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  • @aurelieng
    aurelieng @aurelieng via RSS CC BY 3/11/2025

    Whose #bias gets coded? #psychology's role in decolonizing AI
    ▻https://www.frontiersin.org/journals/psychology/articles/10.3389/fpsyg.2025.1657227/full

    — Permalink

    #cognition #artificialintelligence #WEIRD #inequities #culture #pluralism #imperialism #domination #decolonization #colonization

    aurelieng @aurelieng via RSS CC BY
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  • @colporteur
    colporteur @colporteur CC BY-NC-SA 2/11/2025
    3
    @sombre
    @mfmb
    @vazi
    3

    En finir avec la psychothérapie institutionnelle : l’ARS a notifié aux cliniques La Borde et La Chesnaie le non-renouvellement de leur autorisation d’activité de psychiatrie.
    ▻https://www.facebook.com/groups/11092553599/posts/10162487251063600

    https://scontent-cdg4-1.xx.fbcdn.net/v/t39.30808-6/393392448_10159876722883284_6493689591714019286_n.jpg?stp=dst-jpg_tt6&cstp=mx640x425&ctp=s640x425&_nc_cat=104&ccb=1-7&_nc_sid=0b1479&_nc_ohc=KNY04fYwKLsQ7kNvwH6W_kc&_nc_oc=AdkN-pZDj5ruSTw3B4NKy-InlOkrkZwy8OYIIEVbJa61XkeisR5byI4IarMvhY0C2hfNu_uBdMtABaXpMsVQWjTs&_nc_zt=23&_nc_ht=scontent-cdg4-1.xx&_nc_gid=OBWC8hra6mU0etKhkHEFzw&oh=00_AfgOLtSv-sB2OzofFi87a0ngi7Ih-kJigehvqRhBOc6P7w&oe=690D023C

    Article de la lettre pro ARS du 17 octobre 2025 :
    #Psychiatrie institutionnelle : l’ARS accompagne la transformation des cliniques #La_Borde et #la_Chesnaie (41)

    (...) La réforme nationale de 2022 redéfinit les activités de psychiatrie pour mieux répondre aux besoins actuels des personnes : développer les soins ambulatoires, renforcer les liens avec le #médico-social, et réduire les #hospitalisations prolongées lorsque celles-ci ne relèvent plus d’un besoin de soins psychiatriques à proprement parler.

    C’est dans ce contexte que l’#ARS Centre-Val de Loire a notifié aux cliniques La Borde et La Chesnaie le non-renouvellement de leur autorisation d’activité de psychiatrie. Cette décision ne remet pas en cause la qualité de leur travail ni la richesse de leur approche, mais traduit un constat partagé : une grande part des personnes aujourd’hui accueillies dans ces établissements relèvent davantage d’un accompagnement médico-social que d’une hospitalisation psychiatrique au sens défini par la réglementation la plus récente. Leurs besoins portent principalement sur la vie quotidienne, le soutien à l’autonomie et l’inclusion sociale, plutôt que sur des #soins intensifs à visée thérapeutique hospitalière.

    Afin d’accompagner cette évolution, l’ARS a engagé depuis avril 2024 une démarche de co-construction avec les deux cliniques pour analyser précisément les profils et les besoins des personnes accueillies. Cette étude, conduite en lien avec les équipes, consiste à réaliser une analyse approfondie des situations individuelles à un instant donné — ce que l’on appelle une “coupe”, sorte de “carottage” [excellent usage du vocabulaire disponible] — pour identifier les besoins réels en soins et en accompagnement. Elle permettra de déterminer combien de places médico-sociales nouvelles devront être créées sur le territoire, et dans quelles formes d’accompagnement (résidences spécialisées, dispositifs renforcés à domicile, etc.). Cette transformation, ambitieuse mais nécessaire, vise à adapter l’#offre_de_soins et d’accompagnement aux besoins actuels des usagers, dans un esprit de continuité et d’humanité. Elle se construit dans un dialogue régulier entre les équipes des établissements et celles de l’ARS, avec l’appui d’un prestataire expert en santé mentale. Un accompagnement réglementaire et financier est également mis en place pour sécuriser la transition, soutenir les équipes et garantir la qualité de l’accompagnement pendant toute la période de transformation. L’ARS tient à saluer la contribution historique de La Borde et de La Chesnaie à la psychiatrie française [et blablabla]

    Si il n’y a ni contention, ni un niveau suffisant selon les experts d’administration médicamenteuse par injection (les #soins_intensifs), ce n’est pas une hospitalisation psychiatrique.

    #réforme #management #expert #institution #fous #folie

    colporteur @colporteur CC BY-NC-SA
    • @colporteur
      colporteur @colporteur CC BY-NC-SA 2/11/2025

      En juillet dernier, une beau reportage, avec des photos qui rendent compte du lieu, par Charlotte Perry, Antoine Chao - Contre vents
      La Borde : là où les fous sont rois
      ▻https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/contre-vents/contre-vents-du-samedi-26-juillet-2025-9537136

      Haut lieu de la psychothérapie institutionnelle, la clinique psychiatrique de La Borde, près de Blois (Loir-et-Cher), continue à mettre en œuvre depuis plus de soixante-dix ans les principes d’une psychiatrie humaniste, malgré les pressions administratives et les politiques de santé actuelles.
      C’est une aventure hors-normes qui se poursuit à La Borde depuis plus de soixante-dix ans.

      Depuis qu’en avril 1953, le Dr Jean Oury, médecin psychiatre formé auprès du Dr François Tosquelles à l’hôpital psychiatrique de St Alban, en Lozère, y a posé ses valises accompagné d’une vingtaine de ses patients pour y mettre en œuvre les principes de ce que l’on appelle la psychothérapie institutionnelle. Une doctrine née au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale qui repose sur une vision humaniste de la prise en charge des malades mentaux.

