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RSS: #produits_dérivés

#produits_dérivés

  • @visionscarto
    visionscarto @visionscarto 21/02/2017
    2
    @kassem
    @mad_meg
    2

    Planète spéculative
    ▻https://visionscarto.net/planete-speculative-et-economie-de-la-banane

    Titre : Planète spéculative Mots-clés : #Finance #Bourse #Capitalisation #Capitalisation_boursière #Spéculation #Criminalité_financière #mondialisation #Échanges #PIB #Produits_dérivés Auteur : Philippe Rekacewicz Date de création : 2011 Tout ce que nous pouvons faire, c’est graviter autour… Rien n’est plus opaque que la grande finance spéculative. Mais, grâce au travail de fourmi des organisations non gouvernementales et de certains magistrats, on sait qu’elle représente des volumes de (...)

    #Collection_cartographique

    visionscarto @visionscarto
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  • @sbinfo
    sbinfo @sbinfo 30/09/2016
    7
    @reflets
    @vanderling
    @cy_altern
    @sombre
    @7h36
    @suske
    7

    Coucou, c’est moi, la #Crise financière, je suis de retour…
    ►https://reflets.info/coucou-cest-moi-la-crise-financiere-je-suis-de-retour

    Le spectre d’un retour en 2008 est à nos portes. Ça ne date pas d’hier, nous en avons parlé à de multiples reprises ici même. Mais cette fois, ça se précise. Vous avez dû le lire ces derniers jours, la Deutsche Bank est dans une situation catastrophique et en plus, les Etats-Unis veulent lui imposer […]

    #Economie #allemagne #Angela_Merkel #Barclays #Christine_Lagarde #Commerzbank #Crédit_Suisse #Crise_de_la_dette_souveraine #Deusche_Bank #France #produits_dérivés #Subprimes

    sbinfo @sbinfo
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 30/09/2016

      ►http://yetiblog.org/index.php?post/2001

      Vanderling @vanderling
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  • @vanderling
    Vanderling @vanderling 28/09/2016
    4
    @reka
    @marielle
    @kassem
    @cocoadaemon
    4

    La revoilà qui pointe son vilain nez. Elle, c’est la fameuse crise financière qu’on voulait nous faire croire dépassée, mais dont les métastases n’ont jamais cessé de se propager. Nouvelle victime, et de taille, la #Deutsche_Bank. Avec d’énormes “dégâts collatéraux” à prévoir.
    Résumons :
    la Deutsche Bank s’est vu condamner à 14 milliards de dollars d’amende par la justice américaine pour traficotages répétés (oui, je sais, elle n’est pas la seule, mais la Deutsche Bank, c’est du TRÈS TRÈS gros gibier) ;
    ces 14 milliards, la Deutsche Bank n’a absolument pas les moyens de les payer, ni en totalité, ni même en partie ;
    coup encore plus fatal : Frau Merkel, droite dans ses bottes de mère fouettarde, et surtout en pleine panade électorale, refuse d’engager l’argent publique allemand pour sauver la tricheuse.
    Résultat : l’action de la première banque allemande dégringole comme #neige_au_soleil et les épargnants paniquent : si l’État allemand ne sauve pas leur Deutsche Bank, c’est eux qui seront mis à contribution (sans doute en pure perte d’ailleurs).

    Les dirigeants politiques, les experts en finance et en magouillage tordu ont beau se torturer les méninges, aucune solution n’apparaît fiable pour sauver ce nouveau Titanic en déroute. Depuis 2008 que dure l’agonie, il y a belle lurette qu’ils ont brûlé toutes leurs vieilles cartouches foireuses, sans n’avoir rien réussi d’autre qu’à reculer un peu l’explosion finale.
    Mais il y a pire encore : bien d’autres #culs_cossus tremblent dans leur culotte à l’idée d’une chute si monumentale. Car la Deutsche Bank se traîne un portefeuille de 42 000 milliards de dollars de “#produits_dérivés” (soit plus de douze fois le PIB allemand) qui engage tous ses collègues dans la tourmente. Y compris nos chères #banques_françaises.

    Un joli feu d’artifice en vue et c’est bien fait.

