• 120.000 manifestants contre l’austérité à Bruxelles : à la « Une » de la presse belge, quelques « casseurs » - Acrimed | Action Critique Médias
    http://www.acrimed.org/article4499.html

    120.000 manifestants contre l’austérité à Bruxelles : à la « Une » de la presse belge, quelques « casseurs »


    #propagande #medias #visualisation

  • [Incompétence] Quand l’AFP confond 40 camions-citernes avec des chars {recommandé}
    http://www.brujitafr.fr/article-incompetence-quand-l-afp-confond-40-camions-citernes-avec-des-char

    Un décryptage sans concession d’une dépêche de l’AFP (Agence France Propagande ?). C’est ce qu’a réalisé le site les-crises.fr, avec rigueur. S’il nous fallait des preuves de manipulation, cet article en est la magistrale démonstration…. Prudence donc, pour éviter la désinformation, quant on confond camions citerne (tankers) et tanks. Une belle leçon de journalisme… Un truc me fascine vraiment, comme l’heure que je viens de passer (et c’est assez fréquent). Je ne suis pas journaliste, et n’ai pas la moindre formation approchante. Mais souvent, je lis un papier qui me semble étrange, je décide de passer du temps à contrôler, et bingo, 3 fois sur 4, je tombe sur des trucs – comment dire ? Ah oui : – énormes… Donc, hier, je vois ça (...)

  • Quand Rue89 se roule dans la fange. | Megaconnard
    http://www.megaconnard.com/2014/11/quand-rue89-se-roule-dans-la-fange

    – Et à ceux qui vont sans doute s’empresser de me dire que moi-même avec cet article je participe à la #propagande dieudonnesque je vais répondre tout de suite : Dieudonné se sert des journalistes peu scrupuleux pour assurer sa promotion. Moi, je me sers de Dieudonné pour dénoncer ces journalistes peu scrupuleux.
    Tu la sens ma grosse nuance ? –

    #presse #journalisme #négationnisme

  • Cet homme est-il un « casseur » ? Non, c’est un policier - Reporterre
    http://www.reporterre.net/spip.php?article6522

    Malgré la présence d’une majorité de militants non violents, l’ensemble des personnes présentes à Nantes ce samedi ont été systématiquement qualifiées de « casseurs » dans la plupart des médias et par les partis politiques, du Parti socialiste jusqu’à l’extrême droite. Des casseurs n’ayant pas cassé grand-chose et dont il restera donc à préciser la définition. De son côté, Europe Ecologie Les Verts s’est contenté de condamner les violences, sans un mot sur la responsabilité de la police. Une prise de position qui aura une fois de plus abandonné de nombreux militants dans la rue sans aucun soutien politique.

    On sent venir le moment où les écologistes seront traités de terroristes. Et où les publications comme "Reporterre" seront attaquées sur la base des dernières lois, pour "apologie du terrorisme".

    Cela fait quelques années qu’on le sent venir. L’expression "ecoloterrorisme" n’est pas récente, et elle est le fait il me semble, initialement, de politiciens hallucinés des US.

    Hier soir, au 20h (je ne sais plus lequel, ils sont tous pareils), présentation d’une démocrate fière de montrer qu’elle aime les armes et fière de déclarer que Obama est un écologiste irresponsable. Affirmer le contraire de ce qui est, à savoir qu’Obama n’est pas écologiste, et que l’exploitation du gaz de schistes est un petit peu ce qu’il y a de pire pour la préservation de l’environnement... c’est la recette des politiciens "qui montent" et qu’on nous présente en exemple à la télé. Comment peut-on oser nous faire la publicité de gens tenant des propos aussi ineptes ?

    Le pouvoir est conscient de la cocotte minute que représente le peuple... d’où cette politique de maintien de l’ordre particulièrement violente. Gaza est d’une certaine façon ce qui nous attend... Les élites ont décidé que rien ne se mettrait au travers de leur chemin.

