• Filtrage des #publicités et traqueurs sur #Android : Installation de #DNSFilter par #Seb_Sauvage

    Vous connaissez peut-être déjà la liste de blocage #DNS que je propose. Elle permet de bloquer la quasi-totalité des publicités et #traqueurs dans les #applications et sur le #web. Voici une procédure pas à pas pour l’installer sur votre téléphone Android. L’installation prend moins de 5 minutes.

    https://sebsauvage.net/wiki/doku.php?id=dnsfilter

    Repéré par benny b sut Twitter

    #filtrage_DNS #vie_privee #surveillance #Données_personnelles

  • #Gaza : Youtube retire une #publicité du gouvernement israélien
    https://www.lemonde.fr/pixels/article/2021/05/19/gaza-youtube-retire-une-publicite-du-gouvernement-israelien_6080719_4408996.

    Mais bien tardivement

    Débats internes chez Google

    Au cours de la semaine passée, les frappes israéliennes sur Gaza et les tirs de roquettes sur Israël ont provoqué de vifs débats au sein de Google, propriétaire de YouTube, rapporte la presse américaine. Une lettre ouverte, adressée au PDG de Google, a été signée par 250 employés de l’entreprise, se définissant comme « juifs et alliés », et demandant à Google de mettre fin « à tous les contrats avec des institutions qui contribuent à la violation des droits des Palestiniens, y compris les forces armées israéliennes ».

    Le texte demande également à la direction de l’entreprise de « rejeter toute définition de l’#antisémitisme qui considère les critiques envers Israël ou le #sionisme comme antisémites », considérant qu’amalgamer antisémitisme et antisionisme « nuit à la quête de #justice des Palestiniens et des juifs en limitant la liberté d’expression ».

    Selon le site spécialisé The Verge, ce texte émane d’employés en désaccord avec la teneur des échanges au sein d’un groupe de discussion interne à l’entreprise pour les employés juifs, considéré par certains de ceux-ci comme trop pro-israélien.

    #sans_vergogne

  • En ce moment, c’est la multiplication des écrans sur le thème « Soit tu nous refiles tes données personnelles, soit tu n’accèdes pas à notre site ». Comme en plus j’ai activé un bloquer de pubs, c’est la fête du slip en permanence.

    Évidemment, c’est la multiplication des design maléfiques, où le lien « Ne pas accepter » est planqué (désormais en petit en haut à droite du popup), et le lien « Oui, fliquez-moi » est un beau gros bouton bien visible. Ou le classique choix entre « Oui pour tout, z’y va » et « Non, je ne veux pas, mais je vais devoir passer les 5 prochaines minutes de ma vie dans un formulaire à la con pour régler le truc. »

    Mais le pompon, ces derniers jours, c’est :

    – {{Alternatives économiques}}, qui veut bien que je lise son article, mais à condition que je file mon adresse email.

    – {{Jeuxvideo.com}}, soit j’accepte les cookies intrusifs, soit je paie 2€ :

    Je me demande si toutes ces conneries sont vaguement légales…

  • #Suisse Devant la justice pour un « J’aime » ou un « partage » sur les réseaux sociaux

    Un simple « like », une simple mention « J’aime », sur les réseaux sociaux peut conduire son auteur devant la justice. Les plaintes déposées contre les commentaires injurieux ou calomnieux se multiplient en Suisse. Plus de 700 personnes font l’objet d’une enquête concernant une seule et même affaire en Valais.

    L’histoire commence dans un restaurant du centre-ville de Martigny. Pour des raisons écologiques et économiques, le patron Fred Faibella a choisi de faire payer la carafe d’eau à ses clients. Mais un soir d’octobre, la décision du restaurateur n’est pas comprise.

    « Quatre personnes rentrent, ils vont s’installer et ils passent commande. Ils souhaitent une carafe d’eau, alors ma fille leur répond que la politique de la maison est, effectivement, de la facturer. Ils n’ont pas du tout apprécié. Ils sont partis et ils ont été un peu se venger sur les réseaux sociaux », raconte Fred Faibella dans Mise au point.

    Avalanche de réactions
    Le lendemain, l’un des clients rédige en effet un commentaire sur son « mur » Facebook en indiquant le nom du restaurant, « La vache qui vole ». La publication est abondamment « likée », partagée et commentée. En trois jours, Fred Faibella assiste, médusé, à une tempête sur les réseaux sociaux : « La vache qui vole rackette le client », « Une cruche de gérante et une vache qui vole, un duo peu recommandable » ou encore « Sale pute fessée de chef hautaine et indigne... ta vache qui vole de merde ».

    « Il n’est pas possible que les gens puissent continuer à insulter, à calomnier. L’une de mes collaboratrices, qui a dû consulter, a été en arrêt maladie pendant une semaine. Elle avait des angoisses. Ces gens font énormément de mal. Ce n’est pas possible que cela continue », explique Fred Faibella.

    Plus de 700 personnes dénoncées
    Ainsi, la plus importante plainte du genre en Suisse a été lancée (lire encadré). Plus de 700 personnes ont été dénoncées devant le Ministère public valaisan. Elles sont donc convoquées tour à tour par la police pour avoir écrit des commentaires malveillants dans cette affaire, pour les avoir partagés ou pour les avoir approuvés avec un « J’aime ».

    « Je pense qu’on a dépassé toutes les limites de la bienséance et du respect. Avec une telle procédure, que le Ministère public est en train de faire prospérer, on va peut-être dissuader tout le monde de persister dans cette voie. Car on aura à la fin des gens qui auront des montants très importants à payer », estime l’avocat du restaurateur Sébastien Fanti. « (...) Pour que l’exercice ait un sens, il faut que tout le monde soit dénoncé. »

    « J’aurais dû réfléchir »
    L’immense majorité des personnes dénoncées ont refusé de témoigner devant la caméra de Mise au point. Mary-Claude, elle, en a eu le courage. Si elle ne connaît pas le restaurant de Martigny, elle n’est pas restée indifférente au commentaire du client en colère. « Je me suis dit que le restaurant exagérait. J’ai donc voulu faire de l’humour. En tant qu’ancienne journaliste, j’aurais dû réfléchir. »

    La retraitée, qui passe pas mal de temps sur Facebook, écrit ce commentaire « Une cruche de gérante et une vache qui vole, un duo peu recommandable ». « Moi j’ai écrit cela ? Ce n’est pas très gentil. J’ai été peut-être un peu fort », avoue Mary-Claude. Elle a donc été entendue par la Police cantonale. « J’ai cru à une farce », reconnaît-elle. Depuis, elle essaie d’être plus sage sur les réseaux sociaux.

