provinceorstate:berne

  • SEM | Restructuration : Accord sur l’emplacement de plusieurs centres fédéraux pour requérants d’asile en Suisse romande
    http://asile.ch/2016/02/02/sem-restructuration-accord-sur-lemplacement-de-plusieurs-centres-federaux-pour

    Berne. Dans le cadre de la restructuration du domaine de l’asile, 1280 places d’hébergement sont prévues dans les centres fédéraux de la région romande. La région comptera quatre sites, dont un centre de procédure et trois centres de départ. La Confédération, les cantons romands et les communes se sont accordés sur l’emplacement de trois centres […]

  • Voyage au-dessus du plus long tunnel du monde

    Quelle est la montagne la plus célèbre de Suisse ? Le Cervin, répondra la majorité des gens. Et quelle est celle qui incarne le mieux le pays ? La question est peut-être difficile pour les lecteurs étrangers, mais la majorité des Suisses répondra probablement sans hésitation : le #Gothard. Centre des #Alpes, berceau de la Confédération, symbole de la volonté d’indépendance et de l’unité helvétique, emblème de la capacité d’innovation et de courage de toute une nation… Aucun autre lieu n’a eu - et en partie n’a encore - la valeur symbolique de ce massif. Massif et non montagne, puisqu’il n’existe en réalité pas de sommet portant le nom de Gothard.


    http://www.swissinfo.ch/fre/longform/gothard?srg_sm_source=hoot&srg_sm_medium=soc&srg_sm_campaign=general&hootP
    #Suisse
    cc @albertocampiphoto

    • Doubler le tunnel du Gothard, une question à sens unique ?

      http://lacite.website/2016/02/05/doubler-le-tunnel-du-gothard-une-question-a-sens-unique

      Le 28 février, le peuple suisse est appelé à voter pour ou contre la construction d’un second #tube_routier au Gothard. Soutenu par la Confédération, ce projet a déjà fait couler beaucoup d’encre. Dans un souci de clarté, La Cité a mis en perspective les positions de chacun.

      [...] Le Gothard est un lieu symbolique dans l’Histoire suisse ; il se révèle d’une importance primordiale pour le transport nord-sud de marchandises à destination de l’Europe centrale et de l’Italie. Environ 70% de tous les véhicules franchissent les Alpes par cette voie. Or, tel que présenté, l’assainissement nécessitera la fermeture prolongée du tunnel routier. La Confédération, qui en est propriétaire, a donc jugé indispensable de trouver une solution de rechange permettant aux véhicules de continuer à emprunter cet axe pendant les rénovations (devant durer un peu plus de trois ans). C’est à cette fin qu’elle a opté pour la construction préalable, entre 2020 et 2030, d’un second tunnel routier parallèle à l’ancien. Une fois les réfections terminées, vers 2035, une seule voie de circulation unidirectionnelle serait ouverte dans chaque tube. La deuxième voie devant être utilisée uniquement comme bande d’arrêt d’urgence.

      [...]La loi, une fois modifiée, stipulerait : « La capacité du tunnel ne peut être augmentée. Il n’est possible d’exploiter qu’une seule voie de circulation par tube ; si un seul tube est ouvert au trafic, il est possible de mettre en service deux voies dans le tube concerné, soit une voie pour chaque sens de circulation. » Pour Vincent Martenet, professeur de droit constitutionnel à l’Université de Lausanne, « tant que seules deux voies sont utilisées, on peut donc considérer que la disposition constitutionnelle est respectée. » Des propos confirmés par Markus Kern, maître assistant à l’Institut de droit européen de l’Université de Fribourg. « Même si le Oui l’emporte le 28 février, pour ouvrir quatre voies et utiliser tout le potentiel des deux tunnels, il faudrait au préalable modifier à nouveau la loi et la constitution. Modifications qui seraient soumises à référendum. » En 2004, l’initiative populaire Avanti proposait déjà d’ouvrir quatre voies à la circulation au Gothard. Elle fut alors largement rejetée par le peuple et les cantons.

      [...] Dans la jungle des arguments contradictoires avancés par les uns et les autres, une chose est sûre : la variante par le rail est techniquement réalisable. La question est de savoir si elle est plus avantageuse qu’un deuxième tube. Dans un rapport datant de 2010, l’Office fédéral des routes (OFROU) précise qu’un système de train-autos passant par l’ancien tunnel ferroviaire de faîte du Gothard (entre Göschenen-Airolo) permettrait d’absorber « sans entraves majeures » le trafic des voitures de tourisme en dehors de la haute saison. Avant la construction du tunnel routier, en 1980, une part de ce trafic empruntait cette voie.

      [...] Fait rare dans une votation, un groupe d’experts se présentant comme indépendant du politique et de l’économique, et composé majoritairement d’universitaires et d’anciens cadres des CFF, a pris position sur la constrution d’un deuxième tube routier au Gothard via le site www.gothard-a-moindre-cout.ch. Leur but ? « Faire connaître la solution du #ferroutage suivant les dernières connaissances techniques en vigueur, et permettre aux gens de voter sans arrières pensées en sachant qu’une solution praticable existe et peut être mise en œuvre rapidement et à moindre coût. » Ces spécialistes estiment entre autres qu’en utilisant au maximum les installations existantes, la solution du transfert au rail reviendrait à « un peu plus d’un milliard ». C’est-à-dire 400 à 600 millions de moins que ce qu’a calculé le Conseil fédéral dans ses études sur l’options du rail.