    ►http://yetiblog.org/index.php?post/2001

    http://yetiblog.org/public/DB_dommages_collateraux.jpg

    Vanderling @vanderling
    • @bce_106_6
      Renée Pélagy @bce_106_6 28/09/2016

      Quand les temps sont durs, les loups se bouffent entre eux.

      Renée Pélagy @bce_106_6
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  • @booz
    BoOz @booz 22/12/2014
    3
    @mdiplo
    @thibnton
    @touti
    3

    Comment la #taxe_sur_les_transactions_financières est torpillée par la #France

    ▻http://abonnes.mobile.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2014/12/22/comment-la-taxe-sur-les-transactions-financieres-est-torpille

    C’était la promesse n° 7 du candidat #François_Hollande : soutenir une « action coordonnée au niveau européen pour imposer l’ensemble des transactions, y compris donc les #produits_dérivés ».

    La taxe sur les transactions financières (#TTF), aussi appelée « Robin des bois » ou #Tobin, du nom de l’économiste qui l’a imaginée dans les années 1970, devait entrer en vigueur au 1er janvier 2016 en Europe. Mais elle semble, sinon enterrée, du moins s’éloigner de plus en plus.

    Pourtant, le chef de l’Etat et son premier ministre ont été rappelés à l’ordre par 140 députés de leurs propres rangs, qui ont signé une lettre jeudi demandant à ce « que notre pays conserve intacte l’ambition initiale du projet qui inclut “toutes les transactions financières” ». Parmi ces derniers figurent entre autres l’ancien premier ministre Jean-Marc-Ayrault, Karine Berger, Aurélie Filippetti, Elisabeth Guigou, François Lamy…

    CHANTAGE À LA DÉLOCALISATION

    Cette lettre a été largement partagée pendant le week-end, alors que les 11 pays européens désireux de créer un tel impôt ne sont pas parvenus à se mettre d’accord le 9 décembre dernier à Bruxelles.

    Lancée au lendemain de la crise financière de 2008, l’idée de la TTF était de prélever 0,1 % sur les échanges d’actions et 0,01 % sur les produits dérivés. Ceux-là, destinés à assurer leurs acheteurs contre des risques financiers (de change, de taux…), ont connu ces dernières années une croissance exponentielle.

    Une banque française, #BNP_Paribas, en est un des champions européens, voire mondiaux. Et l’ensemble du secteur a brandi la menace des délocalisations si la taxe s’appliquait en l’état.

    Lire notre enquête : Comment les lobbies détricotent la taxe sur les transactions financières

    LES SOCIALISTES DEMANDENT DES COMPTES

    La #taxe, qui ne visait pas à « tuer » l’activité #bancaire, mais à l’encadrer (en rendant moins intéressants les échanges les plus spéculatifs), avait aussi pour object de #redistribuer une partie de ces profits (environ 35 milliards d’euros par an si l’on incluait tous les produits dérivés dans l’assiette taxable) vers le développement #humanitaire, les projets #écologiques et la recherche sur les #maladies, comme le #sida.

    Les associations militant pour cette taxe (Aides, Oxfam et #Attac, notamment) ont rappelé que cette mesure devait au départ, selon les vœux de François Hollande, entrer en vigueur… en 2013. Elle se sont également félicité de l’initiative des députés, demandant au président de la République de « recadrer [le ministre des finances] #Michel_Sapin ».

    Dans leur lettre de jeudi, les socialistes signataires expliquent :

    « C’est la France qui a proposé de réduire l’#assiette d’une telle taxe, la limitant aux #actions et aux contrats d’#assurance contre le risque de défaut de paiement [#CDS – credit default swap], soit 3 % des produits dérivés. Cette proposition réduirait largement le rendement de cette taxe, le rendant encore plus limité que la taxe française créée en 2012. »

    LES RENONCEMENTS DE #BERCY

    Le projet de loi de finances 2015 table sur un rendement de 700 millions d’euros pour la version française de la taxe Tobin, en vigueur depuis trois ans. Loin des premières estimations qui tablaient sur un rendement de l’ordre de 1,5 milliard d’euros annuel.

