolidation des inégalités entre hommes et femmes, du fait de la reproduction avec les robots d’un rapport de soumission.

  • #Book: The Dark Net - Inside the Digital Underworld - Jamie Bartlett (2014)

    Nominated for the Debut Political Book of the Year, the Transmission Prize and the Orwell Prize.

    Jamie Bartlett is a journalist, blogger, incl. for The Telegraph, and director of the Centre for the Analytics of Social media (CASM).
    http://seenthis.net/messages/405569
    http://www.jamiebartlett.org

    In this book Jamie Bartlett explains why he thinks the dark net is becoming mainstream. He shows the shift towards a consumer centric attitude (customer service), where sellers build and care about reputation, customer reviews & grading. Prices go down, quality goes up. In order to appeal some even go as far as advertising “fair trade” organic cocaïne, straight from the Guatemalan farmer instead of the drug lords.

    The dark net is going mainstream. #Aphex_Twin announced his last album directly on the dark net. Even #Facebook has a dark net .onion entry in order to be accessible via TOR.

    Bartlett predicts that social media going to expand its foothold in the dark net.

    http://www.amazon.fr/Dark-Net-Jamie-Bartlett/dp/0434023175

    Beyond the familiar online world that most of us inhabit—a world of Google, Facebook, and Twitter—lies a vast and often hidden network of sites, communities, and cultures where freedom is pushed to its limits, and where people can be anyone, or do anything, they want. This is the world of Bitcoin and Silk Road, of radicalism and pornography. This is the Dark Net.

    In this important and revealing book, Jamie Bartlett takes us deep into the digital underworld and presents an extraordinary look at the internet we don’t know. Beginning with the rise of the internet and the conflicts and battles that defined its early years, Bartlett reports on trolls, pornographers, drug dealers, hackers, political extremists, Bitcoin programmers, and vigilantes—and puts a human face on those who have many reasons to stay anonymous.

    Appearance on #TED: "How the mysterious dark net is going mainstream"
    https://www.ted.com/talks/jamie_bartlett_how_the_mysterious_dark_net_is_going_mainstream?language=en

    Talk at Google:
    https://www.youtube.com/watch?v=cZzXEa9kpnE

    Book reviews:

    In French:

    http://www.ladn.eu/actualites/the-darknet,article,24787.html

    Ce livre est un voyage auprès des âmes sombres du net, des sous-cultures créatives, et des plus destructrices. Au nom de l’innovation, de la liberté, de l’anonymat, ou encore de la perversité et de la haine, les sans-visage mènent une vie parallèle dans un monde souvent discuté, jamais vraiment exploré.

    In English:

    - http://www.independent.co.uk/arts-entertainment/books/reviews/the-dark-netinside-the-digital-underworld-by-jamie-bartlett-book-revi

    https://www.newscientist.com/article/mg22329820.900-meeting-the-human-faces-of-the-internets-dark-places

    http://www.spectator.co.uk/books/9308562/the-dark-net-by-jamie-bartlett-review

    https://www.washingtonpost.com/opinions/a-tour-of-the-webs-other-dark-side/2015/06/25/19a5ee2e-0e11-11e5-9726-49d6fa26a8c6_story.html

    http://blogs.lse.ac.uk/lsereviewofbooks/2014/10/15/book-review-the-dark-net-inside-the-digital-underworld-by-jamie-bartlet

    List of articles written by Jamie Bartlett:

    http://www.jamiebartlett.org/articles

    –On Ross Ulbricht (Silk Road) conviction & Doctor X. Salon, June 2015
    – How we became obsessed with online privacy The Telegraph, June 2015
    – On the Nathan Barley World of the Klout Obsessives The Telegraph, April 2015
    – Bot army unleashed onto Twitter to troll online misogynists, The Telegraph, April 2015
    – Islamic State and encryption: what to do? The Telegraph, March 2015
    – Ethereum: ethical hackers plot to transform the internet The Spectator, March 2015
    – The radical right are now the most vocal supporters of free speech. How? Little Atoms, February 2015
    – Cover of Darkness: will online anonymity win out? Aeon, January 2015
    – Why do we feel the need to tweet after tragedy? The Telegraph, January 2015
    – Review of Hacker, Hoaxer, Whistleblower: The Many Faces of Anonymous The Guardian, November 2014
    – Review of Russell Brand’s ’Revolution’ Harry’s Place, November 2014
    – Most British Jihadis are dumb thrill-seekers The Telegraph August 2014
    – How the dark net drugs markets work Sunday Times, August 2014
    – Battle of ideas moves online New York Times, August 2014
    – Wikiwashing and paid Wikipedia editors The Telegraph, July 2014
    – My interview with Tommy Robinson The Telegraph, June 2014
    – Mo Ansar and the rise of the bogus social media commentator The Telegraph, May 2014
    – On the Anarcho-primitivists The Telegraph, May 2014
    – On the Transhumanists The Telegraph, April 2014
    – Dying online: digital grieving and Twitter grief The Telegraph, April 2014
    – Algorithms will soon rule the world The Telegraph, March 2014

    #dark_net #darknet
    #TOR
    #drugs #pornography #terrorism #anonymity #privacy
    #silk_road
    #moral_ambiguity
    #bitcoin #multi-signature_escrow

  • prenez ce couteau (L’objectification est la raison principale pour...)
    http://prenezcecouteau.tumblr.com/post/128106125523/lobjectification-est-la-raison-principale-pour

    L’objectification est la raison principale pour laquelle le comportement d’un abuseur a tendance à empirer avec le temps. Alors que sa conscience s’adapte à un niveau de cruauté - ou de violence - il construit le prochain. En dépersonnalisant sa partenaire, l’abuseur se protège des émotions humaines naturelles de culpabilité et d’empathie, pouvant ainsi s’endormir la conscience tranquille. Il s’éloigne tant de l’humanité de sa partenaire que les sentiments de cette dernière ne comptent plus, ou cessent tout simplement d’exister. Ces murs ont tendance à grandir avec le temps, alors après quelques années de relation mes clients peuvent atteindre un point où ils ne ressentent pas plus de culpabilité à dégrader ou menacer leur partenaire que nous en ressentirions après avoir donner un coup de pied rageur à une pierre dans l’allée.

    Objectification is a critical reason why an abuser tends to get worse over time. As his conscience adapts to one level of cruelty–or violence–he builds to the next. By depersonalizing his partner, the abuser protects himself from the natural human emotions of guilt and empathy, so that he can sleep at night with a clear conscience. He distances himself so far from her humanity that her feelings no longer count, or simply cease to exist. These walls tend to grow over time, so that after a few years in a relationship my clients can reach a point where they feel no more guilt over degrading or threatening their partners than you or I would feel after angrily kicking a stone in the driveway.