    • La ferrovia può gestire l’intero traffico merci che attraversa le Alpi

      In estate verrà aperto il tunnel di base del Gottardo. La ferrovia sarà in grado di gestire ogni anno 50 milioni di tonnellate di merci che attraversano le Alpi. Concretamente questo significa che grazie alla Alptransit potrà essere trasportata più merce attraverso il Gottardo di quanta oggi ne trasportino strada e ferrovia messe insieme. La capacità disponibile è ampiamente sufficiente per i prossimi decenni. Per l’Iniziativa delle Alpi è chiaro che si deve ambire con coerenza al trasferimento su rotaia. La costruzione di una seconda galleria è dunque assolutamente fuori luogo.


      http://www.iniziativa-delle-alpi.ch/iniziativa-delle-alpi/attualita/comunicati_stampa/2016/160208_pk.html

    • Il tunnel fa acqua

      Ammettiamo di essere una grossa impresa di trasporto pubblico e di dover risanare una stazione ferroviaria, ad esempio di Lugano. Spinti da un estremo zelo pianificatorio decidiamo di costruire una seconda stazione ferroviaria poco prima verso Massagno. Una volta costruito il nuovo stabile procediamo al risanamento dello stabile principale, per infine tenere in vita entrambi ma utilizzandoli solo per metà.

      https://massimomobiglia.wordpress.com/2016/01/28/il-tunnel-fa-acqua

    • « Doris Leuthard, vous savez que le 2e tube routier du Gothard n’est pas vital pour la Suisse ! »

      Rares sont les campagnes qui précèdent les votations fédérales qui suscitent de véritables surprises. Le plus souvent, chacun est dans son rôle ; chaque parti défend ou s’oppose à une proposition selon des lignes de clivages bien connues de la scène politique fédérale ; les acteurs les plus en vue de cette même scène se positionnent le plus souvent conformément à l’image qu’ils donnent d’eux-mêmes votation après votation ; quant aux membres de l’exécutif, ils s’efforcent de tenir la ligne collectivement arrêtée, avec juste un peu de gêne, de retenue ou de maladresse quand cette ligne ne correspond pas à leurs convictions personnelles ou partisanes.

      https://www.letemps.ch/opinions/2016/02/22/doris-leuthard-savez-2e-tube-routier-gothard-vital-suisse

    • La votation sur le Gothard a été un vrai jeu de dupes

      René Knüsel se fait l’écho d’un comportement pour le moins discutable de la part de 90 conseillers nationaux.

      Les récents échos du travail parlementaire à Berne montrent que cette méfiance était fondée. Mercredi, la majorité du Conseil national a soutenu un postulat libéral-radical visant à déplafonner le nombre de passages de poids lourds, dont le nombre est pourtant inscrit dans la Constitution depuis l’acceptation de l’initiative des Alpes en 1994.

      http://www.24heures.ch/signatures/reflexions/votation-gothard-vrai-jeu-dupes/story/16161030

  • Comment les géants de la mode et du #Luxe s’installent en #Suisse pour réduire leurs impôts
    http://multinationales.org/Comment-les-geants-de-la-mode-et-du-luxe-s-installent-en-Suisse-pou

    Un grand nombre d’entreprises du secteur de la mode et du luxe, parmi lesquelles #Armani, Boss, #Gucci (propriété du groupe français Kering, ex PPR) ou encore The North Face se sont installés en Suisse, dans le canton du Tessin, au cours des 20 dernières années. Avec des motivations qui n’ont rien de mystérieux : réduire leur ardoise fiscale globale. Une enquête de l’ONG suisse la Déclaration de Berne lève le voile sur cette « fashion valley » tessinoise : « En 2012, près de 70% des bénéfices du groupe (...)

    Actualités

    / Suisse, Luxe, #Textile, Kering (ex PPR), #Armani, Gucci, Armani, #Paradis_fiscaux, #Textile, fiscalité, #évasion_fiscale, #salaires, La Déclaration de Berne (...)

    #Kering_ex_PPR_ #fiscalité #La_Déclaration_de_Berne_DB_
    « https://www.ladb.ch/themes-et-contexte/finance/fiscalite/etude-de-cas-la-fashion-valley-tessinoise »
    http://multinationales.org/IMG/pdf/evb_erklaerung_01-16_infografik_f_web_kering.pdf

  • En Suisse, des stickers sur la boite aux lettres indiquent les objets que l’on veut bien prêter - /le hub de La Poste, tendances du marketing relationnel
    http://www.laposte.fr/lehub/En-Suisse-des-stickers-sur-la

    Le nom du projet Pumpipumpe vient du dialecte alémanique et peut se traduire par « prête moi ta pompe à vélo ». Il sert des objectifs à la fois écologiques et économiques, permettant de ne pas devoir acheter des objets que l’on n’utilise peu. En plus, ce #partage entre voisins permet de faire des rencontres et de recréer des liens. Pumpipumpe est soutenu par plusieurs institutions, comme l’office de protection de l’environnement de la Ville de Berne.

    • J’avais dans mon ancien quartier un réseau très actif d’échange d’objets, de dons surtout et un peu de trucs de quartier (coup de main, infos utiles). Ce réseau se revendiquait apolitique, ce qui ne veut rien dire, à part, on veut pas vraiment s’impliquer. Il ne touchait qu’en petit 5% du quartier, ce qui est énorme.
      En changeant de quartier, je voulais refonder la même chose. Que neni.
      Il y a un contexte social nécessaire à ce genre d’initiative. Et je dirais : la petite bourgeoisie, la classe active et le temps partiel.
      Donc pour conclure, ce type de réseau est un bon indicateur de gentrification.
      #gentrification #alternative #local

  • Berne, 21-22 Janvier 2016 | Symposium suisse sur l’asile
    http://asile.ch/2016/01/19/berne-21-22-janvier-2016-symposium-suisse-sur-lasile

    « En route vers l’intégration : de la protection à la participation » : tel est le mot d’ordre de la sixième édition du Symposium suisse sur l’asile qui aura lieu à Berne du 21 au 22 janvier. Ce colloque, central pour les personnes travaillant dans le domaine de l’asile et de la migration, est conjointement organisé par […]

  • La Suisse n’est jamais empréssée pour restituer des biens volés
    Collection Gurlitt : lents progrès sur les oeuvres pillées par les nazis

    http://www.rtbf.be/info/medias/detail_collection-gurlitt-lents-progres-sur-les-oeuvres-pillees-par-les-nazis?i

    Une commission allemande enquêtant sur l’impressionnant stock d’oeuvres d’art cachées par le défunt Cornelius Gurlitt a expliqué jeudi n’avoir identifié avec certitude que cinq pièces volées par les nazis sur 500 litigieuses, arguant de la difficulté des travaux.