      A La Borde, il n’y pas de quartiers d’isolement, pas de contention, pas de quartiers d’agités, mais une liberté de circulation totale. Il n’y a ni murs d’enceinte, ni barrières, les soignants - que l’on appelle ici des moniteurs - ne portent pas de blouses blanches et la vie sociale y est organisée par le Club thérapeutique, une instance indépendante à laquelle appartiennent tous les pensionnaires.

      #clinique_de_La_Borde

      colporteur @colporteur CC BY-NC-SA
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  • @aurelieng
    aurelieng @aurelieng via RSS CC BY 1/11/2025

    #transformation #leadership with knowledge sharing and employee career #growth: the role of self-efficacy and psychological capital
    ▻https://www.frontiersin.org/journals/psychology/articles/10.3389/fpsyg.2025.1624245/full

    — Permalink

    #transformationalleadership #management #knowledgesharing #careergrowth #selfefficacy #psychologicalcapital

    aurelieng @aurelieng via RSS CC BY
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  • @la_vie_des_idees
    La Vie des idées @la_vie_des_idees via RSS 29/10/2025
    2
    @colporteur
    @reka
    2

    Être soi en #Inde
    ▻https://laviedesidees.fr/Anne-Gagnant-Un-divan-a-Delhi

    En étudiant l’essor de la #psychanalyse à Delhi, Anne Gagnant montre comment celle-ci révèle autant qu’elle facilite l’émergence du sentiment individualiste parmi les classes urbaines privilégiées en Inde, emblématique de transformations sociales profondes.

    #International #individualisme #Double_Une

    La Vie des idées @la_vie_des_idees via RSS
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  • @aurelieng
    aurelieng @aurelieng via RSS CC BY 28/10/2025

    #effectiveness and therapeutic #alliance between face-to-face and #online psychological interventions. A longitudinal study
    ▻https://www.frontiersin.org/journals/psychology/articles/10.3389/fpsyg.2025.1624438/full

    — Permalink

    #therapy #psychology

    aurelieng @aurelieng via RSS CC BY
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  • @colporteur
    colporteur @colporteur CC BY-NC-SA 27/10/2025

    Une société en psychose : Le nouveau psychocapitalisme, Sara Tetzchner
    ►https://lundi.am/Une-societe-en-psychose-Le-nouveau-psychocapitalisme

    https://lundi.am/local/cache-gd2/27/f5ca28683826f25d2d3cc328e6dfb7.jpg?1760960292

    En médecine, la psychose s’explique comme un excès de dopamine, un esprit surexcité par ses propres signaux. Mais si le même déséquilibre s’appliquait à la culture ? Nous vivons dans une société saturée de dopamine.

    LA SOCIÉTÉ COMME STRUCTURE PSYCHOTIQUE

    Le « normal » n’est peut-être que celui qui partage la psychose du plus grand nombre. Si l’individu psychotique croit que le monde lui parle directement, notre époque semble marquée par le même mécanisme, mais à l’échelle collective. Jacques-Alain Miller parle de la psychose ordinaire, cette psychose devenue banale. Autrefois, la psychose représentait une rupture exceptionnelle dans le rapport du sujet à la réalité. Aujourd’hui, nous vivons dans un monde où tout parle, tout le temps : écrans, publicités, notifications, voix, algorithmes. Chaque message exige une réponse, chaque image appelle une réaction. Le monde extérieur est devenu un cri continu pour capter notre attention.

    Cette surcommunication ne produit pas plus de sens, mais moins. Quand tout doit signifier quelque chose, le sens lui-même perd son poids. Comme Narcisse, nous voyons notre reflet partout ; comme Écho, nous ne répondons que par répétition, un dialogue sans distance et sans silence. Le langage n’est plus un médium pour comprendre, mais un écho de lui-même, un miroir où l’homme cherche désespérément un éclat de réel. Dans cette cacophonie de signes et de stimuli, le symbolique perd sa force d’organisation. L’homme reste seul face à son reflet, privé d’un langage capable de le porter.

    Ainsi, la société commence à ressembler à la structure psychotique. Elle manque d’une référence commune, mais surproduit du sens pour combler le vide. Le conspirationnisme, le narcissisme, les algorithmes autoréférentiels et l’économie dopaminique des réseaux sociaux convergent vers la même tentative : reconstruire un ordre perdu. Là où le psychotique entendait des voix, nous recevons des notifications. Là où il voyait des signes dans la rue, nous déchiffrons des motifs sur nos écrans.

    Nous vivons tous avec ce sentiment diffus d’être observés, manipulés, à la fois invisibles et surexposés, comme si le monde en savait plus sur nous que nous-mêmes. Et dans ce malaise se glisse aussi le désir : être vus, mesurés, reconnus. Nous cherchons le Grand Autre que nous avons détruit.

    La psychose de notre temps n’apparaît donc pas comme une catastrophe individuelle, mais comme un symptôme collectif. Une société qui parle sans écouter, qui communique sans signifier, qui se croit éveillée alors qu’elle rêve les yeux ouverts.

