• Presenti mai assenti. Camminata sonora e opera d’immersione sulle rotte migranti
    https://onborders.altervista.org/presenti-mai-assenti-camminata-sonora-e-opera-dimmersione-sull

    di Simona Sala e Valentina Bosio Installazione sonora e field recordings BANDITE. Sound editor Giuseppe Giordano. Canti: Marjan Vahdat, Selda Özturk. Poesie: Rahma Nur da Il grido e il sussurro, Capovolte editrice. Con SENTIERI SOLIDALI e ONBORDERS È un’opera pensata per la commemorazione del 6 febbraio dei morti nel deserto, in mare, sulle nostre montagne […] L’articolo Presenti mai assenti. Camminata sonora e opera d’immersione sulle rotte migranti proviene da ON BORDERS.

    #LINGUAGGI_VISUALI

  • Comment les arbres ont conquis les villes

    Nécessaires pour embellir et rafraîchir les villes, les arbres n’ont pas toujours été intégrés à l’urbanisme, explique l’historienne #Andrée_Corvol. Les révolutions sociales ont permis leur essor.

    Depuis son appartement en banlieue parisienne, l’auteur de cet article contemple tous les jours un univers essentiellement minéral, composé de grandes tours d’habitation et de quelques bâtiments publics. Parmi ces blocs de béton se distinguent quelques arbres, essentiellement des marronniers, qui apportent une touche de vert bienvenue dans ce monde gris et marron et, l’été, une fraîcheur indispensable dans cet îlot de chaleur urbaine. Aussi rares et chétifs soient-ils, ces arbres parviennent à rendre supportable la vie dans un quartier densément peuplé, d’où toute nature a disparu depuis l’industrialisation de la ville au XIXe siècle.

    Ces marronniers s’inscrivent dans une longue lignée d’#arbres_urbains, retracée par l’historienne Andrée Corvol, spécialiste du végétal, dans L’Arbre dans la cité (éd. Le Pommier). Depuis son apparition systématique dans les villes françaises à l’orée du XVIIe siècle, l’arbre a toujours tenu le même rôle : rendre humainement vivables des villes de plus en plus denses, à mesure que les campagnes et les espaces naturels s’en éloignaient.

    Si la prose touffue d’Andrée Corvol tend, telle la sylve, à s’égarer en branches et rameaux, on peut néanmoins résumer à grands traits cette intégration du végétal au panel des outils d’aménagement à destination des autorités locales en France. Car c’est bien d’un outil qu’il s’agit, et ce, dès l’époque moderne.

    Alors que la ville française médiévale comportait peu d’arbres — sinon quelques-uns sur le parvis de l’église et d’autres sur les remparts, pour gêner les tirs adverses en cas de siège —, les autorités municipales des XVIIe et XVIIIe siècles confrontées à l’essor démographique de leurs villes respectives décidèrent de les doter de nouveaux quartiers végétalisés.

    Outre le sentiment de #fraîcheur que procuraient ces arbres — ormes, noyers et tilleuls pour la plupart —, les #plantations_urbaines offraient aux citadins un espace de #loisirs, des #promenades en famille jusqu’au #sport, en particulier le jeu de paume pratiqué à l’#ombre des cours et des mails, à l’instar de ceux structurant le centre-ville d’Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône).
    Embellir... et maîtriser l’étalement urbain

    À l’ère de l’#industrialisation et de l’#exode_rural vers la ville, les métropoles du XIXe siècle reprirent ces principes en les systématisant. Pour verdir les nouveaux boulevards qu’il perçait au beau milieu de la capitale, Georges-Eugène Haussmann, préfet de Paris sous Napoléon III, réorganisa le service des Promenades — ancêtre des Jardins — pour favoriser des plantations homogènes, après des décennies d’essais erratiques et désordonnés, peuplant ainsi la métropole de platanes et #marronniers. Comme souvent, les capitales régionales imitèrent l’exemple parisien et se dotèrent à leur tour d’avenues et cours végétalisés.

    Mais le tournant eut cependant lieu entre 1919 et 1924, avec l’adoption des #lois dites « #Cornudet ». À la différence des initiatives municipales antérieures, ces textes législatifs, les premiers en matière d’urbanisme en France, proposaient un encadrement national à travers un #Plan_d’aménagement_d’embellissement_et_d’extension (#PAEE) obligatoire pour les villes de plus de 10 000 habitants.

    Comme le résume Andrée Corvol, ces lois répondaient à la contradiction engendrée par la croissance urbaine : « Laisser les cités se densifier, c’était condamner leur #verdure intramuros. Laisser les cités s’étaler, c’était la réduire extramuros. » En somme, le PAEE envisageait la maîtrise d’un étalement urbain anarchique à travers une #végétalisation programmée des nouveaux quartiers et non ajoutée après coup de manière à les embellir.

    Au demeurant, le PAEE n’empêcha pas la construction à la va-vite, tout au long des Trente Glorieuses, d’ensembles minéraux destinés à reloger en urgence les déplacés de la Seconde Guerre mondiale. Le végétal servait alors à procurer bien-être et bien-vivre à des citadins toujours plus nombreux, en leur camouflant les désagréments des villes industrielles. Ainsi, à Gennevilliers (Hauts-de-Seine), le parc des Chanteraines et ses 82 hectares dissimulent aux promeneurs les usines de béton qu’on verrait autrement depuis les immeubles d’habitation.

    L’arbre source de #conflits

    Toutefois, l’adoption des arbres en ville ne se fit pas sans heurts. Au contraire, la plantation, l’emplacement ou le type d’essence nourrirent durant quatre siècles un ensemble de contestations qui se déployèrent autour des arbres, pris comme emblèmes ou point de départ d’un conflit.

    Andrée Corvol parvient de la sorte à brosser une surprenante histoire de la #Révolution_française à travers ses arbres fétiches : aux « #arbres_de_mai » plantés spontanément en 1789 par des villageois enthousiastes succédèrent l’année suivante les arbres de la Fédération, impulsés par le marquis de La Fayette et les partisans de la monarchie constitutionnelle, puis, en 1792, les arbres de la liberté, destinés à enraciner, de manière physique et symbolique, la nouvelle République.

    Au cours de la période révolutionnaire, les arbres subirent tout autant que les humains les brusques changements de pouvoir. Ainsi, les peupliers plantés par les jacobins, qui rapprochaient naïvement populus et « petit peuple », furent souvent pris pour cible par les opposants à la Terreur, qui manifestaient au travers d’écorces mutilées ou brisées leur dissidence. Face à pareil conflit, le Directoire, le Consulat puis le Premier Empire tentèrent de finir la Révolution en aménageant des promenades urbaines pour calmer les esprits en offrant de nouveaux espaces de détente.

    Ces conflits politiques se doublaient en outre de conflits de classe. Dans le Paris haussmannien, les quartiers cossus réservaient « leurs » arbres aux nourrices et en chassaient les vagabonds, tandis que les quartiers ouvriers les gardaient pour leurs familles, au détriment des jeunes. En somme, « l’arbre était au centre de revendications territoriales. Il en supportait les conséquences sociétales, tout comme l’arbre de la liberté, les conséquences politiques ».