    Why Does He Do That? Inside the Minds of Angry and Controlling Men by Lundy Bancroft
    #objectivation #male_gaze #violence #domination #pornographie #prostitution #amour

    • La réticence [des hommes violents avec leur partenaire à changer] ne peut pas être vaincue par la femme en le persuadant gentiment, en le suppliant ou en l’amadouant. Je suis désolé de dire que je n’ai jamais vu ce type d’approche réussir. Les hommes qui font des progrès significatifs dans mon programme sont ceux qui savent que leur partenaire les quittera définitivement s’ils ne changent pas, et ceux qui sont en probation et dont l’agent-e de probation exige qu’ils travaillent vraiment sur leur comportement abusif. En d’autre termes, l’impulsion initiale pour changer est toujours un facteur externe plutôt qu’une décision personnelle. Même lorsqu’un homme est sincèrement désolé du mal qu’il a fait à sa partenaire par son comportement, je n’ai jamais vu son remords seul suffire à faire de lui un client sérieux.

      http://mamie-caro.tumblr.com/post/128978211639/la-r%C3%A9ticence-des-hommes-violents-avec-leur

  • « Spécial sexe » dans les kiosques : porno, violence. Loin d’être coincée, je suis consternée - le Plus
    http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1406499-numero-d-ete-special-sexe-sous-couvert-de-culture-on-nous-

    On apprend que le réalisateur avait débuté son activité dans des clubs échangistes qui l’ont viré.

    Parmi les participants du jour, il y a justement un gars déçu du libertinage, qui explique ce qui ne lui convenait pas : là-bas, il fallait s’efforcer un minimum de séduire, alors qu’au moins « ici c’est juste la boucherie : n’importe qui peut venir, la meuf ne dira jamais non ».

    Ils ont tous compris le bon plan, dans la région, les types en manque préfèrent aller sur un tournage plutôt que d’aller aux putes. Un des branleurs explique que pour se faire des filles, la drague, le cinéma ou le restau, ça l’ennuie, tandis qu’ici « c’est clair : tu viens, tu gicles et basta ».

    #porno

  • Les 400 culs - Le #porno #féministe n’existe pas - Libération.fr
    http://sexes.blogs.liberation.fr/2015/08/12/le-porno-feministe-nexiste-pas

    « Lorsque j’ai réalisé mes premiers films X, je pensais que les bases de l’égalité homme-femme étaient suffisamment consolidées pour que nous puissions faire avancer le combat sur ce territoire. Les luttes anti-porno des féministes conservatrices me paraissaient ringardes et dépassées : je n’avais pas conscience du travail qu’il restait à faire. La révolution sexuelle n’est vieille que de quarante ans. Quarante ans, c’est trop court pour déconstruire des siècles de domination masculine. » Pour Ovidie, la pornographie n’a rien permis de changer : « Ce n’est qu’une forme de #sexisme devenu sexy qui reproduit des schémas archaïques ». Elle garde cependant l’espoir que la pornographie « féministe » permette de faire évoluer les mentalités. Son activisme consiste à réaliser des films où femmes et hommes se désirent mutuellement, dans un contexte propice aux aux gestes tendres et au vrai partage. Tout comme la réalisatrice suédoise Erika Lust, qui milite pour un « meilleur » porno (c’est-à-dire féministe), elle pense qu’il faut produire du cinéma de sexe éthique, avec de vraies valeurs.

    • des films où femmes et hommes se désirent mutuellement

      dans la mesure où il s’agit de films et de comédiens qui suivent le scénario, il s’agirait plutôt qu’ils fassent semblant de se désirer non ? à moins qu’il s’agisse à la base de partenaires dans la vraie vie, qui pour l’occasion se font filmer.

    • Les spectateurs non seulement sont capables de faire la distinction entre fiction et réalité mais ils tirent leur plaisir du léger hiatus qui sépare le porno d’un documentaire. L’aspect « authentique » des relations sexuelles fournit matière à jouissance : tout en sachant qu’il s’agit d’acteurs, le spectateur aime s’imaginer qu’il regarde du « vrai » et que « pour de vrai » les femmes pourraient dans la vraie vie s’offrir à lui comme des chattes en rut… ainsi que font les pornstars à l’écran. Tout ça n’est qu’un jeu imaginaire bien sûr. Comme tous les jeux, qui consistent à brouiller les frontières trop nettes que nous posons entre les catégories (bien-mal, mâle-femelle), la simulation pornographique est un espace de liberté qui consiste pour le spectateur / la spectatrice à se projeter dans une scène excitante car interdite.

      Les 150000 agressions sexuelles par an en France témoignent du contraire. Ca m’étonnerait que le publique du porno soit au courant des déchirures anales et autres joyeuseté coupé au montage. en plus aujourd’hui les hommes croient que les femmes sont imberbes a cause de ces films de proxénètes. Quelle hypocrisie ce blog de 400cul a chaque fois ca me sidèré.

    • Le probleme ici c’est surtout qu’Ovidie n’arrive plus à gagner son beurre avec ses films et que le label « féministe » n’illusionne plus personne, elle y compris. C’est tout de même sympas de sa part de reconnaître qu’elle se trompe depuis 15ans.
      Il y aussi un truc qui me chiffonne c’est cette idee que le porno feministe est pour les femmes et que Ovidie s’indigne que les femmes fantasme sur la soumission. Marc Dorcel déclarait la même chose quant il a ouvert son site porno pour femmes. Il disait mettre du porno soft car les femmes sont plus douces .... Essentialime bonjour. Je croi qu’il a fait un bide.

      Il y a aussi les effets de la pornographie (prostitution filmé et non sexualité filmé) sur l’imaginaire sexuel des femmes elles memes (et le truc classique de retourner la violence contre soi qu’on apprend aux femmes) et le phénomène d’escalade de violence que provoque l’accoutumence a ces images. En fait la prostitution filmé (c’est à dire le film de pénétrations obtenues sous la contrainte de l’argent) ne peut pas être féministe.

      Et pour la traduction de Dworkin je suis bien d’accord avec toi @thomasbhernard

      Édit : quelques #statistiques sur le porno en France
      https://penseesdoutrepolitique.wordpress.com/2009/09/10/les-francais-accrocs-a-la-pornographie
      97% des hommes ont deja regarder un film porno. 79% des personnes qui regardent du porno le trouvent « malsain » mais l’article ose se réjouir de la forte consommation d’images jugé « malsaine » dans les couples

      36% ont fait l’amour devant un film X, et 44% jugent que ces spectacles ont un impact positif sur leur désir.

      completement paradoxales ces réponses.

    • @koldobika, reste que sur toutes les plateformes qui font « comme youtube mais en porno », il y a de plus en plus (photos ou vidéos) de trucs amateurs postés par les gens, et que la recherche de trucs amateurs est dans le top des recherches, notamment en France. Et il me semble avoir lu (c’était pour les EU) qu’un peu plus de la moitié des uploads (de trucs persos) étaient faits par des femmes.

      C’est à prendre en compte mais bien sûr en gardant à l’esprit que plein de trucs amateurs reprennent peu ou prou les mêmes codes au final. Au moins, mis à part certaines exceptions, on peut se dire qu’il s’agit là de gens qui ne sont pas acteurs et qui ont vraiment du désir l’un⋅e pour l’autre.

    • le porno amateur c’est la meme escroquerie que le porno feministe ou la prostitution consentie. une espece de label qui donne bonne conscience a des consommateurs bien trop concient de leur ignominie. On ne peu jamais savoir face à des images filmes de pornographie si on n’est pas face à un viol. Tout comme un prostitueur ne peu jamais savoir si il comment un viol. Prétendre le contraire est de l’hypocrisie. Il n’y a pas de porno safe a part celui qu’on a fait soi meme tout seul, avec soi tout seul et qu’on se regarde avec soi meme ou en compagnie de ses partenair.e.s consentants. Et quant à se filmer avec son ou sa partenaire vu le nombre de porn-revenge pratiqué par les ex-hommes je déconseille vigoureusement la pratique car le porno est aussi une arme sociale contre les femmes.