    L’avocat Sébastien Fanti reconnaît qu’il y a une différence entre les commentaires « humoristiques » et haineux. « Mais les gens ne se rendent pas compte que même en faisant la petite blague, l’effet de meute est en train d’arriver. Le premier qui va commenter ou qui va diffuser l’information est, très souvent, dépassé par les événements. Sauf que ce qu’il ne sait pas, c’est qu’il lui appartient de modérer les commentaires. »

    Le deuil et les commentaires haineux
    Le Valais a connu un autre exemple de discussion sur les réseaux sociaux qui dégénère. Le 23 janvier dernier, un guide et son client sont emportés par une avalanche en faisant du hors-piste. Si le client s’en est sorti, le guide est décédé. Christophe Gay-Crosier, 56 ans, était père de deux filles, Manon et Coline.

    Mais à la douleur de perdre leur papa s’est ajoutée celle de lire les commentaires qui se sont aussitôt déchaînés sous les articles relatant ce tragique fait divers : « C’est un attardé », « Il va en faire quoi de son pognon, maintenant qu’il est mort » ou encore « S’il est suffisamment con pour accepter de se faire payer pour aller prendre des risques ».

    « Les gens disent des horreurs »
    « Même moi, qui ne connaît pas très bien la montagne, je sais qu’un guide, c’est quand même fait pour faire du hors piste », explique Coline. « (...) La réalité, c’est que c’était quelqu’un de prudent qui faisait ce métier pour nourrir sa famille. Du coup, c’est violent, parce qu’on n’a pas choisi que cette histoire soit exposée. »

    Et sa soeur Manon d’ajouter : « Les gens disent des horreurs et ce n’est pas correct. Quand on dit du mal de quelqu’un qui est mort et, en plus, quand on dit des choses qui ne sont pas vraies, c’est de la diffamation. Ça salit la mémoire. »

    Coline et Manon, après avoir longtemps hésité, ont finalement déposé plainte contre cinq auteurs de commentaires les plus blessants. Et elles ont défendu, en février dernier, l’honneur de leur père dans Le Nouvelliste https://www.lenouvelliste.ch/articles/valais/canton/on-ne-peut-pas-laisser-salir-papa-les-filles-du-guide-decede-a-nendaz- . L’article a suscité beaucoup d’émotions dans le canton. « Il y a vraiment eu un mouvement de solidarité et de soutien. Cela soulageait et il y avait presque un sentiment de justice », conclut Manon.

    #réseaux_sociaux

    #facebook #surveillance #twitter #censure #algorithme #manipulation #internet #publicité #données #google #profiling #médias #racisme #haine #censure #antisémitisme #islamophobie #violence #xénophobie

  • #amsterdam interdit la publicité pour les voitures à #essence et #diesel dans le #métro
    http://carfree.fr/index.php/2021/05/12/amsterdam-interdit-la-publicite-pour-les-voitures-a-essence-et-diesel-dans-l

    Amsterdam aux #Pays-Bas est la première ville au monde à interdire la publicité pour les voitures à essence et diesel dans son métro. L’interdiction s’applique également aux vols aériens à Lire la suite...

    #Fin_de_l'automobile #Fin_du_pétrole #Réchauffement_climatique #pollution #publicité

  • Règlement de comptes et piratage à Rousies : des messages hostiles à la maire sur le panneau d’affichage de la ville

    Samedi 1er mai, le panneau d’affichage lumineux de Rousies dans le Nord a été détourné. Le temps pour le ou les pirates de diffuser des messages vindicatifs à l’encontre de la maire Josiane Suleck.

    https://france3-regions.francetvinfo.fr/image/yWN-OF3MNLSWWRCTDNDEnhJIRyI/930x620/regions/2021/05/06/6093ba93ee8f3_rousies001-5304700.jpg

    « Josiane Suleck payée 2 300 € par mois (1 500 par la commune et 800 par l’agglo) pour dépenser l’argent de la ville dans des procédures. Facile quand ce n’est pas son argent ! » 
    « Dans l’affaire de la boulangerie, Rousies fut condamné à payer 50 000€. Merci qui ? » 
    « Un grand merci à Josiane Suleck ».

    Ces messages vindicatifs à l’encontre de la maire ont été publiés le 1er mai sur le panneau d’affichage communal de Rousies dans le Nord.

    Stupeur dans cette petite ville de 4000 habitants ! Les photos du panneau se sont échangées à tour de bras, mais il a fallu attendre la fin d’après-midi pour que la mairie réagisse.

    « Un panier de crabes »
    Qui se cache donc derrière cette manœuvre de déstabilisation ? Visiblement mal à l’aise, l’équipe municipale n’a pas répondu à nos sollicitations. 

    L’élue d’opposition Carole Devos condamne, elle, le « procédé violent ». « Il y a du règlement de compte là-dessous, mais ce ne sont pas aux Roséens de servir d’otages ». Pour cette conseillère départementale, cela vient « forcément » de personnes qui font partie ou ont fait partie des services municipaux, car il faut disposer de codes pour procéder à ces publications. Elle évoque des affaires judiciaires en cours au sein de la mairie. « C’est un panier de crabes, il y a des revanchards ». 

