• Mediacités : la presse locale d’investigation qui empêche de "corrompre en rond" ...

    Signalements à la justice, remous politiques, « chasse aux sorcières »… L’impact des enquêtes de Mediacités Lyon en 2022
    https://www.mediacites.fr/complement-denquete/lyon/2022/12/27/signalements-a-la-justice-remous-politiques-et-chasse-aux-sorcieres-limpa

    Révéler et après ? Que se passe-t-il une fois les enquêtes de Mediacités publiées ? Cette question, nous nous la posons chaque semaine et, souvent, nous y apportons une réponse avec la publication de nouveaux articles, des « compléments d’enquête ». Il n’empêche ! A l’heure des bilans de fin d’année, l’interrogation sur l’utilité et le rôle d’un média comme le nôtre revient avec plus d’acuité que d’habitude : concrètement, cela sert à quoi l’investigation locale ?
    Pour la troisième année consécutive, nous nous sommes replongés dans les publications des douze derniers mois – un peu plus de 200 pour notre édition lyonnaise – pour dresser notre « rapport d’impact 2022 ». Nos enquêtes ont-elles fait bouger les lignes ? Ont-elles contribué à améliorer ou à mettre fin aux dysfonctionnements qu’elles révélaient ? Ont-elles initié un débat, une prise de conscience, une procédure judiciaire ? Ou, à l’inverse, sont-elles passées inaperçues et, pour le dire autrement, ont-elles fait un flop ?Voici quelques éléments de réponses.

    #journalisme_d'investigation #presse_indépendante #corruption

  • Je me suis demandé, au fait, à part pour avoir ça dans un sous domaine à leur nom, ça fait quoi de plus que @rezo le portail indé de @bastamag ?
    https://portail.basta.media

    Z’aurait pu contribuer à moderniser les squelettes/le thème de rezo.net s’ils avaient de l’argent pour ça (là ils demandent 50000 euros pour le refaire encore mieux, et avec une app mobile).

    #presse #presse_indépendante #portail #agrégation

    • Je pense que ça peut apporter une autre sensibilité dans la sélection des articles, la possibilité de découvrir des choses différentes. C’est complémentaire.

      Ça me rappelle qu’il y a quelque temps, quelqu’un avait tenté un autre portail pensé comme une alternative à rezo.net, ça s’appelait reseau2.net.

      Ça n’a pas duré longtemps. L’auteur avait justifié l’arrêt de son portail, les raisons invoquées sont intéressantes, c’est un autre sujet : la désertion du numérique.

      L’Autre Réseau tire le rideau
      https://blog.monolecte.fr/2009/03/17/lautre-reseau-tire-le-rideau

      Il y a dix ans, j’étais musicien, j’écrivais, je jouais de la musique tous les jours avec mes amis, jusqu’au bout de la nuit. Peu de temps avant de « déserter », j’avais installé sur mon ordi un petit plug-in qui donne une moyenne de mon temps quotidien passé en ligne. Résultat (hors-boulot, et je bosse 35 h/semaine) : 300 minutes par jour ! Je n’en reviens même pas : où ai-je pris tout ce temps ? Mais c’est assez clair : je l’ai pris sur mon temps de lecture, sur mon temps de promenade, sur mon temps d’écriture, de musique, sur le temps que je passais avec mes amis et même sur mon temps d’ennui. Bref : le message dit tout : maintenant, c’est fini tout ça pour moi.

      (…) J’espère que vous ne serez pas un jour piégé dans les contradictions dont je n’ai pas su sortir, ou peut-être je vous souhaite à vous aussi d’en sortir ? je ne sais pas. En tout cas cela me ferait très plaisir un jour de vous rencontrer. Mais, de grâce, dans la vraie vie, par sur ce *$§=#^% de web.

  • En Maine-et-Loire, « topette ! » est une interjection pour exprimer familièrement une salutation quand on prend congé d’un·e ami·e. Cette expression pourrait se traduire par « à plus », « à la revoyure », etc.