    Selon les conclusions de la commission d’experts formée fin 2013 pour enquêter sur le trésor de Gurlitt, dont le père fût un marchand d’art sous le IIIe Reich, outre ces cinq pièces, des soupçons plus ou moins lourds pèsent sur quelque 150 oeuvres, tandis que l’origine d’environ 350 pièces reste à déterminer.

     « Je peux comprendre l’impatience des héritiers «  des personnes ayant été spoliées par les nazis, a expliqué la ministre de la Culture, Monika Gruetters, répondant aux critiques jugeant l’action de l’Allemagne dans ce dossier lente et opaque.
    Elle a évoqué un "dilemme" entre "rigueur scientifique" et "l’intérêt des victimes" , alors qu’une deuxième commission doit prendre le relais pour poursuivre le travail.

    Devoir envers les victimes

    La ministre et la chef du comité d’experts internationaux Ingeborg Bergreen-Merkel ont souligné la difficulté de retracer l’origine des oeuvres faute de documentation et d’archives suffisantes du fait des pertes et des destructions de la Seconde guerre mondiale.

    "Cela reste toujours un devoir envers les victimes des crimes commis durant la période nazie" , a souligné Mme Bergreen-Merkel qui a travaillé avec des experts de France, d’Israël, d’Autriche, de Pologne, de Hongrie, des Etats-Unis et d’Allemagne.

    Le président du Congrès juif mondial, Ronald Lauder, n’a lui pas mâché ses mots dans un communiqué, jugeant les résultats de la commission "maigres et pas satisfaisants".

    Il avait été établi précédemment que parmi les oeuvres d’art de Gurlitt, 507 pièces n’avaient pas fait l’objet d’une spoliation sous le IIIe Reich. La commission a aussi reçu plus de 200 demandes d’informations ou de restitution.

    Le trésor de Cornelius Gurlitt —quelque 1.500 pièces au total— avait été découvert en 2012, stocké dans de mauvaises conditions, lors d’une descente de la douane dans son appartement de Munich (sud de l’Allemagne) puis dans un autre logement, à Salzbourg en Autriche.
    Il s’agit notamment de tableaux et dessins d’artistes comme Matisse, Picasso, Renoir, Toulouse-Lautrec, Cézanne, Beckmann, Holbein, Delacroix ou Munch. Nombre d’entre eux sont soupçonnés d’être issus de la spoliation des familles juives déportées et assassinées par les nazis.

    Gurlitt semblait atteint de syllogomanie, trouble obsessionnel qui pousse à une accumulation compulsive d’objets divers.
    L’affaire a été révélée en 2013 par le magazine allemand Focus, un an après les faits, si bien que les autorités allemandes ont été critiquées pour leur manque de transparence.

    Premières restitutions en 2015

    Décédé en mai 2014 à 81 ans, Cornelius Gurlitt a désigné le Musée d’arts de Berne comme l’héritier de sa collection. Les 500 pièces dont l’origine était jugée litigieuse ont été conservées en Allemagne en attendant que la lumière soit faite sur leur provenance et une éventuelle restitution.

    Il a fallu attendre mars 2015 que pour la première fois une oeuvre de la collection Gurlitt, un Matisse, soit remise à son propriétaire légitime, la famille du collectionneur d’art juif français Paul Rosenberg, grand-père de la journaliste Anne Sinclair.

    Un accord sur la restitution d’un Pissarro a pu être trouvé le mois suivant, tandis qu’en juin 2015 le tableau de Max Liebermann, "Deux cavaliers à la plage", a été vendu aux enchères à Londres pour 2,61 millions d’euros.

    Les deux autres oeuvres identifiées comme volées sont celles des artises allemands Carl Spitzweg et Adolph Menzel.
    La collection, outre les oeuvres volées aux familles juives dépossédées de leurs biens par les nazis, compte aussi environ 480 oeuvres « d’art dégénéré » qui avaient été retirées des musées allemands par le régime d’Adolf Hitler.

    Cornelius avait hérité de la collection de son père Hildebrand Gurlitt, un marchand d’art mort en 1956. Menacé dans un premier temps, notamment parce qu’il avait une grand-mère juive, Hildebrand Gurlitt avait ensuite servi le régime hitlérien en écoulant à l’étranger des œuvres volées ou saisies.

    #art #edward_munch #cornelius_gurlitt #syllogomanie #art_dégénéré #Berne #Suisse

  • Renault : les émissions polluantes du dernier Espace au centre des investigations
    http://www.lemonde.fr/automobile/article/2016/01/15/accusation-contre-renault-le-dernier-espace-au-centre-des-investigations_484

    Renault a connu un « jeudi noir » en Bourse, après la révélation que le constructeur automobile pollue plus que prévu – sans toutefois frauder. Selon Ségolène Royal, la ministre de l’écologie, les tests chez Renault, réalisés dans le cadre de l’enquête gouvernementale sur les émissions polluantes du diesel, lancée après l’affaire Volkswagen, ont confirmé des dépassements de normes chez Renault, ajoutant que ce n’est pas le cas chez l’autre constructeur français, PSA Peugeot Citroën.

