• Berghain is not a zoo ! Party-goers angered by Airbnb club “experience”
    https://www.exberliner.com/english-news-berlin/berghain-is-not-a-zoo-jesus-airbnb-club-experience


    Moin connu et plus excentré que Berghain le club Cassiopeia est aussi prisé par les partygoers de la capitale allemande.

    Le weekend arrive, enfin, qu’on s’amuse, boumtchk boumtchk boumtchk, si t’as raté les célèbres Love Parade de 1997 ff. là tu peux passer devant la queue d’attente des clubs à peine ringards de Berlin, pour quelques bricoles seulement, vieux plouc !

    A man calling himself Jesus charges between €199 and €497 to get tourists into Berghain.

    Ever get the feeling Berlin is turning into a theme park? A few reports are going around that regular party-goers of the famously exclusive club Berghain have been bumping into groups of tourists who are being led around by a tour guide. So, is Berghain now accepting tours?

    The truth is a little more complicated. The news seems to have been sparked by an observation on the reddit group /Berghain_Community, where many users reported seeing the tours in person. Apparently, the excursions are run as part of an Airbnb experience where a man (who calls himself Jesus) charges tourists between €199 and €497 to provide them with outfits and get them into Berlin clubs like Berghain and Sisyphos.

    Understandably, many visitors to the club are upset, feeling that paying a guide to get you in violates the ethos of the space. As one visitor commented, “Berghain is not a zoo!”.

    https://www.exberliner.com/wp-content/uploads/2023/08/imago0152602600h-scaled.webp

    #Berlin #été #boîte_de_nuit #club #danse #techno #tourisme #AirBnB #corruption #racket #WTF

  • Il y a un aspect que je continue à ne pas totalement m’expliquer dans les discours autour du Covid : cet aspect, c’est qu’on arrive à la fois à tenir un discours de banalisation et un discours de négation.

    D’un côté, le discours officiel massivement accepté est que « endémique ça veut dire que c’est pas grave » : maintenant qu’on est vaccinés et que ceux qui devaient en mourir sont déjà morts, c’est bon, on chope le Covid tous les six mois et c’est pas grave. C’est tellement pas grave qu’il ne faut plus s’isoler quand on est positif. Si on ajoute le discours sur la « dette immunitaire », en fait ce serait même mieux de refiler le Covid à tout le monde, parce que comme ça tout le monde est immunisé en le chopant.

    Mais alors même qu’on nage dans cette ambiance de totale banalisation (c’est comme un gros rhume, on l’attrape tous les six mois mais c’est pas grave), dans le même temps on a toujours cette omniprésence du discours niant l’existence du Covid. Ça fait des mois qu’on nage dans « la fin du Covid », « après le Covid », et même tous les articles du moment commencent par prétendre qu’« on avait oublié le Covid » (j’adore comment on est instantanément passés du psychodrame permanent, l’obligation vaccinale terrifiante qui déstablise la société, les classes fermées qui poussent les enfants au suicide, le masque qui serait le signe trop ostensible de la peur… à « non en fait j’avais carrément oublié que ça avait eu lieu »). Ça fait des mois on n’a plus que des « symptômes grippaux », que des équipes de sportifs sont victimes d’une mystérieuse épidémie… On a même ce négationniste du Covid (et du climat ?) qui passe à la télé pour expliquer que comme le temps s’est rafraîchi, hé bien on chope un truc hivernal en plein été…

    Or ça me semble contradictoire : pourquoi occulter la présence du Covid si maintenant c’est totalement banal de l’attraper ? Ou à l’inverse comment on maintient notre immunité (histoire d’éviter de contracter une dette) si on est censés attraper un virus qui ne circule plus ? Si on occulte, c’est que la maladie n’est pas anodine. Et si on banalise, alors évidemment il n’y a pas de raison de masquer la présence de ce bon gros rhume bi-annuel.

    Dans l’ère de la post-vérité, la négation/banalisation du Covid, je trouve ça assez exemplaire : un seul mensonge ne suffit pas, autant en avoir deux, même s’ils se contredisent…

    • Une chose est sûre : L’épidémie a servi pour appliquer encore une fois la shock therapy d’après Naomi Klein.

      Il y en a qui ont profité du COVID (exemple : contrats exclusifs conclus par Frau von der Leyen), on nous a refusé les vaccins cubains et russes, on a introduit et testé à grande échelle l’efficacité de mesures contraignantes utiles dans un futur proche pour bien d’autres développements. On a coupé l’oxygène aux mouvements contestataires et on a radicalisé le discours public officiel en dénonçant toute critique comme sectaire, conspirationniste et débile.

      On reconnaît facilement ce principe dans la communication officielle dans le contexte du conflit qui est en train de tuer les Uktainiens et Russes et de ruiner le pays d’Ukraine pour les générations à venir : Vous êtes ou de notre côté du front et combattez avec nous ou vous êtes notre ennemi et celui du peuple entier.

      Voilà le résultat essentiel de la politique sanitaire de l’épisode historique du COVID que nous sommes toujours en train de vivre. Le virus, c’est nous qu’il rend patraques, l’élite se retirera dans ses demeures néo-zélandaises lors ce qu’ici les choses commenceront à se dégrader sérieusement.

      Notons aussi qu’on n’a toujours pas de statistiques valables sur l’effet des vaccinations pour l’immunité individuelle, puis on ne saura jamais avec certitude comment les mesures anti-covid ont contribué à repousser les vagues d’infection.

      Mettons un masque où il nous le semble nécessaire , respectons les règles générales de’hygiène suivant Semmelweis et espérons que les soins intensifs soient disponibles et efficaces pour nous, c’est tout ce que nous pouvons faire afin de protéger nos proches et nous-mêmes.

      Bref, on aurait pu se passer de la plupart des mesures anti-covid (mais on ne sait pas bien lesquelles ont été utiles, superflues ou néfastes), le résultat général aurait vraisemblablement été le même.

      Vu ces choses évidentes je ne peux pas m’enpêcher de penser que pour la plupart des décideurs au sein des gouvernements et multinationales mon destin, ma santé et les gens simples ne comptent pas du tout. Pour eux le Covid est un business, un phénomène à gerer et à exploiter. Toute la gestion de l’epidémie a suivi cette ligne générale.

      Les attitudes et positions contradictoires qu’on rencontre à propos du COVID sont le résultat de cette perspective. Elles la trahissent et contribuent à la cacher en même temps, car elles détournent l’attention de l’essentiel : la maladie, sans égard du diagnostique particulier, est un instrument de lutte. Les élites s"en servent pour nous exploiter et nous en patissons tant que nous ne prenons pas en mains notre destin.

      Il nous faudra trouver des manières de faire solidaires et pratiques afin de nous protéger mutuellement contre les atteintes à notre vie qui se présenteront tôt ou tard.

      #iatrocratie #racket #capitalisme #impérialisme #it_has_begun

    • mais on ne sait pas bien lesquelles ont été utiles ou superflues

      euh bah si quand même, c’est pas faute d’avoir un sacré paquet de recension de caractère scientifique ici sur Seenthis, avec une belle veille de plusieurs personnes

      on sait avec certitude que les masques de type FFP2 réduisent de 10 voire 100 fois la propagation quand tout le monde les mets

      on sait avec certitude que les vaccins réduisent quasiment totalement les risques de finir avec un truc grave, et on sait très bien que ça ne crée pas de l’immunité permanente, vu que c’est un virus qui mute tout le temps (tout comme la grippe, qui a des vaccins différents suivant les années, ce qui n’a rien à voir avec le vaccin contre le tétanos qui n’est pas un virus, qui ne mute pas)

      ça fait partie du confusionnisme ambiant de pas arrêter de dire depuis trois ans que « on est dans le flou », « on sait pas grand chose », alors que c’est plutôt faux : les connaissances ont immensément avancé en très peu de temps, et vu que c’est sur des millions/milliards de sujets à la fois, elles sont… pas mal précises.

      ce qui a mis du temps c’est la connaissance sur les conséquences non immédiates des infections (càd pas les symptomes graves directes quand on va à l’hopital), tout ce qui est covid long, etc. Ça ils ont mis du temps à faire des études là dessus.

      mais sur les transmissions, les mesures à prendre, les vaccins, etc, on sait plutôt beaucoup de choses.

    • Sinon @arno il me semble que c’est un cas absolument typique de « double bind », qui peut être fortuit, ou volontairement utilisé pour confusionner l’esprit et bloquer la pensée :
      https://en.wikipedia.org/wiki/Double_bind

      The double bind is often misunderstood to be a simple contradictory situation, where the subject is trapped by two conflicting demands. While it is true that the core of the double bind is two conflicting demands, the difference lies in how they are imposed upon the subject, what the subject’s understanding of the situation is, and who (or what) imposes these demands upon the subject. Unlike the usual no-win situation, the subject has difficulty in defining the exact nature of the paradoxical situation in which they are caught. The contradiction may be unexpressed in its immediate context and therefore invisible to external observers, only becoming evident when a prior communication is considered. Typically, a demand is imposed upon the subject by someone whom they respect (such as a parent, teacher, or doctor) but the demand itself is inherently impossible to fulfill because some broader context forbids it. For example, this situation arises when a person in a position of authority imposes two contradictory conditions but there exists an unspoken rule that one must never question authority.

    • D’accord pour le double-bind et merci pour la notion. J’aurais plutôt parlé d"une contradiction dialectique, mais c’est une manière intéressante de qualifier le phénomène.

      Voici quant à la combinaison de statistiques imprécises et forcément manipulées :
      Je mentionne le masque qui n’est pas dépourvu d’effet, et pour les vaccins on a eu des retours qui font croire qu’elles réduisent la mortalité. Oui, et c’est pour ces arguments que j’ai accepté de me faire vacciner.

      Pourtant nous ne savons toujours pas grand chose sur les possibles conséquences néfastes des vaccinations et on nous a empèché d’utiliser les vaccins plus fiables aux mécanismes testés des vaccins contre les épidémies de grippe annuelles.

      Je ne suis pas assez spécialiste de ces questions pour mener un débat autour des questions biologiques et de recherche génétique. Je sais par contre, et j’ai accepté le risquede m’avoir trompé sur l’ampleur du problème, que pour éviter mon exclusion sociale cad de ne pas risquer mon emploi et mon projet principal du moment, j’étais obligé de me faire vacciner alors que les statistiques sur l’ampleur de l’épidémie, le nombre de personnes porteurs du virus et le nombre de personnes atteintes par la maladie du COVID n’avaient et n’ont toujous pas de base statistiques suffisantes parce qu’on n’a simplement pas compté systématiquement.

      La collecte de données a été, au moins dans l’Allemagne fédérale, complètement chaotique. Après trente ans de politique d’austérité et de privatisations dans le secteur social et de santé il n’y avait ni de stratégie pour gérer une épidémie ni le personnel pour collecter et traiter les données nécessaires pour affirmer quoi que ce soit sur le nombre de personnes contagiées ou malades.

      La qualité des rapports quotidiens et hebdomadaires de l’Institut Robert Koch, la source officielle pour les informations sur les épidémies, était à l’hauteur des prévisions de météo avant l’introduction des ordinateurs en météorologie. On vivait sous le règne de l’alertoire. On nous présentait les rapports de l’université John Hopkins aux État Unis comne source fiable alors que cette institunion n’avait pas de meilleure base statistique que le RKI.

      En somme on peut dire qu’il y a eu et qu’il y a toujours des scientifiques sérieux qui font un travail honorable, mais quant à la gestion de l’épidèmie et quant aux informations disponibles au gens comne toi et moi c’était n’importe quoi.

      Peut-être on en saura davantage en quelques années mais il n’y aura pas de solution pour l’absence de données de base fiables. Les statisticiens trouveront sans doute, si on leur donne les fonds nécessaires, des modèles pour combler des trous, mais la qualité des informations essentielles ne dépassera jamais le niveau d’estimations approximatives car on a négligé de collecter sytématiquement assez de données à la base.

      C’est à cause de ce problème fondamental que j’estime que toutes les conclusions suivantes sont pour le moins imprécises et reflètent plutôt les intérêts des acteurs pricipaux du business et de la politique que le développement précis de l"épidémie du Covid.

      Mais il se peut que la situation en France était meilleure, un peu comme pour le nuage radioactif de Tchernobyl qui s"est miraculeusemenr arrêté à la frontière franco-allemande.

      Mais là n’est pas la question. Je constate qu’in s’est fait avoir et qu’on n’a rien pu faire contre indépendamnent de notre opinion et de notre comportement. Les conséquences de la gestion de l’épidémie ont été désastreuses pour tout ce qu’on avait de liberté et pour les chances d’un développement paisible de la France et de l’Allemagne. On nous a préparé à fermer les rangs, à obéir les ordres du pouvour et à considérer les récalcitrants comme ennemis. Vae victis.

    • la limite des vaccins à arn messager ne tient pas, @sandburg, à des effets secondaires dont la pharmaco-vigilance a montré qu’ils sont rares ou transitoires mais - là où ils ont pu être utilisés... - dans le fait qu’ils empêchent trop peu contamination et contagiosité et je ne comprends pas quel intérêt il y a à ajouter de la confusion là où les politiques gouvernementales et les discours complotistes concourent ensembles à la diffusion d’un nouvel obscurantisme qui hypothèque radicalement tout processus de libération.

    • C’est un vrai travail mais je trouverai bien le temps d’ici la fin de l’année de rassembler quelques sources sur le développement et les stats covid pour l’Allemagne.

      Après il faudra évaluer ce qu’on peut vraiment conclure de ce ramassis. Problème : Qui pose les questions, quels intérêts ont guidé le soulèvement de telles données et qu’est-ce qu’on veut savoir afin de pouvoir agir et se protéger (contre qui et quoi ...).
      Trop de questions pour ma petite tête en ce moment.

      La seule chose que je sais pertinemment est que les questions des toubibs et gouvernement ne sont pas mes questions. Ca complique l’affaire quand on veut développer une position indépendante et émancipatrice.

      Un début :

      – Est-ce qu’une épidémie covid a eu lieu ? Oui.
      – Est-ce qu’elle continue ? Trouvons une définition avant de tenter d’y répondre.
      – Est-ce qu’il y aura d’autres épidémies ? Oui.
      – Comment nos sociétés, nos états et communes, l’économie et la politique et nous-mêmes avec nos amis sont préparés à ces événements prévisibles ?

      Questions auxiliaires :

      – Comment s’est déroulé (exactement) l’épidémie covid ?
      – Qui nous a menti à propos de quel aspect de l’épidémie ?
      – Qui en a profité ?
      – Quelles sont les relations entre politique de santé, d’économie et de sécurité ?
      – Où est notre place dans ce contexte ?

      etc.

      Il faudrais sytématiser l’approche afin de ne pas perdre un temps énorme sans obtenir des résultats utilisables.

      #autonomie #autogestion

    • @klaus ah bé tiens, voilà un fil justement sur le recul qu’on a suivant les années : https://seenthis.net/messages/1013364

      L’infection massive ayant eu lieu majoritairement… en 2022 seulement ! Puisque plus de masques, plus de confinement, etc, ce qui tend à prouver assez clairement l’efficacité (10% d’infection en 2020, 25% en 2021 => bam 90% en 2022 quand on fait plus rien).

