provinceorstate:indiana

  • A Special Hell for Designers Like Me — Medium
    https://medium.com/@ade3/a-special-hell-for-designers-like-me-5c55bd855613

    I knew I was going straight to designer hell the summer of hurricane Katrina. I was taking a lunch break from a photo shoot in Indiana, the heart of American RV manufacturing. I was stopped at a railroad crossing, waiting for a train to roll by. The cargo was unbranded RVs. Hundreds of big white boxes rushing south like blood cells racing to a wound.(…)

    This is the surface appearance, the outer layer where designers, marketers, and brand experts make our living. Here we assume good intention, never question motives, and spin the details into glossy, highly consumable stories about our clients.
    The logoless RVs on that train seemed like a perfect metaphor for the marketing industry. Clients come to us with their plain white boxes. Then the creative people go to work. We add stylish stickers to the product. We create logos and invent brands. We stage photo shoots where, if we put the camera in just the right spot, we can make the white boxes look like luxury goods.

  • 3440x1440 et 144Hz chez AU Optronics cette année
    http://www.comptoir-hardware.com/actus/peripheriques/30743-3440x1440-et-144hz-chez-au-optronics-cette-annee.html

    Une grosse dalle, c’est sacré ! On a vu ce qu’elle devenait quand on la dépassait avec Indiana. Hier on vous donnait quelques infos sur les projets 2016 de Samsung, cette fois on va passer du côté fabricant... [Tout lire]

    #Périphériques

  • Actualité > Voiture à #hydrogène : l’espoir venu d’une enzyme et d’un virus
    http://www.futura-sciences.com/magazines/matiere/infos/actu/d/chimie-voiture-hydrogene-espoir-venu-enzyme-virus-61113

    Une enzyme modifiée et protégée par la capside d’un virus bactérien, c’est le biomatériau que des chercheurs américains de l’université de l’Indiana (États-Unis) ont imaginé pour optimiser la production d’hydrogène par électrolyse de l’eau. Selon l’étude qu’ils viennent de publier dans la revue Nature Chemistry, cette nouvelle forme de catalyseur serait 150 fois plus efficace que la forme classique. Des travaux qui pourraient se révéler d’une importance majeure dans le cadre de la production économique de #carburants propres et bons marchés pour les véhicules du futur.

    • Ah super, la voiture à hydrogène, ça ne fait que quarante ans que sa mise en place est repoussée, un futur sans futur, ça va être sympa. Elle nous aurait évité le dérèglement climatique et les guerres du pétrole comme tous ces tarés sanguinaires qui nous dirigent. Mais commerce oblige, ce ne sera que pour l’an 3000, promis, on pourra se déplacer plus #écologiquement d’une zone désertifiée et interdite à une autre.

    • La technologie n’apporte pas de solutions. Comme technicien je réalise des solutions et aide à leur réalisation. Mas ce qu’on fait actuellement c’est l’auto-hypnose devant une réalité trop désespérante. Le plus profondément on se rend dans les rêveries, le plus on perd le sens de la réalité. Autrefois on a pris des tranquillisants, aujourd’hui on écoute les experts.
      #bullshit

  • New Indiana Bill Aims To Fine Trans People For Using The ’Wrong’ Bathroom

    http://www.huffingtonpost.com/entry/trans-bathroom-bill-indiana_568acaf3e4b06fa68883138d?ncid=tweetlnkus

    A new bill introduced in Indiana late last year would fine and imprison transgender people who use public restrooms and locker rooms that don’t match the gender listed on their birth certificate.

    Chris Paulsen, the campaign manager for Freedom Indiana, explained to HuffPost Live’s Alyona Minkovski on Monday that the bill would force trans people to prove their chromosomes before being allowed access to a bathroom.

  • Au Kenya, l’énigme des premiers outils

    http://www.lemonde.fr/sciences/article/2016/01/04/au-kenya-l-enigme-des-premiers-outils_4841519_1650684.html

    Sammy Lokorodi trace des signes dans la terre. Les yeux rivés au sol, il rejoue la scène. «   Vous voyez, on était là, on cherchait. Et puis, on les a vus.   » Le Kényan de 38  ans, originaire de la région du Turkana, dans le nord-ouest du pays, ouvre grand les yeux. «   Si vous n’avez pas l’œil, si vous ne les connaissez pas, vous ne les voyez pas   », s’amuse-t-il. Il enchaîne  : «   On a appelé le reste de l’équipe… On leur a dit   : “Venez, venez, venez  !” Ces pierres-là, elles n’étaient pas comme les autres.  » Sammy rigole. Ce jour-là, il avait trouvé les plus vieux outils de l’histoire de l’humanité.

    Désormais évaluée à 3,3 millions d’années, l’invention de la technologie a été repoussée 700 000  ans en arrière. La découverte ne doit rien au hasard   : elle est le résultat d’une bien longue aventure. Sammy Lokorodi, avec ses longues chaussettes blanches bien remontées le long des mollets, n’en est pas à ses premières prospections. Depuis dix ans, il est l’un des meilleurs «   prospecteurs  » de l’équipe de Sonia Harmand, archéologue à l’origine de la découverte, à la tête de la mission préhistorique française au Kenya, financée depuis 1994 par le ministère français des affaires étrangères, qui fouille ­chaque année sur la rive occidentale du lac Turkana.

