• On recherche : préposé aux décapitations et aux découpes de membres. Expérience souhaitée. Un bon sens du contact avec la clientèle serait apprécié.
    https://eservices.mcs.gov.sa/rmcs/fulldata.aspx?chnid=70308

    تشمل هذه السلسلة الوظائف التي تتعلق بتنفيذ احكام القصاص بالقتل وحد السرقات بالقطع حسب ما يقتضيه الحكم الشرعي الصادر والقيام بالاعمال الاخرى ذات العلاقة بهذا المجال

    (via Angry Arab)


  • One Hour Photo, Mark Romanek, 2002
    Un film de psychopathe beaucoup plus intelligent que les autres. L’angoisse y est tout en douceur. Je me rappelle de Harry, un ami qui vous veut du bien et là, c’est beaucoup beaucoup mieux. Robin est merveilleux et nous on est vraiment empathiques genre il nous fait pleurer.
    Et lorsque le gore et l’infâme arrivent, c’est au goutte à goutte. Ainsi, et comme d’habitude avec les catégories, c’est salvateur.
    https://www.youtube.com/watch?v=IgFIIU6C6XI

    #critique_a_2_balles #one_hour_photo #mark_romanek #2002 #cinéma #thriller #psychopathe #robin_william

    • Il est superbe ce film. C’est le meilleur rôle de Robin William, tellement différent de ce qu’il avait l’habitude de jouer. Il semblerait qu’autour de 2002 il se soit essayé à des rôles plus sombres.
      De cette période je te conseil « World’s Greatest Dad » de Bobcat Goldthwait et « The Final Cut ».

  • Déni d’altérité et production sociale de psychopathes. À propos d’Andreas Lubitz et du crash de la German Wings.
    Prélude : http://seenthis.net/messages/166218
    Analyse du cas actuel dans son contexte social :

    je sais pas comment vous expliquer que les fous d’amour sont pires que les fous de dieu. on va tenter.
    le fou de dieu se place en DISCIPLE. en inférieur à sa cause. le fou d’amour se place en DETENTEUR du sacré, tu vois l’écart ?
    le fou de dieu quand il tue il a conscience de tuer ses congénères. il tue l’Autre dont il sait qu’il lui est semblable mais qu’il estime coupable inférieur ou impur ou que sais je. le fou d’amour lui quand il tue il ne tue pas l’Autre. il n’y a PAS d’Autre dans son système.
    le fou d’amour est le seul détenteur du sacré, en l’occurrence l’amour, et il tue PARCE QU’il est seul (=dépit amoureux) justement.
    il tue des objets qu’il ne considère pas comme des semblables une seule seconde, qu’il ne considère même pas comme vivants.
    là cui là il a tué 150 personnes qui pour lui n’étaient rien de plus que les sièges de l’avion mais vraiment.
    y’avait un mec hurlant de désespoir et tapant à la hache derrière lui ça n’a même pas modifié sa respiration.
    ces mecs (déso, la plupart c’est des mecs) tuent froidement, le + souvent la femme qui ne les a pas aimés selon leur trip de l’amour et/ou les enfants nés de cette union (qui ne sont rien si ils ne sont pas les fruits de l’amour selon le taré, tu suis ?)
    on n’est plus dans la souffrance ou ans la croyance à ce stade. on est au niveau #psychopathe/ #sociopathe. zéro #altérité.

    ce que jte dis là ça fait des lustres que les #femmes victimes de ces gens le disent sur tous les tons
    et pour toute réponse on n’a jamais obtenu que des analyses de merde tentant à démontrer que NOUS étions des espèces de victimes nées
    alors qu’en réalité le délire de ces mecs se construit sans personne et pourrait s’appliquer sur n’importe qui.
    d’ailleurs je vous en veux pas mais la plupart font plusieurs #victimes femmes au cours de leur vie.
    (et en suivant à chaque fois la mm construction délirante et le mm mode opératoire) (psychopathie point final)