    #psychose #paranoïa #névrose #dépression #psychocapitalisme #Bifo #Mark_Fisher

    colporteur @colporteur CC BY-NC-SA
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  • @aurelieng
    aurelieng @aurelieng via RSS CC BY 24/10/2025

    ’Bring your whole #self to #work' is bad advice, Ivy League psychologist says—here’s why
    ▻https://www.cnbc.com/2025/10/24/bring-your-whole-self-to-work-is-bad-advice-ivy-league-psychologist-saysheres-

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    #management #psychology #mentalhealth #authenticity #conformity

    aurelieng @aurelieng via RSS CC BY
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  • @aurelieng
    aurelieng @aurelieng via RSS CC BY 24/10/2025

    L’intelligence générale artificielle : mirage ou faux raccord ? - Daniel Andler
    ▻https://youtu.be/cpiYzt2_IP0

    — Permalink

    #intelligenceartificielle #intelligence #AGI #cognition #action #problème #LLMs #psychologie #réductionnisme #situation #éthique #esthétique #évolution #survie #préférences #incomplétude #subjectivité #incarnation #normativité #bestof

    aurelieng @aurelieng via RSS CC BY
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  • @aurelieng
    aurelieng @aurelieng via RSS CC BY 23/10/2025

    Savez-vous ce qu’est la "simplexité" ? : épisode du podcast La complexité et ses nuances
    ▻https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/avec-philosophie/comment-la-science-fait-face-a-la-complexite-du-reel-9321804

    — Permalink

    #simplexité #complexité #modularité #cognition #émotions #rêves #neurosciences #conscience #inhibition #vicariance #identité #psychanalyse

    aurelieng @aurelieng via RSS CC BY
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  • @aurelieng
    aurelieng @aurelieng via RSS CC BY 23/10/2025

    Middle Managers Feel the Least Psychological Safety at Work
    ▻https://hbr.org/2025/10/middle-managers-feel-the-least-psychological-safety-at-work

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    #management #middlemanagement #psychologicalsafety #strategy #execution

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  • @aurelieng
    aurelieng @aurelieng via RSS CC BY 20/10/2025

    Lʹemprise psychologique
    ▻https://www.rts.ch/audio-podcast/2025/audio/l-emprise-psychologique-29032610.html

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    #psychologie #emprise #personnalité #thérapie #prédateur #victime #relation #narcisissime #machiavelisme #psychopathie #émotions #relations

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  • @aurelieng
    aurelieng @aurelieng via RSS CC BY 19/10/2025

    Now I feel like I’m going to get to it soon: a brief, scalable intervention for state #procrastination | BMC #psychology | Full Text
    ▻https://bmcpsychology.biomedcentral.com/articles/10.1186/s40359-025-03388-3

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    #nudge

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  • @aurelieng
    aurelieng @aurelieng via RSS CC BY 18/10/2025

    #cyberpsychology’s Influence on Modern Computing – Communications of the ACM
    ▻https://cacm.acm.org/research/cyberpsychologys-influence-on-modern-computing

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    #psychology #technology #cognition #emotion #interaction #behavior #UX #design #cybersecurity #cyberprivacy #VR #artificialintelligence #ethics #wellbeing #bestof

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  • @aurelieng
    aurelieng @aurelieng via RSS CC BY 12/10/2025
    1
    @colporteur
    1

    Silvia Lippi, psychanalyste : "La leçon de Freud ? Partager son symptôme est #politique";
    ▻https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/le-souffle-de-la-pensee/psychologie-des-foules-et-analyse-du-moi-de-sigmund-freud-par-la-psychan

    — Permalink

    #psychanalyse #symptome #individu #collectif #indentité #sujet #foule #pulsion #inconscient #identification #refoulement #déni #trauma #bestof

    aurelieng @aurelieng via RSS CC BY
    • @colporteur
      colporteur @colporteur CC BY-NC-SA 12/10/2025

      « Et en lisant [Psychologie des foules et analyse du moi, 1921], évidemment, j’ai vu qu’il y avait une implication très profonde et [une] manière très particulière de penser le collectif parce que c’était lié, notamment au singulier, ce qui donnait quelque chose de tout à fait nouveau pour moi pour repenser la question du collectif et du groupe ».

      #audio #archive_sonore #Freud #Silvia_Lippi #singularité #politique

      colporteur @colporteur CC BY-NC-SA
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  • @le_nouveau_paradigme
    Le Nouveau Paradigme @le_nouveau_paradigme 10/10/2025
    2
    @simplicissimus
    @02myseenthis01
    2

    🧠 En 2025, la santé mentale est proclamée « grande cause nationale ».

    Mais derrière les discours, les inégalités persistent.

    Le dispositif Mon soutien psy promettait un accès élargi aux soins psychologiques. Il reste pourtant limité, sous-financé et inadapté à la diversité des besoins.

    Dans un pays où un Français sur cinq connaîtra un trouble psychique au cours de sa vie, se soigner psychologiquement ne devrait pas dépendre de ses revenus, ni de son code postal.

    ➡️ Lire l’analyse complète sur LNP : ▻https://lenouveauparadigme.fr/lacces-aux-soins-psychologiques-reste-une-affaire-de-moyens-finan

    #SantéMentale #GrandeCauseNationale #Psychologie #Inégalités #MonSoutienPsy #SISM2025 #LNP

    Le Nouveau Paradigme @le_nouveau_paradigme
    • @ant1
      ant1 @ant1 CC BY-NC 10/10/2025

      ►https://lundi.am/C-est-leur-monde-qui-est-fou-pas-nous

      ►https://lundi.am/Police-polisse-polis

      ▻https://lundi.am/En-Prise-et-contre-nous

      ant1 @ant1 CC BY-NC
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  • @aurelieng
    aurelieng @aurelieng via RSS CC BY 7/10/2025

    Digital silence: the psychological impact of being shadow banned on mental health and self-perception
    ▻https://www.frontiersin.org/journals/psychology/articles/10.3389/fpsyg.2025.1659272/full