    La Topette, Journal local, populaire et indiscipliné - C’EST QUOI LA TOPETTE ?
    https://latopette.fr/la-topette

    La Topette est un journal trimestriel basé dans le Maine-et-Loire. Populaire et indisciplinée, elle propose une information locale et critique. La Topette est un journal pour les gens, qui parle des gens. Elle se veut à la fois accessible et exigeante.

    La Topette est née d’un constat : les médias nationaux, focalisés sur la capitale, se désintéressent des territoires ruraux et périphériques. Ils ne comprennent que trop peu ceux qui y habitent et semblent ne plus vouloir s’adresser qu’aux grandes métropoles.

    Plus près de chez nous, la presse locale souffre d’un monopole et d’un manque de pluralisme. Elle n’a par ailleurs que rarement les moyens de produire de l’investigation.

    Peu prompte à courber l’échine devant ceux qui nous dirigent politiquement et économiquement, La Topette s’engage à égratigner les puissants et à décrire la réalité des gens. Via des enquêtes et reportages de qualité au service des citoyens, elle s’intéresse au quotidien de ceux qui n’ont que trop rarement voix au chapitre et qui subissent les décisions venues d’en haut.

    Un journal papier en 2020 ?

    Certains trouveront cela ringard, mais La Topette n’est pas une appli ou une start-up. Résistant aux injonctions du tout-numérique et du modernisme à tout crin, elle n’est publiée que sur papier.

    Attachée au lien social, vous la trouverez tout simplement chez votre marchand de journaux ou dans votre boîte aux lettres, délivrée par votre facteur.

    Qui se cache derrière la Topette ?

    La Topette n’appartient à aucun milliardaire et ne fait pas dans le racolage. Vous n’y trouverez aucune publicité. Elle est donc totalement indépendante.

    Constituée en association et sans but lucratif, elle est portée par une équipe de journalistes professionnels et de bénévoles soucieux de vous procurer chaque trimestre une information vérifiée, fiable et de qualité.

    Si La Topette a des convictions, elle n’est néanmoins enfermée dans aucune certitude, n’est affiliée à aucun parti ou syndicat.

    Elle se veut avant tout un nouvel outil de débat, de réflexion et de lien social au service des habitants du Maine-et-Loire.

    Allez, topette !

    Le sommaire du tout premier numéro :

    On a supprimé mon village
    La Topette a sillonné les routes du Maine-et-Loire et de ses communes nouvelles. En seulement six ans, le département a perdu la moitié de ses villages. Un raz-de-marée qui n’est pas anodin et sans conséquence pour les habitants.

    Enfants handicapés, le scandale du transport scolaire
    Le conseil départemental du Maine-et-Loire délègue le transport scolaire des enfants handicapés à des entreprises privées. Parmi celles-ci, Adiate, une société qui a le don pour casser les prix. Non formés, dénigrés, sentiment de se faire arnaquer, pour certains chauffeurs, l’expérience a tourné au cauchemar.

    Center Parcs, une parodie de nature dopée à l’argent public
    La Topette est allée fourrer son museau dans le Center Parcs du Bois aux Daims, à côté de Montreuil-Bellay. Verdict : un temple du tourisme de masse, tout sauf écolo, financé par une montagne d’argent public.

    Angers aux mains des robots
    C’est le bébé de Christophe Béchu. Au cours des prochaines années, Angers deviendra une « ville intelligente » grâce à près de 50 000 capteurs et autres prouesses technologiques déployées dans l’agglomération. Véritable bénéfice pour les citoyens, surveillance généralisée et robotisation de la Cité ou simple communication politique ?

    Loin des villes, loin des lycées
    Noyant-Villages est la commune du Maine-et-Loire la plus éloignée d’un lycée. Dans ce bourg de 5 600 habitants, les jeunes font moins d’études que la moyenne. Et si l’orientation scolaire n’était pas qu’une question de choix ou de milieu social ?

    Adieu les vaches
    Les vaches, c’était toute la vie de Jean-Claude. Cet éleveur près de Brissac n’imaginait pas que ses années de labeur avec sa femme Aude se termineraient par une liquidation judiciaire. Et pourtant, la dérégulation des prix du lait a eu raison de l’exploitation agricole familiale. Une ferme de plus disparaît.

