Bitcoin, Ripple, Ethereum : Bruno Le Maire lance une mission crypto...
▻https://diasp.eu/p/6609050
Bitcoin, Ripple, Ethereum : Bruno Le Maire lance une mission cryptomonnaie | #france #cryptomonnaie #ethereum #regulation #bitcoin #ripple
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L’adieu à Keynes
▻http://www.laviedesidees.fr/L-adieu-a-Keynes.html
La marche de l’Europe communautaire vers le #néo-libéralisme économique était-elle inévitable ? C’est à la déconstruction de ce schéma trop commode et non dénué d’arrière-pensées politiques, à gauche comme à droite, que s’attache l’historien Laurent Warlouzet dans un ouvrage stimulant et informé.
Livres & études
/ #Europe, néo-libéralisme, #État-providence, #régulation
U.S. to Roll Back Safety Rules Created After Deepwater Horizon Spill - The New York Times
►https://www.nytimes.com/2017/12/28/us/trump-offshore-drilling.html
WASHINGTON — The Trump administration is poised to roll back offshore drilling safety regulations that were put in place after the 2010 Deepwater Horizon oil rig disaster in the Gulf of Mexico that killed 11 people and caused the worst oil spill in American history.
A proposal by the Interior Department’s Bureau of Safety and Environmental Enforcement, which was established after the spill and regulates offshore oil and gas drilling, calls for reversing the Obama-era regulations as part of President Trump’s efforts to ease restrictions on fossil fuel companies and generate more domestic energy production.
Doing so, the agency asserted, will reduce “unnecessary burdens” on the energy industry and save the industry $228 million over 10 years.
Il faudra boire la coupe jusqu’à la lie.
Environmental groups warned that reversing the safety measures would make the United States vulnerable to another such disaster.
“Rolling back drilling safety standards while expanding offshore leasing is a recipe for disaster,” Miyoko Sakashita, director of the oceans program at the Center for Biological Diversity, said in a statement. “By tossing aside the lessons from the Deepwater Horizon oil spill, Trump is putting our coasts and wildlife at risk of more deadly oil spills. Reversing offshore safety rules isn’t just deregulation, it’s willful ignorance.”
Régulation bancaire : la réforme est enterrée
▻https://www.mediapart.fr/journal/economie/121217/regulation-bancaire-la-reforme-est-enterree
Ce devait être la dernière pierre de la régulation bancaire, censée tirer les leçons de la crise financière de 2008. Mais l’accord de Bâle IV prévoit de laisser indemnes les #banques européennes. Après l’abandon du projet de séparation des activités bancaires, ce nouveau recul signe le renoncement à toute transformation en profondeur des pratiques des banques.
#Economie #BCE #Comité_de_Bâle #Commission_européenne #lobby #regulation
Glyphosate : révélations sur les failles de l’expertise européenne
▻http://www.lemonde.fr/planete/article/2017/11/26/glyphosate-revelations-sur-les-failles-de-l-expertise-europeenne_5220696_324
En septembre, la défiance a atteint son paroxysme. Une ONG autrichienne, Global 2000, a révélé, documents à l’appui, que de longs passages du rapport d’évaluation officiel sur la toxicité du glyphosate étaient parfaitement identiques au dossier déposé par Monsanto pour solliciter le renouvellement de son produit. Son surlignage coloré met en évidence une centaine de pages copiées-collées par les agences européennes.
Or ces pages sont précisément celles qui innocentent le produit : ni toxique pour la reproduction, ni cancérogène, ni génotoxique – une capacité à endommager l’ADN qui peut entraîner des cancers. C’est sur la base de cette évaluation que l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) avait acquitté le glyphosate à l’automne 2015. Et l’opinion de cette agence, déterminante, constitue le socle du verdict attendu lundi 27 novembre. A moins qu’il s’agisse, mot pour mot, de l’opinion d’un employé de Monsanto. C’est ce que notre enquête, en remontant la piste de ces copiés-collés, permet de démontrer.
Devant plus de trois cents personnes, José Tarazona, le chef de l’unité des pesticides de l’agence, prend la parole dans une atmosphère pesante. Les « allégations de copié-collé et de plagiat », plaide celui qui a surpervisé le travail de l’agence sur le glyphosate, sont le fait de « gens qui ne comprennent pas le processus ». A l’assistance médusée, il explique que cette pratique relève de la routine : « Les parties qui devaient être copiées ont été copiées et celles qui devaient être modifiées ont été modifiées. » Toutes les agences, apprend-on ce jour-là, se serviraient du fichier des industriels comme point de départ puis, après vérifications, l’amenderaient. Ou pas.