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    #socialmedia #shadowban #mentalhealth #selfperception #psychology #identity #ostracism #emotions #emotionregulation #ethics

    aurelieng @aurelieng via RSS CC BY
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  • @aurelieng
    aurelieng @aurelieng via RSS CC BY 29/09/2025

    Techno-emotional projection in human–GenAI #relationships: a psychological and ethical conceptual perspective
    ▻https://www.frontiersin.org/journals/psychology/articles/10.3389/fpsyg.2025.1662206/full

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    #artificialintelligence #generativeai #emotions #psychology #ethics #psychodynamics #agency #illusion #cognition #TechnoEmotionalProjection #artificialintimacy #addiction #mentalhealth #bestof

    aurelieng @aurelieng via RSS CC BY
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  • @aurelieng
    aurelieng @aurelieng via RSS CC BY 26/09/2025

    La crise des chatbots compagnons
    ▻https://danslesalgorithmes.net/2025/09/25/la-crise-des-chatbots-compagnons

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    #chatbot #artificialintimacy #artificialintelligence #LLMs #addiction #relationships #psychosis #mentalhealth

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  • @aurelieng
    aurelieng @aurelieng via RSS CC BY 26/09/2025
    2
    @simplicissimus
    @02myseenthis01
    2

    Psychometric development of a #moral #distress scale for #healthcare education and practice
    ▻https://www.frontiersin.org/journals/psychology/articles/10.3389/fpsyg.2025.1661414/full

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    #mentalhealth #psychometry

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  • @colporteur
    colporteur @colporteur CC BY-NC-SA 25/09/2025
    2
    @mfmb
    @lyco
    2

    Collectif Pédopsy 93 : « En Seine-Saint-Denis, les services publics liés à la santé des enfants ne tiennent que par l’engagement personnel des professionnels »

    Le gouvernement parle du nécessaire « réarmement démographique » de la France, mais délaisse le demi-million d’enfants qui vivent en Seine-Saint-Denis, le département de métropole où le taux de natalité est le plus élevé mais le moins bien doté en moyens pour les enfants.
    Les conditions de vie y sont difficiles : 15 % des familles sont monoparentales, selon les chiffres de l’Insee, et le mal-logement est un enjeu massif. Les mères seules ont en majorité des métiers aux horaires exigeants, dans des lieux éloignés de leur domicile, qui les obligent à s’absenter tôt le matin ou tard le soir. Elles sont mal payées. Le taux de pauvreté des enfants y est le plus élevé de France. Les écoles sont peu entretenues, et les classes sont surchargées.

    Face à ces difficultés, l’éducation nationale, débordée et sous-dotée en Seine-Saint-Denis, demande de plus en plus de « #certificats_MDPH », destinés à la Maison départementale des personnes handicapées, de sorte à obtenir la venue en classe d’accompagnants des élèves en situation de handicap. Ces « aides humaines », chargées d’aider les enfants mais aussi les enseignants, sont en nombre insuffisant, doivent partager leur temps entre plusieurs enfants et sont elles-mêmes précaires et mal rémunérées.

    Pour prendre le relais des défaillances de l’école publique, c’est donc toute une cohorte d’enfants qualifiés d’« handicapés » que nous « fabriquons » dans le département. Nous ne devons pas nier qu’effectivement, les enfants qui cumulent des difficultés sociales, familiales, un manque d’accès à l’éducation dans de bonnes conditions, aux services de protection de l’enfance et aux soins développent de réels troubles psychiques et développementaux.

    Services saturés

    L’aide sociale à l’enfance est débordée ; les éducateurs surchargés de situations difficiles craquent et partent. Les postes sont vacants. Les foyers d’accueil de la protection de l’enfance sont pleins, et les professionnels n’arrivent plus à gérer les enfants. Les #ruptures_d’accueil, et donc de lien, s’enchaînent pour des enfants déjà fragilisés par des parcours de vie difficiles qui ont abouti à leur placement par les services de protection de l’enfance. La Seine-Saint-Denis a très peu de médecins généralistes, et s’impose comme le « premier désert médical de France », beaucoup d’enfants n’ont pas de médecin traitant, et le taux de mortalité infantile y est extrêmement préoccupant.

    Les services de soins pédopsychiatriques sont saturés, avec un délai d’attente pour un premier rendez-vous d’un à deux ans pour rencontrer un psychologue ou un pédopsychiatre. Durant cette attente, l’enfant grandit, et souvent, sa trajectoire développementale s’aggrave. Le #collectif_Pédopsy_93 alertait déjà à ce sujet dans une tribune publiée par Le Monde en 2022. Malgré l’annonce de la priorité mise par le gouvernement sur la santé mentale des plus jeunes, les enfants en situation de précarité économique et sociale restent les moins pris en charge.

    Ces enfants sont la richesse de la France, mais ils sont laissés à l’abandon. C’est un bien mauvais calcul éthique et financier. Au lieu de miser sur leur avenir, l’Etat les abandonne et les stigmatise. Nombre d’entre eux se retrouvent finalement en situation de handicap, alors même que cela aurait pu être évité avec la mise en place d’un parcours de soins adapté.

    Une à une, les institutions alertent par le biais de tribunes, de manifestations, d’appels à l’aide. Tous les services publics impliqués, de l’éducation nationale aux services de protection de l’enfance en passant par l’hôpital et la justice des mineurs, ne tiennent que par l’engagement personnel des professionnels. Mais jusqu’à quand ? Certains secteurs sont déjà délabrés. Les enfants de Seine-Saint-Denis seraient-ils trop « colorés » pour compter pour la France ?

