Pasque ça faisait mieux dans la phrase :o)
Blague à part, « pérennité » c’était comme conséquence des effets précédents.
Les préprocesseurs répondent en partie à des besoins qui seront bientôt couverts nativement par CSS. Dans certaines utilisations, on peut donc les voir comme des outils de transition, à durée de vie limitée, qui risquent de se « périmer ». Enfin, tous les intégrateurs et webdesigners n’ont pas forcément les compétences techniques / le temps / l’envie pour mettre en -œuvre et déboguer ce que génèrent les préprocesseurs.
Par contre, je ne suis pas « opposés » aux préprocesseurs, dans certains contextes (outils « thémables », sprites, etc...), ils peuvent être très utiles.