Les experts de l’Etat rapporteur doivent ainsi passer au crible les données qu’il contient ; essentiellement deux types de données de nature très différente. D’une part les résultats de tests de toxicité commandités et financés par les firmes. Protégés par le secret commercial, ils ne sont accessibles, sous le sceau de la confidentialité, qu’aux experts des agences. Autrement dit : eux seuls ont à la fois l’autorisation et la responsabilité de les vérifier.
D’autre part, le règlement européen demande aux firmes de sélectionner les études scientifiques indépendantes les plus pertinentes, publiées dans les revues savantes, et d’en fournir des « résumés critiques ». Le pays rapporteur analyse l’ensemble, rédige un rapport préliminaire, le transmet à l’EFSA. L’agence européenne supervise ensuite la relecture par les experts des Etats membres. Enfin, après corrections et validation, elle endosse et publie le rapport définitif.
L’article est publié un an plus tard, en 2013. Le texte est identique à celui qui figure dans le dossier fourni par la Glyphosate Task Force aux autorités européennes en 2012. Il correspond à cette fameuse sélection d’études indépendantes restituées sous la forme de « résumés critiques ». Seulement voilà : presque toutes ces études y sont si sévèrement « critiquées » qu’elles ont été jugées « non fiables », et donc écartées.
« Les trois quarts des soixante études de génotoxicité publiées dans la littérature scientifique ont rapporté que le glyphosate ou des herbicides à base de glyphosate causaient des dégâts sur l’ADN, explique Helmut Burtscher, toxicologue de l’ONG Global 2000, et le premier à avoir relevé les similitudes entre les deux rapports. Mais elles ont été considérées comme “non pertinentes” ou “non fiables”. »
#Glyphosate #Monsanto #Conflit_intérêt #Régulation #Manipulations_scientifiques
Bruce Schneier’s testimony before the House Energy and Commerce committee on the Equifax hack
▻https://www.schneier.com/blog/archives/2017/11/me_on_the_equif.html
4. These data brokers deliberately hide their actions, and make it difficult for consumers to learn about or control their data. (...)
5. The existing regulatory structure is inadequate. (...)
6. The market cannot fix this because we are not the customers of data brokers. (...)
7. We need effective regulation of data brokers. (...)
8. Resist complaints from the industry that this is “too hard.”
The Upside of Being Ruled by the Five Tech Giants - The New York Times
▻https://www.nytimes.com/2017/11/01/technology/five-tech-giants-upside.html
Yet ever since I started writing about what I call the Frightful Five, some have said my very premise is off base. I have argued that the companies’ size and influence pose a danger. But another argument suggests the opposite — that it’s better to be ruled by a handful of responsive companies capable of bowing to political and legal pressure. In other words, wouldn’t you rather deal with five horse-size Zucks than 100 duck-size technoforces?
The insatiable appetite of digital technology to alter everything in its path is among the most powerful forces shaping the world today. Given all the ways that tech can go wrong — as we are seeing in the Russia influence scandal — isn’t it better that we can blame, and demand fixes from, a handful of American executives when things do go haywire?
That’s not ridiculous. Over the last few weeks, several scholars said there are good reasons to be sanguine about our new tech overlords. Below, I compiled their best arguments about the bright side of the Five.
Un peu mythiques les capacités de contrôle qui seraient plus faciles sur quelques grandes entreprises...
Facebook & Russian election meddling: The FEC’s Ann Ravel sounded the alarm in 2015 — Quartz
▻https://qz.com/1076964/this-us-official-warned-about-russia-using-the-internet-to-skew-us-elections-yea
►https://qzprod.files.wordpress.com/2017/10/ap_358110062825-e1508362801776.jpg?quality=80&strip=all&w=16
In October 2014, vice commissioner Ann M. Ravel wrote a statement (pdf) accusing the FEC of turning a “blind eye” to the growing force of the internet in politics, and explaining the reason she and two of her co-commissioners, all Democrats, had voted for more disclosure of funding of political material on the web:
Some of my colleagues seem to believe that the same political message that would require disclosure if run on television should be categorically exempt from the same requirements when placed on the internet alone. As a matter of policy, this simply does not make sense. … This effort to protect individual bloggers and online commentators has been stretched to cover slickly produced ads aired solely on the internet but paid for by the same organizations and the same large contributors as the actual ads aired on TV.