    Les investisseurs ont droit de vie ou de mort

    À ces combats s’ajoute une question cruciale : qui paye les plantations ? Les différents régimes issus de la Révolution, optimistes, crurent fidéliser les citoyens à leur cause en leur faisant financer eux-mêmes les nouvelles plantations urbaines. Peine perdue : versatile, seule une fraction de citoyens payait — et encore lorsque les fonctionnaires les y pressaient. Le volontarisme citoyen ne fonctionne qu’en de rares occasions et sur des points bien précis. En décembre 1999, une souscription populaire à la suite des tempêtes Lothar et Martin permit certes de financer la replantation des jardins du château de Versailles, mais les 2 millions d’arbres brisés en Seine-et-Marne ne connurent pas autant de succès.

    Au XIXe et XXe siècles, ce furent donc surtout les municipalités qui payèrent les plantations et leur entretien. Mais, hormis Paris et quelques grandes villes, beaucoup d’entre elles, par manque de fonds, privilégièrent des essences communes et connues de tous — le chêne, le marronnier, le platane, etc. — au détriment d’une réelle biodiversité végétale.

    En tant qu’investisseurs, les édiles se réservaient aussi le droit d’abattre les arbres lorsqu’ils les jugeaient vétustes ou faisant obstacle à de nouveaux projets d’aménagement, quitte à s’aliéner une partie de leurs administrés, témoin la bataille qui opposa plusieurs semaines en 2018 les habitants de la Plaine à la municipalité marseillaise.

    Ce dernier exemple illustre le peu de poids des arbres en ville. À peine mieux traités que du mobilier urbain par les services d’aménagement, ils furent forcés de s’acclimater, en dépit de leur métabolisme lent, au rythme de la ville moderne : tramway, métro, grands boulevards, éclairage nocturne, etc. Et, lorsqu’ils dérangeaient, on les abattait froidement.

    On mesure l’ampleur du désastre aux quelques chiffres que consigne l’historienne : si, en 1895, le réseau routier national français comptait 3 millions d’arbres, soit 49 % des routes plantées, un siècle plus tard il n’en dénombrait plus que 250 000, soit 12 % des routes. En cause : le caractère accidentogène des arbres en bord de route… Quelques défenseurs des arbres émergèrent bel et bien dès le milieu du XIXe siècle, mais se consacrèrent pour l’essentiel aux massifs forestiers ou aux trognes des campagnes en voie de disparition, rarement aux plantations urbaines, trop évanescentes.

    L’ouvrage achevé, une question se pose, à laquelle Corvol ne répond pas : qu’est-ce qu’une ville végétale digne de ce nom ? Si, comme le montre l’historienne, l’arbre a certes gagné sa place en ville, il s’agit d’une place strictement utilitaire, où la folie créatrice du sauvage n’a pas lieu d’être.

    https://reporterre.net/Comment-les-arbres-ont-conquis-les-villes

    #arbres #villes #urbanisme #urban_matter #végétation

    • L’arbre dans la cité : histoire d’une conquête (XVIIe-XXIe siècle)

      Autrefois, l’arbre en ville était cantonné aux enclos vivriers, il n’ombrageait pas nos routes ni nos fleuves et nos canaux. Vivant plutôt à la campagne, il procurait bois, fruits, fibres et feuilles. Aujourd’hui, le végétal entre en force dans nos cités par trop minérales ; il améliore nos conditions de vie, protège le sol, régule la température, purifie l’air et atténue les bruits.
      Comment l’arbre a-t-il conquis le pavé ? Cette histoire, moins utilitaire et monolithique qu’il n’y paraît, croise en fait celle de la modernité, et mérite d’être racontée. Car, bien avant la révolution industrielle et son introduction dans la cité pour assainir l’air, l’arbre s’y est fait une place dès la Révolution, comme symbole de la liberté.
      Récupéré dans le champ politique, il a depuis servi à commémorer un événement, à symboliser l’autorité, à améliorer l’aménagement urbain ou encore à satisfaire le besoin de nature des administrés. Ce faisant, il a suscité à la fois colères et affections. Une histoire qui est ainsi celle des hommes, de leurs revendications et de leurs aspirations. Mort ou vif, l’arbre fait partie du roman national.

      https://www.placedeslibraires.fr/livre/9782746527393-l-arbre-dans-la-cite-histoire-d-une-conquete-xviie-x
      #livre

  • Ecologie et urbanisme

    A Toulouse, deux cours d’eau longeant la Garonne ont été asséchés (ils servaient de canals de fuite aux anciens moulins) : La Garonnette pour L’île de Tounis en 1954 et le chemin d’eau du Canalet vers 1960 pour les Amidonniers qui est devenu la promenade de la coulée verte .

    Toulouse fait peu de cas de ses cours d’eau ou de ces canaux comme le canal du midi, allant dans les années 70 jusqu’à vouloir les recouvrir pour y circuler en véhicules motorisés. Au niveau des ponts-jumeaux, à la croisée du canal du midi, du canal de Brienne et du canal latéral, c’est carrément un massacre monumental puisque c’est tout simplement la sortie du périphérique qui poursuit ensuite sa route en longeant au canal latéral. On peut toujours espérer que la stratégie actuelle médiatico électoraliste bouge, mais préserver l’environnement naturel est toujours un manque à gagner pour les promoteurs immobiliers et leur maire. Destruction de jardins, de vergers, de maisons d’architecte, quartiers entiers rasés et reconstruit sans arbres ni jardin, enfumage avec un écoquartier de béton face auquel les logement HLM d’Empalot des années 70 c’est bisounours avec bien plus d’espace verts, construction au raz des trottoirs, logement à prix inabordable etc. Toute une philosophie de droite macroniste de bas niveau qui considère la biodiversité comme d’extrême gauche, donc à éradiquer et à remplacer par des tulipes à arrosage automatique.

    J’alimenterai ce fil au fur et à mesure.

  • #Belgique : Le PDG de PostNL Belgique ainsi que le directeur des opérations et un troisième employé sont en prison La Libre Eco avec Belga
    Accusation de direction d’une organisation criminelle, il est également question de trafic d’êtres humains, de falsification et de détachement illégal de personnel. Les deux dépôts de l’entreprise postale, à Wommelgem et Willebroek, restent sous scellés.

    Le PDG de PostNL Belgium et son numéro deux sont en prison après la perquisition de trois dépôts ce lundi. C’est ce que rapporte Het Laatste Nieuws.

    L’entreprise et le tribunal n’ont pas encore confirmé cette information. La police a arrêté neuf personnes lors des contrôles effectués à PostNL. Selon une porte-parole de PostNL Belgium, trois des neuf personnes sont toujours en détention. Het Laatste Nieuws mentionne que le PDG Rudy Van Rillaer en fait partie, ainsi que le directeur des opérations et un troisième employé.
    https://www.lalibre.be/resizer/DUwEinLCgjPNQnDsKuRg90NlQkc=/0x0:2555x1705/768x512/filters:quality(70):format(jpg)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/ipmgroup/3LD73HVJNVCOTF7PQ3ZKPH27P4.jpg
    Les chambres se prononceront sur leur sort vendredi. Selon Het Laatste Nieuws, les trois personnes sont accusées de diriger une organisation criminelle, et il est également question de trafic d’êtres humains, de falsification et de détachement illégal.

