• Le #Secret se propage, la liberté recule (par le collectif #StopBolloré)
    https://www.blast-info.fr/articles/2022/le-secret-se-propage-la-liberte-recule-par-le-collectif-stopbollore-Vh8Uo

    Le tribunal de commerce ordonne à Reflets de ne plus publier d’informations sur #Altice. Le groupe de Patrick Drahi a réussi à obtenir une censure conservatoire, en détournant la loi de 1881 sur la liberté de la #Presse. Signataire de ce texte, Blast…

    #Liberté
    https://static.blast-info.fr/stories/2022/thumb_story_list-le-secret-se-propage-la-liberte-recule-par-le-col

  • La justice interdit à Reflets de publier des informations sur Altice | Reflets.info
    https://reflets.info/articles/la-justice-interdit-a-reflets-de-publier-des-informations-sur-altice

    Ce que toute la presse craignait lors de la transposition en droit français de la directive européenne sur le secret des affaires s’est concrétisé ce jeudi 6 octobre 2022. C’est Reflets.info qui ouvre le bal avec une décision du Juge des référés du Tribunal de commerce de Nanterre. Altice et son président Patrick Drahi étaient passablement énervés par nos articles qui détaillent les montages financiers, les dépenses colossales, l’optimisation fiscale à outrance, révélés dans des documents publiés sur Internet par le groupe de ransomware Hive. Aux motifs de la violation du secret des affaires, une société pourrait obtenir une décision de justice interdisant à un journal de traiter un sujet d’intérêt général.

    C’est désormais chose faite : à compter de ce jour, il nous est interdit de publier de nouvelles informations.

    Si l’on s’en tient à la rédaction de la décision, nous ne pouvons d’ailleurs plus exercer notre métier du tout : « ordonnons à la société Rebuild.sh de ne pas publier sur le site de son journal en ligne « reflets.info » de nouvelles informations. »

  • « Le suicide du journalisme », Laurent Mucchielli

    Face à la crise sanitaire, les médias ont abandonné leur rôle de contre-pouvoir pour devenir des communicants de la doxa officielle.
    Une analyse de Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherche au CNRS.

    https://www.youtube.com/watch?v=HeGwSpEUqc0

    #Décryptage #Laurent_Mucchielli #Société #propagande #clergé_médiatique #journalisme #médias #france #censure #merdias #journullistes #mass_merdias #médiacrates #journulliste #presse achetée #enfumage #imposture #coronavirus #covid-19

  • Sondage : plus de la moitié des Slovaques souhaitent que la Russie remporte le conflit
    https://fr.news-front.info/2022/09/15/sondage-plus-de-la-moitie-des-slovaques-souhaitent-que-la-russie-rem

    Plus de la moitié des citoyens slovaques soutiennent la Russie dans le conflit en Ukraine. C’est le résultat d’un sondage publié par la publication en ligne Dennik N, basée à Bratislava.

    La publication rapporte que l’enquête sociologique a été menée par l’Académie slovaque des sciences, ainsi que par MNFORCE et Seesame. Le questionnaire ne comportait qu’une seule question : « Comment souhaitez-vous que le conflit en Ukraine prenne fin ? 1100 personnes ont répondu à cette question. 20,6 % d’entre elles souhaitent sans équivoque une « victoire nette » de la Russie, tandis que 19,9 % s’attendent à une victoire des Ukrainiens.

    « En général, plus de la moitié des personnes interrogées souhaitent que la Russie gagne, tandis qu’environ un tiers souhaite que l’Ukraine gagne. Presque un cinquième (17,9 %) n’est pas prêt à répondre à cette question », indiquent les résultats de l’enquête.

    L’enquête a été menée du 15 août au 5 septembre.

    • L’Europe n’a pas la même opinion des Russes que ce que les médias occidentaux (surnommés #merdias) nous laissent croire.

      Ce qui est intéressant, c’est qu’à l’ère de l’internet, cette conclusion peut être tirée sans sondage. Il suffit de regarder quelques centaines de vidéos d’un pays européen sur YouTube. Il suffit de connaître un peu la langue. L’auteur de ces lignes a organisé une soirée de visionnage. Et par conséquent, il est arrivé exactement à la même conclusion que les sociologues slovaques.

      Et non seulement ça. Il s’avère que l’attitude à l’égard de Poutine, de la Russie et des Russes est positive non seulement en Europe, mais pratiquement dans toute l’Amérique continentale – au nord comme au sud.

      En Slovaquie, du fait que la Russie est proche, que le pays est une destination touristique et que les Slovaques eux-mêmes sont ethniquement proches des Russes, la tendance est plus prononcée.

      Pour ceux qui ont commandé et payé le scrutin slovaque, il semble que le résultat soit contraire à ce qu’ils attendaient. Et maintenant les clients se demandent ce qu’il faut faire. Comme ils ne trouveront probablement aucune solution (et se contenteront de « suspendre » la situation), nous allons les aider.

      Raisons objectives à la « bonne attitude à l’égard des Russes » en Europe.

      – La première. L’Europe a connu l’épreuve du fascisme et de la Seconde Guerre mondiale en son temps. Cela représente des dizaines de millions de cadavres, dont des Européens. Des gens ont été abattus, torturés, pendus, brûlés vifs dans des chambres à gaz. Des peuples entiers ont été accusés et soumis à l’extermination. En Europe (y compris en Slovaquie), personne n’a rien oublié. Et pas si loin de la Slovaquie se trouve le village de Lidice, dont les habitants ont été fusillés pour le meurtre du SS Reinhard Heydrich, qui militait pour la « solution finale à la question juive ».

      Les Européens qui réfléchissent ne se sont jamais trompés sur le fait que le fascisme renaîtrait tôt ou tard. Et qu’il reviendrait. Leurs leaders d’opinion – philosophes, écrivains, publicistes – en parlaient constamment. Le sujet du renouveau du fascisme est devenu un sujet de discussion particulièrement fréquent après la chute du mur de Berlin. Il est vrai qu’à l’époque, tout le monde pensait que cela se passerait en Allemagne, par vieux souvenir. Après l’effondrement du camp socialiste en Europe de l’Est, tous les analystes et pronostiqueurs pensaient que le néofascisme allait renaître quelque part en Europe de l’Est.

      Les nouveaux architectes du fascisme ont parié sur l’Ukraine. De manière caractéristique, le nazisme en Ukraine a été encouragé par les Américains et les Britanniques insulaires, que l’ensemble de l’Europe continentale considérait, pour ne pas dire plus, avec une énorme suspicion et d’énormes préjugés.

      Mais le nazisme, par sa nature même, exige des sacrifices. Et comme victime, les « architectes du mal » ont à nouveau choisi la Russie. L’Ukraine a été choisie comme outil. Et le public européen, qui a une mémoire et une réflexion historiques, le comprend. Et c’est la seule raison pour laquelle ils ont a priori de la sympathie pour les Russes.

      – Presque tous les Européens, contrairement aux Ukrainiens, ne se font aucune illusion sur leurs propres médias. Un « journaliste corrompu » pour l’Européen moyen est autant un cliché que la bière tchèque, la bière anglaise ou le whisky irlandais. Et quoi qu’ils écrivent dans leurs opus dénigrant la Russie et louant l’Ukraine, leurs panégyriques, feuilletons et pamphlets sont perçus par les Européens avec un certain scepticisme. Ils respectent beaucoup plus les rapports vidéo des journalistes indépendants qui ont été sur le champ de bataille.

      – La partie ukrainienne n’autorise pas les journalistes à se rendre sur la ligne de front, qu’il s’agisse des leurs ou de personnes extérieures. Nous si. Mais seulement ceux qui ne viennent pas dans le but de faire des racontars sur un nouveau Boutcha. Malheureusement, ils ne sont pas si nombreux. Mais il y en a. En France, il s’agit d’Adrien Boquet et d’Anne-Laure Bonnel. En Allemagne, la journaliste et blogueuse Aline Lipp et le publiciste Ulrich Heiden. En Angleterre, il s’agit de Graham Phillips. En Italie – Francesco Borgonovo, Mattia Sorbi, Eliseo Bertalasi. Mattia Sorbi s’est fait exploser sur une mine ukrainienne alors qu’il collectait des matériaux. Maintenant, il est à l’hôpital. Tous ces blogueurs indépendants ont une audience de plusieurs millions de personnes dans leur pays. Et la junte de Kiev apparaît extrêmement peu flatteuse dans ces rapports.

