• [Mobilisation contre la] Fermeture des #CAF - Primitivi
    http://www.primitivi.org/spip.php?article664

    Dans l’envolée programmée de nos prétendus acquis sociaux, prochain service en ébranlement : les Caisses d’Allocations Familiales. Les batiments d’accueil ferment tour à tour, #Marseille fait office de Bêta test pour un monde de demain où l’informatique se substitue aux agents d’accueil des services sociaux.

    Une #vidéo de la #manifestation :
    http://player.vimeo.com/video/112311012?autoplay=1

  • Révolutions #précaires, essai sur l’avenir de l’#émancipation, de Patrick Cingolani (la découverte) vient de sortir en librairie

    On peut lire les 25 premières pages (intro) du livre et la table, là :
    http://widget.editis.com/ladecouverte/9782707181923/#page/8/mode/1up

    Patrick Cingolani, sociologue qui a participé à la revue #Révoltes_Logiques aux côtés de Jacques Rancière (et de ce fait, à une critique de la #sociologie bourdieusienne) avait publié, durant les 80’, un livre remarquable L’exil du précaire ; par la suité il a été l’auteur d’un Que sais-je ? sur la #précarité.

    #livre #échantillon_gratuit (comme tout dealer qui se respecte) #paywall

  • Gérard Collomb (#PS) propose une période d’essai de deux à trois ans pour les #CDI
    http://www.lemonde.fr/emploi/article/2014/11/19/gerard-collomb-propose-une-periode-d-essai-de-deux-a-trois-ans-pour-les-cdi_

    Le sénateur-maire socialiste de Lyon, Gérard Collomb, préconise une période d’essai de deux à trois ans pour les contrats à durée indéterminée (CDI), dans un entretien accordé à L’Usine nouvelle, mardi 18 novembre.
    Lire aussi : A 30 ans, ils n’ont jamais connu de CDI
    http://www.lemonde.fr/societe/article/2013/11/21/j-ai-l-impression-d-etre-une-variable-d-ajustement_3518083_3224.html

    Tenant de l’aile droite du parti socialiste, M. Collomb envisage « plus de #flexibilité au début du contrat ». Celui-ci « serait signé avec une #période_d'essai de deux ou trois ans, par exemple, pour que l’entrepreneur évalue le salarié et l’évolution de l’activité », propose l’élu :

    « La sécurité augmenterait au fil du temps, avec des périodes de préavis rallongées, des indemnités plus conséquentes. »
    « Sur le #CDD [contrat à durée déterminée], ce serait bien d’avoir une période plus ample », avance également M. Collomb, partisan de la « flexisécurité ».

    Dans un entretien accordé à L’Obs, le 22 octobre, le premier ministre, Manuel Valls, a dit vouloir « agir » sur les « inégalités importantes » entre les #salariés « très protégés » en CDI et les salariés #précaires en CDD et en intérim, abordant prudemment la question d’un #contrat_de_travail_unique.

    On peut par ailleurs aller voir le docu « Pôle emploi, ne quittez pas » qui se termine par un « le travail c’est la liberté » du maire et l’aveu satisfait d’un autre notable local du PS de Livry Gargan lors de l’embauche de 4 « contrats d’avenir » comme éboueurs : « 4 pour le prix d’un »...

    #crapules PS = #police_sincère

  • Collectif 75 AVS/EVS, #précaires de l’#éducation en lutte : Le 25 novembre 2014, AVS-AESH : toutes et tous en grève !
    http://collectifavs75.blogspot.fr/2014/11/le-25-novembre-2014-avs-aesh-toutes-et.html

    Ce mardi 25 novembre, ce sont les AVS-AESH de plusieurs villes et régions de France qui se mettront en grève pour protester contre leurs conditions de travail, leurs salaires de misère et le mépris dont ils font l’objet de la part des institutions et du Rectorat !

    La journée est historique : pour la première fois, cette #grève sera une grève nationale ! 

    Parce que partout, en France, les mêmes causes austéritaires produisent les mêmes effets de précarité généralisée, l’occasion nous est offerte ce jour-là de relever la tête et de nous faire entendre.

  • Actions coordonnées européenne pour les droits des #chômeurs
    Ils nous veulent précaires, nous serons inflexibles
    Vendredi 14 novembre (article mis à jour au fil de l’arrivée des infos).
    http://www.cip-idf.org/article.php3?id_article=7413

    #Occupation en cours du siège de l’#OCDE, 2 rue André Pascal, 75016 Paris, métro La muette (ligne 9), appel à venir soutenir les occupants

    Les #chômeurs, #précaires et salariés de Pôle Emploi tiennent une Assemblée générale dans le hall sous la pancarte « OCDE - des politiques meilleures pour une vie meilleure ». Ils rédigent un communiqué pour expliquer en quoi ces politiques rendent leur vie toujours pire... : casse des #droits_sociaux, harcèlement et #contrôle des chômeurs, dérégulation du marché du travail, politiques d’#austérité...

