• Les psychopathes préfèrent rouler en voitures allemandes, selon une étude ETX Daily Up
    https://www.midilibre.fr/2021/11/22/les-psychopathes-preferent-rouler-en-voitures-allemandes-selon-une-etude-9

    Une étonnante étude britannique révèle que les personnes ayant des caractéristiques proches de celles d’un psychopathe aiment rouler en BMW ou en Audi, alors que ceux davantage sains d’esprit préfèrent les Kia ou les Skoda.


    Une étonnante étude britannique révèle que les personnes ayant des caractéristiques proches de celles d’un psychopathe aiment rouler en BMW ou en Audi, alors que ceux davantage sains d’esprit préfèrent les #Kia ou les #Skoda .

    La prochaine fois que vous croiserez une BMW marron ou une Audi verte, méfiez-vous de son conducteur. Une étude publiée par le comparateur de prix Scrap Car Comparison montre en effet que les possesseurs de voitures allemandes sont les plus susceptibles de présenter des signes de troubles du comportement.

    Cette étude a été réalisée auprès de conducteurs britanniques ayant accepté de passer un petit test de psychologie. Un score (noté sur 36) leur a chacun été attribué, puis une moyenne a été réalisée à partir de la marque de leur voiture. Il en ressort que ce sont les propriétaires de BMW qui présentent en moyenne les signes les plus avant-coureurs de psychopathie, juste devant ceux possédant une Audi. Suivent les propriétaires de Fiat et de Mazda. A noter que ceux qui roulent dans une voiture français ne seraient a priori pas trop inquiétants ! En queue de peloton, les conducteurs de #Seat, de #Kia ou de #Skoda ont l’air bien sages.

    Top 10 des marques dont les conducteurs présentent des signes de psychopathie (/36)
    1. #BMW (12,1)

    2. #Audi (11,7)
    
3. #Fiat (7,0)
    
4. #Mazda (6,4)
    
5. #Honda (6,3)
    
6. #Ford (6,1)

    7. #Mercedes-Benz (5,9)

    8. #Citroën (5,8)
    
9. #Volkswagen (5,4)

    10. #Hyundai (5,3)

    

L’étude va même encore plus loin puisqu’elle établit également un classement en fonction de la couleur de la carrosserie. Ainsi, les conducteurs d’une voiture couleur or (12,7) ou marron (12,2) seraient les plus inquiétants. D’autre part, ceux qui conduisent un #véhicule_électrique obtiennent en moyenne un score bien plus important (16) que ceux qui ont choisi de rouler en #hybride (9,8), au #Diesel (7) ou à l’ #essence (5,2).

    L’étude précise tout de même « qu’aucun de nos conducteurs interrogés n’ait obtenu un score suffisamment élevé pour suggérer qu’ils possèdent des traits clairs généralement exposés par un psychopathe ».

    Cette étude a été réalisée en novembre 2021 par 3Gem auprès de 2000 conducteurs britanniques.

    #Voiture #Angleterre #psychopathe #psychopathie

    • Financer une étude scientifique sur un fait que tous les automobilistes connaissent.
      Il y en a qui s’ennuient et qui ont du pognon à gaspiller.

      Ils auraient pu étudier le type de voiture.
      Les conductrices.eurs de coupés mercedes battent tous les records, dans mon coin.

  • Pourquoi sommes-nous dirigés par tant d’hommes incompétents ? - HBR
    https://www-hbrfrance-fr.cdn.ampproject.org/c/s/www.hbrfrance.fr/chroniques-experts/2019/08/27444-pourquoi-sommes-nous-diriges-par-tant-dhommes-incompetents/?amp=1
    Je prends les caractérisations genrées pour de la pure construction sociale : il est absolument vrai qu’on éduque les garçons pour prendre toute la place, s’affirmer et avoir confiance en eux (on les poussent) et que les filles sont plutôt brimées et régulièrement renvoyées à leur (prétendues) limites et donc poussées à non seulement toujours douter d’elles-mêmes, mais aussi à se sentir illégitimes quand elles parviennent à dépasser (partiellement) cette programmation sociale.

    Je dirais même que l’une des « qualités » les + recherchées chez les dirigeants, c’est la #brutalité. Et pas besoin de vous faire un gros dessin au Stabilo pour comprendre tout ce que cela implique à tous les niveaux.