The FEC had just undertaken a vote on the topic that ended in a deadlock, with three Republicans voting against their Democratic colleagues, a common impasse in the increasingly dysfunctional agency tasked with keeping US elections fair and transparent. Nonetheless, Ravel’s statement sparked outcry and anger, especially from conservatives who equated money spent on political advertising on the internet to “free speech”—the same argument that won the landmark 2010 “Citizens United” Supreme Court case, sending a torrent of cash into political elections.
A day after Ravel published her statement, co-commissioner Lee Goodman, a Republican, appeared on Fox & Friends (video) to warn that the three Democrats wanted to censor free speech online, and set up a “regulatory regime” that would reach deep into the internet. “Boy, I thought Democrats were for free speech,” commentated the Fox anchor interviewing him, Tucker Carlson. “That was obviously an earlier species.”
Ravel says Goodman’s Fox appearance unleashed a torrent of abuse. The issue was picked up by Drudge Report, Breitbart, and other right-wing news sites, which singled her out. Responses poured in from Twitter and e-mail, ranging from death threats to misogyny, everything from “stick it up your c-nt,” she recalled this week, to “You’re the kind of person the Second Amendment was made for.” They also included “Hope you have a heart attack,” and “You will more than likely find the ‘Nazi’ scenario showing its ugly head,” the Center for Public Integrity, a nonpartisan group that investigates democracy, reported (Ravel is Jewish).
Despite the backlash to her 2014 push to get Facebook and other internet companies to be more transparent about where their ad revenue was coming from, Ravel kept pursuing the issue. In 2015, the FEC grappled with the topic of how to make sure foreign money wasn’t being used to pay for political advertisements on the internet, a clear violation of a federal law.
In doing so, Ravel even anticipated Putin’s influence. “I mean, think of it, do we want Vladimir Putin or drug cartels to be influencing American elections?” Ravel asked in an October of 2015 meeting, while pushing for the commission to require state and local campaigns to declare foreign contributions. The commission tried once again to hash out what was “local” or “national” given the internet’s global reach.
Congress may try to regulate political ads on Facebook (FB) like those on broadcast television — Quartz
►https://qz.com/1105987/congress-may-try-to-regulate-political-ads-in-the-internet-like-those-on-broadca
►https://qzprod.files.wordpress.com/2017/10/ap_358110062825-e1508362801776.jpg?quality=80&strip=all&w=16
The US Congress wants to regulate Facebook, Twitter, Google, and other internet companies like broadcasting companies.
Three US senators introduced the “Honest Ads Act” Oct. 19 that would essentially make these companies follow the same standards for political advertising that broadcast television and radio stations in the America have followed for decades, according to a press release.
The Honest Ads Act would require social media and internet companies that have more than 50 million monthly users to make public detailed information about any political advertiser who spends over $500 on their platforms. It would require these companies to:
Make public digital copies of any advertisement these groups purchase, including the dates and times published.
Include a description of the audience and political ad target, and the number of times it was viewed.
Disclose contact information for the ads’ purchaser, and how much they paid for the ad.
Make “reasonable efforts” to ensure that any political ads or messaging isn’t purchased by a foreign national, directly or indirectly.
Political advertising on the internet is almost entirely unregulated in the US, despite strict rules that date back decades requiring broadcast television stations to disclose who is paying for political ads. When a commissioner from the Federal Election Commission suggested in 2014 that the same rules apply to political advertising on the internet, she was harassed online and off.
3 Drinks Flight Attendants Avoid When They’re Flying | Alternet
▻https://www.alternet.org/food/3-drinks-flight-attendants-avoid-when-theyre-flying
Encore un problème de santé publique lié à l’absence de régulation et de contrôle sur les activités privées.
For that report, the EPA tested the onboard drinking water of 158 planes. According to the EPA findings, around 13 percent, or one in 10 airplanes, contained coliform (a hazardous form of E.coli bacteria) in its water supply. In that same Business Insider article it was further reported that through a Freedom of Information Act Request, a 2012 follow-up study by the EPA showed that the problems with airplane water had remained unchanged.
This issue largely comes down to regulation. Quoted by Business Insider, the Association of Flight Attendants-CWA explained that the EPA is responsible for implementing regulations to ensure “safe drinking water on the aircraft.” The AFA had insisted on these measures “over 15 years ago,” but because it “gives broad discretion to airlines on how often they must test the water and flush the tanks… [the AFA] does not believe this regulation goes far enough or is sufficiently enforced."