    maintenant demandons nous d’où vient le #délire amoureux de ces mecs, silteplé.
    d’où vient ce trip de l’amour qui tolère tout se sacrifie en tout point, est total, toujours fidèle et ne faillit pas SINON ce n’en est pas.
    (et dans la tête de ces mecs si ce n’en est pas alors ça ne mérite pas de vivre ce n’est rien de plus qu’un animal au mieux )
    (on est dans un cas qui se rapproche du #pervers narcissique, là)
    (mais avec passage à l’acte public au lieu de privé comme on a d’habitude le plus souvent)
    (c’est pas à prendre en compte amha. c’est juste une question de moyens, ça. nimporte quel PN pourrait faire pareil s’il était pilote)

    bref vraiment les psys si vous voulez servir à quelque chose considérez la dimension de privation d’altérité parce que c’est flagrant, là.
    (et on se tue à vous le hurler depuis des décennies alors il serait temps) (je vous hais toujours, notez)
    dimension de privation d’altérité qui soutient non seulement ce cas précis de meurtre de masse mais aussi tellement de souffrances sociales.

    (routine : devriez écouter les concernées. qui mieux que celles qui ont vécu avec ces tarés peuvent vous décrire leur fonctionnement, hein)
    (au lieu de nous considérer comme de braves victimes inertes limite des paillassons humains, vous pourriez ptète imaginer que rien que pour essayer de pas crever on a mené l’étude de terrain qui manque aux psys et jte jure BIEN SERIEUSEMENT)
    (il manque peut être à la plupart d’entre nous les vocabulaires et concepts mais jte jure on a pigé et bien pigé)
    (enfin celles qui sont pas mortes...)

    franchement on a un audio qui prouve que le gars est au niveau d’entendre hurler taper etc SANS MODIFIER MEME SON SOUFFLE il vous faut quoi ?
    c’est pas un dépressif, ça. c’est un putain de psychopathe complètement vrillé au dernier stade, merde.
    ya un moment va falloir reconnaître qu’on arrive à les fabriquer. pis bien, bordel. bien au point bien capables.

    Sources :
    https://twitter.com/feeskellepeut/status/581454789164183552
    https://twitter.com/feeskellepeut/status/581457728121356288
    https://twitter.com/feeskellepeut/status/581458570077564928
    https://twitter.com/feeskellepeut/status/581461086093770754
    https://twitter.com/feeskellepeut/status/581463219065069568
    https://twitter.com/feeskellepeut/status/581467227427184640
    #narcissisme #barbarie #cynisme #individualisme #néolibéralisme
    #vie_intérieure

  • « Le monde catholique est en désarroi. Les catholiques en France sont humiliés par les homosexuels, aux États-Unis par les Protestants et en Russie par les Orthodoxes. »

    « Quelqu’un me disait en Norvège, au fond dans chaque Chrétien il y a quelque part un peu d’Anders Breivik. »

    À propos d’Anders Breivik : « il a gagné la guerre culturelle ».

    À propos d’Anders Breivik : « Pourquoi le mépriser ? Ce n’est pas un paumé : il a une idéologie. »

    https://www.youtube.com/watch?v=RqWOiRv6BOo

  • Comment la mentalité Romaine antique imprègne encore profondément nos sociétés (textes de Simone Weil)

    #histoire
    #marchandisation #utilitarisme #culture_du_viol culte du gagnant, #autoritarisme #déshumanisation goût de la domination et de l’humiliation d’autrui, #cynisme indifférence, valorisation de comportements de #psychopathe ...