    En cause, un torpillage en règle de l’assiette taxable : alors que la taxe aurait pu être renforcée par la taxation du #trading_haute_fréquence, c’est aussi un gouvernement Hollande qui l’a fait échouer en France. Bercy a fait pression sur sa majorité et son rapporteur, Christian Eckert, a depuis été nommé secrétaire d’Etat au budget.

    Lire : Trading haute fréquence, l’histoire d’un renoncement

    Même les autorités britanniques ont été plus ambitieuses dans leur décision de taxer le secteur bancaire : le stamp duty (« droit de timbre ») rapporte quelque 3 milliards d’euros par an, grâce à une large assiette de 0,5 % sur tous les échanges d’actions, contre 700 millions d’euros pour la taxe française (entrée en vigueur en 2012).

    Hongkong, Singapour ou encore Taïwan ont également mis en place, à des degrés divers, une telle taxation de leur place financière.

    #fiscalité #entreprise #finance #parti_socialiste

    • #Europe
    • #France
    • #EUR
    • #François Hollande
    BoOz @booz
    • @thibnton
      tbn @thibnton PUBLIC DOMAIN 26/12/2014

      #socialistes

      tbn @thibnton PUBLIC DOMAIN
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  • @odilon
    odilon @odilon CC BY-NC-ND 18/12/2013
    1
    @reka
    1

    Les #produits_dérivés dépassent leur niveau d’avant-crise
    ▻http://www.lemonde.fr/economie/article/2013/12/17/les-produits-derives-depassent-leur-niveau-d-avant-crise_4335868_3234.html

    Au premier semestre 2013, elle s’élevait en effet à 693 000 milliards de dollars, contre 684 000 milliards au premier semestre 2008, selon les chiffres que le cabinet a tirés des rapports de la Banque des règlements internationaux (BRI). L’équivalent de dix fois le PIB mondial, contre trois fois le PIB mondial il y a quinze ans. « C’est un risque potentiel énorme, et la crise n’a pas changé les pratiques des banques en la matière », explique Christophe Nijdam, qui a piloté l’étude.

    AlphaValue a également épluché les documents officiels des grandes banques européennes afin de déterminer quelles sont celles qui détiennent les montants notionnels de produits dérivés les plus élevés. En tête arrive la Deutsche Bank (55 600 milliards d’euros), suivie de la française BNP Paribas (48 300 milliards) et la britannique Barclays (47 900 milliards). La Société générale (19 200 milliards) et le Crédit agricole (16 800 milliards) apparaissent en huit et neuvième positions.

    Mais si l’on compare ces chiffres au PIB du pays d’origine de la banque, le classement est un peu différent. Cette fois, c’est Credit Suisse (86 fois le PIB helvète !) qui figure en tête, suivi par UBS (65 fois le PIB suisse) et Barclays (26 fois le PIB britannique). BNP Paribas apparaît en cinquième position (24 fois le PIB français) devant la Deutsche Bank (22 fois le PIB allemand), la Société Générale (10 fois le PIB français) et le Crédit agricole (8 fois) en dix et onzième positions. La première banque américaine, JPMorgan, n’apparaît qu’en treizième place du classement (« seulement » 4 fois le PIB américain).

    #finance #banque

    • #Barclays
    • #BNP Paribas
    • #Deutsche Bank
    • #Société Générale
    • #USD
    • #Christophe Nijdam
    odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @reka
      Reka @reka CC BY-NC-SA 18/12/2013

      Sur le même sujet :

      https://dl.dropbox.com/s/i7idheoxord8nbb/sp%C3%A9culation-deriv%C3%A9s-1.png

      https://dl.dropbox.com/s/sroqx12by93820g/sp%C3%A9culation-deriv%C3%A9s-2.png

      Deux figures de l’exposition « Cartes en colères » sur Visions carto.

      Reka @reka CC BY-NC-SA
    • @monolecte
      M😷N😷LECTE 🤬 @monolecte CC BY-NC-SA 18/12/2013

      #bulle

      M😷N😷LECTE 🤬 @monolecte CC BY-NC-SA
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