Lawrence Lessig : « Les principes fondamentaux d’Internet ont été court-circuités et on a laissé faire »
▻http://www.lemonde.fr/festival/video/2017/10/03/lawrence-lessig-les-principes-fondamentaux-d-internet-ont-ete-court-circuite
Avec la vague des « fake news » qui ont pollué la campagne américaine, on a découvert la face cachée de la liberté qu’offre Internet, celle de son dévoiement par des acteurs militants, voire des puissances étrangères. Comment enrayer ce phénomène ? Faut-il réguler l’information en ligne ? Le peut-on ? Ou cette information sans contrôle est-elle le futur de l’info ?
Rôle des GAFA (les géants du Web : Google, Apple, Facebook et Amazon) dans la diffusion des fake news, neutralité du Net, pouvoirs des Etats et avenir de la démocratie… C’est en homme inquiet que le spécialiste des libertés sur Internet est intervenu au Monde Festival dimanche 24 septembre, lors d’un entretien sur le thème « Peut-on réguler Internet ? ».
Voir aussi :
►http://www.lemonde.fr/festival/article/2017/09/24/lawrence-lessig-internet-est-la-meilleure-et-la-pire-des-technologies_519045
Les libertés publiques cédées aux algorithmes - Libération
▻http://www.liberation.fr/planete/2017/09/29/les-libertes-publiques-cedees-aux-algorithmes_1599911
par Amaelle Guiton
Accusés de laisser diffuser des appels à la haine ou, au contraire, d’arbitrairement censurer des contenus, les géants du Web sortent timidement de leur déni. Mais comment répondre à des injonctions contradictoires ?
Le 6 septembre, le géant du Web a annoncé que plus de 400 faux comptes, qui proviendraient d’une « ferme à trolls » située à Saint-Petersbourg, en Russie (lire page 4), avaient dépensé en deux ans près de 100 000 dollars dans des publicités portant sur des sujets sensibles aux Etats-Unis. Facebook a aussi dû récemment réagir à une enquête du site d’investigation ProPublica, qui révélait qu’il était possible, lors d’un achat de publicité sur la plateforme, de cibler des utilisateurs antisémites - une catégorie créée par un algorithme à partir de leurs données de profil (lire pages 8-9). Voilà que se révèlent les angles morts d’un juteux modèle économique, qui lui a permis d’accumuler en 2016 un bénéfice net de 10,2 milliards de dollars, en augmentation de 177 % par rapport à l’année précédente.
C’est bien tout le problème : celui d’une tendance de fond qui voit la régulation de la parole en ligne relever de moins en moins de l’autorité judiciaire - et de plus en plus des acteurs privés et de leurs algorithmes. « Il y a une mutation de la manière dont les retraits sont opérés, avec d’une part une externalisation croissante de la modération, vers des pays comme le Maroc ou l’Inde, et d’autre part la montée en puissance de l’intelligence artificielle pour retirer automatiquement des contenus », souligne Félix Tréguer. Le tout dans un contexte de « forte pression des gouvernements ». Pour Olivier Ertzscheid, enseignant-chercheur, blogueur sur Affordance.info et auteur de l’Appétit des géants (C&F éditions), « on passe de modèles de délégation de service public à des modèles de délégation de responsabilité publique. On ne parle plus de sociétés commerciales, mais d’entités qui font à la fois du commerce et de la politique ».
« Nationaliser Facebook »
« Même avec la meilleure volonté du monde, on ne peut pas piloter de manière bienveillante un outil, quel qu’il soit, où il y a 2 milliards d’individus en permanence », estime Olivier Ertzscheid. Signe des temps, relève-t-il, on voit apparaître, jusque dans les colonnes du Guardian, des appels à « nationaliser Facebook, Google et Amazon » : « Il est logique qu’un contre-discours émerge face au modèle de pensée d’un libertarianisme à tout crin. » Pour lui, comme pour Félix Tréguer, la solution passe en grande partie par un mouvement de déconcentration. « La seule alternative, c’est de promouvoir d’autres modèles, de revenir à des formes plus décentralisées d’hébergement des communications, juge ce dernier. Une politique numérique vraiment ambitieuse, qui se pose ces questions de la décentralisation et du logiciel libre, permettrait de faire des pas de géant. Or, à la place, on assiste à la légitimation des modèles économiques des "Gafa" [Google, Apple, Facebook, Amazon, ndlr] au cœur des écosystèmes d’innovation. »
The opioid epidemic as a microcosm of a broken pharmaceutical market (PDF)
▻http://harvardlpr.com/wp-content/uploads/2017/07/SarpatwariSinhaKesselheim.pdf
In this article, we argue that non-rigorous patenting standards and ineffectual policing of both fraudulent marketing and anticompetitive actions played an important role in launching and prolonging the opioid epidemic. We further show that these regulatory issues are not unique to prescription opioids but rather are reflective of the wider pharmaceutical market.