  • Brésil : les médias nous ont enfumés, nous enfument et nous enfumeront encore — Vladimir MARCIAC
    http://www.legrandsoir.info/bresil-les-medias-nous-ont-enfumes-nous-enfument-et-nous-enfumeront-en

    Hier, dimanche 26 octobre 2014, Dilma Rousseff a été réélue présidente du Brésil avec avec 51,64% des suffrages contre 48,36% à son concurrent Aecio Neves (chiffres donnés ce matin, lundi 27 octobre, par nos « grands » médias en ligne. Ils peuvent varier à la marge dans la journée).

    Les Echos : « Dilma Rousseff, réélue de justesse »… « score étriqué »…

    Le Monde nous parle d’un « résultat serré ». « La candidate du Parti des travailleurs a battu d’une courte tête son adversaire de centre droit, Aecio Neve ».

    La Dépêche : « Brésil : Dilma Rousseff réélue présidente de justesse avec une courte avance… ».

    L’Obs : « La présidente sortante a devancé avec une courte avance… » (passons sur la beauté de la phrase où l’on apprend que si la candidate devance c’est qu’elle est devant).

    L’Express : « Dilma Rousseff, réélue de peu… ».

    La plupart ont repris une dépêche de l’AFP, qui donne l’information ET son avis.

    Notons les mots suivants : de justesse, résultat serré, score étriqué, courte tête, courte avance, réélue de peu.

    On pourrait dire que l’écart n’est pas énorme (moins de 2,5 %), mais aussi que les élections présidentielles nous ont habitués à ça. Or, justement...

    Petit retour en arrière :

    Le 5 mai 2012, François Hollande est élu président de la République avec 51,64 % des suffrages exprimés, contre 48,36 % à son adversaire.

    Vous avez remarqué ? Exactement les mêmes pourcentages que dans le duel Dilma Rousseff/ Aecio Neves. Les mêmes que ceux sur lesquels nos médias ont apprécié les résultats au Brésil.
    Donc, François Hollande a été élu de peu, de justesse, d’une courte tête, avec une courte avance (qui le plaça devant), le résultat fut serré, le score étriqué ?.
    Pas du tout, au contraire.

    RFI, le 6 mai 2012 : « C’est une victoire nette ».

    France Info, le 7 mai 2012 : « François Hollande élu président de la République avec 51,62% des voix. Le candidat socialiste remporte nettement le second tour ».

    #brésil #élections #médias #propagande #autodéfense_intellectuelle #flagrant_délit

  • « La Troisième Révolution » de Rifkin n’aura pas lieu - Libération
    http://www.liberation.fr/terre/2014/10/21/la-troisieme-revolution-de-rifkin-n-aura-pas-lieu_1126521

    L’idée de Troisième Révolution industrielle part d’un constat apparemment juste : ce sont les lois de l’#énergie qui gouvernent l’activité économique, or la crise actuelle marque l’essoufflement des trajectoires énergétiques du passé. L’#énergie_fossile et les terres rares qui ont fait le succès économique de notre civilisation s’épuisent. La dette entropique, issue de l’activité économique passée, s’accumule beaucoup plus rapidement que la #biosphère n’est capable de l’absorber. « Cette situation grave nous force à réévaluer fondamentalement les postulats qui ont guidé notre conception de la productivité. Désormais, il faudra mesurer celle-ci d’une façon qui prendra en compte à la fois l’efficacité thermodynamique et les conséquences entropiques », souligne Rifkin. Ce constat est connu et accepté, c’est lorsqu’il livre ses solutions que le prospectiviste états-unien devient un habile prestidigitateur, voire un dangereux prophète de l’abîme.

    Comme la Première Révolution industrielle, qui serait née au XIXe siècle de la machine à vapeur et de l’imprimerie, ou la Deuxième, qui aurait vu au XXe siècle la convergence du moteur à combustion avec la communication électrique, la Troisième Révolution industrielle devrait surgir naturellement de la « jonction de la communication par Internet et des #énergies_renouvelables », nous explique Rifkin. Elle sera arrimée sur une série de technologies plus ou moins futuristes comme l’hydrogène et les imprimantes 3 D qui doivent permettre de transformer chaque immeuble en usine et en microcentrale, mais aussi sur l’utilisation optimale des énergies renouvelables grâce à des « réseaux intelligents ».

