• De la publicité dans les audiolivres : Amazon invente-t-il l’eau froide ?
    https://actualitte.com/article/111027/acteurs-numeriques/de-la-publicite-dans-les-audiolivres-amazon-invente-t-il-l-eau-froide

    A mon sens, le livre est en principe le « dernier espace sans publicité ».
    Ce n’est pas parce que d’autres ont déjà inséré de la publicité dans ce qu’ils continuent d’appeler des livres que cela peut justifier cette nouvelle tentative de faire pénétrer la pub partout.
    A mon sens, un produit écrit ou illustré avec de la pub dedans ne devrait pas pouvoir s’appeler « livre ».

    Audible, filiale d’Amazon, part en quête de nouveaux clients. Et pour les sortir de leur terrier, expérimente une offre audiolivres et podcasts gratuite, financée par des spots publicitaires. Un modèle économique bien connu, qui dévoile la guerre ouverte entre les géans du web, autour de la publicité en ligne... Ou comment l’œuvre devient monétisable à l’envi.

    Publié le :

    05/04/2023 à 15:32

    Zoé Picard

    Les commentaires et questionnements d’utilisateurs intrigués ont contraint Amazon à sortir du bois : des tests sont bien en cours sur la rentabilisation du format audio. Et, plus spécifiquement, les productions Audible Original – autrement dit, les titres qu’édite le vendeur. La solution avec pub cible les curieux non encore abonnés, suivant le modèle classique : œuvres en accès gratuit contre messages promotionnels, précise la FAQ.

    Concrètement, 8 spots audio par tranche de 24 heures d’écoute qui ne « ne seront pas diffusés trop fréquemment dans un court laps de temps ». Comme l’expérimentation concerne aussi les podcasts, leurs producteurs ont été informés, avec la possibilité de se désinscrire du programme.
    Un avenir pour l’audiolivre ?

    L’entreprise prétend confusément répondre à un objectif « d’optimisation » pour « mieux connaître les besoins changeants » côté clients et partenaires. Une déclaration d’intention qui peine à masquer les enjeux lucratifs de cette décision.
    Nouvelles sources de revenus

    Audible coupe les poils des oreilles d’acteurs comme Spotify - qui se rêve en leader du marché. L’été dernier, la société suédoise a acheté le distributeurs d’audiolivres Findaway pour 119 millions $, afin de consolider son offre. Dawn Ostroff, anciennement directrice du contenu, l’avait à l’époque glissé : Spotify « envisageait d’introduire la monétisation publicitaire dans les livres audio ».

    Idem pour Pushkin Industries (producteur de podcasts et audiolivres), dont la directrice Heather Fain faisait part de son intérêt pour ce modèle à Marketing Brew. Sans avoir encore exploré le sujet en profondeur, elle serait « prête à expérimenter ».
    Le format qui séduit

    Avec 839,5 millions $ de ventes en 2022, par téléchargement, le format audio connaît une croissance constante aux États-Unis : il pèse désormais pour 9,2 % sur le marché du livre en valeur, avec 7 % de croissance par rapport à 2021. La production se maintient : 74.000 nouveautés l’an passé, le même nombre que l’année précédente.

    Porté aux nues, de même que le livre numérique voilà quelques années, l’audiolivre représente le relai de croissance tant attendu – puisque l’ebook stagne. Et Amazon entend bien dominer largement le marché.
    Pub et livres, une vieille histoire

    Amazon n’invente rien avec sa solution. Au milieu du XIXe siècle, les livres de Dickens contenaient d’authentiques pause publicitaire, sur une page entière. De même avec le poche : dans les années 60 et 70, les lecteurs américains y trouvaient des campagnes pour des produits de beauté ou des cigarettes.

    Une approche peu à peu abandonnée : les marketeux préféraient les magazines, la radio et télévision, plus attractifs. Les éditeurs ont été contraints contractuellement à cesser cette pratique. Le nombre de cerveaux disponibles dépend de ventes impossibles à prévoir : pas très rassurant. Ils se heurtaient également à la réticence des lecteurs soucieux de ce que leur temps de lecture échappe au consumérisme. Fin 1980, la réclame disparut...

    Manifestement inspiré, Amazon a adapté cette solution en 2010 : sa liseuse se déclina en deux versions. Sur l’une, moins chère, le fond d’écran affichait une pub, l’autre sans pub, était plus onéreuse.

    D’ailleurs, dans un autre registre, les écrivains eux-mêmes, n’hésitent pas à monnayer leur image. Joël Dicker devint ambassadeur de la compagnie aérienne Swiss en 2014, puis en 2016 pour les montres suisses Piaget. Beigbeder a posé pour les Galeries Lafayette ou promu les smartphones de Samsung. Colette, plus sobre, travailla pour Perrier, quand Cocteau se fit, en 1947, vendeur de télévisions…
    Audiobook et publicité online

    Les livres audio ont gagné en popularité au fil des ans et en particulier depuis la pandémie de la covid-19. Au niveau mondial, les ventes de 2021 représentaient 4,2 milliards $, selon le cabinet Grand View Research, qui estime que l’audiobook devrait en peser 15 milliards $ dès 2027. Et, mieux encore, 30 milliards en 2030...

    Or, de même que le livre papier fut le moteur de développement d’Amazon, avant d’en devenir un produit d’appel, l’audiobook sert avant tout de moyen. La croissance économique de la firme ne réside pas dans les ventes de biens : voilà des années qu’Amazon Web Service (le département technologique centré sur le cloud) porte les résultats financiers, avec la publicité numérique.

    L’Observatoire de l’E-Pub du Syndicat des Régies Internet a dévoilé des chiffres qui attestent du ralentissement de la croissance de la pub numérique. Après une hausse de 10 % à 8,5 milliards € en 2022, cette année le taux estimé ne dépasse pas 6 %. En cause : un climat général antipub, une exigence de sobriété....

    Mais la guerre fait rage entre Google, Meta (ex-Facebook) et Amazon : ils accaparent les deux tiers du marché de la publicité en ligne, avec 5,6 milliards $. En parallèle, l’économie de l’audiodigital (webradios, streaming, assistants vocaux, podcasts... et audiolivres) a connu une hausse de 53 % l’an passé.

    Toute nouvelle solution de commercialisation est bonne à prendre, pour convaincre les annonceurs.

    Crédits photo : ActuaLitté (CC BY-SA 2.0)

    #Publicité #Livre #Livre_audio #Amazon #Audible #Spotify

  • Faut-il bannir ChatGPT du monde de la recherche ? - Educpros
    https://www.letudiant.fr/educpros/enquetes/faut-il-bannir-chatgpt-du-monde-de-la-recherche.html

    ChatGPT : allié ou ennemi des chercheurs ? La réponse n’est pas si manichéenne. Un modèle de langue peut rendre certaines tâches plus simples, tant qu’il est utilisé comme une source d’aide perfectible. Les chercheurs vont-ils un jour utiliser ChatGPT comme appui à la rédaction de leurs travaux et articles de recherche ?