    Le Turkana  : berceau et Far West de l’humanité. Lodwar, capitale de la région, avec ses rues agitées, ses armes bon marché, ses petites maisons sans étages et sa piste d’atterrissage cabossée, a tout du western.(...)

    On s’éloigne de la ville, on croise les derniers poteaux électriques, les derniers restes d’asphalte, les dernières antennes paraboliques. De jeunes bergers fouettent leurs chèvres, observent à distance des troupeaux de dromadaires sauvages. Des groupes de femmes en tuniques colorées, une trentaine de colliers autour du cou, marchent dans le désert, canne à la main et petit tabouret de bois porté sous l’aisselle. La vision est irréelle, hors du temps. Le « berceau » de l’humanité n’est pas très loin du bout du monde. A plus de 1 000 kilomètres et quatre jours de route de l’océan, la seule fraîcheur vient du lac Turkana, bijou du Grand Rift, « mer de jade » qui s’étale du nord au sud, sur 300 kilomètres de long et une trentaine de large, alimenté par les lagas, rivières éphémères et redoutables, gonflées par les orages d’altitude.

    C’est en amont de ces cours d’eau que l’on trouve les sites archéologiques. « Ne marchez pas n’importe où : vous risquez de détruire des preuves ! », prévient Sonia Harmand. En cette fin novembre, l’archéologue emmène un groupe d’étudiants à Lomekwi 3, où ont été retrouvés les outils. Les jeunes gens la suivent en file indienne, bien disciplinés. Au sol, s’étale un tapis surnaturel de fossiles de poissons et d’hippopotames préhistoriques, d’éclats brisés et d’outils taillés vieux de plus de 3 millions d’années. L’homme est là, partout.
    Pas loin, un monolithe couleur de boue célèbre le « Turkana Boy », jeune homme vieux de 1,5 million d’années, dont le squelette a été découvert derrière une petite colline effondrée. Malgré l’éloignement, on ne se sent jamais seul très longtemps au Turkana.

    « Rock Star »

    A 41 ans, dont dix-sept à fouiller le Rift, Sonia Harmand, chercheuse au CNRS et enseignante à l’université américaine de Stony Brook (New York) avec le Turkana Basin Institute, cumule les surnoms, les égrène avec plaisir. « Rock Star » depuis sa découverte, ou encore « Indiana Jones sans le fouet », elle est aussi « mama » pour les Turkanas, qui la considèrent comme faisant partie de la famille. Chef du « village gaulois » ou du « French camp », elle mène chaque année, au mois de juillet, une équipe d’une trentaine de chercheurs et de fouilleurs franco-américano-kényans sur les routes du Turkana.

    La passion du Rift, elle l’a au cœur depuis sa première visite au Kenya, à l’âge de 18 ans. « Mes parents m’avaient offert un voyage au Kenya. A l’époque, je lisais tous les aventuriers africains, Kessel, Monfreid, et les autres. » Après quelques jours de safaris, elle fait face à la faille du Grand Rift. « Ça a été un vrai choc émotionnel. J’avais impression que ce paysage m’était familier. Il y avait quelque chose de mystique dans ce que j’ai ressenti ce jour-là. »
    La jeune femme s’oriente vers l’archéologie. Parcours cinq étoiles : Sonia Harmand réalise sa première fouille à Tautavel (Pyrénées-Orientales), gratte le sol pas loin de Palmyre, en Syrie (où elle croise la route de l’archéologue Khaled Assaad, qui sera assassiné le 18 août 2015 par l’organisation Etat islamique). Mais son cœur reste fidèle au Rift, où elle débarque en 1998, dans les pas de l’archéologue Hélène Roche.

    Sonia Harmand reprend en 2011 la direction de la mission préhistorique au Kenya et décide immédiatement d’orienter les recherches vers des zones plus anciennes. Les réticences sont nombreuses. Mais l’archéologue est obstinée. Le 9 juillet 2011, elle part avec son équipe à l’assaut du Turkana. « On avait les cartes à la main, raconte-t-elle. Mais on a pris un mauvais tournant, et on s’est un peu perdus. » Le petit groupe monte sur une colline, cherche des yeux la direction du lac.
    « Et là, on a vu le site. » L’endroit est sublime : un cirque bouillonnant et minéral, aux mille nuances d’ocre et de brun. « C’était un endroit différent. On savait qu’on marchait sur des sols très anciens. On s’est dit tout de suite qu’on pourrait peut-être trouver quelque chose. »