    L’auteur toujours pas démasqué
    => Un agent municipal nous a confirmé avoir déposé plainte pour harcèlement contre la maire Josiane Suleck il y a maintenant trois mois : « Quand elle a quelqu’un dans le pif – et on ne sait pas toujours pourquoi – elle lui en fait voir de toutes les couleurs ! ». Et cet employé ne serait pas le seul à se plaindre. Jérôme Ayel, membre du comité de coordination CGT du bassin Sambre-Avesnois indique effectivement avoir été en contact dès fin 2019 « avec plusieurs agents de la collectivité pour des faits de harcèlement, des mises au placard et des salaires impayés ». 
    . . . . . . .
    La suite : https://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/nord-0/reglement-de-comptes-a-rousies-sur-le-panneau-de-la-mai

    #France #détournement #harcèlement #travail #violence #domination_féminine #publicité #Panneaux_publicitaires #agression_lumineuses

  • « L’image dégradée de Facebook n’a pas arrêté sa course au sommet »
    https://www.lemonde.fr/economie/article/2021/04/29/facebook-et-google-ont-connu-une-soudaine-explosion-de-leurs-profits-durant-

    L’augmentation du prix de leurs annonces publicitaires en période de très forte demande a offert à Google et Facebook une croissance inespérée. Mais ce modèle économique, à son apogée, est remis en cause par les attaques d’Apple, explique Philippe Escande, éditorialiste économique au « Monde ».

    Ce pourrait être le chiffre de 2021. Près d’un quart des humains, 1,9 milliard, se sont connectés sur Facebook en mars. Au total, 3,45 milliards de personnes sont utilisateurs réguliers du réseau et de ses satellites Messenger, WhatsApp et Instagram. Vive la crise ! Le chiffre d’affaires du groupe a bondi de 48 % au premier trimestre de cette année par rapport à la même période de 2020, avant que la pandémie de Covid-19 ne touche l’Amérique. Et ses profits ont bondi de 94 %.

    Créée en 2004, la société engrange désormais 26 milliards de dollars chaque trimestre pour plus de 9 milliards de profits. Et Google fait mieux encore, avec un profit net en hausse 162 % à 18 milliards de dollars sur les seuls trois premiers mois de cette année. La raison de cette explosion soudaine, que même les plus enthousiastes des analystes n’avaient pas anticipée, tient en un seul mot, la publicité.

    Les deux entreprises dégagent l’essentiel de leurs revenus de cette activité. Or, face à la demande d’entreprises en mal de notoriété dans un monde confiné, les deux sociétés ont augmenté le prix de leurs annonces publicitaires – de 30 % pour Facebook. De quoi renforcer la suprématie du duo qui contrôle entre la moitié et les deux tiers du marché mondial de la publicité numérique.

    Monstre plus puissant encore

    De quoi faire oublier les tracas quotidiens de Mark Zuckerberg, désormais habitué à fréquenter les salles d’audition du Congrès de Washington ou celles des instances antitrust du monde entier. Son image dégradée de prédateur de la vie privée de ses milliards d’« amis » n’a manifestement pas handicapé la course au sommet de son entreprise.

    Un nouveau souci à l’horizon va pourtant le contraindre à infléchir sa route. Face à lui, un monstre plus puissant encore a décidé de lui faire payer son succès, bâti entièrement sur la qualité des informations sur ses membres qu’il monnaye à ses clients annonceurs. Apple a décidé de demander aux utilisateurs de ses iPhone s’ils voulaient continuer à être pistés par les publicitaires.

    On imagine leur réponse. Une menace majeure, la fin annoncée de la publicité ciblée, qui pousse aujourd’hui Facebook et Google à accélérer d’urgence la diversification de leurs ressources. Vers le commerce pour Facebook, vers le cloud pour Google. Deux domaines déjà bien occupés par Amazon ou Microsoft. L’apogée de 2021 ouvre des temps qui promettent d’être plus difficiles.

    #Apple #Google #Facebook #Instagram #Messenger #WhatsApp #domination #bénéfices (...)

    ##publicité

  • Facebook allows advertisers to target children interested in smoking, alcohol and weight loss
    https://www.theguardian.com/technology/2021/apr/28/facebook-allows-advertisers-to-target-children-interested-in-smoking-al

    Social media giant gave organisation behind a page for Australian 13- to 17-year-olds option to run alcohol, smoking and gambling ads for as little as $3 Facebook is allowing businesses to advertise to children as young as 13 who express an interest in smoking, extreme weight loss and gambling for as little as $3, research by the lobby group Reset Australia has found. The organisation, which is critical of digital platforms, set up a Facebook page and advertising account under the name (...)

    #Facebook #jeunesse #santé #microtargeting #publicité

    ##santé ##publicité
    https://i.guim.co.uk/img/media/8e2d239fd8307d3e99634032cc6fdd4271b61024/0_145_3500_2100/master/3500.jpg

  • Des outils existent déjà contre l’alternative aux cookies proposée par Google
    https://www.presse-citron.net/des-outils-existent-deja-contre-lalternative-aux-cookies-proposee-par

    Pour remplacer les cookies tiers, Google propose une nouvelle technologie appelée FLoC. Bien qu’elle soit plus respectueuse de la vie privée (tout en permettant les expériences publicitaires personnalisées), elle est loin de faire l’unanimité. Aujourd’hui, les cookies tiers sont considérés comme l’un des fléaux d’internet. Pour rappel, ces cookies permettent un pistage des internautes entre plusieurs sites web, afin d’afficher des publicités pertinentes par rapport aux centres d’intérêt de ceux-ci. (...)

    #Google #DuckDuckGo #cookies #Sandbox #FLoC #microtargeting #profiling #publicité #surveillance (...)

    ##publicité ##EFF

  • What’s behind the Apple-Facebook feud?
    By Shira Ovide

    Starting on Monday, people with iPhones will begin to see pop-up messages on their screens asking whether they will permit companies to follow them from app to app.

    Currently, Facebook and companies like it track the ways people use their phone, picking up bits of information such as how often they open their yoga app and what they buy at Target. Facebook then uses that information to help companies target their ads.

    Apple says that it wants people to have a choice about participating in this information-harvesting system. Facebook says these ads help make the internet free for all. These two companies have incompatible views of the future of digital life, and they really don’t like each other, as my colleagues Mike Isaac and Jack Nicas detailed.

    Jack talked to me about why we should pay attention to a fight between two tech giants, and which company is right. Spoiler alert: They’re both a little right, and a little gross.