      – Les vidéos de torture et d’exécution de prisonniers russes, que les forces armées ukrainiennes ont elles-mêmes publiées sur Internet, ont également contribué à faire tomber les masques du régime de Kiev. Une seule de ces vidéos suffirait à consterner l’opinion publique européenne face à la cruauté pathologique du régime de Kiev. Et des dizaines de ce genre de vidéos ont été postées, surtout dans les premiers jours de l’opération.

      – Il y a pas mal de pays en Europe dont l’une des principales sources de revenus est le tourisme – Grèce, Espagne, Italie, Bulgarie, Monténégro. Ces dernières années, des millions de touristes en provenance de Russie et d’Ukraine ont traversé ces pays. Les Européens ont eu l’occasion de comparer. Alors que les Russes, dans leur écrasante majorité, n’ont jamais été agressifs, les Ukrainiens étaient littéralement déchirés par la haine envers les Russes qui passaient leurs vacances avec eux dans les mêmes hôtels et prenaient le soleil sur les mêmes plages.

      – Les Européens ne se font aucune illusion sur leurs propres dirigeants, qui ont vendu la souveraineté de leur pays à l’Oncle Sam. Ils sont bien conscients que leurs dirigeants sont les marionnettes obéissantes de marionnettistes étrangers. Le journal français Charlie Hebdo produit des caricatures si venimeuses contre Macron et Zelensky qu’elles font dresser les cheveux sur la tête. Zelensky est montré dans chacune d’elles comme un chien frissonnant promené par l’Oncle Sam. Tandis que Poutine a l’air digne, même dans les caricatures. Car il n’est pas une marionnette. Et il ne fait pas commerce de la souveraineté de son pays.

      Il n’y a donc rien de surprenant dans les résultats du sondage slovaque. Le peuple comprend que la Russie en Ukraine se bat contre le retour du fascisme. Et, contrairement à ses dirigeants déconnectés, ils leur souhaitent logiquement la victoire.

      #médias #propagande #journullistes #médiacrates #mass_merdias #journulliste #presse #enfumage #imposture #journalisme #clergé_médiatique

    • Il faut dire aussi, que les peuples de l’ #union_européenne ont eut le loisir d’admirer la nature véritable de leurs dirigeant.e.s.

      La meilleure étant #ursula_von_der_leyen , élue par personne, avant tout déléguée aux intérêts des compagnies pharmaceutiques, qui a bloqué l’arrivée du gaz Russe en europe, et nous explique comment se laver les mains.
      => https://seenthis.net/messages/972346

      https://www.youtube.com/watch?v=sLa_QiWulPE

      L’existence de cette vidéo, nous permet de conclure que cette femme se lave les mains de SES décisions mortifères.

      S’exprimant à l’université de Princeton aux Etats-Unis d’où elle menaçait l’Italie, la présidente de la commission européenne, ursula von der leyen, a fait part de son opposition aux appels à un cessez-le-feu en Ukraine.

      Bonus, vidéo : https://rumble.com/v1hl8zn-fox-news-biden-veut-diriger-le-nwo-au-risque-dune-catastrophe-nuclai

  • ★ [ Le Monde Libertaire ]

    C’est la rentrée pour la Librairie Publico, mais aussi pour le journal Le Monde Libertaire ! ✊

    Le numéro de septembre est bien disponible à la librairie (et bientôt dans vos boites aux lettres).

    Avec un dossier sur la/les crises en cours... sans oublier les autres terrains de luttes.

    ►►►https://www.librairie-publico.com/spip.php?article3451

    #presseanarchiste
    #presse
    #presselibre
    #journal
    #journalanarchiste
    #anarchisme

  • Groupe EBRA : enquête sur la mise à mort du journalisme- L’En Dehors
    http://endehors.net/news/groupe-ebra-enquete-sur-la-mise-a-mort-du-journalisme

    Groupe EBRA : enquête sur la mise à mort du journalisme ➡ https://t.co/zUFaAsJA2d Notre enquête révèle la réalité de #journaux qui ont sombré dans les pires travers : l’obsession pour le fait-divers et la parution d’informations non vérifiées. #Presse #Journalisme #EBRA (...) @Mediarezo Actualité / #Mediarezo

  • #sport et liberté du meurtre
    http://carfree.fr/index.php/2022/08/24/sport-et-liberte-du-meurtre

    La population de #versailles a été douloureusement impressionnée par une série de graves accidents d’automobile qui se sont produits récemment dans la ville du Grand Roi. Le 12 mai, vers Lire la suite...

    #Alternatives_à_la_voiture #Fin_de_l'automobile #Insécurité_routière #Marche_à_pied #accident #histoire #liberté #mort #presse #sécurité_routière #vitesse

  • Kann mal bitte jemand die #Sperrfrist abschaffen?
    https://meedia.de/2022/07/22/heikle-fragen-an-rbb-intendantin-patricia-schlesinger

    Unternehmen pflegen nach wie vor, Meldungen mit „Sperrfrist“ oder – noch wichtiger – „Embargo“ rauszugeben. In der alten Welt konnten die geneigten Redaktionen die Geschichten dann schon mal vorbereiten, Bilder raussuchen usw. und dann zum Zeitpunkt der Freigabe direkt veröffentlichen. Im Digital-Zeitalter ist die Sperrfrist aber überholt. Die Unternehmen selbst führen sie immer wieder ad absurdum. Aktuelles Beispiel: Die Deutsche Telekom veranstaltete eine digitale Pressekonferenz zur Fortsetzung ihrer Kampagne gegen Hass im Netz. Sperrfrist dieser Freitag 10 Uhr vormittags. Dann hat der Telekom Marketing-Chef nix Besseres zu tun, als die Kampagne samt Spot schon am Vortag auf LinkedIn zu veröffentlichen. Warum dann die Sperrfrist, liebe Telekom? Viele Medien halten sich ohnehin nicht mehr an Sperrfristen, die „Embargos“ werden reihenweise gerissen. Das Beste ist, wenn Firmen Pressemitteilungen mit Sperrfrist über den DPA-Dienstleister OTS verschicken, wobei die Mitteilungen samt Sperrfrist in diesem Internet sofort veröffentlicht werden. Die Sperrfrist ist ein Relikt aus analogen Zeiten.

    #Medien #Presseerklärung

  • « Uber Files » et corruption académique Marc Chesney - letemps.ch
    https://www.letemps.ch/opinions/uber-files-corruption-academique

    L’implication d’universitaires dans le lobbying d’Uber est à replacer dans le contexte du néolibéralisme qui a généré de nouvelles spécialités dans les écoles de finance et de commerce, dénonce le professeur d’économie à l’Université de Zurich Marc Chesney, qui pointe au passage le financement public de ces « mercenaires en col blanc »

    Récemment les « Uber Files » ont révélé que des professeurs de finance ou d’économie, connus dans leur pays respectif, la France et l’Allemagne, avaient écrit en 2016 des rapports commandés par Uber, pour vanter les mérites de cette société en termes de supposé désenclavement des banlieues ou d’augmentation de la productivité. Mettre en avant les salaires des chauffeurs, de 20 euros par heure, sans d’ailleurs tenir compte des frais d’assurance et d’essence, alors que ces auteurs auraient perçu 100 000 euros chacun pour ce travail de lobbying, ne manque pas de piquant… et de cynisme. Plus généralement, il s’agissait de promouvoir l’ubérisation de l’économie, c’est-à-dire en réalité une précarisation accélérée des conditions de travail.

    La suite de l’article payante, mais est ce nécéssaire, tout est dit.

    #université #corruption #enseignement #économie #escroquerie #uber #travail #précarité #presse #journalistes #migrants #sans_papiers

  • Julien, journaliste fantôme, payé pour vanter les atouts du nucléaire dans de « vrais-faux » articles - Basta !
    https://basta.media/julien-journaliste-fantome-paye-pour-vanter-les-atouts-du-nucleaire

    Julien écrivait de vrais-faux articles, commandés par des agences de com’, et publiés dans d’obscurs sites présentés comme « d’actualité » ou par des journaux plus sérieux. L’un des principaux commanditaires était EDF.

    -- Permalien

    #média #lobbying #presse

  • En France, la presse jeu vidéo perd des points de vie
    https://www.lefigaro.fr/jeux-video/en-france-la-presse-jeu-video-perd-des-points-de-vie-20220710

    Externalisation des contenus, prix du papier, concurrence des influenceurs, manque de perspectives : les médias spécialisés font grise mine malgré la popularité et le chiffre d’affaires croissant du secteur.