    Dans le même temps, deux dépôts de l’entreprise postale, à Wommelgem et Willebroek, restent scellés. Les colis qui s’y trouvent ne peuvent pas être livrés pour le moment et seront traités dans d’autres dépôts.
    = = = = = = = = = = =
    Neuf personnes ont été appréhendées dans ce cadre. Plusieurs ont pu disposer après audition, a précisé la porte-parole de l’entreprise postale. Selon l’auditorat du travail, des violations liées au travail non déclaré des chauffeurs et au travail à temps partiel avaient été constatées en novembre dernier au sein de l’entreprise.

    Le nombre de colis bloqués n’a pas été précisé. Les particuliers et les clients d’affaires ont été entretemps informés d’un retard.
    = = = = = = = = = = =
    #uber #esclavage #exploitation #esclavage_moderne #exploitation #capitalisme #migrants #réfugiés #amazon #précarité #la_poste

    PostNL : la ministre De Sutter veut s’attaquer aux dérives dans le secteur des colis
    https://www.rtbf.be/article/postnl-la-ministre-de-sutter-veut-s-attaquer-aux-derives-dans-le-secteur-des-co

    La ministre de la Poste, Petra De Sutter, souhaite s’attaquer aux dérives observées dans le secteur de livraison de colis, a-t-elle fait savoir mardi dans un communiqué. Un avant-projet de loi a été préparé. Lundi, neuf personnes ont été appréhendées dans la foulée de contrôles menés par la police judiciaire fédérale chez PostNL en Belgique. Deux dépôts de l’entreprise néerlandaise, situés à Wommelgem et Willebroek, ont été mis sous scellés.

    La ministre entend notamment contraindre les plus grands opérateurs postaux à employer des livreurs de colis sous contrat fixe. « Je veux éviter que des colis soient encore longtemps remis par des livreurs qui courent le risque d’être exploités. Depuis un certain temps, des abus sont clairement apparus dans le secteur des colis, en particulier au niveau de la livraison ’dernier kilomètre’. La fragmentation du secteur en une multitude de petites entreprises rend le contrôle social presque impossible, ce qui favorise les abus » , relève-t-elle.

    L’avant-projet doit encore être discuté au sein du gouvernement mais le texte a été soumis à une consultation publique, via le site internet de l’IBPT (Institut belge des services postaux et des télécommunications), précise la ministre. 

    • #Gand décide de ne plus ramasser les déchets sauvages pour confronter les gens à la saleté Eric Steffens
      https://www.vrt.be/vrtnws/fr/2022/03/29/gand-decide-de-ne-plus-ramasser-les-dechets-pour-confronter-les

      La ville de Gand lance une expérience étonnante en ne ramassant pas les détritus à certains endroits du Citadelpark (Parc de la Citadelle). Cette expérience est menée après que des déchets aient été abandonnés dans tout le parc la semaine dernière au cours de la première semaine du printemps. « Il n’est pas acceptable que le Service des espaces verts doive débarrasser les ordures chaque jour avant de commencer son vrai travail », déclare l’échevine Astrid De Bruycker (Vooruit).


      Gand, on a décidé de tenter une expérience face aux détritus qui sont abandonnés dans les parcs. Surtout après les beaux jours que l’on a connus, beaucoup de déchets jonchent les pelouses. « Et cela n’est plus acceptable », déclare l’échevine Astrid de Bruycker. « Nous devons faire quelque chose car les campagnes de sensibilisation, les opérations de nettoyage, l’application stricte de la loi.... rien n’y fait et les déchets sauvages restent. Nous en avons assez, alors nous allons tenter l’expérience de ne rien ramasser et confronter les gens à ce qu’ils laissent derrière eux. »

      La ville a décidé, à titre expérimental, de laisser les détritus sauvages dans une partie du Citadel Park. « Nous continuerons à assurer la sécurité, mais nous voulons montrer à quel point c’est sale quand une partie du parc n’est pas nettoyée ». 

      Le service des espaces verts passe des heures à ramasser les déchets, alors que ce n’est pas vraiment son travail. Les jardiniers devraient s’occuper de l’entretien des espaces verts de la ville, et pas devoir ramasser les déchets laissés par les autres". Désormais, la ville ne les ramassera plus et espère qu’ainsi les gens réfléchiront à deux fois avant de les laisser derrière eux.

      Gand veut voir comment les personnes qui jettent correctement leurs déchets peuvent être récompensées. On ne sait pas encore comment la ville va s’y prendre. « Nous allons d’abord voir ce que ça donne quand on confronte les gens à toutes les saletés. Pour être clair, nous continuerons à assurer la sécurité dans le parc ».

      #NDR : * Pourquoi ne pas demander aux commerçants et aux divers #macdo #mcdonald's et #super_marchés de ramasser les cochonneries qu’ils imposent à leur clients ?
      #emballages #déchets #pollution #environnement #recyclage #écologie #plastique #violence #promenade #détritus

  • La servitude de marchepied

    Si tu as envie de te promener le long des cours d’eau, même sur un terrain privé, sais-tu que c’est un droit de passage nommé #servitude_de_marchepied qui n’est que rarement appliqué.

    #communs
    #voies_piétonnes
    #promenades

    Article L2131-2 - Code général de la propriété des personnes publiques - Légifrance
    https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000031065981

    Article L2131-2

    Modifié par LOI n°2015-992 du 17 août 2015 - art. 62

    Les propriétaires riverains d’un cours d’eau ou d’un lac domanial ne peuvent planter d’arbres ni se clore par haies ou autrement qu’à une distance de 3,25 mètres. Leurs propriétés sont grevées sur chaque rive de cette dernière servitude de 3,25 mètres, dite servitude de marchepied.

    Tout propriétaire, locataire, fermier ou titulaire d’un droit réel, riverain d’un cours d’eau ou d’un lac domanial est tenu de laisser les terrains grevés de cette servitude de marchepied à l’usage du gestionnaire de ce cours d’eau ou de ce lac, des pêcheurs et des piétons.

    • Ah oui effectivement @marcimat, cela concerne les cours d’eau du domaine public.

      https://www.legifrance.gouv.fr/codes/section_lc/LEGITEXT000006070299/LEGISCTA000006180812/#LEGISCTA000006180812

      Article L2111-8

      Les cours d’eau et les lacs appartenant au domaine public sont appelés cours d’eau et lacs domaniaux.

      Par exemple ici
      https://www.data.gouv.fr/fr/datasets/domaine-public-fluvial-dpf-cours-deau-a-gestion-domaniale-hautes-pyrenees

      L’article L 2111-7 du code général des propriétés des personnes publiques, énumère les cours d’eau navigables ou flottables.
      Ces cours d’eau appartiennent au domaine public fluvial et sont aussi désignés par le terme de cours d’eau domaniaux.

    • Cours d’eau domaniaux

      Le cours d’eau domanial appartient à l’État. Les propriétaires riverains doivent supporter une servitude de halage et de marchepied de 7,80 m. La berge est habituellement ouverte au public (sous certaines réserves : véhicules non motorisés, etc.). Un propriétaire ne peut planter d’arbres à moins de 9,75 m de la berge côté chemin de halage (s’il existe), et à 3,25 m de l’autre côté. Un cours d’eau est déclaré domanial d’un certain point à son embouchure, incluant les bras, même non navigables ou flottables, de ce cours d’eau.