      Bref, tout ça pour rappeler que si certains ne considèrent l’impact médical de SARS-CoV-2 que sous l’angle politique ou sociologique ("il ne fait plus peur"), il ne faut cependant pas oublier qu’on a encore très peu de recul sur lui et ses atypies biologiques.

      Tant que la population maintiendra son niveau de consommation et de productivité, malgré une mortalité en hausse, et des indices de morbi-mortalité qui augmentent, je pense que rien de plus ne sera fait puisque le pays sera « stable » (dans la galère mais stable)...

      C’est à mon sens l’objectif des « rassuristes » qui visent justement à détourner l’attention de cette problématique, pour parvenir à ramener l’activité économique à son plus haut niveau, non pas en éliminant la menace covid, mais en éliminant la perception de cette menace.

      Mais comme on dit, on s’habitue à tout, et pour peu que la dégradation soit assez progressive et durable, ça deviendra simplement le « nouveau normal ».

  • Im toten Wald der Worte
    https://literaturkritik.de/fuchshuber-rackets-toten-wald-worte-thorsten-fuchshuber-demaskiert-s

    Pouquoi je n’ai pas lu Fuchshuber.

    Von Jörg Auberg - Thorsten Fuchshuber demaskiert sich in seiner „Theorie der Bandenherrschaft“ als Sprachrohr der Herrschaft

    Im US-amerikanischen Sprachgebrauch bezeichnet der Begriff „Racket“ eine verschworene Interessengemeinschaft, die ihre Partikularziele auf Kosten der Allgemeinheit mit kriminellen Mitteln verfolgt. Bereits in den dreißiger Jahren des letzten Jahrhunderts hatte der Individualist John Dos Passos, der in Zeiten der industriellen und bürokratischen „Kollektivierung“ in Europa und der Sowjetunion das Ideal des vorindustriellen spanischen Anarchismus hochhielt, sich über den „Mittelklasse-Kommunismus“ der Literaten in der „Red Decade“ beklagt, der für ihn die Funktion eines Rackets einnahm. In den 1940er Jahren geriet das „labor racketeering“ der US-amerikanischen Gewerkschaften in die Kritik, wobei es in erster Linie um den Versuch von Gewerkschaftsfunktionären ging, Politik und Wirtschaft im Sinne ihrer Interessen zu steuern. In seinem Buch The New Men of Power (1948) beschrieb der Soziologe C. Wright Mills das „labor racket“ als politische Maschine, die über Geld, Schutz und Arbeitsstellen ihrer Klientel sowohl Aus- als auch Einkommen sicherte. In Mills’ Augen wurden „Arbeiterführer“ zunehmend zu „Räuberbaronen“, die den „Abenteuerkapitalismus“ nicht abschaffen wollten, sondern von ihm profitierten. In diesem „Verteilungsspiel“ hatte schließlich auch der Gangster die „kreative“ Rolle des Geschäftsmannes in den lokalen urbanen Industrien usurpiert. Diese Entwicklung bildete auch Dos Passos in seinen großen US-amerikanischen Panoramen – von der USA-Trilogie (1938) bis zu Midcentury (1961) und späteren Werken – ab. Das Idealbild war der individualistische Wanderarbeiter Mac, der zu den „Wobblies“ gehörte und irgendwann in den amerikanischen Landschaften verschwand. Während in den frühen Jahren des 20. Jahrhunderts die revolutionär-syndikalistisch gesinnte Gewerkschaft das Verhältnis zwischen Individuum und Organisation austarierte, übernahm in späteren Jahren immer mehr die Organisation die Herrschaft über den Einzelnen. Die „relative Freiheit“ des Wanderarbeiters verwandelte sich in die Einordnung des taxifahrenden Tagelöhners in die urbane Maschine, für den romantische Hobo- und Revolutionsgeschichten keinerlei Bedeutung mehr besitzen. Aus einer Gegenwelt entwickelte sich eine Parallelwelt: An die Stelle der Utopie der „Brüderlichkeit“ setzte sich eine Ordnung der Unterdrückung und Herrschaft.

    Auch in der Populärkultur der 1940er Jahre spiegelte sich die kritische Diskussion der Rackets wider, vor allem in gesellschaftskritischen Filmen der „Schwarzen Serie“, die unter dem Etikett „film gris“ (wie es Thom Andersen in seinem bahnbrechenden Essay „Red Hollywood“ beschrieb) geführt werden. In dem Boxerfilm Body and Soul (1947) porträtierten der Regisseur Robert Rossen und der Drehbuchautor Abraham Polonsky eine urbane Gesellschaft im Würgegriff von Korruption und Profitmaximierung. Die Rackets reduzieren die menschliche Existenz auf das blanke Spiel von Addition und Subtraktion und erwarten als Gegenleistung für das Überleben unter den gegebenen Verhältnissen die völlige Unterwerfung. Um den Rackets zu entgehen, muss der von John Garfield gespielte Protagonist Charley Daniels zum Äußersten bereit sein. „What are you going to do? Kill me?“, fragt er am Ende rhetorisch. „Everybody dies.“Im nachfolgenden Film Force of Evil (der auf Ira Wolferts Roman Tucker’s People beruhte) arbeitete Polonsky das Racket-Thema am Beispiel des Glücksspiels als „Autopsie des Kapitalismus“ heraus, wobei die kriminellen Machenschaften eher ein Bestandteil des räuberischen Charakters der ökonomischen Struktur denn eine individuelle Aberration darstellten. Am Ende war es kein Zufall, dass linke Intellektuelle und Künstler wie Polonsky, Rossen und Garfield, die im jüdischen Immigrantenmilieu New Yorks aufgewachsen waren, in der „McCarthy-Ära“ als „Un-Amerikaner“ gebrandmarkt wurden, wobei Antikommunismus und Antisemitismus ineinander spielten.

    Vor diesem Hintergrund entwickelten die emigrierten Sozialwissenschaftler und Philosophen der „Frankfurter Schule“ unter Leitung Max Horkheimers die Komponenten einer kritischen Theorie der Rackets, die später in der von Horkheimer und Theodor W. Adorno konzipierten Dialektik der Aufklärung (1947) aufgenommen wurden. Wie Thomas Wheatland in seiner Studie The Frankfurt School in Exile (2009) beschrieb, kamen die deutschen Intellektuellen, die an der New Yorker Columbia University Unterschlupf gefunden hatten, in Kontakt mit den New Yorker Intellektuellen, die sich um die Zeitschrift Partisan Review scharten. Zu Beginn der 1940er Jahre wurde dort und in anderen linken Publikationen der Komplex Faschismus, Stalinismus und „bürokratischer Kollektivismus“ diskutiert, wobei diese Diskussion in der englischsprachigen Ausgabe der Zeitschrift für Sozialforschung (die 1941 unter dem Titel Studies in Philosophy and Social Science erschien) vor allem hinsichtlich der trotzkistisch geprägten Theorien der „Managerrevolution“ von James Burnham und des „bürokrarischen Kollektivismus“ von Bruno Rizzi sehr kritisch aufgenommen wurde.

    Für Horkheimer war das „Racket“ die „Grundform der Herrschaft“, deren Theorie er in Entwürfen und kurzen Aufsätzen wie „Die Rackets und der Geist“ (1939-42) und „Zur Soziologie der Klassenverhältnisse“ (1943) entwickelte und an zentralen Stellen der Dialektik der Aufklärung anriss. „Die Gesellschaft ist eine von Desperaten und daher die Beute von Rackets“, heißt es im Kapitel über die Kulturindustrie. Während hier Rackets als partikularistische Interessenorganisationen aufgefasst werden, verliert der Begriff an anderen Stellen (wo beispielsweise vom „Sumpf der kleinen Rackets“ oder vom „Massenracket in der Natur“ die Rede ist) seine eindeutige Konnotation. Eine explizite „Theorie der Rackets“ arbeitete Horkheimer nie aus, obgleich er später in Gesprächsnotizen seines Freundes Friedrich Pollock, der „grauen Eminenz der Frankfurter Schule“ (wie ihn Philipp Lenhard in einer jüngst erschienen Biografie bezeichnet), solch eine noch einmal unter den veränderten Verhältnissen nach dem Ende des Zweiten Weltkrieges skizzierte: „Der Trend geht überall zu einer Vermehrung und Koordinierung der Rackets.“

    Dass Horkheimer diese „Theorie der Rackets“ nie konkret und dezidiert ausführte, lag vermutlich daran, dass maßgebliche Mitglieder des Instituts für Sozialforschung wie Franz Neumann, Otto Kirchheimer und Herbert Marcuse diesem Konzept sehr kritisch gegenüberstanden, und selbst Horkheimers Co-Autor Adorno schien dieses Modell – auch wenn er es in den 1940er Jahren in seinen „Reflexionen zur Klassentheorie“ übernahm – fragwürdig. „Wenn wirklich, wie eine zeitgenössische Theorie lehrt“, schrieb er in Minima Moralia, „die Gesellschaft eine von Rackets ist, dann ist deren treuestes Modell gerade das Gegenteil des Kollektivs, nämlich das Individuum als Monade.“ In dieser Einschätzung traf sich Adorno mit Polonsky.

    Wie Gunzelin Schmid Noerr – neben Alfred Schmidt einer beiden Herausgeber der Horkheimer-Schriften im Verlag S. Fischer – schrieb, war der Ausgangspunkt der Rackettheorie „eine Analyse der zeitgenössischen Gesellschaft als eines Konglomerats organisierter Gruppen unter der Leitung bürokratischer oder quasibürokratischer Eliten.“ In erster Linie geht es um die Durchsetzung von Partikularinteressen, Manipulation und Machterhaltung. Die Zwiespältigkeit der Theorie liegt in der „Überspannung“ der Verhältnisse, die vom ökonomischen Sektor in den politischen verschoben werden, wobei immer ein verschwörungstheoretischer Unterton mitschwingt. „Nach dem Bilde der manifesten Usurpation, die von den einträchtigen Führern und Arbeit heute verübt wird“, schrieb Adorno in seiner „linksradikalen“ Phase 1942, sei die Geschichte nun „die Geschichte von Bandenkämpfen, Gangs und Rackets“.

    Auf dieser Linie, obwohl sie die Rackettheorie auf kriminelle Milieus verengt, marschiert der im Milieu der „Antideutschen“ agierende Philosoph Thorsten Fuchshuber, dessen Dissertation unter dem Titel Rackets: Kritische Theorie der Bandenherrschaft veröffentlicht wurde. Dabei verspricht der Titel jedoch mehr, als das Buch einzuhalten vermag. Fuchshuber ist nicht mehr als der hagiografische Imitator der Thesen Horkheimers, auch wenn er sich als philosophisch gebildeter, situationistisch ausgebildeter Epigone im Zirkus der antideutschen Artisten präsentieren möchte. Bereits zu Anfang führt er sich als FlickFlack-Künstler in der Manege mit dem Hinweis ein, dass Horkheimer „diesen aus der amerikanischen Soziologie stammenden Ausdruck“ – RACKET – entwendet habe, „um ihn für eigene sozialphilosophische Überlegungen zu nutzen“. In folgenden Darbietungen lobt der Autor Elia Kazans Denunziationsdrama On the Waterfront als „cineastisches Denkmal“ oder ereifert sich über die „erpresserische Gewerkschaftspraxis“. Vor allem weiß er im Kopf Horkheimers herumzuspazieren: „Wie sich zeigen wird«, schwadroniert er, „sind […] viele der wesentlichen subjekttheoretischen Motive der Racket-Theorie schon um das Jahr 1938 im Denken von Horkheimer vereint.“

    Im Jargon einer imaginären Opposition zur herrschenden Gesellschaftstheorie bläht Fuchshuber seine Theorie der Bandenherrschaft in einer zum blanken, klopfartigen, ausdruckslosen Zeichensystem degradierten Sprache auf, die in einem Miasma von zweitausend Anmerkungen und Fußnoten auf dem akademischen Schafott verendet. „Die Rackets als gesellschaftliches Strukturprinzip fungieren als Organisationsformen aggressiver Partikularität innerhalb einer Totalität, in der tendenziell allein die Wertform als Vermittlungsinstanz bleibt, einer Gesellschaft also, die sich zunehmend als total vergesellschaftet erweist und begrifflich mit der philosophischen Vorstellung von absoluter Identität konvergiert.“

    Solche unfreiwilligen Parodien des akademischen Jargons durchziehen Fuchshubers Buch, der sich mit seiner „bestimmten Negation“ auf dem „Strahl der Erkenntnis“ wähnt. Die Rackets als Verkörperung des Bösen am Rande der Gesellschaft des Liberalismus wandern im postbürgerlichen Zeitalter ins Zentrum, um vollends die Macht zu übernehmen. Die „Instanzen des Rackets“ werden von „Agenturen des Kollektivs“ übernommen, die auf den Ruinen des beschädigten und schließlich eliminierten Subjekts die totale Herrschaft errichten. „Die Racket-Theorie ist die Theorie der nachbürgerlichen Gesellschaft“, dekretiert Fuchshuber, unter dessen starren Augen (als gehörten sie zu einer späten Inkarnation von Doktor T. J. Eckleburg) die Welt zu einer grauen Aschelandschaft der Rackets vom Iran über Russland bis zu zerstückelten Stammesterritorien marodierender „Warlords“ verschwimmt. Das ganze Projekt firmiert unter dem Begriff einer „kritischen Gesellschaftstheorie“, welche die Realität ihren ideologischen Vorgaben anpasst.

    In seinen Ausführungen folgt Fuchshuber dem antideutschen Stichwortgeber Wolfgang Pohrt, der in seinem Buch Brothers in Crime (1997) in selbstproklamierter Tradition der „Kritischen Theorie“ Auskunft über die „Herkunft von Gruppen, Cliquen, Banden, Rackets und Gangs“ erteilen wollte, wobei es jedoch in erster Linie um die Darlegung seiner im deutschen Provinzialismus einbetonierten Weltsicht ging. Eine kritische Analyse der realen Verhältnisse findet nicht statt. Überall sind Rackets am Werk; allenthalben ereignen sich Verschwörungen gegen den „kritischen Geist“, den allein die Illuminati in sich tragen. Bereits Hannah Arendt hatte in der Diskussion über Hans Magnus Enzensbergers Essayband Politik und Verbrechen (1964) insistiert, dass das fehlende Verständnis der Deutschen für angelsächsische Traditionen und die amerikanische Realität eine „alte Geschichte“ sei. Dieses Manko wirkt jedoch bis heute ins Milieu der „Antideutschen“, die sich wie die rechthaberischen Todeszwerge in William Burroughs’ Nova Express aufführen.

    „In der wahren Idee der Demokratie, die in den Massen ein verdrängtes, unterirdisches Dasein führt, ist die Ahnung einer vom Racket freien Gesellschaft nie ganz erloschen“, schrieb Horkheimer in seinem Text „Die Rackets und der Geist“. Diesen oppositionellen Geist findet man bei Fuchshuber nicht. Der akademische „Kritiker“ des Autoritarismus reflektiert den Zustand, den er zu kritisieren vorgibt, negativ – nicht zuletzt in seiner akademischen Zurichtung der Sprache, die ihn als Zuverlässigen in seinem autoritären Milieu ausweist. „Die erstarrte Sprache weist anklagend gen Himmel wie nackte Baumstümpfe auf verlassenen Schlachtfeldern“, notierte Horkheimer. „Sie denunziert die Welt der Rackets, der sie dienen muß.“ In diesem „toten Wald der Worte“ ist Fuchshuber heimisch.