    Shira: What does this new iPhone feature do, and why is Facebook so mad about it?

    Jack: With the latest iPhone software update, companies and advertisers must ask explicit permission — in the form of yes-or-no messages that pop up on the screen — to track people from one app to another.

    Many app companies, including Facebook, have predicted that large numbers of people will say no. And that means companies that rely on showing people online ads may have less data to fine tune the ads based on our activity and interests.

    Why should people care about this long-running beef between Apple and Facebook?

    The winner could decide the shape of the consumer internet going forward. Apple’s view is that people should pay a premium, often to Apple, to have a private, safe experience in digital spaces. Facebook’s position is that the internet should remain open and free, and that advertisers have made that possible.

    So who’s right: Apple or Facebook?

    Each company has a point, and each one is also hypocritical.

    Facebook is right that billions of people have been able to get access to social networks, email, news and entertainment because they’re paid for by ads. The company’s message is that this system needs data on us to advertise effectively and efficiently.

    And Apple is right that digital advertising largely operates without people’s true consent or knowledge.

    Apple’s message seems simpler.

    That’s true. Apple’s view is that it’s simply giving people a choice of whether to be tracked across apps or not. Facebook’s argument to the public is more complex — that they have to be tracked for the internet to work, and that people don’t know what’s good for them.

    Wait, let’s go back to the hypocrisy part.

    Facebook is worried about its own profits being hurt by Apple’s new feature. It has mostly focused, though, on making the smaller businesses that advertise on Facebook the face of its opposition to Apple’s app-tracking feature. Yes, smaller companies could be hurt, but it’s fair to ask whether my local pizzeria needs to know what I’m doing on a fitness app to effectively advertise to me.

    And Apple won’t admit that what it’s doing is great for the company, not just iPhone owners. It’s good marketing to be able to say that iPhones are the place for privacy. Apple also says that targeted digital advertising is dangerous, but it gets billions of dollars each year from Google, the biggest targeted ad company.

    Is it possible that this iPhone app-tracking feature won’t be a big deal?

    To be honest, yes. It’s not easy to predict the impact of this iPhone change or whether companies will counter it with different information-gathering methods. There’s a chance that lots of people say no to app tracking when iPhones offer the choice, but the advertising industry keeps chugging along.

    #Apple #Facebook #Vie_privée #Publicité

  • #Campagnes de #dissuasion massive

    Pour contraindre à l’#immobilité les candidats à la migration, jugés indésirables, les gouvernements occidentaux ne se contentent pas depuis les années 1990 de militariser leurs frontières et de durcir leur législation. Aux stratégies répressives s’ajoutent des méthodes d’apparence plus consensuelle : les campagnes d’information multimédias avertissant des #dangers du voyage.

    « Et au lieu d’aller de l’avant, il pensa à rentrer. Par le biais d’un serment, il dit à son cousin décédé : “Si Dieu doit m’ôter la vie, que ce soit dans mon pays bien-aimé.” » Cette #chanson en espagnol raconte le périple d’un Mexicain qui, ayant vu son cousin mourir au cours du voyage vers les États-Unis, se résout à rebrousser chemin. Enregistrée en 2008 grâce à des fonds gouvernementaux américains, elle fut envoyée aux radios de plusieurs pays d’Amérique centrale par une agence de #publicité privée, laquelle se garda bien de révéler l’identité du commanditaire (1).

    Arme de découragement typiquement américaine ? Plusieurs États européens recourent eux aussi à ces méthodes de #communication_dissuasive, en particulier depuis la « crise » des réfugiés de l’été 2015. En #Hongrie comme au #Danemark, les pouvoirs publics ont financé des publicités dans des quotidiens libanais et jordaniens. « Les Hongrois sont hospitaliers, mais les sanctions les plus sévères sont prises à l’encontre de ceux qui tentent d’entrer illégalement en Hongrie », lisait-on ici. « Le Parlement danois vient d’adopter un règlement visant à réduire de 50 % les prestations sociales pour les réfugiés nouvellement arrivés », apprenait-on là (2). En 2017, plusieurs #artistes ouest-africains dansaient et chantaient dans un #clip intitulé #Bul_Sank_sa_Bakane_bi (« Ne risque pas ta vie »). « L’immigration est bonne si elle est légale », « Reste en Afrique pour la développer, il n’y a pas mieux qu’ici », « Jeunesse, ce que tu ignores, c’est qu’à l’étranger ce n’est pas aussi facile que tu le crois », clamait cette chanson financée par le gouvernement italien dans le cadre d’une opération de l’#Organisation_internationale_pour_les_migrations (#OIM) baptisée « #Migrants_conscients » (3).

    « Pourquoi risquer votre vie ? »

    Ces campagnes qui ciblent des personnes n’ayant pas encore tenté de rejoindre l’Occident, mais susceptibles de vouloir le faire, insistent sur l’inutilité de l’immigration irrégulière (ceux qui s’y essaient seront systématiquement renvoyés chez eux) et sur les rigueurs de l’« État-providence ». Elles mettent en avant les dangers du voyage, la dureté des #conditions_de_vie dans les pays de transit et de destination, les #risques de traite, de trafic, d’exploitation ou tout simplement de mort. Point commun de ces mises en scène : ne pas évoquer les politiques restrictives qui rendent l’expérience migratoire toujours plus périlleuse. Elles cherchent plutôt à agir sur les #choix_individuels.

    Déployées dans les pays de départ et de transit, elles prolongent l’#externalisation du contrôle migratoire (4) et complètent la surveillance policière des frontières par des stratégies de #persuasion. L’objectif de #contrôle_migratoire disparaît sous une terminologie doucereuse : ces campagnes sont dites d’« #information » ou de « #sensibilisation », un vocabulaire qui les associe à des actions humanitaires, destinées à protéger les aspirants au départ. Voire à protéger les populations restées au pays des mensonges de leurs proches : une vidéo financée par la #Suisse (5) à destination du Cameroun enjoint ainsi de se méfier des récits des émigrés, supposés enjoliver l’expérience migratoire (« Ne croyez pas tout ce que vous entendez »).