    Selon France Info, Renault est mis en cause dans ces premiers résultats « avec des dépassements de cinq à dix fois supérieurs aux normes CO2 et oxyde d’azote (NOx) pour le dernier Espace ».

    L’association Deutsche Umwelthilfe (DUH), farouche critique des moteurs diesels, avait indiqué le 24 novembre que les émissions d’oxydes d’azote (NOx) de la Renault Espace 1.6 dCi avaient atteint un niveau jusqu’à 25 fois supérieur au plafond autorisé, quand on le mesure à moteur chaud et non à froid, par la norme actuelle Euro-6 lors de tests réalisés par l’université de Berne. Selon la DUH, des niveaux d’émissions excessifs ont été mesurés sur la Renault Espace diesel, lors de cinq tests distincts de type NEDC (New European Driving Cycle).

    Six tests menés par l’université de sciences appliquées de Berne, en Suisse, ont fait ressortir des niveaux d’émission de 13 à 25 fois supérieurs aux 80 mg/km autorisés, un test faisant même état d’émissions à plus de 2 000 mg/km, indiquait la DUH.

    En décembre, Renault avait annoncé un investissement de 50 millions d’euros pour réduire l’écart entre les émissions polluantes de ses voitures en conditions d’homologation et en situation réelle.

    réduire l’écart entre les […] conditions d’homologation et en situation réelle #sans_toutefois_frauder

  • [Berne] Communiqué de la manifestation en soutien à la population kurde de Rojava
    https://renverse.ch/Berne-Communique-de-la-manifestation-en-soutien-a-la-population-kurde-de-Ro

    Le 9 janvier 2016, plus de 400 personnes ont mis l’accent sur le carnage en Turquie. Sous le slogan « Arrêtez le massacre de la population - force et courage pour les révolutionnaires à Rojava et en Turquie ! », nous sommes passé*es dans les rues de #Berne. Nous avons montré que nous pouvons manifester de manière déterminée, bruyante et sans autorisation. Des centaines de flyers ont été distribués aux nombreux passant*s intéressés. On a dansé sur de la musique kurde et nous avons laissé plusieurs affiches et slogans dans le centre-ville pour démontrer notre solidarité avec les combattant*es au Rojava.

    #Luttes_indépendantistes #Kurdistan

    • Kurdistan /Rojava, Interview d’un volontaire français dans les YPG
      http://www.oclibertaire.lautre.net/spip.php?article1791

      La situation ne fait qu’empirer dans le Bakur [Kurdistan nord dans l’Etat turc], avec des niveaux de répression qui s’apparentent à une nouvelle guerre civile. Comment les gens et les militants (dans le Rojava, mais aussi ailleurs dans le Kurdistan) voient-ils cette guerre qui s’annonce et s’amplifie au nord ? (Cet interview a été réalisé avant les dernières exécutions de Kurdes en Turquie et l’attentat d’Istambul)

      Il est difficile de vous dire comment les gens voient cette guerre dans le Kurdistan nord, dans la mesure où je me trouve au Rojava. La guerre civile au Bakûr, qui a déjà commencé, est omniprésente ici. Cela est dû, dans une large mesure, à la présence importante de militants du Bakûr au Rojava. S’il est sans doute abusif, comme le font parfois certains médias, de présenter le PYD et les YPG comme la « branche syrienne du PKK », il est clair que les militants du PKK ont joué le rôle principal dans la formation des YPG. Aujourd’hui encore, la grande majorité des cadres des YPG sont issus du PKK, même si le gros de leurs troupes a été recruté localement. Cela ne procède nullement d’une volonté d’hégémonie ou d’un mépris du PKK envers les « locaux », mais plutôt de la longue expérience de combat des premiers. Il est par ailleurs difficile de vous donner des proportions, même approximatives, car de nombreux militants du PKK cachent, à tout le moins aux occidentaux présents sur place, leur appartenance passée ou présente à cette organisation, toujours considérée comme « terroriste » en Europe, pour des raisons diplomatiques.
      On comprend donc aisément que la guerre entre les YPG et l’Etat islamique soit perçue, par les combattants YPG du Bakûr et du Rojava, comme le théâtre local d’un conflit général plus large, en tout cas comme indissociable de la répression de l’Etat turc contre les militants kurdes. L’analyse faite par les chaînes de télévision pro-kurdes prisées des combattants (proches du PKK comme Mednuçe ou du PYD comme Ronahî TV) tranche radicalement, à cet égard, avec le traitement des médias occidentaux qui prennent soin de dissocier ces deux conflits.
      On peut certes questionner, objectivement, l’unité du Kurdistan et des conflits en cours dans les différents tronçons, qui répondent plus à des dynamiques « nationales » différentes qu’à une « question kurde » unique. La carte, la représentation d’un Kurdistan un et indivisible dont le partage ne serait que momentané, un accident de l’histoire sont sans doute une construction identitaire, un élément central du discours national des différentes organisations kurdes ; il n’en demeure pas moins que l’arrivée massive de militants du PKK « turc » en Syrie et l’intervention de l’Etat turc dans ce pays ont objectivement imbriqué les deux conflits dans une même problématique."