    Chez [les Romains] l’esclavage avait pénétré et dégradé toutes les relations humaines. Ils ont avili les plus belles choses. Ils ont déshonoré les suppliants en les forçant à mentir. Ils ont déshonoré la gratitude en la regardant comme un esclavage atténué ; dans leur conception, en recevant un bienfait, on aliénait en échange une partie de sa liberté. Si le bienfait était important, les mœurs courantes contraignaient à dire au bienfaiteur qu’on était son esclave. Ils ont déshonoré l’amour ; être amoureux, pour eux, c’était ou bien acquérir la personne aimée comme propriété, ou bien, si on ne le pouvait pas, se soumettre servilement à elle pour en obtenir des plaisirs charnels, dût-on accepter le partage avec dix autres. Ils ont déshonoré la patrie en concevant le patriotisme comme la volonté de réduire en esclavage tous les hommes qui ne sont pas des compatriotes. Mais il serait plus court d’énumérer ce qu’ils n’ont pas déshonoré. On ne trouverait probablement rien.
    [...]
    De même les Romains, regardant l’esclavage comme l’institution de base de la société, ne trouvaient rien dans leur cœur qui pût dire non à un homme qui affirmait avoir sur eux le droit d’un propriétaire, et avait victorieusement soutenu cette affirmation par les armes. Rien non plus qui pût dire non à ses héritiers, dont ils étaient la propriété par droit d’héritage. De là toutes les lâchetés dont l’énumération écœurait Tacite, d’autant plus qu’il y avait eu part. Ils se suicidaient dès qu’ils en recevaient l’ordre, non autrement ; un esclave ne se suicide pas, ce serait voler le maître. Caligula avait derrière lui, quand il mangeait, des sénateurs debout en tunique, ce qui était à Rome pour les esclaves la marque caractéristique de la dégradation. Aux banquets il s’absentait un quart d’heure pour emmener une femme noble dans son cabinet particulier, puis la ramenait rouge et décoiffée parmi les convives, au nombre desquels était son mari. Mais ces gens avaient toujours trouvé tout naturel de traiter ainsi non seulement leurs esclaves, mais les populations colonisées des provinces.

    Simone Weil, L’Enracinement (1943)

    On ne peut dépasser les Romains dans l’art d’être perfide. La perfidie a deux inconvénients : elle suscite l’indignation et empêche qu’on ne soit cru par la suite. Les Romains ont su éviter l’un et l’autre, parce qu’ils étaient perfides seulement quand ils pouvaient à ce prix anéantir leurs victimes. Ainsi aucune d’elles n’était en état de leur reprocher leur mauvaise foi. D’autre part, les spectateurs étaient frappés de terreur ; comme la terreur rend l’âme crédule, la perfidie même des Romains avait pour effet d’augmenter au lieu de diminuer autour d’eux l’inclination à les croire ; on croit volontiers ce qu’on désire vivement être vrai. En même temps les Romains louaient leur propre bonne foi avec une conviction contagieuse, et mettaient un soin extrême à sembler se défendre et non attaquer, à paraître respecter les traités et les conventions, sauf lorsqu’ils pouvaient frapper impunément, et parfois même en ce cas. Une de leurs coutumes était, quand un traité conclu par un de leurs consuls leur semblait trop modéré, de recommencer la guerre et de livrer ce consul nu et enchaîné aux ennemis en expiation du traité rompu ; ceux-ci, qui ignoraient cet usage et croyaient la paix établie, ne trouvaient dans ce corps nu qu’une faible consolation. Les exemples de perfidie et de foi violée sont si nombreux dans l’histoire romaine qu’ils seraient trop longs à tous citer ; ils ont tous un caractère commun, c’est qu’ils sont calculés et prémédités. C’est, ainsi que les Romains purent se donner une réputation de loyauté. Retz dit que lorsqu’on a froidement résolu de faire le mal, on peut garder les apparences, au lieu que si on ne veut pas le faire, et si néanmoins on s’y laisse aller, on provoque toujours un scandale. Les Romains ont appliqué ce principe à la violation de la parole donnée ; au lieu que les autres peuples qui, comme les Carthaginois, manquèrent à leur parole par besoin, par fureur, par désespoir, eurent une réputation de perfidie même auprès de la postérité, qui n’écoute jamais les vaincus.
    [...]
    Nul n’a jamais égalé les Romains dans l’habile usage de la cruauté. Quand la cruauté est l’effet d’un caprice, d’une sensibilité malade, d’une colère, d’une haine, elle a souvent des conséquences fatales à qui y cède ; la cruauté froide, calculée et qui constitue une méthode, la cruauté qu’aucune instabilité d’humeur, aucune considération de prudence, de respect ou de pitié ne peut tempérer, à laquelle on ne peut espérer échapper ni par le courage, la dignité et l’énergie, ni par la soumission, les supplications et les larmes, une telle cruauté est un instrument incomparable de domination. Car étant aveugle et sourde comme les forces de la nature, et pourtant clairvoyante et prévoyante comme l’intelligence humaine, par cet alliage monstrueux elle paralyse les esprits sous le sentiment d’une fatalité. On y résiste avec fureur, avec désespoir, avec le pressentiment du malheur, ou on y cède lâchement, ou on fait l’un et l’autre tour à tour ; de toutes manières l’esprit est aveuglé, incapable de calcul, de sang-froid et de prévision. Cet aveuglement apparaît chez tous les adversaires des Romains. De plus une cruauté de cette espèce fait naître des sentiments qui sembleraient n’être dus qu’à la clémence. Elle suscite la confiance, comme on le voit par l’histoire de Carthage, dans toutes les circonstances où il serait trop affreux de se défier ; car l’âme humaine répugne à regarder en face l’extrême malheur. Elle suscite la reconnaissance chez tous ceux qui auraient pu être anéantis et qui ne l’ont pas été ; car ils s’attendaient à l’être. Quant à ceux qui ont été anéantis, c’est-à-dire tués ou vendus comme esclaves, leur sentiment n’importe pas, puisqu’ils se taisent.

