• RFC 7098 : Using the IPv6 Flow Label for Load Balancing in Server Farms

    Le champ « Flow label » dans l’en-tête des paquets #IPv6 est un des mystères de l’Internet. Bien qu’il ait désormais un RFC entièrement pour lui, le RFC 6437, et qu’il soit obligatoire, personne n’a l’air de savoir à quoi il peut vraiment servir en pratique. Lorsqu’on observe des paquets IPv6, ce champ est souvent mis à zéro. Des gens ont déjà réfléchi à des utilisations possibles et ont documenté leurs idées dans le RFC 6294. Notre nouvel #RFC, lui propose un usage : faciliter la répartition de charge dans les fermes de serveurs. Comment ?

    http://www.bortzmeyer.org/7098.html

    #répartition_de_charge

    [Si SeenThis avait IPv6, cela pourrait être utilisé pour le frontal :-) ]

  • Des salaires de crève-la-faim aux États-Unis
    http://www.blogapares.com/des-salaires-de-creve-la-faim-aux-etats-unis

    Réduire les inégalités : pour Barack Obama comme pour Bill de Blasio, nouveau maire de New York, c’est le défi central de notre époque. Pour plusieurs employés américains de la restauration rapide, et tout particulièrement à New York, ce défi passe par l’introduction d’un salaire minimum de 15$ l’heure.

    Pendant 16 mois, Alvin Major a travaillé de 78 à 84 heures par semaine dans trois restaurants de la chaîne KFC à Brooklyn. Et même s’il ne touchait que le salaire minimum de l’époque – 7,25$ l’heure -, il parvenait à boucler son budget mensuel en tant que principal soutien d’une famille de quatre enfants âgés de 12 à 18 ans.

    Mais la situation financière de cet homme de 48 ans s’est détériorée il y a huit mois. Après avoir réclamé d’être payé à taux et demi pour ses heures supplémentaires, il a été renvoyé par deux des trois restaurants KFC où il travaillait, ceux-là mêmes qui se trouvaient dans son voisinage. Il continue à bosser 32 heures par semaine comme cuisinier pour le troisième, mais il doit prendre le métro pour s’y rendre, un inconvénient qui lui coûte 112$ par mois.

    La dépense lui semble une cruelle injustice quand il pense à la courte distance qui le séparait des deux autres restaurants.

    « Je fais environ 850$ par mois », raconte Alvin Major dans le salon d’un appartement soigneusement rangé et décoré de fleurs artificielles et de photos de ses enfants ainsi que du couple présidentiel. « Ma femme, qui travaille tout au plus 10 heures par semaine avec des enfants handicapés, m’aide à payer le loyer, mais nous sommes toujours deux ou trois mois en retard. »

    Pour subvenir à ses besoins, la famille Major, arrivée à New York de la Guyane en 2000, doit désormais compter sur le programme d’aide alimentaire du gouvernement fédéral, qui lui permet d’acheter 600$ de nourriture par mois....

    #crise
    #Etats-Unis
    #inégalités
    #richesse
    #pauvreté
    #répartition-des-richesses.

  • La répartition des richesses en Europe - L’économiste
    http://www.leconomiste.eu/decryptage-economie/142-la-repartition-des-richesses-en-europe.html

    La Banque Centrale Européenne a publié en avril 2013 une étude portant sur le patrimoine des ménages européens. L’étude en question s’intitule : « The Eurosystem household finance and consumption survey  ». Malgré une portée limitée (notamment car liée aux patrimoines déclarés et portant uniquement sur les ménages), cette étude a le mérite de présenter un état des lieux révélateur quant aux différences de richesses au sein et entre les pays de la zone euro.

    Caractéristiques de l’étude

    L’étude porte sur le patrimoine des ménages. Dans ce cadre, il convient de préciser que cette étude ne saurait être un reflet parfait de la richesse totale, même si elle s’en approche. En effet, même si le patrimoine des ménages compte pour une large part de la totalité des richesses d’un pays, il n’en demeure pas moins qu’il ne représente pas la totalité des richesses. Les autres richesses que n’intègre pas cette étude sont par exemple celles liées aux entreprises, les actifs placés à l’étranger ou encore les infrastructures publiques qui sont également un actif.