    L’implication paradoxale de ces résultats est que ce sont les mêmes caractéristiques psychologiques qui expliquent l’ascension professionnelle des #hommes et leur chute. Autrement dit, les caractéristiques dont il faut faire montre pour obtenir un poste de direction sont non seulement différentes, mais aussi à l’opposé de celles requises pour réussir. Résultat, pléthore d’incompétents sont promus à de tels postes au détriment d’individus mieux qualifiés. Sans surprise, on notera également que bon nombre des caractéristiques attribuées aux « leaders » se retrouvent couramment chez les individus qui souffrent de troubles de la personnalité tels que le narcissisme (Steve Jobs et Valdimir Poutine), la #psychopathie (je vous laisse ici choisir le nom de votre despote préféré), la théâtralité (Richard Branson et Steve Balmer) ou le machiavélisme (quasiment tous les politiciens au niveau national). Ce qui est triste, ce n’est pas tant que ces personnalités ne soient pas représentatives du manager moyen, mais que le manager moyen échouera précisément à cause de ces traits de caractère qui lui auront permis de se hisser au sommet.

  • Obscénité d’état : La REM persiste dans le mensonge gouvernemental de la Pitié-Salpétrière et continue de diffamer les nassé·es de l’hôpital, bien que tous les faits soient maintenant établis.

    Décidément, il n’y a pas une ou un député·es de LaREM pour relever le niveau (pathétiquement bas) des autres. Ce matin c’est au tour d’Olivia Grégoire, porte parole des député·es En Marche à l’assemblée, de nous affliger dans un entretien minable sur France Inter.

    Nous sommes six jours après les faits, la journaliste lui pose une question sur le couac castanérien de la Salpétrière (bien que ça ne soit pas le sujet de l’entretien dédié à sa responsabilité à la commission des finances).

    Et Olivia Grégoire ose confirmer les grossiers propos que Castaner a lui-même reconnu - à demi-mots certes, et du bout des lèvres - comme étant des gros mensonges.

    https://www.franceinter.fr/emissions/le-7-9/le-7-9-06-mai-2019

    Olivia Grégoire :

    « j’ai beaucoup écouté Thomas Legrand (sic), je pense que [la déclaration de Castaner] est une maladresse ou une erreur de communication, en revanche, pour ce qui est de la Salpétrière, vous m’excuserez, pour avoir regardé les images en détail et en précision, on est sur de la sémantique, c’est important, c’est pas une attaque, c’est une intrusion violente ! [...] »

    Prise en flagrant délit de soutenir le gros gros mensonge de Castaner qui s’est lui-même engouffré dans la chaine de mensonges de la directrice de l’hôpital, du directeur de l’APHP et d’un médecin - par ailleurs conseillé médical pour le GIPN - qui a affirmé que du matériel informatique avait été dégradé et volé ce qui a été confirmé comme entièrement faux par l’hôpital : A l’heure où Olivia Grégoire parle, les nombreuses vidéos qu’elle a soi-disant regardé attentivement et les nombreux témoignages - y compris du personnel de l’hôpital ont permis d’établir que :

    – Ce n’était pas une intrusion violente, les manifestant·es violemment attaqué·es et maltraité·es par les forces de l’ordre cherchaient désespérément un refuge pour se protéger et respirer dans un espace avec moins de gaz lacrymogène.

    – Que la plupart des manifestant·es ne savaient même pas qu’elles et ils entraient dans l’enceinte d’un hôpital.

    – Que la grille n’a pas été forcé mais que le passage était libre, soit que la grille était déjà ouverte ou en tout cas pas bloquée

    – Que les manifestant·es ont été pousuivi·es dans cet espace par la police qui les a matraqué·es, violenté·es et gazé·es à nouveau (personne n’a mentionné que les forces de l’ordre ont tiré des palets lacrymogènes dans l’enceinte de l’hôpital en direction du service de réanimation, ce qui est très moyennement bon pour les malades)

    – Que la passerelle sur laquelle se sont réfugié·es les manifestant·es terrorisées était la seule issue possible pour elles et eux pour échapper aux matraques. Pratiquement aucune et aucun de ces manifestant·es ne savait que cet escalier menait à un service de réanimation.