    Simone Weil, Écrits politiques et historiques (1943)

    Toutes les bases culturelles du #néolibéralisme comme du #fascisme faisaient partie de la société Romaine antique. Je trouve qu’elles imprègnent profondément l’#imaginaire dominant occidental.
    ça fait aussi voir encore plus nettement l’ineptie des discours réacs qui reviennent à la mode sous couvert de critique de la modernité qui marchandise et dissout les valeurs traditionnelles, et qui appellent au « retour de l’autorité ».

    • Pendant la plus grande partie de l’histoire occidentale, la tradition dominante en matière de gentillesse a été le christianisme, qui sacralise les instincts généreux de l’homme et en fait le fondement d’une foi universaliste. La charité chrétienne a servi pendant des siècles de ciment unissant les individus en une société. A partir du XVIe siècle, le commandement chrétien "Tu aimeras ton prochain comme toi-même” commence à subir la concurrence de l’individualisme. Le Léviathan de Thomas Hobbes (1651), le texte fondateur du nouvel individualisme, considérait la bonté chrétienne comme une absurdité psychologique. Les hommes étaient, selon Hobbes, des animaux égoïstes qui ne se souciaient que de leur propre bien-être, et l’existence humaine "une guerre de tous contre tous". Ses vues mettront du temps à s’imposer, mais à la fin du XVIIIe elles sont devenues l’orthodoxie – en dépit des tous les efforts de Hume et d’autres. Deux siècles plus tard, il semble que nous soyons tous hobbesiens, convaincus d’être mus par l’intérêt personnel. La gentillesse inspire de la méfiance, et ses démonstrations publiques sont jugées moralistes et sentimentales.
      Ses icônes populaires – la princesse Diana, Nelson Mandela, Mère Teresa – sont soit vénérées comme des saints, soit accusées d’être des hypocrites intéressés. Donner la priorité aux besoins d’autrui est peut-être louable, pensons-nous, mais certainement pas normal.

      Aujourd’hui, il n’y a qu’entre parents et enfants que la gentillesse est attendue, bien vue et de fait obligatoire. La gentillesse – c’est-à-dire la disposition à assumer la vulnérabilité des autres, et donc de soi-même – est devenue un signe de faiblesse (sauf naturellement chez les saints, chez qui elle témoigne de leur nature exceptionnelle). On n’en est pas encore à dire que les parents doivent cesser d’être gentils avec leurs enfants. Mais nous avons développé dans nos sociétés une phobie de la gentillesse, évitant les actes de bonté et trouvant toutes sortes de bonnes raisons pour justifier cette aversion. Toute compassion est de l’apitoiement sur soi, relevait l’écrivain D.H. Lawrence, et cette formule reflète bien ce qu’inspire aujourd’hui la gentillesse, qui est prise soit pour une forme noble d’égoïsme, soit pour la forme de faiblesse la plus vile (les gentils sont gentils uniquement parce qu’ils n’ont pas le cran d’être autre chose).