      @thomasbhernard on s’est croisés :) mais nous sommes bien d’accord.

    • Sans vouloir faire dans la provocation, il y a quelquechose qui me gêne dans l’équivalence entre viol et travailleuses du sexe (prostituée ou actrice porno). Bien que ces dernières soient fréquemment victimes de viol, il me semble que l’on ne peut pas confondre une relation sexuelle non consentie, généralement accompagnée de violences physique et psychologique, et une relation sexuelle rémunérée. Dans ce dernier cas, peut-on, et doit-on, différencier la nature de l’exploitation sexuelle de la nature de l’exploitation salariale ? Car il me semble que, dans les deux cas, nous avons à faire à l’exploitation du corps de l’autre, même si notre société distingue le sexe du reste du corps.
      Si ma réflexion vous choque, j’en suis désolé, et je vous prie de ne pas m’insulter mais plutôt de m’expliquer mon erreur d’analyse.
      Il ne faudrait pas non plus tomber dans un relativisme exacerbé en se servant de mes propos : la sacralisation du sexe, et notamment du sexe féminin est un fait, qu’on le condamne ou non, ce qui implique un degrès de souffrance qualitativement plus fort dans le cas de l’exploitation sexuelle par rapport à l’exploitation du travail en général.

      Merci de votre compréhension.

    • Si vous posez la question à Merteuil elle répondra différemment de moi.
      De mon point de vue, une relation sexuelle rémunéré est non consentie. Et une relation sexuelle non consentie est du viol. On consent à l’argent, pas au sexe. La pornographie est de la prostitution filmé. Et à mon avis la prostitution et le porno ce n’est pas du sexe mais de l’oppression qui utilise le sexe comme outil d’asservissement. C’est pour cela qu’un porno féministe est impossible tout comme un porno éthique et pareil pour la prostitution.

      Pour la sacralisation du sexe « notamment féminin » quant on parle de porno ca me fait tout drôle. Je vous rappel que selon l’OMS dans le monde une femme sur 5 a subit une agression sexuelle avant ses 15 ans, une femme sur trois au court de sa vie alors niveau sacralisation du sexe des femmes on fait mieux. 96% des agresseurs sont des hommes 94% des victimes des femmes. En France les statistiques sont les même que celles de l’OMS, on compte environ 150000 agressions sexuelles par an.
      Moi il me semble que c’est seulement l’anus des hommes cis-hétéros qui est sacralisé par notre culture, pas le sexe des femmes, mais si je dit cela je passe pour une mal-polie.

      Et pour la comparaison entre « travail de sexe » et « travail du non-sexe » c’est une des raisons pour laquelle je refuse d’utiliser l’expression « travail du sexe » car cette comparaison est absurde et permet justement l’invisibilisation du viol normalisé qu’est la prostitution. C’est bien d’ailleur pour cela que les asso type STRASS et les prostitueurs utilisent cette expression et pas les abolitionnistes.

      Le travail tel qu’il est aujourd’hui c’est deja pas acceptable si on est anti-capitaliste. La prostitution est une survivance de l’esclavage et du viol rémunéré (comme le mariage l’est aussi et en fait le complément)

    • Ben hé, ouais c’est vrai hein, quelle différence ? Mais qu’ils sont cons ces prolos à se casser le cul à l’usine pour un SMIC en 35h/semaines alors qu’ils pourraient se faire la même chose en quatre fois moins de temps si ils tapinaient !
      Grumpf.
      Alors la différence fondamentale en fait, c’est que la prostitution engage une particularité sexuelle. Et le sexe, c’est quelque chose de légèrement plus engageant* que, par exemple, une poignée de main, du moins en général. Il y a des gens, et donc des putes, pour lesquels c’est du même acabit. Dans ce cas là ça roule pour eux pour ce qui est de cette problématique, c’est cool. Mais il y a aussi des gens, beaucoup, et donc des putes, beaucoup, pour lesquels le sexe engage un peu plus que des tâches non sexuelles.
      Ce n’est pas une question de « jugement moral de l’activité sexuelle », c’est un fait. C’est d’ailleurs ce même fait qui conditionne la possibilité de déposer une plainte pour agression sexuelle si quelqu’un vous colle une main au cul sans consentement. (Chose qui n’est donc pas envisageable si on vous touche plutôt le bras) C’est ce même fait qui donne un caractère particulier à l’agression qu’est le viol, ce qui permet par exemple de reconnaître et de prévenir divers symptômes post traumatiques à celles et ceux qui en sont victimes.

      http://melange-instable.blogspot.fr/2013/12/prostitution-vous-netes-pas-mes-allies.html

    • Merci pour vos éclairages.

      Quelques précisions :

      Quand je parle de sacralisation, je ne dis pas que ce qui est sacré est respecté, au contraire, je crois plutôt que le sacré est une cible privilégiée pour la violence : il n’est pas rare qu’un groupe religieux s’en prenne à ce qu’il y a de plus sacré chez l’hérétique. Dans ce sens, le sexe féminin est sacralisée de nos jours comme l’était la totalité du corps féminin il y a encore peu de temps. D’ailleurs, si je ne m’abuse, la France est l’un des rares pays où le monokini sur la plage n’est pas illégal.
      Quand au fait de toucher le cul ou le bras (@koldobika ), j’ai été surpris au Maroc de voir que les hommes avait très souvent les bras couverts, cette partie du corps semblant alors devoir être tout aussi caché que leur sexe (je me rends bien compte de l’aspect anecdotique de cette remarque par rapport au sujet que nous traitons, mais elle illustre comment les membres peuvent ou non être montrés selon les cultures).
      Cela dit,@mad_meg, en suivant votre conception du sacré, comme ce qui est inviolable (pardon si je déforme vos propos ou si le terme est malvenu), je vous rejoins sur le fait que

      c’est seulement l’anus des hommes cis-hétéros qui est sacralisé par notre culture

      Quand je parle de travail, je pense plutôt à ceux qui meurent sur leur lieu de travail plutôt que ceux qui bossent aux 35 heures ou au CNRS.

      Je note, par ailleurs, que dans l’extrait proposé par @thomasbhernard la chercheuse nous dit :

      De même, la métaphore qui consiste à dire qu’on ne se prostitue pas plus en louant l’usage de son sexe que celui de ses mains, ses jambes ou son cerveau. Franchement, pour l’instant, je suis incapable de justifier théoriquement ma position. Je ne sais pas quelle est la différence, c’est vrai.

      Et puisqu’il s’agit « d’une manière affective » d’aborder le sujet, je me demande donc si la séparation entre violence physique et violence sexuelle ne risque pas d’ajouter au traumatisme de la victime de viol, dans le sens où s’ajoute à la violence physique, un sentiment de « souillure », rendant plus difficile encore le traitement psychologique.
      Ce n’est donc en aucun cas pour minimiser le crime que je pose la question, mais au contraire pour minimiser l’impact du crime sur l’affect de la victime.

      Mais peut-être que ma position de mâle blanc né dans une #culture_du_viol ne me permet pas d’appréhender correctement ce sujet. Je pris donc les victimes de me pardonner si mes propos sont douloureux, et je m’abstiendrais alors de les rendre publics.

