50 anni di #Centro_Culturale_Jacopo_Lombardini a Cinisello Balsamo
#Milan #histoire #Cinisello_Balsamo #comune #école_du_soir #quartier_populaire #quartiers_populaires #éducation_populaire #Italie
#vidéo
50 anni di #Centro_Culturale_Jacopo_Lombardini a Cinisello Balsamo
[Plein la tête pour pas un rond] Fatima Ouassak
▻https://www.radiopanik.org/emissions/plein-la-tete-pour-pas-un-rond/fatima-ouassak
Politologue et activiste, Fatima Ouassak a formulé dans son premier ouvrage (La puissance des mères. Pour un nouveau sujet révolutionnaire, 2020) et avec l’ouverture de la maison Verdragon à Bagnolet, une proposition politique écologiste à partir d’un point de vue apparemment minoritaire et périphérique : celui des mères des quartiers populaires comme sujets politiques.
Avec son nouvel ouvrage, Pour une #écologie pirate, elle revient plus spécifiquement sur l’instrumentalisation de l’écologie contre les habitants des quartiers populaires, et sur les obstacles politiques et symboliques à renverser pour qu’émergent d’autres trajectoires écologiques, menées à partir de ces territoires.
Les mondes de nos ancêtres se sont déjà effondrés. Et pourtant nous sommes là, nous rions avec nos enfants. Nous résistons (...)
#quartier_populaire #justice #migation #justice_environnementale #écologie_populaire #écologie,quartier_populaire,justice,migation,justice_environnementale,écologie_populaire
▻https://www.radiopanik.org/media/sounds/plein-la-tete-pour-pas-un-rond/fatima-ouassak_15683__1.mp3
La puissance des mères. Pour un nouveau sujet révolutionnaire
Depuis la naissance de la Ve République, l’État français mène une guerre larvée contre une partie de sa population. Les jeunes des #quartiers_populaires descendants de l’immigration postcoloniale subissent une opération, quotidiennement répétée, de « #désenfantisation » : ils ne sont pas traités comme des #enfants mais comme des menaces pour la survie du système. Combien d’entre eux sont morts à cause de cette désenfantisation ? Combien ont été tués par la #police en toute #impunité ? Combien de mères ont pleuré leurs enfants victimes de crimes racistes devant les tribunaux ?
En s’appuyant sur les luttes menées par les #Folles_de_la_place_Vendôme, dans les années 1980, comme sur les combats du #Front_de_mères aujourd’hui, Fatima Ouassak montre, dans ce livre combatif et plein d’espoir, le potentiel politique stratégique des #mères. En se solidarisant systématiquement avec leurs enfants, en refusant de jouer un rôle de tampon entre eux et la #violence des institutions, bref, en cessant d’être une force d’apaisement social et des relais du système inégalitaire, elles se feront à leur tour menaces pour l’ordre établi.
Ce livre a l’ambition de proposer une alternative politique portée par les mères, autour d’une #parentalité en rupture alliant #réussite_scolaire et #dignité, et d’un projet écologiste de #reconquête_territoriale. Son message est proprement révolutionnaire : en brisant le #pacte_social de tempérance qui les lie malgré elles au système oppressif, les mères se mueront en dragons.
►https://www.editionsladecouverte.fr/la_puissance_des_meres-9782348059377
#livre
#Fatima_Ouassak #racisme #violence_systémique #violence_institutionnelle #oppression
illustration : One Piece, arc au Pays de Wa où les méchants exploitent la population dans des mines et des usines polluantes qui détruisent le paysage et l’alimentation (et affament les gens)
#Jeunes de quartier. Le pouvoir des #mots
Qu’est-ce qu’être jeune dans un #quartier_populaire ? À quelle #expérience sociale, urbaine, familiale, à quelles #visions de sa place dans la société et dans le territoire cela renvoie-t-il ? Telles sont les questions qui ont guidé la #recherche_participative conduite dans dix villes ou quartiers de l’#Île-de-France. Avec un objectif : ne pas laisser les autres parler, mais choisir nos mots, les mots pour en débattre.
À chacun·e maintenant de piocher, de sauter d’un mot ou d’un texte à l’autre, en s’inspirant ou non des connexions proposées entre les différentes notices, et de visionner les capsules vidéos.Nous vous souhaitons bon voyage.