Je suis avec une belle soeur américaine, les gens n’ont plus les moyens de se payer leur « painkiller » et se detournent sur l’héroine et les opioides pour leur faible cout.
Tain cette fois ci j’ai un témoin à ma main.
J’imagine qu’une addiction ou dépendance après prise de painkiller amène les consommateurs à rechercher un produit conforme à leur dépendance ou addiction.
Si tu commences dès le départ à lutter contre la douleur avec de l’alcool, l’alcool restera ta substance de lutte.
Le cas des opioïdes est assez différent puisqu’ il s’agit de prescription médicale.
Il existe d’ailleurs différents types de médicaments :
les antalgiques opioïdes faibles comme la codéine et ses dérivés, le tramadol couplé ou non au paracétamol ;
les antalgiques opioïdes mixtes comme la buprénorphine et la nalbuphine ;
les antalgiques opioïdes morphiniques comme le fentanyl, la morphine et l’oxycodone.
L’addiction est une pathologie cérébrale multifactorielle, chronique, récurrente, caractérisée par la poursuite répétée d’une consommation ou d’un comportement pour lutter contre une souffrance, malgré des conséquences sur la santé. La capacité à ressentir du plaisir et à trouver la motivation à poursuivre des activités quotidiennes est touchée. Des envies irrésistibles de consommer sont présentes et obsédantes. Les émotions négatives, lorsque ces envies ne sont pas assouvies, sont présentes. Une mauvaise prise de décision, une perte de contrôle, un manque de régulation personnelle, sont également des éléments présents dans cette maladie et à l’origine de rechutes.
Les antalgiques opioïdes ont un potentiel addictif non négligeable de par leur action pharmacologique et neurobiologique.
Aux Etats-Unis, selon l’enquête nationale menée par la Substance Abuse and Mental Health Services Administration en 2014, 1,9 millions de personnes avaient un trouble lié à l’usage de substances impliquant les antalgiques opioïdes. En 2014, 467.000 adolescents américains utilisaient régulièrement ces médicaments et 168.000 d’entre eux souffraient d’une addiction aux tueurs de douleur. La population féminine serait plus exposée à la dépendance à ces médicaments que les hommes. Un début de consommation à un jeune âge, entre 16 et 45 ans, des consommations excessives, des antécédents familiaux d’addiction, des antécédents personnels d’abus de substances, des pathologies psychiatriques associées (trouble bipolaire, dépression, TOC, hyperactivité avec déficit de l’attention...), des antécédents d’abus sexuel avant l’adolescence, des facteurs génétiques, des facteurs développementaux, l’environnement sont des facteurs de risque de développement d’une addiction. Mais tout le monde ne devient pas addict !
Les antalgiques opioïdes, pris de façon chronique, peuvent entraîner un état pharmacologique appelé dépendance physiologique, qu’il faut distinguer de l’addiction. Il s’agit d’un syndrome de manque (sevrage) associé ou non à un phénomène de tolérance (augmenter les doses pour retrouver les effets de la première fois).
▻http://www.huffingtonpost.fr/laurent-karila/painkillers-tueurs-de-douleur-anatomie-addiction_b_9994100.html
Le New Deal agricole
▻http://www.laviedesidees.fr/Le-New-Deal-agricole.html
Dans La Politique du Blé, Alain Chatriot retrace le débat politique qui a accompagné la naissance de l’Office Interprofessionnel du Blé, établissement public créé en 1936 par le gouvernement de gauche au pouvoir en vue d’une stabilisation du prix du blé – et contribue ainsi à l’étude des interventions étatiques sur les marchés agricoles.