      La berge et le lit appartiennent à l’État, comme le droit d’usage de l’eau. La gestion de certaines voies navigables du domaine public est confiée à l’établissement public Voies navigables de France (créé en 1991), qui peut obtenir des redevances des usagers qui naviguent sur son domaine. La navigation est libre, dans le respect des réglementations (vitesse limite, interdiction de certaines activités, passages interdits à certaines embarcations, etc.) avec priorité à la navigation commerciale. Un cours d’eau classé non-navigable ou non-flottable peut être maintenu dans le domaine public.
      Cours d’eau non domaniaux
      Chapelets d’étangs créés par des barrages sur petits cours d’eau, du Moyen Âge au XVIIIe siècle (France, d’après la carte de Cassini).

      Les cours d’eau non domaniaux (rivières et ruisseaux) sont les cours d’eau non flottables et non-navigables de l’ancienne réglementation. Ils sont régis par le droit privé. Seuls le fond et les berges appartiennent aux propriétaires qui peuvent en interdire l’accès à autrui, ainsi que la circulation (selon la jurisprudence). Le droit de propriété inhérent aux parcelles cadastrales sises sur la rive s’étend jusqu’à une ligne supposée tracée à l’axe du cours d’eau4. L’eau fait toujours partie du domaine public, sauf droit anterieur acquis tels que les droits en titres. L’article L210-1 modifié par Loi n°2006-1772 du 30 décembre 2006 - art. 1 (JORF 31 décembre 2006) stipule :

      "L’eau fait partie du patrimoine commun de la nation. Sa protection, sa mise en valeur et le développement de la ressource utilisable, dans le respect des équilibres naturels, sont d’intérêt général. Dans le cadre des lois et règlements ainsi que des droits antérieurement établis, l’usage de l’eau appartient à tous et chaque personne physique, pour son alimentation et son hygiène, a le droit d’accéder à l’eau potable dans des conditions économiquement acceptables par tous."5

      Néanmoins, les propriétaires ne pouvent pas diminuer le débit de la rivière au-dessous d’un certain seuil. L’accès aux berges clôturées est interdit sans l’autorisation expresse des propriétaires.6

      Flottables : sur lequel le bois peut flotter pour être transporté.

      https://fr.wikipedia.org/wiki/Droit_de_la_gestion_des_cours_d%27eau_en_France#Cours_d'eau_non_domani

  • Cartographier les #interstices de la #ville

    Parcourir la ville, la saisir en mouvement, et la restituer ensuite à travers une carte. Telle est la démarche de #Mathias_Poisson. Diplômé de l’École Nationale Supérieure de Création Industrielle (ENSCI/Les Ateliers), parallèlement à son travail de scénographe et interprète pour le théâtre et la danse, Mathias Poisson déploie un intérêt particulier pour la #promenade et l’#expérience_subjective des lieux à travers plusieurs supports tels la #carte, la #visite_guidée ou la #performance.

    Ses #dessins, que l’on pourrait croire échappés d’une bande dessinée, n’ont rien de banal. Objets insolites, ils renversent l’idée habituelle que l’on se fait d’une carte et éveillent notre curiosité. Pour cet artiste, penser la ville s’articule en deux temps : d’abord, la marche s’offre comme un moyen pour la saisir dans sa complexité et ses aspects changeants. Puis, la carte permet de restituer « l’image de la ville » [1] - pour reprendre les mots de Kevin Lynch - que cette expérience urbaine a engendrée. Les cartes de Mathias Poisson nous donnent un véritable éclairage sur le lieu traversé. L’artiste-promeneur expose une facette du grand kaléidoscope par lequel aménageurs, urbanistes, géographes, architectes, paysagistes, chercheurs en sciences humaines et sociales et citoyens pensent la ville.

    Le centre de la ville de #Rennes est partagé par la Vilaine. Au Sud se situe le quartier du Colombier : rénové à partir de 1962, il devait faire figure de centre-ville moderne. Suivant les quadrillages d’un nouveau plan d’aménagement urbain, les travaux se poursuivirent jusqu’en 1986. C’est ce terrain que Mathias Poisson a arpenté pendant plusieurs jours. Ses déambulations lui ont permis de réaliser une carte retraçant l’ensemble de ses impressions, éditée en 2009 par le Centre Culturel du Colombier et destinée aux habitants [2]. La légende indique des éléments sensibles du paysage invisibles à vol d’oiseau :

    Départ. Pénétrer dans le labyrinthe

    Pour Mathias Poisson, ce quartier s’offre comme un écheveau où se succèdent galeries et boyaux souterrains, couloirs étroits entre immeubles, larges espaces à traverser et passages aériens... Ainsi que l’indique le sous-titre, il s’agit « d’une promenade à travers les architectures modernes et labyrinthiques du quartier ». Dans L’Empire des cartes, Christian Jacob écrit : « La carte est un nouvel espace de lisibilité dans la distance » [3]. Cela signifie que la carte n’est pas « un double mimétique de la réalité, mais un double analogique ». Chez Mathias Poisson, l’analogie qui recrée cet espace de lisibilité dans la carte est organisée autour de la métaphore du labyrinthe. Elle est avant tout une trace de l’expérience spatiale du promeneur qui nous suggère son point de vue sur ce quartier : la ville comme un immense dédale, rigoureusement conçu et courant sur plusieurs niveaux.

    Ce quartier de 21 hectares construit sur une grande dalle [4] a été conçu par l’architecte-urbaniste de la reconstruction, Louis Arretche, dont le style s’inscrit dans le sillage de Le Corbusier. Les immeubles du quartier du Colombier reprennent son système « Domino ». Sur la grande dalle du Colombier siègent de nombreux immeubles formés d’une trentaine d’étages pour certains, tandis que le sous-sol abrite deux niveaux de parking et de nombreuses voies souterraines conçues pour éviter les nuisances. Cet urbanisme invite à une fonctionnalisation des circulations urbaines grâce à une division verticale : les piétons circulent sur la dalle et les automobiles dans les profondeurs. Mathias Poisson tente de figurer cette architecture sur la carte grâce à un itinéraire, symbolisé par des traces de pas, qui relie les différents étages du quartier afin que le lecteur puisse pénétrer visuellement dans les sous-sols. L’épiderme urbain que forme la dalle est comme découpé au scalpel, laissant apparaître voies souterraines et parkings.

    L’auteur a pris le parti de faire apparaître singulièrement sur la carte les nombreux éléments d’architecture décrits précédemment : une tentative pour réintroduire du réel. L’aspect extérieur du quartier y est donc inscrit graphiquement. En faisant remonter à la surface les éléments du paysage, l’auteur délivre des informations sur l’ambiance des lieux, qui sensorialisent la carte. Mathias Poisson semble proposer une cartographie « de plain-pied dans le monde » pour reprendre le titre de l’ouvrage d’Olivier Orain [5], conçue à partir de l’expérience de l’espace et s’opposant à la froideur et à la neutralité des représentations cartographiques classiques.

    Se faufiler entre les interstices. À travers, au-dessus, en-dessous...

    Mathias Poisson est « un observateur aventureux » [6] très attentif à sa propre déambulation, aux émotions, impressions premières et points de vue sur l’espace qu’elle engendre. Pour comprendre la ville en mouvement, le lecteur est aussi invité à changer de dimension, à dépasser l’espace de la page pour aller vers l’espace réel, à devenir un promeneur. Cette « carte prescriptive » propose au marcheur un itinéraire sensoriel à travers un quartier à l’architecture complexe et singulière.