    • @koldobika Je viens de lire l’article que vous me proposez, et qui est plus nuancé que le laisse à penser les quelques lignes que vous extrayez. L’auteure conclut par :

      Moi, travailleuse du sexe qui ne proclame ni honte, ni fierté, qui suis entrée en prostitution par stratégie de contournement du travail traditionnel et comme palliatif à la précarité , qui n’ai pas le privilège de pouvoir revendiquer un « libre choix » par « amour du sexe », qui supporte le stigma putophobe et les conséquences des lois répressives, qui n’ai pas cette disposition qui lui permet de supporter des rapports sexuels non désirés sans en être un minimum marquée et blessée, qui brûle donc de colère quand elle vous entend affirmer que c’est tout à fait comparable de passer des produits devant une caisse ou de se taper une queue , qui ne cracherais pas le moins du monde sur une aide adaptée (donc financière, oui, je lâche le fait) concrète, non intrusive et crédible, je vous le dis sans détour : Vous n’êtes pas mes allié(e)s.

      Les deux passages soulignés par moi montrent que l’on peut « faire le choix » de la prostitution pour ne pas participer au travail traditionnel, « choix » qui n’est pas envisageable pour toutes. Dois-je préciser que je n’ai jamais pensé que l’on devenait prostituée par plaisir ? Le second rejoint mon commentaire précédent sur la nature du travail dont je parlais : celui qui fouille les poubelles dans le but de trouver des matériaux à vendre ou qui nettoie les chiottes des propriétaires de yacht se sent lui aussi « un minimum marquée et blessée ». Voyez comme les exemples qui me viennent en tête ont à voir avec la saleté, je pourrais les effacer pour en trouver d’autres mais je pense qu’il est plus informatif de les garder en vue de leur interprétation.

      Merci de votre compréhension

      PS : Par ailleurs je souscris aux dires de l’auteure quand elle dit :

      Moi ce que je trouve super réac, c’est de glorifier le cul comme LE plaisir absolu, surtout quand je vois combien il est AUSSI synonyme de traumatismes et de souffrances chez les gens, les femmes plus particulièrement. Le plaisir et le cul, ça ne tombe pas forcément du ciel, pour beaucoup, c’est quelque chose qui s’apprend, qui s’apprivoise, qui se cherche. C’est loin d’être forcément super évident.

      PS2 : Ne pouvons-nous pas critiquer une pensée comme étant de l’ordre de la morale sans pour autant nier la réalité de ses effets, ni taxer de moralistes ceux qui la véhiculent ? Il s’agit, pour ma part, d’identifier l’une des composantes de la réalité sociale et psychologique, dans le but d’en comprendre les effets, voire de les corriger si besoin est.

  • « La diffusion de mon film À quoi rêvent les jeunes filles ? sur France 2 le 23 juin dernier dans la case Infrarouge [Seenthis en parle en http://seenthis.net/messages/383979 ] a ouvert bien des débats, et j’en suis vraiment ravie. Il n’y a qu’à travers les débats et discussions que les choses avancent, pour ma part la mission a donc été accomplie. En revanche, là où je me suis sentie irritée, c’est lorsque j’ai constaté que certain(e)s se l’étaient réapproprié afin de nourrir des plaidoyers anti-porno. Un raccourci simpliste qui évite soigneusement les problèmes de fond évoqués qui, je vous l’accorde, exigent un tout petit peu plus de concentration qu’un simple « porno = pas bien ». C’est un peu l’histoire du sage qui montre la lune et de l’idiot qui regarde le doigt. »

    http://www.metronews.fr/blog/ovidie/2015/07/14/non-le-porno-nest-certainement-pas-la-seule-source-dinjonctions

    #sexe #féminisme #Ovidie #pornographie #censure

  • Sophie Davant travaille le deuil de Jean-Pierre Coffe - Ma vie au poste - Télérama.fr
    http://television.telerama.fr/television/sophie-davant-travaille-le-deuil-de-jean-pierre-coffe,128519.php

    « On va en savoir plus sur cette histoire, promet l’animatrice. Vous aviez tout juste la vingtaine quand vous avez appris que vous alliez devenir père. » « Quand j’ai appris que ma femme était enceinte, je l’ai pas trouvée si réjouie que ça », confie Jean-Pierre Coffe, aussi défait qu’une terrine avariée. « Le ventre s’arrondissait, vous aviez envie de le toucher ce ventre, rappelle Sophie Davant. Comment elle réagissait quand vous le touchiez ? » Ça la chatouillait ou ça la gratouillait ? « Elle disait rien mais ça l’agaçait. » « Est-ce qu’elle avait préparé la chambre ? » « Rien du tout. Pas de layette, rien. » C’est louche.

    #pornotv #IVG

  • “A quoi rêvent les jeunes filles ?”, le doc d’Ovidie, disponible sur YouTube - Télévision - Télérama.fr
    http://television.telerama.fr/television/a-quoi-revent-les-jeunes-filles-le-doc-d-ovidie-disponible-sur-y


    https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=kZQ8GUDscOw

    « Avant, on encourageait les femmes à être de parfaites fées du logis, maintenant on leur explique que la #fellation est le ciment du #couple », déplore Ovidie, tout en donnant la parole à une poignée de filles qui gravitent entre la culture web et celle du #porno, judicieusement choisies pour leur lucidité et leur recul. « On parle beaucoup plus de sexe mais pas forcément de manière plus libérée : la #sexualité exacerbée apparaît comme une obligation », juge Clarence, qui signe le blog Poulet rotique. La gameuse Mar_Lard déplore, elle, le sexisme qui règne dans l’univers du jeu vidéo, où le corps féminin se réduit à des « filles à gros seins ». Et Ortie, adepte des selfies érotiques qu’elle poste sur le Web, concède que, derrière la liberté apparente, une certaine idée de la #femme-objet et du corps parfait régit les mises en scène de soi 2.0

    • J’ai vu ce docu le mois dernier et je me souviens de deux choses : les commentaires de la réalisatrice Ovidie, en voix off, me semblent toujours plus critiques (et plus justes de ce fait) que les analyses des intervenantes. Comme si elle-même voulait avancer sur un terrain plus offensif mais pas forcément les intervenantes interrogées.

      Et deuxième chose, j’ai le souvenir qu’à plusieurs reprises il est précisé « surtout nous ne voulons pas interdire la pornographie », comme par crainte d’une accusation de puritanisme ou d’attaque à la « liberté » ou que sais-je - ce qui est intéressant venant d’Ovidie elle-même, qui ne risque pas d’être qualifiée de « prude ». Et de surcroît, je me demande si le mouvement féministe a jamais voulu « interdire » la pornographie ? Même pour Dworkin et MacKinnon dans les années 80 aux Etats-Unis il ne s’agissait pas de l’interdire...

  • Stoya & Ovidie : Interview croisée | POULET ROTIQUE sur WordPress.com
    http://pouletrotique.com/2015/06/11/stoya-ovidie-interview-croisee

    Selon vous quels sont les ingrédient d’un porno féministe ?