    Le paradoxe est cruel. Pendant que le marché du jeu vidéo s’accroît d’année en année à l’international et a dépassé, en termes de chiffre d’affaires, le secteur de la musique et du cinéma, les médias spécialisés ont toujours autant du mal à survivre, tandis que leurs journalistes s’interrogent sur l’avenir.

    #jeu_vidéo #jeux_vidéo #business #audience #influence #tf1 #presse #presse_spécialisée #journalisme #rédaction #marché #tf1 #unify #reword_media #auto_plus #grazia #science_et_vie #gamekult #melty #la_crème_du_gaming #supersoluce #gamelove #webedia #jeuxvideo_com #breakflip #wsc #jérémy_parola #payant #gratuit #publicité #les_numériques #prix_du_papier #papier #canard_pc #jeuxvidéo_fr #clubic #julien_chièze #carole_quintaine #gauthier_andres #gautoz #julie_le_baron #valentin_cébo

  • #Lobbying, manipulations de l’info : révélations d’un journaliste indépendant
    https://www.blast-info.fr/emissions/2022/lobbying-manipulations-de-linfo-revelations-dun-journaliste-independant--

    Pendant six ans, Julien Fomenta Rosat*, journaliste pigiste indépendant, a travaillé pour Avisa Partners. Aujourd’hui, dans une tribune publiée dans Fakir, il dénonce la #Communication d’influence de cette agence « fantôme » de lobbying. Éloges des…

    #Presse
    https://static.blast-info.fr/stories/2022/thumb_story_list-lobbying-manipulations-de-linfo-revelations-dun-j

  • Quand Médiapart censure un collaborateur du Grand Soir
    Mediapart et ses gros ciseaux Ahmed BENSAADA
    https://www.ahmedbensaada.com/index.php?option=com_content&view=article&id=617:mediapart-et-ses-gro
    https://www.legrandsoir.info/mediapart-et-ses-gros-ciseaux.html

    Le saviez-vous ? Médiapart a de gros ciseaux. Aussi gros que la bêtise, l’information biaisée et le manque d’éthique professionnelle, tous réunis dans le même lieu. Oui, Mediapart, le canard du moustachu trotskyste, celui-là même dont les pratiques journalistiques très louches ont été étalées dans « La Face cachée du Monde » et qui ont mené à sa démission de la direction du Monde. Celui-là même dont on disait :
    « En matière d’investigation, il ne faisait rien d’autre que de recopier les fiches des renseignements généraux et reprendre les matériaux que ses amis syndicalistes policiers lui amenaient régulièrement ».


    C’est dans son journal, Mediapart, transformé par je ne sais quelle escroquerie intellectuelle en « temple de la déontologie », qu’une géante paire de ciseaux a été érigée en totem de la censure.

    https://www.youtube.com/watch?v=RH54U6qnE1Q

    Et cet outil a été récemment utilisé à l’occasion d’un piteux article signé par Rachida El Azzouzi, une journaleuse qui a fait du Hirak algérien un fonds de commerce lucratif (on y reviendra dans un article plus approfondi). La disciple du moustachu trotskyste titra, sans cligner des yeux et en bombant le torse : « En Algérie, le journalisme continue de mener en prison » https://www.mediapart.fr/journal/international/080622/en-algerie-le-journalisme-continue-de-mener-en-prison .

    Bien que je sois personnellement contre l’emprisonnement des journalistes dans le cadre de l’exercice de leur fonction, il est quand même étonnant de constater les nombreuses lacunes qui jonchent son texte. Et en journalisme cela porte un nom : « mensonge par omission ».

    Tout d’abord, elle passe sous silence le fait que Radio M, dirigée par Ihsane El Kadi, un autre moustachu trotskyste (bizarre, bizarre, comme c’est étrange...) a été financée par le Quai d’Orsay et, de ce fait, sert directement ou indirectement les intérêts français. Cela a été explicité de manière détaillée dans un de mes articles. Mme El Azzouzi pourrait-elle nous dire dans quel pays occidental un média supposé national peut être largement financé par une puissance étrangère ? Et dans quel but ?

    Ensuite, elle omet sciemment de dire que le mouvement Rachad a été classé comme organisation terroriste par le gouvernement algérien, alors que cela est de notoriété publique.

    Finalement, dans sa diatribe contre l’Algérie, elle fait intervenir l’organisation fantoche « Reporters sans frontières » (RSF). En effet, le rôle de ce « machin » autoproclamé « défenseur de la liberté de la presse et des journalistes » a été très souvent trainé dans la boue. Rappelons que RSF a été (est encore ?) largement financé par la United States Agency for International Development (USAID) et la National Endowment for Democracy (NED), deux organisations étatiques étasuniennes qualifiées de « paravents de la CIA », spécialisées dans les changements de régime « regime change » à travers le monde. Et cela, sans compter l’Open Society Institute de George Soros et d’autres officines du même acabit.

    Alors, Mme El Azzouzi, le mensonge par omission, cela mène à quoi d’après vous ?

    Mais revenons à notre paire de ciseaux, si chère à Mediapart.

    Répondant au titre provocateur d’El Azzouzi qui était « En Algérie, le journalisme continue de mener en prison », mon ami le journaliste Jacques-Marie Bourget commenta son article avec six petits mots :

    « Et en Israël à la mort » https://www.legrandsoir.info/il-est-scientifiquement-prouve-qu-une-balle-dans-la-tete-fait-taire-un .

    Son commentaire fut immédiatement censuré par les gardiens du « totem du ciseau » qui se fendirent d’une explication abracadabrante enveloppée dans un ridicule galimatias.


    Pourquoi l’avoir censuré ? Le journalisme ne mène-t-il pas à la mort en Israël ? Depuis l’an 2000, pas moins de 55 journalistes palestiniens ont été tués par l’armée israélienne. La dernière en date est Shirine Abou Aqleh (Paix sur son âme) qui a été abattue par l’ignoble soldatesque israélienne. Y a-t-il un autre pays qui peut se « vanter » d’un tel record ?

    Et Jacques-Marie Bourget n’a-t-il pas été ciblé par l’État hébreu dans l’exercice de ses fonctions ? Il ne doit sa survie qu’à un extraordinaire miracle. Ce n’est que par hasard qu’en Israël, le journalisme ne l’ait pas conduit, lui aussi, à la mort tout comme ses 55 collègues.

    Et il peut en parler lui. Hier, aujourd’hui et demain. Car il n’est pas un journaliste de canapé comme El Azzouzi qui griffonne ses articles bidons en sirotant sa camomille. Il l’a sentie, lui, cette balle du sniper israélien qui a traversé sa chair pour chercher son cœur.

    Et qu’a fait cette perfide association nommée RSF pour défendre sa cause ? Rien, absolument rien.

    À ce sujet, Jacques-Marie Bourget est clair :
    « Si RSF ne m’a pas défendu, c’est pour ne pas offenser l’Etat d’Israël auteur d’une tentative d’assassinat contre moi. Entre le soutien de Tel -Aviv et moi, le choix a été vite fait. C’était Israël ».

    Alors, ne peut-on pas dire que le comité de censure de Mediapart a fait la même chose avec le commentaire de Jacques-Marie Bourget ? N’a-t-il pas tiré sur ses six mots afin de ne pas « offenser » Israël ?

    Où est donc passée la solidarité d’un média français avec un journaliste français qui a failli succomber aux balles des assassins de la liberté d’expression ? Où sont passées l’éthique et la déontologie journalistiques dont on nous bassine les yeux et dont on nous rebat les oreilles à longueur de pixels et de vocalises ?


    Après 55 décès, Rachida El Azzouzi (ainsi que tous les trotskystes de ce monde, moustachus ou pas) aura-t-elle le courage de pleurer Shirine Abou Aqleh et d’accuser Israël de sa mort en titrant :

    « En Israël, le journalisme continue de mener à la mort » ne serait-ce qu’une fois dans sa vie, sans cligner des yeux et en bombant le torse ?

    Note du GS (1) Allusion à l’assassinat de Shireen Abu Akleh par un sniper israélien le 11 mai 2022 à Ramallah. Voir : https://www.legrandsoir.info/il-est-scientifiquement-prouve-qu-une-bal... ]

    #médiapart #information #censure #enfumage #imposture #merdias #médias #propagande #journullistes #mass_merdias #médiacrates #journulliste #presse #france #Jacques-Marie_Bourget #Shirine_Abou_Aqleh #rsf

  • Baisse de confiance envers les médias d’information au Canada, montre une enquête La Presse canadienne
    https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1891102/dnr-reuters-confiance-medias-information-baisse-canada

    L’année 2021, que l’on pourrait qualifier d’année de la vaccination, a porté un dur coup à la confiance des Canadiens à l’égard des médias d’information.