    "Si cette carte est une invitation à l’arpentage de la ville, sa lecture-même invite aussi au mouvement."

    Les mots et éléments qui y figurent ne sont pas dirigés dans la même direction. Lorsqu’on regarde le point de départ, le titre, Entre les dalles, est écrit à l’envers. Il faut donc tourner la carte dans tous les sens pour la lire entièrement. Mathias Poisson, dans la conception du processus cartographique, encourage l’idée d’un lecteur dynamique opposé au lecteur statique des cartes conventionnelles.

    Carte en main, le lecteur ne peut que s’interroger sur cet objet hybride et déconcertant. Des bâtiments dessinés en perspective cavalière jouxtent des immeubles en vue à vol d’oiseau. Cette impression première d’étrangeté semble être provoquée par l’alternance des projections cartographiques permise par la présence énigmatique d’une brume épaisse de couleur bleu-gris. Les informations délivrées ici relèvent de deux ordres : d’une part les informations sensorielles indiquées par la légende et d’autre part, le fond de carte hybride aux projections protéiformes qui témoignent de la complexité organisationnelle du quartier, au-delà de son univers sensoriel. Les formes identifiables du territoire apparaissent sous des allures différentes telles des surgissements du paysage : ici un monument à la gloire de la résistance, là une devanture de centre commercial, ailleurs une image d’un parking souterrain...

    Désarçonné par cette carte insolite, le lecteur peut donc être tenté de la comparer avec une vue satellitaire de ce quartier, d’effectuer un retour au réel. En observant les documents, il s’aperçoit que la partie cartographiée de ce quartier forme une unité urbaine délimitée par des grandes artères de la ville : le boulevard du Colombier au sud, le boulevard de la Tour d’Auvergne à l’ouest, au nord et à l’est, il est cerné par deux larges rues.

    En réalité, les rues de cette unité urbaine sont très étroites, elles permettent essentiellement l’accès aux parkings au bas des immeubles. Cette absence de voies routières apparentes est compensée par un réseau sous la dalle. Les voies sur la dalle sont donc presque uniquement piétonnes. Alors que la quasi-absence de voies routières rend inopérant le recours au populaire programme en ligne Google Street View pour entrer virtuellement à l’intérieur de ce quartier, la carte de Mathias Poisson nous laisse, elle, pénétrer au cœur de cette unité urbaine. Google Street View nous permettant seulement de faire le tour du quartier, le travail de Mathias Poisson nous paraît d’autant plus essentiel : il cerne les caractéristiques et l’univers sensoriel de l’unité intra-urbaine à très grande échelle.

    Paradoxalement, l’approche Google Street View qui se veut subjective l’est peut-être moins que celle de Mathias Poisson. Au fur et à mesure que « l’acteur-spectateur » avance sur la voie, la vue qu’il a du paysage change, alors que dans la carte de Mathias Poisson, les angles de vue sur le paysage sont prescrits à l’avance par l’itinéraire de l’auteur. Mais il ne faut pas s’y méprendre, c’est en fait l’approche Google Street View qui est la plus tributaire d’une vue contrainte de la ville. Les vues sont prises à angles et hauteurs fixes, à espacement régulier. Les itinéraires de « l’acteur-spectateur » sont donc programmés. Par ailleurs, ce programme est établi sur le modèle de la ville fondée sur la rationalité économique adaptée aux pratiques de l’homo-economicus qui préfère des voies larges et rectilignes pour faciliter ses déplacements : un urbanisme fonctionnel, moderne. Contrairement à cela, la déambulation de Mathias Poisson cherche une réinterprétation par les interstices qui laissent naturellement place à un déplacement non-programmé à l’avance, à une déambulation qui fait sienne le hasard.

    "La carte est avant tout un outil de reconstruction du réel."

    Cette comparaison avec l’image satellitaire nous rappelle que la carte est avant tout un outil de reconstruction du réel. « La carte fait le deuil de certaines informations et invite à redécouvrir le monde » [7] écrit l’historien de la cartographie, Christian Jacob. Là où Google Street View peine à représenter ces unités intersticielles de la ville, beaucoup mieux que l’image satellitaire, la carte, parce qu’elle ne représente pas la totalité du réel mais qu’elle en sélectionne certains éléments, permet de dégager les structures de l’espace. Elle est beaucoup plus efficace qu’une simple photographie. Tout l’enjeu de la carte se cache dans sa portée synthétique et analytique.

    Arrivée. Une carte subjective ?

    Avec Entre les dalles, M. Poisson déploie un contrepoint saisissant au développement contemporain des cartes standardisées, animées d’un tel désir de neutralité qu’elles en sont devenues froides et foncièrement anémiées du réel. Ce modèle est célébré par les Systèmes d’Information Géographique (SIG). À l’inverse, Mathias Poisson manifeste pour une approche phénoménologique. On perçoit toute la portée du geste cartographique : faire resurgir la complexité du réel et traduire la manière dont le paysage se révèle aux sens.

    "La manière de faire les cartes s’est largement unifiée grâce à l’utilisation de logiciels qui permettent l’application de conventions bien définies."

    Expliquons-nous. Il faut bien dire d’abord que la diffusion des cartes propres à notre époque s’accompagne d’une homogénéisation relative des pratiques cartographiques, grâce à l’emploi d’un langage international de la carte qui correspond aux normes occidentales. La manière de faire les cartes s’est largement unifiée grâce à l’utilisation de logiciels qui permettent l’application de ces conventions bien définies. Grâce à l’accès gratuit sur internet aux logiciels de cartographie comme Philcarto, la standardisation des cartes est rendue plus aisée encore. Ces logiciels très utilisés par les chercheurs en sciences humaines et sociales sont des outils efficaces pour représenter les structures spatiales des territoires. Ils utilisent une mesure de l’espace fondée sur les mathématiques. Dessinée sur un plan euclidien, tout point sur la carte est référencé par des coordonnées très précises, c’est ce qu’on appelle le géo-référencement. Ces programmes ont normalisé la fabrication des cartes. Ce schéma de production s’est légitimé comme démarche à suivre pour la fabrication « d’une bonne carte » :

    Digitalisation d’un fond de carte - Exportation du fond de carte - Mise en relation de variables statistiques avec la localisation - Exportation de la carte vers un logiciel de traitement d’image - Travail « esthétique » de la carte.

    Même si ce modèle est très utilisé, il n’en est pas moins vrai qu’il existe d’autres manières de faire des cartes. La cartographie numérique, parce qu’elle est née dans le contexte du développement des mathématiques en sciences humaines et sociales, a remporté une large adhésion et s’est légitimée à tel point que d’autres procédés sont d’emblée reléguées au statut de ce que nous appellerons les cartographies non-euclidiennes et « insuffisantes », c’est-à-dire dotées d’un faible potentiel de qualification des espaces. On entend par là, l’ensemble des cartographies non-scientifiques, les cartes produites par des artistes, les cartes mentales, les cartes autochtones etc.

    "Une carte prise dans le tissu du monde."

    Or, Mathias Poisson présente une cartographie dotée assurément d’une portée analytique. Cette carte semble moins demeurer le résultat d’une action de perception unique, personnelle et incommunicable que celui d’une action cognitive [8]. Cette cartographie que l’on pourrait caractériser de cartographie phénoménologique est un outil de connaissance qui met en relation des lieux avec des informations que nous nommerons phénoménales, c’est-à-dire issues de la perception. Contrairement aux données invisibles et impalpables des cartes mathématiques (un taux de fécondité par exemple), elles sont saisies par les sens.