    Lomekwi 3 comme un champ de tulipes

    L’exploration commence. La quinzaine d’archéologues et de fouilleurs marche en ligne, les yeux rivés au sol. Les minutes passent. Les groupes s’éloignent, se perdent de vue. « Et puis, soudain, j’ai entendu mon talkie-walkie grésiller, se souvient Sonia Harmand, C’était un membre de l’équipe qui m’appelait. Sammy avait trouvé quelque chose. J’ai marché dix minutes. J’ai senti que mon pas s’accélérait. »

    Au sol, les « cailloux ». La « peau » ne trompe pas : beige clair, gris pâle. « On voyait bien que ces roches n’étaient pas restées très longtemps en surface, qu’elles n’avaient pas été polies par les vents et le sable, raconte Sonia Harmand. J’ai vu les cicatrices sur les pierres, les éclats retirés délibérément : il n’y avait aucun doute. » L’équipe se regroupe, plante au sol des dizaines de petits drapeaux colorés rouges et orangés, signalant la présence d’outils ou de fossiles. « C’était comme un petit champ de tulipes. » Lomekwi 3 est né.

    Débute alors un long travail. Il n’y a pas le droit à l’erreur : sept géologues se succèdent sur le site afin de dater les outils. « Quand on travaille sur une période si ancienne, on ne peut pas faire usage du carbone 14, explique Xavier Boes, l’un des géologues de l’équipe. Il a fallu se fonder sur l’analyse stratigraphique des tufs – des roches volcaniques projetées lors des éruptions – trouvés à proximité des sites et dont on connaît l’âge radiométrique. Mais tout ça prend du temps : il faut marcher depuis l’endroit où l’on trouve les tufs jusqu’au site, compter les couches sédimentaires successives. » La publication de l’article dans Nature prendra quatre ans. Sur la couverture : deux mains, deux roches et un titre : « L’aube de la technologie ».

    Retour en arrière : moins 3,3 millions d’années. Le site de Lomekwi est alors au cœur d’une forêt galerie, faite de buissons et d’arbres de faible hauteur. Un premier grand lac vient à peine de se retirer. Mais déjà, de petits groupes d’hominidés s’activent le long des cours d’eau. « On sait très peu de chose sur eux, explique Jason Lewis, paléontologue et codirecteur du projet. On était dans une phase bipède, on ne marchait probablement pas trop mal. Les hominidés de cette époque devaient faire entre 1 mètre et 1,50 mètre. » Le visage était très proche de celui des grands singes, mais la taille des canines et de la mâchoire déjà réduite. « La capacité manuelle des hominidés était plus importante que pour le chimpanzé. Le pouce était plus long et détaché : ils pouvaient faire le salut du scout ! »

    Cent vingt pierres taillées ont été retrouvées à Lomekwi 3. Pour fabriquer les objets, deux techniques ont été employées : celle du percuteur dormant, où le bloc à tailler (dit « nucleus ») est frappé sur une enclume de pierre, afin de le faire exploser et de créer des éclats tranchants ; et celle de la percussion bipolaire sur enclume, plus élaborée, où l’on frappe avec une première pierre sur une seconde, elle-même posée sur une troisième. Les pierres retrouvées à Lomekwi 3 sont grosses. « On les appelle les “pavetons” », s’amuse Sonia Harmand. Les hominidés de l’époque n’avaient en effet probablement pas encore les capacités pour tailler des pierres de petite taille, comme on en trouve sur des sites plus « récents », tels les galets oldowayens, vieux de 2,6 millions d’années.

    Percussion bipolaire

    Mais attention : si les deux techniques sont « simples, elles ne sont pas primitives ! », insiste Sonia Harmand. La percussion bipolaire nécessite en effet une désynchronisation des deux bras et donc une capacité cognitive développée. « Lomekwi n’est pas le fruit du hasard. Pour détacher les éclats, il fallait une connaissance des angles, une maîtrise de sa propre force. Les roches ont été sélectionnées. Il y a eu un apprentissage, une transmission de la fabrication. Enfin, nos ancêtres ont fabriqué des éclats tranchants en grande quantité. Il y avait un contrôle de la production. »

    La découverte pose des défis majeurs à la paléontologie. En effet, à – 3,3 millions d’années, on n’a découvert jusqu’à présent aucun représentant du genre Homo, dont nous, Homo sapiens, l’homme moderne, sommes issus. Les restes des premiers Homo datent en effet (au mieux) de 2,8 millions d’années : 500 000 ans trop court pour les outils de Lomekwi.

    L’invention de l’outil, premier acte technologique et culturel de l’histoire, ne serait donc pas de notre fait. La découverte est vertigineuse et mettrait fin au sacro-saint Homo faber, cher à Bergson, où l’outil fait l’homme, par opposition à l’animal. « Nous devons nous redéfinir, explique Jason Lewis. Soit nous acceptons que nous faisons partie d’un ensemble plus vaste et que nous partageons la technologie avec l’animal, car les outils ont probablement été inventés par des espèces plus proches de l’ancêtre commun avec le singe. Soit on est exclusif, et on se dit que la spécificité de l’homme ne repose pas sur les outils. Peut-être davantage sur la maîtrise du feu... »

    A Lomekwi, les paléontologues du Turkana ont trois suspects. Deux australo-pithèques : Australopithecus afarensis (mieux connu du grand public sous le nom de « Lucy », découverte en Ethiopie) et Australopithecus deyiremeda (qui vivait dans la région entre 4,1 et 3 millions d’années). Le troisième candidat est plus sérieux, mais ne fait pas l’unanimité. Il s’agit de Kenyanthropus platyops, découvert en 1999 au Turkana, et dont des restes ont été retrouvés non loin du site, mais dont l’existence comme genre à part est contestée par de nombreux scientifiques.