    Pourtant, cette prospective, qui réjouit les gouvernements et les dirigeants des grandes entreprises, n’est qu’une fable, pire elle nous enferme dans des impasses en continuant de croire que les solutions du passé résoudront les problèmes du présent. La « révolution industrielle » fonctionne, d’abord, comme un mythe, elle est un élément de la #propagande ordinaire qui cherche à adapter les vieilles lunes industrialistes à l’heure de l’#écologie. A l’inverse, nous annonçons que la Troisième Révolution industrielle n’aura pas lieu ! D’ailleurs, les deux premières, qui sont censées l’avoir précédée, n’ont pas eu lieu, non plus. L’expression révolution industrielle a été forgée vers 1830 par des économistes marqués par le souvenir de la Révolution de 1789 pour décrire les mutations de l’économie anglaise, mais c’est d’emblée un mythe qui insiste sur le rôle déterminant des techniques (la vapeur), le « génie » de quelques inventeurs (James Watt) et la rapidité du processus. Tous les travaux historiques ont montré depuis qu’il ne s’agissait pas d’une révolution, que le processus fut au contraire lent et graduel, très variable, que la machine à vapeur n’occupa pendant longtemps qu’un rôle très secondaire et marginal.

    La thèse de la Troisième Révolution industrielle et tous ceux qui vantent le capitalisme numérique restent enfermés dans une vision simpliste des technologies et de leurs effets. Ils oublient de penser les rapports de pouvoir, les #inégalités sociales, les modes de fonctionnement de ces « macrosystèmes » comme les enjeux de l’autonomie des techniques et des techno-sciences, sans parler de la finitude des ressources et de l’ampleur des ravages écologiques réels de ce #capitalisme soi-disant immatériel. Malgré la fausseté et le simplisme de son analyse, il n’est pas surprenant que tout le monde célèbre Rifkin et ses prophéties. Grâce à son rêve technologique, il n’est plus nécessaire de penser aux impasses de notre trajectoire, à nos vrais besoins, il suffit de s’en remettre aux grandes entreprises, aux experts et aux entrepreneurs high-tech de toutes sortes qui vont nous offrir les solutions techniques pour sortir de l’impasse.

    Outre que ce projet intellectuel est largement illusoire, il est aussi antidémocratique car il s’appuie sur les experts et les seuls décideurs en laissant de côté les populations invitées à se soumettre, à accepter avec reconnaissance le monde ainsi vanté dans les médias. C’est un des paradoxes de cette Troisième Révolution industrielle : censée promouvoir un pouvoir « latéral », décentralisé et coopératif, elle fait appel à des forces hautement capitalistiques. Censée réduire les consommations d’énergie, elle repose sur des systèmes numériques hautement sophistiqués, virtuellement centralisés et dévorateurs de métaux rares, via des serveurs géants actionnés par une poignée d’entreprises mondiales qui récoltent au passage des données personnelles sur les heureux utilisateurs. Censée reposer sur la généralisation des énergies renouvelables, elle ne calcule ni la matière ni l’énergie nécessaires pour édifier ces machines. Cette nouvelle utopie technicienne est #hors-sol et invente un nouveau mythe qui rejoint celui de la #transition énergétique, conciliant l’inconciliable : croissance verte autoproclamée et pénurie de matière, entropie et expansion miraculeuse des énergies, liberté individuelle et société de #contrôle.