    Cette carte ne considère pas l’espace vu de l’extérieur ou « du dessus », c’est plutôt une cartographie « prise dans le tissu du monde » pour reprendre l’expression de Maurice Merleau-Ponty [9]. Avec beaucoup d’humour et en pétrissant les conventions cartographiques, Mathias Poisson traduit graphiquement un point de vue sur la ville bâti sur le socle des perceptions et sensations. La mise en dessin de cette expérience - la carte - correspond au jaillissement de cette pensée spatialisante en image. La carte serait-elle une version communicable d’un territoire parcouru par une conscience ? Elle aura ici pour fonction de connecter deux subjectivités différentes, celle de l’auteur et celle des lecteurs. De plus, elle ne nécessite pas de posséder un savoir préalable, contrairement aux cartes IGN qui requièrent un minimum de connaissances pour lire les courbes de niveau par exemple. Cette carte s’adressant aux habitants du quartier, elle semble anticiper le dialogue entre deux subjectivités en laissant une grande part de découverte au lecteur (la carte propose des variantes de l’itinéraire). Il semble que cette carte laisse une place à l’individualité.

    En définitive, Entre les dalles est un titre énigmatique qui suggère qu’entre les lignes du plan d’aménagement s’insèrent les pratiques des habitants, un peu à l’image des herbes qui poussent entre le quadrillage des dalles et qui rappellent l’écoulement du temps. La vie reprend ses droits sur les assignations de la planification urbaine. La ville habitée est la trame d’Entre les dalles. Cette déambulation non-prescrite suscite le vrai mouvement. Elle encourage « une autre spatialité » [10] écrivait Michel de Certeau dans L’Invention du quotidien.
    Entre les dalles cherche avant tout à faire partager au lecteur de carte l’expérience subjective de l’itinéraire à travers le paysage, et semble demeurer au seuil d’un déploiement de possibles du processus cartographique.

    http://www.strabic.fr/Mathias-Poisson-Cartographier-les-interstices-de-la-ville

    #cartographie #visualisation #cartoexperiment #géographie_urbaine #urban_matter #cartographie_sensible
    ping @visionscarto @reka

  • La rêverie à Paris
    https://topophile.net/savoir/la-reverie-a-paris

    Venez-vous de passer deux mois confiné·e sans pouvoir flâner dans les allées de votre chère ville, sans pouvoir respirer le parfum des arbres florissant ? À quelques jours de la fin de ce calvaire, Georges Sand vous invite en promenade dans ses souvenirs du Paris de 1867… Il y a plus de 150 ans, déjà, on se plaignait de la circulation et des poussières, du faux-semblant de nature en ville. Mais qu’importe ? La végétation et l’eau dans Paris ont tant à nous apprendre, pour que l’on veuille bien s’adonner à la flânerie. Le retour de la vie urbaine en est bien l’occasion ! D’ici là, embarquez pour un voyage lyrique, critique et (...)

  • Découvrir les Afriques à Paris, et rendre visible une histoire méconnue
    https://www.lemonde.fr/afrique/article/2019/12/24/decouvrir-les-afriques-a-paris-et-rendre-visible-une-histoire-meconnue_60239

    Seize paires d’yeux sont braquées sur le Panthéon. Les visiteurs, emmitouflés dans les doudounes de décembre, sont suspendus aux révélations du guide qui doit les mener du temple républicain dédié aux personnalités qui ont fait l’histoire de France, à Saint-Germain-des-Prés, haut lieu de la vie intellectuelle parisienne. Mais cette visite touristique n’est pas comme les autres. Durant deux heures, Kévi Donat va raconter un Paris méconnu, ignoré des manuels scolaires et des circuits classiques : une histoire des Noirs de France et d’ailleurs qui ont marqué leur époque et dont la mémoire, faute d’être transmise, s’est presque perdue.

    #colonialisme #décolonialisme #paris #promenades_décoloniales

  • Iraq caught in the middle of US-Iran face-off
    https://www.france24.com/en/20190521-iraq-caught-middle-us-iran-face-off

    “The US foreign policy and security establishment knows full well that attacking #Iran would make the Afghanistan, Iraq, Libya wars look like walks in the park,” Bitar said.

    “So besides some messages that could be sent on the Iraqi arena, unless utter madness prevails, a large, open, direct war is still unlikely.”

    #promenade_de_santé

  • A plus d une voix

    Depuis 2016, des #ateliers_radio se déroulent dans des cours de français de l’association Accueil Demandeurs d’Asile à Grenoble. Au gré du temps, des enregistrements, des inspirations, les participant.es débattent, interrogent, interviews. L’idée générale est de créer un #espace_de_parole pour des personnes qui, du fait de leur condition en France, en ont été largement dépossédées.
    Ces échanges se déroulent au sein du cours et avec des invité.es. Les montages créent des objets sonores comme des émissions type #documentaire_audio ou des #promenades_sonores.
    Les ateliers sont portés par l’association #Modus_Operandi : info@modop.org


    http://audioblog.arteradio.com/blog/3048423/a_plus_d_une_voix
    #asile #migrations #réfugiés #audio

  • Des néofascistes italiens et polonais unis pour une « #opération_européenne_de_sécurité »

    Le parti italien d’extrême droite #Forza_Nuova (FN) et les militants du #Obóz_Narodowo-Radykalny (#ONR), formation ultra-nationaliste polonaise, ont uni leurs forces pour mener « la première opération de sécurité européenne » sur les plages italiennes de la Riviera Romagnole, sur la mer adriatique.

    Réunis à #Rimini du 5 au 9 juillet dernier à l’occasion d’une conférence, les militants ont multiplié les manifestations et les « #patrouilles », de jour comme de nuit, dans la région où s’est déroulé l’an dernier le double #viol d’un transgenre péruvien et d’une touriste polonaise, pour lequel le Congolais Guerlin Butungu a été condamné à 16 ans de prison.

    Ceux qui se qualifient comme « #patriotes polonais et italiens » les appellaient des « #promenades ». Le maire de Rimini, Andrea Gnassi, y a plutôt vu « des rigolos en T-shirts noirs alignés pour un selfie fasciste ». Il a envoyé un rapport à la police.


    http://fr.euronews.com/2018/07/13/des-neofascistes-italiens-et-polonais-unis-pour-une-operation-europeenn
    #néo-nazis #néo-fascisme #Italie #Pologne #extrême_droite #sécurité #2039-2045 #milices #transphobie #homophobie
    cc @marty @albertocampiphoto

  • Une #cartographie de la #promenade

    https://www.franceculture.fr/emissions/la-fabrique-de-lhistoire/lantiquite-dans-tous-les-sens-44-sexualite-la-fete-des-sens


    Regards croisés entre l’anthropologue David Le Breton et trois étudiants étrangers. A travers les témoignages d’Ayten, étudiante azerbaidjanaise, Jake, étudiant américain et Enrique, étudiant salvadorien, « Le Monde est un campus » se penche aujourd’hui sur le statut de la promenade. A-t-on le même rapport à la promenade d’un pays à un autre ? Réponse avec David le Breton, auteur de « L’éloge de la marche » et de « Marcher, éloge des chemins et de la lenteur » aux éditions Métailié.