    – Confirmé par le personnel de l’hôpital : il n’y a eu aucune intrusion, aucune violence, aucun vol ni dégradation de matériel par ces manifestant·es, tout s’est passé dans le calme.

    OG poursuit :

    « j’ai moi-même malheureusement beaucoup fréquenté les services de réanimation, je pense que se réfugier et/ou apporter de la violence et mouvements comme ça dans un hôpital a été problématique et je pense qu’il faut aussi écouter les mots qu’on a entendu, et je les ai entendu avec force "achevez-le" crié sur le CRS à terre, à quelques mètres de la salpé, et je crois qu’on aurait pu se l’éviter, même si le ministre de l’intérieur a parlé trop vite, il l’a dit lui même, je pense qu’un service de réa c’est grave, il faut du calme, il s’agit juste de la vie et de la mort »

    Ici ce qui est très grave, c’est l’amalgame. Il semble que les membres du gouvernement et les responsables LaREM aient été coaché·es sur cette affaire puisque Marc Fesnau, ministre chargé des relations avec le Parlement auprès du premier ministre tient exactement le même langage et cite aussi l’épisode du CRS à achevé alors qu’il était à terre et blessé dans une interview sur sud radio le 3 mai (ainsi que d’autres membres du gouvernements et d’autres député·es LaREM dont il semble qu’elles et ils soient prié·es de prendre leurs directives de communication à la même source).

    Il est bien évident que crier "achevez-le" alors qu’il est à terre est inacceptable et condamnable, mais le problème est que cet incident n’a rien à voir avec le mouvement de panique des manifestant·es dans l’enceinte de l’hôpital. L’épisode a lieu bien avant, et est un incident complètement séparé. C’est vraiment une mauvaise fois crasse et bien dégueulasse de la part de La REM de faire croire que les nassé·es de la Salpé aient eu quelque chose à voir avec ça. C’est vraiment du niveau de La Rem en général d’ailleurs : le niveau du caniveau. Aucun·e des manifestant·es n’ont insulté ou menacé les forces de l’ordre dans l’enceinte de l’hôpital (c’est d’ailleurs plutôt le contraire, car on entend sur les vidéo de nombreuses insultes et menaces proférées par les forces de l’ordre envers les manifestant·es).

    C’est troublant d’entendre aussi Marc Fesnau sur Sud Radio le vendredi soit deux jours après les événements, donc à un moment où l’essentiel des faits sont établis. Et en réalité lui, il est même pire qu’Olivia Grégoire parce qu’il travestit complètement les faits et la réalité. Comme ses patrons, c’est mensonges sur mensonges. Et c’est très grave car beaucoup sont tenté de croire qu’en effet "il n’y a pas de violence policière mais seulement du maintien de l’ordre" (répété dans cet entretien) :

    https://www.sudradio.fr/politique/marc-fesneau-ne-rentre-pas-dans-un-hopital-quel-que-soit-le-motif

    – Il prétend que Castaner est arrivé à la Salpé et s’est entretenu avec des personnel de l’hôpital qui avaient vécu cet événement de façon violente. C’est faux, tous les personnels ont témoigné du contraire, ont réaffirmé que tout s’était bien passé et qu’ils ne se sont jamais sentis en danger, que quand ils ont expliqué aux gens sur la passerelle qu’ils ne pouvaient pas les laisser rentrer, ils n’ont pas insisté et se sont laissé·es emmener par la police.

    Marc Fesnau poursuit :

    « Tout ça c’est le produit d’un certain nombre de manifestant qui ont fait de la violence toute la journée contre les forces de l’ordre, produisant ce qu’on a vu parfois, c’est-à-dire des actes de violence, à l’endroit parfois des syndicalistes, parfois à l’endroit des forces de l’ordre [...] et quand vous avez des acteurs aussi violents que ceux là, ça produit cette violence là et ça produit aussi parfois des mouvement de foule, et des gens qui, dans cette violence généralisée, peuvent aller dans tel ou tel établissement : y a quand même quelque chose d’étonnant, et c’est d’une certaine façon une violence à soi-même (sic) que d’entrer, même pour se réfugier dans un hôpital »