    « Australopithecus habilis »

    Faut-il aussi débaptiser le pauvre Homo habilis, qui perd à Lomekwi son statut d’inventeur de l’outil, et donc d’« habile » ? « En fait, on pourrait même retirer Homo, explique Jason Lewis. Les récentes recherches sur le squelette et le crâne d’Homo habilis montrent qu’il est un melting-pot de différentes espèces, on trouve dans son crâne des caractéristiques d’Homo, mais aussi d’australopithèque et de chimpanzé. On pourrait même l’appeler Australopithecus habilis... »
    L’homme vient du flou, sa généalogie est embrouillée, ses origines en suspens. Quel lien entre australopithèque et Homo ? Plusieurs espèces vivaient-elles à la même période au même endroit ? Se sont-elles influencées pour l’invention des premiers outils ? La mission préhistorique tente aujourd’hui d’approfondir sa découverte. Des études tracéologiques sont en cours, traquant la présence de résidus de sang ou de végétaux sur les « pavetons » lomekwiens afin d’en déterminer l’usage. « Pour comprendre ces outils, il faut aussi les refaire », ajoute Sonia Harmand. Elle et son équipe ont collecté pour 700 kg de roches près du site et tenté en 2013 et 2014, avec succès, de récréer les outils.

    Le Turkana, il faudra y revenir. « Rappelons-nous que toutes nos conclusions ne reposent que sur un seul site ! », insiste Sonia Harmand. Seule une petite partie de Lomekwi a été excavée, d’autres sites sont à explorer. Sonia Harmand tourne aujourd’hui son regard vers les chaînes basaltiques du Turkana, plus à l’est : « Toute cette région est totalement inexplorée... », souffle l’archéologue. Sisyphe du Turkana, elle sait que les outils de Lomekwi sont déjà bien trop élaborés et sophistiqués. S’ils sont les plus anciens jamais découverts, ils ne sont certainement pas les premiers. « Les tout premiers, ils seront sûrement trop proches d’un simple caillou. Ils seront très difficiles à reconnaître. On ne les retrouvera probablement jamais. »

  • Dispossessed in the Land of Dreams
    https://newrepublic.com/article/124476/dispossessed-land-dreams

    It’s a new chapter in an old story. In his seminal 1893 lecture at the Chicago World’s Fair, Frederick Jackson Turner summarized the myth of the American frontier and the waves of settlers who created it as an early form of #gentrification: First, farmers looking for land would find a remote spot of wilderness to tame; once they succeeded, more men and women would arrive to turn each new spot into a town; finally, outside investors would swoop in, pushing out the frontiersman and leaving him to pack up and start all over again. It has always been thus in America. Turner quoted from a guide published in 1837 for migrants headed for the Western frontiers of Ohio, Indiana, and Wisconsin: “Another wave rolls on. The men of capital and enterprise come. The ‘settler’ is ready to sell out and take the advantage of the rise of property, push farther into the interior, and become himself a man of capital and enterprise in turn.” This repeating cycle, Turner argued, of movement and resettlement was essential to the American character. But he foresaw a looming crisis. “The American energy will continually demand a wider field for its exercise,” he wrote. “But never again will such gifts of free land offer themselves.” In other words, we would run out of places for the displaced to go.

    #Etats-Unis #mythe

  • Je viens encore de vérifier que j’étais trop vieux. Trop vieux pour avoir de l’intérêt pour cette histoire de « Back to the Future Day » : les histoires de hoverboard et de chaussures qui se ferment toutes seules, c’est dans l’épisode 2, qui est sorti en 1989. J’avais 19 ans, et sans trop vouloir faire mon péteux (mais un peu quand même), ça faisait déjà un moment que je n’avais plus trop d’intérêt pour les gros blockbusters pour ados américains.

    Par exemple, à cette époque, il y avait le Décalogue de Kieślowski.

    En revanche, j’étais assez clairement dans le cœur de cible du premier épisode de Back to the Future, sorti en 1985. Là j’avais 15 ans. Mais ça ne m’a déjà pas trop marqué (ah si : je viens de me souvenir que c’était vendu avec Huey Lewis et The Power of Love, dont la meilleure référence est dans American Psycho). Ce dont je me souviens clairement de cette période, c’est que je commençais à ne plus supporter les films de Spielberg et ses copains. Peut-être parce que, bon, à 15 ans on commence à avoir des opinions (pour ou contre Mitterand, déjà, ça t’occupe…) ; mais bien plus parce que j’avais lu un article expliquant les méthodes « scientifiques » mises au point par Spielberg pour tester les scénarios et le montage, notamment, avec un système élaboré de projections privées avec capteurs et enregistrements des réactions des spectateurs. Et qu’à ce moment, le cinéma commercial devient de plus en plus formaté, avec toujours les mêmes trucs et astuces, et que ça commence à beaucoup se voir.