    Mais peut-être est-ce le secret de l’annonce répétée de la Troisième Révolution industrielle : éviter les remises en cause, résorber les contestations qui s’élèvent en renouvelant l’utopie des technologies salvatrices qui résoudront naturellement tous les problèmes. Le succès du rêve de Rifkin vient, en définitive, de son aspect rassurant, de ce qu’il nous berce d’illusions, il est le visage intellectuel de la technocratie écologique en gestation. Il correspond au désarroi d’une immense majorité de nos contemporains qui attendent des techniciens qu’ils façonnent le nouveau monde, clés en main, en les dotant toujours plus en smartphones et en écrans plats. Cette nouvelle #servitude volontaire vient peut-être de ce que nous sommes toujours plus avides de confort et aussi toujours davantage privés du goût de la vraie liberté : celle dont il est possible de jouir sans la moindre prothèse et sans le moindre risque d’addiction.

    Dominique BOURG Université de Lausanne,
    Alain GRAS Socio-anthropologue des techniques, Paris-I,
    Hervé KEMPF Rédacteur en chef de Reporterre,
    Noël MAMÈRE Député de Gironde,
    Joël DECARSIN Membre fondateur de Technologos ,
    Agnès SINAÏ Fondatrice de l’Institut Momentum sur l’anthropocène,
    François JARRIGE Historien,
    Frédérick LEMARCHAND Socio-anthropologue,
    Jean-François HÉROUARD Maire-adjoint à l’aménagement durable de Cognac Hélène TORDJMAN Maître de conférence en économie

    #fausses_solutions #système_technicien #administration_du_désastre #effet_rebond #contre-productivité

  • Les Échos titrent : « Le Canada hésite entre sa liberté et sa sécurité »
    http://www.lesechos.fr/monde/ameriques/0203885103113-le-canada-hesite-entre-sa-liberte-et-sa-securite-1056914.php #propagande

    Je n’ai pas lu l’article - il est derrière un paywall, mais je constate que Les Echos osent opposer liberté et sécurité. Je croyais cette idiote mise en opposition largement éventée de nos jours, mais non - elle est toujours là et en gros titres...

    • Pas paywall, il suffit de s’inscrire. L’article est une reprise résumée d’un article du Globe and Mail canadien.

      Après le meurtre en début de semaine, le niveau d’alerte du pays était passé de bas à moyen. Avec cette nouvelle attaque, de nouvelles mesures sont envisagées. D’ores et déjà, l’armée a conseillé à ses soldats de ne pas porter leur uniforme en dehors de leur base. Mais les Canadiens ne veulent pas céder à la panique, trop conscients que « plus de sécurité signifie moins de liberté » affirme le « Globe and Mail ». Alors pour l’instant, le journal préfère parler d’une « triste et difficile semaine ».

      L’original, plus long et nettement plus pondéré, est là (c’est vers la fin) :

      Globe Editorial : After the attack, we’re still Canada - The Globe and Mail
      http://www.theglobeandmail.com/globe-debate/editorials/after-the-attack-were-still-canada/article21248043

      In light of this week, Canada may have to change. But whatever changes we choose to make should be done carefully and calmly, with an understanding of the limited scale of the threat, and the nature of the tradeoffs between freedom and safety. Any changes made, from security at public buildings to a long-standing system of laws that criminalize action but not thought, should be done only for the benefit of millions of law-abiding Canadians – and not as a panicky reaction to a very small number of men who, unlike some dangers that Canada has faced before, pose no threat whatsoever to the survival of Canada. They are murderers, but their delusions are shared by few. They are not an existential threat to the Canada we cherish. They cannot destroy our society. Let us take the true measure of the danger and respond appropriately.

  • Sébastien Fontenelle : « La #presse dominante est subventionnée pour débiter de la #propagande libérale » - regards.fr
    http://www.regards.fr/web/sebastien-fontenelle-la-presse,8000