    #racket #théorie_critique #Horkheimer #Adorno

  • Noble House, film d’après le roman de James Clavell
    https://www.youtube.com/watch?v=L7gAAG-S3x0

    C’est une belle histoire sur l"impérialisme et la création de ses structures pour exploiter le monde. A mi-mots la série télévisée parle de la HongKong and Shanghai Bank qui est toujours vonnue comme partenaire pour toute sorte de #racket douteux.

    https://en.m.wikipedia.org/wiki/Noble_House_(miniseries)

    Deborah Raffin as Casey Tcholok
    Ben Masters as Linc Bartlett
    John Rhys-Davies as Quillan Gornt
    Julia Nickson as Orlanda Ramos
    Khigh Dhiegh as “Four Finger” Wu
    Gordon Jackson as Supt. Robert Armstrong
    Burt Kwouk as Phillip Chen
    Nancy Kwan as Claudia Chen
    John van Dreelen as Jacques DeVille
    Ping Wu as Paul Choy
    Lim Kay Tong as Brian Kwok
    Lisa Lu as Ah-Tam
    Damien Thomas as Lando Mata
    Dudley Sutton as Commissioner Roger Crosse
    Ric Young as Tsu-Yan
    Tia Carrere as Venus Poon
    Steven Vincent Leigh as John Chen
    Irene Tsu as Dianne Chen
    John Houseman as Sir Geoffrey Allison
    Denholm Elliott as Alastair Struan
    Harris Laskawy as Charles Biltzmann
    Leon Lissek as Christian Toxe
    Keith Bonnard as Tip Tok-Toh
    Edward Petherbridge as Jason Plumm
    Bennett Ohta as Richard Kwang
    Brian Fong as “Goodweather” Poon
    Helen Funai as Mrs. Kwang
    David Shaughnessy as Dr. Dorn
    John Fujioka as “Baldhead” Kin
    Richard Durden as Paul Havergill
    David Henry as Bruce Johnjohn
    George Innes as Alexi Travkin
    Choy-Ling Man as Mary Li
    Pip Miller as Inspector John Smyth
    Michael Siberry as Linbar Struan
    Duncan Preston as Richard Pugmire
    Vincent Wong as Lim Chu
    Galen Yuen as “Smallpox” Kin
    Nicholas Pryor as Seymour Steigler

    #Chine #Royaume_Uni #impérialisme #banques #Hong_Kong

  • Gestohlener Cloud-Master-Key : Microsoft schweigt – so fragen Sie selbst
    https://www.heise.de/news/Gestohlener-Cloud-Master-Key-Microsoft-schweigt-so-fragen-Sie-selber-9229395.h

    Voici pouquoi je n’utilise jamais de compte Microsoft pour la création de l’utilisateur initial d’un nouvel ordinateur windows.

    Le « vol » d’une ou de plusieurs clés de sécurité chez Microsoft a compromis sans exception tous les services « cloud » de l’entreprise. Cet article chez heise.de contient les questions que les clients peuvent poser á l’entreprise afin d’apprendre de quelle manière ils sont touchés par l’énorme trou de sécurité .

    Lors de l’nstallation d’un nouveau windows il ne faut jamais accepter la « proposition » de création de compte Microsoft. Les dialogues font croire que c’est obligatoire, mais on peut contourner cette étape en choississant toujours les réponses négatives quand on est demandé d’en créer un. A la fin on peut créer un utilisateur local qui n’est vraisemblablement pas concerné par la faille de sécurité. Ceci vaut pour les licences « chères » de type professional, ultimate etc. Les systèmes sous licence « home » sont à éviter de toute manière.

    N’oublions jamais que ce sont les plateformes sous contrôle des géants capitalistes qui constituent le véritable problème de sécurité. L’existence des virus et des autres menaces sont le résultat de leur manière de coder et structurer leus logiciels et réseaux. Au fond il n"y a pas de différence entre les cartels mafieux et les « corporation » suivant la common law .

    28.7.2023 von Jürgen Schmidt - Der Diebstahl eines Signatur-Schlüssels wirft weiterhin Fragen auf, die Microsoft nicht beantwortet. Was betroffene Unternehmen jetzt selbst tun können.

    Der Vorfall rund um den Diebstahl eines Signatur-Schlüssels bei Microsoft wirft viele Fragen auf. Wie Microsoft dokumentiert, gelang es mutmaßlich chinesischen Angreifern, damit die E-Mails vornehmlich europäischer Regierungsbehörden in deren Exchange Online auszuspionieren. Doch war das wirklich alles? Die aktuell bekannten Fakten deuten darauf hin, dass das Sicherheitsproblem sehr viel größer war – und immer noch ist.

    Denn nach aktuellem Kenntnisstand könnten nahezu alle Nutzer von Microsofts Cloud-Diensten betroffen sein. Das sind unter anderem Outlook, Sharepoint, Office365, Teams, Onedrive und Drittanwendungen, die die Funktion „Sign in with Microsoft“ anbieten. Die Angreifer hätten sich demnach prinzipiell Zugang zu fast allen Konten bei Diensten der Microsoft-Cloud verschaffen können.

    Mittlerweile hat Microsoft den gestohlenen Schlüssel zwar gesperrt und dieses Scheunentor geschlossen. Doch die Angreifer hätten diese Cloud-Dienste bereits zuvor angreifen und mit Hintertüren versehen können, um diese dann später zu nutzen. Genauer beschreibt das der heise-Security-Artikel Microsofts gestohlener Schlüssel mächtiger als vermutet.

    Prüfen, aber wie?

    Eigentlich müsste man deshalb jetzt die komplette Microsoft-Cloud nach möglichen Hintertüren und kompromittierten Zugängen durchsuchen. Doch niemand weiß so richtig, wie man das machen könnte. Und Microsoft? Eigentlich würde man erwarten, dass der Cloud-Riese seinen Kunden das entweder abnimmt oder diese zumindest bestmöglich dabei unterstützt. Doch Microsoft will nicht einmal die Existenz dieses Problems zugeben. Jedenfalls nicht in der Dimension, wie es sich nach den aktuellen Erkenntnissen abzeichnet.

    Was Microsoft zu diesem Thema bisher von sich gibt, genügt längst nicht, um das Problem in den Griff zu bekommen. Dazu liefert Microsoft viel zu wenig konkrete Details zu dem Vorfall und dessen Hintergründen. Auf konkrete Fragen antwortet der Cloud-Riese nicht oder nur ausweichend. Vielleicht ändert sich das, wenn mehr Betroffene fragen und klarstellen, dass sie das nicht weiter akzeptieren werden.

    Fragen wir doch Microsoft

    Wo und wie wurde der gestohlene MSA Signing Key aufbewahrt und wie wurde er dort entwendet?
    Wie kam es dazu, dass dieser MSA Signing Key im Azure AD funktioniert? („Validation Issue“ ist da zu dünn)
    Welche (Microsoft-)Dienste außer Exchange Online waren davon grundsätzlich betroffen?
    Können Sie bestätigen, dass der entwendete Key auch bei anderen Microsoft-Diensten wie SharePoint oder Teams funktioniert hätte?
    Können Sie bestätigen, dass der entwendete Key auch bei Kunden-Apps, die für den Multi-Tenant-Betrieb oder Personal Accounts konfiguriert sind, funktioniert hätte?
    Gibt es eine Anleitung, wie Microsoft-Kunden einfach selbst überprüfen können, ob es Zugriffsversuche auf ihre Dienste mit diesem Schlüssel (bzw. mit von ihm signierten Tokens) gab und ob diese Erfolg hatten?
    Welche Maßnahmen empfiehlt Microsoft seinen Kunden, die jetzt besorgt um die Sicherheit ihrer in der Microsoft-Cloud laufenden Dienste sind?

    Anmerkung: Diese Fragen dürfen Sie nach Belieben kopieren und für eigene Anfragen etwa an Microsoft verwenden.

    Selbstverständlich haben wir von heise Security unter anderem bei Microsoft nachgefragt, um für unsere Berichterstattung konkrete Antworten auf die offenen Fragen zu bekommen (siehe Kasten „Fragen für die Berichterstattung“). Der Verlag setzt selbst auch Microsoft-Dienste wie Microsoft-Teams ein. Deshalb haben wir auch aus der Sicht eines möglicherweise betroffenen Unternehmens nachgehakt und Fragen gestellt, wie sich dieser Vorfall auf die Sicherheit unserer IT auswirkt. Doch als Antwort kam bislang nur ein Verweis auf die bereits bekannten Microsoft-Veröffentlichungen, die genau diese Fragen offen lassen.

    Deshalb haben wir diese Fragen mit den Mitgliedern von heise Security Pro geteilt. Das ist eine Community von Sicherheitsverantwortlichen in Firmen, Behörden und Organisationen (siehe etwa Drei Jahre heise Security Pro – eine Zwischenbilanz). Diese haben das äußerst positiv aufgenommen und bereits ihrerseits entsprechend angepasste Fragen an ihre Kontakte bei Microsoft weitergeleitet.

    Jetzt veröffentlichen wir eine mit dem Feedback aus dem Pro-Forum weiterentwickelte Version dieses Fragenkatalogs für alle Betroffenen, die Sie frei verwenden können. Vielleicht hilft das ja Ihrem Unternehmen, die eigenen Fragen an Microsoft zu konkretisieren und dann auch an den jeweiligen Kunden-Betreuer zu übermitteln. Privatkunden könnten diese Fragen entsprechend angepasst etwa an die Microsoft Kunden-Hotline stellen. Vielleicht ändert Microsoft ja angesichts dieser Anfragen seine Informationspolitik doch noch.

    Ich beziehe mich auf den von Microsoft dokumentierten Vorfall, dass eine vermutlich chinesische Angreifergruppe namens „Storm-0558“ einen Microsoft Signing Key entwendet und sich damit Zugriff auf Mails im Exchange Online mehrerer Regierungsbehörden verschafft hat (siehe Links). Wir nutzen unter anderem !!!Exchange Online, Sharepoint und Microsoft Teams!!!. Nach unserem aktuellen Kenntnisstand hätte Storm-0558 unter Umständen auch auf unsere Microsoft-Cloud-Dienste zugreifen können. Also fragen wir uns:

    Hätte Storm-0558 mit dem gestohlenen Key prinzipiell auf unsere Microsoft-Cloud-Dienste zugreifen können? Mit welchen Zugriffsrechten und Konsequenzen? Wie genau können wir das feststellen/ausschließen? Oder können Sie das kategorisch ausschließen? (Wenn ja, hätten wir dafür gerne eine technisch einleuchtende Begründung)
    Wie können wir selbst überprüfen, ob das versucht wurde und ob das eventuell sogar Erfolg hatte? Oder hat Microsoft das explizit überprüft? (Wenn ja, dann wüssten wir gerne wie und mit welchem Ergebnis.) Kann Microsoft das überhaupt prinzipiell überprüfen?
    Welche Vorkehrungen können wir treffen, dass das nicht in Zukunft auf ähnliche Art geschieht, beziehungsweise dass wir solche, nicht von uns autorisierten Zugriffe Dritter wenigstens bemerken? Wie wird uns Microsoft dabei unterstützen?

    Links

    Wir beziehen uns dabei auf folgende Veröffentlichungen, die die oben genannten Fragen aufwerfen, aber leider nicht beantworten können:

    https://msrc.microsoft.com/blog/2023/07/microsoft-mitigates-china-based-threat-actor-storm-0558-targeting-of
    https://blogs.microsoft.com/on-the-issues/2023/07/11/mitigation-china-based-threat-actor
    https://www.microsoft.com/en-us/security/blog/2023/07/14/analysis-of-storm-0558-techniques-for-unauthorized-email-access
    https://www.heise.de/news/Microsoft-reagiert-auf-Online-Exchange-Fiasko-Mehr-Logs-fuer-alle-9222889.html
    https://www.heise.de/news/Neue-Erkenntnisse-Microsofts-Cloud-Luecken-viel-groesser-als-angenommen-922464

    Anmerkung: Diese Fragen dürfen Sie nach Belieben kopieren und für eigene Anfragen etwa an Microsoft verwenden.

    #Microsoft #sécurité #wtf

    • Aucune référence sur le Google News FR... :-/

      Ah si, il faut parler des méchants chinois pour en trouver trace.

      Des cyberespions chinois ont infiltré des agences gouvernementales américaines et européennes
      https://trustmyscience.com/cyberespions-chinois-infiltre-agences-gouvernementales-americaines-e

      Pour s’introduire dans les systèmes, les espions ont exploité une ouverture créée par un problème de validation de jeton. Cette ouverture leur a permis de se faire passer pour un utilisateur autorisé de l’environnement Azure AD et d’accéder aux courriers des agences. En effet, les clés MSA et les clés Azure AD sont gérées par des systèmes distincts et ne sont valides que pour leurs systèmes respectifs.

    • C’est un truc gravissime qui aurait éliminé n’importe quelle boîte d’une importance moindre que Microsoft.

      Mais, enfin, bof, nous vivons dans un monde où à Berlin l’ambassade des #USA se trouve à 350 mètres du Reichstag / assemblée nationale et à 780 mètres de la chancellerie. On voit les structures sur le toit de l’ambassade qui cachent leurs antennes. Il a été prouvé et documenté que la chancelière et son équipe ont systématiquement été espionnées par nos amis d’Amérique.

      Bref, désormais les Chinois sont au courant de tout ce que nos amis d’outre-mer savaient déjà, et alors ?
      Commentaire historique d’Angela Merkel : « Spionieren unter Freunden, das geht garnicht. » Ca ne va pas qu’on s’espionne entre amis. C’est une facon de dire qu’on s’en fout. Circulez, il n’y a rien à voir.

      Pour les personnes qui ne font pas partie du #racket transatlantique les choses se présentent sous un angle différent.

      #WTF

  • Haïti, le chemin de la libération : la population se révolte contre la dictature des gangs - Combat ouvrier, éditorial du 6 mai 2023
    https://combat-ouvrier.com/2023/05/09/co-n1306-6-mai-2023-editorial-haiti-le-chemin-de-la-liberation-la-po

    Lundi 24 avril, des habitants du quartier Canapé Vert capturaient une dizaine de membres d’un gang et les tuaient.

    Depuis deux ans la population des quartiers de la capitale vit sous la dictature des gangs, sous la menace d’être kidnappés pour une rançon. Ils subissent #rackets, brutalités, #viols. Les batailles entre bandes rivales ont fait des centaines de morts dans la population. Les entrées de #Port-au-Prince sont bloquées par les gangs qui ont installé un #péage sur les axes routiers.