    Une représentante de la Confédération Internationale des Syndicats vient parler aux occupants et se propose de servir d’intermédiaire, mais ils lui demandent surtout d’attendre les décisions prises par l’AG.

  • CIP-IDF > La nouvelle convention Unedic : douche froide pour les précaires
    http://www.cip-idf.org/article.php3?id_article=7399

    Nous sommes allés à la rencontre de M. #Rebsamen sur le forum PARIS POUR L’EMPLOI. M. Rebsamen nous a fuis !

    Nous avons défilé dans les couloirs du salon en nous rappelant au bon souvenir de M. Rebsamen : « #Chômeurs, #précaires, stagiaire, intermittents, intérimaires, et étudiants, avec ou sans papiers, solidarité ! » et avons distribué des tracts pour dénoncer la mise en application en deux temps (le 1er juillet puis le 1er octobre) de la nouvelle convention UNEDIC qui réduit les droits de tous les chômeurs et contribue à la précarisation accrue de nos vies.

    Tout est fait pour priver de droits les 4 chômeurs sur 10 encore indemnisés, alors que les chômeurs à activité réduite sont passés de 500 000 à 1,7 millions en 20 ans, et que 87% des embauches se font en CDD. Cet accord ainsi que les dernières déclarations de M. Rebsamen sont autant de coups de semonce répétés par le gouvernement à l’encontre de tous les chômeurs et de tous les salariés.

  • CIP-IDF > Occupation de l’Hôtel Lutetia à Paris : de l’argent il en a pour construire de nouveaux droits
    http://www.cip-idf.org/article.php3?id_article=7350

    Nous sommes ici dans une volonté déterminée de recourir au #blocage économique pour rappeler que nous n’entendons pas accepter la casse des droits sociaux des #chômeurs, #précaires, intermittents et intérimaires, aggravée par la mise en place de la convention d’#assurance_chômage du 22 mars.

    Monsieur Rebsamen demande le renforcement du #contrôle des chômeurs : nous lui répondons qu’il ferait mieux de contrôler les fraudes des employeurs sur le paiement des cotisations sociales qui coûtent plus de 20 milliard d’euros par an. Arrêtez de dire que les précaires sont responsables du déficit de la protection sociale, c’est un mensonge ! Nous demandons l’abrogation de la nouvelle convention d’assurance chômage visant à faire des économies sur le dos des seuls chômeurs et précaires, en les stigmatisant.

    Monsieur Valls offre un pacte de « responsabilité » aux entreprises pour favoriser la compétitivité et l’emploi, alors que ces dernières versent 30% de dividendes supplémentaires à leurs actionnaires au second trimestre 2014 et demandent par ailleurs à pouvoir embaucher en dessous du SMIC pour s’en sortir. Ce n’est plus de la provocation, c’est de l’indécence ! Nous ne croyons pas en votre « crise » et ne voulons pas d’un #plein-emploi_précaire. Nous exigeons que notre modèle de protection sociale accompagne la discontinuité de l’emploi, les contrats courts, l’intérim, et qu’il soit discuté avec les premiers concernés.

    Monsieur Gattaz déclare que « notre modèle social à vécu, il n’est plus adapté » : nous lui répondons que c’est notre modèle de dialogue social qui est mort et qui n’est plus adapté. Une gestion paritaire de l’UNEDIC qui date de 1958 : oui, le monde a changé et c’est ce paritarisme là qui n’est plus d’actualité. Il est scandaleux que les cotisations sociales - part socialisée du revenu appartenant aux salariés - soient gérées de manière mafieuse et qu’il appartienne au patronat d’en décider. Nous demandons la transparence des comptes de l’UNEDIC et exigeons que les chiffres bruts soient communiqués pour expertise.

    Monsieur Hollande, alors que l’INSEE vient de publier son rapport présentant une instabilité et une precarisation croissante des conditions d’emploi, nous demandons que la question de l’assurance chômage devienne un débat national et que le modèle d’indemnisation soit repensé afin que 100% des chômeurs soient indemnisés.