    Objectivement – disons comme ça pour aller vite –, ce dévoiement réside, pour l’essentiel, dans l’attribution de ces aides à des publications qui, d’une part, n’en ont pas forcément besoin, parce qu’elles sont par exemple adossées à des groupes industriels dont les ressources financières sont (à tout le moins) très considérables, et / ou qui, d’autre part, et surtout, ne remplissent aucune, ou presque, des conditions qui devraient présider à l’octroi de ces subsides. En effet, les aides publiques à la presse ont d’abord été pensées par le législateur comme une contribution de l’État à une forme d’éducation populaire par la lecture des journaux : il s’agissait notamment de garantir un accès facile « à l’écrit », en même temps qu’à une information de qualité – pour faciliter la participation de tous à la vie publique. Or, aujourd’hui, Closer reçoit plus de subventions que Le Monde diplomatique… D’autre part, il est permis de supposer que certains titres éprouveraient quelque difficulté à assurer leur propre survie sans cette perfusion d’argent public : coupez le robinet des aides versées par exemple à Libération, et la situation de ce quotidien, qui n’est déjà pas exactement brillante, va tout de suite devenir beaucoup plus compliquée encore.

    • Depuis 1985, de très nombreux rapports, rédigés – à la demande, souvent, du gouvernement – par des magistrats de la Cour des comptes ou des parlementaires a priori peu suspects de vouloir s’aliéner la presse, ont très précisément documenté qu’il y avait là une gabegie chronique, et des gaspillages ahurissants. Est-ce que ces alertes à répétition ont été entendues ? Est-ce qu’une « réforme » a été envisagée ? Est-ce que Le Monde a publié des dizaines d’éditoriaux pour exiger qu’on la hâte ? Absolument pas. Quand les oligarchies exigent une réduction des dépenses publiques, il s’agit évidemment – on le vérifie encore ces jours-ci dans les saillies de MM. Valls et Macron relatives à la nécessité de « réformer » l’assurance-chômage, et dans les applaudissements nourris qu’elles suscitent dans l’éditocratie – des dépenses sociales, et pas du tout des millions d’euros dont Le Figaro continue d’être gavé.

      #éditocrates #oligarchie #justice_fiscale

    • Ah la la c’est terrible, je me sens déchiré. En même temps je suis d’accord que ces couvertures sont putassières et en même temps les discours de ceux qui critiquent ces couvertures m’emmerdent profondément.

      Et les journaux qui se disent totalement indépendants le seront-ils toujours le jour où ils recevront, enfin, les mêmes montants que Closer :)

      #jour_de_troll (mais heureusement ça ne dure pas)

    • Pourquoi continuer à subventionner ?

      La presse hebdo a fait ses preuves : racoleuse jusqu’à l’ignoble, d’une qualité déplorable, mettant en scène des événements mineurs, surchargée de publicité, entretenant des liens troubles entre annonceurs et politiques.

      Les subventions n’ont en rien aidé à l’amélioration de la qualité et à l’indépendance.

      Ce média hautement corrompu malgré les aides est mort. Il faut l’achever.

      Le principe à renforcer : je ne paie que ce que je consomme !

      Par ailleurs, les aides ne touchent pas que la presse d’opinion. Mais aussi la presse people, télévisuelle et de mode.

      Je ne lis pas Le Point, ni Elle, ni Télé 7 jours. Pourquoi devrais-je financer ces titres ?

      Il faut redéfinir les critères d’attribution de ces aides a-minima.

      Je veux bien aider à l’extrême limite le Monde Diplomatique ( d’une lourdeur idéologique bien connue), il y a du travail derrière les articles. Mais Le Point, non !

      Cette presse est tellement grotesque qu’il faut 2 s pour la parodier.

      Vous voulez la prochaine Une de Sciences et Vie ? Je vous la fais : « Ebola : et si tout venait de votre chien ? ».

    • Dés sa naissance la presse française a été conciliante avec les pouvoirs, puis elle s’est laissée corrompre. cela fait environ deux cents ans que cela dure ( on peut ajouter la presse sous l’Ancien régime) et s’amplifie, naturellement.

  • #Afghanistan : ‘A Shocking Indictment’
    Rory Stewart NOVEMBER 6, 2014 ISSUE
    http://www.nybooks.com/articles/archives/2014/nov/06/afghanistan-shocking-indictment

    Mille milliards USD, pour quoi (en fait pour qui) ?