      La plupart des adultes pensent secrètement que la gentillesse est une vertu de perdants.

      #réciprocité #histoire #psychologie_sociale
      #néolibéralisme #cynisme #individualisme #narcissisme #barbarie #psychopathe #vie_intérieure
      lien avec http://seenthis.net/messages/166218

  • Le plan effarant de Moshe Feiglin, vice-président de la Knesset

    Avec l’aide de Dieu.

    À l’attention de Monsieur le Premier ministre, Benjamin Netanyahou.

    Monsieur le Premier ministre, nous venons d’apprendre que le Hamas s’est servi du cessez-le-feu pour enlever un officier. Il semble que cette opération ne soit pas prête de se terminer.

    L’échec de cette opération était inévitable depuis ses débuts, car :

    a) Elle n’a aucun objectif clair et précis

    b) il n’y a pas de structure appropriée pour soutenir moralement nos soldats.

    Ce qui est nécessaire, désormais, c’est de comprendre le fait qu’Oslo, c’est terminé ; que c’est notre pays et notre pays exclusivement, y compris Gaza. Il n’y a pas deux États, ni deux peuples ; il n’y a qu’un État pour un peuple.

    Ayant compris celà, ce dont nous avons besoin, c’est d’une révision complète et minutieuse de notre stratégie, en termes de définition de l’ennemi, des tâches opérationnelles, des objectifs stratégiques, et bien entendu, de l’éthique de guerre appropriée.

    1) Définir l’ennemi :

    L’ennemi stratégique est l’Arabe musulman extrémiste sous toutes ses formes, de l’Iran à Gaza, qui cherche à annihiler Israël dans son entièreté. L’ennemi immédiat est le Hamas (pas les tunnels, ni les roquettes ; le Hamas)

    2) Définir les tâches :

    Conquérir la totalité de la bande de Gaza, et annihiler toutes les forces combattantes et leurs soutiens.

    3) Définir un objectif stratégique :

    Transformer Gaza en Jaffa, une ville israélienne florissante comptant un nombre aussi restreint que possible de civils hostiles.

    4) Définir une éthique de guerre :

    « Malheur à celui qui cause le mal, et malheur à son voisin »

    À la lumière de ces quatre points, Israël doit agir de la sorte :

    a) L’IDF [l’armée israélienne] doit désigner certaines zones ouvertes sur la frontière du Sinaï, adjacente à la mer, dans laquelle la population civile serait concentrée, loin des zones urbaines actuellement utilisées pour des tirs de roquettes et où se trouvent des tunnels. Dans ces zones, des campements de tentes seraient établis, jusqu’à ce que des destinations d’émigration adaptées soient déterminées. La distribution d’électricité et d’eau vers la zone autrefois peuplée sera coupée.

    b) La zone autrefois peuplée sera bombardée avec la puissance de feu maximale. L’infrastructure civile et militaire du Hamas dans son intégralité, ses moyens de communication et sa logistique, seront détruites entièrement et rasées.

    c) L’IDF divisera la bande de Gaza latéralement et en travers, étendra de manière significative des corridors, occupera des positions de commandement, et exterminera les poches de résistance, s’il s’avère qu’il en reste.

    d) Israël commencera à chercher des destinations d’émigration et des quotas pour les réfugiés provenant de Gaza. Ceux qui désirent émigrer bénéficieront d’un ensemble de mesures économiques généreuses, et arriveront dans leurs pays d’accueil avec des moyens économiques considérables.

    e) Ceux qui veulent rester, s’il est démontré qu’ils n’ont aucune affiliation avec le Hamas, seront obligés de signer publiquement une déclaration de loyauté à Israël, et recevront une carte d’identité bleue similaire à celle des Arabes de Jérusalem-Est.

    f) Quand les combats seront terminés, la loi israélienne sera étendue afin de couvrir la bande de Gaza toute entière, les gens expulsés de Gush Katif seront invités à retourner dans leurs colonies, et la ville de Gaza et sa périphérie seront reconstruites à l’image de véritables villes touristiques et commerciales israéliennes.