    Le 16 décembre 2022, la revue Nurse Education in Practice publie un article sur son site. En apparence rien d’anormal, l’article traite de l’utilisation de l’intelligence artificielle dans les études en soins infirmiers. Pourtant aux côtés du nom de la chercheuse britannique Siobhan O’Connor, apparaît celui de ChatGPT. Que fait-il ici  ? « L’utilisation de cet outil par un chercheur ou une chercheuse n’est pas différente de celle d’une autre personne : paraphraser, traduire, résumer… », annonce Teven Le Scao, chercheur au Loria et chez Hugging Face, spécialisé en modèle de langue.

    « Si on demande à ChatGPT de rédiger un article de recherche, il pourrait le faire de façon convaincante », assure Teven Le Scao. Une aubaine pour une personne peu honnête dans un monde aussi compétitif que celui de la recherche. « Il y a une crainte qu’il y ait énormément de papiers générés : pour avoir plus de citations ou simplement pour s’amuser à voir si un tel article pourrait être publié », convient Rachel Bawden, chercheuse à Inria spécialisée dans le traitement automatique des langues.

    L’irruption de ChatGPT bouscule les usages du monde enseignant
    L’usage de ChatGPT, contraire aux principes de publication de recherche

    Or cela est contraire aux principes derrière une publication. « Cela pose des problèmes de fiabilité des arguments avancés et de réplicabilité des résultats », prévient Dominique Boullier, professeur de sociologie à Science po Paris et spécialiste des usages du numérique.

    Si on demande à ChatGPT de rédiger un article de recherche, il pourrait le faire de façon convaincante. (T. Le Scao, chercheur)

    Faut-il pour autant le bannir en prévision de telles dérives  ? Déjà, cela s’avèrerait très difficile. Il faudrait alors être en mesure d’identifier avec certitude qu’un texte a été produit par un modèle de langue. Or, les outils actuels ne sont pas toujours en mesure de trouver l’auteur d’un texte – surtout s’il a été par la suite modifié par un humain.

    Mais surtout, ce serait occulter l’aide qu’il peut apporter. « C’est par exemple un outil intéressant pour les non-anglophones, soutient Rachel Bawden. Pour un anglophone natif, il est souvent très facile de reconnaître que l’article n’a pas été écrit par un anglophone. Or un anglais de mauvaise qualité peut diminuer l’impact du travail de recherche, surtout s’il rend l’article difficile à comprendre. »

    Les modèles de langues peuvent donc aider des chercheurs dans leur rédaction en langue anglaise. Ces modèles peuvent générer un code informatique, reformuler un passage, trouver un titre ou rédiger un abstract de façon convaincante. Dans une pré-publication déposée sur le site bioRXiv, la chercheuse Catherine Gao de l’université Northwestern et ses collègues ont généré les abstracts de 50 articles de recherche avec ChatGPT et ont demandé à des chercheurs et chercheuses de les retrouver. Dans 32% des cas, la patte de l’IA n’a pas été reconnue.

    Demain, tous formés dans le métavers  ?
    Utiliser ChatGPT en connaissance de ses limites

    Une pratique honnête tient aussi à l’utiliser en toute connaissance de ses limites. Même si ce qu’écrit ce chatbot ressemble à un texte « humain », il y a un risque que des erreurs se glissent dans ses lignes. Il a tendance à mélanger des citations, à renvoyer des choses fausses, à ne pas citer ses sources et, quand il le fait, à inventer des références ou des auteurs.

    Il est important de savoir faire les choses mieux que la machine, ainsi on peut l’utiliser et détecter la moindre erreur. (R. Bawden, Inria)

    « Il est important de savoir faire les choses mieux que la machine, ainsi on peut l’utiliser et détecter la moindre erreur », prévient Rachel Bawden. Il ne faut pas se reposer sur l’aspect convaincant, et au contraire privilégier son esprit critique. « Les chercheurs et chercheuses sont formés à ne pas faire de raccourci quand ils doivent trouver une réponse. Or la génération de texte tend à favoriser les réflexions courtes et rapides pour obtenir cette réponse », analyse Dominique Boullier. « Si ces outils s’améliorent dans le futur, cela peut poser des problèmes pour notre capacité à raisonner », ajoute Rachel Bawden.
    Une vigilance sur la collecte de données de recherche

    Une autre vigilance à garder en tête : celle des données récoltées. « Comme ce qui se passe pour les réseaux sociaux, nous contribuons à entraîner ces modèles », prévient Dominique Boullier. Or, quand certaines données sont sensibles, il serait bon qu’elles ne soient pas collectées. Cette petite révolution des chatbots oblige en tout cas les acteurs du monde de la recherche à fournir leurs directives d’utilisation.

    L’Association de Linguistique Computationnelle (Association for Computational Linguistics, ACL), qui organise des conférences, déconseille de s’aider d’un modèle de langue pour un nouveau texte sur de nouvelles idées. Également, au mois de janvier la revue Nature s’est positionnée : l’utilisation de ChatGPT n’est pas prohibée, elle doit être mentionnée mais pas parmi les auteur(e)s. « Cette recommandation est naturelle : l’auteur doit endosser la responsabilité et pouvoir être contacté. ChatGPT ne répond pas à ces critères », justifie Teven Le Scao.

    Pour l’instant, ChatGPT reste marginal dans le monde de la recherche. Comme le souligne Rachel Bawden : « Je ne crois pas avoir rencontré un article écrit avec ce chatbot. Mais si c’était le cas, je regarderais sûrement les références plus en détail. Même si s’aider de ChatGPT ne me pose pas de problème, je me méfierais certainement un peu plus. »

    Charlotte Mauger | Publié le 03.04.2023 à 14H00

    #ChatGPT #Recherche #Publications_scientifiques

    • Ainsi, l’interdiction des publicités lumineuses entre 1 h et 6 h du matin dans toutes les villes de France est désormais confirmée sauf les publicités installées dans les aéroports, gares, stations de métro et bus. Celles-ci bénéficient d’un régime particulier durant les heures de fonctionnement. Toutefois, les publicités numériques concernées doivent être à image fixe.

      À noter que le décret a cependant instauré un délai pour les publicités lumineuses supportées par le mobilier urbain. L’extinction des feux nocturne ne deviendra obligatoire qu’à compter du 1er juin 2023.

  • Die erfundene Freundschaft - Propaganda für die Sowjetunion in Polen und in der DDR
    https://zeitgeschichte-digital.de/doks/files/358/behrends_erfundene_freundschaft_2006_de.pdf

    Voici une bonne dose d’anticommunisme. C’est assez méticuleux et contient plein de détails intéressants. Il n’est pas nécessaire de partager le parti-pris ou les convictions de l’auteur pour tirer profit de son travail.

    Die erkenntnisleitenden Fragen dieser Studie lassen sich zu drei Blöcken verdichten. Dabei stehen die Machtstrukturen (I), der Herrschaftsdiskurs (II) und die Rezeption der Propaganda (III) im Zentrum des Forschungsinteresses:

    I.
    Mit welchen Mitteln versuchte der Propagandastaat die Bevölkerung zu erreichen? Wie nutzten die Staatsparteien Massenorganisationen, Kampagnen und Massenfeste? Welchen Einfluß übte die Sowjetunion aus und wieviel Gestaltungsspielraum hatten polnische und deutsche Instanzen? Wo stießen die Regime an die Grenzen der Mobilisierung? Wie reagierte der Propagandaapparat in Polen und der DDR nach 1953 auf die ntstalinisierungskrise

    II.
    Wie konstruierte die Propaganda die Freundschaft zur Sowjetunion? Wo schloß man an sowjetische Diskurse an, wo griffen die Parteistaaten auf ältere oder eigene Konstrukte zurück? Welche sowjetischen Rituale übernahmen die Regime, welche neuen Traditionen erfanden sie? Was können wir über die Sprache der Propaganda und die Selbstreflexion der Apparate sagen? Wie veränderte sich der Herrschaftsdiskurs zwischen dem Ende des Zweiten Weltkrieges und der Entstalinisierung?