    Initialement appuyées sur des médias traditionnels, ces actions se développent désormais via #Facebook, #Twitter ou #YouTube. En #Australie, le gouvernement a réalisé en 2014 une série de petits films traduits dans une quinzaine de langues parlées en Asie du Sud-Est, en Afghanistan et en Indonésie : « Pas question. Vous ne ferez pas de l’Australie votre chez-vous. » Des responsables militaires en treillis exposent d’un ton martial la politique de leur pays : « Si vous voyagez par bateau sans visa, vous ne pourrez jamais faire de l’Australie votre pays. Il n’y a pas d’exception. Ne croyez pas les mensonges des passeurs » (6).

    Les concepteurs ont sollicité YouTube afin que la plate-forme diffuse les #vidéos sous la forme de publicités précédant les contenus recherchés par des internautes susceptibles d’émigrer. Le recours aux #algorithmes permet en effet de cibler les utilisateurs dont le profil indique qu’ils parlent certaines langues, comme le farsi ou le vietnamien. De même, en privilégiant des vidéos populaires chez les #jeunes, YouTube facilite le #ciblage_démographique recherché. Par la suite, ces clips ont envahi les fils d’actualités Facebook de citoyens australiens issus de l’immigration, sélectionnés par l’#algorithme car ils parlent l’une des langues visées par la campagne. En s’adressant à ces personnes nées en Australie, les autorités espéraient qu’elles inviteraient elles-mêmes les ressortissants de leur pays d’origine à rester chez eux (7).

    C’est également vers Facebook que se tourne le gouvernement de la #Norvège en 2015. Accusé de passivité face à l’arrivée de réfugiés à la frontière russe, il finance la réalisation de deux vidéos, « Pourquoi risquer votre vie ? » et « Vous risquez d’être renvoyés » (8). Les utilisateurs du réseau social avaient initialement la possibilité de réagir, par le biais des traditionnels « j’aime » ou en postant des commentaires, ce qui aurait dû permettre une circulation horizontale, voire virale, de ces vidéos. Mais l’option fut suspendue après que la page eut été inondée de commentaires haineux issus de l’extrême droite, suscitant l’embarras de l’État.

    Ici encore, Facebook offre — ou plutôt, commercialise — la possibilité de cibler des jeunes hommes originaires d’Afghanistan, d’Éthiopie et d’Érythrée, dont le gouvernement norvégien considère qu’ils ne relèvent pas du droit d’asile. L’algorithme sélectionne en particulier les personnes situées hors de leur pays d’origine qui ont fait des recherches sur Internet dénotant leur intérêt pour l’Europe et la migration. Il s’agit de toucher des migrants en transit, qui hésitent quant à leur destination, et de les dissuader de choisir la Norvège. Les Syriens ne font pas partie des nationalités visées, afin de ne pas violer le droit d’asile. De même, le message mentionne explicitement que seuls les adultes seront refoulés, afin de ne pas contester le droit des enfants à être pris en charge.

    À plusieurs reprises, depuis 2015, les autorités belges ont elles aussi utilisé Facebook pour ce type d’initiatives (9). En 2018, des photographies de centres de détention et d’un jeune migrant menotté, assorties du slogan « Non à l’immigration illégale. Ne venez pas en #Belgique » (10), furent relayées à partir d’une page Facebook créée pour l’occasion par l’Office des étrangers. Cette page n’existait toutefois qu’en anglais, ce qui a fait croire à un faux (y compris parmi les forces de l’ordre), poussant le gouvernement belge à la supprimer au profit d’un site plus classique, humblement intitulé « Faits sur la Belgique » (11).

    Si de telles initiatives prolifèrent, c’est que les États européens sont engagés dans une course à la dissuasion qui les oppose les uns aux autres. Le 30 mai 2018, en France, M. Gérard Collomb, alors ministre de l’intérieur, affirmait lors d’une audition au Sénat que les migrants faisaient du « #benchmarking » pour identifier les pays les plus accueillants. Cette opinion semble partagée par ses pairs, et les États se montrent non seulement fermes, mais soucieux de le faire savoir.

    Le recours aux plates-formes de la Silicon Valley s’impose d’autant plus aisément que les autorités connaissent l’importance de ces outils dans le parcours des migrants. Une très large majorité d’entre eux sont en effet connectés. Ils dépendent de leur #téléphone_portable pour communiquer avec leur famille, se repérer grâce au #GPS, se faire comprendre par-delà les barrières linguistiques, conserver des photographies et des témoignages des atrocités qui justifient leur demande d’asile, appeler au secours en cas de naufrage ou de danger, ou encore retrouver des connaissances et des compatriotes dispersés.

    Un doute taraudait les autorités des États occidentaux : en connectant les individus et en leur facilitant l’accès à diverses sources d’information, les #technologies_numériques ne conféraient-elles pas une plus grande #autonomie aux migrants ? Ne facilitaient-elles pas en définitive l’immigration irrégulière (12) ? Dès lors, elles s’emploieraient à faire de ces mêmes outils la solution au problème : ils renseignent sur la #localisation et les caractéristiques des migrants, fournissant un canal privilégié de communication vers des publics ciblés.

    Systématiquement financées par les États occidentaux et impliquant de plus en plus souvent les géants du numérique, ces campagnes mobilisent aussi d’autres acteurs. Adopté sous les auspices de l’Organisation des Nations unies en 2018, le pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières (ou pacte de Marrakech) recommande ainsi de « mener des campagnes d’information multilingues et factuelles », d’organiser des « réunions de sensibilisation dans les pays d’origine », et ce notamment pour « mettre en lumière les risques qu’il y a à entreprendre une migration irrégulière pleine de dangers ». Le Haut-Commissariat pour les réfugiés (HCR) et l’OIM jouent donc le rôle d’intermédiaires privilégiés pour faciliter le financement de ces campagnes des États occidentaux en dehors de leur territoire.