    Monsieur le Premier ministre,

    Nous vivons à un moment-clé de notre destin et de l’histoire de l’État d’Israël. Toutes les métastases que sont nos ennemis, de l’Iran au Hezbollah en passant par l’EIIL et les Frères musulmans, se frottent allègrement les mains et se préparent pour le prochain round. Je vous préviens que toute solution moins ambitieuse que celle que je viens de définir ici signifierait encourager l’offensive constante contre Israël. Il n’y a que lorsque le Hezbollah aura compris comment nous aurons traité le problème du Hamas dans le Sud qu’il cessera de tirer ses 100 000 missiles par le Nord. Je vous exhorte d’appliquer la stratégie proposée ici. Je n’ai aucun doute que l’ensemble de la population israélienne se tiendra à votre droite dans son écrasante majorité, tout comme moi, si seulement vous adoptiez ce plan.

    Avec mes plus hautes considérations, et tout mon respect,

    Moshe Feiglin

    http://electronicintifada.net/blogs/ali-abunimah/concentrate-and-exterminate-israel-parliament-deputy-speakers-ga

  • LE POUVOIR COMME PERVERSION NARCISSIQUE
    http://inventin.lautre.net/contributions.html#hirigoyen

    Les nouvelles formes de travail, qui visent à accroître les performances des entreprises en laissant de côté tous les éléments humains sont génératrices de stress et créent ainsi les conditions favorables à l’expression de la perversité. L’entreprise peut elle-même devenir un système pervers lorsque la fin justifie le moyens et qu’elle est prête à tout, y compris à détruire les individus pour parvenir à ses objectifs.

  • Il empaille son chat et le transforme en hélicoptère télécommandé
    http://www.ladepeche.fr/article/2014/04/28/1871907-il-empaille-son-chat-et-le-transforme-en-helicoptere-telecommande.
    Ne comptez pas sur moi pour les photos et vidéos

    L’artiste hollandais Bart Jansen a voulu rendre hommage à son chat Orville, décédé après avoir été écrasé par une voiture. L’homme aurait pu construire une sépulture originale pour cela, mais il a préféré empailler l’animal pour en faire un hélicoptère télécommandé, relate le site 7sur7. Une idée bien farfelue qui fait beaucoup de bruit sur internet.

    #gorafi_encore_plagié

  • BBC - Capital - When the boss is a psychopath

    It might not be your imagination. How to tell if the boss is a psychopath

    http://www.bbc.com/capital/story/20140306-do-you-work-for-a-tyrant

    Ha Ha Ha !! Cela dit, pas la peine qu’il soit forcément psychpathe. Il suffit qu’il soit psycho-rigide dominateur à tendance autoritaire et ça suffit.

    Corporate bullies may make spellbinding film leads for a couple of hours — think Michael Douglas’ Gordon Gekko or Leonardo Di Caprio’s Wolf of Wall Street—but in real life, they wreak havoc on workers and businesses.

    Miranda, a journalist for a Dutch news agency for 20 years, who did not want her last name used for fear of harming professional relationships, said she once worked for a tyrannical, manipulative manager. “Everyone would get blamed if things went wrong,” she said. “There were overnight emails copied to everyone, where a person would get humiliated.”

    His actions undermined stability and trust. “Middle managers and editors were fighting between themselves to be his favourite,” she added. “He was very Machiavellian, playing everyone off [against] each other.”

    #réalité #travail #pouvoir #marrant #psychopathe

  •  » [Vidéo] The Corporation
    http://www.les-crises.fr/video-the-corporation

    Ce documentaire réalisé par Jennifer Abbott et Mark Achbar montre l’évolution des “Sociétés Anonymes” (appelées Corporations en anglais) aux USA, reprenant leur histoire depuis leur apparition avec la Révolution Industrielle, où elles étaient conçues pour répondre au bien public mais furent détournées de cet objectif par la recherche du profit.

    “De même que le requin est une machine à tuer, la Corporation est une machine à faire de l’argent.”