    Le patrimoine des ménages renvoie dans cette étude au « patrimoine net ». Le patrimoine net est défini comme la différence entre le total de l’actif et du passif des ménages. En d’autres termes, cela renvoie en substance à la différence entre la valeur de l’ensemble des biens (actif) moins l’ensemble des dettes (passif).

    L’étude différencie les patrimoines moyens et médians. La différence entre ces deux notions est importante :

    La moyenne consiste à établir un patrimoine égal pour tous les ménages. Pour ce faire, il suffit de diviser le patrimoine total de l’ensemble des ménages par le nombre de ménages.

    La médiane consiste à établir un patrimoine pour lequel 50% des ménages ont un patrimoine supérieur, et 50% des ménages ont un patrimoine inférieur. Pour ce faire, la totalité des ménages sont repartis entre 9 déciles. En effet, chaque décile correspond à un seuil : le 1er décile correspond au seuil séparant les 10% les moins riches des autres, alors que le 9ème décile correspond au seuil qui sépare les 10% des ménages les plus riches des autres....

    #richesse
    #Europe
    #répartition
    #patrimoine
    #propriété

  • Retraite par répartition ou par capitalisation ? — Robert GIL
    http://www.legrandsoir.info/retraite-par-repartition-ou-par-capitalisation.html

    Le système par #répartition veut dire que notre #retraite ne nous appartient pas. A la fin de chaque mois les sommes collectées sont immédiatement distribuées aux retraités actuels, c’est un système basé sur la #solidarité. La répartition c’est l’inverse de l’épargne : on cotise maintenant et on donne maintenant. C’est une énorme masse d’argent qui échappe totalement aux banques et à l’ensemble du système financier. C’est pour cela que le système par répartition est constamment et régulièrement attaqué par les ‘banksters » et leurs complices politiques. C’est pour cela que l’on met dans la tête des gens qu’ils n’auront pas de retraite et qu’il faut donc capitaliser !

    Dans un système par capitalisation, c’est votre épargne qui vous sert de retraite, vous ne toucherez que ce que vous épargnez ! Cela veut dire que tous les mois vous déposez dans une banque une somme sur un plan ou un fond de retraite. Ensuite la banque place cet argent et le convertit en titres, et peut donc vous promettre 5 ou 6%. Mais un titre est une promesse sur la richesse produite dans 40 ans, et si elle n’est pas produite ou s’il y a un problème… on a déjà vu ça lors de la fameuse crise des subprimes (voir le PPS ) où des tas de retraités aux USA et ailleurs se sont retrouvés sur la paille. Vous pariez donc votre retraite sur des prévisions faites par des économistes qui deux mois avant la crise de 2008 nous disaient que tout allait bien !

    • Tandis que les retraites par répartition laissent tous leurs fonds en circulation, car les retraités vivent de leur retraite, donc toutes ces sommes restent en circulation sur le marché et le vivifient. La retraite par répartition est la seule logique, il reste à l’organiser, même en cas de variation du rapport entre population active et population retraitée, sachant que l’automatisation et l’augmentation de la productivité ont totalement déconnecté la richesse produite du nombre de salaries, donc l’argument comme quoi il n’y aura pas assez d’actifs pour payer les retraites de demain est une vulgaire tromperie…

      D’où justement mon idée de faire passer l’assiette de cotisation retraites de la masse salariale vers l’excédent brut d’exploitation des entreprises... je pense que d’autres ont du forcément avoir cette idée, je ne comprends pas pourquoi ça ne prend pas, je n’arrive pas à savoir quels sont les arguments qu’on peut y opposer..
      Pas d’écho, y compris sur seenthis , sans doute je suis trop confus ou approximatif, si qqun peut m’éclairer je suis preneur, http://seenthis.net/messages/174270

      #retraites

    • L’EBE c’est un peu abstrait. Et la retraite, ça reste une matière personnelle finalement. Alors faire porter les cotisations sur autre chose que le salaire... Mais un jour, on y viendra... Ce que les machines rapportent, ça doit aussi financer les retraites... et tout ce dont l’humain a besoin. Des machines oui, mais pour faciliter la vie aux humains... pas (que) pour permettre à certains de s’enrichir encore plus... Gros changement de paradigme donc...