Et un #livre :
Jeunes de quartier. Le pouvoir des mots
Qu’est-ce qu’être « jeune de quartier » ? À quelle expérience sociale, urbaine, familiale, à quelles visions de sa place dans la société et dans le territoire cela renvoie-t-il ?
Ces questions sont au centre de cet ouvrage, fruit d’une recherche participative conduite dans dix villes ou quartiers de l’Île-de-France et associant 120 jeunes, une quinzaine de professionnels de la jeunesse et une quinzaine de chercheurs appartenant à différentes disciplines.
La forme de l’#abécédaire, dans lequel les voix, diverses, de chacun.e entrent en discussion, permet de naviguer, à partir des mots, entre des territoires, des regards, des expériences, des points de vue. Les analyses proposées, en partant des acteurs concernés, contredisent souvent les #représentations de sens commun et en tout cas les complexifient.
#villes #RAP #quartiers #géographie_urbaine #études_urbaines #France #Paris #jeunesse
« On peut associer les jeunes des quartiers populaires à la fabrique des politiques publiques »
▻https://seenthis.net/messages/954926
Dans une courée lilloise, habitat modeste mais modèle en temps de confinement - Page 1 | Mediapart
▻https://www.mediapart.fr/journal/france/050520/dans-une-couree-lilloise-habitat-modeste-mais-modele-en-temps-de-confineme
Cet habitat ouvrier du XIXe siècle, typique de l’industrie textile du nord de la France et longtemps stigmatisé, se révèle être une forme intéressante de vie communautaire, en ces temps d’épidémie. À condition d’avoir su créer un esprit de corps en son sein.
L’omniprésident Emmanuel Macron défend le principe selon lequel la richesse des « premiers de cordée » peut sortir la société de la crise. Mais pour l’auteur de cette tribune, la recherche de la richesse économique ne fait en rien le bien commun.
Didier Harpagès est l’auteur de Mourir au travail ? Plutôt crever ! Ce qu’est le travail et ce qu’il pourrait être, qui vient de paraître aux éditions Le Passager clandestin. Il collabore régulièrement à #Reporterre.
héhé, je l’ai enregistré hier, faut que je le mette en ligne !
La cordée c’est une image assez mal choisie. Si on la fil, les premiers de cordée sont bien accrochés, ils sont riches et ont du bon matériel d’alpinisme, celleux qui suivent sont assuré peut être par la taille et plus tu va vers l’arrière de la cordée plus tu es pauvre. Donc moins tu est assuré, moins tu as de matériel. En bout de cordée tu est a poile sur une falaise et la corde tu l’as au cou. En plus dans une cordée en cas de probleme c’est pas les premiers de cordée qui tombent, ils peuvent meme se permettre de balancer tout le reste de la cordée dans le vide si l’envie leur en prend.
Plutot que d’emener toute la societe faire des choses aussi dangereuses que de l’alpinisme pour taquiner les sommets du #mâle_alphisme, si on fesant plutot de la randonnée. En fesant de la randonnée tu laisse pas la liberté aux premiers de cordée de te lâcher dans le vide si l’envie leur traverse l’esprit.
@mad_meg E.M ne fait qu’exploiter en les dénaturant radicalement des références culturelles à haute valeur ajoutée. (ici Frison Roche et, plus généralement la pratique de l’alpinisme). Premier de cordée c’est pas grimpeur solo (ou le risque n’est d’ailleurs pas partagé ou imposé aux autres mais assumé en première personne), c’est assumer une responsabilité collective, pas autre chose, pas couper la corde pour se délester du moins performant ! Ramener tout le monde à bon port avant tout. Quitte à se faire remplacer si les circonstances l’exigent.
Ce pourceau place des pierres sur le go ban de l’imaginaire : je suis l’économiste expert de la destruction créatrice et de la croissance (et j’ai été choisi et sélectionné pour ça, l’unanimité de la grosse presse l’a bien montré) ; je suis un Français cultivé et pour ainsi dire philosophe (François Dosse vient d’apporter de l’eau à ce moulin, rien moins qu’un livre : Macron fait du Ricoeur en politique, moi je vous le dis) ; je suis le jeune homme de la nouvelle frontière, un nouveau Kennedy (Et Emmanuel Carrère de rédiger une apologie de E.M dans The Guardian...) ; je suis celui qui parle sans la langue de bois des politiques ma haute culture ma grande compétence n’entravent pas mon usage, brut, je suis cultivé mais capable de parler comme tous les français, bande de fainéants de fonctionnaires, de syndicalistes, de grévistes, de chômeurs ; je suis la grandeur de la France enfin retrouvé, mondiale mieux qu’un De Gaulle ! appelez moi Napoléon ; je suis Jupiter la lumière, ..., ...