    Par exemple, le petit garçon (Jonathan Ke Quan) dans Indiana Jones 2 sorti en 1984, ça m’avait sérieusement hérissé. Pareil avec les petits Ewoks dans le troisième StarWar (1983), qui deviennent la figure principale des produits dérivés dans les années suivantes (L’aventure des Ewoks, 85, La Bataille d’Endor, 1985, puis la série animée jusqu’en 87). Y’en a des caisses à l’époque (Stallone, Cameron…). En France, ça met un peu de temps à arriver, mais le montage frénétique, les gags et les situations écrites selon le dictionnaire officiel des costards-cravates, c’est ultra-visible avec Les visiteurs (1993) et, disons, tout Besson dans les années 90.

    C’est l’époque où, progressivement donc, mon goût va de plus en plus vers le cinéma commercial des années 70 (puis vers le cinéma d’exploitation et de genre quelques années encore plus tard).

    En fait, je n’ai jamais réussi à retrouver d’article décrivant cette systématisation des projections-test et les méthodes de Spielberg. Dis-moi Seenthis, toi tu arriverais à retrouver des choses là-dessus ?

  • Lara mixe les compétences d’Indiana Jones et Rico Rodriguez, subit les gags de Pierre Richard !
    http://www.comptoir-hardware.com/actus/jeux-video/29755-lara-mixe-les-competences-de-batman-et-rico-rodriguez-subit

    Le prochain Tomb Raider doit arriver dans un moi set demi sur XBox One, et début 2016 sur PC. Certes la Raymonde axe sa communication autour de la version console, mais nous attendrons sagement de quoi abreuver notre PC des exploits de Lara... [Tout lire]

    #Jeux_vidéo

  • Wave of TV Ads Opposing #Iran Deal Organized By Saudi Arabian Lobbyist
    https://firstlook.org/theintercept/2015/08/20/wave-anti-iran-deal-tv-ads-organized-saudi-arabian-lobbyist

    Television stations across the country are being flooded with $6 million of advertisements from a group called the “American Security Initiative” urging citizens to call their U.S. Senators and oppose the nuclear deal with Iran.

    Though the American Security Initiative does not reveal donor information, the president of the new group, former Sen. Norm Coleman, R-Minn., is a registered lobbyist for Saudi Arabia. Coleman’s firm, Hogan Lovells, is on retainer to the Saudi Arabian monarchy for $60,000 a month. In July 2014, Coleman described his work as “providing legal services to the Royal Embassy of Saudi Arabia” on issues including “legal and policy developments involving Iran and limiting Iranian nuclear capability.”

    The co-chairs of the American Security Initiative include former Sen. Joe Lieberman, I-Conn., former Sen. Evan Bayh, D-Ind., and former Sen. Saxby Chambliss, R-Ga. Chambliss works at DLA Piper, another #lobbying firm retained to influence U.S. policy on behalf of the Royal Embassy of Saudi Arabia.

    #Etats-Unis #Arabie_Saoudite #Saoud

  • Une plante à fleur datant de 125 à 130 millions d’années identifiée - Libération
    http://www.liberation.fr/sciences/2015/08/17/une-plante-a-fleur-datant-de-125-a-130-millions-d-annees-identifiee_13650

    Des #paléobotanistes américains et européens ont identifié l’une des plus vieilles plantes à fleur, voire peut-être la plus ancienne, datant de 125 à 130 millions d’années, selon leurs travaux publiés lundi. Les résultats de cette nouvelle analyse de fossiles de cette plante aquatique, appelée #Montsechia_vidalii, paraissent dans les Comptes-rendus de l’Académie américaine des sciences (PNAS).

    Selon les chercheurs, cela représente un changement important dans la morphologie de l’une des plus anciennes #plantes_à_fleurs, appelées #angiospermes, par rapport à ce qu’imaginaient les scientifiques jusqu’alors.

    Contemporaine des brachiosaures

    Montsechia vidalii poussait abondamment dans des lacs d’eau douce qui se trouvaient dans ce qui sont aujourd’hui des régions montagneuses en Espagne. Des restes fossilisés de cette plante disparue ont été tout d’abord découverts il y a plus d’un siècle dans des dépôts limoneux de la chaîne Ibérique dans le centre de l’Espagne et dans les Pyrénées près de la frontière française. « Basé sur cette nouvelle analyse, on peut déduire que Montsechia vidalii était au moins contemporaine si non plus ancienne que Archaefructus sinensis », une plante à fleurs dont des fossiles ont été mis au jour en Chine, considérée jusqu’à présent comme la plus ancienne, relève David Dilcher, un paléobotaniste de l’Université d’Indiana.