    « On a commencé par faire une liste d’ingrédients, justement. C’est aussi ce qu’avait fait « Puzzy Power », au Danemark, à la fin des années 90, avec des critères très précis. Par exemple, leur manifeste stipulait qu’on n’avait pas le droit d’attraper une actrice par les cheveux pendant une fellation. Quand on y réfléchit, c’est complètement con : en quoi ce serait anti-féministe ? Ce qui est anti-féministe, c’est que ce soit toujours les mêmes pratiques dans le même ordre, et que ce soit toujours les mêmes qui se fassent tirer les cheveux. Si tu fais une liste d’ingrédients et que tu la donnes à un réalisateur mainstream, il ne fera pas quelque chose de bien, il fera peut-être un porno soft, avec les mêmes pratiques et une petite lumière tamisée. Je suis (...)

    #feminisme #pornographie

  • The Explosion of Free Porn Online — New York Magazine
    http://nymag.com/news/features/70985

    On xTube, of the videos submitted to the amateur portion of the site, only 20 percent are pay-per-view; the other 80 percent are evidently uploaded for kicks. Consider AlphaHarlot, a regular contributor to the site. Her real name is Liz. She’s 30 and lives in Clifton, New Jersey, where by day she works as an accountant. Two years ago, she started uploading videos to xTube, which her boyfriend at the time had done. “When I joined I was in kind of a weird place,” she says, “dating that guy plus a bunch of others that were more like one-night stands than relationships. And xTube gave me another outlet for that sexual energy, so I stopped slutting around in real life. xTube made me feel better about myself.”

    She eased into it, starting with photos. After loving the response she got, she moved to faceless videos, and ultimately to showing her face. She now has over 4,000 “friends” following her on xTube. She has been recognized twice in public, once in the Bath & Body Works at the Garden State Plaza. Some of the nearly 150 videos she has posted show her with a woman or with a man—she lives “a polyamorous lifestyle”—but most show her alone, masturbating or performing a fetish at the request of one of her fans.

    Liz has never sought to make money from her videos. “I get excited making them, posting them, and seeing how people react,” she says. She fears it would be less fun—more like a job—if she charged. “xTube is my family. It has completely altered how I see people. It’s made me realize there are people out there who understand there’s more to the world than black-and-white sexuality, that everyone fits in somewhere.”

    Still, even Liz, who lets people watch her videos for free, doesn’t like to see her content show up on other websites. A few times a month, one of her vigilant xTube fans will alert her to an instance of piracy. Usually, after she contacts a site, they’ll remove the video; sometimes they argue. “You want control of where your stuff appears,” she says. “Stolen porn irks the hell out of me.” She tries, at least once a month, to buy a DVD from an adult video store, “so I feel like I’m giving back a little.”

    Quelle belle chute pour un article qui explique bien quelques mécanismes de l’industrie du sexe internationale. Malheuereusement le côté capitaliste de la chose est beaucoup plus important qu’on le croirait après la lecture de cet article. Au fait le plus grand empire porno en ligne du monde a ses origines dans la chambre d’un jeune programmeur allemand.

    Digitaler Sex : Das Porno-Imperium – Ein Deutscher erregt die Welt - DIE WELT
    http://www.welt.de/politik/deutschland/article109255611/Das-Porno-Imperium-Ein-Deutscher-erregt-die-Welt.html

    Die Geschichte von Fabian Thylmann ist die eines erstaunlichen Aufstiegs. Auf den ersten Blick hat sie etwas vom Tellerwäscher-zum-Millionär-Klischee: Ein kleiner Programmierer aus der rheinischen Provinz bringt es in nur fünf Jahren zum mächtigsten Sex-Tycoon der westlichen Welt. Manches in Thylmanns Lebenslauf erinnert an andere Unternehmerstars im digitalen Zeitalter. An Facebook-Chef Mark Zuckerberg, an die Google-Gründer Larry Page und Sergey Brin oder sogar an Apple-Ikone Steve Jobs.

    Sie alle haben das Internet dafür genutzt, eine ganz eigene Geschäftsidee zu entwickeln – und so Milliarden verdient. In der Öffentlichkeit spielen sie gern den netten Nachbarjungen in Jeans und T-Shirt. Als Geschäftsleute sind sie hingegen mit allen Wassern gewaschen – zielstrebig und durchsetzungsstark. Thylmann könnte in die Reihe dieser Visionäre passen . Nur in einem Punkt unterscheidet er sich. Die anderen haben mit Facebook, Google oder der Apple-Technik Bedürfnisse der Menschen befriedigt, von denen vorher niemand wusste, dass es sie einmal geben würde.

    Fabian Thylmann hingegen bedient Instinkte, die so alt sind wie die Menschheit selbst. Er verkauft Sex, überwiegend an Männer.

    Fabian Thylmann – Wikipedia
    https://de.wikipedia.org/wiki/Fabian_Thylmann

    Im Dezember 2012 durchsuchten Beamte der Steuerfahndung Thylmanns Villa bei Brüssel und die Büros von Manwin in Hamburg. Thylmann wurde auf Veranlassung der Staatsanwaltschaft Köln in Belgien wegen des Verdachts auf Steuerhinterziehung festgenommen[13] und anschließend nach Deutschland ausgeliefert. Nach kurzer Untersuchungshaft wurde er am 21. Dezember 2012 gegen Zahlung einer zweistelligen Millionenkaution freigelassen.[14] Sein Pass wurde einbehalten.[7]

    Im Oktober 2013 wurde berichtet, dass Thylmann seine Manwin-Anteile an Manager aus dem eigenen Haus verkauft hatte,[15][16] die Manwin in Mindgeek umbenannten.[17] Im April 2015 erhob die Staatsanwaltschaft Köln nach zweijährigen Ermittlungen Anklage wegen Steuerhinterziehung gegen Thylmann.[17]

    Thylmann lebt mit seiner Frau und seinen beiden Kindern im belgischen Raeren

    L’industrie du sexe en #RDA par contre dépassait à peine les limites de la chambre à coucher individuelle ...

    Von Blümchensex und Knetfiguren : Pornografie - Made in GDR | MDR.DE
    http://www.mdr.de/kultur/film440.html

    In der DDR war Pornografie strafbar. Das Strafgesetzbuch legte im Paragrafen 125 das Strafmaß fest: „Wer pornografische Schriften oder andere pornografische Aufzeichnungen, Abbildungen, Filme oder Darstellungen verbreitet oder sonst der Öffentlichkeit zugänglich macht, sie zu diesem Zwecke herstellt, einführt oder sich verschafft, wird mit öffentlichem Tadel, Geldstrafe, Verurteilung auf Bewährung oder mit Freiheitsstrafe bis zu zwei Jahren bestraft.“

    Doch die DDR-Bürger ließen sich weder von diesem Paragrafen noch von der propagierten Prüderie abschrecken. Immer wieder fanden sich Wege, sich pornografische Erzeugnisse aus dem Westen zu beschaffen. Der Zoll an den Transitstrecken durch die DDR hatte alle Hände voll zu tun. Immer wieder entdeckte er in Zügen und an Raststätten brisante Materialien. Doch vieles sickerte durch und gelangte trotzdem in die DDR. Hier versuchten sich dann Tüfftler an der Vervielfältigung des Materials.
    ...
    Micha S., Trickkameramann im DDR-Fernsehen, arbeitete auch in seiner Freizeit als Trickfilmer. Eines Tages hatte er die Idee, einen Trickfilm herzustellen, in dem Knetfiguren Sexszenen darstellten - ein abendfüllendes Hobby. Micha S. produzierte mit einer Super-Acht-Kamera im eigenen Keller. Nur im privaten Kreis zeigte er seinen Film.