Une créativité programmée pour occuper le terrain, très mégalo (avoir un « grand » maître nous flatterait, nous grandit), mais aussi pas mal schizo, le terme caractérisant cette fois, à l’inverse des usages péjoratifs habituels, une aptitude créatrice (cf Deleuze et Guattari, dsl @mad_meg pour cette référence, mais selon moi elle s’impose). Étonnant comme dans leur paysage mental, la contradiction logique n’a aucunement droit de cité. Ils sont occupés à sculpter, à créer des mondes. Le reste n’est pour eux que résidu.
#imaginaire #artiste (et pacotilles partout)
c’est assumer une responsabilité collective, pas autre chose, pas couper la corde pour se délester du moins performant ! Ramener tout le monde à bon port avant tout. Quitte à se faire remplacer si les circonstances l’exigent.
Oui dans l’idéal de ce que disent les alpinistes de leur pratique peut etre mais dans la réalité en marche de Macron l’alpiniste, lui il coupe la corde.
edit - ce que je veux dire c’est que je voie pas de contradiction ni de mensonge dans cette métaphore de la cordée, pour moi c’est la synthèse du programme de Macron c’est à dire : que les riches montent vite au sommet et précipitent le reste de la cordée dans le vide.
Ce qui ruisselle dans une cordée ce sont les cailloux sur la tête des suivants et surtout des derniers. Et on peu se questionné sur le type de sommets vers lequel Macron veut nous conduire.
brigitte & emmanuel au sommet.
Non plus sérieusement, voilà un mec qui a escaladé l’Everest. E.M n’est qu’un rond de cuir, à côté.
▻https://i2.wp.com/www.fumigene.org/wp-content/uploads/2015/08/NAdir.jpg?fit=200%2C153
▻http://www.fumigene.org/2017/03/21/nadir-dendoune-et-ses-reves-de-pauvres
« Si je ne triche pas, si je ne transgresse pas, je n’aurai le droit que de crever dans ma cité. Notre destin est balisé. »
▻http://www.lemonde.fr/livres/article/2010/06/12/le-9-3-dans-les-cimes-de-nadir-dendoune_1371786_3260.html#xtor=AL-32280340
« Nos rêves de pauvres » - 3 questions à Nadir Dendoune
▻https://blogs.mediapart.fr/pascalboniface/blog/020517/nos-reves-de-pauvres-3-questions-nadir-dendoune
▻https://i0.wp.com/www.fumigene.org/wp-content/uploads/2017/03/Nos-Reves-de-pauvres.jpg?w=385&h=481&crop
▻https://www.facebook.com/events/339220083219391
▻http://www.jeuneafrique.com/196245/societe/nadir-dendoune
#Nadir_Dendoune #mektoub #quartier_populaire
#Disgrazia !
Entre 1921 et 1930, plus d’un million d’Italiens quittent leur pays pour la France. Parmi eux, une famille sicilienne tente sa chance à Grenoble. D’une génération à l’autre, ce récit graphique retrace l’histoire de cette migration qui fût, comme tant d’autres, marquée par la #pauvreté et le labeur.
Et une autre BD par la même auteure (très très belle aussi) :
#De_l’autre_côté
Dans ce nouvel opus, Coline Picaud poursuit, prolonge et amplifie le projet qu’elle avait initié avec sa précédente bande dessiné, Disgrazia !1 Alors que cette dernière portait sur l’immigration italienne, cette fois-ci Coline Picaud se penche sur l’#immigration_maghrébine, toujours dans sa ville natale de Grenoble. Sa méthode, oscillant entre le journalisme de terrain et l’ethnographie, consiste à rencontrer des acteurs de cette immigration, de leur donner largement la parole et d’illustrer leur propos. Au cœur de son travail : l’histoire. En effet, son ambition est de rendre compte du processus migratoire dans sa ville depuis l’après Seconde Guerre mondiale. Pour cela, elle a rencontré, longuement, tout d’abord de vieux Algériens, puis des Marocains et des Tunisiens. Leur récit plonge dans la France coloniale puisque l’ère de l’indépendance n’avait pas encore sonné au moment où ils sont arrivés dans l’hexagone. Comme dans de nombreuses villes, les immigrés se fixent dans un quartier spécifique de Grenoble, #quartier_populaire et dégradé. Le lecteur découvre la réalité d’une vie aliénée, faite d’exploitation au travail, de conditions de vie urbaines difficiles, de racisme et de rejet latent de la part des populations locales. Les années passant, une vie familiale et communautaire s’organise, entrecoupée de luttes comme celle des foyers #Sonacotra dans les années 1970. Puis le quartier est en prise avec la #rénovation_urbaine qui vient déstructurer l’environnement de travailleurs désormais vieillis et retraités.