Livres & études
/ #agriculture, #monopole, #régulation
L’effet boomerang du sauvetage de #Banco_Popular
▻https://www.mediapart.fr/journal/economie/130617/l-effet-boomerang-du-sauvetage-de-banco-popular
Pour les régulateurs européens, le sauvetage de Banco Popular était exemplaire. Deux jours plus tard, par crainte d’être à nouveau balayés, les financiers fuient les #banques jugées les plus risquées, précipitant leur déstabilisation.
Dix ans après la crise, la tentation de relancer le « moteur financier » persiste
▻https://www.mediapart.fr/journal/economie/130617/dix-ans-apres-la-crise-la-tentation-de-relancer-le-moteur-financier-persis
Alors que #Donald_Trump engage aux États-Unis un détricotage de la #régulation_bancaire, les Européens freinent tout durcissement des règles. Dans les deux cas, l’idée domine qu’une finance « libérée » doit soutenir la croissance. Un pari très risqué.
#Economie #banques #Emmanuel_Macron #régulation_financière #secteur_bancaire #titrisation #zone_euro
Is It Time to Break Up Google ? - The New York Times
▻https://www.nytimes.com/2017/04/22/opinion/sunday/is-it-time-to-break-up-google.html
In just 10 years, the world’s five largest companies by market capitalization have all changed, save for one: Microsoft. Exxon Mobil, General Electric, Citigroup and Shell Oil are out and Apple, Alphabet (the parent company of Google), Amazon and Facebook have taken their place.
They’re all tech companies, and each dominates its corner of the industry: Google has an 88 percent market share in search advertising, Facebook (and its subsidiaries Instagram, WhatsApp and Messenger) owns 77 percent of mobile social traffic and Amazon has a 74 percent share in the e-book market. In classic economic terms, all three are monopolies.
While Brandeis generally opposed regulation — which, he worried, inevitably led to the corruption of the regulator — and instead advocated breaking up “bigness,” he made an exception for “natural” monopolies, like telephone, water and power companies and railroads, where it made sense to have one or a few companies in control of an industry.
Could it be that these companies — and Google in particular — have become natural monopolies by supplying an entire market’s demand for a service, at a price lower than what would be offered by two competing firms? And if so, is it time to regulate them like public utilities?
We are going to have to decide fairly soon whether Google, Facebook and Amazon are the kinds of natural monopolies that need to be regulated, or whether we allow the status quo to continue, pretending that unfettered monoliths don’t inflict damage on our privacy and democracy.
It’s not just newspapers that are hurting. In 2015 two Obama economic advisers, Peter Orszag and Jason Furman, published a paper arguing that the rise in “supernormal returns on capital” at firms with limited competition is leading to a rise in economic inequality. The M.I.T. economists Scott Stern and Jorge Guzman explained that in the presence of these giant firms, “it has become increasingly advantageous to be an incumbent, and less advantageous to be a new entrant.”
There are a few obvious regulations to start with. Monopoly is made by acquisition — Google buying AdMob and DoubleClick, Facebook buying Instagram and WhatsApp, Amazon buying, to name just a few, Audible, Twitch, Zappos and Alexa. At a minimum, these companies should not be allowed to acquire other major firms, like Spotify or Snapchat.
The second alternative is to regulate a company like Google as a public utility, requiring it to license out patents, for a nominal fee, for its search algorithms, advertising exchanges and other key innovations.
The third alternative is to remove the “safe harbor” clause in the 1998 Digital Millennium Copyright Act, which allows companies like Facebook and Google’s YouTube to free ride on the content produced by others. The reason there are 40,000 Islamic State videos on YouTube, many with ads that yield revenue for those who posted them, is that YouTube does not have to take responsibility for the content on its network. Facebook, Google and Twitter claim that policing their networks would be too onerous. But that’s preposterous: They already police their networks for pornography, and quite well.
#Emmanuel_Macron veut réécrire la régulation financière
▻https://www.mediapart.fr/journal/economie/070317/emmanuel-macron-veut-reecrire-la-regulation-financiere
Se rangeant aux côtés des #banques et des #assurances, le candidat d’En Marche juge que les règles prudentielles sont trop contraignantes. Il souhaite à l’avenir que ce soit les ministres des #Finances et non les régulateurs qui les déterminent. Un premier pas pour effacer toutes les leçons de la #Crise financière.
L’entreprise hors-la-loi
▻http://www.laviedesidees.fr/L-entreprise-hors-la-loi.html
Dumping juridique généralisé, droits de propriété monstrueux : échappant largement au #droit, les entreprises ont su le détourner à leur profit, explique le juriste J.-P. Robé, qui plaide pour la réglementation juridique de ces formes inédites du pouvoir privé. Mais la #mondialisation le permet-elle ?
