• US author to give away £10,000 prize cash over role of sponsor in opioid crisis | Books | The Guardian
    https://www.theguardian.com/books/2021/dec/03/us-author-to-give-away-10000-prize-cash-over-role-of-sponsor-in-opioid-
    https://i.guim.co.uk/img/media/bdc8478ba6000c534212a09a8e6cc3fb8f7d103e/755_118_1051_631/master/1051.jpg?width=1200&height=630&quality=85&auto=format&fit=crop&overlay-ali

    US author to give away £10,000 prize cash over role of sponsor in opioid crisis

    Investigative reporter Patrick Radden Keefe will give money from business book of the year shortlisting to charity over involvement of McKinsey firm
    Patrick Radden Keefe
    ‘Irony’ … the New Yorker writer Patrick Radden Keefe. Photograph: Albert Llop/NurPhoto/Rex/Shutterstock
    Lucy Knight
    Fri 3 Dec 2021 18.24 GMT

    Last modified on Fri 3 Dec 2021 18.26 GMT

    The American writer Patrick Radden Keefe has said he will give away the £10,000 he was awarded by a book prize whose sponsor helped to sell the opioid painkiller OxyContin.

    Radden Keefe’s damning investigative book Empire of Pain deals with the opioid addiction crisis, focusing on the role of the Sackler family. He was one of six authors shortlisted for the prize, sponsored by the consultancy McKinsey, five of whom, including him, each received runner-up awards of £10,000.

    Tweeting about the “irony” on Thursday, the New Yorker journalist and author posted a photo of himself at the Financial Times/McKinsey business book of the year 2021 award ceremony at the National Gallery in London, pointing to a sign reading “The Sackler Room”. The Sacklers’ company Purdue Pharma sold the OxyContin painkiller which is said to have fuelled the US’s opioid crisis.

    I’m told it was the British who invented irony, so a short 🧵 about my experience last night in London. My book on the Sacklers, Empire of Pain, had been shortlisted for the FT / McKinsey Business Book of the Year award… pic.twitter.com/DnP7HiUzvm
    — Patrick Radden Keefe (@praddenkeefe) December 2, 2021

    In a further tweet, Keefe went on to write that “if you throw a brick in the London art world, you’ll hit a Sackler room”, because the family were keen supporters of art and made generous donations to many prominent galleries.

    What was more ironic than the ceremony being held in a room next to one named after the Sacklers, he continued, was the fact that he had been shortlisted for an award sponsored by McKinsey & Company. The consultancy firm had previously advised the Sacklers and Purdue on how to “turbocharge” sales of OxyContin, and in February agreed to pay nearly $600m in settlement for its role in the opioid crisis.

    This “made for some pretty fraught emotions”, said Keefe. “On the one hand, it means a great deal to me to see this book recognised. On the other, I could not take part in the lovely gala dinner and not at least acknowledge the proverbial elephant.”

    He has chosen to donate the money he received as a shortlisted author to the charity Odyssey House, which works to help people recover from drug and alcohol abuse.

    The writer, who won the Baillie Gifford prize for nonfiction in November, lost out on the business book of the year award to Nicole Perlroth, whose winning book This Is How They Tell Me The World Ends is about the cyber weapons arms race.

    Keefe was keen to stress that he believes the jury was “100% independent” and not in any way influenced by the prize’s sponsor.

    #Patick_Radden_Keefe #Opioides #Prix_littéraire

  • Littérature : les éditeurs qui raflent tous les prix
    http://www.lemonde.fr/livres/visuel/2013/11/30/prix-litteraires-les-maisons-d-edition-qui-regnent-sur-les-classements_35230

    Pour y voir plus clair, Le Monde.fr a compilé les palmarès complets de dix des principaux prix littéraires, dans un pays qui en compte près de 2 000. Des plus anciens (le Goncourt, 1903) aux plus récents (le Décembre, 1999), des grands prix d’automne (Femina, Renaudot) aux prix grand public du printemps (Elle, France Inter), nous avons listé les vainqueurs de chaque saison des prix en fonction de leur maison d’édition. Le graphique interactif ci-dessous représente l’évolution dans le temps du nombre de prix récoltés par les huits principales maisons (Albin Michel, Flammarion, Gallimard, Grasset, Julliard, Le Seuil, Mercure de France et Plon) et par les 64 autres éditeurs récompensés (regroupés en bleu).