Un second chapitre est centré sur le témoignage de Zahra, une jeune fille franco-marocaine qui a livré ses impressions et sentiments en échange de cours d’alphabétisation. Cette partie est très intéressante car elle donne largement la parole à l’expérience d’une femme pour qui les difficultés sont plus marquées encore que pour les hommes, leurs maris. L’histoire des conditions de passage du permis de conduire par Zahra est particulièrement éloquente. Enfin la dernière partie offre une perspective actuelle, à partir des témoignages variés de Maghrébins arrivés récemment dans l’hexagone. Cette nouvelle génération de migrants grenoblois se compose d’étudiants, de travailleurs précaires (parfois sans-papiers) ou de réfugiés politiques. Leur histoire est très loin d’être une « success story », certains se faisant renvoyer (le cas de Sousou), d’autres réussissant après bien des épreuves à obtenir des papiers.
Ces récits de vie, kaléidoscopiques, offrent au lecteur une riche et vivante perspective de l’expérience d’immigration, valable bien au-delà du territoire grenoblois et constituent un sévère réquisitoire contre toutes les volontés dominantes de restreindre les possibilités migratoires. De ce point de vue, De l’autre côté de Coline Picaud apparaît comme un plaidoyer pour combattre les préjugés sur les migrations, sujet d’une actualité brûlante en cet automne 2015.
Quartier La Chapelle-Pajol : chronique d’une instrumentalisation politique
►http://www.bondyblog.fr/201705290030/quartier-la-chapelle-pajol-chronique-dune-instrumentalisation-politique
"Un article du Parisien publié jeudi 18 mai a défrayé la chronique dans le débat public. Il y décrit un quotidien insupportable pour les femmes fait de harcèlement, d’agressions verbales et physiques dans le quartier très populaire de Chapelle-Pajol du XVIIIème arrondissement de Paris. Pourtant, le problème n’est pas nouveau. Alors pourquoi cette polémique a-t-elle émergé à trois semaines des élections législatives et que cache-t-elle ? Le Bondy Blog a mené l’enquête.
L’article est explosif et 10 jours après sa publication, il continue à alimenter débats télévisés, presse en ligne, tribunes et autres discussions sur les réseaux sociaux. Le moins que l’on puisse dire c’est que le papier du Parisien a fait parler de lui et du sujet qu’il a mis en avant : le harcèlement des femmes dans le quartier de La Chapelle-Pajol, dans le XVIIIème arrondissement de Paris.
Dans cet article mis en ligne jeudi 18 mai, la journaliste du Parisien, Cécile Beaulieu, décrit un quartier de “plusieurs centaines de mètres carré de bitume abandonnés aux seuls hommes et où les femmes n’ont plus droit de cité. Cafés, bars et restaurants leur sont interdits (…) Des groupes de dizaines d’hommes seuls, vendeurs à la sauvette, dealeurs, migrants et passeurs, tiennent les rues, harcelant les femmes”. "
Les Pieds sur terre par #Sonia_Kronlund
Le 18 mai 2017, le journal Le Parisien publie un article intitulé « Paris, des femmes victimes de harcèlement dans les rues du quartier #La_Chapelle_Pajol ». Il précise que des habitantes du quartier, « révoltées », ont lancé une « vaste pétition pour dénoncer la situation ».
▻https://www.franceculture.fr/emissions/les-pieds-sur-terre/polemique-la-chapelle#xtor=EPR-2-[LaLettre22062017]
S’en suit un #buzz_médiatique et une vive #polémique : d’autres habitants dénoncent une manipulation électoraliste et une #stigmatisation de ce #quartier_populaire du 18ème arrondissement de #Paris. Un mois après, retour à la Chapelle.
L’éco-#gentrification : comment un #espace_vert peut radicalement transformer un quartier populaire
Crées pour améliorer le quotidien des riverains dans les quartiers populaires, les espaces verts peuvent se révéler de redoutables accélérateurs de gentrification. Importé des Etats Unis, le phénomène a même un nom : l’#éco-gentrification.