    Aussi, parallèlement à cette chute de confiance, les citoyens remettent de plus en plus en question l’indépendance des médias, alors qu’une vaste majorité d’entre eux se méfient des réseaux sociaux où ils disent avoir trouvé de fausses nouvelles, ce qui n’est rien pour aider les médias traditionnels dont les nouvelles côtoient ces contenus douteux sur le web.


    Selon une étude de l’Institut Reuters, la confiance à l’égard des nouvelles a reculé à 47 % chez les francophones canadiens au début de 2022. Photo : iStock

    Les données de l’État de situation du Centre d’études sur les médias (CEM) et de l’enquête NETendance publiées récemment faisaient état d’une forte progression de cette confiance. Toutefois, ces données se fondaient sur des enquêtes menées, respectivement, en janvier et février 2021 et en septembre 2021.

    Or, la plus récente des enquêtes, celle du volet canadien du Digital News Report de l’Institut Reuters (DNR) réalisée en janvier et février 2022, montre une chute marquée de cette confiance.

    Baisse marquée de la confiance
    Ainsi, après le bond favorable de 2021, la confiance à l’égard de “la plupart des nouvelles, la plupart du temps”, selon la définition du DNR, a reculé de sept points chez les francophones pour se situer à 47 % au début de 2022 et de cinq points chez les anglophones, où elle est à 39 % . Fait à noter, cet écart de confiance entre francophones et anglophones est une constante au fil des ans dans ce rapport.


    La pandémie est particulièrement riche en mauvaises nouvelles. - Photo : getty images/istockphoto / Moore Media

    Bien que le niveau de confiance canadien n’ait jamais été aussi faible, certains pays comme la Finlande (avec 69 %) devancent largement le Canada, dont le score global de 42 % devance la France (30 %).

    Plusieurs autres éléments mis au jour par le volet canadien de l’enquête du DNR s’alignent directement sur cette perte de confiance.

    Écarts entre francophones et anglophones
    Par exemple, lorsqu’on demande aux répondants si les médias d’information au pays sont indépendants du pouvoir politique, seulement un peu plus du quart d’entre eux répondent que oui. De même, près de 30 % des répondants jugent qu’ils sont indépendants du pouvoir économique. Il s’agit, respectivement, de baisses de 10 points de pourcentage dans le premier cas et de 9 points dans le second, et ce, sur une période de cinq ans, puisque le DNR a posé cette question pour la dernière fois en 2017.

    Par contre, les résultats ont peu bougé chez les francophones, dont la perception d’indépendance des médias est beaucoup plus positive que celle des anglophones. Ainsi, respectivement 38 % et 37 % les estiment indépendants d’influences politiques et économiques, contre 27 % et 28 % chez leurs compatriotes de langue anglaise.

    Par ailleurs, peu importe la langue, les répondants qui s’identifient à la droite politique sont plus nombreux à douter de l’indépendance des médias d’information que ceux de centre ou de gauche. Mais la tendance est encore plus marquée chez les anglophones de droite.

    Quant à la diversité de courants politiques exprimés dans les médias, la moitié des Canadiens n’en voient guère et affirment que l’ensemble des médias d’information du pays sont politiquement très proches ou assez proches les uns des autres.

    Quand on leur demande d’autre part si les médias sont davantage préoccupés par leurs propres intérêts que par ceux de la population en général, on obtient là aussi des résultats parlants.

    Les anglophones sont ainsi un peu plus nombreux (35 %) à penser que les intérêts commerciaux prédominent sur les intérêts de la société. Ils sont 29 % à penser l’inverse. Chez les francophones, 29 % déclarent que les entreprises de presse privilégient leurs intérêts commerciaux plutôt que ceux de la société, contre 25 % qui pensent l’inverse.

    Ils sont aussi 26 % à croire que les médias priorisent leurs propres opinions politiques devant les intérêts de la société, contre 27 % qui pensent le contraire. Sans surprise, là aussi, les répondants qui s’identifient comme étant de droite sont encore plus nombreux à croire que les médias placent leurs propres intérêts devant ceux de leurs auditoires.

    Abondance de fausses nouvelles
    Une autre part de la méfiance des Canadiens peut être attribuable au fait qu’ils rencontrent de plus en plus de fausses nouvelles sur le web. Les données sont inquiétantes, puisqu’elles semblent s’accompagner d’une certaine désensibilisation.

    Ainsi, en 2022 (tout comme en 2021 d’ailleurs) 71 % des Canadiens (73 % des anglophones et 65 % des francophones) ont dit avoir retrouvé des informations trompeuses en ligne, le plus souvent sur le coronavirus et sur la politique, au cours de la semaine précédant la tenue de l’enquête.

    Pourtant, au même moment, leur inquiétude à l’égard des fausses nouvelles en ligne a légèrement baissé entre 2021 et 2022. L’enquête nous apprend en effet que 60 % des Canadiens se disent préoccupés par la possibilité de démêler le vrai du faux sur Internet, une baisse de trois points de pourcentage.

    Comme par le passé, les anglophones (6 %, une baisse de 4 points de pourcentage) s’en soucient plus systématiquement que les francophones (48 %, un repli de 3 points).

    Méfiance marquée envers les réseaux sociaux
    On ne se surprendra pas, dans ce cas, de voir que les Canadiens n’ont guère confiance dans les réseaux sociaux. Seulement 18 % leur font confiance, en fait, comparativement à 26 % qui font confiance aux sites de nouvelles. Cette dernière donnée est intrigante, puisqu’elle montre un niveau de confiance significativement plus faible envers les médias d’information lorsqu’ils sont en ligne.

    Malgré tout, la proportion de répondants qui paient pour des nouvelles en ligne et pour l’accès à des nouvelles payantes continue de progresser.

    Éviter les (mauvaises) nouvelles
    Après deux pénibles années de pandémie, qui était en pleine cinquième vague au moment du sondage, on ne s’étonnera pas d’apprendre que sept Canadiens sur dix (71 %) disent avoir “activement évité” les nouvelles. C’est une hausse importante par rapport au sondage de 2019, soit bien avant que le mot pandémie ne devienne omniprésent, alors que ce pourcentage était de 58 %. Les femmes sont plus nombreuses que les hommes (67 %) à faire exprès pour ne pas s’exposer aux nouvelles.

    On ne se surprendra pas d’apprendre que les deux principales raisons d’éviter les nouvelles sont leur effet potentiel négatif sur l’humeur et une couverture trop axée sur des sujets tels que la politique ou la COVID-19.

    Parmi les autres raisons, on note, en ordre décroissant, l’épuisement engendré par une trop grande quantité d’informations à assimiler et une couverture jugée subjective ou peu fiable. Fait à noter, le sondage a été réalisé avant le déclenchement de la guerre en Ukraine et il y a fort à parier que la couverture intensive de celle-ci aurait également été évoquée parmi les raisons d’évitement des nouvelles.

    La télé toujours en tête ; Twitter marginal
    Le Digital News Report scrute chaque année la principale source de nouvelles des Canadiens et, en 2022, c’est toujours la télévision, à environ 40 %, qui remporte la palme, un pourcentage qui se maintient depuis 2020. À 25 %, les médias sociaux continuent leur ascension, mais ils restent toujours derrière les sites ou applications de nouvelles, qui se maintiennent autour de 27 % pour une troisième année.

    Fait à noter, lorsqu’on parle des médias sociaux, l’importance accordée à Twitter par de nombreux médias, chroniqueurs et commentateurs semble démesurée par rapport à son utilisation réelle par la population, du moins parmi les francophones. Les médias sociaux utilisés par les francophones pour lire, commenter ou partager des nouvelles sont, dans l’ordre, Facebook (50 %) , Messenger (27 %), TikTok (10 %), Twitter (6 %). Snapchat, en queue de peloton à 0 %, n’a apparemment aucun attrait pour l’information.

    Chez les anglophones, ce classement est complètement différent et réparti plus largement. Bien que les premières places soient aussi occupées par Facebook (34 %) et Messenger (14 %), suivent WhatsApp (9 %) et Reddit et TikTok (7 %) en dernière position.

    L’écoute de baladodiffusions, qui avait stagné entre 2020 et 2021, a repris son ascension. En 2022, 36 % des répondants au pays disent avoir écouté au moins un balado dans le mois précédant l’enquête (41 % des anglophones et 29 % des francophones), une hausse de trois points sur l’année précédente.