    Déjà le mec s’exprime comme un manche, rhétorique médiocre, il s’emmêle complètement les pinceaux en hésitant entre la version officielle qu’on lui demande de répéter comme un perroquet (la violence), et la réalité (mouvement d’une foule paniquée), ce qui montre que finalement, il ne croit pas vraiment lui même à ce qu’il dit : il répète cinq fois le mot « violence » [des manifestant·es] dans la même phrase :)

    Par ailleurs il affirme que les éléments violents ont « attaqué » le cortège syndical, ce qui est faux, c’est établi par les témoignages qui désignent encore une fois la police (à neuf reprises). Il décrit le cortège et les manifestant·es comme une bande de voyous et de voyelles incontrôlables qu’il fallait nécessairement ramener « à la raison » (justifiant la charge et le matraquage).

    « les mouvements de force de l’ordre se font pour réprimer une violence (ça fera donc six fois) qui s’exerce par les manifestants ». Ce n’était pas de la répression, c’était du maintien de l’ordre (quand il y a des violences - sept fois - on rétablit le calme)

    Le reste de l’entretien est de cet acabit, en vrac lui, comme Olivia Grégoire s’enfonce dans le mensonge, n’arrive même pas à se rattraper aux branches. Fesnau précise en fin d’entretien que Martin Hirsh, pourvoyeur du gros mensonge a porté plainte pour intrusion violente et que "donc vous voyez, il n’y a pas de fumée sans feu ect..."

    Ce qui est très grave à mon sens, entre autre chose, c’est que le gouvernement via ses caniches persiste à jeter le discrédit sur les manifestant·es de la Salpé alors qu’elles et ils savent très bien aujourd’hui la vérité, ils savent très bien ce qui s’est passé réellement, qu’aucune de ces personnes n’étaient ni violentes, ni mal intentionnées, ne cherchant légitimement que un refuge alors qu’ils se sentaient menacé·es dans leur intégrité physique, terrorisé à l’idée qu’on leur fasse mal. En somme, que ces gens n’ont absolument rien fait de mal ou de répréhensible.

    De ce point de vue mesdames et messieurs responsables ou ministres de LaRem, vous êtes vraiment bien cradoc. Vous leur devez les excuses de la République, cette république que vous êtes en train de pervertir en nous faisant croire que vous « assurer l’exercice de l’état de droit ».

    Gouverner par le mensonge n’est pas tout à fait « l’exercice de l’état de droit ».

    En plus

    Je n’ai pas parlé des étudiants qui habitaient dans la résidence et qui ont été aussi poursuivis et matraqués sans raisons. Nous y reviendrons.

    Je n’ai pas parlé des témoignages des gardés à vue de la Salpé qui ont subi beaucoup de violences, d’insultes et noté de nombreuses irrégularités au cours de leurs 30 heures passés en GAV. Nous y reviedrons aussi.

    #castaner #macron #violences_policières #mensonge_d_état #psychopathie_d_etat

    • Je pense qu’il faut absolument considérer qu’il ne s’agit pas du tout d’énoncer ce qu’on pense être une vérité. La notion de vrai ou de faux des faits, dans le cadre du discours politico-médiatique, n’a pas grand intérêt. Le principe, ici, c’est d’exprimer un marqueur d’attachement à un camp, pas à la véracité de ce qui est dit. Je m’en fous de ce savoir si c’est vrai : j’affirme que j’appartiens au camp qui défend cette position et c’est tout ce qu’on attend de moi.

      C’est le principe des foutaises de Trump : plus c’est gros, plus « ça passe », parce qu’en fait l’idée n’est pas l’énoncé du vrai ou du faux du fait, mais d’avoir une position (effet « dog whistle ») que les gens vont soutenir, dans le seul but d’afficher son attachement à son camp. Le fait que ce soit factuellement faux, de façon plus ou moins évidente, introduit un aspect « clivant » qui renforce cet aspect : si on s’accordait en gros sur la réalité des faits, il n’y aurait plus de marqueur d’attachement à telle ou telle version ; si je marque mon attachement à une version particulièrement contestable, là la « fidélité » à mon camp devient d’autant plus visible.