      La réaction d’Erdoğan est en partie liée à la situation en Syrie, notamment celle de ses divers protégés et proxies (ISIS, al-Nosra, Ahrar al-Sham…). Or aujourd’hui, ceux-ci perdent du terrain ainsi que ceux de l’Arabie saoudite (situés eux surtout dans le sud du pays). Les prochaines batailles des SDF (Forces démocratiques de Syrie, dont les YPG/J forment la principale force), en direction de Mabij et Jarabulus (ouest de l’Euphrate) et dans la région d’Azaz (nord d’Alep), sont des « lignes rouges » pour le régime turc, qui ne cesse de le réaffirmer, surtout qu’il y a (surtout dans la zone d’Azaz) en face des SDF des unités spécifiquement turkmènes, entièrement armées et financées (et encadrées) par des Turcs liés à l’appareil d’État, aux mouvances AKP et MHP (Loups gris, cercles ottomanistes, etc.) La Turquie prendrait-elle le risque de défendre militairement ses « lignes rouges » et donc de pénétrer sur le sol syrien alors que la Russie veille et qu’en l’état actuel des choses, Poutine n’hésitera pas à frapper ? Mais, vu sa rhétorique actuelle, Erdoğan peut-il renoncer à combattre les ‟terroristes” kurdes au sud de sa frontière qui engrangent les victoires sur le terrain ? Dans quelle mesure, sa guerre contre les Kurdes de Turquie n’est-elle pas le prix qu’il fait payer au mouvement kurde dans son ensemble pour la relative mais réelle réussite de la lutte menée par les Kurdes au Rojava (qu’Erdoğan interprète comme une menace, le début d’une défaire ou une défaite à venir) ?

  • Janvier, fiche de paie en berne (L’instit’humeurs)
    http://blog.francetvinfo.fr/l-instit-humeurs/2016/01/09/janvier-fiche-de-paie-en-berne.html

    Une perte de pouvoir d’achat de 5,5% minimum due au gel du point d’indice et à la hausse des prix. Dans le même temps, une hausse des cotisations qui finit par s’élever à près de 2000 € sur la même période. A cela il faut ajouter, on l’a déjà calculée, la perte financière générée par les nouveaux rythmes scolaires.

    Rappelons que les instits français, de l’avis de l’OCDE, sont sous-payés comparativement à leurs homologues étrangers (12% de moins que la moyenne).

    Rappelons aussi qu’entre 2000 et 2010, le salaire d’un instit français a diminué de 11%, pendant qu’il augmentait en moyenne de 14% dans l’OCDE.

    Cela n’empêchait pas une majorité de français de penser, en 2014, d’après la fondation Varkey Gems, que les profs devraient être moins payés.

    #éducation #enseignant.e.s #salariat #métier #salaire

  • من هو الشيخ النمر، وما يمثل؟ | الأخبار
    https://al-akhbar.com/node/249256

    Quelques extraits d’une bio du cheikh Al-Nimr :
    Après la chute des régimes tunisien et égyptien [en 2011] et avec le début de la révolution à Bahreïn, Al-Nimr brise les limites imposées par les autorités saoudiennes depuis août 2008 sur ce qui peut se dire lors des prêches religieux et en enseignement [religieux]. Ses prônes commencent par un discours sur la liberté et tournent autour de la question du changement politique tandis que le mouvement de lajeunesse dans la région du Qatif organise de nombreuses marches pour réclamer la libération de 9 prisonniers, internés depuis 16 années et connus sous le nonm des « prisionniers oubliés ». Lorsque les forces d’intervention du Golfe entrent au Bahreïn, l’agitation et les protestation s’étendent dans la région du Qatif. Le pouvoir [saoudien] répond par l’incarcération de centaines de jeunes activistes. Al-Nimr se bat de toutes ses forces pour le droit du peuple du Qatif à la liberté d’expression et à son droit à protester. Les événements d’octobre 2011, connus par la suite sous le nom des événements de Al-Awamia, confirment son rôle de leader tout en faisant comprendre aux autorités que sa parole est écoutée et que son discours pacifique est une valve de sécurité qui empêche la région de sombrer dans le chaos de la violence.
    Alors que le pouvoir saoudien saugmente la répression et l’usage des armes, provoquant la mort de nombreuses victimes, le discours d’Al-Nimr se radicalise. Il s’oppose clairement à la discrimination [entre chiites et sunnites au sein des Saoudiens], à la suppression des libertés, à l’appropriation par certains des richesses et des hautes fonctions, et appelle à une réforme politique.
    Le 8 juillet 2012, des forces de sécurité saoudiennes ouvrent le feu sur lui. Il reçoit quatre balles dans la cuisse droite et est transféré à l’hôpital militaire de Dhahran puis à celui des forces armées à Riyadh avant d’être incarcéré dans la prison de Haer.
    En mars 2013 commence son procès, sans que sa famille soit prévenue. Le procureur réclame la peine capitale (hadd al-hirâraba) sur la base de preuves falsifiées. Le 15 octobre 2014, le tribunal le condamne à la peine capitale, sentence mise en pallicatin dans le communiqué du ministère de l’Intérieur du 2 janvier 2016, à cpoté de l’éxécution de 46 autres condamnés pour terrorisme, dans 12 régions du Royaume.

    #arabie_saoudite #al-nimr

    • Ce qui est bien précisé :
      "il s’oppose clairement à la discrimination [entre chiites et sunnites au sein des Saoudiens], à la suppression des libertés, à l’appropriation par certains des richesses et des hautes fonctions, et appelle à une réforme politique."
      Nous ne sommes pas dans le schéma bêtifiant, style france2 hier soir ( concurrence shiites sunnites, entre l’Iran et l’Arabie saoudite) mais bien dans une lutte contre un apartheid recoupé avec une injustice sociale qui rencontre une répression barbare, pour empêcher que se rejoignent luttes contre la ségrégation et lutte sociales ; L’assassinat de MLK avait, au fond, les mêmes d raisons.

    • Les dictateurs saoudiens fêtent la nouvelle année par un bain de sang
      Robert Fisk | lundi 4 janvier 2016 -
      http://www.info-palestine.net/spip.php?article15823

      Cette boucherie place également l’Occident devant le plus embarrassant des problèmes : la nécessité permanente de se coucher et de ramper devant les monarques riches et autocratiques du Golfe, tout en exprimant à petite voix leur malaise face au massacre grotesque que les cours saoudiennes ont infligé aux ennemis du Royaume. Si c’était ISIS qui avait coupé des têtes de sunnites et de chiites dans Raqqa - en particulier celle d’un prêtre chiite dérangeant comme Cheik Nimr - nous pourrions être sûrs que Dave Cameron aurait gazouillé son écœurement face à un acte si dégoûtant. Mais l’homme qui a mis en berne le drapeau britannique à la mort du dernier roi de cet état wahabite absurde, emploiera des mots ambigus pour évoquer cette débauche de décapitations.