    Il y a eu des réactions de défense isolées dans certaines localités de province, et l’#exaspération de la population des quartiers à être rançonnée, tuée par les #gangs a atteint un maximum. Elle s’est muée en une colère qui s’est manifestée ce lundi 24 avril. La révolte a été lancée par les résidents du Canapé Vert qui ont lynché ces dix bandits. Ils appartenaient aux gangs de Ti Makak, un chef tué une semaine auparavant. Les bandits ont été pris au dépourvu par la réaction violente des habitants en colère, dans la foulée deux autres bandits ont été tués dans le quartier voisin de Turgeau.

    Les résidents ont veillé durant la nuit pour prévenir une nouvelle offensive des bandits. Armés de machettes, de piques et d’autres armes blanches, les habitants sont restés vigilants toute la semaine. Ils ont guidé les policiers dans la chasse aux bandits. Plusieurs dizaines ont été capturés lors des opérations lancées par des groupes d’auto défense qui, dans plusieurs quartiers, ont dressé des barricades et vérifié les véhicules et leurs occupants.

    Ces actions ont amené une amélioration de la situation. La circulation a repris sur les grandes artères de la capitale. Aucun cas de kidnapping n’a été signalé au cours des derniers jours. À la sortie Sud les automobilistes ont noté l’absence des bandits et de leur péage. C’est la première fois en trois ans qu’ils n’étaient pas visibles, Ils ont fui la zone ou se sont cachés. Cette fois, la peur semble changer de camp. Face aux groupes armés de la population les bandits reculent. L’exemple a été suivi et dans divers quartiers la population relève la tête.

    Des membres du gouvernement sont offusqués de la violence des #habitants qui ripostent. La police haïtienne appelle la population à ne pas se faire justice elle-même. Ils appellent une intervention militaire de l’#ONU pour arrêter ce qu’ils nomment la barbarie. Cette barbarie est instaurée par les possédants, les politiciens, qui utilisent leurs hommes de main armés pour contrôler les quartiers, pour seconder leur police ou leur armée. Ce sont, les pauvres dans les quartiers, les travailleurs dans les usines qui subissent cette barbarie dans ce système capitaliste. Leur riposte est à la hauteur de la #barbarie subie.

    Dans les entreprises, certains travailleurs affrontent les patrons. Par leur organisation et leur nombre ils arrivent à faire plier certains patrons sur la zone industrielle et défendre leurs intérêts avec quelques résultats positifs. Ils acquièrent une conscience de classe.

    Ces ouvriers se retrouvent aussi sur leurs quartiers face aux gangs, cette fois avec les habitants ils commencent à riposter en se défendant, en s’armant. Le gouvernement, les possédants, les capitalistes, la Communauté internationale craignent que la riposte contre les gangs ne se transforme en une révolte générale qui pourrait se tourner contre l’État qui protège les possédants et les exploiteurs. C’est surtout cela que craignent tous ces gens. Ils ont une peur bleue que la population pauvre se révolte et prenne son sort en main. C’est la preuve qu’elle est dans la bonne voie.

    #Haïti #violence #chaos #capitalisme #patronat #lutte_de_classe #brigandage #anarchie #lynchage

  • Die Politik der Rackets - Zur Praxis der herrschenden Klassen
    https://www.dampfboot-verlag.de/shop/artikel/die-politik-der-rackets

    Kai Lindemann, ISBN : 978-3-89691-067-7, 155 Seiten, Preis : 16,00 € Erschienen : 2021

    Daniel Bratanovic, Wir sind hier nicht in Chicago, Max
    https://www.ca-ira.net/verlag/rezensionen/daniel-bratanovic-wir-sind-hier-nicht-in-chicago-max

    Bandenherrschaft. Über Brauchbarkeit und Grenzen der Fragment gebliebenen Racket-Theorie Horkheimers

    Die Rackets und die Souveränität
    https://antideutsch.org/2018/10/19/die-rackets-und-die-souveraenitaet/?amp=1

    2018, Vortrag und Diskussion mit Thorsten Fuchshuber und Gerhard Scheit an der Universität Göttingen

    Verwaltete Welt
    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Verwaltete_Welt

    von Theodor W. Adorno 1950 geprägter Begriff der Kritischen Theorie, das die Gesellschaft nach dem Zweiten Weltkrieg beschreibt

    Der Begriff verwaltete Welt wird auf Theodor W. Adorno zurückgeführt. Er benutzte ihn unter anderem im Untertitel Musik in der verwalteten Welt seines Werks Dissonanzen (Erstausgabe 1956).[1][2] Adorno gebrauchte den Begriff als eine synonyme Bezeichnung für die spätkapitalistische, genauer: nachliberale und nachfaschistische Gesellschaft, in der die „Allherrschaft des Tauschprinzips“ von der „Allherrschaft des Organisationsprinzips“ überlagert werde.[3] Karl Korn hat ihn dann wenige Jahre später für den Buchtitel seiner kritischen Sprachanalysen – Sprache in der verwalteten Welt (Erstausgabe 1959) – aufgegriffen.

    Grundform der Herrschaft
    https://www.nd-aktuell.de/artikel/1169915.kritische-theorie-der-rackets-grundform-der-herrschaft.html

    In kriselnden Staaten tritt die Gewalt hervor, aus der diese entstanden sind. »Rackets« machen daraus ein Geschäftsmodell, erklärt Thorsten Fuchshuber

    Interview: Peter Nowak 06.01.2023

    Überall Rackets
    https://taz.de/Ueberall-Rackets/!5628167

    5.10.2019 - Max Horkheimer wollte mit dem Racket-Begriff einst Herrschaft analysieren. Thorsten Fuchshuber versucht den Ansatz zu systematisieren

    Thorsten Fuchshuber: „Rackets. Kritische Theorie der Bandenherrschaft“, Ca Ira Verlag, Freiburg 2019, 674 Seiten, 29 Euro

    Von Jakob Hayner

    Racket (Herrschaftskritik), Begriff der Kritischen Theorie
    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Racket_(Herrschaftskritik)

    Geld regiert die Welt
    https://www.ipg-journal.de/rubriken/demokratie-und-gesellschaft/artikel/geld-regiert-die-welt-5664

    20.01.2022 | Kai Lindemann
    Skandale wie der Cum-Ex-Betrug sind keine Einzelfälle. Hinter ihnen verbirgt sich eine strukturelle Bedrohung durch privilegierte Beutegemeinschaften.

    #impérialisme #criminalité #racket #Horkheimer #Adorno #Uber #internet #Taxi #mondialisation

  • Public Citizen sur Twitter :

    This is insane. Moderna is planning to charge $130 for its Covid vaccine.

    It only costs $2.85 to make.

    Taxpayers paid 100% of Moderna’s Covid vaccine development.

    We paid $2,500,000,000.

    This is the people’s vaccine.

    Shame Moderna_tx into changing course.

    https://twitter.com/Public_Citizen/status/1613256958449958913

    Gigantesques #dépenses_de_santé #argent_public au profit du #privé

    #états-unis #leadership

  • Tu as besoin de savoir ? Paye tes allocs ! - Association nationale des assistants de service social
    https://www.anas.fr/Paye-tes-allocs-_a1880.html

    DÉCLARATION DE L’ANAS DU 4 AVRIL 2022

    Paris, le 4 avril 2022,
     

    Depuis plus de trois ans, le site « mes-allocs.fr » prospère illégalement sur le dos des personnes les plus fragiles.

    Ce site se présente comme un simulateur de droits et propose aux internautes d’estimer leur éligibilité à certaines prestations en espèces à l’instar du site gouvernemental gratuit https://www.mesdroitssociaux.gouv.fr.

    Pourtant, derrière la vitrine d’une louable ambition énoncée sur son site internet, le fonctionnement de cette plateforme vient montrer une réalité bien plus mercantile en totale violation de la loi.

    En effet, il est proposé aux internautes de renseigner une multitude de données personnelles pour estimer un potentiel droit à une ou plusieurs prestations sociales. Dans un second temps, le site propose à l’utilisateur que ses « experts » réalisent le remplissage et l’envoi de formulaires d’accès à ces mêmes prestations en contrepartie de frais d’inscription et d’un abonnement de 29,90 euros par trimestre.

    Or, par un travail de collecte, d’analyse et de recherche, notre association, l’Association Nationale des Assistants de Service Social (ANAS), a établi le caractère illégal de l’activité de ce site internet (voir documents ci-dessous). Elle a par conséquent déposé plainte auprès de la procureure de la République d’Evry. Les principales institutions de sécurité sociale ont également été alertées.

    Pour l’ANAS, l’accès au système de protection sociale est gratuit et doit le demeurer au nom du principe de solidarité nationale.

    ben oui, on sait jamais à quelle sauce on va être mangé (ou trashé). le service public est ainsi fait que toute entreprise qui vient remédier à l’absence d’information sur les droits peut espérer prospérer. 30 balles c’est 10% de l’APL individuelle au montant le plus élevée possible. un RSA pour personne isolée, c’est 506 euros (max, car 12% de "forfait logement est ôté au montant théorique partout rabâche par la presse toujours plus ministérielle). le pire c’est de se faire une idée des montants de prime d’activité, ou de cumul alloc chômage, salaire de la chômeuse en activité à temps réduit...

    #opacité #allocataires #droits_sociaux #données_personnelles #mes-allocs.fr #racket #abus_de_faiblesse #CAF #simulateur_de_droits #Pôle_emploi #précarité

  • La rente immobilière disruptive : verser de 6 à 36 mois de caution pour obtenir un garant : Caution bancaire en ligne pour votre location , signalé par Ellen Queen Of The Bouse, @EllenAgreaux, sur cuicui

    https://www.smartloc.fr

    Comment ça marche ?

    Au démarrage du #bail, pour sécuriser votre #location et rassurer le #propriétaire, le locataire bloque un montant libre (de 6 à 36 mois de loyer en général, avec une moyenne à 18 mois) sur un compte séquestre hébergé chez notre établissement de paiement agréé.

    En cas d’impayés, le propriétaire avertit Smartloc qui débloque les fonds et rembourse directement le propriétaire en moins de 15 jours, sans carence ni franchise.

    À la fin du bail, le locataire transmet par email à Smartloc l’état des lieux de sortie signé. Les fonds ayant servi à la garantie lui sont restitués au plus tard dans les 15 jours après vérification auprès du propriétaire.

    Quelles sont les étapes ?
    Contrairement à une #caution bancaire classique, notre système est très simple et rapide à mettre en place :

    Signature de la convention : le propriétaire et le locataire signent l’acte de garantie grâce à notre système de signature électronique.
    Ouverture du compte : nous ouvrons le compte séquestre auprès de l’établissement de paiement agréé.
    Virement des fonds : le locataire vire les fonds sur le compte séquestre.
    Activation de la garantie : nous bloquons les fonds, la caution bancaire est en place, le propriétaire peut signer le bail avec le locataire en toute sécurité.
    Il faut compter un délai de 48h en moyenne pour les démarches + 48h de délai pour les virements bancaires (compter une semaine complète).

    Quels frais ?
    340€ TTC au démarrage + 1,2% des sommes bloquées chaque année
    Les frais sont habituellement réglés par le #locataire mais il est possible de prévoir un partage de la prise en charge si le propriétaire est d’accord.

    Pour un loyer de 1000€ charges comprises, si vous souhaitez bloquer 12 mois de loyer, vous verserez donc en garantie 12 000 euros par virement. Nos frais s’éleveront alors à 340€ TTC au démarrage + 144€ TTC payés chaque année.

    Ces frais incluent la mise en place de la garantie, la conservation des fonds, et leur transfert en cas d’impayés. Ni le bailleur ni le locataire ne sont redevables d’autres frais.

    Comment sont gérés les fonds bloqués ?
    Les fonds bloqués ne transitent jamais par Smartloc, ils sont stockés sur des comptes de paiement en ligne ouverts chez Lemon Way, un établissement de paiement agréé par l’ACPR, leader européen des paiements entre particuliers de la nouvelle économie avec 2 400 000 comptes ouverts en Europe et 900 millions d’euros d’encours fin 2016.

    Les acteurs comme Lemon Way https://www.maddyness.com/2016/12/23/fintech-lemon-way-valorisation-1-milliard-2018 sont utilisés par les site de crowfunding ou les plateformes type Airbnb, Blablacar, etc. Vos fonds bénéficient donc de garanties opérationnelles équivalentes à celles d’une banque traditionnelle puisque les fonds sont bloqués in fine sur des comptes séquestres chez BNP Paribas.

    #rente #logement

  • [archives - #zad #NDdL -26 mai 2018] Des masques pour se protéger. Des masques pour riposter. Des masques pour se défendre.
    https://www.flickr.com/photos/valkphotos/51204379623

    Flickr

    ValK. a posté une photo :

    Zone a Defendre de Notre-Dame-des-Landes, le 26 mai 2018.
    .
    ¡ Notre-Dame-des-Luttes : https://vu.fr/valk_zadNDDL
    .
    ¤ autres photos : vu.fr/valkphotos
    ¿ infos audios : frama.link/karacole
    ☆ oripeaux : frama.link/kolavalk
    ◇ rdv locaux : 44.demosphere.net
    ○ réseaux : twitter.com/valkphotos
    ♤ me soutenir : liberapay.com/ValK
    .
    #archive #diellour #archives #archivo #memoire #memory #memoria #photo #documentary #photodocumentary #zad #zoneadefendre #taz #NDdL #NotreDamedesLandes #masque #mask #mascara #raquette #racket #raqueta #jouet #toy #juguete #guerre #brezel #war (...)

  • Affaire Bolloré au Togo : « Nous espérons vraiment qu’il y aura un procès »
    https://www.rfi.fr/fr/afrique/20210228-affaire-bollor%C3%A9-au-togo-nous-esp%C3%A9rons-vraiment-qu-il-y-aura-u

    Une juge française a estimé « nécessaire » la tenue d’un procès en correctionnelle pour #Vincent_Bolloré dans l’affaire des ports de Lomé et Conakry. L’homme d’affaires français a reconnu avoir payé une partie des dépenses de communication du candidat #Faure_Gnassingbé lors de la présidentielle togolaise de 2010. Le groupe aurait reçu, en échange, des contrats et des avantages fiscaux pour le port de Lomé.

    Après des années de procédure et de multiples dénégations, l’industriel français a choisi de reconnaître des faits de corruption d’agents publics étrangers et de complicité d’abus de pouvoir, au cours d’une procédure de plaider-coupable négociée avec le parquet national financier.

    Il espérait ainsi s’épargner un long procès mais le tribunal a refusé d’entériner l’accord de plaider coupable le concernant, ouvrant la porte à un procès.

    Une procédure judiciaire très attendue par David Dosseh, président du collectif Togo Debout, joint par RFI.

    « Nous espérons vraiment qu’il y aura un procès et que l’on permettra justement à des représentants du peuple togolais de participer et de dire ce qu’ils savent de cette affaire. Monsieur Dupuydauby, dirigeant de Progosa, aura certainement et également son mot à dire, puisque sa société avait été évincée au profit de celle de Bolloré.

    Donc, je pense que si on permet à tous ces interlocuteurs et tous ces acteurs de s’exprimer, on pourra avoir suffisamment de lumière sur les pratiques totalement répréhensibles qui encourent au #Togo, en termes de #racket, en termes de #corruption… Et tout cela, au détriment du développement de notre pays.