    III.
    Wie war die Öffentlichkeit in Polen und der DDR in der stalinistischen Epoche strukturiert? Wie läßt sich die Wirkungsmächtigkeit der Propaganda für die Sowjetunion einschätzen? Welche Rolle spielte das kommunikative Gedächtnis der Menschen bei der Rezeption der Propaganda? Welche Beziehungen existierten zwischen der repräsentativen Öffentlichkeit und den Gegenöffentlichkeiten? Wie wirkten sich die Gegenpropaganda des Westens und der Kalte Krieg aus?

    Jan C. Behrends, Die erfundene Freundschaft. Propaganda für die
    Sowjetunion in Polen und in der DDR, Böhlau Köln, 2006 (Zeithistorische Studien. Herausgegeben vom Zentrum für Zeithistorische Forschung Potsdam. Band 32), ISBN 978-3-412-23005-0

    #histoire #propagande #public_relations #URSS #Pologne #Allemagne #nazisme #DDR

  • Raphaëlle Bacqué, le jeûne et le « je »
    https://larevuedesmedias.ina.fr/raphaelle-bacque-m-le-monde-jeune-naturopathe-celeste-candido-f

    Tout début 2023, Raphaëlle Bacqué, grand reporter au Monde, racontait son expérience du jeûne dans un long récit publié dans le magazine sur papier glacé. Sans le vouloir, la journaliste a relayé des pratiques plébiscitées par les naturopathes, mais potentiellement dangereuses. Malaise ?

  • Why social media companies picked a very tricky time to start charging
    https://www.fastcompany.com/90855271/why-social-media-companies-picked-a-very-tricky-time-to-start-charging-

    But now, Meta, parent of Facebook and Instagram, is the latest to try to change that dynamic. With its gargantuan ad business slipping lately, Meta has announced it will test a subscription service, charging $11.99 a month (or nearly $24 for both platforms) for access to certain advanced features and customer support, a verified-identity digital badge, and “extra impersonation protection against accounts claiming to be you,” as Meta CEO Mark Zuckerberg put it. This, of course, follows Elon Musk rolling out a paid version of its familiar verification checkmarks as part of the $8-a-month Twitter Blue service.

    This grasping for new revenue streams is understandable: Digital advertising has softened in general, and Apple’s introduction of a do-not-track option on iOS devices has kneecapped ad-dependent digital businesses. That’s helping inspire a spate of add-on fee experiments from multiple businesses: “Snap gives subscribers early access to new features, YouTube serves them fewer ads, and Discord provides more customization options for people’s chat channels,” Vox recently noted,

    But models that charge you nothing and instead charge advertisers for access to your attention have succeeded well beyond social media, from search giant Google to countless media sites and entertainment platforms and sponsor-funded apps. If anything, advertising is arguably more dominant than ever. Even Amazon and Walmart generate significant ad revenue—and Netflix, after years of resistance, has lately capitulated to an ad-driven tier.

    But that very saturation is surely part of what’s driving the hunt for subscription revenue. Tim Hwang, author of the book Subprime Attention Crisis (which argues that the Internet’s ad-driven ecosystem is far more rickety and vulnerable than it might seem, partly because digital advertising isn’t nearly as effective as claimed), was recently interviewed by New York Times columnist Ezra Klein on his eponymous podcast about the pros and cons of a less ad-dependent online media system. Hwang acknowledges the critique that subscription models can be a walled garden: “A world in which high-quality media sources are moving behind a paywall is one in which low-quality media sources remain out and widely available.” But he still argued for “normalizing subscription” as a means of forcing a “hard conversation” about how information is subsidized, monetized, and spread.

    #Publicité #Médias_sociaux #Tim_Hwang

  • Openly Licensed Images, Audio and More | Openverse
    https://openverse.org

    Projet »sponso« par WP.

    Openverse is a tool that allows openly licensed and #public_domain works to be discovered and used by everyone.

    Openverse searches across more than 300 million #images from open #APIs and the Common Crawl dataset. It goes beyond simple search to aggregate results across multiple public repositories into a single catalog, and facilitates reuse through features like machine-generated tags and one-click attribution.

    For many years, #Creative_Commons has offered its users a dedicated search portal for searching platforms that have #CC licensing filters built in. In fact, this is still maintained at oldsearch.creativecommons.org.

    For users of the legacy CC Meta Search site, the “External Sources” feature on Openverse will look familiar. The goal was to ensure that the functionality is not lost, but is updated and embedded within our new search engine for openly licensed content. In addition, the “External Sources” feature builds on this functionality, allowing us to quickly add new external sources as we discover them, and support new content types in the future, as we expand.

    #stock

  • Publicité, métavers, élections américaines : voici pourquoi l’abonnement payant arrive sur Facebook et Instagram
    https://www.levif.be/economie/techno/publicite-metavers-elections-americaines-voici-pourquoi-labonnement-payant-arr

    Nathan Scheirlinckx
    16:35
    Mise à jour le : 17:10

    Il faudra désormais payer 11,22€ par mois pour avoir un compte certifié sur les deux plateformes de Meta. L’ère du tout gratuit est terminée pour les réseaux sociaux, dont le modèle publicitaire s’effondre.
    Après Twitter et Snapchat, c’est au tour de Facebook et Instagram de proposer un abonnement payant à leurs membres. Atteignant la somme de 11,99$ (soit 11,22€) par mois, il doit permettre « d’améliorer l’authenticité et la sécurité de nos services », a déclaré Marck Zuckerberg.