      Toutefois beaucoup de sunnites liés à Al-Quaida ont également perdu leurs têtes - au sens propre - aux mains des bourreaux saoudiens, et la question se posera dans des capitales aux États-Unis et en Europe : les Saoudiens essayent-ils de détruire l’accord nucléaire avec l’Iran en forçant leurs alliés occidentaux à soutenir jusqu’à ces derniers outrages ? Dans le monde obtus dans lequel ils logés et nourris - où le jeune ministre de la Défense qui a envahi le Yémen hait littéralement le ministre de l’Intérieur - les Saoudiens se glorifient toujours d’avoir lancé la coalition « anti-terroriste » de 34 nations en grande partie sunnites, censées former une légion de musulmans opposés à la « terreur ».

      Les exécutions étaient certainement la manière saoudienne d’accueillir la nouvelle année - de façon aussi spectaculaire que l’était l’incendie géant à Dubaï qui a réduit en cendres l’un des hôtels les plus prestigieux de l’émirat. En dehors des implications politiques, cependant, il y a également une question évidente à se poser - et dans le monde arabe lui-même - concernant cette dynastie des Saoud qui se reproduit indéfiniment : les dirigeants du Royaume sont-ils devenus fous ?

    • @remi @gonzo extrait d’un discour de Nimr Baker #Al-Nimr en 2012 à propos de la question syrienne https://www.youtube.com/watch?v=iJyEETz2Mlo

      L’oppression est condamnable.
      Tu es chiite : n’oppresse pas un sunnite.
      Tu es opprimé : si tu opprime un sunnite, dieux ne t’aimera pas !
      Pareil pour le sunnite ! Opprimé : si il opprime un chiite, dieux ne l’aimera point !
      Faites donc très attention à ce que l’opprimé ne devienne pas l’oppresseur !
      C’est un point central important !
      Il faut que tous les opprimés s’unissent contre les oppresseurs ! Il ne faut pas qu’ils soient les outils des oppresseurs !
      Le Calife (Al-Baghdadi, ndlr) t’as opprimé, mais la Sunna en est innocente ! Ceux là ne sont pas sunnites, ceux là sont des despotes !
      Les pro-Bashar en Syrie t’ont opprimé, et le Chiisme en est innocent !
      Nous ne défendons pas un oppresseur !
      Et il n’est pas permis à un opprimé de défendre un oppresseur !
      Dieux n’aime pas les oppresseurs !
      Peut-on donc aimer un Oppresseur ? Un despote ? Peu importe qui il est, un dirigeant au Bahreïn, ou chez nous, ou au Yémen ou en Egypte ou n’importe où. Un dirigeant qui opprime est condamnable !
      Et donc, nous ne défendrons jamais un oppresseur ! Et nous ne seront jamais de son coté !
      Celui qui défend un oppresseur est complice !
      Et celui qui défend un opprimé, partagera avec lui, sa récompense de la part de dieux !

  • L’exubérance que l’économie turque affichait il y a quelques années est en berne
    https://www.mediapart.fr/journal/international/271215/l-exuberance-que-l-economie-turque-affichait-il-y-quelques-annees-est-en-b

    Les mauvais résultats économiques expliquent en partie le revers électoral du président #Recep_Tayyip_Erdogan aux élections législatives de juin 2015. Surtout, la dérive autoritaire du pouvoir turc ne rassure pas le monde des affaires.

    #International #Economie #croissance #Proche-Orient #turquie

  • « Les #drogues sont-elles dangereuses ? » – Publication de la CFLD
    https://www.news.admin.ch/dokumentation/00002/00015/index.html?lang=fr&msg-id=60108

    Berne, 21.12.2015 - La Commission fédérale pour les questions liées aux drogues (CFLD) s’engage depuis qu’elle existe pour un traitement plus rationnel des substances psychoactives par la société. Suite à sa dernière étude qui vient de paraître sur la dangerosité de ces substances, la Commission relève que la législation actuelle en matière de drogues, basée sur l’interdiction, ne suffit plus à faire face aux défis à venir. Elle demande en conséquence, pour toutes les substances aujourd’hui illicites, que soient développés des modèles de régulation qui permettent de les rendre accessibles et contrôlées par l’Etat. En outre, la politique doit continuer à promouvoir la responsabilité individuelle, protéger les groupes vulnérables et assurer aux personnes dépendantes l’assistance (...)

    #politiquesdrogues #suisse

    • Des tags contestataires viennent horner les murs dès le départ du cortège, annonçant la couleur du défilé. Au fur et à mesure que le cortège s’approche du quartier de la Cité, les vitrines des banques et commerces de luxe sont impitoyablement détruites ou recouvertes de slogans à consonance révolutionnaire. De telles scènes n’ont pas été vues à #Genève depuis la #manifestation contre l’OMC du 28 novembre 2009. Il est d’ailleurs notables que les déprédations matérielles n’ont pas découragé la fraction plus pacifique des manifestants, loin s’en faut. En réalité le cortège a continué de grandir, des passants rejoignant le cortège tout au long du parcours avec un pic de participation à l’arrivée dans le quartier de la Jonction.