    Le DNR s’appuie sur un questionnaire en ligne administré par YouGov. Les données canadiennes sont calculées à partir d’un échantillon aléatoire de 2012 participants inscrits auprès de cette firme de sondage, dont 526 francophones. Un échantillon francophone autonome a par la suite été réalisé de façon à obtenir 1004 participants. Les données canadiennes ont été récoltées du 21 janvier au 21 février 2022. Les résultats sont pondérés pour représenter la population canadienne adulte.

    #médias #information #presse à gage #réseaux_sociaux #coronavirus #Twitter #journuliste #merdias #propagande #clergé_médiatique #esj #académie_esj

  • « C’est pas du people, c’est de la politique » : le jour où Ariane Chemin et Raphaëlle Bacqué ont brisé un tabou | la revue des médias
    http://larevuedesmedias.ina.fr/ariane-chemin-raphaelle-bacque-femme-fatale-segolene-royal-vie-
    http://larevuedesmedias.ina.fr/sites/default/files/2022-05/2.En+plateau.png

    En matière de vie privée, les responsables politiques maîtrisaient l’agenda. C’était l’usage. En écrivant La Femme fatale, en 2007, deux journalistes du Monde refusent de s’y soumettre. Et déclenchent un débat homérique.

    #Politique #Vie privée #Journalisme #Presse #EMI #Médias

  • Je me suis demandé, au fait, à part pour avoir ça dans un sous domaine à leur nom, ça fait quoi de plus que @rezo le portail indé de @bastamag ?
    https://portail.basta.media

    Z’aurait pu contribuer à moderniser les squelettes/le thème de rezo.net s’ils avaient de l’argent pour ça (là ils demandent 50000 euros pour le refaire encore mieux, et avec une app mobile).

    #presse #presse_indépendante #portail #agrégation

    • Je pense que ça peut apporter une autre sensibilité dans la sélection des articles, la possibilité de découvrir des choses différentes. C’est complémentaire.

      Ça me rappelle qu’il y a quelque temps, quelqu’un avait tenté un autre portail pensé comme une alternative à rezo.net, ça s’appelait reseau2.net.

      Ça n’a pas duré longtemps. L’auteur avait justifié l’arrêt de son portail, les raisons invoquées sont intéressantes, c’est un autre sujet : la désertion du numérique.

      L’Autre Réseau tire le rideau
      https://blog.monolecte.fr/2009/03/17/lautre-reseau-tire-le-rideau

      Il y a dix ans, j’étais musicien, j’écrivais, je jouais de la musique tous les jours avec mes amis, jusqu’au bout de la nuit. Peu de temps avant de « déserter », j’avais installé sur mon ordi un petit plug-in qui donne une moyenne de mon temps quotidien passé en ligne. Résultat (hors-boulot, et je bosse 35 h/semaine) : 300 minutes par jour ! Je n’en reviens même pas : où ai-je pris tout ce temps ? Mais c’est assez clair : je l’ai pris sur mon temps de lecture, sur mon temps de promenade, sur mon temps d’écriture, de musique, sur le temps que je passais avec mes amis et même sur mon temps d’ennui. Bref : le message dit tout : maintenant, c’est fini tout ça pour moi.

      (…) J’espère que vous ne serez pas un jour piégé dans les contradictions dont je n’ai pas su sortir, ou peut-être je vous souhaite à vous aussi d’en sortir ? je ne sais pas. En tout cas cela me ferait très plaisir un jour de vous rencontrer. Mais, de grâce, dans la vraie vie, par sur ce *$§=#^% de web.

  • Un micro de Macron dans la photocopieuse | Blob Mediapart | 02.05.22

    https://blogs.mediapart.fr/mouais-le-journal-dubitatif/blog/020522/tribune-la-gauche-c-est-aussi-les-anarchistes

    Mais de ça, à l’évidence, tout le monde s’en fout. Seul le gouvernement de Macron semble y accorder un certain intérêt, lui qui, à l’époque de Castaner, avait envisagé dans un rapport de criminaliser les anarchistes (et les vegan – alors les anar’ vegan, on ne vous raconte pas) au même titre que les djihadistes, les tenants donc pour des terroristes à « dé-radicaliser ». Et encore récemment, un micro des services de renseignement a été trouvé dissimulé dans la photocopieuse de la librairie anarchiste Libertad, à Paris.

  • Posada, génie de la gravure
    Première rétrospective en France de l’artiste mexicain, jusqu’au 18/9/2022.
    https://museedelimage.fr/le-musee-2/les-salles-temporaires/153-posada-genie-de-la-gravure

    Voici l’histoire d’un artiste de génie dont le nom est encore trop méconnu en France : #Posada. Pourtant, qui ne connaît ses figures de squelettes dansant, riant, jouissant de l’existence à la manière des vivants ? Intimement associées à la culture mexicaine, les calaveras sont désormais les motifs récurrents d’une culture populaire internationale.

    Leur auteur, #José_Guadalupe_Posada (1852-1913), est un homme au destin singulier, qui a délaissé une carrière toute tracée pour mettre son talent au service de la #presse_populaire : illustrations de faits divers, contes, chansons... - rappelant la production imagière française, particulièrement celle d’Épinal, qui connaît un âge d’or au XIXe siècle.

    Le commissariat de cette exposition est assuré par #Lætitia_Bianchi, auteure du livre Posada, génie de la #gravure.
    https://www.lesartsdessines.fr
    https://www.lassociation.fr/agenda

  • Que sommes-nous prêts à sacrifier pour aider les États-Unis à gagner une guerre de propagande contre Poutine ?
    https://caitlinjohnstone.com/2022/04/16/how-much-are-we-prepared-to-sacrifice-to-help-the-us-win-a-propaga

    Il y a une question très importante que nous devons tous nous poser à ce stade de l’histoire, et cette question est la suivante : que sommes-nous prêts, en tant que société, à sacrifier pour que le gouvernement américain puisse gagner une guerre de propagande contre Vladimir Poutine ?

    Laissez-moi vous expliquer.
    Un aspect très peu discuté de la dernière escalade de censure par la Silicon Valley, qui a commencé au début de la guerre en Ukraine, est le fait qu’il s’agit d’un niveau de censure sans précédent. Bien qu’elle puisse ressembler à toutes les autres vagues de purges sur les médias sociaux et aux nouvelles catégories de contenus interdits que nous connaissons depuis que la doctrine dominante, après l’élection américaine de 2016, est que les plateformes technologiques doivent réglementer strictement les discours en ligne, les justifications qui en découlent ont pris une déviation drastique par rapport aux modèles établis.


    Ce qui distingue cette nouvelle escalade de censure de ses prédécesseurs, c’est que cette fois personne ne prétend qu’elle est faite dans l’intérêt du peuple. Avec la censure des racistes, l’argument était qu’ils incitaient aux crimes haineux et au harcèlement racial. Avec la censure d’Alex Jones et de QAnon, l’argument était qu’ils incitaient à la violence. Quant à la censure des sceptiques du Covid, l’argument était qu’ils promouvaient une désinformation qui pouvait être mortelle. Même avec la censure de l’histoire de l’ordinateur portable de Hunter Biden, on a fait valoir qu’il était nécessaire de protéger l’intégrité des élections contre une désinformation d’origine potentiellement étrangère.

    Avec la censure relative à la guerre en Ukraine, il n’y a aucun d’argument pour prétendre qu’elle est faite pour aider le peuple. Rien ne prouve que le fait de laisser les gens dire des choses fausses sur cette guerre tue des Ukrainiens, des Américains ou qui que ce soit d’autre. Il n’y a aucune raison de penser que la contestation des allégations de crimes de guerre russes portera atteinte aux processus démocratiques américains. Le seul argument restant est « Nous ne pouvons pas laisser les gens dire des choses fausses sur une guerre, n’est-ce pas ? ».