    Pour Xavier Degraux, formateur et consultant en marketing digital et spécialiste des réseaux sociaux, l’introduction de cet abonnement payant est une demi-surprise. « Il y avait des signes avant-coureurs. La situation économique s’est fortement dégradée avec la guerre en Ukraine et l’inflation qui s’en est suivi. Or on sait qu’en cas de crise économique, les annonceurs sont plus frileux. Ils dépensent moins sur le marché, ce qui a pour effet de baisser les revenus des médias sociaux, qui dépendent largement de la publicité ».
    Le modèle dépassé des réseaux sociaux
    Lors de son lancement en 2004, Facebook avait comme slogan : « C’est gratuit et ça le restera toujours ». Facebook a ainsi établi le modèle dominant des grandes plateformes en ligne : les utilisateurs profitent de services gratuits qui, en contrepartie, récoltent des informations personnelles sur eux pour les cibler avec de la publicité personnalisée.
    Aujourd’hui, Marck Zuckerberg revient en quelque sorte sur sa promesse avec l’arrivée de Meta Verified. « On commence à se rendre compte que les réseaux sociaux entrent dans une nouvelle ère », assure Xavier Degraux.
    Il faut dire que le PDG de Meta n’avait plus vraiment le choix. En 2022, les recettes publicitaires de la compagnie californienne ont baissé pour la première fois depuis son entrée en Bourse en 2012.
    Cette situation économique défavorable se reflète aussi dans le bénéfice net annuel de l’entreprise. 23,2 milliards de dollars, c’est-à-dire 41% de moins que l’année précédente.
    De tels résultats pour un poids lourd de la tech coté en bourse, ça fait tache. Sur l’ensemble de 2022, le cours de l’action de Meta a perdu 29%. Presque un tiers de sa valeur.
    Preuve aussi que les réseaux sociaux prennent un tournant majeur : Meta a dû licencier 13% de ses effectifs en novembre dernier. Une première dans l’histoire de la compagnie américaine. Au même moment, le rachat de Twitter par Elon Musk précipitait le départ de 50% du personnel.
    Lire aussi | La restructuration de Twitter aurait discriminé les femmes
    Jusqu’à 15 dollars par mois pour l’abonnement
    Lâché par une partie de ses annonceurs, Mark Zuckerberg a donc choisi de compenser avec un abonnement payant pour les utilisateurs. Le nom de la formule qu’il espère magique ? Meta Verified. 
    Le montant mensuel pour l’abonnement à Instagram et Facebook varie selon que l’on souscrive sur le web (11,99 dollars par mois) ou sur mobile (14,99 dollars par mois). En cause, les commissions prélevées par iOS (Apple) sur les iPhone et Google sur les smartphones Android.
    L’abonnement permettra aux personnes âgées de 18 ans ou plus :
    d’obtenir un badge bleu de vérification pour leur compte Instagram ou Facebook. Jusqu’ici, cette fonctionnalité était réservée aux personnalités publiques (politiques, athlètes, musiciens, acteurs, journalistes…)
    de bénéficier « d’une visibilité et d’une portée accrues » dans les résultats de recherche, dans les commentaires…
    d’être mieux protégé contre les attaques d’usurpation d’identité (après vérification des cartes d’identité)
    d’accéder directement au service client de Meta
    Le géant des réseaux sociaux a précisé à l’AFP que la formule vise avant tout les créateurs et influenceurs prêts à payer pour que leurs contenus soient diffusés plus largement et apparaissent en haut des résultats de recherche et recommandations.
    Les entreprises, pas concernées par l’abonnement
    Contrairement à la formule Blue mise en place par Elon Musk sur Twitter, Meta Verified ne sera pas accessible aux entreprises. Ça n’a l’air de rien à première vue, et pourtant cela fait une fameuse différence.
    Selon Xavier Degraux, Meta aura davantage de difficultés à récupérer de l’argent sur base de ces abonnements que son concurrent Twitter. « Une entreprise pourrait payer une dizaine de dollars par mois sans trop de souci. Par contre, comment convaincre la population de payer pour quelque chose qui était 100% gratuit par le passé ? C’est à mon sens le défi auquel Meta va faire face ».
    Un abonnement payant pour financer le métavers ?
    Si Meta est dans une situation économique compliquée, c’est aussi à cause des investissements de Marck Zuckerberg dans le métavers, qui dépassent les 20 milliards de dollars. « Meta s’est engagé à réduire ses investissements. Pour l’instant, on voit bien que la sauce ne prend pas. Beaucoup de gens savent ce qu’est le métavers, mais peu sont prêts à investir dedans ».
    Lire aussi | Métavers : la guerre des nouveaux mondes
    Face au peu d’engouement suscité par le métavers, le fondateur de Facebook chercherait donc à financer autrement ses investissements, via cet abonnement payant. « Les abonnés financeront en partie les investissements dans le métavers, sans le savoir. Zuckerberg leur force la main, car il voit que les membres de la communauté sont peu intéressés pour le moment ».
    A l’horizon, les prochaines élections américaines
    Derrière ce tournant majeur pris par Facebook et Instagram, il y a aussi l’influence des prochaines élections américaines de novembre 2024, selon Xavier Degraux. « Les autorités de régulation exercent une pression pour que Facebook réduise le nombre de comptes fake. L’objectif est d’aboutir à une plateforme plus safe, qui permettrait de rassurer les annonceurs à l’approche de la campagne électorale ».
    En 2016, Facebook s’était retrouvé englué dans une polémique lors de la campagne présidentielle aux Etats-Unis. Les données personnelles de 87 millions d’utilisateurs s’étaient alors retrouvées entre les mains de la société Cambridge Analytica à leur insu.
    Lire aussi | Scandale de Cambridge Analytica : Facebook accepte de payer 725 millions de dollars
    L’abonnement payant testé en Australie et en Nouvelle-Zélande
    Meta Verified sera d’abord testé en Australie et Nouvelle-Zélande à partir de cette semaine, avant d’être étendu aux Etats-Unis et à d’autres pays. La phase de test doit permettre à l’entreprise de la Silicon Valley d’évaluer et éventuellement d’ajuster son offre en fonction des retours.
    L’abonnement payant sur Facebook et Instagram sera-t-il une réussite ? Xavier Degraux se montre sceptique : « Jusqu’ici, Snapchat a séduit un million de membres sur un total de 750 millions. Et le réseau social d’Elon Musk ? À peine 290.000 sur les douze pays concernés pour le moment ».
    Si 3,74 milliards de personnes dans le monde utilisent au moins un des services (réseaux sociaux et messageries) de Meta chaque mois, il faudra voir combien sont prêts à sortir leur portefeuille pour Meta Verified…

    #Facebook #Médias_sociaux #Economie_numerique #Ithasbegun #Publicité

  • Et si vous lanciez un ballon sonde ? Idée pour une Fête, une manifestation, une cérémonie . . . .
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    #publicité #ballons #ballon-sonde #ballon_stratosphérique #ballons_météo #stratosphère #photographie #ovnis #humour

  • « Le risque est grand de voir l’#université cesser d’être universelle »
    https://www.lemonde.fr/societe/article/2023/02/07/le-risque-est-grand-de-voir-l-universite-cesser-d-etre-universelle_6160801_3

    Les signes sont désormais sans ambiguïté. L’exercice du pouvoir par le président Macron aura mis fin à une certaine exception française, celle d’un enseignement supérieur national de haut niveau, quasiment gratuit et, pour l’essentiel, #public.

    Le ver était dans le fruit, mais le phénomène a connu une accélération exceptionnelle dans les dernières années. Il y avait donc un plan caché (ou pas) pour mettre fin à une conception originale de l’enseignement supérieur érigé en service public. Ses traits distinctifs disparaissent sous nos yeux ébahis.

    #France #paywall

  • Home Depot a partagé avec Meta des renseignements personnels de clients à leur insu La Presse canadienne
    Les consommateurs donnaient leur adresse électronique au quincaillier pour recevoir leur facture par courriel.

    L’entreprise américaine Home Depot est montrée du doigt par le commissaire à la protection de la vie privée du Canada.

    Le magasin de rénovation Home Depot a partagé les détails de reçus électroniques avec Meta, la société mère de Facebook, à l’insu des clients ou sans leur consentement, conclut le commissaire à la protection de la vie privée du Canada.

    Dans un rapport publié jeudi, Philippe Dufresne indique que les données partagées par Home Depot comprenaient notamment des adresses électroniques chiffrées de clients et des renseignements sur leurs achats en magasin.