      Des modes d’expression très différents, à l’image de la composition sociale de la manifestation, ont su cohabiter durant le cortège. On peut par exemple mentionner l’organisation d’une performance artistico-humoristique sur la Place Neuve pendant qu’une partie des manifestants ravalaient la façade du Grand Théâtre, symbole de la culture bourgeoise s’il en est. Le cortège a témoigné d’une grande capacité de régénération après chaque pic de conflictualité. L’un des moments les plus intenses a sans doute été quand les policiers anti-émeute se sont fait copieusement caillasser devant l’Hôtel de police du boulevard Carl-Vogt qu’ils tentaient tant bien que mal de défendre. En guise d’épilogue, c’est le magasin de cigarettes électroniques du poujadiste Eric Stauffer qui a fait les frais de la colère des manifestants.

      Action directe et contestation

      La mise à sac du centre-ville de Genève constitue un véritable affront pour les élites politiques et sociales, et l’on comprend aisément pourquoi. Leur plan d’action économique consiste à présenter la Suisse non seulement comme un paradis fiscal, mais comme un havre de paix sociale intégrale à l’écart des antagonismes déchirant le reste du monde. Il est à souligner que cette vision transcende aujourd’hui le fumeux clivage entre “gauche” et “droite”. Avec l’évolution du rapport de force de ces dernières années, aucun politicien n’oserait aujourd’hui dire comme le bureaucrate écologiste David Hiler en 1998, qu’il préfère “un million de dégâts à Genève que le FN à 15%”. Tous participent au contraire à la vaste entreprise visant à jeter le discrédit sur les manifestants les plus offensifs en les accusant de tous les maux. L’impensé de ce discours #citoyenniste qui condamne la violence pour des raisons purement idéologique (“ça ne résoud rien”, comme si voter servait à quelque chose...). Une question tout de même : la Reitschule de Berne aurait-elle pu faire face aux multiples assauts de la mairie sans le rapport de force régulièrement imposé par les Chaoten depuis une vingtaine d’années dans la capitale ?

      Il est ainsi inexact de dire que la manifestation du 19 décembre a “dégénéré”, les personnes qui ont participé aux affrontements savaient très bien ce qu’ils faisaient et contre quoi ils se battent. Dans ce contexte, l’action directe est essentiellement un moyen d’expression du mécontement social. Contrairement à ce qu’avance la vulgate pacifiste, l’action directe ne peut pas toujours préfigurer l’utopie d’un monde meilleur à venir. Les bureaux de la haute finance ne peuvent pas (encore) être transformés en crèches, nous n’en sommes pas là. L’heure n’est pas à la révolution mais à l’affirmation d’un #antagonisme, d’une incompatibilité radicale face au rouleau compresseur du capitalisme mondialisé.

      À Genève, une manifestation pour la culture dégénère
      http://culturebox.francetvinfo.fr/scenes/theatre/a-geneve-une-manifestation-pour-la-culture-degenere-232591

      La #police est intervenue pour bloquer l’avancée des manifestants, mais n’a procédé à aucune interpellation. « Pas pour l’instant, a précisé le porte-parole de la police, parce que sur le moment c’est très compliqué d’arrêter. Maintenant, il y aura un travail d’enquête pour essayer de retomber sur les participants principaux ».

  • [Berne] L’occupation du future Camp fédéral prend fin
    https://renverse.ch/Berne-L-occupation-du-future-Camp-federal-prend-fin-436

    L’occupation est finie, la lutte continue. L’occupation du futur camp fédéral pour migrant-e-s fut un succès. Elle a pris fin dimanche dans la nuit. Durant 2 jours, ce futur lieu d’oppression raciste, est devenu un espace d’émancipation.

    « http://switzerland.indymedia.org/de/2015/12/96377.shtml »

  • [Berne] Occupation d’un futur camp fédéral pour migrant-e-s
    https://renverse.ch/A-publier-samedi-12-au-matin-et-pas-avant-Berne-Occupation-d-un-futur-camp-

    Dans la nuit du vendredi 12.12.15 l’ancien hôpital Ziegler à Berne a été occupé. C’est un acte de résistance contre le projet de centre de détention fédéral pour migrant-e-s prévu pour 2016 dans ce bâtiment. Infos, traduction d’une lettre distribuée dans le quartier et programme du week-end.

    « https://www.youtube.com/watch?v=yEBIdl_Hx2I

     »
    « http://ausdemherzenderfestung.noblogs.org »
    « https://ch.indymedia.org/de/2015/12/96357.shtml »

  • Berne, 23.01.2016 | Conférence sur la Charte de la migration
    http://asile.ch/2015/12/09/berne-23-01-2016-conference-sur-la-charte-de-la-migration

    La matinée de la conférence éclairera l’idée de la « liberté d’établissement pour tous » sous différents angles. L’après-midi est réservé au sujet de l’accueil, de la bienvenue. Comment concrétiser la culture de la bienvenue au niveau du quartier, de la ville ou du village ? Une grande séance plénière a pour but de favoriser les contacts à […]

  • Berne (Suisse) : pas de sécurité pour la police
    http://cettesemaine.info/breves/spip.php?article1344

    Dans la nuit du mercredi 21 octobre, trois postes de police de Berne ont été vandalisés. Celui de Köniz s’est fait défoncer ses vitres et celui de Bümpliz a été entièrement tagué. Au Nordring, trois véhicules personnels de flics ont pris feu, mais ont malheureusement été éteints assez vite par eux. (...) — Suisse

  • Canut Infos---Le canut-info du jeudi 3 décembre 2015
    http://blogs.radiocanut.org/canutinfos/2015/12/03/le-canut-info-du-jeudi-3-decembre-2015

    Les sujets du canut-infos de ce jeudi : (le podcast est à la suite) Pour ouvrir un mot sur : M. de Kerdrel, M. Tapie État d’urgence ou la mise en berne des libertés : actus du jour Kenya : Exercice d’attaque terroriste … Continuer la lecture (...)