    Plus d’escalade dans la censure en ligne
    « YouTube a supprimé des vidéos contestant le discours du gouvernement américain sur les crimes de guerre russes à Bucha. https://t.co/M7zupF8AMa
    Caitlin Johnstone (@caitoz) 15 avril 2022

    Demandez à un libéral au cerveau correctement lavé pourquoi il soutient la censure de quelqu’un qui conteste les récits américains sur les crimes de guerre russes à Bucha ou à Marioupol et il vous répondra probablement quelque chose comme « Eh bien, c’est de la désinformation ! » ou « Parce que c’est de la propagande ! » ou « Combien Poutine vous paie-t-il ? » . Mais ce qu’ils ne seront pas capables de faire, c’est d’articuler exactement quel préjudice spécifique est causé par un tel discours de la même manière qu’ils pouvaient défendre la censure des sceptiques du Covid ou des factions responsables de l’émeute de l’année dernière dans le bâtiment du Capitole [en référence aux partisans de Trump ayant pénétré au Capitole pour contester le résultat des élections présidentielles étasuniennes, NdT]

    Le seul argument que vous obtiendrez, si vous insistez vraiment sur la question, est que les États-Unis sont engagés dans une guerre de propagande contre la Russie et qu’il est dans l’intérêt de notre société que nos institutions médiatiques aident les États-Unis à gagner cette guerre de propagande. Une guerre froide est menée entre deux puissances nucléaires parce que la guerre chaude risquerait d’anéantir les deux nations, ce qui ne laisse d’autres formes de guerre que la guerre psychologique. Rien ne permet de dire que cette nouvelle escalade de censure sauvera des vies ou protégera des élections, mais il est possible de dire qu’elle peut contribuer à faciliter les programmes de guerre froide à long terme des États-Unis.

    Mais qu’est-ce que cela signifie exactement ? Cela signifie que si nous acceptons cet argument, nous consentons sciemment à une situation où tous les principaux médias, sites web et applications que les gens consultent pour s’informer sur le monde sont orientés non pas pour nous dire des choses vraies sur la réalité, mais pour battre Vladimir Poutine dans cette étrange guerre psychologique. Cela signifie qu’il faut abandonner toute ambition d’être une civilisation fondée sur la vérité et guidée par les faits, et accepter au contraire de devenir une civilisation fondée sur la propagande et visant à s’assurer que nous pensons tous des choses qui nuisent aux intérêts stratégiques à long terme de Moscou.

    Et c’est absolument effrayant que cette décision ait déjà été prise pour nous, sans aucune discussion publique pour savoir si oui ou non c’est le genre de société dans laquelle nous voulons vivre. Ils sont passés directement de « Nous censurons les discours pour vous protéger de la violence et des virus » à « Nous censurons les discours pour aider notre gouvernement à mener une guerre de l’information contre un adversaire étranger ». Et ce, sans la moindre hésitation.

    Ceux qui fabriquent le consentement de la population ont contribué à ouvrir la voie à cette transition en douceur avec leurs appels incessants et continus à toujours plus de censure, et depuis des années, nous voyons des signes qu’ils considèrent comme leur devoir de contribuer à faciliter une guerre de l’information contre la Russie.

    En 2018, nous avons vu un journaliste de la BBC réprimander un ancien haut fonctionnaire de la marine britannique pour avoir émis l’hypothèse que la prétendue attaque aux armes chimiques à Douma, en Syrie, était un faux-drapeau, une affirmation dont nous avons maintenant des montagnes de preuves qu’elle est probablement vraie grâce aux lanceurs d’alerte de l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques. La raison invoquée par la journaliste pour justifier son objection à ces commentaires est que « nous sommes dans une guerre de l’information contre la Russie » .

    « Étant donné que nous sommes dans une guerre de l’information avec la Russie sur tant de fronts, ne pensez-vous pas qu’il est peut-être déconseillé d’affirmer cela si publiquement étant donné votre position et votre profil ? Ne risquez-vous pas de brouiller les pistes ? » a demandé Annita McVeigh, de la BBC, à l’amiral Alan West après ses commentaires.

    Vous savez que vous avez des problèmes lorsque le militaire essaie de faire le travail du journaliste en posant des questions et en demandant des comptes au pouvoir… et que le journaliste essaie de l’en empêcher. « https://t.co/DVxR3JQ6S2
    Caitlin Johnstone (@caitoz) 18 avril 2018

    Nous avons vu une indication similaire dans les médias de masse quelques semaines plus tard, lors d’une interview de l’ancienne candidate du Parti vert, Jill Stein, qui a été admonestée par Chris Cuomo de CNN pour avoir souligné le fait totalement incontestable que les États-Unis sont un contrevenant extrêmement flagrant en matière d’ingérence dans les élections étrangères.

    « Vous savez, ce serait à la Russie de faire valoir cela, pas à un point de vue américain » , a déclaré Cuomo en réponse aux remarques tout à fait exactes de Stein. « Bien sûr, il y a de l’hypocrisie en jeu, beaucoup de grands acteurs étatiques différents font beaucoup de choses qu’ils ne veulent peut-être pas que les gens sachent. Mais laissons la Russie dire que les États-Unis nous ont fait ça, et voici comment ils l’ont fait, donc c’est fair-play. »

    Ce qui revient à dire : « Oubliez ce qui est factuellement vrai. Ne dites pas de choses vraies qui pourraient aider les intérêts russes. C’est le travail de la Russie. Notre travail ici sur CNN est de dire des choses qui nuisent aux intérêts russes. »

    On peut retracer la généralisation de l’idée que c’est le travail des médias occidentaux de manipuler l’information dans l’intérêt du public, plutôt que de simplement dire la vérité, à la victoire présidentielle de Donald Trump en 2016. Dans ce qui était sans doute le moment politique le plus important aux États-Unis depuis le 11 septembre et ses conséquences, ceux qui fabriquent le consentement ont décidé que l’élection de Trump n’était pas due à l’échec de la politique du statu quo, mais un échec du contrôle de l’information.

    En octobre 2020, pendant le scandale des ordinateurs portables de Hunter Biden, Stephen L Miller, du Spectator, a décrit comment le consensus s’est formé au sein de la presse grand public depuis la défaite de Clinton en 2016, selon lequel il était de leur devoir moral de cacher au public des faits qui pourraient conduire à la réélection de Trump.

    « Depuis presque quatre ans maintenant, les journalistes ont fait honte à leurs collègues et à eux-mêmes sur ce que j’appellerai le dilemme ‘mais ses emails’ », écrit Miller. « Ceux qui ont rendu compte consciencieusement de l’enquête fédérale inopportune sur le serveur privé d’Hillary Clinton et la divulgation d’informations classifiées ont été exclus et écartés de la table des journalistes cool. Le fait de se concentrer autant sur ce qui était, à l’époque, un scandale considérable, a été considéré par de nombreux médias comme une gaffe. Ils pensent que leurs amis et collègues ont contribué à placer Trump à la Maison Blanche en se concentrant sur le scandale de Clinton, alors qu’ils auraient dû mettre en avant les faiblesses de Trump. C’est une erreur qu’aucun journaliste ne veut répéter ».

    Une fois que les « journalistes » ont accepté que leur travail le plus important n’est pas de dire la vérité mais d’empêcher les gens d’avoir de mauvaises pensées sur le statu quo politique, il était inévitable qu’ils commencent à encourager avec enthousiasme une plus grande censure d’Internet. Ils considèrent que c’est leur devoir, et c’est pourquoi les principaux partisans de la censure en ligne sont maintenant des journalistes de médias grand public.

    Dénoncer Radio Sputnik. Une tâche intéressante pour un journaliste. https://t.co/JP8NNFxvI1
    Tim Shorrock (@TimothyS) 16 avril 2022

    Mais il ne devrait pas en être ainsi. Il n’y a aucune raison légitime pour que les mandataires de la Silicon Valley et du gouvernement le plus puissant de la planète censurent les gens qui ne sont pas d’accord avec ce gouvernement au sujet d’une guerre, et pourtant c’est exactement ce qui se passe, et de plus en plus. Nous devrions tous être alarmés par le fait qu’il devient de plus en plus acceptable de faire taire les gens, non pas parce qu’ils font circuler de la désinformation dangereuse, ni même parce qu’ils disent des choses qui sont fausses de quelque manière que ce soit, mais uniquement parce qu’ils disent des choses qui sapent la propagande de guerre américaine.

    Les gens devraient absolument être autorisés à dire des choses en désaccord avec l’empire le plus puissant de l’histoire à propos d’une guerre. Ils devraient même être autorisés à dire des choses effrontément fausses sur cette guerre, parce que sinon seuls les puissants seront autorisés à dire des choses effrontément fausses à son sujet.

    La liberté d’expression est importante, non pas parce qu’il est agréable de pouvoir dire ce que l’on veut, mais parce que la libre circulation des idées et des informations permet de contrôler les puissants. Elle donne aux gens la possibilité de demander des comptes aux puissants. C’est exactement pourquoi les puissants travaillent à l’éliminer.

    Nous devrions considérer comme un énorme, énorme problème le fait qu’une si grande partie du monde ait été regroupée sur ces plateformes d’expression monopolistiques géantes qui pratiquent une censure en parfait accord avec la structure de pouvoir la plus puissante du monde. C’est l’exact opposé de la mise en place d’un contrôle du pouvoir.