    L’enquête du commissaire a révélé que les informations transmises à Meta étaient utilisées pour déterminer si un client avait un compte Facebook. Si c’était le cas, Meta comparait ce que le client avait acheté chez Home Depot aux publicités sur Facebook, afin de mesurer leur efficacité.

    Meta a également pu utiliser les informations sur les clients à ses propres fins commerciales, “y compris le profilage des utilisateurs et le ciblage publicitaire, sans lien avec Home Depot”, a constaté le commissaire.

    L’enquête a ainsi permis d’apprendre que “depuis au moins 2018”, Home Depot recueillait les adresses électroniques de clients, lors de leur passage à la caisse, afin de leur envoyer un reçu électronique.

    Avoir su, des clients auraient peut-être dit non
    Dans un communiqué, le commissaire Dufresne estime qu’il est peu probable que les clients de Home Depot s’attendaient à ce que leur information personnelle soit ainsi communiquée à une plateforme de médias sociaux tiers, simplement parce qu’ils avaient opté à la caisse pour un reçu électronique.

    “Lorsqu’on demandait aux clients de fournir leur adresse électronique à la caisse, on ne leur disait jamais que leurs renseignements seraient communiqués à Meta et on ne leur fournissait pas d’information sur la façon dont Meta ou Home Depot utiliserait leurs renseignements”, a résumé le commissaire Dufresne. “Cette information aurait été d’une grande importance dans la décision des clients de demander ou non un reçu électronique.”

    M. Dufresne rappelle aux entreprises qu’elles doivent obtenir le consentement valide des clients au moment de la vente avant de s’adonner à ce type d’activité commerciale.

    “Les entreprises qui cherchent de plus en plus à offrir des services en ligne doivent porter une attention particulière à toute utilisation des renseignements personnels qu’elles recueillent, car il pourrait être nécessaire d’obtenir un consentement supplémentaire”, a expliqué le commissaire Dufresne.

    Le commissaire à la protection de la vie privée du Canada, Philippe Dufresne, a présenté à la presse son plus récent rapport, jeudi. Photo : La Presse canadienne / Spencer Colby

    Pour sa défense, Home Depot a déclaré au commissaire qu’il s’appuyait sur le “consentement tacite” et que sa déclaration de confidentialité, disponible sur son site web et en version imprimée sur demande dans les points de vente au détail, expliquait de manière adéquate l’utilisation des informations par l’entreprise. Le détaillant a également cité la politique de confidentialité de Facebook.

    Le commissaire a rejeté les arguments de Home Depot, affirmant que les documents invoqués relativement au consentement n’étaient pas accessibles sur-le-champ au passage à la caisse – et que les clients n’avaient aucune raison de chercher à en prendre connaissance.

    “Les explications offertes dans les politiques de l’entreprise étaient insuffisantes pour obtenir un consentement valable”, conclut le commissaire Dufresne.

    Il a recommandé que jusqu’à ce que Home Depot soit en mesure de mettre en place des mesures pour assurer un consentement valide, le détaillant devrait cesser de divulguer à Meta les renseignements personnels des clients qui demandent un reçu électronique à la caisse.

    Le commissaire indique que Home Depot a pleinement collaboré à l’enquête, a accepté de donner suite aux recommandations du Commissariat. Home Depot a par ailleurs cessé en octobre de partager avec Meta des informations sur les clients, ajoute le commissaire.

    Source : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1951213/protection-vie-privee-facebook-quincailler-home-depot

    #meta #facebook #publicité #surveillance #google #surveillance #algorithme #publicité #bigdata #internet #manipulation #domination #profiling #amazon #données #réseaux_sociaux #gafam

  • Une des joies d’être une (toute petite) entreprise, c’est qu’environ deux fois par an, je reçois un mail d’une « journaliste » « chargée de veille économique », pour une boîte avec « Médias » dans le nom, et qui me dit que c’est trop chouette, on voudrait m’interviewer pour passer dans une émission sur une radio connue, ou pour un article au sujet du savoir-faire de ma boîte pour un grand journal.

    Et on te propose un rendez-vous téléphonique, pour qu’on te « présente le dispositif et les modalités de participation ».

    Alors par « modalités de participation », il faut juste comprendre qu’on va te demander des sous. Par « dispositif », ça veut dire que c’est toi qui fournit les questions et réponses du billet et qu’en face, tout le monde s’en branle de ce que tu fais. Mais ça, c’est une fois que tu as eu la dame au téléphone que tu le comprends.

    (La première fois, naïf que je suis, j’ai été excité tout le week-end, tout content qu’un média ait envie de parler de mon travail, « je sais pas, je suppose qu’ils ont vu un truc que j’ai fait ». Comment je me suis senti con quand j’ai finalement eu la dame au bigophone.)

  • La radio publique en plein #capitalisme_de_surveillance

    Comme beaucoup d’internautes, j’écoute des podcasts. Plein de podcasts en fait, de tous les styles. J’aime beaucoup les émissions de #Radio_France (Inter, Culture notamment). Et j’ai donc toujours utilisé un logiciel de #podcast pour m’abonner à mes émissions préférées et les écouter.

    Mais ça, c’était avant que Radio France ne se lance dans le capitalisme de surveillance, verrouille ses podcasts et force la consommation par ses canaux (site web et application) bourrés de traceurs. Un scandale, car on parle ici d’un #service_public payé par nos impôts, qui ne se contente pas de compléter son modèle économique par de la #publicité (discutable, mais entendable), mais qui se complait dans les pires techniques du capitalisme de surveillance. Démonstration en trois actes.

    https://louisderrac.com/2022/11/28/la-radio-publique-en-plein-capitalisme-de-surveillance

  • Auteurs influenceurs
    https://laviedesidees.fr/Auteurs-influenceurs.html

    À propos de : Myriam Boucharenc, L’Écrivain et la publicité. Histoire d’une tentation, Champ Vallon. Bien des écrivains, de Valéry, Cocteau et Colette à Frédéric Dard ou Beigbeder, ont prêté leur talent, leur signature et parfois leur image à la promotion publicitaire. Myriam Boucharenc retrace la « destinée occultée de ce couple controversé ».

    #Arts #littérature #publicité
    https://laviedesidees.fr/IMG/docx/202211_pub.docx
    https://laviedesidees.fr/IMG/pdf/20221123_pub.pdf

  • Vass Bednar: Digital ads are a desperate gamble in a fantasy economy
    https://ca.finance.yahoo.com/news/vass-bednar-digital-ads-desperate-163558047.html
    https://media.zenfs.com/en/financial_post_articles_610/07c92d7b4ca7e6725f456de8b3c0c3a3

    Digital advertising brings in billions of dollars in revenue to Meta Platforms Inc.’s Facebook and Alphabet Inc.’s Google in Canada, with Amazon.com Inc. also emerging as a significant third player, according to recent research from Carleton University’s global media and internet concentration project. Advertising on Google’s search engine and YouTube brought in an estimated $6.2 billion, or $162 per Canadian, in 2021. Meta earned just under $4 billion last year across Facebook, Instagram and WhatsApp, claiming one-third of Canada’s online advertising market, and derives almost all of its revenue from such ads globally. Amazon, a more recent entrant, made an estimated $1.2 billion in revenue from advertising, or almost 10 per cent of all online advertising in Canada. Together, these three tech conglomerates accounted for around 90 per cent of the online advertising market and more than two-thirds of all ad money in Canada.