    Efficacité douteuse

    Interviennent également des entreprises privées spécialisées dans le #marketing et la #communication. Installée à Hongkong, #Seefar développe des activités de « #communication_stratégique » à destination des migrants potentiels en Afghanistan ou en Afrique de l’Ouest. La société australienne #Put_It_Out_There_Pictures réalise pour sa part des vidéos de #propagande pour le compte de gouvernements occidentaux, comme le #téléfilm #Journey, qui met en scène des demandeurs d’asile tentant d’entrer clandestinement en Australie.

    Enfin, des associations humanitaires et d’aide au développement contribuent elles aussi à ces initiatives. Créée en 2015, d’abord pour secourir des migrants naufragés en Méditerranée, l’organisation non gouvernementale (ONG) #Proactiva_Open_Arms s’est lancée dans des projets de ce type en 2019 au Sénégal (13). Au sein des pays de départ, des pans entiers de la société se rallient à ces opérations : migrants de retour, journalistes, artistes, dirigeants associatifs et religieux… En Guinée, des artistes autrefois engagés pour l’ouverture des frontières militent à présent pour l’#immobilisation de leurs jeunes compatriotes (14).

    Le #discours_humanitaire consensuel qui argue de la nécessité de protéger les migrants en les informant facilite la coopération entre États, organisations internationales, secteurs privé et associatif. La plupart de ces acteurs sont pourtant étrangers au domaine du strict contrôle des frontières. Leur implication témoigne de l’extension du domaine de la lutte contre l’immigration irrégulière.

    Avec quelle #efficacité ? Il existe très peu d’évaluations de l’impact de ces campagnes. En 2019, une étude norvégienne (15) a analysé leurs effets sur des migrants en transit à Khartoum, avec des résultats peu concluants. Ils étaient peu nombreux à avoir eu connaissance des messages gouvernementaux et ils s’estimaient de toute manière suffisamment informés, y compris à propos des aspects les plus sombres de l’expérience migratoire. Compte tenu de la couverture médiatique des drames de l’immigration irrégulière, il paraît en effet vraisemblable que les migrants potentiels connaissent les risques… mais qu’ils migrent quand même.

    https://www.monde-diplomatique.fr/2021/03/PECOUD/62833
    #migrations #réfugiés #privatisation #Italie #humanitaire #soft_power

    –-

    Ajouté à la métaliste sur les #campagnes de #dissuasion à l’#émigration :
    https://seenthis.net/messages/763551

    ping @isskein @karine4 @_kg_ @rhoumour @etraces

  • How to fight back against Google FLoC | Plausible Analytics
    https://plausible.io/blog/google-floc

    Google is starting to track your site visitors for advertising purposes even when you’re not using Google Analytics or having any relationship with Google.
    Here’s a closer look at Google’s Federated Learning of Cohorts (FLoC) initiative and how you can fight back and opt-out as a web user and a web developer.

    En anticipation du mouvement « privacy first », la nouvelle embrouille de Google pour tracer les internautes : directement via le navigateur (Chrome et ses dérivés)
    Pour mémoire : les stats de répartition des navigateurs (toutes plates-forme confondues) : https://www.w3counter.com/globalstats.php

    A noter :
    – ce système permet le tracking des utilisateurs de Chrome sur tous les sites et non pas seulement ceux équipés de Analytics
    – « accessoirement » cela pourrait permettre à Google de supprimer les cookies tiers de Chrome et donc de rendre les infos de tracking pour les publicitaires totalement dépendante des données collectées via ce nouveau système... (ou comment se construire un monopole)

    Le header (.htaccess ou directive du vhost) pour empêcher le tracking :

    <IfModule mod_headers.c>
     Header always set Permissions-Policy: interest-cohort=()
    </IfModule>

    Frameworks and CMS providers that care about privacy should add this header by default.

    ping #SPIP...

    #FLoC #google #Chrome #cookie-tiers #publicité #google_analytics

  • Quand la grande distribution fait de l’or avec vos données
    https://lexpansion.lexpress.fr/actualite-economique/quand-la-grande-distribution-fait-de-l-or-avec-vos-donnees_21480

    Avec l’explosion du e-commerce et des programmes fidélités, les enseignes de la grande distribution disposent d’une masse de données sur leurs clients qu’elles pourraient monétiser. « Etes-vous intéressé par notre carte de fidélité ? » Qui n’a jamais entendu cette banale phrase lancée par l’hôtesse ou l’hôte de caisse au moment de régler ses achats ? Le fonctionnement est simple : plus le client consomme, plus il bénéficie de promotions. L’enseigne peut ainsi avoir connaissance des produits consommés par (...)

    #Monoprix #Tesco #Walmart #Amazon #CDiscount #BigData #consommation #marketing (...)

    ##publicité

  • Mouchards publicitaires sur Android : une plainte déposée en France contre Google
    https://www.lemonde.fr/pixels/article/2021/04/07/mouchards-publicitaires-sur-android-une-plainte-deposee-en-france-contre-goo

    L’ONG NOYB multiplie les procédures contre les « identifiants publicitaires » d’Android et d’iOS, qu’elle estime contraires au droit européen. L’ONG de défense de la vie privée NOYB a fait savoir, dans un communiqué publié ce 6 avril, qu’elle déposait plainte en France contre Google. NOYB conteste en effet la manière dont le système d’exploitation pour mobiles Android, de Google, le plus utilisé dans le monde, assigne à chaque téléphone un identifiant unique, utilisé par de nombreuses applications et autres (...)

    #Android #smartphone #iOS #consentement #[fr]Règlement_Général_sur_la_Protection_des_Données_(RGPD)[en]General_Data_Protection_Regulation_(GDPR)[nl]General_Data_Protection_Regulation_(GDPR) #microtargeting #publicité #NOYB #Apple (...)

    ##[fr]Règlement_Général_sur_la_Protection_des_Données__RGPD_[en]General_Data_Protection_Regulation__GDPR_[nl]General_Data_Protection_Regulation__GDPR_ ##publicité ##Google

  • Le « développement durable » : un compromis entre la rentabilité économique et la communication politique pour « écocitoyens consom’acteurs ». Mathieu Jahnich, l’auteur de l’article s’est assigné un rôle de veilleur certes fort louable mais on ne peut que déplorer son légalisme crédule s’appuyant sur une « déontologie publicitaire » face à des industriels et des chaînes de distributions qui n’ont cure de la préservation de notre environnement.