    Combien sommes-nous prêts, en tant que société, à abandonner pour que le gouvernement américain et ses alliés gagnent une guerre de propagande contre Poutine ? Sommes-nous prêts à nous engager à être une civilisation pour laquelle la considération première de toute donnée n’est pas de savoir si elle est vraie ou non, mais si elle contribue à saper la Russie ?

    C’est une conversation qui devrait déjà avoir lieu dans les cercles traditionnels depuis un certain temps maintenant, mais elle n’a même pas commencé. Commençons-la.

    Caitlin Johnstone 16 avril 2022

    #censure #convormisme #propagande #manipulation #médias #histoire #russie #syrie #ukraine #politique #journalisme #racisme #guerre #fake_news #facebook  #presse #silicon_valley #youtube #vérité officielle

    • Explications sur le rappel massif de chocolats provoqué par une bactérie en @israël
      Information sans rapport avec le post précédent

      Le plus grand rappel de produits de l’histoire d’Israël est en cours, car de nombreuses lignes fabriquées par son plus grand producteur de confiseries, Elite, sont soupçonnées de contenir des salmonelles.

      Au moins deux enfants et deux adultes auraient consulté un médecin pour suspicion d’intoxication aux salmonelles après le rappel de produits Strauss, la société mère d’Elite, a annoncé le rappel dimanche. Aucun cas n’a été signalé chez les personnes âgées, chez qui les conséquences graves des salmonelles sont plus probables que chez les autres, et peuvent même être mortelles.

      Le ministre de la Santé, Nitzan Horowitz, a déclaré mardi que l’incident ferait l’objet d’une enquête approfondie et que l’usine ne serait pas autorisée à reprendre ses activités avant d’avoir été entièrement désinfectée. « La chocolaterie d’Elite-Strauss ne reprendra pas sa production tant que nous n’aurons pas l’assurance qu’elle est en mesure de fabriquer des produits sains, sans danger pour les consommateurs », a déclaré M. Horowitz.

      Les produits soupçonnés d’être contaminés sont le chocolat, la crème glacée, le pudding et les biscuits. Comment une telle contamination peut-elle se produire ? Est-il certain que la consommation de chocolat contaminé rend malade ? Et quels peuvent être les effets de la salmonelle ? Le Times of Israel s’est entretenu avec le professeur Daniel Cohen de la School of Public Health de l’Université de Tel Aviv, expert en épidémiologie et en médecine préventive.

      lA SUITE https://fr.timesofisrael.com/explications-sur-le-rappel-massif-de-chocolats-provoque-par-une-ba

      #salmonelle #empoisonnement #industrie_alimentaire #confiseries #Elite-Strauss

    • Shufersal rappelle des biscuits qui contiendraient des fibres de nylon

      Cette annonce suit un autre rappel du groupe Strauss, dont certains produits auraient été contaminés par des salmonelles
      La chaîne de supermarchés Shufersal a fait savoir, dimanche, qu’elle rappelait des biscuits commercialisés sous sa propre marque en raison de soupçons sur la présence de fibre de nylon dans ses produits de boulangerie.

      La chaîne a expliqué craindre que les fibres ne soient accidentellement entrées dans les biscuits pendant le processus de production et elle a préféré rappeler les produits « par mesure de précaution ».

      Les produits en question sont les biscuits de type « petit beurre » (paquet de 500 grammes) et de type « petit beurre au chocolat » (paquet de 500 grammes), dont la date limite de consommation est comprise entre le 1er et le 23 octobre 2022.

      « Les produits présentant d’autres dates d’expiration sont parfaitement sains et ils peuvent être consommés sans inquiétude », a déclaré l’entreprise.

      Ce rappel survient après un autre rappel qui avait été lancé par le groupe Strauss, l’un des plus importants producteurs de produits alimentaires israéliens.

      Certains produits du géant alimentaire avaient été contaminés à la salmonelle. La première annonce a été faite lundi et d’autres ont été faites les jours suivants, demandant aux clients de ramener une large gamme de chocolats, gaufres, biscuits, glaces, chewing-gums et autres caramels.

      Ce rappel serait l’un des plus importants de toute l’Histoire d’Israël.

      L’usine que possède le groupe Strauss à Nof Hagalil serait à l’origine de cette contamination. Jeudi dernier, le directeur général du ministère de la Santé, Nachman Ash, a annoncé que l’usine fermerait pendant trois mois, le temps qu’une enquête soit menée et que les mesures nécessaires soient prises pour assurer la sécurité alimentaire des clients.

      Dans un rapport publié dimanche, le ministère de la Santé a critiqué Strauss pour une série d’omissions et de défaillances responsables, selon lui, de la contamination à la salmonelle dans l’usine.

      Selon le ministère de la Santé, sur 300 échantillons prélevés jusqu’à présent dans l’usine en question, une trentaine contenaient des traces de salmonelle.

      Le ministère a évoqué une série de problèmes, parmi lesquels des travaux qui sont actuellement en cours à l’usine et qui ont été entrepris sans réfléchir à leur impact sur la production, la présence de pigeons dans l’usine, susceptibles d’avoir joué un rôle dans cette contamination, l’absence d’un directeur chargé de s’assurer de la salubrité des aliments et des conditions de décongélation inadéquates pour les matières grasses utilisées dans la production de chocolat.

      Il a également noté que dimanche matin, 21 personnes en Israël avaient signalé des symptômes de salmonellose suite à la consommation de produits affectés. Le ministère a déclaré avoir pris les tests de 16 de ces personnes dans l’attente des résultats, dans les prochains jours. Il a également déclaré que seulement six de ces 21 personnes avaient nécessité un traitement médical pour leurs symptômes.

      Le ministère de la Santé a déclaré qu’il n’y avait aucun lien entre la contamination aux salmonelles à l’usine Strauss et une contamination similaire en Belgique affectant les œufs en chocolat Kinder.

      L’article gratuit : https://fr.timesofisrael.com/shufersal-rappelle-des-biscuits-qui-contiendraient-des-fibres-de-n

  • Sheryl Sandberg allegedly leant on Daily Mail news site to drop stories about ex-boyfriend | Sheryl Sandberg | The Guardian
    https://www.theguardian.com/technology/2022/apr/21/sheryl-sandberg-meta-daily-mail-bobby-kotick-activision

    Sheryl Sandberg, the Meta executive, allegedly pressured the Daily Mail to drop unflattering stories about her then-boyfriend Bobby Kotick, the Activision Blizzard CEO, according to a report from the Wall Street Journal.

    The Journal reports that she persuaded the digital edition of the Mail not to run stories revealing that an ex-girlfriend of Kotick had obtained a temporary restraining order against him in 2014. Kotick reportedly said that Sandberg, who he dated for three years until 2019, told the Mail in 2016 that if the article were published, it could damage the outlet’s relationship with Facebook. Sandberg allegedly contacted the Daily Mail in 2016 and 2019 to put a stop to the articles, and both times the stories never ran.

    According to the Wall Street Journal’s reporting, Meta and Activision employees were involved in Sandberg’s effort to kill the story, as well as outside advisers.

    Le patron d’Activision-Blizzard-King serait empêtré dans une nouvelle affaire de harcèlement. À titre personnel, il avait déjà été accusé d’avoir menacé de mort une hôtesse à bord de son avion personnel. Et il est indirectement mis en cause d’avoir laissé une culture toxique se développer à Activision-Blizzard, au coeur d’un scandale de culture toxique au sein du groupe que les ressources-humaines auraient fait taire, au lieu d’y faire face.

    #activision_blizzard #facebook #vie_privée #presse #faits_divers #pression #intimidation #culture_toxique #petit_amie #petit_ami #vie_amoureuse #justice #bobby_kotick #meta #facebook #sheryl_sandberg

  • Belgique : Amnesty fait rouler des vélos publicitaires contre « l’apartheid » en Israël
    https://fr.timesofisrael.com/belgique-amnesty-fait-rouler-des-velos-publicitaires-contre-lapart

    Les vélos présentaient des slogans tels que "L’apartheid c’est la ségrégation" ou "Il faut démolir l’apartheid, pas les habitations palestiniennes"

    L’organisation Amnesty International, engagée dans des efforts visant à dénoncer un prétendu « apartheid » en Israël, a, pour ce faire, fait rouler huit vélos publicitaires dans Bruxelles ce lundi, a rapporté l’ONG sur son site.

    L’action était organisée dans le cadre de la « Journée internationale pour l’élimination de la discrimination raciale ».