    Ce film est basé sur le livre The corporation, the pathological pursuit of profit and power (Les Multinationales, la recherche pathologique du profit et du pouvoir) de Joel Bakan.

    http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=0ZmQ-YL63fM


    la Corporation est une machine à faire de l’ #argent
    #profit

  • « Les " psychopathes " arrivent. Un adieu à " l’ère du narcissisme " », par Götz Eisenberg - Critique radicale de la valeur
    http://palim-psao.over-blog.fr/article-les-psychopathes-arrivent-un-adieu-a-l-ere-du-narcissis

    Les années que nous venons de traverser, marquées par le #néolibéralisme, ont rendu les gens indifférents, leur #vie_intérieure s’est transformée en un grand glacier de sentiments congelés. Les gens ne peuvent pas faire autrement que de transmettre cette froideur à leur environnement. Il y a des différences non négligeables selon qu’on a grandi et que l’on vit dans une société qui valorise la solidarité avec les faibles et ceux qui sont moins compétitifs, ou bien qu’on vit dans une société où ces gens sont abandonnés dans la misère et stigmatisés en tant que loosers. Que l’expression « espèce de victime » soit devenue la pire insulte que des jeunes se lancent à la tête en dit long sur l’image pervertie qu’ils se font de l’humanité, marquée depuis quelques années par le culte du gagnant. On le voit par exemple chez des sportifs qui chantent à tue-tête devant les caméras après un match victorieux : « Regardez à quoi ressemblent des gagnants – hohéhohéhohé ». (…) Sans doute aussi parce qu’elle a l’air de sortir du dernier soap opera, la gardienne de but de l’équipe de foot américaine, Hope Solo, incarne ce culte du gagnant. Dans une interview avant la finale du dernier championnat du monde, elle déclarait : « Nous savons que nous allons gagner. C’est notre mentalité. » Qu’elle se soit trompée n’est qu’un faible réconfort.

    Le marché comme vie intérieure

    Les attitudes et les comportements qui sont dictés par le marché et qui sont indispensables pour réussir au niveau économique ont aujourd’hui pénétré la vie quotidienne jusque dans ses derniers recoins. Le manque d’égard généralisé, l’#individualisme poussé jusqu’à la manie égocentrique, le #cynisme et l’indifférence caractérisent aujourd’hui les rapports entre les humains. C’est ainsi que « l’ère du #narcissisme » porte déjà en son sein le prochain niveau de développement psycho-historique. Le marché, l’économie et la pédagogie dictent une idée de la vie intérieure humaine qui doit être flexible et interchangeable, analogue à ce qu’on stigmatise encore aujourd’hui comme « #psychopathe », et qu’on retrouve chez les détenus, en prison ou dans des institutions médico-légales. Le terme de psychopathe n’est pas utilisé ici dans son acception populaire, définissant une personnalité perturbée, imprévisible et violente, mais comme l’ont défini les psychiatres américain et canadien Cleckley et Hare pour qui les caractéristiques d’une personnalité « psychopathique » sont l’incapacité à ressentir de l’empathie, le fait d’être beau parleur, charmeuse, sûre d’elle, à l’aise dans les situations sociales, froide quand elle est sous pression. C’est-à-dire précisément les attributs qui caractérisent les flambeurs et les gourous de la nouvelle économie et du monde de la finance qui continuent à nous pousser vers le précipice.

  • Les traders seraient plus fous que les psychopathes

    http://www.lefigaro.fr/societes/2011/09/28/04015-20110928ARTFIG00490-les-traders-seraient-plus-fous-que-les-psychopath

    Cette méthode n’est pas nouvelle. En 2004, déjà, la revue New Scientist comparait les employés désireux de grimper l’échelle hiérarchique de leur entreprise avec des psychopathes, à cause de leur manque d’empathie et de compassion dans un environnement de stress. « Evidemment, on ne peut pas dire que tous les traders sont dérangés », nuance Thomas Noll au journal allemand Spiegel . « Mais il s’est avéré qu’ils ont eu un comportement plus égocentrique et ont été plus enclins à prendre des risques que le groupe de psychopathes qui ont été soumis aux mêmes tests. »

    « La récession, c’est une opportunité pour nous. Je vais au lit tous les soirs en rêvant d’une nouvelle récession ».

    #trader, #psychopathe, #les_marchés, #New_Scientist, #Université_de_Saint-Gall