    On nous dit que nous sommes des pays pauvres, alors que nous avons des potentialités qui pourraient permettre aux populations de vivre heureuses et épanouies. Beaucoup d’argent, malheureusement, disparaît dans ces pratiques de corruption et beaucoup d’argent se retrouve dans des comptes de particuliers justement en Occident. En mettant toute la lumière sur ces pratiques, on espère pouvoir contribuer d’une manière ou d’une autre à la lutte contre la corruption ».

    Contacté par RFI, le gouvernement togolais n’a pas souhaité réagir à cette actualité, évoquant « une affaire franco-française qui ne concerne pas le gouvernement togolais »

  • Comment les GAFAM vous cachent ce qui est vraiment intéressant et rackettent les créateurs - Liens en vrac de sebsauvage
    https://sebsauvage.net/links/?oDcgPA

    Voici un exemple : TheOatMeal est un dessinateur populaire sur internet. Il a publié une image sur #Facebook (voir le lien).
    Et le message que vous voyez en dessous de l’image, c’est Facebook qui lui propose de payer 2000 dollars pour que la publication soit visible de 490 000 personnes.
    490 000 personnes, c’est 10% des abonnés de TheOatMeal.
    Donc Facebook a masqué la publication aux MILLIONS d’abonnés de TheOatMeal, et exige plusieurs milliers de dollars pour que la publication soit visible de seulement 10% de ses abonnés. C’est un véritable #racket des créateurs.

    #cache-cache-pigeon

  • Belgique : #N-VA Condamné à 8 ans de prison, Melikan Kucam, a revendu des visas humanitaires pour plus de 500.000 euros
    https://www.rtbf.be/info/belgique/detail_condamne-a-8-ans-de-prison-melikan-kucam-a-revendu-des-visas-humanitaire

    Le tribunal correctionnel d’Anvers vient de condamner ce mardi l’ancien conseiller communal malinois Melikan Kucam (N-VA) à huit ans de prison et à une amende de 696.000 euros dans le cadre d’une affaire de trafics de visas humanitaires au profit de chrétiens assyriens. L’ancien intermédiaire de l’ex-secrétaire d’État Theo Francken est également privé de ses droits politiques et civils pendant dix ans.

    L’homme était poursuivi pour trafic d’êtres humains, corruption passive et association de malfaiteurs. Neuf coaccusés, dont sa femme et son fils, ont été condamnés à plusieurs années de prison et à de lourdes amendes.

    Visas humanitaires à vendre
    C’est le documentaire Pano (VRT) qui a révélé début 2019 https://www.rtbf.be/info/societe/detail_visas-humanitaires-melikan-kucam-place-sous-mandat-d-arret?id=10120955 ce vaste dossier de trafic de visas humanitaires. Melikan Kucam, qui était toujours au conseil municipal de Malines à l’époque, avait été désigné par le cabinet de l’ancien secrétaire d’État à l’Asile et à la migration Theo Francken (N-VA) pour dresser des listes de candidats à une opération humanitaire de sauvetage des chrétiens assyriens depuis les zones de guerre en Syrie et en Irak. L’intermédiaire jouissait d’une grande confiance du cabinet, il scannait les familles et déterminait qui pouvait figurer sur les listes.

    Le tribunal a estimé qu’il était prouvé qu’il avait abusé de cette position privilégiée pour se faire généreusement payer (plusieurs milliers d’euros) par ceux qui désiraient obtenir pour une place sur ces listes. Le prévenu savait également trop bien, selon le tribunal, qu’un certain nombre de ces candidats n’avaient jamais l’intention de demander l’asile en Belgique, ce qui était contraire aux conditions d’obtention d’un visa. Pour lui, c’était une raison de facturer des montants encore plus élevés. Quelque 522.500 euros, le produit minimal de la fraude pour la famille Kucam, ont été confisqués.

    Procédure en appel
    Melikan Kucam a nié avoir reçu de l’argent, mais a déclaré qu’il « imposait des amendes » ou « exigeait des cautions » pour s’assurer que tout le monde suivait les règles. Le tribunal n’a pas cru ses explications.

    Son fils Emanuël (23 ans) et sa femme Birsen Y. (41 ans) étaient également activement impliqués dans les pratiques. Ils ont été condamnés respectivement à 4 ans et 40 mois de prison. Les sept autres accusés leur avaient présenté des candidats au visa.
    L’avocat de l’accusé, Walter Damen, explique à la VRT https://www.vrt.be/vrtnws/fr/2021/01/12/kucam-condamne-a-8-ans-de-prison-pour-trafic-de-visas-humanitair que son client juge la sentence trop lourde et qu’il va interjeter appel. Le parquet a demandé l’arrestation immédiate du prévenu mais le tribunal n’a pas obtempéré. . . . . . . . . . .

    #migrations #visas #visas_humanitaires #corruption #racket en famille l’#extreme-droite croque #réfugiés #asile #passeport #migration #frontières #passeports #citoyenneté

  • Généralisation des amendes forfaitaires pour consommation de drogue : de quoi on parle et qu’est-ce que ça change ?
    https://www.lefigaro.fr/actualite-france/generalisation-des-amendes-forfaitaires-pour-consommation-de-drogue-de-quoi

    Contrairement à une amende classique, l’amende forfaitaire est décidée en dehors d’un procès par un policier, un gendarme ou un agent public habilité. Le montant de cette sanction pénale - car l’usage de stupéfiants constitue un délit - est fixé en fonction de la gravité de l’infraction. Elle doit être payée dans les 45 jours suivant la constatation de l’infraction, comme l’indique le Code de procédure pénale.

    […]

    En plus de l’amende, le contrevenant verra cette sanction inscrite à son casier judiciaire. Une mesure permettant « d’appliquer la sanction sans délai », et qui est notamment « efficace dans la lutte contre les points de revente des produits stupéfiants qui gangrènent les quartiers », d’après le premier ministre. « Elle va permettre aux forces de l’ordre et aux magistrats de se concentrer sur la lutte contre le trafic, plutôt que de consacrer leur temps à des procédures chronophages liées à la répression de la consommation de stupéfiants », s’était félicité dans un communiqué le député Éric Poulliat (LREM), co-rapporteur de la mission d’information qui avait proposé la mesure en janvier 2018.

    200 euros, décrétés d’office. Officiellement pour « consommation de drogue », mais en prétendant que c’est « efficace dans la lutte contre les points de revente des produits stupéfiants qui gangrènent les quartiers ». Ce qui n’est pas du tout la même chose, à moins de consommer son pétard là où on l’achète (dans ce cas, taux réduit de la TVA ?).

    Ce qui me ramène à la réflexion que je faisais il y a un mois sur l’amende à 135 euros pour non-respect du confinement, outil « ultra-pratique » pour les flics pour pouvoir punir n’importe qui traînerait là où il faut pas. J’ai bien l’impression que la logique ici est identique : pouvoir coller 200 euros à chaque fois qu’on a un attroupement lié à de la vente de haschich.
    https://seenthis.net/messages/859606#message859684

    Avec le confinement et ses prunes à 135 euros, les flics se sont trouvés avec un outil ultra-pratique (pour eux) pour pouvoir punir directement n’importe qui. Dès que quelqu’un traîne quelque part où il est considéré qu’il ne devrait pas se trouver, hop, tu peux facilement lui coller 135 euros de manière arbitraire, et sans autre forme de procès. C’est magique.

    Et outre l’aspect arbitraire, le montant de 200 euros sans procès est proprement scandaleux. Ça représente un tiers de RSA, cette saloperie.

    Est-ce que ce ne serait pas plus cohérent de décider que les flics peuvent d’eux-même décider de couper les doigts des types suspectés de vendre du shit ?

  • #Hautes-Alpes : des migrants ont-ils été rackettés par deux policiers de la #PAF à la frontière franco-italienne ?

    Les deux policiers sont jugés en correctionnel à Gap pour des faits présumés de #violence et de #détournement_de_fonds.

    Soupçonné de violence contre un jeune migrant en août 2018, un gardien de la paix de la #police_aux_frontières (PAF) de #Montgenèvre (#Hautes-Alpes) et un adjoint de sécurité (ADS) du même service, jugé pour détournement de fonds, en janvier 2019, comparaissent cet après-midi devant le tribunal correctionnel de Gap.

    Comme depuis le déconfinement du 11 mai et la reprise des audiences correctionnelles, le procès se déroule sans public en raison des mesures sanitaires liées au coronavirus.

    Le gardien de la paix, un fonctionnaire âgé de 51 ans, et l’ADS âgé de 30 ans, dont le contrat n’a pas été renouvelé par l’administration sont respectivement poursuivis pour « #violences_volontaires_sans_ITT » commises par #personne_dépositaire_de_l’autorité_publique (#PDAP) dans l’exercice ou à l’occasion de ses fonctions, et pour « #faux_administratif » et « #soustraction_frauduleuse_de_fonds_publics » par PDAP.

    Une révélation en interne

    L’enquête menée par l’antenne marseillaise de l’inspection générale de la police nationale (#IGPN) a débuté en janvier 2019 après un rapport remis au parquet de Gap par la direction départementale de la police aux frontières (DDPAF) des Hautes-Alpes, « signalant plusieurs dysfonctionnements administratifs et en interne mais également des faits de violence contre un migrant et de détournement de fonds », a indiqué une source judiciaire. « Une révélation en interne qui fait suite à des soupçons de rackets réguliers à l’encontre de migrants qui traversaient la frontière franco-italienne à Montgenèvre », souligne cette même source.

    Concernant ces vols présumés, « l’enquête n’a pas permis d’établir, ni la réalité des dénonciations, ni l’identification des éventuels auteurs, au contraire des faits qui justifient la comparution des deux prévenus aujourd’hui », a souligné avant le début du procès, le procureur de la République de Gap, Florent Crouhy.

    « Dès la fin de l’année 2018, le parquet a reçu de nombreux courriers de migrants ou d’associations dénonçant des faits de vols sur des migrants. Les vérifications n’ont jamais permis d’étayer ces dénonciations, les migrants étant le plus souvent impossible à retrouver », a indiqué le magistrat qui représentera le ministère public à l’audience.

    Un enregistrement audio à charge contre le policier

    Selon le rapport de l’IGPN, le gardien de la paix - actuellement en arrêt maladie - est soupçonné d’avoir donné un #coup_de_poing à un migrant Malien, aujourd’hui âgé de 17 ans. L’#altercation a été discrètement enregistrée par la victime présumée qui accuse des policiers de lui avoir volé son argent quelques jours plus tôt lors d’un contrôle sur la voie publique à Montgenèvre.

    L’adjoint de sécurité est soupçonné d’avoir gardé pour lui 90 euros en espèce, c’est-à-dire le montant d’une amende dressée lors d’un contrôle à l’encontre d’un conducteur italien qui n’avait pas sa ceinture de sécurité. L’auteur présumé qui conteste les faits a jusqu’ici soutenu qu’il s’agissait d’une erreur de remplissage du procès-verbal.

    « La commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH) a rendu en 2018 un rapport sur lequel la frontière italienne ne doit pas être une zone de non-droit. Notre affaire s’inscrit pleinement dans cette problématique de comportements qui ne sont pas acceptables », a expliqué avant le début de l’audience Me Vincent Brengarth, du barreau de Paris, avocat de la victime présumé ainsi que de l’association « Tous Migrants » qui doit se constituer partie civile au procès. Créée en 2016 à partir d’un mouvement citoyen de 2015, l’association « sensibilise la population aux enjeux migratoires et plaide pour le respect des droits des étrangers et notamment des personnes exilées auprès des pouvoirs publics », rappelle son coprésident Michel Rousseau.
    Les prévenus encourent 3 et 10 ans d’emprisonnement

    « Nous disposons d’un enregistrement audio ce qui permet la tenue de ce procès. Nous attendons que les responsabilités des policiers qui sont mis en cause pour des faits de vols et de violence soient déterminées par le tribunal, avance Me Brengarth. C’est un procès rare pour des pratiques dont on sait qu’elles sont régulières. Le dossier révèle qu’il ne s’agit pas de faits isolés. Il est indispensable que la justice puisse rétablir le droit de ceux que nous devons protéger ». Alors que l’ancien Adjoint de sécurité (ADS) encourt jusqu’à 10 ans d’emprisonnement, le gardien de la paix risque jusqu’à 3 ans de prison. Le jugement devrait être mis en délibéré.

    https://www.laprovence.com/article/faits-divers-justice/6035565/hautes-alpes-des-migrants-ont-ils-ete-rackettes-par-deux-policiers-de-la
    #police #racket #frontières #asile #migrations #réfugiés #France #Italie #frontière_sud-alpine #justice

    ping @davduf

    • Une compagnie de policiers de Seine-Saint-Denis au cœur d’un scandale, Nicolas Chapuis
      https://www.lemonde.fr/societe/article/2020/06/30/une-compagnie-de-policiers-de-seine-saint-denis-au-c-ur-d-un-scandale_604474

      Des enquêtes de l’IGPN, qui portent sur du racket de trafiquants de drogue, menacent l’existence de l’unité, dont six membres sont en garde à vue.

      En jargon policier, on appelle cela un « chantier », un coup monté à base de preuves maquillées. Mais aujourd’hui, les quelques fonctionnaires de Seine-Saint-Denis impliqués dans cette affaire qui aurait pu sembler anodine menacent d’engloutir une unité entière, dans un scandale fracassant.
      Six agents de la compagnie de sécurité et d’intervention de Seine-Saint-Denis (CSI 93) ont été placés en garde à vue, lundi 29 juin, notamment pour détention et transport de stupéfiants, vol, faux et usage de faux, extorsion de fonds, violences volontaires par personne dépositaire de l’autorité publique… Une ribambelle de charges, qui ne serait que la partie émergée de l’iceberg. Car en réalité, une vingtaine d’enquêtes préliminaires ont été menées de front par l’inspection générale de la police nationale (IGPN), sur décision du parquet de Bobigny. Elles pourraient viser des dizaines de policiers de cette même unité.

      Tout commence en juin 2019. L’IGPN reçoit deux plaintes visant des policiers. Deux jeunes hommes de la cité Cordon, connue comme l’un des principaux points de « deal » à Saint-Ouen, se plaignent d’avoir été interpellés de manière illégale, le 30 mai 2019. Ils accusent les agents d’avoir fait croire que l’un d’entre eux détenait un sachet de cannabis. En réalité, ce serait les policiers qui auraient jeté un sac contenant de l’herbe aux pieds du jeune homme. La scène a été filmée, mais le téléphone aurait été détruit par les agents. Les deux jeunes hommes se plaignent également de mauvais traitements, de coups portés pendant l’interpellation. Ils dénoncent enfin des procès-verbaux maquillés.

      Racket et fausses procédures

      Ce n’est pas la première fois que des signaux d’alerte sont envoyés au sujet de cette compagnie. Sur instruction de la procureure de Bobigny, Fabienne Klein-Donati, la police des polices décide de procéder dans le plus grand des secrets à un « balayage » des procédures montées par cet équipage en particulier, et par tous leurs collègues de la CSI 93.