    • @biggrizzly : justement transférer les charges salariales vers une taxation de l’EBE ou sur l’impôt sur les sociétés il me semble que c’est un cheval de bataille « facile » pour la gauche, comme la taxe Tobin en son temps : c’est imparable, les libéraux ne peuvent rien y opposer, ce n’est pas contraire à la liberté d’entreprendre, cela n’est pas défavorable aux entreprises qui souffrent. Cela ne va gêner que ceux qui ne peuvent pas décemment se plaindre, c’est à dire les actionnaires qui palpent pleins de dividendes.
      Le changement de paradigme, ce n’est plus « chacun pour soi » (chacun doit bosser pour payer sa retraite ou se allocs chomage), mais « les entreprises pour tous », puisque c’est les richesses créees par l’ensemble des entreprises qui alimentent en priorité les comptes sociaux...

  • Histoire sociale - La retraite, une vieille revendication - Herodote.net
    http://www.herodote.net/Histoire_sociale-synthese-537.php

    Histoire socialeLa retraite, une vieille revendication

    L’idée d’accorder aux vieux travailleurs une « retraite », autrement dit une pension proportionnée à leurs revenus durant leur vie active, est relativement récente. Mais elle puise ses racines dans une pratique de l’Ancien Régime.

    Sa généralisation coïncide en France et dans le monde développé avec l’extension à grande échelle du salariat et de l’emploi à vie, à la fin du XIXe siècle et plus sûrement à la fin de la Seconde Guerre mondiale.

    Partout en Europe, ce dispositif est remis en question en ce début du XXIe siècle, en même temps que recule l’emploi à vie. La concomitance de ces deux phénomènes n’est évidemment pas le fruit du hasard.

    Joseph Savès
    L’État employeur

    Comme beaucoup d’autres innovations, la retraite a été amenée par la guerre et l’armée (rien à voir avec la Bérézina). On pense aux vieux légionnaires romains installés comme colons dans les territoires conquis ou aux soldats invalides de Louis XIV, pensionnés en vertu de leurs mérites.

    Le souverain, soucieux de s’attacher ses soldats et ses marins, instaure en 1673 une première caisse de retraite au bénéfice des équipages de la marine royale. Un siècle plus tard, une nouvelle caisse est créée, au bénéfice cette fois des employés de la Ferme générale, autrement dit du service des impôts. Cette réforme, au bénéfice d’une corporation nantie de privilèges, survient au moment où ce service est des plus impopulaires.

    Au XVIIIe siècle, faut-il le préciser, la retraite ne saurait concerner d’autres catégories sociales que les serviteurs de l’État car ils sont les seuls à bénéficier d’un emploi salarié réglementé. Sans surprise, en 1790, les députés de l’Assemblée constituante élargissent par décret le droit à une pension de retraite à l’ensemble des serviteurs de l’État.

    Sous le Second Empire, la loi du 9 juin 1853 organise la retraite des fonctionnaires de l’État et des militaires. L’âge de départ est fixé à 60 ans (55 ans pour les travaux pénibles).

    Révolution industrielle, révolution de l’emploi

    Avec la révolution industrielle et les premières usines naissent les associations d’entraide ouvrière. Sans en référer à quiconque, les travailleurs français mettent en place dès 1804 les premières sociétés de secours mutuel, héritières des corporations de l’Ancien Régime.

    Elles sont reconnues par les pouvoirs publics en 1835 mais sont pauvrement dotées et demeurent marginales : en 1890, seuls 3,5% des vieux ouvriers jouissent d’une pension.

    Quelques grands patrons « paternalistes » et clairvoyants participent au financement des pensions de retraite. Ils offrent à leurs ouvriers usés par le travail l’espoir de mourir en paix dans leur foyer, aux alentours de la soixantaine.