    The online advertising industry is clearly profitable for massive platforms. But we should not confuse its profitability with effectiveness. Platforms earn money when an ad is viewed or listened to by a captive consumer, but that digestion doesn’t guarantee a purchase will occur. Indeed, that elusive purchase is nothing more than a reverie, and we’re all crushing the Kool-Aid in believing it’s a sure thing.

    Other research demonstrates that micro-targeted digital ads simply don’t work. As former Google employee Tim Hwang said in his 2020 book Subprime Attention Crisis, ad tech could be the next internet bubble. Further, the returns on investment in digital marketing have been proven to be embarrassingly poor for the companies advertising. One study found that ad-tech middlemen are substantially enriched by the online advertising game, sucking up as much as 50 per cent of all online spending. Another study found that automated micro-targeting performed slightly worse than random guessing. Meanwhile, digital ads are often credited for purchases that would have been made anyway, making them “the most widely used shell game in business today,” writes Sinan Aral in The Hype Machine.

    Nonetheless, the ability to collect information about people as they prowl the internet predicates online giants’ ability to command advertising dollars for totally random results. That’s led to a company policy knife-fight between Apple Inc. and everyone else after the tech giant forced developers to obtain explicit consent from users. This has resulted in even less accurate micro-targeting — Facebook’s recent software update practically begs people to subject themselves to being tracked. Apple’s change means online advertising now generally costs more, translating into increased costs for small businesses hoping to reach new and relevant audiences online, on top of the digital fees extorted from developers on mobile application stores. All of this expenditure and effort hinges on the promise that advertising expenditure is richly rewarding, a necessary investment for e-commerce players.

    Maybe it is time we start seeing online ads for what they really are: a desperate gamble in a fantasy economy.

    #Tim_Hwang #Publicité

  • The Perth dog that’s probably smarter than you | PerthNow
    https://www.perthnow.com.au/news/wa/the-perth-dog-thats-probably-smarter-than-you-ng-a4de0d201ce420e0302c69

    Quand un chercheur fait inscrire son chien dans le conseil scientifique de revues scientifiques voyous ("predatory")

    MOVE aside quokkas and black swans, Perth is now home to the world’s smartest dog, at least on paper.

    Local “academic” Dr Olivia Doll — also known as Staffordshire terrier Ollie — sits on the editorial boards of seven international medical journals and has just been asked to review a research paper on the management of tumours.

    Her impressive curriculum vitae lists her current role as senior lecturer at the Subiaco College of Veterinary Science and past associate of the Shenton Park Institute for Canine Refuge Studies — which is code for her earlier life in the dog refuge.

    Ollie’s owner, veteran public health expert Mike Daube, decided to test how carefully some journals scrutinised their editorial reviewers, by inventing Dr Doll and making up her credentials.

    The five-year-old pooch has managed to dupe a range of publications specialising in drug abuse, psychiatry and respiratory medicine into appointing her to their editorial boards.

    Dr Doll has even been fast-tracked to the position of associate editor of the Global Journal of Addiction and Rehabilitation Medicine.

    Several journals have published on their websites a supplied photo of Dr Doll, which is actually of a bespectacled Kylie Minogue.

    Professor Daube said none of them smelt a rat, despite Dr Doll’s listed research interests in “the benefits of abdominal massage for medium-sized canines” and “the role of domestic canines in promoting optimal mental health in ageing males”.

    Today Ollie is being featured in a more reputable publication, the Medical Journal of Australia’s Insight magazine, which is looking at the surge in journals which charge desperate would-be researchers up to $3000 to get their studies published.

    “While this started as something lighthearted, I think it is important to expose shams of this kind which prey on the gullible, especially young or naive academics and those from developing countries,” Professor Daube said.

    He said the authors would be gutted to know their papers were being reviewed by a dog, who often needed to be offered a treat before she dragged herself in front of the laptop. “It gives all researchers paws for thought,” Professor Daube said.

    Dr Doll refused to comment unless she was taken for walkies.

    #Publications_scientifiques #Revues_scientifiques #Au_voleurs

  • Port d’Anvers : les incinérateurs agréés ne peuvent traiter la totalité de la cocaïne saisie Victor de Thier - RTBF
    https://www.rtbf.be/article/port-d-anvers-les-incinerateurs-agrees-ne-peuvent-traiter-la-totalite-de-la-coc

    La douane, la police et la justice ont saisi près de 90 tonnes de cocaïne dans le port d’Anvers en 2021. Un record historique qui, selon toute vraisemblance, sera à nouveau battu cette année. La douane estime en effet que la barre des 100 tonnes pourrait être atteinte en 2022.

    Cette quantité pose toutefois un important problème de sécurité, rapportent samedi De Standaard et Gazet van Antwerpen. Les incinérateurs agréés ne pouvant traiter la totalité de la drogue saisie, elle doit être stockée dans les entrepôts de la douane avant d’être détruite, parfois tardivement.

    Risque de vol
    Le procureur d’Anvers Franky De Keyser a tiré la sonnette d’alarme auprès du ministre de la Justice Vincent Van Quickenborne (Open VLD) il y a quelques semaines. Le stock de stupéfiants est désormais si important que des bandes criminelles pourraient tenter de le dérober.

    Le bourgmestre d’Anvers, Bart De Wever (N-VA), s’est également entretenu avec le ministre de la Justice à ce sujet. Les cabinets Van Quickenborne et De Wever affirment rechercher ensemble des solutions.

    #cocaïne #cocaine #oligarchie #oligarchies #manager #publicistes #showbizz #drogue #drogues #mafia #société #trafic #douane

  • Reprenons le contrôle de notre vie numérique | La Mule Philosophe
    https://lamulephilosophe.fr/posts/reprenons-controle-vie-numerique

    Tristan Harris, ex Design Ethicist chez Google, a notamment publié un billet très intéressant sur son blog où il dénonce 5 techniques utilisées par les entreprises du numérique pour capter notre attention avec une seule limite fixée : la saturation physique des utilisateurs. Je vous encourage vivement à aller lire son article plus en détail mais voici rapidement les 5 points qu’il aborde :