    J’ai passé 24h devant Angers Télé
    En 2016, la mairie d’Angers confiait les clés d’Angers Télé au patron du club de foot du SCO, Saïd Chabane. L’an dernier, la chaîne locale se séparait de trois de ses sept salariés, justifiant ces licenciements par la baisse des subventions publiques. Reste qu’avec seulement quatre salariés, on se demande bien comment il est possible de faire tourner une chaîne télé. Pour s’en assurer, on a passé une journée devant Angers TV, et ce ne fut pas de tout repos.

    L’éclusière
    Annick Nourry est la plus ancienne éclusière du Maine-et-Loire. En poste à Châteauneuf-sur-Sarthe depuis 38 ans, elle a connu l’essor du tourisme fluvial puis sa chute et vu son métier changer au gré des automatisations et des suppressions de postes.

    #journalisme_d'investigation #presse_indépendante #journal_papier #territoires #ruralité

  • A Noël, de la caillasse pour la presse indé ! - davduf.net
    http://www.davduf.net/a-noel-de-la-caillasse-pour-la-presse-inde

    Plus que jamais, la #presse_indépendante a montré cette année 2019 sa nécessité, et sa force. A Noël, offrez donc un peu de tumulte et de liberté à vos proches. Abonnez-les aux pure players de la contre médiatisation.Les liens renvoient directement aux offres d’abonnements, de dons ou de parrainage.

  • Passerelle Eco n°69 « La Permaculture contre l’Effondrement »
    http://www.passerelleco.info/2250

    La revue N69 est en cours d’impression et elle va bientôt être expédiée aux abonnés ! Pour son numéro de printemps, Passerelle Eco n°69 se consacre à l’effondrement et à la manière avec laquelle la Permaculture aborde cette perspective. Les textes partagent les témoignages et l’expérience de Claire et Gildas Véret, professeurs de permaculture certifiés et créateurs d’un bastion de résilience.

    – {{Effondrement}} : ça peut être moche. Quels scénarios ? En cas de crise et d’urgence : que préparer ?

    – {{Permaculture}} : la conception de l’écolieu de Claire et Gildas en tant que bastion de résilience. La mise en oeuvre de la rénovation, de la gestion de l’énergie, de l’eau, de l’alimentation,. Le bilan chiffré des consommations, des récoltes et du temps consacré. Ce qu’il faut compter pour mesurer l’efficacité d’une démarche permaculturelle.

    – {{Annuaire vivant de l’écovillage global et de la permaculture}} : l’actualité des écolieux et habitat participatifs existants. 340 annonces, projets d’installations, contacts et ressources pour vivre ensemble sur une même planète.

    #revue #effondrement #permaculture #collapsologie #transition #presse_indépendante

  • #Roumanie : ces nouveaux #médias qui bousculent le vieux monde journalistique

    Ils sont « petits » mais à l’origine des plus gros coups de ses dernières années en Roumanie : Casa Jurnalistului, Hotnews, Rise Project, Factual, Brrlog, Decât o Revistă, etc. Et rien n’effraie ces jeunes journalistes qui se battent au milieu d’un paysage médiatique dominé par les télés-poubelle des hommes d’affaires corrompus.


    https://www.courrierdesbalkans.fr/Roumanie-la-possibilite-d-une-ile-de-medias-independants
    #journalisme #presse #presse_indépendante

  • Nous sommes des paysans de l’Internet : achevez-nous… ou sauvez-nous !
    https://reflets.info/nous-sommes-des-paysans-de-linternet-achevez-nous-ou-sauvez-nous

    Je lis tous ces commentaires et analyses négatives sur notre passage au payant. Je repense à la conférence gesticulée de Lunar de ce samedi soir que je suis en train de mettre en ondes pour […]

    #Breves #abonnements #GAFAM #gratuité #modèle_économique #presse_indépendante #presse_payante #pure-player

    • Cet article parle de « fabriquer des bouts d’internet », alors que ce dont il s’agit, c’est de « faire du journalisme à thématique internet ». Ce n’est pas contradictoire, mais c’est une question un peu différente, un peu plus restreinte.