    Bald gab es bei der Staatssicherheit Fahnder, die gezielt auf die Erotikszene in der DDR angesetzt wurden. 1983 gelang es ihnen, im damaligen Karl-Marx-Stadt eine Kundenkartei mit 2.000 Namen auszuheben. Zu einem Strafverfahren kam es jedoch nicht - zu viele Namen von „angesehenen Genossen“ fanden sich unter den Kunden.

    ... mais tout le monde consommait du porno quand c’était disponible.

    #money_makes_the_world_go_round #sex #porno

  • Collège Montaigne : faut-il interdire les portables ou (enfin) éduquer les garçons ?
    http://www.madmoizelle.com/college-montaigne-attouchements-porno-education-364325

    Le fait que cette affaire éclate depuis le collège Montaigne, un prestigieux établissement parisien, démontre à quel point le sexisme est profondément ancré dans notre société, au point de dépasser les clivages sociaux.

    Si ces faits avaient eu lieu dans un collège de banlieue, on aurait très certainement eu droit à une litanie de commentaires racistes, accusant ces petits jeunes de perpétrer une culture (étrangère, bien sûr !) totalement misogyne.

    Mais voilà, ce sont les petits bambins mêchés, à prénoms composés, qui se retrouvent au centre de cette affaire. Des bons petits Français bien de chez nous, qui vont à l’école dans ce prestigieux établissement, situé juste derrière le jardin du Luxembourg.

    Mince alors. Vous voulez dire que… la culture française est profondément sexiste ? Troisième scoop (décidément !) : oui. Et on voudrait vraiment que ça change…

    • Visiblement, « certains garçons » regardaient des vidéos pornographiques sur leurs smartphones durant les récréations. Du coup, l’émotion faisant perdre le sang froid et la capacité de réflexion, de nombreux médias attribuent l’origine du problème à l’utilisation du téléphone portable au collège. Encore un magnifique exemple de culture du viol.

      #porno #sexisme #viol

    • C’est très bien que ça sorte, évidemment aussi parce que c’est instrumentalisé, mais malheureusement c’est assez courant, en général ce genre d’affaires est étouffée et couverte par les sbires de l’éducation nationale.
      J’ai une amie à qui un vendredi soir la maitresse a dit rapidement « il y a eu une petite affaire de touche pipi, mais comme votre fille verbalise très bien elle vous racontera elle-même, ah sinon vous devriez surveiller si elle n’a pas des poux, au revoir madame ». Sa fille de 5 ans lui a alors expliqué dans la rue en rentrant comment 3 garçons l’avaient agressée dans la cour de l’école après la cantine, deux d’entre eux la tenant tandis que le troisième tentait de retirer son collant en pratiquant des attouchements. Cette maman apprenait par le responsable de la #FCPE que les parents des agresseurs avaient eux, mais pas elle, été convoqués par la direction dès le vendredi et qu’une visite de toutes les classes avait été effectuée dans la foulée par la directrice pour dire aux enfants que « seul le docteur et les parents ont le droit de vous déshabiller » (quelle horreur d’oser dire de telles conneries). Le responsable FCPE (L.O) s’est moqué de la maman au téléphone en disant que les agresseurs n’étaient que des enfants (en difficultés sociales qui plus est), quant à la directrice, elle a ri et refusé de répondre quand le lundi la maman a demandé si ces agresseurs étaient suivis psychologiquement et a subi des pressions énormes pour se taire et ne pas poursuivre en justice « cela va suivre votre fille toute sa scolarité ». Elle a finalement retiré sa fille de l’école et assez désespérée a déménagé dans une autre ville.
      Voila comment des affaires de violences sexuelles à l’école peuvent être lamentablement étouffées, en reportant la honte sur l’enfant et sa famille sans apporter aucune aide ni soutien, tout cela pour protéger la corporation enseignante et soit-disant sauver la moralité d’un établissement.

      #culture_du_viol #éducation_nationale

  • 5mn de Paris de #Cédric_Klapisch et j’ai vomi.
    http://television.telerama.fr/tele/films/paris,9816309.php

    Un vieux prof se fait engueuler par une jeune étudiante pour l’avoir considéré comme un objet, cut, on les retrouve nus tous les deux après galipettes.
    Une femme qui est obligée jusques aux pleurs de faire la brouette dans un restaurant en montrant sa culotte, cut, se laisse ensuite séduire par son agresseur dans la rue en riant de ses larmes.

    On s’est dit que quitte à supporter une histoire de cinéma d’auteur français qui raconte que les femmes sont à humilier avant de se laisser baiser, (quel que soit le degré) 5 minutes on suffit. Tout les ingrédients y étant, on préfére nommer correctement la catégorie de ce film : #pornographique.

    #cinéma_français #sexisme #culture_du_viol

  • La #pornographie c’est ce à quoi ressemble la fin du monde (Chris Hedges) | Le Partage
    http://partage-le.com/2015/03/la-pornographie-cest-ce-a-quoi-ressemble-la-fin-du-monde-chris-hedges

    « Cinquante nuances de Grey », le livre comme le #film, est une glorification du #sadisme qui domine quasiment tous les aspects de la #culture américaine et qui repose au cœur de la pornographie et du #capitalisme mondial. Il célèbre la #déshumanisation des #femmes. Il se fait le champion d’un monde dépourvu de compassion, d’empathie et d’amour. Il érotise le #pouvoir #hypermasculin à l’origine de l’abus, de la dégradation, de l’#humiliation et de la #torture des femmes dont les personnalités ont été supprimées, dont le seul désir est de s’avilir au service de la luxure mâle. Le film, tout comme « American Sniper », accepte inconditionnellement un monde prédateur où le faible et le vulnérable sont les objets de l’#exploitation tandis que les puissants sont des demi-dieu violents et narcissiques. Il bénit l’enfer capitaliste comme naturel et bon.

    « La pornographie », écrit Robert Jensen, « c’est ce à quoi ressemble la fin du monde. »

    • @karl_groucho_d ta remarque sous-entend que le sadisme féminin correspond à 50% des cas. Même s’il existe, quantitativement parlant on est vraiment très loin de 50%.
      De la même façon, il existe des perverses manipulatrices femmes, mais dans une proportion très inférieure aux hommes.
      Ce qui montre par ailleurs que ces comportements sont en grande partie socialement construits : on a beaucoup moins d’obstacles au développement de comportements de salopard·e quand on est en position de pouvoir vis à vis de l’autre, ce qui dans nos sociétés est beaucoup plus fréquent chez les hommes.

    • Parlons aussi des hommes-objets !! Qu’est ce que c’est un homme-objet ? J’en ai jamais vu, à part chez des vieux gays fortunés qui fantasment sur des gamins et qu’ils se payent via la prostitution et qui subissent les mêmes horreurs que les femmes dans la pornographie et la prostitution. Si les hommes-objets existent ce n’est pas les femmes qui les utilisent. Mais le seul problème pour toi c’est quand une femme domine un homme, comme si c’était symetrique. Comme si il y avait une égalité qui ferait que la misandrie était aussi systémique que la misogynie. Et comme si une hypothétique femme dominant un hypothétique homme hypothétiquement objectivé avait un rapport avec le sujet de l’oppression des femmes dans la pornographie et le néolibéralisme.