    • Faire entendre la révolte - communiqué occupant.e.s du Lutetia

      15h50 communiqué occupant.e.s du Lutetia

      Faire entendre la révolte Nous occupons aujourd’hui l’hôtel de luxe Lutetia en travaux*.
      Nous voulions faire une Assemblée Générale avec les travailleurs du chantier.
      Nous avions à peine commencé à leur parler de leur conditions d’emploi et des pertes de revenu imposées par la nouvelle convention d’assurance chômage, que la direction les a sommés de sortir. Encore une fois, il s’agit d’empêcher l’information, le dialogue, la possibilité de se regrouper, de se coordonner...
      Nous sommes aussi ici pour montrer notre vigilance par rapport aux concertations en cours sur le chômage. Les échos que nous avons des ateliers de ce matin** sont désastreux. Les problèmes sont soit niés, soit esquivés.
      Nous exigeons toujours l’accès aux données brutes de l’Unedic, aucune expertise sérieuse ne peut se faire, sans cela. Il est indispensable que de réels ateliers de travail soient organisés pour l’ensemble de l’assurance chômage car le problème est vaste. Or, à ce jour, aucune nouvelle séance n’est prévue.
      Plus que jamais nous continuons à exiger l’abrogation de la convention d’assurance chômage et l’ouverture de négociations avec les premiers concernés, sur la base de nos propositions.
      Nous serons également vigilants à ce que les travailleurs du chantier Lutetia soient payés, c’est leur droit. La CGT interim, présente lors de l’action, les a informés qu’elle pourra suivre leurs dossiers.
      Cette occupation est un blocage économique qui ne s’exerce pas à l’encontre des travailleurs mais évidemment des gros employeurs et aujourd’hui Vinci, qui veulent nous imposer des conditions de travail et de vie inacceptables.
      Imposons-leur notre révolte. Un récent rapport de l’Insee démontre l’augmentation de la précarisation des vies.
      Soyons nombreux pour refuser de laisser faire, et pour construire de nouveaux droits.

      http://www.cip-idf.org/article.php3?id_article=7352

  • En 30 ans, l’instabilité a progressé sur le marché du travail
    http://www.lemonde.fr/emploi/article/2014/09/17/en-30-ans-l-instabilite-a-progresse-sur-le-marche-du-travail_4488671_1698637

    Explosion du nombre de #contrats_temporaires, missions de plus en plus courtes... Le bilan d’une étude de l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) publiée mercredi 17 septembre est sans appel : en 30 ans, l’instabilité s’est propagée sur le marché du travail.
    Pour arriver à ce constat, l’Insee se base sur un indicateur de l’instabilité de l’#emploi : le taux de #rotation de la main-d’œuvre . Celui-ci a presque quintuplé entre 1982 et 2011. En 1982, l’Insee recensait ainsi en moyenne 38 « actes d’embauche et de débauche » pour 100 postes dans une entreprise. En 2011, ce ratio a bondi à 177 pour 100.

    Une explosion qui s’explique notamment par la multiplication des contrats temporaires (#CDD et #intérim principalement) et leur raccourcissement. Sur la même période, la part de ces derniers dans l’emploi a presque triplé – passant de 5 à 13 % – tandis que leur durée était divisée par trois – de 3 à 1 mois.

    « TREMPLIN VERS LA STABILITÉ »

    De leur côté, les salariés en contrat à durée indéterminée (CDI), dont la part est toutefois restée largement majoritaire (87 % en 2011), ont eu tendance à rester plus longtemps en poste (10 ans en 2011, contre 6 ans en 1982). « Tout ceci suggère que le fonctionnement du marché du travail se rapproche d’un modèle segmenté, où les emplois stables et les emplois instables forment deux mondes séparés », observe l’étude.

    D’autant que les emplois « #précaires » jouent de moins en moins un rôle de « tremplin vers la stabilité », piégeant au contraire ceux qui les occupent dans « une trappe », selon l’auteur de l’enquête, Claude Picart. Au début des années 1980, la moitié des salariés en CDD, intérim ou stage signaient en CDI l’année suivante. Aujourd’hui, c’est le cas d’à peine plus d’un cinquième d’entre eux.

    Comme le souligne enfin Claude Picart, même si les jeunes restent les plus touchés par cette instabilité, la situation relative des seniors s’est elle aussi dégradée.

    • L’étude en question sur l’Insee http://www.insee.fr/fr/themes/document.asp?reg_id=0&id=4350

      Une rotation de la main-d’œuvre presque quintuplée en 30 ans : plus qu’un essor des formes particulières d’emploi, un profond changement de leur usage

      Claude Picart
      Résumé

      Après avoir augmenté dans les années 1980 et 1990, les indicateurs utilisés traditionnellement pour appréhender l’instabilité de l’emploi (l’ancienneté de moins d’un an dans l’entreprise, l’importance des formes particulières d’emploi tels que les CDD ou l’intérim) décrivent une situation plutôt stable sur les quinze dernières années en France. Dans le même temps, d’autres indicateurs portant eux sur les flux d’emploi, comme la part des CDD dans les embauches ou le taux de rotation de la main-d’œuvre, progressent nettement et régulièrement. À tel point qu’aujourd’hui, plus de neuf embauches sur dix se font sous la forme de CDD ou de contrats d’intérim. Ces constats apparemment contradictoires s’expliquent par un raccourcissement de la durée de certains emplois, notamment les missions d’intérim et les CDD, qui traduit un changement dans leur mode d’utilisation. Ces contrats courts, qui sont donc de plus en plus courts, maintiennent les salariés concernés dans des situations récurrentes, en particulier dans les professions à « CDD d’usage ». Ainsi, la rotation de la main-d’œuvre se trouve de plus en plus concentrée dans certains métiers. Sur la période récente, même si les jeunes restent les plus touchés par cette instabilité, la situation relative des seniors s’est dégradée. Rotation accrue alors même que la part des emplois instables dans l’entreprise n’augmente pas, passage d’une rotation concentrée sur les jeunes à une rotation concentrée sur certains métiers, impact de plus en plus déterminant et durable du niveau de formation sur la rotation des jeunes adultes : tout ceci suggère que le fonctionnement du marché du travail se rapproche d’un modèle segmenté, où les emplois stables et les emplois instables forment deux mondes séparés, les emplois instables constituant une « trappe » pour ceux qui les occupent.