      Au fur et à mesure qu’avancent les investigations, les faits se précisent. Les agents sont soupçonnés d’avoir racketté des trafiquants de drogue, notamment avec des fausses procédures entamées contre eux. Ils auraient extorqué d’importantes sommes d’argent. Leurs appartements ont été perquisitionnés lundi. Les locaux de la CSI, notamment les vestiaires, ont également reçu la visite des enquêteurs.

      Pendant un an, l’IGPN a déployé les grands moyens pour permettre aux investigations d’aboutir, mettant au jour un système organisé. D’après une source policière, des véhicules et des locaux de la CSI 93 ont été sonorisés, plusieurs agents ont fait l’objet d’écoutes. En tout, une vingtaine d’enquêtes préliminaires sur des faits potentiellement délictueux ont été ouvertes depuis juin 2019. Certaines ont été classées sans suite, faute de preuves suffisantes. Mais d’autres pourraient aboutir dans les jours à venir, après les interrogatoires menés pendant les gardes à vue.

      A l’été 2019, la CSI 93 avait déjà fait parler d’elle pour des faits de violence. Un homme interpellé pour trafic de drogue avait reçu un coup de pied de la part d’un agent. Une scène filmée. Il avait ensuite assuré que les policiers avaient tiré dans ses parties génitales avec un pistolet à impulsion électrique dans le fourgon. Il avait porté plainte pour actes de torture. Six fonctionnaires avaient été placés en garde à vue. Une partie d’entre eux seront jugés en novembre.

      Très mauvais moment

      Pour la #CSI 93, cette enquête de grande envergure sonne le glas. L’unité, composée de quelque 150 fonctionnaires et créée en 2008 sous Nicolas Sarkozy, ne survivra pas au scandale. Le préfet de police Didier Lallement a d’ores et déjà annoncé qu’une refonte allait avoir lieu.

      La compagnie de sécurité et d’intervention joue pourtant un rôle majeur dans ce département, où la délinquance est très importante. Cette unité composite, qui intervient notamment pendant les épisodes de violences urbaines, réunit des effectifs en tenue, d’autres en civil, qui agissent comme des brigades anticriminalité (#BAC), ainsi qu’un groupe de motards.

      Pour la police nationale, la potentielle mise en cause de dizaines d’agents tombe à un très mauvais moment. L’institution traverse une période de remise en cause de ses pratiques, sur fond d’accusations de violences policières et de racisme. Le mouvement parti des Etats-Unis après la mort de George Floyd, un homme noir tué par un policier blanc à Minneapolis (Minnesota), a connu un vif écho en France, notamment dans les quartiers populaires d’Ile-de-France, en Seine-Saint-Denis en particulier.

      D’un autre côté, plusieurs sources policières soulignent le gros travail effectué par l’#IGPN depuis un an. Un service dont l’indépendance et la qualité du travail sont régulièrement critiquées. Alors que le ministère de l’intérieur a fait part de sa volonté de réorganisation, ce coup de filet spectaculaire devrait peser, à l’heure de faire le bilan de son activité.

      #police #racket

    • Il est assez marrant, l’article du Monde, parce qu’il est bourré de jargon professionnel (copspeak), et rapidement je me dis que ça ressemble à une ode à l’IGPN, avec force descriptions des méthodes et de l’ampleur des moyens qu’elle a déployés.
      Et tu m’étonnes, ça se termine par cette conclusion épatante :

      D’un autre côté, plusieurs sources policières soulignent le gros travail effectué par l’#IGPN depuis un an. Un service dont l’indépendance et la qualité du travail sont régulièrement critiquées. Alors que le ministère de l’intérieur a fait part de sa volonté de réorganisation, ce coup de filet spectaculaire devrait peser, à l’heure de faire le bilan de son activité.

  • Police : Castaner veut des procédures simplifiées pour les « outrages, violences ou menaces »
    https://www.huffingtonpost.fr/entry/police-castaner-veut-des-procedures-simplifiees-pour-les-outrages-vio

    Et d’ajouter : “j’ai demandé qu’un groupe de travail autour du Directeur général de la gendarmerie nationale et de la police nationale soit mis en oeuvre pour que systématiquement quand les forces de l’ordre sont victimes d’outrages, de violences, de menaces, ils aient une procédure simplifiée.”

    Hé ben dis donc… Ça serait pas plus simple de directement leur faire toucher l’argent des PV de stationnement ?

  • How Ramallah is resolving electricity crisis
    https://www.al-monitor.com/pulse/originals/2019/12/palestinian-banks-step-in-to-solve-jerusalem-power-crisis.html

    Under the patronage of Palestinian Prime Minister Mohammad Shtayyeh, the Jerusalem District Electricity Company (JDECO) signed Dec. 29 with eight banks operating in the Palestinian territories a memorandum of understanding under which the banks shall buy JDECO’s entire debt to the Israel Electric Corporation (IEC), which amounts to 670 million shekels ($191.4 million). This is provided that the government pays the banks its financial dues to JDECO in the form of monthly installments.

    This agreement followed Shtayyeh’s remarks Dec. 19 that his government decided to settle the electricity bills on behalf of all Palestinian camps. They include bills that have accumulated over the past years and monthly bills that will be issued in 2020.

    #palestine petit #racket ordinaire

  • Multibillion-dollar lawsuit in Israel against Arab Bank
    https://www.al-monitor.com/pulse/originals/2020/01/israel-jordan-arab-bank-terror-victims-jerusalem-court.html

    The Jordan-based Arab Bank was served with a precedent-setting, 20-billion-shekel ($5.75 billion) lawsuit Dec. 29 in Jerusalem’s District Court. Behind the suit were 1,132 victims and casualties of terrorism and their families, who are accusing the bank of cooperating, supporting, abetting, funding and encouraging terrorist activities, which resulted in thousands of casualties. The plaintiffs claim that the bank was involved in funding terrorist attacks in Israel carried out by Hamas, Islamic Jihad, Fatah and other terrorist organizations.

    Among other things, this lawsuit is based on a similar, successful lawsuit against the Arab Bank in the United States in 2004. Initially, Israeli and American citizens filed the suit together, but the court decided to separate the American and the Israeli plaintiffs. The final compromise ruling covered victims of terrorism, who held American citizenship.

    The plaintiffs proved that the bank cooperated with terrorist organizations by opening private bank accounts for the families of terrorists, with which they could receive money from donors. The bank admitted that it did, in fact, transfer tens of millions of dollars to these accounts, but denied that it had any connection to Palestinian terrorist organizations. After many years of legal wrangling, a federal court in New York found the bank liable for knowingly supporting terrorist factions of Hamas, which were responsible for dozens of terrorist attacks between 2001 and 2004, in which American citizens were among the victims. Then, in August 2015, before the court could rule on the final sum of the compensation, the bank reached a confidential settlement with the American plaintiffs.

    In 2018, the Supreme Court of the United States ruled that the Alien Tort Statute — previously implemented mostly in cases of human rights breach and extreme attacks — does not encompass individuals who are not citizens of the United States when the actions allegedly taken were not committed on American soil. In other words, non-Americans cannot use this law to sue terrorist groups in American courts. This led to the current suit by Israeli victims of terrorism, which was brought before the Jerusalem District Court. In July 2019, the court set a precedent by finding that the Palestinian Authority (PA) was responsible for 17 terrorist attacks during the second intifada (2000-2005), in which 34 Israelis were killed. The plaintiffs demanded about 1 billion shekels ($287 million) in compensation, but the final sum has yet to be determined.

    #palestine #racket

  • Saudi Arabia is reportedly trying to get the Kingdom’s billionaires to buy stock in Aramco’s mega-IPO | Markets Insider
    https://markets.businessinsider.com/news/stocks/saudi-aramco-ipo-kingdom-negotiating-participation-from-bil

    Saudi Arabia is trying to get the country’s wealthiest citizens to buy stock in Aramco’s upcoming IPO, according to Bloomberg.
    The group reportedly includes the likes of the billionaire Olayan family, which is considering the purchase of several hundred million dollars of stock.
    Aramco’s IPO is expected to be the biggest in history, with Saudi officials seeking a valuation of $2 trillion, although bank estimates have come in lower.
    The oil giant is due to go public on December 11.

    #racket #extorsion #brigandage_d'Etat #arabie_saoudite

  • (2) Omar Sellami - Exclusif : #Enquête sur le #racket et...
    https://www.facebook.com/Omar.sellami.10/posts/1666465903486381

    Exclusif : #Enquête sur le #racket et #racolage_médiatique de l’association #Amel_TV_AlgériePart_com.

    Le Hirak populaire lancé le 22 février dernier, a non seulement balayé le régime de Bouteflika, mis relativement hors d’état de nuire la bande qui a sucé le sang des algériens, le dépossédant de ses richesses au profit d’une minorité appelée oligarchie, l’Etat profond avec l’incarcération de son maître incontesté durant trois décennies »Rab Dzair » malgré son limogeage en septembre 2015, le général Mediene Mohamed dit Toufik, mais aussi révélé aux algériens les mensonges, la désinformation, le chantage, l’escroquerie et les pressions exercées par certaines énergumènes de la presse algérienne à la solde de « Rab Dzair », Said Bouteflika, les officines occidentales, hostiles à l’Algérie et l’ANP , surtout françaises , le Mossad et le Makhzen, comme c’est le cas pour l’enqête menée par AlgérieTouteHeure . com, au sujet de deux médias AlgériePart .com et la chaîne TV, Amel TV, créés par les « journalistes » véreux , Abdou Semmar et Hichem Abboud .

    Enquête française sur blanchiment d’argent

    Sur sa page Facebook , l’algérien Mourad Mazar, connu dans le monde su sport national et international, président de la fédération internationale anti-corruption sportive FIACS, et ancien président de la FIFPRO( syndicat international des footballeurs), a révélé que la chaîne créée par le duo de la gabegie médiatique, fait l’objet d’une enquête diligentée par les autorités françaises sur une prétendue évasion fiscale et blanchiment d’argent, liée à la chaîne de télévision Amel TV, qui profitait d’un financement occulte et de sommes de devises résultant de pratiques de chantage médiatique exercées sur des hommes d’affaires algériens.
    Selon Mourad Mazar, ,la chaîne Amel TV appartenant à l’agent déserteur du renseignement algérien, Hichem Aboud, a été suspendue en début du mois d’août par le fournisseur d’accès satellite Eutelsat pour des soupçons de blanchiment d’argent.
    En effet, Eutelsat a été saisi par les autorités françaises sur les méthodes et moyens de payement de l’abonnement annuel de Amel TV pour préserver ses fréquences satellitaires. Après une enquête interne, Eutelsat a décidé de suspendre illico presto la chaîne de Hichem Aboud et de transmettre les résultats de cette enquête interne aux autorités concernées.
    Démasquée en France et non captable depuis début août, Amel TV se cherche une place dans un autre satellite moins rigoureux. Ainsi, l’ancien larbin du colonel « Fouzi », proche du général Toufik et parrain de l’Etat profond, qui dirigeait la presse algérienne, à sa guise et selon les parts récoltées des dividendes de l’ANEP, a annoncé le mois d’août dernier,sur sa page Facebook que sa chaîne réapparaîtra en septembre via des fréquences Arabsat, à 26 degrés Est. Ce satellite financée et géré par l’Arabie Saoudite pourrait faire abstraction des délits financiers auxquels pourrait recourir Hichem Aboud.
    En ce qui est du paiement de l’abonnement satellitaire sur Arabsat, le fugitif, devenu larbin de Said Bouteflika, après avoir été lâché par certains de ses employeurs et galéré, un peu de temps en France, pourrait toujours compter sur les âmes faibles qu’il fait chanter depuis des mois, quoique le financement de sa société a chuté de manière vertigineuse après l’emprisonnement de ces deux plus grands bailleurs de fonds, à savoir Redha Kouninef mais surtout Mahieddine Tahkout.
    Selon des informations concordantes, Hichem Aboud recevait des sommes faramineuses de la part de Mahieddine Tahkout et les frères Kouninef qui voulaient s’assurer les services de ces mercenaires pour faire passer le 5e mandat. D’ailleurs, les téléspectateurs ont vite qualifié cette chaîne de « Cachir TV », en raison du soutien sournois à la candidature d’Abdelaziz Bouteflika.
    Par ailleurs, son partenaire (pas seulement de travail) Abdou Semmar est également connu pour ses pratiques mercantiles. Il fait d’ailleurs l’objet de plusieurs dépôts de plaintes pour chantage, extorsion ou tentative d’extorsion de fonds. L’imitant, ce dernier vient de lancer sournoisement un appel pour soutenir son site électronique AlgériePart, et qui cachera en réalité, une opération de blanchiment d’argent venu du Qatar, à travers ses réseaux établis en Europe et surtout en France, ainsi que de l’argent racketté par le MAK . L’escroquerie est la suivante »« faites un don par virement bancaire « en communiquant l’iban sans le nom de la banque. L’iban en question est celui d’un établissement de monnaie électronique, secondaire où est domicilié http://xn--algriepart-d7a.com . Ce dernier n’existe même pas sous forme de société !!!! Cet établissement créé le 21/10 / 2014 se nomme TREEZOR . L’activité de TREEZOR : vidéo pour les affaires et autres conseils de gestion ! Adresse : 150 rue de Gallieni 92 100 Boulogne Billancourt. Il a été fermé le 21/12/ 2017.
    Voilà comment fonctionne AlgeriePart .com de notre ami Abdou Semmar ! Primo, ,l’argent arrive et l’on ne sait guère où il va ! Secondo, c’est pour échapper au Fisc Français que ce montage financier ubuesque a été imaginé par Abdou Semmar , à l’instar de son ami Hichem Abboud pour Amel TV , créée à Genève en octobre 2018 avec un bureau étranger à Lille . La société basée à Lille a été fermée par Aboud le 26/04/2019 et déménagée à Saint Denis ( 93200) au 6 bd de la Libération, non loin de l’autre chaîne subversive d’El Magharibia financée par le Qatar pour soutenir la propagande des résidus du parti dissous et leurs alliés du MAK, qui s’activent en costumes de défenseurs des »droits de l’homme » . Ce subterfuge a permis à Hichem Aboud d’échapper continuellement au fisc, l’adresse de Genève existe toujours mais on ne sait guère si ce sont véritablement des bureaux ou une adresse fictive ?
    Hichem Abboud et Abdou Semmar, ont un point commun, l’exercice sportif de chantage, la pression et l’extorsion de fonds. Ainsi, le 16 octobre 2018, Hichem Abboud créera à Lille, au nord de la France la chaîne Amel TV, financée par Tahkout et les Kouninef, sur ordre de Said Bouteflika, en prévision du 5ème mandat ;sous forme de société étrangère ( code NAN / AP 6911C) qui a pour objet la production de films. Le siège de la société 70 Rue Jean Dans Peur 50000 Lille Cette société a été radiée le 07/04/2019 , en vue de passer à un autre siège social e en Suisse : Amel TV , 37 Rue de Lausanne 1201 Genève ( Annonce légale publiée dans le BODACC no 20180197 du 16/10/2018
    Comme l’indiquent les codes Siren ,la même société où les 2 sociétés ont été créées à la même date , en France et en Suisse, pour échapper au fisc français . Même après avoir radié Amel TV à Lille, Aboud continue de diffuser ses programmes en France, consacrés à l’Algérie . Des programmes axés sur des diatribes, d’un faux opposant et de dénigrement de l’ANP qui réussira à mettre ses employeurs de l’Etat profond , hors d’état de nuire . Une ANP ; novembriste qui se positionnera en faveur des revendications du peuple.
    .Ses sources proviennent des services français , qataris, du Makhzen, et même du Mossad , apprend-on.
    L’objectif assignée à cette chaîne est de porter atteinte à l’unité de l’armée algérienne, en dénigrant sans cesse son Chef d’état-major Gaid salah et les hauts gradés de l’institution militaire
    Hichem Aboud Hichem, crée http://xn--algriepart-d7a.com , et confie la direction de la rédaction à Abdou Semmar, qui venait de fuir l’Algérie en avril 2019,grâce à l’aide des Kouninef, malgré la mesure de son interdiction de sortie du territoire national au lendemain de sa sortie de prison pour escroquerie, chantage et extorsion de fonds