      Et pourquoi ne parler que du sadisme feminin seulement à l’encontre des hommes-objets ? Le sadisme feminin quant il existe, est tourné contre d’autres femmes et contre les enfants et tres tres rarement contre les hommes et cela pour des raisons systémiques qui font que les groupes soumis ne s’attaquent pas aux groupes dominants. C’est même le principe d’une oppression systémique. Mais ca les groucho-marx Ca les fait pas s’émouvoir puisque les femmes et les enfants c’est pas aussi interessant que les malheurs de pseudo homme-objet fictifs qui se fantasment cravachés par des hordes de Marine Tatcher en cuissardes nazis. Dominatrices qui sont la plus part du temps des prostituées payés par de gros bourgeois pseudo-soumis mais économiquement puissants mais comme ce sont des hommes ils ont la solidarité acquise des grouchos.

      Et la on parle du rappochement entre neo-liberalisme et pornographie et niveau patronat, capitalistes et possédants, les femmes qui sont un peu moins de 50% de l’humanité, ne possèdent qu’1% des richesses mondial.

      Mais ces 1% sont déjà trop pour ces messieurs les karl-groucho, Ca les rend malades que des femmes soient autre chose que des serpillères ou des sacs à foutre et il faut absolument que l’on parle à chaque fois de ses gros malheurs de mec qui est habitué à se croire le nombril de l’univers. Tu te prétend marxiste et pourtant pas un mot sur les proxénètes ces gros capitalistes contre qui tu ne trouve rien à dire tandis que les 3 dominatrices de série B qui vivent dans ton imaginaire de machiste doivent être duement dénoncé sinon on est accusé d’imposture & de mauvaise foi... J’ai la nausée parceque niveau imposture et mauvaise foi tu te pose vraiment en maître.

      C’est exactement aussi révoltant qu’un blanc qui viendrait râler et réclamer qu’on parle du racisme anti-blanc au bas d’un article sur les meurtres de Ferguson. En disant ca tu aurait l’aire d’un gros abruti du FN au moins autant que tu passe là pour un immonde macho zemmourien et c’est pas en me sortant tes copines feministes de service, équivalant des amis noirs des racistes, que tu va pourvoir rattraper ta crasse de masculiniste.

      #andocentrisme #machisme #deni #domination #colère #macho_de_gauche #notallman

    • (on notera au passage comment, d’un article initial portant sur des questions féministes, la discussion en vient à se focaliser sur un intervenant homme outré par des propos tenus à son sujet, et qui prend plus de soin à qualifier lesdits propos de « pur fascisme » que de mieux préciser les siens.)

    • https://www.youtube.com/watch?v=Gj16iWecitI

      DEFENSE DE LA PORNOGRAPHIE. CRITIQUE DE LA DEMOLITION FILMEE
      http://fredericjoignot.blogspirit.com/archive/2007/03/24/inde-bombay-ville-du-futur-immediat.html

      Il y avait eu une interview intéressante sur le gay porn qui portait sur de la non violence sur le plateau de la part des acteurs homos parce que la violence, par la « pénétration » pouvait être le fait des deux partenaires. Dissuasion.

    • Si je peux exprimer cela poliment, je crains fort qu’avoir bossé avec quelqu’un ou fondé ou fait partie d’un mouvement n’ait jamais mis personne à l’abri d’écrire, disons, inconsidérément, une bêtise ou un propos contestable et même, parfois, sur sa lancée, plusieurs, le premier propos ayant pu susciter, de par son caractère inconsidéré justement, des réactions plus ou moins vives.

      faudrait peut-être pas passer à la trappe le sadisme féminin s’exerçant sur des hommes-objets. L’extrait de texte pratique cette vision tronquée d’une incroyable manière. Imposture & mauvaise foi.

      Il me semble que ce propos - tout de même plutôt vif et quelque peu lapidaire - tendant à prétendre trouver le même sadisme envers l’autre sexe chez les femmes que l’on peut l’observer chez les hommes envers les femmes, les enfants, et les hommes pas assez virils, aurait gagné à être exprimé avec, disons, un minimum de prudence et de précautions, pour le moins.

      Parce qu’à propos de faits, si les effets de l’érotisation de la violence masculine sur les femmes ont été l’objet de bien des critiques féministes, et, à défaut d’être un dogme, constituent un pan conséquent de ces critiques, le « sadisme féminin exercé sur les hommes-objets » est lui une notion qui demanderait à être quelque peu explicitée et argumentée, soutenue par des éléments concrets - et qu’on ne croise guère habituellement que chez les plus virilistes des masculinistes patentés. (et l’expression malheureuse « passer à La Trappe » en rajoute encore dans l’évocation déplacée d’un complaisant entre-soi masculin).

      En l’absence d’arguments, ce commentaire avait effectivement tout d’une blague ratée, ou d’une provocation réussie. (dont je ne prétendrai pas estimer la valeur).

    • @karl_groucho_d

      ce commentaire ne peut prêter à confusion, sauf en cas d’illettrisme aggravé ou de mauvaise foi avérée & constante.

      LOL

      @martin5

      le « sadisme féminin exercé sur les hommes-objets » est lui une notion qui demanderait à être quelque peu explicitée et argumentée, soutenue par des éléments concrets - et qu’on ne croise guère habituellement que chez les plus virilistes des masculinistes patentés. (et l’expression malheureuse « passer à La Trappe » en rajoute encore dans l’évocation déplacée d’un complaisant entre-soi masculin).En l’absence d’arguments, ce commentaire avait effectivement tout d’une blague ratée, ou d’une provocation réussie. (dont je ne prétendrai pas estimer la valeur).

      Entièrement d’accord.
      Mais je crains qu’en lieu et place d’explications et d’arguments on ne trouve que des cris d’orfraie renvoyant au commentaire initial, qui n’est clair que pour son auteur.

    • J’ai lu rapidement mais je serais plutôt d’accord avec Karl-Groucho D. : tant qu’on est dans le jeu érotique entre adultes consentants, je ne crois pas qu’il faille dénoncer « la fin du monde ».
      En plus là il s’agit d’un roman donc on en fait on est dans le fantasme. Je pense que beaucoup de gens peuvent prendre plaisir à voir décrire une situation qu’ils ne souhaitent pas vivre dans la réalité. A chacun la liberté de ses fantasmes.

      D’autre part les femmes qui ont un pouvoir économique et qui en abusent sont beaucoup moins nombreuses que les hommes, parce qu’elles sont moins nombreuses à avoir un pouvoir économique.

      Mais lorsqu’une femme fait du tourisme sexuel, je ne sais pas si c’est aussi violent que lorsqu’un homme fait du tourisme sexuel (à priori il me semble difficile de « forcer » un homme à avoir un rapport sexuel, peut-être que je me trompe), mais le rapport est très fortement inégalitaire, et il y a une exploitation de l’homme dans ce cas.

    • Tu ne te rends pas compte de la violence de tes réponses. Je ne suis pas certain que leur longueur soit bien pertinente, non plus. Surtout après le côté lapidaire de ta première intervention, que tu n’as jamais eu la gentillesse de préciser, afin d’écarter les malentendus. En fait, tu as préféré faire comme si tu étais agressé. Quelle idée saugrenue. Entre nous.

    • Je suis désolé mais tu balances sans plus de détails :

      puisque la moitié des hommes sont des femmes, faudrait peut-être pas passer à la trappe le sadisme féminin s’exerçant sur des hommes-objets. L’extrait de texte pratique cette vision tronquée d’une incroyable manière. Imposture & mauvaise foi.