  • Chômeurs contrôlés , patrons #assistés : la démagogie, mode d’emploi ( précaire) - AC ! Réseau - Agir contre le chômage et la précarité
    http://www.ac.eu.org/spip.php?article2195

    Les déclarations de François Rebsamen sur le contrôle des chômeurs ont été suivies d’un tollé qui a amené le Ministre à déclarer qu’aucune nouvelle mesure n’était prévue, et qu’il s’agissait simplement d’appliquer la loi.

    Il n’y a en effet nul besoin d’ajouter des dispositions à un ensemble législatif et administratif qui permet au #Pôle_Emploi comme aux #départements chargés du contrôle des allocataires du #RSA, de moduler #radiations et #sanctions selon les besoins du moments.

    Depuis le début des années 2000, en effet, de multiples textes ont été adoptés par les gouvernements successifs : chacun d’entre eux a élargi les possibilités de contrôle, les obligations diverses de pointage et de justification imposées aux demandeurs d’emploi et aux plus #précaires. Dans le même temps, les possibilités concrètes de formation et d’insertion sociale se sont réduites comme peau de chagrin.

    La réalité, tout le monde la connaît : même en reprenant le chiffre tronqué de 350 000 emplois non pourvus, le mettre en rapport avec le nombre de demandeurs d’emploi suffit à démontrer qu’il n’y a pas de possibilité immédiate pour des millions de gens.

    Exiger des gens qu’ils recherchent quelque chose qui n’existe pas est donc devenu une politique publique à part entière, avec ses victimes , mais aussi ses bénéficiaires, dont on parle peu.

  • CIP-IDF > Pour la fin du #néo-libéralisme « de gauche » - Communiqué de la coordination nationale des intermittents et précaires
    http://www.cip-idf.org/article.php3?id_article=7337

    Face à la machine néo-libérale dirigée par le gouvernement et orchestrée par son bras droit, le MEDEF -qui démantèle les droits sociaux collectifs- nous amplifions la #résistance

    Nous, coordination nationale des #chômeuses, chômeurs, #précaires, intermittents, #intermittentes, intérimaires, réunis ces 31 août, 1er et 2 septembre à Dijon, travaillons à l’abrogation de la convention d’assurance chômage et exigeons l’ouverture de véritables négociations avec les premiers concernés.

    La coordination est aux côtés des associations et syndicats - représentant 39 salariés intermittents, intérimaires, travailleurs précaires privés de droits, matermittentes, mais aussi employeurs - qui, le 26 août, ont déposé une requête sommaire au Conseil d’Etat. Cette requête vient s’ajouter à d’autres procédures, qui vont toutes dans le même sens : dans la forme comme sur le fond, jamais le droit n’a été respecté dans l’élaboration et la validation d’une convention d’assurance chômage injuste, illégale et préjudiciable.

    (...)

    Parce que la #grève est un droit et qu’elle permet de se donner du temps pour se parler, pour penser, pour agir, pour inventer de nouveaux droits sociaux et défendre nos conditions de travail,

    Parce que seule une grève intransigeante et qui dure impactera économiquement et socialement les partenaires du MEDEF et du gouvernement,

    Nous appelons tous les chômeurs, précaires, salariés à entamer une grève reconductible partout en France, dans tous les secteurs d’activité, dès le 1er octobre - jour de mise en application de l’intégralité de la convention d’assurance chômage - et à tenir des piquets de grève pour faire entendre nos revendications.

  • CIP-IDF > L’intermutin, matériaux pour le précariat - 2003
    http://www.cip-idf.org/article.php3?id_article=7333

    C’est en janvier 2003 - peu avant la réforme du protocole Unedic sur l’intermittence de juin 2003 - que ce journal de 32 pages réalisé par les Précaires Associés de Paris (PAP) est paru. Alors que nous sommes à nouveau confrontés à une politique d’austérité qui met l’économie au poste de commande et vient de déterminer un énième recul des droits collectifs à l’encontre des chômeurs, intérimaires, intermittents et précaires [1], il nous a semblé nécessaire de rendre à nouveau disponibles ces « matériaux pour le précariat »

    Divers articles en provenance de collectifs de chômeurs des années 80 ont été publiés ici [2]. L’intermutin contient pour sa part de nombreux éléments sur les mobilisations de chômeurs et précaires des années 90

    Sommaire
    Précaires clandestins
    Boite à outils de l’intermittence
    UNEDIC : rappel historique
    Apportez moi la tête des annexes VIII et X
    Tous intermittents du spectacle ?
    Industrie culturelle, État et intermittents
    Flexibles, du fric pour vivre
    Le travail
    L’avenir de la fracture dure longtemps
    Le Pare, une entreprise travailliste à la française
    Aux confédérations syndicales, à propos de l’Unédic
    La révolte logique des sans salaire
    Revenu garanti pour tous, trois arguments
    L’intermittence et la puissance de métamorphose
    Nous sommes tous des inter-mutants du spectacle !