    #visualisation #infographie #prix_littéraires

  • Militer pour la Pédophilie n’est pas un Crime puisque les membres du jury ont décerné Le prix Renaudot à un militant pro pédophile, Gabriel MATZNEFF !
    http://www.petitions24.net/retirer_le_prix_renaudot_a_gabriel_matzneff_militant_pro_pedophil

    Sous le couvert d’argumentaires littéraires, il sera relayé par les médias, invité sur les plateaux de télévision, et soutenu dans le milieu littéraire.

    Dans son essai, » Les Moins de seize ans », Gabriel Matzneff expose son goût pour les mineurs des deux sexes.

    Il use du terme « enfant » pour désigner indifféremment les enfants et les jeunes adolescents, sans évoquer la notion de puberté. Il écrit : « Ce qui me captive, c’est moins un sexe déterminé que l’extrême jeunesse, celle qui s’étend de la dixième à la seizième année et qui me semble être — bien plus que ce que l’on entend d’ordinaire par cette formule — le véritable troisième sexe. En revanche, je ne m’imagine pas ayant une relation sensuelle avec un garçon qui aurait franchi le cap de sa dix-septième année. (...) À mes yeux l’extrême jeunesse forme à soi seule un sexe particulier, unique. ». Gabriel Matzneff revendique pour lui-même la qualification de « pédéraste », soit un « amant des enfants ». Il dénonce par ailleurs le fait que le « charme érotique du jeune garçon » soit nié par la société occidentale moderne « qui rejette le pédéraste dans le non-être, royaume des ombres ». « Un enfant dit-il, appartient à ses parents et à ses maîtres. Ce sont eux qui en ont l’usage exclusif. Pourtant, c’est nous que ces nauséabonds personnages accusent de détournement de mineur ». Sommes nous donc de nauséabonds personnages, pour vouloir protéger nos enfants des gens que moi, je qualifie de prédateurs sexuel et d’abuseurs de nos jeunes enfants, naïfs de ce que représente une telle perversion ?

    Saviez-vous que Matzneff estime qu’« il n’y a pas un homme normalement constitué qui lise le croustillant récit des amours de Tonton Lucien (histoire d’un quinquagénaire qui avait, au cours de « ballets roses », abusé de fillettes âgées de onze à quinze ans), sans bander et songer qu’il aurait bien aimé être à sa place ». Quand on lit ce genre d’affirmations, je me demande comment réagissent les hommes à la lecture de telles accusations et comment Matzneff, n’a pas encore eu de procès en bonne et dû forme de la part de la gente masculine. Ne peut-on pas le qualifier de consommateur du sexe quand il affirme « En outre, si violence il y a, la violence du billet de banque qu’on glisse dans la poche d’un jean ou d’une culotte (courte) est malgré tout une douce violence. Il ne faut pas charrier. On a vu pire ».

    #pedophilie #viol #prostitution #grrr

  • Le Prix de la langue française pour Jean Rolin - Bibliobs avec Le Nouvel Observateur
    http://bibliobs.nouvelobs.com/sur-le-sentier-des-prix/20131009.OBS0354/le-prix-de-la-langue-francaise-pour-jean-rolin.html?xtor=RSS-15

    La Foire du livre de Brive ne sert pas seulement à doper le taux de cholestérol des écrivains qui s’y rendent. C’est aussi l’occasion de remettre un prix doté de 10.000 euros qui s’appelle le Prix de la langue française. Il se présente comme ça :

    Créé en 1986 par la Ville de Brive, le Prix de la langue française récompense l’œuvre d’une personnalité du monde littéraire, artistique ou scientifique qui a contribué, de façon importante, par le style de ses ouvrages ou son action, à illustrer la qualité et la beauté de la langue française. »

    Dans le passé, il a récompensé aussi bien Jean Tardieu que Bernard Pivot, Hector Bianciotti, Emmanuel Carrère, Vassilis Alexakis, et même Dominique de Villepin. Cette année, le vendredi 8 novembre, il sera remis à Jean Rolin.

    Il paraît qu’il a fallu trois tours de scrutin pour le désigner. Pourtant, compte-tenu de sa vocation, ce Prix de la langue française pouvait difficilement trouver un meilleur lauréat. Car même si les grands jurys d’automne ont bizarrement tendance à l’oublier, l’auteur de « l’Homme qui a vu l’ours » et de l’hilarante « Organisation », auquel on doit encore « le Ravissement de Britney Spears », « Campagne » et « Terminal Frigo », est de façon peu contestable l’un de nos plus fins stylistes en activité.

    #ORMUZ
    #prix_littéraire
    #jean_rolin
    #Prix_de_la_langue_française