    Familles angoissées

    L’exemple de l’#orthophonie illustre ce profond désengagement de l’Etat. La plupart des services de pédopsychiatrie en France n’ont plus d’orthophonistes en raison des conditions salariales inacceptables du secteur public en regard d’une activité en libéral. Après une recherche et une attente d’un à deux ans, les familles parcourent souvent de grandes distances afin d’avoir accès à des soins orthophoniques pour leur enfant. Trop peu d’orthophonistes sont installées dans le département, et certains parents sont contraints à des trajets d’une demi-journée pour offrir à leurs enfants une seule séance.

    Alors, lorsqu’une décision inscrite au dernier projet de loi de financement de la Sécurité sociale dit que les familles des enfants suivis en centre médico-psychologique (#CMP) et en orthophonie doivent choisir entre l’un ou l’autre, cela ne nous semble pas entendable. C’en est trop pour les familles, trop pour les enfants, trop pour nous, professionnels du soin, de l’éducation, de la #protection_de_l’enfance.

    Depuis le 1er juillet, et ce dans tous les départements français, la Sécurité sociale ne rembourse plus les soins en orthophonie, sauf si ceux-ci « ne sont pas en rapport avec un trouble psychologique suivi en CMP » , alors même que le développement psychoaffectif de l’enfant s’inscrit dans le langage. Le coût de ces soins devra alors être pris en charge par les hôpitaux, qui ne parviennent plus à recruter des orthophonistes.

    Les hôpitaux, eux-mêmes en déficit, n’ont pas les moyens de prendre en charge ce coût. Asphyxiés financièrement, ils affichent des délais de paiement des factures atteignant les deux cents jours. Les orthophonistes ne voudront certainement pas conventionner dans ces conditions. Depuis la rentrée, nous voyons affluer dans les CMP des familles angoissées, forcées de choisir entre les soins psychologiques et les soins orthophoniques.

    Quel est le sens de cette décision ? Afficher un déficit de la Sécurité sociale moins marqué ? Qui pense à nos enfants ? Qui pense à notre avenir ?

    Thierry Baubet, chef du service de pédopsychiatrie au centre hospitalo-universitaire Avicenne (Bobigny) ; Bérengère Beauquier-Maccotta, cheffe du service de #pédopsychiatrie l’hôpital de Ville-Evrard (Neuilly-sur-Marne) ; Jean-Pierre Benoit, chef du service de pédopsychiatrie à l’hôpital Delafontaine (Saint-Denis) ; Ligia Gorini, cheffe du service de pédopsychiatrie à l’hôpital de Ville-Evrard ; Noël Pommepuy, chef du service de pédopsychiatrie à l’hôpital de Ville-Evrard ; Clémentine Rappaport, cheffe du service de pédopsychiatrie au centre hospitalier intercommunal Robert-Ballanger (Aulnay-sous-Bois). Tous sont membres du collectif Pédopsy 93, qui regroupe les services de pédopsychiatrie de Seine-Saint-Denis.
    ▻https://www.lemonde.fr/idees/article/2025/09/25/collectif-pedopsy-93-en-seine-saint-denis-les-services-publics-lies-a-la-san

    #93 #enfance #pauvreté #familles_monoparentales #MDPH #AESH #psychiatrie

    colporteur @colporteur CC BY-NC-SA
    • @colporteur
      colporteur @colporteur CC BY-NC-SA 25/09/2025

      Par ailleurs et plus généralement

      « On confond parfois l’expression d’un mal-être chez les jeunes avec la dépression » : la tribune d’un collectif de psychiatres
      ▻https://www.lemonde.fr/idees/article/2025/09/25/sante-mentale-des-jeunes-on-confond-parfois-l-expression-d-un-mal-etre-avec-

      [chapo merdique qui ne dit rien de la différence entre dépistage et #clinique, pourtant au coeur de l’article] Dans une tribune au « Monde », un collectif de psychiatres et de chercheurs invite à la prudence face aux autodiagnostics et insiste sur l’importance de définir un protocole rigoureux, seule manière d’apporter aux patients une aide adéquate et d’éviter la surmédicalisation.

      Un jeune sur quatre en France souffrirait de #dépression. Ce fait alarmant, publié dans Le Monde le 2 septembre, provient d’une enquête de l’Institut Montaigne, de la Mutualité française et de l’Institut Terram. Basée sur un questionnaire en ligne rempli par 5 633 jeunes de 15 à 29 ans, elle révèle une souffrance réelle avec une fatigue persistante pour plus de huit jeunes sur dix, des troubles du sommeil pour près des trois quarts et des idées suicidaires pour 31 % d’entre eux.

      Ces chiffres reflètent-ils pour autant une épidémie de troubles dépressifs ? Non, car ils confondent l’expression d’un mal-être avec une pathologie, dont le #diagnostic est délicat et basé sur un #entretien_clinique. Cette distinction est cruciale pour éviter une #surmédicalisation [que pratique fort bien les généralistes en consultation, embarrassés, pas formés et le plus souvent incapables d’indiquer un psy qui soit disponible] et maintenir la confiance dans les études en santé mentale.

      L’outil central de l’enquête de l’Institut Montaigne, le Patient Health Questionnaire-9 (PHQ-9), est un questionnaire standardisé couramment utilisé pour évaluer les symptômes dépressifs. Pourtant, comme le confirment de nombreuses études scientifiques, le PHQ-9 est avant tout un outil de dépistage, non de diagnostic : une analyse publiée en 2021 dans le British Medical Journal montre que celui-ci détecte bien les signes potentiels de dépression mais qu’il est moins précis pour confirmer l’absence de maladie.