    Mais l’idée d’une retraite pour l’ensemble des salariés n’émerge qu’à la fin du XIXe siècle, en premier lieu dans l’Allemagne de Bismarck.

    – Bismarck fait sa Révolution :
    L’autoritaire chancelier a compris la nécessité de composer avec les syndicats ouvriers, dont l’influence croissait avec le développement de l’industrie et des grandes usines manufacturières.

    Il met en place de 1883 à 1889 une législation sociale plus avancée que dans aucun autre pays européen. Elle établit des caisses d’assurance contre les accidents et la maladie et des caisses de retraite, financées par un système d’assurance obligatoire et gérées paritairement par les syndicats et les patrons.

    Le droit à la retraite se généralise lentement à l’ensemble du salariat ouest-européen, à l’initiative des États. En France, les travailleurs des mines en bénéficient en 1894, par le biais d’une Caisse de retraite des mineurs. En 1909, c’est le tour des cheminots du réseau ferré de l’État.

    – Oui à la retraite, mais au bon vouloir des employeurs :
    L’année suivante, par la loi du 4 avril 1910, le ministre radical Léon Bourgeois organise les Retraites ouvrières et paysannes (ROP) sur le modèle bismarckien.

    Ce système de retraite s’adresse à tous les salariés de l’industrie et de l’agriculture. Les employeurs gardent la liberté d’y souscrire. Il fonctionne par capitalisation (les cotisations sont placées à la Bourse et leurs dividendes redistribués sous forme de pensions).

    Il assure aux cotisants une pension de 40% de leur ancien revenu à 65 ans. Non sans une certaine lucidité en un temps où moins d’un ouvrier sur dix atteint cet âge, le syndicat CGT (Confédération Générale du Travail) s’y oppose : « C’est la donner à des morts ! », plaide-t-il.

    Les travailleurs indépendants et les exploitants agricoles, qui représentent encore au début du XXe siècle la majorité de la population active, en demeurent exclus.

    Le gouvernement Tardieu institue enfin un régime d’assurance vieillesse obligatoire pour tous les salariés modestes par la loi du 30 avril 1930, puis, par la loi du 11 mars 1932, crée les Assurances sociales, ancêtre de la Sécurité Sociale. Elle prévoit des allocations pour les travailleurs chargés de famille, financées par les cotisations patronales.

    Pendant l’Occupation enfin, le maréchal Pétain se flatte de reprendre une vieille revendication de la gauche en mettant en place une Allocation aux vieux travailleurs salariés qui ne bénéficient pas de la pension de retraite instituée en 1930. « Je tiens les promesses, même celles des autres lorsque ces promesses sont fondées sur la justice », annonce-t-il à la radio le 15 mars 1941 en présentant la réforme.

    La réforme est mise en place par le ministre du Travail René Belin, un ancien dirigeant de la CGT rallié au gouvernement de Vichy. Il remplace l’ancien système de capitalisation par un système de répartition.

    Capitalisation ou répartition
    La plupart des premiers systèmes de retraite, à l’exclusion notable du système bismarckien, fonctionnent par capitalisation. Ce terme barbare signifie que les gestionnaires des caisses de retraite placent à la banque les sommes collectées auprès des employeurs et redistribuent les intérêts à leurs retraités.
    Les deux guerres mondiales, les crises économiques et les périodes inflationnistes du début du XXe siècle mettent à rude épreuve ce régime. Elles encouragent le passage à un régime, plus stable, celui de la répartition, par lequel les retraités se partagent les cotisations des actifs au prorata de leurs cotisations passées.
    Mais qu’il s’agisse de capitalisation ou de répartition, le volume global disponible année après année pour le paiement des retraites dépend exclusivement de l’activité économique du moment et non des cotisations passées des retraités.
    Contrairement à une idée répandue, il n’y a pas de tirelire dans laquelle chacun conserverait ses cotisations dans l’attente de ses vieux jours. Supposons dans un cas extrême que l’activité économique du pays s’effondre : les pensions s’effondrent également, que ces pensions soient adossées aux cotisations des actifs (répartition) ou aux revenus du capital (capitalisation).