      Il y a différents modèles de financement de la presse et de la presse sur internet, je n’ai rien contre le fait qu’ils en essaient un autre, mais je ne suis pas tout à fait convaincu par la manière dont est formulé l’argument.

      Par ailleurs cette distinction entre « vous » (qui devez payer) et « nous » (qui produisons), bon… si on veut aller par là, c’est pas très internet.

      « Il va falloir s’habituer à payer » - there is no alternative. OK.

    • Je suis pour ma part abonné à plusieurs publications. Quand j’ai moins de budget mensuel je peux supprimer ou non un abonnement et en conserver un autre. C’est moi qui décide. Mais je sais, que dans le même temps je claque bien plus pour mon forfait data de téléphonie et mon abonnement Internet domestique. Je paye bien plus pour accéder à l’information que pour l’information elle-même. J’ai accepté ce modèle, et je le cautionne. Mais quand je vois que les 4 grands opérateurs qui détiennent les accès au réseau deviennent aussi fournisseurs « d’information gratuite », je suis inquiet.

    • Pour parler un peu politique,, si j’étais (camembert) président, c’est le système de subventions à la presse que je réformerais. Pub ? Débrouille-toi. Pas de pub ? Éligible. S.A. ? Débrouille-toi. Coop ? Éligible... Après, il faudrait un savant mélange de fixe et de variable. Un débat pour dans 5 ans peut-être ?

  • Après la Marseillaise et le Ravi, Marsactu en cessation de paiements | Marsactu
    http://www.marsactu.fr/economie/marsactu-en-cessation-de-paiements-38152.html

    Marsactu en cessation de paiements

    Raj Médias, la société éditrice de Marsactu et de la lettre économique Marséco, s’est déclarée ce matin en cessation de paiements auprès du tribunal de commerce de Marseille avec demande d’ouverture de redressement judiciaire. Si depuis la création du site il y a 5 ans l’audience n’a cessé de croître pour atteindre et parfois dépasser les 200 000 visiteurs uniques mensuels, avec une participation de plus en plus importante sur nos fils de commentaires, qui ont encore dépassé la centaine de coms sur plusieurs articles ces derniers jours, nous n’avons pas su trouver à temps un modèle économique. Depuis plusieurs mois nous cherchons à faire évoluer notre modèle, exclusivement basé sur la publicité, en diversifiant nos revenus. C’est la raison pour laquelle nous avons lancé en juin dernier Marséco, une lettre économique digitale, à destination des entreprises, et uniquement commercialisée sur abonnements. Malgré là aussi des résultats très encourageants, et des projets de déclinaisons événementielles, ces nouveaux revenus ne sont actuellement pas suffisants pour espérer approcher l’équilibre dans des délais supportables.

    #Marseille #presse_indépendante #disparition

  • Allo, Jérôme, François, Jean-Marc ? Ici la #presse_indépendante
    http://reflets.info/allo-jerome-francois-jean-marc-ici-la-presse-independante

    Oh que c’est dur ! Oh que c’est ballot, pensez-donc : le ministre du budget, celui qui donne des leçons de bonne gestion financière et chasse l’exilé fiscal est possiblement lui-même un exilé fiscal ! Doublé d’un potentiel menteur et toujours potentiellement impliqué dans une magouille de gros sous avec les labos, en tant que [...]

    #A_la_Une #Politique #affaires #cahuzac #Corruption #élections #featured #Mediapart #Oligarchie #politiciens_moisis #PS

  • Presse ou édition indépendante - même galère...
    http://www.article11.info/?Alerte-rouge-voire-noire-CQFD-n-a

    Cela fait dix ans que le mensuel CQFD montre les crocs en kiosques, la bave aux babines et le drapeau noir à la patte. Dix ans qu’on le lit, qu’on le discute, qu’on le fait tourner. Mais si le journal marseillais fait partie du paysage, ça fait aussi un bail qu’il galère, finances en berne. Aujourd’hui, il en appelle à ses lecteurs. Une démarche qui se généralise dans la presse indépendante.

    #CQFD #presse_indépendante #France #Marseille