    Le fait de contrôler nos choix en nous proposant des interfaces orientées. De par les algorithmes de recommandation et la façon dont sont présentés les résultats, nous nous restreignons notre champ des possibles en ne nous demandant pas quelles sont les options qui ne sont pas proposées.
    Le fait de créer de la dépendance via des techniques addictives, inspirées de celles utilisées dans des casinos. L’idée est de susciter l’incertitude et l’espoir pour nous faire de nous des addicts virtuels. Le mode SnapStreak sur Snapchat en est un excellent exemple : une petite flamme apparaît sur notre profil lorsque l’on échange photos et vidéos avec nos amis pendant au moins trois jours d’affilés. Cette petite fonctionnalité qui semble anodine a pour unique but de nous faire utiliser l’application tous les jours de crainte de perdre cette récompense.
    Le fait de jouer sur notre crainte de rater quelque chose d’important. Les entreprises du numérique créent et entretiennent un sentiment d’anxiété pour nous inciter à rester sur leur plateforme en nous faisant percevoir leur service comme l’endroit où se passent les choses : conversations, rencontres, suivi de l’actualité, organisation d’évènements. Ces applications deviennent alors difficilement désactivables car trop importantes socialement. En réalité Tristan HARRIS rappelle que cette peur est illimitée (on ratera toujours quelque chose) et qu’elle existe surtout avant la déconnexion et non pas après.
    Le fait d’utiliser notre besoin d’approbation sociale. Chaque action que nous réalisons sur ces plateformes, et qui les nourrit en contenu mais donc aussi en données à collecter, nous sont soufflées directement par l’application. HARRIS prend l’exemple d’un ami qui en taggue un autre sur Facebook et qui est en réalité le fruit d’un design construit pour conduire à ce genre d’action en appuyant sur ce besoin d’approbation sociale.
    Le fait de manipuler notre besoin de réciprocité sociale. En rendant asymétrique cette réciprocité sociale, les entreprises du numériques se nourrissent de nos pulsions inconscientes pour générer des actions de l’utilisateur et donc des données à exploiter. Par exemple, lorsque nous recevons une demande d’ajout sur Facebook ou LinkedIn, cela nous paraît être une action forte de la part de notre interlocuteur alors qu’en réalité celui-ci n’a réalisé qu’un clic suggéré par les algorithmes de recommandations de ces plateformes.

    En réalité il y existe même un conflit fondamental entre le besoin des utilisateurs et les intérêts de la plateforme.

    https://medium.com/thrive-global/how-technology-hijacks-peoples-minds-from-a-magician-and-google-s-design-eth

    #Internet #GAFAM #EMI #Algorithme #Publicité #Numérique

  • Une « pub » pour les femmes orthodoxes soulève des questions sur la tsniout Jackie Hajdenberg - Time of israel
    https://fr.timesofisrael.com/une-pub-pour-les-femmes-orthodoxes-souleve-des-questions-sur-la-ts

    Alors que le débat fait rage pour savoir si l’offre de vente de faux orteils est sérieuse, certains affirment que le problème réside dans le fait que personne ne puisse en être sûr


    Une publicité pour les femmes orthodoxes de vente de faux orteils.(Crédit : Twitter/Design/Jackie Hajdenberg)
    TA – Dès que cette publicité incongrue a commencé à circuler sur les groupes WhatsApp haredim dimanche, le débat a été ouvert : les orteils « de pudeur » existent-ils vraiment ?

    S’adressant aux femmes orthodoxes qui veulent être élégantes tout en se conformant aux normes vestimentaires conservatrices de leur communauté, l’annonce propose des orteils en silicone « durables » et « de haute qualité » que les acheteuses peuvent enfiler par-dessus les leurs, ce qui leur permet de porter des sandales sans que leurs propres pieds ne soient visibles.

    « Voulez-vous être à la mode tout en étant tzniuysdyig ? », propose la publicité, en utilisant une forme yiddish du mot pudeur se référant à la « pudeur vestimentaire ». « Vous voulez être à la mode, alors que vous refusez de porter des chaussures ouvertes ? ».

    La publicité ressemble à de nombreuses vraies publicités qui circulent sur le marché haredi. Sur ce marché, où les innovations qui facilitent l’observance religieuse se multiplient, les commandes doivent souvent être passées par téléphone ou en personne, l’utilisation d’Internet étant fortement désapprouvée.

    Pourtant cette annonce a aussi des allures de parodie, dans un contexte où certaines femmes juives orthodoxes tentent de s’opposer aux normes qui dictent leur tenue vestimentaire, contrôlent les accessoires autorisés et empêchent leur visage d’apparaître dans de nombreuses publications orthodoxes.

    Les spéculations sur l’authenticité de la mystérieuse publicité et sur sa signification pour les communautés orthodoxes ont préoccupé une partie du monde orthodoxe cette semaine. Beaucoup appellent ce produit, le « sheitel à orteil » dû au rôle similaire des sheitels https://www.myjewishlearning.com/article/hair-coverings-for-married-women , ou perruques que certaines femmes orthodoxes mariées portent pour couvrir leurs propres cheveux conformément à la loi juive, ou Halakha .

    « Certains pensent que c’est réel. D’autres pensent que c’est une blague », a déclaré Sharon Weiss-Greenberg, militante de longue date du féminisme orthodoxe, à la Jewish Telegraphic Agency au sujet des sheitels à orteils. « Je pense que c’est une blague. Mais plus encore, le simple fait que tant de personnes pensent que ce n’en soit pas une est un réel problème – le simple fait que ce soit plausible est ennuyeux. »


    Illustration : Une femme marchant en sandales élégantes à talons hauts. (Crédit : Nadtochiy/Stock by Getty Images)
    Pour passer commande, l’annonce indique un numéro de téléphone avec un indicatif régional dans la région de la vallée de l’Hudson, à New York. Les multiples appels passés depuis lundi par la Jewish Telegraphic Agency sont directement tombés sur une messagerie vocale – ce qui atteste peut-être du manque de sérieux de toute cette affaire.

    Il semble qu’au moins une personne soit parvenue à joindre l’entreprise. Dans une vidéo largement diffusée, prise lundi matin, un homme se retient de rire pendant un appel de sept minutes avec la personne lui ayant répondu au téléphone, qui s’est identifiée sous le nom de Chana. L’interlocuteur s’enquiert des différentes offres et apprend que les couvre-orteils peuvent être personnalisés dans différentes couleurs de peau pour des clientes ashkénazes et séfarades. Ils peuvent également être accompagnés de vernis à ongles dans des teintes portant le nom d’écoles orthodoxes.

    Si des acheteurs veulent un oignon ou des grains de beauté pour rendre leurs faux orteils plus réalistes, cela est possible à condition qu’ils soient prêts à payer le prix, explique Chana à son interlocuteur.

    « Vous savez, parfois, quand une femme reçoit un sheitel, elle la saupoudre de fausses pellicules ? Et bien cela revient au même », explique Chana.

    La polémique relève de plusieurs controverses actuelles au sein des communautés orthodoxes. « Les commandes peuvent prendre un certain temps car la chaîne d’approvisionnement en faux orteils en provenance de Chine a été interrompue par la fausse maladie de la COVID », dit la représentante, faisant allusion à la désinformation médicale qui a sévi dans le monde orthodoxe pendant la pandémie de la COVID-19.

    La couleur du nom de la Yeshiva University pourrait changer, dit-elle, si la Cour suprême lui permet de rejeter ce qu’elle appelle « le club gay », en référence au groupe d’étudiants LGBTQ qui se bat contre l’université phare de la mouvance Modern Orthodox pour obtenir le droit d’exister sur le campus. La Yeshiva University de New York City devra reconnaître https://fr.timesofisrael.com/la-yeshiva-university-devra-reconnaitre-son-club-lgbt-dit-la-cour- un club LGBTQ, au moins temporairement, après le refus opposé par la Cour suprême américaine, mercredi, d’intervenir dans ce dossier.

    Après avoir dit à son interlocuteur que les personnes qui s’offrent des vacances coûteuses pendant la période de Pessah peuvent probablement se permettre ce nouveau produit, Chana fait une critique explicite de la consommation ostentatoire qui caractérise certaines communautés orthodoxes.