      Comme tout outil de dépistage, il repère par excès, comme un portique de sécurité à l’aéroport qui sonne à cause d’une boucle de ceinture ou d’une clé dans la poche, mais qui ne signale pas nécessairement la présence d’une arme. Cela est synonyme d’un risque important de faux positifs : le PHQ-9 peut faire croire qu’une personne souffre de dépression alors que ce n’est pas le cas.

      De surcroît, les autoquestionnaires comme le PHQ-9 manquent de fiabilité, c’est-à-dire que leurs résultats peuvent varier selon le contexte. Utiliser cet outil de manière isolée pour affirmer que 25 % des jeunes sont « atteints de dépression », avec des pics à 52 % en Guyane, constitue une extrapolation qui ne rend pas honneur à la recherche en psychiatrie. Selon les estimations actualisées de l’Organisation mondiale de la santé, publiées le 1er septembre, la prévalence globale de la dépression chez les 15-19 ans est d’environ 3,4 % , bien en deçà des chiffres avancés par l’enquête.

      Cette généralisation ignore le travail diagnostique essentiel, qui va bien au-delà d’un score sur un questionnaire. Le diagnostic d’une dépression nécessite une anamnèse approfondie, c’est-à-dire une exploration détaillée de l’histoire personnelle du patient : antécédents familiaux, événements de vie traumatiques, facteurs biologiques et environnementaux. Un entretien clinique structuré, mené par un médecin formé, évalue l’intensité et la durée des symptômes et leur impact sur le quotidien scolaire, social et familial. Il permet également de mettre en évidence de très fréquents troubles associés.

      Sans cela, on risque de confondre la dépression avec des manifestations de détresse psychologique liées à des événements de vie ou à des périodes de transition comme l’adolescence. Le risque est aussi d’attribuer ces symptômes de façon erronée à une dépression alors que des signes de détresse psychologique peuvent révéler d’autres troubles psychiques : états traumatiques, troubles anxieux, conséquences psychologiques de troubles du neurodéveloppement. Apposer des termes comme « dépression » ou « trouble dépressif » sur des autoévaluations rapides banalise la maladie, encourage une identification erronée de celle-ci à un autodiagnostic et peut dissuader ceux qui en souffrent vraiment de chercher une aide appropriée.

      Déterminants personnels

      En 2025, année où la santé mentale est érigée en grande cause nationale, il est temps d’exiger une approche scientifique rigoureuse. Comme les portiques de sécurité dans un aéroport, les enquêtes comme celle de l’Institut Montaigne sont précieuses. Elles alertent sur le mal-être des jeunes, particulièrement chez les femmes et les plus vulnérables économiquement.

      Mais il est essentiel qu’elles soient complétées par des validations cliniques pour éviter les #surdiagnostics. Leurs résultats doivent être présentés au grand public pour ce qu’ils sont, au risque d’entretenir la confusion, et de faire croire que le mal-être des jeunes relève systématiquement d’une prise en charge médicale, alors que les déterminants en sont probablement essentiellement sociétaux.

      Les chiffres de cette enquête plaident avant tout pour le développement d’une réelle politique de #prévention des déterminants personnels et psychosociaux qui font le lit de futurs troubles psychiatriques. Ils incitent aussi à développer des dispositifs d’évaluation et d’intervention pertinents.

      Cela implique l’accès rapide à des professionnels formés à l’évaluation clinique, capables d’orienter les personnes en fonction de leurs besoins.
      Ce type de dispositif, lorsqu’il repose sur des procédés rigoureux et un réseau de proximité solide, permet d’aiguiller judicieusement celles et ceux qui requièrent vraiment une approche médicale ou pluridisciplinaire. Des innovations dans le parcours des jeunes en détresse psychologique sont menées en France, en Belgique et en Suisse afin de leur faciliter l’accès à des suivis psychologiques, lorsque cela est utile, ou à des équipes d’intervention précoce pour les jeunes à haut risque de troubles psychiques sévères.

      Plaidons sans relâche pour des diagnostics fondés sur des preuves, non sur des approximations. C’est ainsi que nous protégerons véritablement les générations à venir.

      Parmi les signataires : Rémy Barbe, psychiatre de l’enfant et de l’adolescent ; Fabrice Berna, professeur de psychiatrie ; Hervé Caci, pédopsychiatre ; David Da Fonseca, professeur de pédopsychiatrie ; Véronique Delvenne, professeure de pédopsychiatrie ; Bruno Falissard, directeur du Centre de recherche en épidémiologie et en santé des populations ; Geneviève Henault, praticienne hospitalière ; Pierre Oswald, directeur du service de psychiatrie et enseignant ; Diane Purper-Ouakil, professeure de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent ; Benjamin Rolland, psychiatre et addictologue ; Hélène Verdoux, professeure de psychiatrie.

      Comme quoi on réussit à faire plus standardisé que le DMS.

      #standardisation

      colporteur @colporteur CC BY-NC-SA
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  • @biggrizzly
    BigGrizzly @biggrizzly CC BY-NC-SA 25/09/2025
    3
    @mfmb
    @colporteur
    @lyco
    3

    Benfeld : les enfants placés, le handicap et nos aveuglements collectifs | Le Club
    ▻https://blogs.mediapart.fr/lyes-louffok/blog/240925/benfeld-les-enfants-places-le-handicap-et-nos-aveuglements-collectif

    Une professeure a été poignardée dans sa classe. Celui qui l’a attaquée n’est qu’un enfant placé de quatorze ans, entre la vie et la mort après avoir retourné le couteau contre lui. Rien n’est plus révélateur de nos aveuglements collectifs que le sort des enfants placés handicapés : ce sont les plus vulnérables, les plus invisibles. Quand un enfant confié à la République bascule jusqu’à devenir dangereux pour lui-même et pour les autres, c’est qu’il a été abandonné bien avant.