    Abdou Semmar avait été condamné à un an de prison ferme par le tribunal Bir Mourad. Rais à Alger , assortie d’une amende de 50.000 dinars sur plainte de Mohamed Ghenou , ancien directeur des Grandes Entreprises pour atteinte à sa vie privée et tentative d’extorsion de fonds .
    Pour rappel, plusieurs plaintes contre Abdou Semmar avaient été bloquées au niveau de plusieurs tribunaux. Après la chute de Said Bouteflika et du coordinateur des services de sécurité, Bachir Tartag , la justice se saisira de ses dossiers, apprend-t-on . Cette même justice enquête sur la fuite de Semmar qui faisait l’objet d’un retrait de passeport et d’une interdiction de sortie du territoire national .
    Certaines sources affirment qu’il aurait bénéficié grâce à des recommandations de Reporters Sans Frontières RSF, de l’aide de l’ambassade de France à Alger qui lui aurait fourni un laisser passer.
    Par ailleurs, il faut noter que les deux incarcérés de la prison militaire de Blida Bachir Tartag et Saïd Bouteflika auraient financé durant plusieurs années Hichem Aboud et Abdou Semmar qui menait un train de vie qui n’a rien à voir avec celui d’un journaliste en Algérie
    Les deux larrons sont épaulés par les journalistes Mohammed Mahmoudi et Merouane Boudiab , l’ancien comparse de Abdou Semmar à Alger , qui rejoindra Amel TV , avant de poster un message sur son compte Facebook, le 7 février 2019, annonçant sa démission de la chaîne
    .Expliquant sa démarche, Boudiab , fera savoir « ..qu’il s’agit d’une action visant à éviter toutes interprétations (?) surtout dans un moment où le pays traverse une étape sensible.. » Boudiab Merouane , sentant , le péril et les scabreuses affaires de ses compagnons, il préféra prendre le large ..
    Pour sa part, Habib Achi , un ancien juge d’instruction qui a également fui le pays après une condamnation pour corruption, s’est joint à la bande et on le voit s’exhiber sans vergogne sur la chaîne de Aboud

    Abdou Semmar et son lien avec le rabatteur du MAK

    Selon notre investigation, nous avons appris que la clé du chantage d’Abdou Semmar, est un rabatteur du mouvement séparatiste le MAK, un certain Bedek Hassan dit Hcen à la tête d’une société active dans le domaine du gaz et des complexes gaziers, basée à La Haye aux Pays Bas , et qui serait même le sponsor des activités criminelles de celui qui terne l’image de la noble profession de la presse.
    Bedek Hassen dit Hcen serait même un membre très actif au sein du MAK et entretient des liens très particuliers avec le maître-chanteur Ferhat Mehenî
    Bedek dirige le Mouvement Associatif Kabyle, qui œuvre au rayonnement de la langue berbère et de la culture Amazigh , en relation avec le Mouvement du Réveil Berbère Marocain !
    C’est précisément, cet individu qui s’aventurait à contacter depuis les années 2000 les cadres algériens de France (avocats , experts -, comptables , banquiers, notaires , médecins … ) afin de les enrôler dans son mouvement. C’est l’individu qui prendra contact avec l’avocat établi à Paris Me Wassini Ghozali , pour le faire chanter . En refusant de se pliant aux exigences de cette association de malfaiteurs, Me Wassini Ghozali, fera l’objet d’un article tendancieux et mensonger de la part d’Abdou Semmar publié sur le site http://xn--algriepart-d7a.com, publié en date du 23/09/2019.

    Acharnement contre l’ANP et Gaid Salah

    Aboud Hichem a trouvé l’âme sœur en la personne d’Abdou Semmar et tous les papiers signés sur http://xn--algriepart-d7a.com puent la diffamation et les ragots destinés à dénigrer l’Algérie d’aujourd’hui et à sa tête le Chef d’état-major de l’ANP, Ahmed Gaïd Salah .

    Réagissant aux dernières mesures d’interdire d’accès de la capitale aux manifestants, venus de d’autres wilayas, l’ancien larbin du colonel Fouzi a appelé les algériens à manifester dorénavant chaque jour semer le chaos en Algérie, et avait sollicité les ONG proches du Mossad et la propagande du FIS et du MAK, à condamner le novembriste Chef d’état-major de l’ANP, oubliant que les autorités françaises ont fermé l’accès aux parisiens l’accès aux Champs d’Elysée. Dans le même sillage, le 21 septembre dernier , Abdou Semmar , sera briefé par les services les services français pour balancer un papier en exclusivité mensongère sur AlgeriePart.com , consacré au général Wassini Bouazza patron de la direction de la sécurité intérieure ( DSI) , depuis trois mois en le qualifiant « d’incompétent ».
    La dernière « diarrhée « d’http://xn--algriepart-d7a.com a été consacrée à l’ancien premier ministre Abdelmadjid Tebboune , avant même l’annonce de sa candidature à la prochaine présidentielle du 12 décembre prochain.
    Orphelins des Mediene, Tartag , Bendaoud, et Saïd Bouteflika, les deux délinquants de la presse nationale , n’ont plus les ressources financières accordées par les sponsors Tahkout, Haddad, Kouninef, Rabrab et autres oligarques pour assouvir leurs frustrations, et sont dorénavant comme des « camés » contraints de racoler où se jeter sous les bottes du Makhzen, Mossad, pour subvenir à la dure réalité du métier qui n’accepte que ceux qui respectent la noblesse de leur mission

    #M_Mehdi

    ALGERIEBTOUTE HEURE

  • America’s biggest base in the Middle East is getting bigger - Middle East - Stripes
    https://www.stripes.com/news/middle-east/america-s-biggest-base-in-the-middle-east-is-getting-bigger-1.595138

    Brian Katulis, a senior fellow at the Center for American Progress who worked on the National Security Council and at the Departments of State and Defense during President Bill Clinton’s administration, said the expansion of the base showed the contradictions of Trump’s military policy.

    “In the Middle East, and around the world, Trump speaks of these security partnerships with America like a protection #racket,” Katulis said, with little discussion of the strategic purpose for troops abroad. “What is this all for? What’s next?”

    #etats-unis #bases_militaires #moyen_orient

  • IL «PULL FACTOR» NON ESISTE. Con #SeaWatch3 da 12 giorni al largo di #Lampedusa, terzo aggiornamento. Tra l’1 maggio e il 21 giugno dalla #Libia sono partite almeno 3.926 persone. Con Ong al largo, 62 partenze al giorno. Senza Ong, 76 partenze.

    Se ci limitiamo ai soli giorni di giugno, il dato è ancora più eclatante. Con #SeaWatch3 al largo, dalla #Libia sono partite 52 persone al giorno. Senza Ong, 94 partenze.

    Tra l’1 maggio e il 21 giugno dalla #Libia sono partite almeno 3.962 persone. 431 partite quando le Ong erano al largo delle coste libiche. 3.495 partite senza nessun assetto europeo (pubblicamente) in mare a fare ricerca e soccorso.


    NB: non è che senza Ong in mare si parta di più — sarebbe un pull factor all’incontrario. La differenza tra le partenze al giorno dalla Libia, con o senza Ong, non è significativa. Semplicemente, non c’è alcuna correlazione tra attività Ong in mare e partenze.

    https://twitter.com/emmevilla/status/1142685495526395906

    #Matteo_Villa #pull-factor #facteur_pull #appel_d'air #statistiques #chiffres #fact-checking #2019 #Méditerranée #ONG #asile #migrations #réfugiés #frontières #démonstration #déconstruction #Libye #départs

    ping @isskein

    • "Lampedusa ha superato da tempo la sua capacità d’accoglienza: sull’isola ci sono già i 42 passeggeri della Sea-Watch 3, sbarcati dopo 17 giorni di attraversata, e altri cento arrivati senza creare scalpore. Su di loro il ministro dell’interno Matteo Salvini non ha speso nemmeno una parola. Però quando la Sea-Watch 3 ha fatto rotta verso la costa italiana Salvini ha scatenato il putiferio.
      (...)
      In effetti in Italia continuano ad arrivare i migranti: mille a giugno, più di 2500 all’inizio dell’anno. Certo, sono molti meno rispetto a un paio di anni fa, ma comunque troppi rispetto alle promesse fatte da Salvini agli elettori. Come deve presentare questi numeri? C’è sempre un’invasione da combattere, o si tratta di una cifra relativamente piccola e tollerabile? Nel primo caso avrebbe fallito, nel secondo caso il tema diventerebbe secondario. E forse per Salvini la seconda opzione è perfino peggiore della prima.
      (...)
      Il leader della Lega, infatti, deve assolutamente mantenere il tema dei migranti al centro del dibattito politico italiano, è il suo terreno di battaglia preferito, soprattutto in vista di eventuali elezioni anticipate a settembre. Salvini spera che la Lega si affermi come primo partito d’Italia e aspira a diventare presidente del consiglio. Fino ad allora deve tenere in vita l’immagine dell’uomo che sa imporsi, altrimenti le sue speranze di vittoria sono perdute. Un nuovo nemico, deve aver pensato Salvini, lo farebbe uscire dal vicolo cieco. E quale miglior nemico degli ’aiutanti dei trafficanti’, come spesso ha definito le navi gestite da volontari che salvano i naufraghi in mare? Grazie a loro arriva in Italia un numero irrilevante di profughi, ma sono la controparte perfetta per la sua messinscena. Per questo ha alzato il livello dello scontro con la Sea-Watch 3.

      Source: Hans-Jürgen Schlamp, «Una nemica perfetta», in Internazionale, n°1314, juillet 2019 (original: Der Spiegel), pp.19-20.
      https://www.internazionale.it/sommario/1314
      #Salvini #Carola_Rackete #Rackete #Matteo_Salvini

    • Con #OpenArms ancora al largo e #OceanViking che ha fatto un salvataggio, RECAP.

      Tra l’1 gennaio e il 9 agosto dalla #Libia sono partite almeno 8.551 persone.

      Con Ong al largo, 31 partenze al giorno.
      Senza Ong, 41 partenze al giorno.


      1.624 partite quando le Ong erano al largo delle coste libiche.
      6.927 partite senza nessun assetto europeo a fare ricerca e soccorso.

      https://twitter.com/emmevilla/status/1159814415950241792

    • Sea rescue NGOs : a pull factor of irregular migration?

      The argument that maritime Search and Rescue (SAR) operations act as a ‘pull factor’ of irregular seaborne migration has become commonplace during the Mediterranean ‘refugee crisis’. This claim has frequently been used to criticize humanitarian non-governmental organizations (NGOs) conducting SAR off the coast of Libya, which are considered to provide “an incentive for human smugglers to arrange departures” (Italian Senate 2017: 9). In this policy brief, we scrutinise this argument by examining monthly migratory flows from Libya to Italy between 2014 and October 2019. We find no relationship between the presence of NGOs at sea and the number of migrants leaving Libyan shores. Although more data and further research are needed, the results of our analysis call into question the claim that non-governmental SAR operations are a pull factor of irregular migration across the Mediterranean sea.

      https://cadmus.eui.eu/handle/1814/65024

    • Migrants from Libya not driven by hope of being rescued at sea – study

      No link found between number of Mediterranean crossings and level of NGO rescue ship activity.

      No valid statistical link exists between the likelihood that migrants will be rescued at sea and the number of attempted Mediterranean crossings, a study has found. The findings challenge the widespread claim in Europe that NGO search and rescue activity has been a pull factor for migrants.

      Fear that the NGOs’ missions attract immigrants has been the basis for measures restricting humanitarian ships including requiring them to sign up to codes of conduct or simply blocking them from leaving port.

      It is the first detailed study of NGOs’ proactive search and rescue activity between 2014 and October 2019, but the findings focus most closely on the first nine months of this year, a period when Europe had withdrawn from all search and rescue activity leaving only NGOs or the Libyan guard. The research was undertaken by two Italian researchers, Eugenio Cusumano and Matteo Villa, from the European University Institute (https://cadmus.eui.eu/handle/1814/65024).

      Drawing on official statistics and examining three-day averages, the study showed the numbers rescued depend on the numbers leaving. It found a stronger link this year between the number of migrant crossings and either political stability in Libya or the weather, rather than NGO ships at sea.

      The study found that in 2015, the total number of departures from Libya slightly decreased relative to 2014 even though migrants rescued by NGOs increased from 0.8 to 13% of the total number of people rescued at sea. After July 2017, the number of migrants departing from Libya plummeted even though NGOs had become far and away the largest provider of search and rescue by far.

      It also found that in the 85 days in which the NGOs were present in the search and rescue mission there were no more departures than the 225 days in which there were Libyan patrol boats.

      Instead, the study showed the big decline in crossings in 2017 was linked to the deal struck between the Italian government and various Libyan militia to keep migrants from attempting sea crossings.

      The study looks at figures from the International Organisation for Migration, the UN refugee agency UNHCR and the Italian coastguard.

      Over the five years the humanitarian ships have rescued a total of 115,000 migrants out of 650,000 with an average of 18%. In 2019 alone, at least 1,078 migrants have died or gone missing, according to the UN, while trying to reach safety in Europe.

      While the EU recognises the Libyan coastguard and is also funding and training its work, there is no overall agreement about how asylum seekers should be dealt with in an equitable and EU-wide manner.

      https://www.theguardian.com/world/2019/nov/18/migrants-from-libya-not-driven-by-hope-of-being-rescued-at-sea-study

    • ONG en Méditerranée : les secours en mer ne créent pas d’« appel d’air »

      Deux chercheurs italiens contestent, dans une étude parue lundi, la corrélation parfois suggérée par les politiques entre présence des ONG en mer Méditerranée et nombre de départs de bateaux clandestins des côtes libyennes.

      Marine Le Pen, députée française, le 12 juin 2018 : « Derrière le vernis humanitaire, les ONG ont un rôle objectif de complices des mafias de passeurs. […] Accepter que les bateaux de migrants accostent crée un appel d’air irresponsable ! » Christophe Castaner, ministre de l’Intérieur français, le 5 avril 2019 : « Les ONG ont pu se faire complices [des passeurs]. » Matteo Salvini, alors ministre de l’Intérieur italien, le 7 juillet 2019 : « Je n’autorise aucun débarquement à ceux qui se moquent totalement des lois italiennes et aident les passeurs. » Cette rengaine selon laquelle en menant des opérations de recherches et de sauvetages (SAR) en mer Méditerranée les organisations non gouvernementales provoqueraient des départs massifs d’immigrés clandestins vers l’Europe, a la vie dure.