  • Après les attentats, comment faire revenir le public dans les salles de concert ? - Musiques - Télérama.fr
    http://www.telerama.fr/musique/apres-les-attentats-du-13-novembre-comment-faire-revenir-le-public-dans-les

    Annulations en série, public absent, frais de sécurité à assumer. Les salles de concerts privées et des tourneurs paient un lourd tribut après les attaques de Paris. Les mois à venir s’annoncent compliqués.
    Deux semaines après les attentats, la musique est toujours en berne en France. Si la vie a repris ses droits, doucement, et les concerts avec, la situation reste globalement précaire pour le secteur. « On n’a pas vendu un seul billet dans la semaine qui a suivi les attaques », se désole Didier Veillault, directeur de la Coopérative de mai à Clermont-Ferrand, dont la jauge oscille entre un club de 460 places et une salle de 1500. En temps normal, à cette période de l’année, il fait généralement salle comble à chaque soirée. Le manque à gagner, en matière de billetterie mais aussi de ventes au bar, est évalué à environ 25 000 euros depuis le 13 novembre. La fin de l’année sera difficile, même si la programmation n’a pas subi beaucoup d’annulations.
    C’est à Paris que le futur immédiat s’annonce le plus délicat. « On ne réalise qu’un tiers de la fréquentation habituelle chez nous. Certains soirs, comme le week-end dernier, la salle était même vide », raconte David Delattre, directeur du Nouveau Casino, rue Oberkampf. La salle parisienne, qui opère désormais beaucoup dans le « clubbing » , n’a pas connu tant d’annulations que ça côté artistes, car elle propose des plateaux avec plusieurs DJ. Mais sa proximité avec le Bataclan, juste en bas de la rue, joue en sa défaveur. « La rue Oberkampf est déserte depuis dix jours. »
    Pour certains tourneurs, notamment ceux qui disposent dans leur catalogue d’artistes étrangers, les planning se sont vidés brutalement. « On passe nos journées à gérer des annulations au lieu de travailler sur le booking de nos artistes », raconte Julien Catala, directeur de Super, qui gère aussi la salle du Trabendo, dans le parc de La Villette. Son malheur : avoir dans son giron beaucoup de groupes américains. « Ils ont peur de venir, les agents et les managers nous demandent des mesures de sécurité pour rassurer les artistes, mais à part deux ou trois vigiles en plus, je ne peux pas leur promettre de mettre l’armée devant la salle ! ».
    La situation est d’autant plus critique pour lui que le mois de novembre est souvent le plus fourni de l’année en concerts, dans la capitale comme en province. « Ce qui nous tient à flot, c’est que nos artistes attirent surtout un public de niche, friand de concerts et plus susceptible de revenir rapidement dans les salles », assure Julien Catala. Mais le gouffre est béant : sur les deux dernières semaines, il affiche un manque à gagner de plus de 50 000 euros, entre ses activités de tourneur et la salle du Trabendo. « La conséquence, c’est qu’on va prendre moins de risques sur la programmation artistique, faire plus gaffe ».
    Dans ce marasme, les structures privées ne doivent compter que sur elles-mêmes, obligées d’assumer seules (dans des ententes entre salles et producteurs) le surcroît de dépenses de sécurité, et faire face à la baisse massive de ventes de tickets. En début de semaine, le Prodiss, qui réunit les producteurs de spectacles, lançait un appel à la ministre de la Culture Fleur Pellerin. Dans la foulée des attentats, cette dernière avait annoncé le déblocage d’une somme de 4 millions d’euros pour faire face dans l’urgence aux besoins de la filière. Largement insuffisant selon les intéressés, qui ont interpellé la ministre en livrant leur évaluation des besoins : 50 millions d’euros, pas moins.
    Alors, comment faire revenir les gens dans les salles ? « Il va falloir séduire le grand public, celui qui ne fait que quelques concerts par an. C’est à lui qu’il va falloir redonner envie de sortir », explique Didier Veillault. Comment ? « En faisant attention à l’accueil, au prix des places, des bières, en offrant peut-être des cadeaux, en étant plus chaleureux encore… ». Une chose frappe en tout cas chez tous les intéressés : la volonté de ne pas céder à l’abattement, de faire preuve de combativité. Comme le résume Thierry Langlois, patron du tourneur parisien UNI-T : « Même si l’inquiétude demeure, je veux être confiant : la vie est plus forte. De toute façon, on n’a pas le choix : soit on continue, soit on ferme boutique ».

  • Stévia : une douceur au goût amer

    La stévia est présentée comme la dernière grande nouveauté en matière d’édulcorants. De plus en plus de produits « naturels » contenant de la stévia arrivent sur le marché. Pourtant, contrairement aux dispositions prévues par la Convention sur la biodiversité, les peuples Guarani du Paraguay et du Brésil, qui ont découvert les vertus édulcorantes de cette plante, ne bénéficient pas des retombées économiques de leur savoir ancestral. Un rapport de la Déclaration de Berne (DB) met en lumière la face cachée du marché de la stévia.


    https://www.ladb.ch/themes-et-contexte/agriculture-et-biodiversite/biodiversite/biopiraterie/stevia

    #stévia #peuples_autochtones #mondialisation #globalisation #privatisation #infographie #visualisation #coca-cola #propriété_intellectuelle
    cc @odilon @reka @louca @albertocampiphoto @fil

  • OSAR | Berne, 10.12.2015 : Formation continue juridique
    http://asile.ch/2015/11/19/osar-berne-10-12-2015-formation-continue-juridique

    L’OSAR propose une formation continue juridique : « Droit d’asile : état des lieux et développements » Formation de 9h15 à 17h00, à l’Hotel Kreuz à Berne. Vous trouverez toutes les informations sur la formation en cliquant ici. Délai d’inscription : 1er décembre 2015 Cet article OSAR | Berne, 10.12.2015 : Formation continue juridique est apparu en premier sur asile.ch.