    Le premier qui voit arriver la panique morale de nos fascistes locaux prévient les autres ?

    L’auteur n’est ni trop arabe, ni trop musulman, ni trop tchétchène ou serbe ou russe, ni trop noir. Par contre, il est issu d’un milieu pauvre. Et donc, en toute bonne logique, on devrait bientôt nous expliquer que l’ennemi, c’est le pauvre. Et hop, emballé c’est pesé, on a notre coupable, et on peut déblatérer des heures sur la pauvreté, ce cancer de la civilisation, euthanasions les ou envoyons les sur le front.

    J’oubliais que cette conclusion devrait nous permettre d’abonder dans le sens de Nicolas, à savoir expliquer c’est excuser, et ça, c’est pas possible.

    BigGrizzly @biggrizzly CC BY-NC-SA
    • @colporteur
      colporteur @colporteur CC BY-NC-SA 25/09/2025

      un enfant placé à l’Aide sociale à l’enfance, censée le protéger. Mais sa première famille d’accueil a été violente, au point que l’assistante familiale a été condamnée par la justice (y compris en appel). Alors on l’a déplacé dans un foyer, comme si changer de lieu suffisait à effacer la violence déjà imprimée dans sa chair.
      Il vivait avec un handicap psychique et une maladie génétique. Rien n’est plus révélateur de nos aveuglements collectifs que le sort des #enfants_placés handicapés : ce sont les plus vulnérables, les plus invisibles, et ceux dont on parle le moins. Les chiffres sont connus : près d’un enfant placé sur deux présente des troubles psychiques. Mais l’accès aux #soins, déjà saturé pour tous, devient pour eux un parcours d’attente interminable. Les rendez-vous se décalent, les urgences deviennent des solutions par défaut, et l’on finit par s’habituer à l’idée que des enfants vivent avec des blessures jamais prises en charge.

      Au collège , il semble qu’il n’était même pas accompagné par une AESH.
      Nazisme ou djihadisme, il arrive que l’on adopte une communauté imaginaire pour se donner de la force, ne plus être un déchet, et devenir un « monstre ».

      #ASE #école #psychiatrie #handicap

      colporteur @colporteur CC BY-NC-SA
    • @colporteur
      colporteur @colporteur CC BY-NC-SA 29/09/2025

      « Je veux tuer des gens » : quand les idéologies djihadiste et nazie captent la souffrance et la haine d’adolescents en perdition (2023)
      ▻https://archive.ph/EeZCz

      Agés de 16 ans à 19 ans, trois hommes et une femme, fascinés par la violence djihadiste et d’ultradroite, échangeaient sur Internet et projetaient des attentats pour prendre leur « revanche sur l’humanité ». Le Parquet national antiterroriste demande qu’ils soient jugés pour « association de malfaiteurs terroriste ».

      colporteur @colporteur CC BY-NC-SA
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  • @liminaire
    liminaire @liminaire CC BY 25/09/2025

    Rien que les heures, un livre de Pierre Ménard à paraître aux Éditions Jou le 15 mai 2026. Aidez-nous à produire ce livre et recevez-le avant sa diffusion en librairie, dès la mi-avril 2026.

    ▻https://liminaire.fr/projets/article/rien-que-les-heures

    https://liminaire.fr/local/cache-vignettes/L253xH400/new_couv_rienque_1_-2-672c8.png?1758322060

    Une traversée de Paris du nord au sud en une journée. À chacune des 60 étapes du parcours, le temps s’arrête, en alerte. Une heure, une adresse pour seul jalon. Au même instant, des scènes se déroulent, dans différents endroits du monde : 146 pays et 396 villes. La succession des histoires qui surgissent, au fil des heures, des situations qui apparaissent dans le désordre comme autant d’épiphanies, forme une constellation d’instants suspendus, d’arrêts sur image.
    La juxtaposition de ces multiples strates du récit permet d’explorer simultanément différents points de vue dans une expérience polyphonique.
    Un lent cheminement qui révèle, de la veille au lendemain, le trait d’union reliant l’espace dans le temps, l’épreuve d’une présence au monde. Un monde où trouver sa place, où il y a lieu d’être.
    Ce récit n’est pas une invitation au voyage, mais une traversée immobile qui nous relie aux autres et à nous-même.

    (...)
    #Écriture, #Livre, #Lecture, #Littérature, #Voix, #Monde, #Psychogéographie, #Parcours, #Poésie, #Récit, #Temps, #Édition (...)

    ▻https://youtu.be/r3CeUQvBiRU

    ▻https://editionsjou.net/produit/rien-que-les-heures

    ▻https://www.helloasso.com/associations/association-jou/collectes/rien-que-les-heures

    liminaire @liminaire CC BY
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  • @aurelieng
    aurelieng @aurelieng via RSS CC BY 24/09/2025

    The role of #locus of #control in shaping graduates’ entrepreneurial intentions: the mediating role of self-efficacy
    ▻https://www.frontiersin.org/journals/psychology/articles/10.3389/fpsyg.2025.1664105/full

    — Permalink

    #entrepreneurship #selfefficacy #psychology

    aurelieng @aurelieng via RSS CC BY
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  • @colporteur
    colporteur @colporteur CC BY-NC-SA 23/09/2025
    4
    @rastapopoulos
    @kassem
    @vazi
    @lyco
    4

