• The #RaceScienceFiles : #The_New_York_Times edition
    http://africasacountry.com/the-racesciencefiles-the-new-york-times-edition

    I recently downloaded a copy of a book from a white-supremacist website (sorry, no links here). It claims that, because of evolutionary forces at work in Africa, black people have smaller brains, lower IQs, more sex hormones, higher rates of crime, and are worse parents than whites. (It also reports, with what seems like a […]

    #MEDIA #J_Philippe_Rushton #Rare_Science

  • Hommage à Mandela : quand la France et ses grandes entreprises investissaient dans l’apartheid
    http://www.bastamag.net/Hommage-a-Mandela-quand-la-France

    Une classe politique unanime, des médias focalisés sur la commémoration « planétaire » : les funérailles de Nelson Mandela suscitent l’union sacrée autour du combat que le militant de l’ANC a incarné. Pourtant, quand Nelson Mandela est jeté en prison à perpétuité, il n’en était rien. La France et ses grandes entreprises sont l’un des plus fidèles soutiens au régime raciste de Pretoria, lui vendant armements, centrales nucléaires et technologies industrielles, tout en contournant allègrement les sanctions des (...)

    #Décrypter

    / #A_la_une, #Discriminations, #Mémoires, #Multinationales, #Néo-colonialisme, #Afrique, (...)

    #Enquêtes

    • Autre hommage à Mandela, cette fois-ci par un géographe :
      La leçon ultime de Mandela

      #Apartheid : développement séparé des #races en #afrikaans. #Politique_ségrégative qui systématise les principes coloniaux d’affectation de l’#espace. En fait, l’apartheid sud-africain recouvre plusieurs réalités. Pour schématiser, elles sont au nombre de trois et ont été mises en place successivement. L’« #apartheid_mesquin » tout d’abord, le plus fameux et le plus proche des #pratiques_ségrégationnistes du Sud des Etats-Unis, régissait l’usage séparé des espaces publics et même des espaces domestiques ainsi que les relations sociales entre groupes hiérarchisés. Il était avant tout destiné à satisfaire l’ego des petits Blancs et à maintenir dans un état de #domination permanente la majorité de la population. L’« #apartheid_résidentiel » ou #apartheid_urbain ensuite, il cantonnait, cette fois à l’échelle des agglomérations, les différents groupes raciaux dans des zones bien délimitées, les #townships des Noirs, métis et Indiens étant même séparés de la véritable cité (au sens municipal), celle du centre-ville et des quartiers blancs, par une #zone_tampon. Le « #grand_apartheid » enfin, qui cette fois visait à établir une certaine décolonisation interne en accordant l’indépendance aux fameux #bantoustans formés de #terres_discontinues et totalement dépendants économiquement, et à se débarrasser ainsi du problème politique des #droits_civiques et politiques de la majorité de la population devenue pseudo-citoyenne de ces pseudo-Etats. On connaît l’échec de cette stratégie cynique.

      La force et la grandeur de Mandela furent de lutter contre ces trois formes d’apartheid et de les refuser toutes aussi radicalement. Pourtant, la troisième forme qui intervient à l’échelle régionale a pu lui être présentée, lorsqu’il était encore le détenu le plus fameux du monde, comme respectueuse des cultures africaines et comme un moyen de sortir de la crise, et accessoirement pour lui de prison. Cela en lui faisant miroiter dans des conditions de pression extrêmes l’accès à la souveraineté pour la majorité des Sud-Africains et l’accès au pouvoir pour lui dans le plus grand et le plus présentable de ces bantoustans : le #Transkei, pseudo-nation des #Xhosa et territoire fait d’un bloc principal avec accès au littoral et transfert de la totalité de sa capitale, partie blanche comprise. Plus tard, il se montra tout aussi opiniâtre à refuser une partition sur base communautaire et ethnique lorsque la #guerre_civile sévissait entre partisans de l’#ANC et ceux de l’#Inkhata_Freedom_Party, parti ethno-régionaliste #zoulou lié à la chefferie traditionnelle et armé en sous-main par les services nostalgiques de l’ancien régime. Il imposa alors, contre l’avis de nombreux groupes d’opinion, un #régime_unitaire et non fédéral, doté de larges provinces mixtes dans leurs compositions mais où l’expression culturelle de communautés pouvait s’exprimer comme dans le #KwaZulu-Natal.

      Qu’en est-il aujourd’hui de ces différentes formes d’apartheid dans le monde ? Le premier aspect, l’apartheid dit mesquin, recouvre des politiques qui ont été condamnées et déchues avec la victoire du combat pour les droits civiques dans les démocraties. L’apartheid urbain, quant à lui, dépourvu de son caractère légalement imposé, se porte plutôt bien en tant que résultat de #processus_ségrégatifs à l’œuvre dans la plupart des aires métropolitaines de la planète, il est en revanche rarement promu en tant qu’idéal. En effet, les idéologies qui prônent le #communautarisme ou l’#enclosement à des fins sécuritaires ou au nom du libre choix public ne se projettent que rarement à l’échelle de l’ensemble des agglomérations pour justifier l’#ordre_ségrégatif qu’elles promeuvent. Il n’en est pas de même avec le « grand apartheid », celui des #homelands et de l’idéologie des #entités_politiques_homogènes d’un point de vue culturel et identitaire. Les approches communautaristes, identitaires et essentialistes de l’ordre politique et de la #nation sont légion. Non seulement elles constituent le fonds de commerce d’une #extrême-droite dite identitaire, qui depuis la décolonisation a souvent dépouillé son #discours_ethniciste d’un contenu explicitement #raciste au sens d’établissement clair d’une hiérarchie entre les groupes humains, mais prône, au nom du respect de la #différence et du déclin que constitueraient les formes de #métissage, le maintien d’une certaine #pureté_communautaire, ethnique et de civilisation. On est là dans l’affirmation d’une incommensurabilité et d’une hétérogénéité radicale entre les groupes humains, dans la croyance de différences quasi génétiques et donc essentielles.