    #Retraites
    #Capitalisation
    #Répartition
    #Bismarck.
    #Pierre_Laroque
    #protection-sociale

  • #Retraites : déplacer le débat - Les mots sont importants (lmsi.net)
    http://lmsi.net/Retraites-deplacer-le-debat

    L’affaire semble entendue et ne pas souffrir de débat : il y a un problème des retraites. Dans l’introduction de son indispensable #livre, L’enjeu des retraites, Bernard Friot revient sur la construction même de ce « problème », et déconstruit la manière très particulière dont il est posé par l’actuel gouvernement, comme par le précédent, pour imposer des « réformes » qui s’apparentent à un démantèlement.

    • Pour les aficionados de la #Retraite par capitalisation, ou de la #capitalisation pour compléter la #répartition !
      « Contrairement à une idée répandue, il n’y a pas de tirelire dans laquelle chacun conserverait ses cotisations dans l’attente de ses vieux jours. Supposons dans un cas extrême que l’activité économique du pays s’effondre : les pensions s’effondrent également, que ces pensions soient adossées aux cotisations des actifs (répartition) ou aux revenus du capital (capitalisation). » -> http://seen.li/3pt5

  • Parfois je me surprend à être d’accord avec des trucs que je lis dans Causeur.. C’est grave docteur ?
    http://www.causeur.fr/retraites-hollande-mali,21091

    On peut parier sans trop de risque que, ce coup-ci, les habituelles grandes têtes molles des éditorialistes économiques et médiatiques vanteront une nouvelle fois la capitalisation en oubliant l’exemple d’Enron en 2001 qui a spéculé avec les économies des salariés américains, a maquillé ses comptes et a perdu 20 milliards d’euros en ruinant quelques centaines de milliers de retraités. Et ce ne fut que le début d’une longue série avec notamment, en 2008, un effondrement des fonds de pension irlandais, anglais et néerlandais et, sur toute la zone OCDE, fin 2008, une perte de 20% de l’ensemble des montants des fonds de pension.

    Oui, on continuera à encourager la capitalisation contre la répartition, la compétition sur les marchés contre la solidarité intergénérationnelle.

    #retraites #capitalisation #répartition #causeur

  • #Afrique_du_Sud : plus de la moitié des habitants vivent sous le seuil de pauvreté
    http://www.lemonde.fr/afrique/article/2012/11/27/afrique-du-sud-plus-de-la-moitie-des-habitants-vivent-sous-le-seuil-de-pauvr

    L’Afrique du Sud compte plus d’un quart d’habitants (26,3 %) trop pauvres pour manger à leur faim et plus de la moitié (52,3 %) vivant sous le seuil de pauvreté, selon des statistiques officielles publiées mardi 27 novembre.

    Le pays, qui se classe au 29e rang mondial et devant le Danemark en termes de produit intérieur brut (PIB), est parmi les plus inégalitaires de la planète, avec un coefficient de 0,64 sur une échelle allant de zéro à 1, selon cette enquête de l’agence nationale des statistiques.

    #pauvreté #répartition_des_richesse (ou non)

  • Equidistant Objects with CSS - CSS-Tricks
    http://css-tricks.com/equidistant-objects-with-css

    Creating a horizontal row of objects that are equidistant from each other is another one of those things in web design that is much more difficult than it should be. This can be a very useful thing to do, especially in fluid width layouts when you are try

    #design #web #dev #css #alignement #photo #image #objet #élément #répartition #tips #groupe:clever-age #div #distance #float #layout #position #webdev

  • High Scalability | Building bigger, faster, more reliable websites.
    http://highscalability.com

    High Scalability was started to help build successful scalable websites. It tries to bring together all the lore, art, science, practice, and experience of building scalable websites into one place so you can learn how to build your system with confidence

    #haute_disponibilité #architecture #performance #web #serveur #répartition #charge #trafic #dev #groupe:clever-age #clevermarks