    Le racialisme biologique revient aux Etats-Unis, mais aussi en France
    ▻https://www.lemonde.fr/idees/article/2025/09/23/le-racialisme-biologique-revient-aux-etats-unis-mais-aussi-en-france_6642591

    https://img.lemde.fr/2025/09/18/1677/0/4718/3145/1440/960/60/0/575f856_ftp-import-images-1-mtyusoizv6xm-2025-09-18t174511z-577591215-rc2z9garp2y8-rtrmadp-3-usa-diversity-advertising.JPG

    Campagne de la marque de vêtements American Eagle à New York, le 18 août 2025. SAMI MARSHAK / REUTERS

    En France, le retour de ces idées se fait avec moins de tapage. Mais, de manière bien plus inquiétante, elles reviennent sous le masque du simple constat scientifique. En mai, le Conseil scientifique de l’éducation nationale (CSEN), instance créée en 2018 par Jean-Michel Blanquer, publiait une proposition de « référentiel de compétences des enseignants » dans lequel ces derniers sont invités à « connaître la diversité des élèves », celle-ci étant le fait de « facteurs génétiques, [de] facteurs familiaux et sociaux, [de] facteurs environnementaux, [de] facteurs culturels et linguistiques, [d’]histoire de vie. »

    Citer des « facteurs génétiques » dans cette énumération, de surcroît en première position, trahit en réalité un agenda idéologique qui s’avance. D’abord parce qu’on voit mal l’usage qui pourrait être fait, par les enseignants, de ces considérations sur des différences génétiques de leurs élèves. Ensuite, et surtout, parce que faire de la génétique un élément déterminant des capacités d’apprentissage – ou de traits complexes – est inexact, comme le rappelle l’ASHG.

    En 2018, en réaction à des propos semblables, une vingtaine de chercheurs chevronnés en génétique humaine, en neurobiologie, ainsi qu’en histoire et sociologie de ces disciplines, rappelaient, dans une tribune, que, « hormis les effets délétères de certaines anomalies génétiques, la recherche n’a pas pu à ce jour identifier chez l’humain de variantes génétiques ayant indubitablement pour effet de créer, via une chaîne de causalité strictement biologique, des différences cérébrales se traduisant par des différences cognitives ou comportementales ». L’affirmation du contraire relève, écrivaient-ils, d’un « manquement à l’éthique scientifique ».

    Au nom de la raison

    Un « manquement » qui se retrouve, quelques années plus tard, endossé par le CSEN – où ne siège aucun généticien. Ce qui relève outre-Atlantique des outrances de l’extrême droite est donc publié en France comme avis d’experts, sous une forme policée et sur papier à en-tête de la République. Plus de 350 enseignants et chercheurs s’en sont émus dans un texte publié en mai ▻https://seenthis.net/messages/1116501 : il fut accueilli dans une indifférence générale.

    ▻https://justpaste.it/a7cor

    #racisme #scientisme #sciences #école #cognitivo-comportementalisme #réflexivité #Gérald_Bronner

    colporteur @colporteur CC BY-NC-SA
    • @lyco
      Lyco @lyco 27/09/2025

      #csen #franck_ramus #sciences_cognitives

      Lyco @lyco
    • @lyco
      Lyco @lyco 8/10/2025

      Dans le cadre de notre sensibilisation de 2h sur les biais de genre en maths prévue dans le plan Filles-maths, il nous a été demandé de regarder une conférence de Franck Ramus donnée à l’AFIS, dont certains éléments sont revenus pendant ces 2h. Il y fait un petit état de l’art sur la question et écarte tous les travaux qui relèvent des sciences sociales, pour mieux ensuite mettre en valeur les facteurs génétiques : des centaines de milliers d’années d’évolution ont créée des différences cognitives entre hommes et femmes qui expliquent à des degrés divers toutes les différences constatables aujourd’hui entre les sexes. Le gars ne dit pas que ça prouve un truc sur les maths, mais comme il ne laisse la place à rien d’autre, il te laisse conclure tout seul. En formation, la conseillère pédagogique venue en renfort, qu’on a dû former avec la même conférence, répète ce qu’il y dit et t’assure que c’est vraiment là qu’est le consensus scientifique en ce moment (elle m’explique que ça se passe comme ça dans la recherche, en quelques années les conclusions évoluent).

      Lyco @lyco
    • @rastapopoulos
      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC 9/10/2025

      Ce qu’on appelle la #psychologie_évolutionniste
      ▻https://fr.wikipedia.org/wiki/Psychologie_%C3%A9volutionniste
      voir aussi
      ▻https://fr.wikipedia.org/wiki/Sexisme_dans_la_science_moderne#R%C3%B4le_de_la_psychologie_%C3%A9volu

      Ainsi que Odile Fillod bien sûr :
      ▻https://allodoxia.odilefillod.fr/2012/04/25/psychologie-evolutionniste-et-biologie
      ▻https://allodoxia.odilefillod.fr/2012/06/20/genre-evolution-testosterone

      Et sur Frank Ramus
      ▻https://allodoxia.odilefillod.fr/2019/05/10/les-cerveaux-en-bleu-et-rose-selon-jacques-balthazart-partie-1/#_edn6

      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC
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  • @aurelieng
    aurelieng @aurelieng via RSS CC BY 22/09/2025

    How modern life makes us #sick – and what to do about it | #evolution | The Guardian
    ▻https://www.theguardian.com/books/2025/sep/21/how-modern-life-makes-us-sick-and-what-to-do-about-it

    — Permalink

    #modernlife #modernity #lifestyle #mismatch #adaptation #obesity #mentalhealth #technology #cognitivebias #delusion #psychosis #cognition #individualism #selfcompassion #mitigation #community #collaboration #ritual #meaning

    aurelieng @aurelieng via RSS CC BY
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