    • Des boîtes à outil pour l’intermittence

      L’une des difficultés de l’action collective des précaires est une culpabilité aussi profonde qu’entretenue. Il faudrait « avoir honte d’être assisté ».

      Peut-on lutter sans analyser l’évolution du travail et la fonction productive de l’emploi intermittent ? C’est l’une des questions que nous voulons poser.


      Nous nous sommes rencontrés lors de réunions d’information sur les menaces qui pèsent sur les annexes 8 et 10 de la convention Unedic, qui définissent les garanties concédées aux intermittents du spectacle, puis à l’appel d’associations de chômeurs et précaires dans la mobilisation contre l’accord Unedic du 20 décembre 2002 au Medef. Issus de groupes affinitaires, désireux de prendre part à des initiatives de lutte, ou participants à AC !, à la CNT-spectacle, à SUD, nous nous sommes regroupés au sein de Précaires Associés de Paris afin de construire, avec d’autres encore, la dynamique d’un mouvement de conquête de droits nouveaux.
      Après des diffusions de tracts et des prises de paroles dans des théâtres, cinémas, musées, Assedic, concerts, des occupations – au Palais de Tokyo, au Multiplexe cinéma MK2, à l’ANPE Moulin Joly – et bien des discussions informelles, il apparaît qu’une des difficultés majeures de l’action collective des précaires est une culpabilité aussi profonde qu’entretenue : il faudrait « avoir honte d’être assisté ».

      Avec cette auto-dévalorisation pour toile de fond prévaut la crainte de perdre ; l’inhibition et l’apathie le disputent à d’illusoires sauve-qui-peut individuels. Pour remédier à ce pli défaitiste, pas d’autre solution que de construire collectivement un point de vue, depuis notre expérience intime des formes d’emploi flexibles qui se sont développées depuis plus de vingt-cinq ans. Dans un secteur productif aussi profitable que l’industrie culturelle, il est paradoxal d’entendre dire : « Il faut faire le ménage, traquer les abus, réformer le statut, sinon ils le feront sans nous », tout se passant comme si nous étions par avance complices d’un renforcement de la soumission à l’emploi précaire, comme si tout était déjà perdu. Des millions de poissons précaires seraient en train de pourrir par la tête ?

      Aussi est-ce par ce canal – mais pas seulement – que nous avons choisi de continuer d’agir, histoire de déblayer quelques idées affaiblissantes par des questions utiles à la comprenette. Pour nous, travailleurs précaires de conditions diverses, chômeurs avec ou sans allocation Assedic ou minima, mais aussi « salariés normaux » ou en formation, ne pas ignorer l’importance de diverses conditions spécifiques d’emploi ou les particularités des dispositifs sociaux dont nous dépendons ne signifie pas renoncer à une compréhension d’ensemble. Nous ne nous divisons pas selon les modalités – si soigneusement distinctes – de reconnaissance sociale et de statut qui font office de (maigre) contrepartie à notre contribution à la production de richesses. Ces hiérarchies absurdes, cette segmentation, ces discriminations innombrables, redoublent l’atomisation individualisante qui tend à faire de chacun de nous l’ennemi de l’autre dans une concurrence sans merci. Nous refusons ce choix invivable et ne voulons pas voir brider la créativité, les formes de coopération qui nous passionnent.

      Nous avons choisi de nous regrouper autour d’un constat commun : l’emploi discontinu, l’alternance de périodes de formation et de chômage sont désormais de règle pour une large fraction des salariés. La réussite de la refondation sociale patronale risque de se prolonger par une réforme des retraites qui obligerait à une durée d’emploi plus longue pour des pensions plus faibles (ou le minimum vieillesse). Négliger le caractère structurant de l’intermittence de l’emploi, ne pas inventer des formes de luttes qui lui soient adaptées, serait contribuer à une défaite annoncée. Les coordinations et les occupations à venir devront ouvrir un espace d’inscription au plus grand nombre, à partir des problèmes les plus concrets. Il semble actuellement plus facile au gouvernement de jouer du « consensus sécuritaire » plutôt que d’un « refus de l’assistanat » dont chacun sait – y compris les socialistes qui par Jospin interposé l’ont asséné contre les luttes de chômeurs et précaires – qu’il engraisse directement les patrons. Mais cette volonté de « prudence en matière sociale » est et sera contredite par ceux mêmes qui la souhaitent. La responsabilité des précaires, et particulièrement des intermittents du spectacle, est d’ores et déjà engagée dans les conflits qui s’annoncent. Et qui mieux que les premiers concernés pourrait produire et propager un virus apte à dissiper la technicisation du débat social qu’on nous oppose ? À cette « complexité », dont on nous abreuve pour nous déposséder encore, répondons par l’esquive ; à la culpabilisation par la fierté et, comme disait Joe Strummer, la justice viendra sur nos pas triomphants.