    #botanique #fossiles

  • 100,000-cow-power dairy farm in China to feed Russian market|William Hennelly|chinadaily.com.cn
    http://usa.chinadaily.com.cn/opinion/2015-07/09/content_21229700.htm

    A 100,000-cow dairy farm is being constructed in Northeast China to supply the Russian market with milk and cheese, in what can be construed as agricultural geopolitics.

    Russia has extended an import ban of most agricultural products from the United States, Canada, Europe, Australia and Norway until August 2016, in retaliation for recently renewed Western economic sanctions over Russia’s military moves in Ukraine and Crimea.

    The new dairy site is in Mudanjiang City, Heilongjiang province, Zhang Chuntszyao, chairman of the Association of Applied Economics of Heilongjiang province told Interfax on Monday.
    Russia’s ban was originally scheduled to expire in August, but was extended in late June in response to the renewal of Western sanctionsthrough January.

    It will be the world’s largest dairy farm and will be funded with 1 billion yuan ($161 million) from Russian and Chinese investors. China’s Zhongding Dairy Farming and Russia’s Severny Bur will work together on the project.

    China already is home to the world’s largest dairy operation, a 40,000-cow unit of the Maanshan, Anhui province-based China Modern Dairy Holdings Ltd, which operates 24 farms throughout the mainland.
    The largest US dairy farm is in Fair Oaks, Indiana, where 30,000 cows ply their trade.

    Earlier this month, China’s Huae Sinban Co signed an agreement to lease 115,000 hectares (284,000 acres) in Russia’s Transbaikal region for feedstock, according to state-run Russia Today. The company is expected to invest about $450 million in the project over the next half century. Huae Sinban plans to lease up to 200,000 hectares in Russia if the first stage of the project from 2015-2018 works out.

    Mansel Raymond, chairman of the Milk Working Party Copa-Cogeca, an organization representing European agricultural groups, said the ban and the Sino-Russian dairy venture are a concern for EU dairy farmers.
    The scale of Chinese investment in dairy production is vast,” Raymond told UK-based Farmers Weekly. "I wonder now whether we will ever get the Russian milk market back.
    "Building a 100,000-cow dairy farm is simply mind-boggling. If the project goes ahead and the 100,000 head represents milking cows, this unit alone could produce 800 million liters a year (about 200 million gallons).
    In that case, it would equate to 100,000 tons of cheese – and that would mean this unit alone could produce about 30 percent of our previous exports to Russia,” Raymond added.

  • Here’s A Colossally Bad Idea From Congress About How To Fund Science
    http://www.forbes.com/sites/stevensalzberg/2015/07/27/heres-a-colossally-bad-idea-from-congress-about-how-to-fund-science

    This month, two U.S. Congressmen have come up with the idea to offer prizes rather than grants for scientific research. They were inspired, according to a story in Science magazine, by DARPA’s prize competitions for robotic vehicle design, as well as the private XPRIZE competition.

    Now Congress wants the National Institutes of Health to give out prizes for biomedical research. They’ve tucked this idea into the 21st Century Cures Act, a bill funding the NIH and FDA that was passed by the House of Representatives on July 10. Congressman Todd Young of Indiana and Andy Harris of Maryland amended the bill to require NIH to create a new prize competition.

  • How Azerbaijan Manipulates Public Opinion in the US
    https://www.occrp.org/freekhadijaismayilova/stories/how-azerbaijan-manipulates-public-opinion-in-the-US.php

    To see how foreign interests distort reality to steer political debate and influence American foreign policy, look no further than a Dec. 5, 2012, meeting in the US Congress chaired by then-Rep. Dan Burton, R-Indiana.

    The meeting was of the House subcommittee on Europe and Eurasia, and the star witness was Brenda Shaffer, a Ph.D. specialist on the Caucasus and former research director of Harvard’s Caspian Studies Program.

    Burton introduced her as “the prettiest gal at the table.” And she, in turn, proceeded to warn assembled lawmakers that Iran was destabilizing pro-Western countries in that region, particularly its small but oil-rich neighbor, Azerbaijan.

    But Burton and Shaffer both had ties to Azerbaijan they did not tell the committee about.

    Shortly after this hearing was held, Burton resigned from the House and started a new job as chairman of the board of the Azerbaijan America Alliance, a lobby group promoting closer ties between the countries and apparently funded by a family close to the president of Azerbaijan.

    Shaffer continued to praise Azerbaijan in other Congressional appearances, in numerous editorials and news articles, and in work with US think tanks.

    Documents filed with the Department of Justice under the Foreign Agents Registration Act (FARA) less than two months before her 2012 testimony show that The DCI Group, a lobbying firm then under contract with Azerbaijan’s embassy in Washington, briefed her before her committee appearance. The firm is noted for pushing out its clients’ messages via seemingly neutral and independent third parties in a quest to “dominate the entire intellectual environment in which officials make policy decisions”.