      Je pense que ça a toujours été le cas, y compris à gauche et très à gauche, mais ça fait plus de trente ans que j’en bouffe dans mes discussions de famille : tu peux dire ce que tu veux, au bout d’un moment on arrive où les faits sont résumés par : « oui mais de toute façon quand même ça se fait pas… », avec immédiatement l’énoncé de son attachement aux valeurs de l’ordre, le respect des flics, de la hiérarchie, de la bonté généreuse de l’État français à l’égards des indigènes basanés, etc.

      Ce qui m’a frappé, c’est la déclaration de Précresse, qui a explicité très exactement ce « oui mais quand même ça se fait pas… » :

      https://www.francetvinfo.fr/economie/transports/gilets-jaunes/pitie-salpetriere-le-ministre-de-l-interieur-a-un-peu-surreagi-mais-il-

      « Qu’est-ce qui justifie une intrusion dans un hôpital public ? s’interroge Valérie Pécresse. Peu importe l’intention ! Qu’est-ce qu’on en sait ? Qu’est-ce qu’on sait des dégradations qu’ils auraient pu commettre s’ils avaient pu rentrer dans ce service de réanimation ? Franchement, je suis désolée, je suis dans le parti de l’ordre et vous ne m’en ferez pas dévier. » "L’hôpital, c’est un sanctuaire, et il doit être respecté par les manifestants", conclut Valérie Pécresse.

      Difficile de mieux résumer l’énoncé systématique du populisme de droite : « peu importe », de toute façon je n’énonce cette fadaise que pour proclamer mon attachement au parti de l’ordre…

  • Saudis demanded good publicity over Yemen aid, leaked UN document shows | Global development | The Guardian
    https://www.theguardian.com/global-development/2018/oct/30/saudis-demanded-good-publicity-over-yemen-aid-leaked-un-document-shows

    Saudi Arabia demanded that aid agencies operating in Yemen should provide favourable publicity for Riyadh’s role in providing $930m (£725m) of humanitarian aid, an internal UN document reveals.

    Saudi military intervention in the three-year civil war is widely regarded as a prime cause of the humanitarian disaster that has seen 10,000 civilians killed, and left millions close to starvation. The kingdom intervened in Yemen to restore a UN-recognised government, and push back Iranian-supported Houthi rebels.

    Un seul tag possible #psychopathie en plus de #arabie_saoudite

  • Alain Chouet : « Nous sommes alliés avec ceux qui sponsorisent depuis trente ans le phénomène djihadiste »
    http://www.humanite.fr/alain-chouet-nous-sommes-allies-avec-ceux-qui-sponsorisent-depuis-trente-an

    HD. Comment analysez-vous le profil de Yassin Salhi ? Correspond-il à celui du « loup solitaire » ou à celui d’un terroriste agissant pour le compte d’une organisation structurée ?

    ALAIN CHOUET. Il ne s’agit pas d’un loup solitaire mais plutôt d’un crétin solitaire ! Les réactions médiatiques sont dans l’ensemble pathétiques. La presse a soutenu pendant trois jours que c’était un dangereux terroriste et j’ai refusé toute interview à ce sujet parce qu’il semblait bien qu’il s’agissait d’un acte personnel sans lien avec la mouvance terroriste. Ce type pète les plombs, tue son patron avant de tenter de rationaliser son acte comme le font tous les psychopathes et les sociopathes. Alors il hurle « Allahou Akbar », et il envoie une photo au seul copain qu’il connaît qui se trouve en Syrie, peut-être dans l’espoir que l ’« État islamique » revendique son acte.

  • Pierre Guerlain : La révolte des élites | Bien vu !
    http://www.huffingtonpost.fr/pierre-guerlain/exil-fiscal-elites_b_2374197.html

    Les capitaines d’industrie, acteurs ou chanteurs qui vont protéger leur fortune en Belgique, en Suisse ou au Luxembourg sont des enfants gâtés du système économique qui ne supportent pas de donner quelques petites piécettes supplémentaires au fisc, piécettes qui ne mettraient pas leur fortune en danger. Ils n’ont pas de conscience sociale et le sens de la solidarité est absent chez eux. Ils agissent en néolibéraux égoïstes qui ont bien intégré les valeurs individualistes et rapaces du fonctionnement du capitalisme mondialisé. Non seulement ils ont gagné la guerre des classes mais leur gourmandise comme leur capital ne connaît pas de frontières.