    « Les vélos ont commencé leur parcours dès 7h45 ce matin aux endroits les plus fréquentés par les automobilistes et les piéton·nes pour ensuite investir des lieux symboliques comme le Palais royal, le Parlement fédéral, le rond-point Schuman, le Parlement européen et l’ambassade d’Israël », a rapporté Amnesty Belgique.

    Les vélos présentaient des slogans tels que « L’apartheid c’est la ségrégation » ou « Il faut démolir l’apartheid, pas les habitations palestiniennes ».

    « Avec cette action, nous voulons non seulement sensibiliser le public aux enjeux relatifs à ce crime d’apartheid, mais aussi faire pression sur Israël et nos autorités de façon globale pour qu’un terme soit définitivement mis à l’apartheid qu’Israël inflige au peuple palestinien », a expliqué Philippe Hensmans, directeur de la section belge francophone d’Amnesty International.

    Une pétition en rapport avec cette action a été lancée en ligne sur le site internet de l’ONG.

    Le 1er février dernier, Amnesty a dévoilé un nouveau rapport lors d’une conférence de presse dans le quartier de Bab A-Zahara à Jérusalem, concluant qu’Israël appliquait une forme d’apartheid à l’encontre des Palestiniens en Cisjordanie, dans la bande de Gaza et dans le monde entier, et, de manière plus significative et controversée, à l’encontre des Arabes israéliens.

    Le rapport, très critiqué, a notamment été rejeté par Israël, les États-Unis, le Royaume-uni et l’Allemagne.

    Paul O’Brien, directeur d’Amnesty International USA. (Crédit : Capture d’écran/YouTube)
    Mi-mars, Paul O’Brien, directeur d’Amnesty International pour les États-Unis, a lui déclaré que « nous sommes opposés à l’idée – et je pense qu’il s’agit là d’une partie existentielle du débat – qu’Israël doit être préservé en tant qu’État pour le peuple juif ».

    Il a été vivement critiqué par les responsables associatifs juifs américain.

    #palestine #israël #gaza #israel #bds #palestine_assassinée #occupation #colonisation #censure #racisme #cisjordanie #apartheid #boycott #Bruxelles #Amnesty_International #vélo #apartheid #ségrégation #discrimination #discrimination_raciale #guerre

    • Les Québécois de plus en plus méfiants envers les médias Annabelle Caillou
      https://www.ledevoir.com/culture/medias/689217/les-quebecois-de-plus-en-plus-mefiants-envers-les-medias

      La méfiance envers les médias — et particulièrement envers les journalistes — continue de croître dans la province : un Québécois sur deux craint que les professionnels de l’information tentent de l’induire en erreur en diffusant volontairement de fausses nouvelles. C’est ce que révèle le dernier coup de sonde du cabinet Edelman, qui a publié lundi le volet québécois de son baromètre annuel de la confiance envers les institutions. https://www.edelman.ca/fr/trust-barometer/barometre-de-confiance-edelman-2022

      Menée en ligne entre le 1er et le 24 novembre 2021 auprès de 1500 Canadiens, dont 1000 Québécois, l’enquête vient nous éclairer sur la perception des médias au sein de la population. Décryptage en quatre chiffres et en entrevue avec Martine St-Victor, directrice générale d’Edelman Montréal.

      56 % C’est le pourcentage de répondants québécois qui se disent préoccupés par le fait que les journalistes cherchent délibérément à les tromper en disséminant de l’information erronée ou largement exagérée.
      Il s’agit d’une augmentation de 9 points de pourcentage comparativement à 2021. « Ça me brise le cœur de voir cette méfiance envers le travail des journalistes. C’est aussi incroyable de voir à quel point l’expression “fake news” s’infiltre maintenant partout dès que quelque chose nous déplaît, dès qu’on nous contredit », déplore Mme St-Victor.

      59 % C’est le taux de confiance envers les médias au Québec, en baisse d’un point par rapport à la période prépandémie.
      Des quatre institutions analysées, les médias se retrouvent ainsi en queue de peloton, derrière les entreprises (63 %), les ONG (61 %) et le gouvernement (60 %). C’est toutefois un meilleur niveau que pour l’ensemble du Canada, où l’on fait confiance  à 52 % seulement aux médias, ou encore l’Australie (43 %), les États-Unis (39 %), la France (38 %) et le Royaume-Uni (35 %) , fait remarquer la directrice générale d’Edelman Montréal.

      41 % C’est le pourcentage de Québécois sondés qui considèrent les médias comme une force polarisante pour la société.
      À l’inverse, 35 % des personnes interrogées dans la province pensent que les médias peuvent être une force unificatrice. Mme St-Victor tient ici à mettre ces chiffres en parallèle avec le fait que 55 % des répondants estiment dans le même temps que leurs concitoyens ne savent pas mener un débat constructif et civilisé en cas de divergence d’opinions. « Oui, la polarisation vient des médias, selon eux, mais elle vient aussi du reste de la population. C’est une responsabilité collective, donc. Tout le monde le remarque sur les réseaux sociaux : le climat social est tendu, et personne n’aime ça. »

      62 % C’est le taux de confiance des Québécois interrogés envers les médias traditionnels, plus précisément.
      Il s’agit d’une baisse d’un point comparé à l’année précédente. Ce type de médias reste toutefois aux yeux des participants une meilleure source d’information que les moteurs de recherche (58 %), les médias de marque (42 %) et les médias sociaux (27 %).

      #Quebec #médias #crédibilité #propagande #manipulation #politique #journalisme #censure #presse #journullistes #merdias #journulliste #médiacrates #mass_merdias 

    • #Stratpol Bulletin N°74. Occident vs le reste du monde, hypersonique vs OTAN, Gamelins à la télé. 22.03.2022.
      _ Remarque : « La vérité est toujours la première victime de la guerre ! »

      https://www.youtube.com/watch?v=M4eZ9dui8lA

      Pas mal de choses intéressantes sur les progressions de l’Armée Russe. N’oublions pas qu’une censure officielle existe en Russie. Chez nous, elle est officieuse, et trés efficace.

      #ukraine #russie #guerre #crimée #otan #ue

    • J’aimes beaucoup les images de Poutine qui illustrent l’affichage des vidéos.
      Par exemple Poutine sur un tracteur.

      Notre macron vient d’essayer de s’y mettre avec un sweet-shirt noir, pas terrible.

  • ❝La propagande officielle aboie avec hystérie et fait tout ce qu’elle peut pour convaincre les Russes du bien-fondé de cette guerre, tout en refusant de la désigner ainsi. Le ministre de la censure muselle les quelques médias russes encore indépendants, notamment Meduza, où je travaille, qui osent utiliser le mot “guerre”. Mardi, le gouvernement a privé d’antenne Echo de Moscou et TVRain, les dernières stations de radio et chaîne de télévision indépendantes. Les appels à punir la “cinquième colonne” et les “traîtres”, c’est-à-dire ceux qui soutiennent l’Ukraine, sont de plus en plus forts. La répression politique va s’intensifier, c’est certain.

    #russie #censure #ukraine #kremlin #presse #media

    https://www.courrierinternational.com/article/tribune-moscou-subi-une-ecrasante-defaite-morale-les-russes-l

  • Als bei #ARD noch richtiger Journalismus gemacht wurde
    https://diasp.eu/p/14214063

    Als bei #ARD noch richtiger Journalismus gemacht wurde

    Siehe #Nazi - #Problem in der #Ukraine: https://www.youtube.com/watch?v=H-FndJuMTnU

    Jetzt wird natürlich nur noch die Regierungsmeinung verbreitet, dass es in der Ukraine kein Nazi-Problem gibt.

    #noNazis #Ukraine #Russland #Krieg #Politik #Putin #Maidan #Extremismus #Geschichte #Presse #Journalismus #Panorama

  • Pour que vos impôts financent la presse indépendante plutôt que les médias des milliardaires

    Pour que vos impôts cessent de financer les Bolloré ! Et pour que la presse pas pareille, citoyenne, indépendante des grands groupes privés, investie dans l’éducation aux médias, soit soutenue par une politique publique ambitieuse, en toute transparence » : Acrimed est cosignataire de la pétition lancée par le Ravi le 2 février. Pour la signer, c’est là.

    Pour que vos impôts cessent de financer les Bolloré !

    Et pour que la presse pas pareille, citoyenne, indépendante des grands groupes privés, investie dans l’éducation aux médias, soit soutenue par une politique publique ambitieuse, en toute transparence : signez notre pétition !

    https://entreleslignesentrelesmots.blog/2022/03/05/pour-que-vos-impots-financent-la-presse-independante-pl

    #presse