      Sans autre précision, oui ce commentaire sous-entend que c’est 50% de la réalité qui est passée sous silence. Si c’est autre-chose que tu voulais dire, tu avais tout le loisir de l’expliquer, qu’on en discute. Mais non, tu préfères hurler au fascisme en long en large et en travers et tu n’expliques toujours rien à ton propos. Moi je laisse tomber.

    • @karl_groucho_d c’est pas le bout du monde de ne pas s’enfférer, pas possible de dire slt que les lecteurs ne savent pas lire, ne comprennent rien. Il y a eu a minima une difficulté à exprimer avec justesse un point de vue... discutable. Là il ne l’était pas (si ce n’est entre mecs bien bourrés au comptoir, et par exception, et à la condition de se dire le lendemain que l’on a dit des... conneries, et peut-être qu’on a frôlé). Et même en désaccord (partiel) avec @mad_meg je dois admettre que son point de vue est pour partie fondé.

      Bref, tu es emmerdant là (et même un peu #con_comme-une-bite, le prend pas mal, le droit à la connerie doit rester imprescriptible, et après on fait avec et contre).

      D’autant que loin du 50/50 dont tu causes, comme si il s’agissait de l’espèce en général, la question se pose de ce qui advient du caractère émancipateur des minorités politiques (pas quantitatives), par exemple « les femmes », lorsque certaines d’entre elles occupent des positions de pouvoir. Avec la surenchère des parvenus (par ex, une fliquette, comme on dit trop gentiment, en rajoute souvent sur ses collègues hommes pour montrer qu’elle en a, de l’autorité, du pouvoir).

      Plutôt que de causer de sadisme sur des « hommes objets »(comme ça a été dit des clients qui payent pour être dominés par des larbines spécialisées), il me semble que les dimensions sadiques (et pas si bien consenties que ça, même si de fait ça marche) des rapports sociaux capitalistes actuels (et toute la mise en spectacle de soi qu’exige la concurrence) mériteraient une attention toute spéciale.

    • Dommage que les contributeurs et contributrices se soient écharpé-e-s sur ce court extrait (celui où il s’agit du sado-masochisme) alors que l’article dans sa globalité va bien au-delà de cette querelle au sujet du « fifty-fifty ».

    • Sinon, le succès de ces crottes de Grey je ne sais quoi, me fait plutôt envisager à nouveau une sorte d’involution du « féminisme » dans la Restauration capitaliste entamée au milieu des années 70. On se retrouve avec des mécanismes défensifs (attention les acquis sont fragiles, ce qui est vrai), avec le mépris de classe afférent (les prolos, surtout si ils sont pas d’ici depuis longtemps, sont trop.) Et il faut endiguer, à coup de police sémantique (linguistic turn oblige ?) et empêcher. Empêcher le patriarcat, c’est un mouvement de refus, de négation, absolument légitime, nécessaire. Mais comment du refus peut il naitre autre chose que de la conservation/préservation ?où sont les formes d’affirmations que « le » féminisme (re)naissant de l’après 68 avaient su inventer, manifester ? (question sans doute pas assez spécifique au « féminisme », excusez les «  »" mais je ne sais trop ce que ce terme désigne quand une telle quantité de femmes est au chômage, dans les temps partiels subis, les parentalité mono, etc.)

      Le temps passant, je suis encore étonné de la manière dont les hommes se remettent à faire les hommes (musculation, bagneule, je sais pas quoi) et les femmes à faire les femmes (s’apprêter pour aller au travail, sortir de chez soi). Ces sortes de conformations (sur)jouées au quotidien me paraissent plus étranges et décisives que nos pauvres polémiques.

      (par ailleurs sur ces polémiques très... couillonnes, ça marche mieux quand il y a des espaces hors scène, ici hors seenthis, des relations adventices, des cuisines, qui permettent d’en abandonner la partie insignifiante et insensée pour, éventuellement, mieux repérer et confronter de réels désaccords).

    • Une grosse étude socio qui décrivait qui sodomisait qui, pourquoi et dans quelles conditions. Et les garçons sodomisaient les filles (non, ce n’est pas une évidence) pour asseoir leur pouvoir sur elles et leur prestige vis à vis des autres coquelets, sous influence assez déterminante du porno (mais aussi des pairs : « un vagin de 15 ans, c’est large comme une autoroute, tout lâche, t’as pas les bonnes sensations »).

      Il y a pas loin 15 ans en arrière, je me souviens d’un cousin qui me parlait de sa vie sexuelle, dans ces termes. C’était troublant. Il vivait dans la banlieue chic, tout de même. Fils de médecin. Tout de même. Et il me sort ces gros clichés pornos... sans que je lui demande. Et visiblement, les nanas là bas ne lui en tenaient pas rigueur ? A l’époque je pensais « c’est tout de même bizarre, moi je ne rencontre pas des nanas qui voient les choses de la sorte... ». En fait ça me consternait, et je ne le relançais pas.

    • En fait, il n’y a que toi qui comprennes ce que tu dis, de toute évidence. Du coup, le choix cornélien me semble le suivant : tu t’es mal exprimé, et ton idée n’est comprise que par toi. Ou alors tu t’es bien exprimé, et tu fréquentes des imbéciles. A lire ta proposition de désinscription de seenthis, tu as choisi.
      (mes excuses pour le commentaire là bas, je n’ai pas pu résisté à l’idée de continuer à participer avec mes moyens, faibles, mais néanmoins qui me font bien rire. Car l’important, comme tu nous l’apprend, c’est qu’on se comprenne soit).
      Beaucoup trop d’orgueil dans toutes ces réactions à mon sens. Mes excuses d’ailleurs, pour m’être adressé à toi.

    • Quand il y a 15 personnes d’affilées, venant d’horizon divers, qui ont tou⋅te⋅s un problème « d’illettrisme aggravé ou de mauvaise foi avérée », il faut peut-être commencer à se poser la question de la clarté pas si évidente du message de départ… Ce n’est pas comme si c’était juste une seule personne qui avait compris de travers hein…

      « Vous ne comprenez rien à ce que je dis, je pars » : narcissisme.

  • Jouer avec un arbre, et la réalité virtuelle pornographique
    http://blogues.radio-canada.ca/triplex/2015/03/15/sxsw-jour-3-jouer-avec-un-arbre-et-la-realite-virtuelle-pornogr

    SXSW ambiance : j’écris ce blogue dans un café situé juste à côté de mon appartement-roulotte (ou serait-ce plutôt l’inverse) dans un quartier excentré d’Austin (le centre-ville est hors de prix durant le festival, et j’ai découvert un des meilleurs cafés d’Austin j’en suis certain). Ouvert il y a à peine six mois par deux jeunes gars, c’est la quintessence du café de troisième vague. Éco-rétro minimaliste, murs blancs, un comptoir à pâtisseries aussi spartiate que les pâtisseries en question sont excellentes. Ah oui ! Ici, on ne fait pas que jouer des listes de lecture insignifiantes, on met des albums complets. Ce matin, huit heures, pendant que j’écris, c’est Giants steps de Coltrane.

    #Austin_(Texas) #Brian_Shuster #Mogeens #Musique #Numérique #Pornographie #Réalité_virtuelle #Sexe #South_by_Southwest