  • Le géographe dans sa ville

    Il y a une indéniable dimension testamentaire dans ce bel ouvrage de Marcel Roncayolo, rédigé en collaboration avec Sophie Bertran de Balanda, architecte-urbaniste marseillaise. Il débute par une ouverture intitulée « La ville médiatrice », plaidoyer pour une géographie culturelle, qui explicite, met en question la singularité de la ville (p. 10) et assume l’« ambiguïté entre subjectivité et objectivité » (p. 11). Pour M. Roncayolo, « raconter sa vie et raconter sa ville sont ainsi étroitement liés » (p. 11). L’auteur nous dit vouloir, dans cet ouvrage, « livrer une lecture renouvelée de la ville en « fouillant » [son] expérience intime de Marseille, celle d’une ville à la fois transmise par les héritages familiaux, vécue pendant le temps formateur de l’enfance et de l’adolescence et analysée dans [ses] travaux de chercheur » (p. 7).


    http://www.revue-urbanites.fr/lu-le-geographe-dans-sa-ville-de-marcel-roncayolo-avec-sophie-bertra

    #promenades_urbaines #Marseille #livre #urban_matter #recension #villes

  • L’attentat de #Nice révèle des défaillances de sécurité à tous les niveaux
    https://www.mediapart.fr/journal/france/210716/l-attentat-de-nice-revele-des-defaillances-de-securite-tous-les-niveaux

    Le dispositif de sécurité mis en place le soir du 14-Juillet à Nice fait l’objet d’un violent bras de fer entre l’État et #Christian_Estrosi. La préfecture a failli en concentrant ses forces au mauvais endroit, tandis que l’ancien maire est accusé d’avoir désorganisé les services municipaux.

    #France #14_juillet #Attentat #Bernard_Cazeneuve #Manuel_Valls #Police #Promenade_des_Anglais #sécurité

  • L’attentat de #Nice révèle des défaillances de sécurité à tous les niveaux
    https://www.mediapart.fr/journal/france/210716/lattentat-de-nice-revele-des-defaillances-de-securite-tous-les-niveaux

    Le dispositif de sécurité mis en place le soir du 14-Juillet à Nice fait l’objet d’un violent bras de fer entre l’État et #Christian_Estrosi. La préfecture a failli en concentrant ses forces au mauvais endroit, tandis que l’ancien maire est accusé d’avoir désorganisé les services municipaux.

    #France #14_juillet #Attentat #Bernard_Cazeneuve #Manuel_Valls #Police #Promenade_des_Anglais #sécurité

  • #Nice, ville aux deux visages et aux multiples tensions
    https://www.mediapart.fr/journal/france/180716/nice-ville-aux-deux-visages-et-aux-multiples-tensions

    La #Promenade_des_Anglais, le 18 juillet. © Reuters L’attentat perpétré à Nice le 14-Juillet a exacerbé des tensions identitaires et sociales déjà vivaces. Au clinquant de la “French Riviera” et à ses retraités aisés s’opposent des quartiers excentrés où vivent, dans l’indifférence générale, une population défavorisée qui se sent abandonnée par les politiques locales.

    #France #Alpes-Maritimes #Attentat #Côte_d'Azur #immigration

  • Hollande et la classe politique à poil Ariane WALTER


    Oui, ils sont nus dans la révélation de ce qu’ils sont.

    Des menteurs.

    Des opportunistes.

    Prêts à dire n’importe quoi pour se maintenir au pouvoir. De la crapule haut de gamme. La pire. La plus dangereuse.

    Ainsi donc un horrible fait divers, la folie d’un homme en instance de divorce qui a déboulé sur la promenade des Anglais en essayant de tuer un maximum de personnes, a été aussitôt qualifié d’attentat terroriste.

    Quelle occase !!

    Hollande et sa clique n’ont pas dû y croire ! Non mais quel bol ! Ils n’y étaient pour rien et ce joli lot leur tombait dessus au moment où ils étaient au plus bas. Hollande avec son brushing, Valls avec son Macron, quel cadeau du hasard !

    Allaient-ils attendre les conclusions de l’enquête ?

    Surtout pas !

    Cette perte de temps, c’était aux temps jadis. Là, il fallait dire tout de suite que c’était « sûrement terroriste » !

    Et vite de prolonger, de trois mois, l’état d’urgence. Décision d’autant plus stupide qu’on est en état d’urgence, ce qui prouve l’efficacité de la chose.

    Et de lâcher les chiens de garde des medias qui ont pour mission de prononcer le mot « terroriste » au moins une fois par minute.

    Et vas-y avec les petites pancartes, les condoléances de la classe politique internationale ce qui prouve qu’ils habitent tous la même poubelle.

    Avec des décisions d’une logique aberrante : c’est un Tunisien, donc on allait bombarder l’Irak et la Syrie !

    Manque de bol, il semblerait que les medias les plus pourris ne soient quand même pas assez pourris pour cacher l’évolution de l’enquête.

    C’est ainsi qu’au cours de la journée, le « franco-tunisien », (chic, on allait reparler de la déchéance de nationalité) n’était qu’un Tunisien lambda. Bon un arabe quand même. Ouf. Donc un islamiste. Donc un terroriste. Quand même ! « Terroriste, terroriste, terroriste, attentat, terreur », « on en a pour vingt ans » , dixit Valls, c’est le nœud de son rosaire et notre crucifix !

    On apprenait ensuite que ce Tunisien était marié à une Française, qu’il avait trois enfants et qu’il n’avait aucun rapport avec l’islamisme.

    Aucun signe de radicalisation.

    Houla !

    Il fallait vite intervenir.

    C’est alors qu’un media mystérieux, donna des renseignements destinés à convaincre qu’Hollande avait du nez !
    http://www.tunisie-secret.com/Exclusif-Voici-le-tunisien-auteur-du-carnage-a-Nice_a1624.html
    « Il s’appellait Mohamed Lahouaiej Bouhlel et il est originaire de la ville sahélienne de Mseken (Gouvernorat de Sousse) où il est né le 3 janvier 1985. Selon nos sources policières en Tunisie, sa mère s’appelle Cherifa et son père est membre du parti islamiste Ennahda et il est connu à Mseken comme étant un extrémiste violent que la police de Ben Ali surveillait de près et qui est devenu après janvier 2011 l’un des leaders locaux d’Ennahda à Mseken. Le criminel de Nice ne s’est donc pas improvisé terroriste, mais il né et a baigné dans un milieu familiale favorable à la violence et au radicalisme. Il en va de même de sa belle famille. »

    Manque de bol, l’homme dont on montrait la photo a fait paraître quelquesheures après sur une video disant qu’il allait porter plainte car il n’avait rien à voir avec l’assassin ! http://www.tunisie-secret.com/Exclusif-Voici-le-tunisien-auteur-du-carnage-a-Nice_a1624.html

    Aïe !