« Dis Maîtresse ! » (Bande Annonce )
▻https://www.facebook.com/Dis.Maitresse
Ce monde, c’est celui des « tout petits » - autrement dit des enfants de moins de trois ans – d’une école maternelle d’un quartier populaire.
Début juillet, une classe de « tout petits » d’une école maternelle du quartier des Minguettes, à Vénissieux dans le Rhône, découvre le monde mystérieux d’une ferme pédagogique.
Les enfants resplendissent de joie de vivre. Générique. Choc des images : dix mois plus tôt, c’est la rentrée des classes. Les mêmes bambins, alors âgés de deux ans, pleurent à chaudes larmes. Ils quittent papa et maman pour la première fois. Entre les deux, une année scolaire et un tournage étalé sur dix mois. Nous sommes dans un monde étrange, où les jours de la semaine portent des noms de couleurs...
Ce monde, c’est celui des « tout petits » - autrement dit des enfants de moins de trois ans – d’une école maternelle d’un quartier populaire. Mamadou, Kyria, Mikhaïl et leurs camarades apprennent à vivre ensemble, à parler la langue française, alors que, parfois on ne la parle pas à la maison. En même temps, ils s’ouvrent à la vie et découvrent le monde.
▻http://www.youtube.com/watch?v=MUDKPIfo8-w
#école #film_documentaire #école_maternelle #quartier_populaire #rentrée_des_classes
BANDE DE FILLES, Céline Sciamma, 2014
En voyant l’affiche je m’étais dit « ouille ouille ouille » ça va sentir bon l’ode à « l’issue de l’immigration ». Et en fait c’était con parce que j’avais pas compris que c’était la même réalisatrice que Tomboy. En voyant ce film, je suis stupéfait, sur le cul. L’actrice principale déchire sa mère. Le scénario est ciselé à mort, éminemment politique. Sciamma a une thèse et ça c’est hyper dur à sortir dans un film. C’est que justement un film, c’est pas une thèse. C’est pour ça que je dis « ciselé ». Ca jongle à merveille entre un réel (le visage de l’actrice suffit à dire le documentaire qu’il y a dans tous films) et un objectif clair et implacable incarné par la mécanique du scénario et de la mise en scène. C’est beau et merveilleux.
Un seul problème : le titre. Ca ne tiens pas. La bande de filles s’arrête au premier tiers du film. Je veux dire qu’on sent bien qu’elle parle des femmes de cité. Parler de l’héroine aurait suffit à la hisser très très haut.
▻https://www.youtube.com/watch?v=1f7EGBPIxtE
Les #Dossiers_de_Terrains_de_Luttes n°8 #quartiers populaires : (reprendre) une parole confisquée par les #Médias
▻http://terrainsdeluttes.ouvaton.org/?p=3841
Les reportages des grands médias sur les quartiers populaires provoquent régulièrement la consternation des habitants. Que ce soit par un ton misérabiliste ou, plus souvent, par une focalisation extrême sur les violences et les déviances, le traitement journalistique des dites « banlieues » fait donc l’objet de dénonciations récurrentes de …
#antenne_2 #banlieue #bavure #envoyé_spécial #france_2 #Mogniss_Abdallah #Racisme
«La Goutte-d’Or, […] reste un quartier arabe parce que les négociants #algériens possèdent...»
▻http://levant.tumblr.com/post/75499270924
“La Goutte-d’Or, […] reste un quartier arabe parce que les négociants algériens...
#eric_hazan #la_frabrique #paris #goutte_d'or #quartier_populaire #arabes #immobilier #gentrification #embourgeoisemment #18ème_arrondissement #france
Éducation : la triple peine pour les jeunes des quartiers populaires
►http://www.lemonde.fr/idees/article/2012/04/24/education-la-triple-peine-pour-les-jeunes-des-quarteirs-populaires_1689687_3
Le constat est accablant. Les jeunes des quartiers populaires subissent une triple peine, : un échec scolaire important, un taux de chômage deux fois supérieur à la moyenne et s’y ajoute désormais cette inégalité de traitement des territoires consistant à donner plus à ceux qui ont déjà beaucoup et à doter chichement ceux qui nécessiteraient un intérêt accru et permanent.
#éducation #échec_scolaire #éducation_prioritaire #quartier_populaire