      #Précaires associés de Paris, 2003

  • Les #Dossiers_de_Terrains_de_Luttes n°5 Des grèves de #précaires
    http://terrainsdeluttes.ouvaton.org/?p=3800

    Impossible, les grèves dans les secteurs où la main d’oeuvre est précaire ? La vague de grèves qui a touché les secteurs de la #restauration rapide ainsi que le géant de la distribution Wal-Mart depuis 2012 aux #Etats-Unis n’est pas seulement le signe d’une reprise des luttes au coeur même …

    #grande_distribution #mc_donald's #Syndicalisme

  • C’est ici que... - #vosgueuleslesmouettes
    http://www.vosgueules-lesmouettes.com/cest-ici-que.html

    Émission radio « C’est ici que … »
    Lutte en cours, Dimanche 27 juillet 2014, 18h

    C’est ici que ce que nous défendons, nous le défendons pour tous...

    Le 22 mars 2014 certains des dits partenaires sociaux siégeant à l’#Unedic signent un accord pour réformer les règles de l’Assurance #Chômage. Les Coordinations des #Intermittents et #Précaires (CIP) de tout le pays accompagnées du Mouvement National des Chômeurs et Précaires (MNCP), du Droit Au Logement (DAL), de l’Intersyndicale Pôle Emploi, de la CGT, entre autres mouvements sociaux, montent au créneau pour dénoncer un accord injuste, destructeur de solidarité et créateur de précarité commandité par le MEDEF.

    Qu’est-ce que l’Unedic ? Et pour élargir la question : quel est le principe des caisses de solidarité ? Que change ce nouvel accord agréé par le gouvernement de Manuel Valls le 26 juin dernier ? Qui est concerné ? Que proposent les CIP ?

    Jean, Coco, Nadja, Julia, Pédro, Michel, Véro, Jérôme, Gaël et Paul-Marie des CIP Midi-Pyrénées, Ile-de-France, Lorraine et Languedoc-Roussillon ; Marie du MNCP ; Daniel de l’Intersyndicale Pôle Emploi ; Tristan du DAL ; Bernard Friot, sociologue du travail nous défrichent le chemin du revenu garanti, pavé de solidarité interprofessionnelle.

    #radio

  • CIP-IDF > #Intermittent, #précaire à temps plein ? #DATAGUEULE 8 - Décryptage, 3 minutes pour tout comprendre
    http://www.cip-idf.org/article.php3?id_article=7235

    Histoire de l’intermittence, précarité, assurance-chômage, réforme de 2003, accord du 22 mars 2014, retrouvez #DATAGUEULE 8, le programme qui vous explique tout en moins de 3 minutes !

    Pour mettre un terme aux idées reçues, diffusez, diffusez, diffusez !!!

  • Conférence sociale de Hollande : le représentant des #précaires gagne 300 000 euros par an
    http://www.politique.net/2014070401-precaire-conference-sociale.htm

    Les syndicats de salariés et le patronat sont censés participer à cette conférence. Tout comme le collectif Alerte, regroupant les principales associations luttant contre la #précarité. Et justement, selon Le Canard enchaîné, ce collectif a demandé et obtenu de pouvoir intervenir le jour de l’ouverture de la conférence par François Hollande. Et qui va expliquer au chef de l’Etat les difficultés quotidiennes des citoyens les plus précaires ? Accrochez-vous : c’est Louis Gallois, ancien président d’EADS, actuellement président de la FNARS (Fédération nationale des association d’accueil et de réinsertion sociale).

    Problème : Le Canard enchaîné précise que celui qui portera la parole des précaires n’en est pas vraiment un. « Ce nouveau pauvre, désormais à la retraite, ne touche plus que 10% de son dernier salaire. Une misère, ironise l’hebdomadaire. Une misère de 300 000 euros tout de même, vu que l’ancien patron empochait 2,8 millions de salaire annuel chez son dernier employeur, EADS ».

  • CIP-IDF > Parce que le festival #Off_d’Avignon est aussi le nôtre !
    http://www.cip-idf.org/article.php3?id_article=7228

    Nous sommes artistes, techniciens, #intermittents du spectacle et compagnies, et nous sommes inscrits cette année dans un des lieux du Off.

    Réunis en collectif, nous parlons, imaginons, réfléchissons à des moyens de nous mobiliser, ensemble, contre l’accord du 22 mars 2014, agréé le 26 juin dernier.

    Parce qu’il est la suite logique de la réforme de 2003 contre laquelle nous nous battons,

    Parce que l’accord dans son ensemble, bien au-delà des seules annexes 8 et 10, touche les plus #précaires, à l’heure où 6 chômeurs sur 10 ne sont pas indemnisés,

    Nous vous proposons de nous rejoindre, dès maintenant, et tout au long du festival, pour imaginer, parler, agir ensemble pour son abrogation.

    Chacun, chaque compagnie, chaque lieu pourra, bien sûr, décider de ses propres modalités d’action.