    Gopal, a Wall Street Journal and Christian Science Monitor reporter, investigates, for example, a US counterterrorist operation in January 2002. US Central Command in Tampa, Florida, had identified two sites as likely “al-Qaeda compounds.” It sent in a Special Forces team by helicopter; the commander, Master Sergeant Anthony Pryor, was attacked by an unknown assailant, broke his neck as they fought and then killed him with his pistol; he used his weapon to shoot further adversaries, seized prisoners, and flew out again, like a Hollywood hero.

    As Gopal explains, however, the American team did not attack al-Qaeda or even the Taliban. They attacked the offices of two district governors, both of whom were opponents of the Taliban. They shot the guards, handcuffed one district governor in his bed and executed him, scooped up twenty-six prisoners, sent in AC-130 gunships to blow up most of what remained, and left a calling card behind in the wreckage saying “Have a nice day. From Damage, Inc.” Weeks later, having tortured the prisoners, they released them with apologies. It turned out in this case, as in hundreds of others, that an Afghan “ally” had falsely informed the US that his rivals were Taliban in order to have them eliminated. (...) Gopal then finds the interview that the US Special Forces commander gave a year and a half later in which he celebrated the derring-do, and recorded that seven of his team were awarded bronze stars, and that he himself received a silver star for gallantry.

    (...)

    Gopal’s investigations into development are no more encouraging. I—like thousands of Western politicians—have often repeated the mantra that there are four million more children, and 1.5 million more girls, in school than there were under the Taliban. Gopal, however, quotes an Afghan report that in 2012, “of the 4,000 teachers currently on the payroll in Ghor, perhaps 3,200 have no qualifications—some cannot read and write…80 percent of the 740 schools in the province are not operating at all.” And Ghor is one of the least “Taliban-threatened” provinces of Afghanistan.

    (...)

    Why didn’t I—didn’t most of us—know these details? The answer is, in part, that such investigative journalism is very rare in Afghanistan. Gopal’s work owes a lot to other researchers. He is building on the work of Sarah Chayes and Alex Strick van Linschoten (both of whom immersed themselves in the Pushtu south), of exceptional journalists such as Carlotta Gall and David Rohde of The New York Times, of officials with years in the country such as Eckart Schiewek, Robert Kluijver, and Michael Semple, and of Afghan journalists such as Mohammed Hassan Hakimi.

    (...)

    But his real genius lies in binding all these sources together and combining them with thousands of hours of interviews

    (...)

    Sur les #Dostum et ses pareils,

    No one reading Gopal would be tempted to joke about these men again, or present them simply as “traditional power-brokers” and “necessary evils.”

    #Etats-Unis #leadership « #nos_valeurs » "#monde_libre" #propagande #propagandistes #violence #mort #malheur

    • Elles sont étranges ces infographies « tout en un » seul énorme fichier graphique. Pas de texte référençable, pas d’images récupérables. J’imagine que le besoin est d’éviter de se faire piquer les éléments contenus dans l’infographie ? En plus, impossible à imprimer facilement...

  • KGB, torture et terreur soviétique : voilà pourquoi la Lettonie craint la Russie - [Lettonie - Francija : Informations, actualités, échanges, coopération, amitiés France- Latvija]
    http://www.lettonie-francija.fr/KGB-torture-terreur-russe-Vaira-Vike-Freiberga-895

    https://www.youtube.com/watch?v=kksq7Rlt5-o#t=215

    KGB, torture et terreur soviétique :
    voilà pourquoi la Lettonie craint la Russie

    Dans cet interview, Madame Vaira Vike #Freiberga, Présidente de la #Lettonie entre 1999 et 2007, et actuelle Présidente du #Club_de_Madrid, Sandra #Kalniete, députée Européenne, et d’autres témoins racontent les craintes de la Lettonie envers la Russie car elle se souvient du #KGB, des tortures et de la terreur soviétique #russe en visitant les locaux de la maison du coin.