      Le recours à la partition de l’espace sur base identitaire n’est cependant pas l’apanage de la seule extrême droite, c’est ce que nous appelons la #pensée_apartheid qui a les honneurs de certains travaux scientifiques censés venir à l’appui du #maintien_de_la_paix (#peace_keeping) et surtout de nombreuses prises de position d’experts influents en relations internationales et en géopolitique. La fin de la Guerre froide et les problèmes rencontrés par la communauté internationale pour tenter de ramener la #paix et construire des Etats démocratiques en #ex-Yougoslavie et au #Moyen-Orient ont permis à cette pensée de dominer les débats et de s’imposer parfois dans les tentatives de règlement des conflits. Ce fut le cas avec les #accords_de_Dayton et la partition interne à la #Bosnie-Herzégovine, c’est aussi cette pensée qui est à la base de nombreux plans de redécoupage et de partition au Moyen Orient. Or on sait que les règlements sur base de partition spatiale en entités supposées homogènes d’un point de vue ethnique ne font généralement que pérenniser un clivage sur la base d’un critère culturel dominant (religion, langue, activité, mode de vie…) au risque d’en faire un critère de concurrence nationaliste renforcée et alors que d’autres critères pourront être activés dans un autre contexte. On sait aussi que les espaces urbains, cosmopolites par essence, sont rétifs aux règlements de cette nature qui débouchent souvent sur des déplacements forcés de population et sur des villes amputées et rivales.

      Le combat de Mandela en Afrique du Sud va ainsi bien au-delà d’un combat pour les droits civiques, pour la dignité humaine et contre les hiérarchies raciales imposées en Afrique du Sud. C’est un combat contre toute forme d’imposition d’un #ordre_identitaire qui définirait l’affectation des individus dans l’espace et imposerait sa partition selon les origines des individus. Sa portée est immense dans un monde trop souvent prêt à tomber dans la facilité identitaire et territoriale.

      http://app.letemps.ch/Page/Uuid/a42e2db0-627b-11e3-85d1-4a1da01ad8ae/La_le%C3%A7on_ultime_de_Mandela

  • Nous ne participerons pas à la #gestion_électronique des #races et des #semences — Guy Kastler
    http://www.legrandsoir.info/nous-ne-participerons-pas-a-la-gestion-electronique-des-races-et-des-s

    La gestion électronique n’est que la planification de l’éradication de la biodiversité. Comment ?

    Tout éleveur doit déclarer le nombre d’animaux qu’il détient, puis ceux qui rentrent et ceux qui sortent de sa ferme. Il doit identifier chaque animal par un n° individuel inscrit sur une boucle accrochée à chaque oreille, boucles achetées auprès de fournisseurs agréés par l’administration qui peut ainsi contrôler toutes ses activités. S’il ne se soumet pas, il perd d’abord les « aides » de la politique agricole commune, puis son autorisation de vente. Si cela ne suffit pas, ses animaux sont saisis et conduits à l’équarrissage. Le 1er juillet 2013, toute brebis ou chèvre, tout bélier ou bouc qui ne porteront pas à l’oreille une puce électronique seront saisis et conduits à l’équarrissage.

    Selon le Ministère de la propagande, ces obligations de traçabilité sont faites pour protéger le consommateur. 99,99 % des « accidents » alimentaires ont pourtant pour origine la transformation et la distribution industrielles, et non les élevages. La récente découverte de viande de cheval dans des lasagnes à la viande de bœuf montre bien que la traçabilité s’arrête à l’abattoir. Après, plus personne n’est responsable...

    A quoi servent alors ces puces électroniques ? La suite du programme nous l’indique : « à compter du 1er janvier 2015, le matériel génétique support de la voie mâle acquis par les éleveurs de ruminants est soumis à obligation de certification, qu’il s’agisse de semence ou d’animaux reproducteurs ». En langage normal, cela veut dire que les éleveurs n’auront plus le droit d’échanger des animaux avec leurs voisins pour sélectionner eux-mêmes leurs troupeaux. Ils seront obligés d’acheter des reproducteurs certifiés pour leur performance. La « génomique » est la nouvelle arme des sélectionneur. Elle détecte les gènes de la performance, puis les numérise dans des logiciels électroniques brevetés qui ne sélectionnent que des individus « élites » qui en sont porteurs. Ces logiciels peuvent aussi programmer l’éradication de tous les animaux « hors type », comme cela s’est fait récemment avec les moutons au prétexte d’une vieille maladie, la tremblante... bien que des animaux génétiquement résistants soient eux aussi tombés malade. Et tant pis si les gènes de rusticité et les capacités de résistance présents chez les « hors type » sont définitivement perdus !

    #élevage #agrobusiness #brevets

  • Heller study finds racial wealth gap has quadrupled since mid-1980s | BrandeisNOW
    http://www.brandeis.edu/now/2010/may/wealthgaprelease.html

    The wealth gap between white and African-American families increased more than four times between 1984-2007, and middle-income white households now own far more wealth than high-income African Americans, according to an analysis released by the Institute on Assets and Social Policy (IASP) at Brandeis University.

    #inégalités #racial #races #noirs #pauvreté #us #income