    Un vote concernant la grève (sous toutes ses formes, reconductible, perlée..) peut notamment être organisé au sein de chaque compagnie qui le souhaite.

  • CIP-IDF > Non merci - Collectif Festival d’#Avignon IN
    http://www.cip-idf.org/article.php3?id_article=7213

    NON MERCI

    NON MERCI, nous ne voulons pas d’un traitement de faveur qui nous isole, nous qui sommes solidaires des #droits de tous les travailleurs #précaires, ceux dont l’activité même se définit comme discontinue. Non, nous ne sommes pas uniquement des #intermittents du spectacle faciles à montrer du doigt. Nous sommes aussi solidaires des intérimaires, des vacataires, des serveurs, des réceptionnistes, des saisonniers et Manuel Valls ne parle même pas d’eux...

    NON MERCI, nous ne voulons pas que la négociation et la concertation soient confisquées par de nouvelles personnes, alors que cette mission a déjà été effectuée depuis 10 ans par des professionnels pour des réformes justes et équitables. Non, on ne signe pas d’abord pour négocier ensuite.

    NON MERCI, nous ne voulons pas d’un simulacre de dialogue social. Non, nous ne voulons pas que le #MEDEF fasse « l’économie » d’une discussion avec tous les partenaires concernés.

    NON MERCI, nous ne voulons pas d’une mise en concurrence des différents domaines culturels, par le seul maintien des crédits pour la création du spectacle vivant. Nous voulons travailler ensemble, pas les uns contre les autres.

    NON MERCI, nous ne voulons pas de la prise en charge de notre différé d’indemnisation par l’#Etat, c’est à dire les contribuables. Nous voulons l’abandon de cette mesure incompréhensible et injuste.

    INDIGNONS-NOUS !
    UNISSONS-NOUS !
    MOBILISONS-NOUS TOUS ENSEMBLE !

  • Intermittents : dans les coulisses d’un #blocage de spectacle
    http://www.lemonde.fr/videos/video/2014/06/24/intermittents-dans-les-coulisses-d-un-blocage-de-spectacle_4444483_1669088.h

    Non merci - Collectif Festival d’Avignon IN
    NON MERCI

    NON MERCI, nous ne voulons pas d’un traitement de faveur qui nous isole, nous qui sommes solidaires des droits de tous les travailleurs #précaires, ceux dont l’activité même se définit comme discontinue. Non, nous ne sommes pas uniquement des intermittents du spectacle faciles à montrer du doigt. Nous sommes aussi solidaires des intérimaires, des vacataires, des serveurs, des réceptionnistes, des saisonniers et Manuel Valls ne parle même pas d’eux…

    http://www.cip-idf.org/article.php3?id_article=7213

    Paris 19h15 L’émission « Ça vous va » sur France 5 a vu son plateau envahi par des manifestants contre la convention anti chômeurs , intermittents et intérimaires qui désiraient prendre la parole en direct. La diffusion de l’émission a été interrompue.

    Occupation du siège de #Pôle_emploi

    http://www.cip-idf.org/article.php3?id_article=7121

    #interruption

  • CIP-IDF > Festi-Valls de Tartufferies sur la Convention d’assurance chômage. Solidaires Sud Emploi Midi Pyrénées
    http://www.cip-idf.org/article.php3?id_article=7186

    Rappelons que la décision du 11 juillet 2001 du Conseil d’état reconnaît au ministre, au-delà du contrôle de légalité qu’il doit exercer, un pouvoir d’appréciation qui lui permet de refuser l’agrément sollicité « pour des motifs d’intérêt général tirés notamment de la nécessité de garantir l’équilibre financier du régime ou de la protection des droits des travailleurs. »

    L’intérêt général est pourtant gravement en péril. Depuis des mois , avec la Coordination des Intermittents et Précaires, avec les associations représentant les chômeurs, nous expliquons que cette nouvelle convention d’assurance chômage est inacceptable.

    #valls #grève_générale #intermittents #précaires #chômeurs #cheminots

  • Les sous-fifres occupent la Philharmonie de Paris — mouvement des précaires, chantier à ciel ouvert
    http://www.archyves.net/html/Blog/?p=5920

    Hier matin, dès l’aube, 150 intermittents de l’emploi & chômeurs partiels (du Spectacle, mais pas seulement) ont occupé par surprise l’immense auditorium en construction de la Philharmonie de Paris. Vers 6h30, le tour était joué. Tandis que trois issues étaient bloquées, un groupe grimpait aux étages supérieures, réussissant à accrocher d’immenses banderoles sur les poutrelles à claire-voie de l’édifice. Source : Pense-bête

  • À Paris Laumière, les grévistes de Pôle emploi dénoncent une « dégradation au carré » de la moulinette à chômeurs
    http://paris-luttes.info/a-paris-laumiere-les-grevistes-de