    Publicité : une tolérance de plus en plus grande au greenwashing en France ?
    https://theconversation.com/publicite-une-tolerance-de-plus-en-plus-grande-au-greenwashing-en-f

    Tous les arguments publicitaires écologiques ou les allégations qui font référence aux enjeux de transition écologique doivent, en théorie, respecter ces règles, rassemblées dans la « Recommandation développement durable » de l’ARPP.

    Dans les faits, plus de 11 % des publicités environnementales ne sont pas conformes, comme le montre le dernier bilan « Publicité et environnement », réalisé conjointement par l’Ademe et l’ARPP et publié en septembre 2020.

    C’est le taux le plus élevé depuis 10 ans et significativement supérieur aux autres thématiques (0,2 % de non-conformité pour les comportements alimentaires ou l’image et le respect de la personne, par exemple).

    #greenwashing #publicité #marchandisation (du fait politique)

  • Google promises it won’t just keep tracking you after replacing cookies
    https://www.theverge.com/2021/3/3/22310332/google-privacy-replacing-third-party-cookies-privacy-sandbox?scrolla=5eb6d

    Google says it wants a ‘privacy-first web’ Google is slowly phasing out third-party tracking cookies, and today, it’s making it clear that it won’t just replace them with something equally invasive despite the impact the change will have on Google’s lucrative advertising business. In a blog post, Google explicitly states that it “will not build alternate identifiers to track individuals as they browse across the web” after the third-party cookies are gone. “Instead, our web products will be (...)

    #Alphabet #Apple #Google #Chrome #cookies #Firefox #Safari #bénéfices #microtargeting #profiling #publicité #FLoC (...)

    ##publicité ##Sandbox

  • Google Is Testing Its Controversial New Ad Targeting Tech in Millions of Browsers. Here’s What We Know.
    https://www.eff.org/deeplinks/2021/03/google-testing-its-controversial-new-ad-targeting-tech-millions-browsers-heres

    Today, Google launched an “origin trial” of Federated Learning of Cohorts (aka FLoC), its experimental new technology for targeting ads. A switch has silently been flipped in millions of instances of Google Chrome : those browsers will begin sorting their users into groups based on behavior, then sharing group labels with third-party trackers and advertisers around the web. A random set of users have been selected for the trial, and they can currently only opt out by disabling third-party (...)

    #Google #algorithme #Chrome #cookies #tracker #consentement #FLoC #microtargeting #publicité (...)

    ##publicité ##EFF

  • Le capitalisme de surveillance - Ép. 1/4 - À l’ère de la surveillance numérique
    https://www.franceculture.fr/emissions/lsd-la-serie-documentaire/a-lere-de-la-surveillance-numerique-14-le-capitalisme-de-surveillance

    Smartphone, Sites Web, Objets connectés, tous récoltent des données sur ma vie privée. Mais à qui et à quoi ces données servent-elles ? Et finalement cette surveillance numérique est-elle vraiment problématique ? En fouillant dans mon smartphone et dans mon ordinateur, je me suis aperçu que des pisteurs récoltent mes données personnelles en permanence. Derrière les grandes entreprises que l’on connait bien tel Google, Facebook ou Amazon, se cachent tout un écosystème obscur qui fait commerce de mes (...)

    #algorithme #données #BigData #DataBrokers #GAFAM #microtargeting #profiling #publicité

    ##publicité

    • Yep, la liste est longue. Est-ce qu’on a pas une responsabilité en tant que développeurs de poser toutes ces merdes. Je pense notamment à l’école 42 de Niel qui a bien décervelés les nouveaux et nouvelles développeuses qu’ils y forment au point que le mot liberté est devenu une posture capitaliste.

      Et toutes celleux qui acceptent de donner tes coordonnées aux banquiers ou aux flics parce qu’ils y croient encore. Juste hier, un banquier La poste qui insiste auprès d’un de mes clients pour avoir mes coordonnées, j’ai juste besoin de l’API et de la doc, pas qu’il remplisse son fichier !

      La liste des sites en décrépitude :
      https://seenthis.net/messages/665225

  • La grande #malbouffe

    Que mangeons-nous réellement en avalant un cordon bleu industriel ? Ce documentaire met la main à la pâte pour déconstruire les pratiques souvent douteuses de l’industrie agroalimentaire.

    Toujours plus abondante et moins chère, la nourriture industrielle a envahi nos assiettes, avec des incidences sur la santé de plus en plus fortes : jamais l’obésité et le diabète n’ont été aussi répandus. Et jamais les étiquettes n’ont été aussi compliquées à déchiffrer. Pour percer les secrets du secteur agroalimentaire, Maud Gangler et Martin Blanchard sont eux-mêmes devenus… des industriels. Avec l’aide d’un laboratoire alimentaire spécialisé en recherche et développement, ils se lancent dans la production d’un plat populaire : le cordon bleu. Un projet offensif qui leur permet de comprendre de l’intérieur les rouages de l’ultratransformé, où la fabrication d’un produit en apparence simple tient de l’assemblage complexe. Pourquoi, alors que l’escalope panée cuisinée à la maison ne nécessite que cinq ingrédients, en faut-il ici une trentaine ? La viande du cordon bleu mérite-t-elle encore son nom ? Peut-on appeler fromage cette pâte fondante obtenue à grand renfort d’additifs ? L’emballage lui-même est-il nocif pour la santé ?