    Pourtant, pendant ce temps, Gominette, notre cover-boy de l’Oréal, continuait à répandre sa mine catastrophée qui, doit-il penser, lui donne de la profondeur. Il attendait, en salivant, que ses copains sortent ce fameux sondage : « Hollande en hausse. »

    Que toutes ces magouilles viennent fleurir des cadavres atrocement mutilés, des vies broyées, des enfants perdus, on s’en fout. C’est le métier. Comme le disait Madeleine Allbright ( http://www.dailymotion.com/video/x254ii2_madeleine-albright-assume-la-mort-de-500-000-enfants-irakiens-p

    ) , la victoire des Etats-Unis en Irak valait bien la mort de 500 000 enfants. » C’est l’héroïsme du politique. La mort n’est que l’échelle de sa gloire. Et celui qui parvient au sommet oublie le sang pour ne penser qu’à sa victoire. (C’est ce qu’on appelle la psychopathie des sommets.)

    Mais il faut convaincre le petit peuple.

    Et c’est là que nous avons assisté, hier soir, en suivant la propagande des medias, à un spectacle insensé, un jeu d’équilibre inimaginable.

    Comment dire, d’un côté, que ce mec n’était pas un terroriste et, de l’autre, que sa chevauchée criminelle était quand même un attentat terroriste et qu’il fallait se prémunir contre les attentats terroristes des hommes en instance de divorce...

    Un premier témoignage (http://algeriepatriotique.com/fr/article/exclusif-–-l’auteur-du-carnage-de-nice-n’avait-aucun-lien-avec-l ) balayait d’un scud les déclarations de Hollande.
L’Algérie patriotique a appris de sources concordantes que l’auteur du carnage perpétré hier soir à Nice n’a aucun lien avec les réseaux terroristes. Nos sources indiquent qu’il s’agit d’une personne résidant au boulevard Henri Sappia, à Nice-Nord, un quartier communément appelé « Bateco ». Nos sources ajoutent que l’auteur du massacre n’était pas pratiquant. « Il ne faisait même pas carême et il passait son temps à faire de la musculation », révèlent nos sources qui parlent d’un personnage « psychologiquement instable » et dont l’épouse « s’apprêtait à le quitter », d’où son état de démence.

    Plus encore. Le très introduit Express ( http://www.lexpress.fr/actualites/1/societe/nice-le-tueur-un-homme-decrit-par-ses-voisins-comme-taciturne-et-violent_18 ) , qui n’est pas à proprement parler un journal complotiste, se faisait l’écho du témoignage suivant qui serait même repris sur i télé !!!

    Bref , le mec est un dingue.

    « Un habitant de son ancienne barre d’immeuble "Le Bretagne", où le tueur vivait au 12e étage avec son épouse mais en était parti depuis environ 18 mois, dresse pour sa part un profil d’homme déséquilibré.

    "Je ne crois pas du tout à un problème de radicalisation, je pense plutôt que ça relève de la psychiatrie", a-t-il commenté.
"Il faisait des crises. Quand il s’est séparé de sa femme il a déféqué partout, trucidé le nounours de sa fille à coup de poignard et lacéré les matelas", détaille-t-il. "Son épouse avait demandé le divorce suite à une altercation violente", raconte-t-il.
"Un jour, il était venu chercher les voisins pour qu’on constate qu’elle n’avait pas fait la vaisselle", se souvient-il à propos de cet homme "fermé" qui ne décrochait pas un mot dans l’ascenseur.

    (Un homme qui se plaint de ce que sa femme ne fait pas la vaisselle est-il un terroriste ? Qu’en pensent les féministes ??)

    Une conclusion suit, assez gênante :

    « Le président français s’est empressé de qualifier le carnage qui a eu lieu sur la Promenade des Anglais, à Nice, d’acte « terroriste ». « Le caractère terroriste de cet acte ne peut être nié », a, en effet, déclaré François Hollande qui a ajouté que « c’est toute la France qui est sous la menace terroriste ». Toute la classe politique française et tous les médias ont évoqué un acte terroriste sans même attendre que les conclusions de l’enquête qui a suivi ce carnage qui a fait 84 morts soient connues. »

    L’enquête se poursuit et on apprend que cet homme a tout de même un casier chargé. François Molins, procureur de Paris, déclare : "En revanche, il a été condamné le 24 mars dernier à six mois de prison avec sursis pour des faits de violence volontaire avec arme, commis en janvier 2016". M. Molins a l’honnêteté d’ajouter : « Précisons qu’il s’agit d’une engueulade avec un autre conducteur lors d’un accrochage et l’envoi d’une cagette à la tête... !!! »

    Bien.

    Il faut donc poser la conclusion qui s’impose.

    Nous sommes dirigés par des baudruches gonflées par des puissances étrangères qui veulent se mettre toutes les richesses du monde dans leur poche. Et, nous, les petits Français, avec nos richesses et nos lois sociales, nous faisons partie des Indiens à scalper.

    Pourquoi cet homme a-t-il pensé à ce scénario effroyable ? Nous vivons dans un monde d’une violence hystérique. Violence des medias, des films, des jeux, des images, du quotidien. Le chaos et la peur sont des stratégies pour diriger les foules. 
Et à voir la clique au pouvoir qui se roule dans la folie de l’un pour détruire la raison des autres on ne peut que sentir qu’on a atteint un point de non-retour.

    Hollande est mort lui aussi, et tous ceux qui tirent ses ficelles, sous les roues de ce camion. Les medias se rebifferaient-ils ? La pression des réseaux sociaux les oblige-t-elle à être plus circonspects ?

    Bon. J’attends demain et la lecture de l’ordinateur de l’assassin. 


    Faisons confiance à la police pour trouver une visite sur un site islamiste qui conseille les balades en camion...

    Tiens...Dernière nouvelle...Coup d’Etat en Turquie ?

    L’actualité va vite en ce moment.

    Comment ne pas devenir fou ?

    Mille pensées d’amour aux anges de la baie des anges !
    Source : http://www.legrandsoir.info/hollande-et-la-classe-politique-a-poil.html

    #France #Attentat #Promenade_des_Anglais #palinodies #perroquets #girouettes #Nice #Police #sécurité

  • Sortir de Paris à Vélo
    http://www.sortirdeparisavelo.fr/pourquoicesite.html

    Mais qu’en est-il des sorties pour des balades à la journée hors de la capitale  ? Est-on obligé de cotoyer des voitures rapides pendant une ou deux heures avant de trouver un peu d’air frais  ?

    Ce site a pour but d’aider ceux voulant effectuer des sorties en vélo en partant de la capitale. De nombreux guides ou sites de partages de trajectoires proposent des boucles en forêt en Ile-de-France, mais comment y accéder  ? Prendre le train ou le RER pour commencer une balade à vélo n’est pas ce qu’il y a de plus enthousiasmant. Ce site tente de prouver qu’on peut sortir de Paris à vélo sans vivre l’enfer. Bref, qu’on peut commencer sa sortie dès le début, quitte à prendre quelques petits détours entre les arbres...

    http://www.sortirdeparisavelo.fr/tout.html

    #paris #vélo #promenade

  • #Google Night Walk au Cours Julien, à Marseille
    http://promenadenocturne.withgoogle.com

    #Promenade_Nocturne vous plonge dans l’effervescence du #Cours_Julien, quartier de #Marseille réputé pour son atmosphère unique où le street art est roi. Au son des voix de vos guides, Julie et Christophe, vous déambulez à travers ses rues animées comme si vous y étiez, grâce à des photos panoramiques à 360 degrés que nous avons prises de nuit. Photos, images, v#idé ;os, sons et informations intéressantes ponctuent votre promenade immersive dans ce quartier pour vous faire découvrir t […]