    Masque blanc sur le visage, ils sont une dizaine à s’aligner devant le Pôle emploi de l’avenue Jean-Jaurès. « En grève », énoncent les panneaux alphabétiques qu’ils portent dans les mains. Parmi les rares soutiens rassemblés sur le trottoir, Norredine, un chômeur du quartier, apprécie la mise en scène : « Moi je suis en grève toute l’année ! C’est bien que les agents Popaul s’y mettent à leur tour, même si c’est juste pour une journée. Ça fait un peu tomber les barrières. »

    Pour les usagers de la machine à broyer les chômedus, ce n’est pas encore un spectacle courant de voir ceux qui les contrôlent cesser le boulot et appeler à une commune solidarité. Depuis la mise en place en 2005 de la sinistre farce du « suivi personnalisé », la charge de travail du personnel s’est alourdie au même rythme que la suspicion infligée aux chômeurs, sans que l’engorgement du système ne paraisse en mesure de déclencher une explosion généralisée. (…)

    Ici, à l’agence de Laumière, on encaisse de plein fouet la restructuration en cours du Pôle emploi parisien. Il y a deux ans, le ministère du Travail a décidé en effet de fermer la moitié des agences de la capitale – vingt-sept sur soixante – afin de concentrer la moulinette à chômeurs sur des plateformes de taille industrielle.

    #chômage #précaires

  • Les intermittents luttent pour nos biens communs - Page 2 | Mediapart
    http://www.mediapart.fr/en/journal/france/100614/les-intermittents-luttent-pour-nos-biens-communs?page_article=2

    Edwy Plenel a lu « Intermittents et Précaires » d’Antonella Corsani et Maurizio Lazzarato - il en est tout ému...

    (vous aussi, vous pouvez le lire ici : http://www.cip-idf.org/IMG/pdf/Intermittent-Ultimate-interior-file.pdf)

    Entre progrès social et régrès libéral, la bataille de l’intermittence concerne donc le monde du travail tout entier, véritable laboratoire de l’affrontement entre une logique de mutualisation du risque, qui impose des solidarités collectives, et une idéologie de capitalisation, qui livre les personnes à des combats solitaires, avec cette conviction aveugle que le chômage serait de la responsabilité des seuls individus et non pas de celle de la société. Mais, loin d’avoir pour unique adversaire le néolibéralisme patronal, le combat des intermittents rencontre en chemin des conservatismes syndicaux qui n’envisagent le travail que sous la forme de l’emploi salarié et permanent, qui s’accrochent à sa défense exclusive au point de délaisser les nouvelles formes d’emplois et de trajectoires professionnelles et qui, de ce fait, aggravent leur déjà faible représentativité par l’ignorance de nouvelles catégories de travailleurs, notamment parmi la jeunesse.

    #communs #expertise #intermittence #chômage #précaires #néo-libéralisme

  • Précariser, un combat idéologique
    entretien avec Samuel, Alice, Danièle et Axelle, intermittents et précaires
    http://www.vacarme.org/article2648.html

    Depuis des années le patronat et les syndicats « partenaires » s’emploient à réformer le système d’assurance-chômage, prétendument trop favorable aux intermittents du spectacle et aux précaires. Le dernier accord, signé sans concertation dans la nuit du 21 au 22 mars 2014 accentue la précarisation. La mobilisation continue pour que le gouvernement ne ratifie pas cet accord qui institue le plein emploi précaire pour tous. Retour sur les vrais enjeux de la réforme de l’Unédic.

  • CIP-IDF > Lundi 2 juin, Journée d’#actions coordonnées
    http://www.cip-idf.org/article.php3?id_article=7054

    Paris
    11h rdv à République, devant la Bourse du travail, 3 rue du château d’eau. Il s’agit d’une action nationale « communication et bleu de travail ». Ils veulent agréer la convention #Unedic, il faut que nous soyons nombreux, n’hésitez pas à faire circuler.

    18h : rassemblement devant le Théâtre des Folies Bergère - 32 Rue Richer, Paris 9e, M° Cadet - avant le début de l’enregistrement de la cérémonie des « Molière », diffusé en différé dans la soirée sur France 2.

    Avignon
    rdv à 10h30 devant le cinéma Utopia, Manutention.
    Dans la foulée, rendez vous au « Hauts Plateaux » à 19h30, 4 rue des escaliers St Anne, pour une Assemblée Générale à l’appel de la Coordination #Intermittents et #Précaires d’Avignon. Faisons de ce lundi 2 juin une sacrée Belle Journée !! Soyons nombreux

    Besançon rdv action à 15h Kiosque Granvelle

    Montpellier
    12h Assemblée Générale extraordinaire déterminante au Domaine D’o, Espace Micocouliers avec les équipes techniques et artistiques du Printemps des Comédiens.
    17 h Baillargues, allons accueillir avec des salades (pourries) Stéphane Le Foll Porte-parole du #Gouvernement et Ministre de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt.

    Lyon 18h réunion inter-commissions hebdomadaire ouverte à tous au CEDRATS, 27 montée Saint-Sébastien.

    Divers rdv du jour ne nous ont pas encore parvenus ou ne sont pas publics, pour en savoir plus, contacter les collectifs et coordinations locaux.