    This more subtle approach to influencing lawmakers builds on more traditional methods, such as the all-expense-paid trip to Baku in 2013 for 10 members of Congress and 32 staff members revealed by the Washington Post.

    But the goal is the same: DCI specifically identifies legislators as a target group for “informational materials” about Azerbaijan in its Foreign Agents filings.

    The DCI Group’s contract with the embassy spelled out how for US$ 20,000 a month it could craft and place op-eds in major online and traditional news outlets, develop a core group of think tanks for outreach, and “define new topics for positive engagement that parallel Azerbaijan’s strategic goals”.

    Call it idea laundering.

  • Aral Balkan — Schnail Mail : free real mail for life !
    http://www.schnailmail.com

    To know the schnail is to love the schnail.

    How would you like to send free snail mail for life?

    Starting today, you can do just that with Schnail Mail.

    Use Schnail Mail to send as many real letters and postcards as you want. Absolutely free. For life.


    https://aralbalkan.com/notes/schnail-mail-free-real-mail-for-life

    Ind.ie — Declaration
    https://ind.ie/about

    And here’s the problem. If you want the problem at its core, this is the problem: in order to share something with your friend, you shouldn’t also have to share it with a stranger. You should be able to share it directly with them. This is not a complicated problem, and it doesn’t require a complicated solution. And if anyone tells you it’s a complicated problem, they probably have a vested interested in it appearing to be complicated. If we can do this, then we can start people off in their own homes, not in the home of a known abuser. We can start them off somewhere that is safe, not start them off somewhere that’s unsafe and say, “Protect yourself”. And if we can do this, then we can build products that actually protect our human rights, that protect our fundamental freedoms, that protect democracy.

    Now this is the future I want to live in. This is the future that we must build. This is the future that humanity deserves.

    https://ind.ie/the-camera-panopticon/#transcript-en

    #surveillance #floss

  • Indiana pizza joint raises over $800K after backlash against owners’ anti-gay stance
    http://mashable.com/2015/04/05/memories-pizza-crowdfunding

    An Indiana pizzeria netted over $840,000 through fundraising site GoFundMe in just three days after a widespread furor over its owners’ anti-gay comments to a local TV station prompted it to shut down.

    Last week, Kevin and Crystal O’Connor, who own Memories Pizza in Walkerton, Indiana, told a local ABC-affiliate that they agreed with the state’s controversial Religious Freedom Restoration Act, and would refuse to cater a gay wedding.

    #lgbt #dicrimination #wtf #usa #religion

  • États-Unis : Un bébé de dix-huit mois dénoncé pour racisme
    http://www.brujitafr.fr/2015/04/etats-unis-un-bebe-de-dix-huit-mois-denonce-pour-racisme.html

    02/04/2015 – Indianapolis (NOVOpress) Aux États-Unis comme chez nous, la traque du « racisme » et sa criminalisation sont toujours plus précoces. Il n’est pas question d’attendre ne serait-ce que la maternelle. À la Chambre des représentants de l’État d’Indiana, la démocrate noire Vanessa Summers (au centre sur l’image en Une de la séance) est montée à la tribune, en tant que « femelle afro-américaine », pour dénoncer son collègue républicain Jud McMillin et le fils de celui-ci, âgé de … dix-huit mois.

    « J’ai dit à Jud McMillin que j’aimais son fils mais qu’il avait peur de moi à cause de ma couleur, et c’est horrible. C’est vrai. Je lui demande : “Présentez votre enfant à des personnes de couleur, pour qu’il ne soit pas plein de préjugés toute sa vie”. »

    La vidéo de cette déclaration n’est plus en ligne (...)

  • Boy, 8, calls newspaper “idiots, jerks, [and] shitholes” for killing his favorite comics - Boing Boing
    http://boingboing.net/2015/03/02/boy-8-calls-newspaper-idi.html

    An 8-year-old in Bloomington, Indiana telephoned the editor of the Herald-Times on Sunday, after discovering that the newspaper had swapped out 13 comics in the color-comic section. Some of those terminated comics were his favorites. It ruined his day, and he let the editor of the paper know very clearly how he felt. The voicemail he left for Bob Zaltsberg is below.

  • Lundi matin
    http://lundi.am

    De Ferguson à Oakland
    Un habitant d’Oakland raconte 17 jours d’émeutes et de révolte contre la police dans la baie de San Francisco.
    http://lundi.am/spip.php?article18

    Hacker ouvert
    Deux lecteurs de Lundi Matin ont rencontré Jimmy T, un jeune hacker de Bloomington, Indiana. Une contribution à la géographie des forces en présence.
    http://lundi.am/spip.php?article14

    La police s’interroge
    Armés de lasers, 200 zurichois tentent de détruire leur ville (et ses
    arbres). « À première vue, il n’y a aucun motif apparent. »
    http://lundi.am/spip.php?article17

    Qu’est-ce que l’économie ?
    Épisode 2. Parce qu’il s’agit de migrer hors du monde de l’économie.
    http://lundi.am/spip.php?article15

    Metropolis (2012)
    Épisodes 3-4
    http://lundi.am/spip.php?article16

    Adversus Lordonum
    Une chanson populaire à propos de Frédéric Lordon
    http://lundi.am/spip.php?article19

    beau site #SPIP initialement signalé par @ari (#merci)

  • Digital Archive No. 5–African Sources of Knowledge Digital Library
    http://africasacountry.com/digital-archive-no-5-african-sources-of-knowledge-digital-library

    Two weeks ago, I attended the African Studies Association Annual Meeting in Indianapolis, Indiana. As Sean mentioned in a previous post, a bunch of folks from #AFRICA_IS_A_COUNTRY.....