    « Ce n’est pas censé être une autre mesure de la quantité d’argent que vous avez et du degré de fantaisie que vous pouvez vous offrir », dit-elle. « Bien que nous ayons peur que cela puisse arriver. »

    L’appel était authentique, a publié l’épouse de l’appelant sur Facebook, ajoutant que le couple n’était aucunement lié à l’entreprise ou à la farce, quelle qu’elle soit. Plusieurs personnes, susceptibles de correspondre au profil, ont également déclaré qu’elles n’étaient pas impliquées, tant publiquement qu’auprès de la Jewish Telegraphic Agency , qui a contacté une demi-douzaine de femmes proposées comme suspectes probables en raison de leur militantisme féministe ou de leur publications de vidéos parodiques orthodoxes.

    La tradition de se couvrir les cheveux après le mariage est fermement ancrée dans la Halakha  ; les Juives orthodoxes qui militent pour un plus grand leadership des femmes ne s’y opposent généralement pas. Les orteils ne sont pas soumis à des lois spécifiques, mais il existe un commandement général qui exige de s’habiller pudiquement, ainsi que d’innombrables exemples de décrets rabbiniques et de normes communautaires élargissant les limites de ce qui est considéré comme respectueux de la pudeur.

    Cependant, dans certaines parties du monde orthodoxe, l’utilisation de perruques en cheveux humains, qui peuvent coûter jusqu’à 3 000 dollars et nécessiter des soins, suscite des controverses. Certaines femmes orthodoxes choisissent plutôt de se couvrir les cheveux avec un foulard ou un chapeau. L’existence de perruques de marque peut également exercer une pression financière sur les femmes qui se sentent dans l’obligation de se fondre dans la masse de leur communauté.

    Les sheitels à orteils peuvent être considérés comme relevant de cette dynamique. Mais les images de la publicité ne permettent pas de savoir si ce produit est réel. Les prothèses d’orteils comme celles de l’annonce sont utilisées par des personnes souffrant de blessures aux pieds ou de maladies congénitales, ainsi que par des personnes amputées en raison de complications liées au diabète ; elles peuvent être trouvées facilement en effectuant une recherche rapide sur Google. Les faux orteils de la publicité ressemblent également à ceux utilisés par les prothésistes ongulaires pour pratiquer le nail art , autrement connu sous le nom de stylisme ongulaire.

    D’autres répliques de parties du corps ont été produites pour les Juifs pratiquants par le passé, mais pour de toutes autres raisons. Entre autres exemples, un barbier israélien a sorti en 2015 https://www.jta.org/2015/01/23/culture/magic-kippa-designed-for-attack-wary-observant-jews une kippa en cheveux synthétiques pour que les hommes puissent répondre à l’obligation de se couvrir la tête sans être immédiatement identifiés comme Juifs religieux.

    Hokhmat Nashim, une organisation dont le nom signifie « la sagesse des femmes » et qui vise à inclure les femmes dans la prise de décision orthodoxe, a déclaré en ligne qu’elle n’était pas à l’origine de la publicité. Cette semaine, le groupe s’est concentré sur un nouveau livre de cuisine publié par ArtScroll, un éditeur orthodoxe, dans lequel les femmes sont représentées par des photos d’ingrédients, et non d’elles-mêmes. De nombreuses publications orthodoxes ne montrent pas de femmes, invoquant des raisons de pudeur, une pratique qui, selon Hokhmat Nashim entre autres, exclue les femmes de leurs propres communautés.

    Hokhmat Nashim a déclaré que la publicité pour le sheitel à orteil et la réponse qu’elle avait suscitée avaient soulevé une question importante.

    « Que se passe-t-il lorsque l’on ne sait plus faire la différence entre la réalité et la satire ? », a écrit le groupe dans une publication Instagram. Une personne a commenté qu’elle était certaine qu’il s’agissait bien d’une blague – bien qu’elle ait personnellement entendu un rabbin dire que les orteils des femmes devaient rester couverts.

    « Pour info, il s’agit bien d’une satire », a ajouté plus tard Hokhmat Nashim, sans expliquer ses sources. « La question est de savoir comment faire pour qu’il en soit toujours ainsi. Comment repousser la sexualisation de tout ce qui est féminin et la déformation du judaïsme que nous voyons aujourd’hui et qui, avouons-le, n’est pas très éloignée ? »

    En milieu de semaine, les parodies de ce qui aurait pu être ou ne pas être une blague se sont multipliées, telles que des publicités pour de faux seins ainsi que des T-shirts représentant des seins, conçus pour permettre un « topless pudique », et pour des « dissimulateurs de cou » en plastique destinés à permettre le port de hauts sans bretelles sans trop révéler la clavicule. Des chemises partielles fines couvrant le col et les épaules sous des vêtements qui révèlent ces zones, sont déjà vendues dans les communautés orthodoxes.

    L’adresse électronique de la société qui vend des cache-cols s’est empressée d’envoyer une réponse enthousiaste à une demande de renseignements.

    « La société de cache-cols n’est pas liée à la société de prothèses d’orteils », ont-ils répondu. « Nous ne faisons que présenter le même concept, à savoir essayer d’être pudique… tout en étant capable de porter sa robe (ou sa chemise) préférée. … Nous essayons tous deux d’apporter une rédemption ultime. »

    Un autre courriel a rapidement suivi, exprimant ce que la société de sheitel à orteils n’avait pas dit, à savoir que « toute cette histoire était censée être une blague entre quelques amis, puisque nous avons tous ri de celle des orteils ! »

    #publicité #Canular ? #fake ? #Blague ? #religion #israel #pieds #orteils #mode #religion #vêtements #parodie #blague #orteils #Femmes

  • La publicité audio à l’assaut du jeu mobile
    https://www.lefigaro.fr/medias/la-publicite-audio-a-l-assaut-du-jeu-mobile-20220913

    Les joueurs sur smartphone sont habitués aux vidéos publicitaires qui hachent leurs parties. Avec les spots audio, Gadsme espère proposer une expérience moins intrusive, à condition qu’elle soit utilisée de manière fine. Pas question de lancer une publicité audio alors que le joueur essaye de battre un ennemi coriace... « Notre technologie permet aux développeurs de déclencher le spot audio dans des zones de jeu bien précises, et de prévenir le joueur en amont. Le niveau sonore sera similaire à celui du jeu », explique le PDG.

    #jeu_vidéo #jeux_vidéo #business #gadsme #odeeo #audiomob #audio #publicité #mobile #guillaume_monteux #ubisoft #targetspot #iab #voodoo #tilting_point

  • Une Bd sur un Écolieu
    https://ecovillageglobal.fr/22248

    Projet : Dans la forêt de Réno-Valdieu, en plein cœur du Perche, une bande d’utopistes s’est installée avec l’envie de célébrer le vivant et de s’émanciper petit à petit du système en place. Dans ce lieu collectif, on a rêvé d’un laboratoire d’avenirs et de présents désirables. Après un an et demi, le projet a évolué... et a finalement pris fin. Mais que s’est-il passé durant toute cette période ? Quels apprentissages garder de cette aventure ? C’est avec la volonté de partager cette histoire, mes questionnements et nos outils que j’ai écrit cette BD. - Plus d’info et contact : https://ecovillageglobal.fr/22248 Rubriques : #Contacts_et_Echanges / #Publications / (...)

    #Manche