    Riche et digeste
    En partant d’un produit emblématique comme le mal nommé cordon bleu, puis en élargissant l’enquête, ce documentaire détricote les fils cachés d’un système ultraconcurrentiel. Se jouant des frontières, l’industrie agroalimentaire se révèle diaboliquement novatrice, usant de technologies toujours en avance sur les réglementations et d’astuces marketing rodées, ou s’aidant de puissants lobbies pour servir ses intérêts. Les autorités nationales et européennes s’avouent techniquement débordées et peinent à contrôler les substances toxiques qu’elles ont commencé par autoriser. Pourtant, l’espoir d’un changement qualitatif est impulsé par la société civile : sous la pression des consommateurs et d’applications de notation alimentaire comme Yuka, certains industriels cherchent à mieux faire pour bénéficier d’un « clean label » auquel s’attache le grand public. Réduction du nombre d’ingrédients, abandon d’additifs, choix de protéines végétales : une démarche vertueuse qui tourne parfois au casse-tête, quand elle n’aboutit pas à un effet inverse, avec des plats végans à la qualité sanitaire douteuse. Au menu de cette enquête riche mais remarquablement digeste, experts, nutritionnistes, docteurs en sciences des aliments ou consultants en « transformation positive » éclairent une question devenue cruciale : que mange-t-on aujourd’hui ?

    https://www.arte.tv/fr/videos/091150-000-A/la-grande-malbouffe

    #film #documentaire #film_documentaire

    #alimentation #prix #industrie_agro-alimentaire #industrie_alimentaire #marketing #aliments_ultra-transformés #budget_alimentaire #viande_séparée_mécaniquement (#VSM) #polyphosphates #additifs_alimentaires #effet_cocktail #dioxine_de_titane #nano-particules #E_171 #E171 #cefic #TDMA #EFSA #principe_de_précaution #précaution #MOAH #MOSH #huiles_minérales #substances_réactives #Yuka (application smartphone) #publicité #malnutrition #obésité #surpoids #santé #clean_label #végétarianisme #végétarisme #ingrédientistes #transglutaminose #junk_food #auxiliaires_technologiques #chimie #anti-mousse #packaging

  • Google chante le requiem pour les cookies, mais le grand chœur du pistage résonnera encore
    https://framablog.org/2021/03/22/google-chante-le-requiem-pour-les-cookies-mais-la-grand-choeur-du-pistage

    Google va cesser de nous pister avec des cookies tiers ! Une bonne nouvelle, oui mais… Regardons le projet d’un peu plus près avec un article de l’EFF. La presse en ligne s’en est fait largement l’écho : par exemple siecledigital, generation-nt ou lemonde. Et de nombreux articles citent un éminent responsable du tout-puissant Google : Chrome a annoncé son intention de supprimer la prise en charge des cookies tiers et que nous avons travaillé avec l’ensemble du secteur sur le Privacy Sandbox (...)

    #Alphabet #Framasoft #Google #cookies #Chrome #FLoC #microtargeting #profiling #publicité (...)

    ##publicité ##EFF

  • Les « balades » de #land_rover au milieu des rivières
    http://carfree.fr/index.php/2021/03/22/les-balades-de-land-rover-au-milieu-des-rivieres

    Voici une publicité pour les 4×4 Land Rover trouvée sur Twitter en novembre dernier. Selon le constructeur automobile Land Rover, la « balade du dimanche » consiste à rouler en 4×4 directement Lire la suite...

    #Destruction_de_la_planète #Fin_de_l'automobile #4x4 #anti-4x4 #destruction #nature #publicité

  • Les « balades » de #land_rover au milieu des rivières
    http://carfree.fr/index.php/2021/03/22/les-balades-de-land-rover-au-milieu-des-rivieres

    Voici une publicité pour les 4×4 Land Rover trouvée sur Twitter en novembre dernier. Selon le constructeur automobile Land Rover, la « balade du dimanche » consiste à rouler en 4×4 directement Lire la suite...

    #Destruction_de_la_planète #Fin_de_l'automobile #4x4 #anti-4x4 #destruction #nature #publicité

  • Platform Capitalism, Empire and Authoritarianism : Is There a Way Out ?
    https://www.cigionline.org/articles/platform-capitalism-empire-and-authoritarianism-there-way-out

    The world will face more widespread and intensified surveillance, but this time it could be framed as something for our own good, for the good of humanity. President Trump has left the building. In his final days, in one of the most symbolic moments of his short period in the White House, after his supporters had haphazardly stormed the Capitol Building on January 6, the inveterate (ab)user of social media was banned from, first, Facebook and then his favourite platform, Twitter. For the (...)

    #ByteDance #TikTok #Facebook #Twitter #WhatsApp #YouTube #manipulation #BigData #extrême-droite #publicité #SocialNetwork #surveillance #SidewalkLabs #Google #Alphabet #COVID-19 #santé (...)

    ##publicité ##santé ##[fr]Règlement_Général_sur_la_Protection_des_Données__RGPD_[en]General_Data_Protection_Regulation__GDPR_[nl]General_Data_Protection_Regulation__GDPR_

  • What Google’s Privacy Sandbox Means for Internet Governance
    https://www.cigionline.org/articles/what-googles-privacy-sandbox-means-internet-governance

    Under the guise of heightened user privacy, Google’s replacement for third-party cookies will build more walls in the open web. On March 2, Google made waves in the online advertising world by introducing the beta version of its browser Chrome 89, featuring new “Web crowd and ad measurement” tools. The tools are components of Google’s “Privacy Sandbox,” a project first announced in August 2019 as an experiment to explore replacements for third-party cookie-based advertising in “a secure (...)

    #Google #Chrome #cookies #domination #FLoC #profiling #publicité #CNIL

    ##publicité

  • Balade - Cartographions la surveillance dans les Marolles !
    https://agenda.collectifs.net/events/8bc8399c-da21-4856-b33b-4bc8dbbf0b99

    Le samedi 3 avril, venez cartographier la surveillance à Bruxelles lors de notre balade mensuelle.

    Cette fois-ci, nous nous rendrons dans le centre de Bruxelles, dans les Marolles. Inscription via https://cryptpad.fr/sheet/#/2/sheet/edit/sXDxFBfi8TNPH7xdm4QVJKsT Nous nous baladerons en petit groupe de 6 personnes à travers les rues de Bruxelles pour identifier les caméras de surveillance. Ce sera aussi l’occasion de localiser les panneaux publicitaires et le mobilier anti-SDF. Toutes les (...)

    #CCTV #cartographie #géolocalisation #vidéo-surveillance #pauvreté #surveillance #publicité (...)

    ##pauvreté ##publicité ##Technopolice