    #THE_DIGITAL_ARCHIVE #ASK-DL #TECH/WEB

  • #Weekend_Special, No 1002
    http://africasacountry.com/weekend-special-no-1002

    A bunch of us went to the #African_Studies_Association’s annual meeting in Indianapolis, Indiana. This is the world’s largest gathering of Africanists. Much transpired. The problems with conferences this large is you can’t cover everything. We made notes and hopefully we’ve found new contributors. For a general sense of what transpired, the tweets of […]

    #UNCATEGORIZED

  • Weekend Edition, No 1002
    http://africasacountry.com/weekend-edition-no-1002

    A bunch of us went to the #African_Studies_Association’s annual meeting in Indianapolis, Indiana. This is the world’s largest gathering of Africanists. Much transpired. The problems with conferences this large is you can’t cover everything. We made notes and hopefully we’ve found new contributors. For a general sense of what transpired, the tweets of […]

    #UNCATEGORIZED #Weekend_Special

  • Élèves de milieux défavorisés : « assieds-toi et tais-toi » (LaPresse.ca)
    http://www.lapresse.ca/vivre/societe/201410/24/01-4812384-eleves-de-milieux-defavorises-assieds-toi-et-tais-toi.php

    Les parents issus de milieux défavorisés contribuent au maintien des inégalités sociales dans les salles de classe en apprenant à leurs enfants à ne pas poser de questions et à se débrouiller par eux-mêmes, constate une sociologue de l’Université de l’Indiana dans une étude

    #éducation #école #inégalités #relations_école_famille #relations_élèves_enseignants

  • Confirmed Polygraph Countermeasure Case Documentation | AntiPolygraph.org News
    https://antipolygraph.org/blog/2014/10/18/confirmed-polygraph-countermeasure-case-documentation

    The United States government is so worked up about polygraph countermeasures that it launched an ongoing criminal investigation dubbed Operation Lie Busters targeting individuals who teach others how to pass or beat polygraph examinations. An Indiana electrician named Chad Dixon who taught people how to pass the polygraph as a side job was sentenced to eight months in federal prison, and former police polygraphist Doug Williams, who operates the website Polygraph.com, was raided by federal agents who seized his customer records.

    #mensonge #sorcellerie_moderne #répression

  • Scientists are recording the sound of the whole planet | The Verge
    http://www.theverge.com/2014/8/28/6071399/scientists-are-recording-the-sound-of-the-whole-planet

    In a few weeks, sensors in Indiana will go online that will record, in the words of Bryan Pijanowski, every sound the Earth makes. The array of microphones, geophones, and barometric gauges will run for a year, taping everything from the songs of birds arriving in the spring to the vibrations of the continent as ocean waves pound the Atlantic and Pacific coasts. They will measure earthquakes on the other side of the world and the stomping of cattle nearby, the ultrasonic whistles of bats and the barometric drop of cold fronts. “I joke to my physicist friends that if I had a microphone small enough, I could record the Higgs boson,” Pijanowski says.

    Pijanowski is a soundscape ecologist, a term he coined three years ago to describe a new approach to studying sound. Rather than look at how, for example, a single species of frog calls for a mate, soundscape ecologists study how all the sounds in a space interact, from frog calls to car traffic to thunder. “There are what I call rhythms of nature, there are periodicities like the dawn chorus and certain crescendos during the seasons,” Pijanowski says, referring to the way birds burst into song at sunrise. He believes listening to these patterns can tell us important things about the state of the natural world.

    Earlier this year, Pijanowski launched the Global Soundscape Project, which is building a map of the world’s sounds using an app that turns phones into recorders. Occasionally he has an IMAX crew in tow, part of a soundscape education program he’s filming. And every few months he convenes soundscape researchers for workshops, part of a grant from the National Science Foundation. He invites people from outside the sciences to participate. “When you look at arrangements of sound, working with musicians helps you to think about the orchestration of an ecosystem,” he explains.

    Lincoln Meadow 1988, Bernie Krause
    https://www.youtube.com/watch?v=Ps9-VhZ9gQM


    Lincoln Meadow 1989, Bernie Krause
    https://www.youtube.com/watch?v=7g9ncp2VJ-g

    https://www.globalsoundscapes.org/index.php
    #son #nature #vie #monde #cartographie ça devrait intéresser @intempestive et bien d’autres