Livres & études
/ droit, #entreprise, #régulation, mondialisation
Payé par #Axa, Fillon en plein conflit d’intérêts
►https://www.mediapart.fr/journal/france/100217/paye-par-axa-fillon-en-plein-conflit-dinterets
François Fillon et #Henri_de_Castries © DR #François_Fillon a dû révéler le 6 février qu’Axa avait été client de sa société #2F_conseil. Embarrassé, le groupe d’assurances a reconnu lui avoir versé 200 000 euros entre mi-2012 et mi-2014. L’ancien premier ministre l’aurait aidé « à ouvrir des portes à Bruxelles et à Berlin » dans le cadre de la discussion concernant la directive de régulation sur les assurances. Comment justifier une telle activité avec un mandat parlementaire ? Le conflit d’intérêts est patent.
#France #conflits_d'intérêts #Michel_Barnier #régulation_financière #trafic_d'influence
#Donald_Trump engage la démolition de la #régulation_financière
▻https://www.mediapart.fr/journal/international/040217/donald-trump-engage-la-demolition-de-la-regulation-financiere
Donald Trump signant le 3 février l’ordre qui remet en cause la #loi_Dodd-Frank © Maison Blanche La réglementation financière issue de la #Crise de 2008 est dans la ligne de mire de Donald Trump. Sans attendre, celui-ci a signé deux nouveaux décrets (« executive orders ») visant à démanteler toutes les maigres avancées de la loi Dodd-Frank. #Wall_Street applaudit, demandant la levée au plus vite de l’interdiction de spéculer pour compte propre.
#International #Economie #banques #Gary_Cohn #Glass-Steagall_Act #Goldman_Sachs
‘Better Regulation’ to make things worse
►https://corporateeurope.org/environment/2016/12/better-regulation-make-things-worse
The revision of the Carcinogens Directive is a telling example of how industry is using the rhetoric and tools of ‘Better Regulation’ to pre-empt, delay, and weaken urgently needed rules, and how it plays off #regulations against each other. Industry lobbies speaking the language of ‘simplification’, ‘burden reduction’, and ‘harmonisation’ have been well received by a European Commission that is keen to ‘cut red tape’. As a result, its proposal contains far too few, and too weak, exposure limits for workplace carcinogens. [...]
As this report outlines, the inadequate regulation of carcinogenic substances in the workplace has devastating consequences: an estimated 100,000 deaths in the EU every year.
#TPO : les dessous du business qui a gangrené le #football
▻https://www.mediapart.fr/journal/international/191216/tpo-les-dessous-du-business-qui-gangrene-le-football
Jusqu’en 2015, agents et fonds d’investissements ont pu acheter et revendre des parts de joueurs sans leur demander leur avis, alimentant une folle spéculation. Révélations sur les coulisses peu reluisantes de ce business très rentable. Il a permis à des acteurs comme #Doyen Sports de régner sur les #transferts et de dicter leur loi aux clubs.
#International #AS_Monaco #Eliaquim_Mangala #FC_Séville #FIFA #football_leaks #Geoffrey_Kondogbia #Joshua_Guilavogui #Nelio_Lucas #regulation #tierce_propriété_de_joueurs #Twente
Interview exclusive : la #mondialisation réagit aux propos de #Manuel_Valls !
▻https://reflets.info/interview-exclusive-la-mondialisation-reagit-aux-propos-de-manuel-valls
C’est un tweet du Premier ministre qui a tout déclenché. Celui-ci affirme à un journal d’extrême centre (Les Echos) que « la mondialisation doit être « humanisée » et doit être « au service des peuples », entre autres : Il faut humaniser, orienter, réguler la mondialisation. Elle doit être au service des peuples, au service du peuple ! ▻https://t.co/7QA2vkPklP — […]
#Entretiens #Politique #CETA #OMC #régulation_mondialisation #TAFTA
L’intérêt général, une affaire d’incitations
▻http://www.laviedesidees.fr/L-interet-general-une-affaire-d-incitations.html
En construisant les #marchés, en distribuant les informations et en élaborant les incitations adaptées, la théorie économique moderne se propose de nous conduire vers le bien commun.
Livres & études
/ #intérêt_général, #information, rationalité, marché, #régulation