      De SOS Méditerranée à Proactiva Open Arms en passant par SeaWatch, les ONG contestent ce lien – surtout fait par des politiques de droite et d’extrême droite – mais rien ne permettait jusqu’ici de trancher la question d’une éventuelle relation de cause à effet entre présence des ONG en mer et nombre de départs des côtes libyennes. Deux chercheurs ont rendu publique ce lundi une étude, réalisée pour l’European University Institute de Florence (Italie), qui étudie ce phénomène. La conclusion de Matteo Villa et Eugenio Cusumano, qui précisent que les données sont peu nombreuses, est claire : « Notre analyse suggère que les opérations de SAR non gouvernementales n’ont pas de corrélation avec le nombre de migrants quittant la Libye par la mer. »

      En 2015, le nombre de départs de Libye a même un peu baissé par rapport à 2014, alors que la part des ONG dans le nombre total de sauvetages a augmenté, passant de 0,8% des opérations à 13%. Entre janvier et octobre 2019, le nombre de départs par jour était, lui, légèrement supérieur lorsqu’il n’y avait sur la zone pas d’ONG – lesquelles sont soumises à des pressions gouvernementales et peinent à être autorisées à débarquer les rescapés en Europe. « Par contraste, une grosse corrélation existe entre les départs de migrants et les conditions météorologiques sur la côte libyenne, autant qu’avec la très forte instabilité politique en Libye depuis avril 2019 », indiquent les chercheurs.

      https://www.liberation.fr/amphtml/planete/2019/11/18/ong-en-mediterranee-les-secours-en-mer-ne-creent-pas-d-appel-d-air_176409

    • "Non è vero che la presenza delle Ong in mare fa aumentare le partenze dei migranti dalla Libia"

      Due ricercatori italiani firmano per lo European University Institute la prima analisi sui soccorsi in mare dal 2014 al 2019. Il crollo dei viaggi provocato dagli accordi con Tripoli.

      Il «pull factor delle Ong» sui flussi migratori dalla Libia non esiste. L’affermazione che, da tre anni a questa parte è alla base dei provvedimenti che hanno ormai messo all’angolo le navi umanitarie, buona parte delle quali sotto sequestro da mesi, è una favola. A provarlo è il primo studio sistemico, su dati ufficiali dalle agenzie delle Nazioni unite ma anche dalle guardie costiere italiana e libica, firmato da due ricercatori italiani, Eugenio Cusumano e Matteo Villa, per lo European University Institute. La ricerca, che prende in esame, mensilmente, cinque anni di sbarchi in Italia (da ottobre 2014 a ottobre 2019) dimostra che non vi è alcuna relazione tra la presenza nel Mediterraneo delle navi umanitarie e il numero delle partenze dalle coste libiche.

      In questi cinque anni, le navi umanitarie hanno soccorso complessivamente 115.000 migranti su 650.000, con una media del 18 per cento, la più parte nel 2016 e nel 2017 dopo la fine dell’operazione Mare Nostrum. Poi il codice di condotta voluto da Marco Minniti nell’estate 2017 e il decreto sicurezza di Matteo Salvini hanno condizionato pesantemente l’attività delle Ong.

      Il lavoro dei due ricercatori italiani smonta l’assunto secondo il quale più alto è il numero delle persone salvate, più alto è il numero di quelle che partono. Cusumano e Villa rovesciano l’approccio e dimostrano che il numero dei salvati dipende dal numero di coloro che partono. E a sostegno dell’analisi portano due dati: nel 2015, l’anno in cui le Ong dispiegano la flotta in mare aumentando i loro soccorsi dallo 0,8 al 13 per cento, il numero complessivo delle partenze risulta in calo rispetto all’anno precedente. E ancora, nella seconda metà del 2017, nonostante le tante navi umanitarie presenti, il numero degli sbarchi crolla.

      Dunque, è la conclusione della ricerca, ad avere un forte impatto sulle partenze sono stati gli accordi tra Italia e Libia che hanno decisamente portato ad un abbattimento del numero delle imbarcazioni messe in mare. E ancora nel 2019, quando sparite le navi militari, il peso dei soccorsi è rimasto solo sulle navi umanitarie, i due ricercatori hanno rilevato giorno per giorno partenze e salvataggi senza trovare alcune evidenza che negli 85 giorni in cui erano presenti le Ong in zona Sar ci siano state più partenze rispetto ai 225 giorni in cui c’erano solo le motovedette libiche. E con tutta evidenza i giorni con più partenze sono stati quelli di bel tempo o ad aprile in coincidenza con gli attacchi del generale Haftar.

      https://www.repubblica.it/cronaca/2019/11/18/news/migranti_i_dati_di_uno_studio_confermano_non_e_vero_che_la_presenza_delle

    • Das Märchen von den Rettern und vom «Pull-Faktor»

      Die Studie zweier italienischer Migrationsforscher widerlegt das beliebteste Argument rechter NGO-Kritiker.

      Kein anderer Vorwurf wird gegenüber privaten Seenotrettern auf der zentralen Mittelmeerroute häufiger erhoben als jener, sie seien ein «Pull-Faktor». Dass NGO-Schiffe wie die Sea-Watch oder die Open Arms vor der libyschen Küste Migranten aus Gummibooten retten und nach Italien bringen, so die Anschuldigung, verleite Flüchtlinge erst recht zum Aufbruch und trage deshalb dazu bei, die Zahl der Überfahrten zu steigern – und dadurch auch die Zahl der Ertrunkenen.

      Das Argument hat eine unbestreitbare intuitive Plausibilität: Je sicherer jemand sein kann, aus einer riskanten Situation befreit zu werden, desto grösser dürfte seine Bereitschaft sein, das Risiko einzugehen. 2017 schrieb die europäische Küstenwache Frontex, Rettungsaktionen von NGOs trügen dazu bei, dass Schlepperbanden «ihr Ziel mit minimalem Aufwand erreichen», was das «Business-Modell» der Kriminellen stärke.

      Zwei englische Studien aus dem Jahr 2017 kamen indessen zum Schluss, dass es keinen Zusammenhang zwischen der Präsenz von Rettungsschiffen vor der libyschen Küste und der Zahl der Überfahrten gebe. Beide Untersuchungen beruhten jedoch auf geringem Datenmaterial.

      Das Wetter spielt eine Rolle, Rettungsschiffe nicht

      Eine neue Studie gelangt nun zum selben Ergebnis: Der Pull-Faktor ist, um einen Modeausdruck zu verwenden, Fake News. Die italienischen Migrationsforscher Eugenio Cusumano und Matteo Villa haben für das in Fiesole beheimatete Europäische Hochschulinstitut sämtliche verfügbaren internationalen und italienischen Daten zwischen Oktober 2014 und Oktober 2019 auf einen Pull-Effekt untersucht, mit negativem Resultat.

      Laut der italienischen Zeitung «Repubblica» gab es bisher keine so umfassende und systematische Auswertung. Besonders genau untersuchten die Forscher den Zeitraum vom 1. Januar bis zum 27. Oktober 2019. Sie überprüften Tag für Tag, ob private Rettungsschiffe vor den libyschen Küsten unterwegs waren und wie viele Flüchtlingsboote jeweils die Überfahrt versuchten. Auch hier wieder: Keine Korrelation zwischen NGO-Schiffen und angestrebten Überfahrten. Kein Pull-Faktor. Stark sei hingegen die Korrelation mit dem Wetter.

      Obwohl die Autoren weitere Untersuchungen anmahnen, fordern sie, die Seenotretter nicht mehr zu behindern.

      Die Denkschablone vom «Gutmenschen»

      Das dürfte sich als Illusion erweisen, passt doch die Pull-Faktor-These in eine der beliebtesten rechten Denkschablonen: jene vom «Gutmenschentum». Gutmenschen sind demnach Moralisten, die in ihrer Naivität das Gute wollen, nämlich, im Falle der Seenotretter, Menschen vor dem Ertrinken zu bewahren. Die aber das Schlechte bewirken, weil ihretwegen die Zahl der Toten steige. Das Argument lässt sich scheinbar auf das Wertesystem der Kritisierten ein, um sie genau dadurch an ihrer empfindlichsten Stelle zu treffen. Es verkehrt das angeblich Gute in sein Gegenteil, und je intensiver die Gutmenschen nach dieser Logik ihre Ziele verfolgen, desto verheerender das Resultat.

      Um die Anschuldigung zu verschärfen, braucht man bloss den Anteil des angeblich «Gutgemeinten» zu verringern und jenen der kriminellen Energie zu erhöhen. Diese verleite Seenotretter im Namen einer höheren Moral dazu, das Gesetz zu brechen, indem sie etwa widerrechtlich in einen Hafen einlaufen. Oder – eine weitere Verschärfung des Vorwurfs – indem sie direkt mit den Schlepperbanden zusammenarbeiten, womöglich sogar aus finanziellen Interessen.

      Keine Komplizenschaft mit Schleppern

      Trotz intensiver Ermittlungen ist es der italienischen Staatsanwaltschaft bisher nicht gelungen, Beweise für die angebliche Komplizenschaft zwischen NGOs und libyschen Schlepperbanden zu finden. Und noch nie hat die italienische Justiz Seenotretter verurteilt. Stattdessen ist sie – etwa im Fall der Cap Anamur vor zehn Jahren oder diesen Sommer bei der deutschen Kapitänin Carola Rackete – zu Freisprüchen gelangt, aufgrund des internationalen Seerechts, der Genfer Flüchtlingskonventionen sowie verfassungsrechtlicher Bestimmungen. Oder sie hat die Verfahren eingestellt.

      Zwar gibt es noch laufende Prozesse. Schon jetzt aber lässt sich sagen, dass es verlogen ist, wenn NGO-Kritiker auf Recht und Gesetz pochen, um dann unter krasser Missachtung der Unschuldsvermutung und bisheriger Gerichtsurteile sowie aufgrund herbeifantasierter Pull-Effekte irgendwelche haltlosen Anschuldigungen in die Welt zu setzen.

      https://www.tagesanzeiger.ch/ausland/europa/das-maerchen-von-den-rettern-und-vom-pullfaktor/story/10027861

    • New Research Demonstrates that Search and Rescue is Not a Pull Factor

      New research published by the European University Institute suggests that Search and Rescue (SAR) activities in the Mediterranean, especially those carried out by NGOs, are not incentivizing departures of boats from Libyan shores.

      Combining data from UNHCR, IOM and the Italian Coast Guard, the report finds that there is no significant relationship between NGO’s SAR activity and the departures from the Libyan coast between 2014 and 2018. A closer analysis on presence of NGO ships in the first ten months of 2019, where NGOs remained the only actor conducting SAR, similarly concludes that there is no evidence to suggest that departures increased when NGO ships were at sea during the period considered. Instead, the research finds that the agreement between Italy and the Libyan militias from July 2017, weather conditions and violent conflict in Libya in April 2019 had an impact on departures from Libya.

      The research contributes to the critical analysis of the ‘pull factor’ argument used by European governments as a justification to curb SAR efforts. As defined by the authors, the pull factor hypothesis holds that, all else equal, the higher the likelihood that migrants will be rescued at sea and disembarked in Europe, the higher will be the number of attempted crossings.

      The authors call on the need for more data and further research on this issue. They recommend reconsidering government policies disincentivising SAR operations and restoring EU-led missions combining SAR and border enforcement, like Mare Nostrum. They call for effective, lawful and ethically defensible migration governance across the Central Mediterranean.

      https://www.ecre.org/new-research-demonstrates-that-search-and-rescue-is-not-a-pull-factor

    • Lunedì scorso abbiamo pubblicato un paper (https://cadmus.eui.eu/bitstream/handle/1814/65024/PB_2019_22_MPC.pdf?sequence=5&isAllowed=y) che dimostra che la presenza delle navi Ong non spinge i migranti a partire di più dalla Libia.

      Poi sono arrivate tre Ong, e sono partiti in centinaia.

      «Pull factor»? No.

      Un thread.

      Una cosa vera: negli ultimi giorni dalla Libia sono partiti in tanti, tantissimi.

      Era dal 2 novembre che non si registrava alcuna partenza dalle coste libiche.

      Poi, tra il 19 e il 23 novembre, sono partite quasi 1.200 persone.

      Come vi ho già raccontato, la ripresa delle partenze era nuovamente collegata a un miglioramento delle condizioni atmosferiche.

      Però la presenza delle Ong permette di mettere alla prova il nostro modello.

      Cosa che ho fatto.

      Cosa ho scoperto?

      Primo: le condizioni atmosferiche restano fondamentali.

      Come potete vedere dalle curve qui sotto, conta più il vento della temperatura.

      Messe insieme, le due variabili sono ancora più forti: con tanto vento e temperature in discesa, non parte nessuno.

      Secondo: le Ong continuano a non essere «pull factor».

      L’effetto della presenza in mare delle Ong resta non significativo.

      Inoltre, il risultato non si discosta per nulla dai risultati ottenuti con i dati del nostro paper, che si fermavano a fine ottobre.

      Terzo: ma quindi con il governo Conte II riprendono le partenze?

      Pare di no.

      A parità di altri fattori, meteo incluso, le partenze dalla Libia dopo il cambio di governo sono (a oggi) statisticamente indistinguibili dal periodo del Conte I.

      CONCLUSIONE.

      Quando qualcuno vi mostra una piccola fetta di realtà (alte partenze di migranti con Ong in mare), sta oscurando tutto ciò che succede quando non guardate.

      Per questo i dati e i modelli sono così importanti: rimettono in riga il nostro sguardo strabico.

      https://twitter.com/emmevilla/status/1198935231857909760

    • Policy Brief (EUI) | Les secours en mer des ONG constituent-ils un facteur attractif pour les migrations irrégulières ?

      L’argument selon lequel les ONG qui pratiquent les sauvetages en mer Méditerranée constitueraient un facteur attractif pour les migrations irrégulières fait partie depuis 2015 d’une rhétorique communément admise. Elle a servi à délégitimer les missions de secours en mer au large de la Libye qui soi-disant encourageraient les passeurs à organiser des départs. Pour cet article, les auteurs ont étudié les flux migratoires entre la Libye et l’Italie entre 2014 et octobre 2019. Aucun lien de cause a effet n’a pu être identifié entre les départs de la côte libyenne et la présence de navires de sauvetage des ONG. Bien que d’autres recherches doivent être encore menées, cette étude remet en question le fait que la présence de bateau de sauvetage puisse constituer un facteur attractif.

      La recherche menée par Eugenio Cusumano (Migration Policy Center, EUI) et Matteo Villa (Instituto per gli Studi di Politica Internazionale, ISPI) intitulée ” Sea Rescue NGOs : a Pull Factor of Irregular Migration” a été publiée en anglais en novembre 2019. Elle est entièrement disponible sur le site de l’institut European University Institute (EUI) ou en cliquant sur l’image ci-dessus.

      Le journal Libération du 18 novembre 2019 lui a consacré un article ” ONG en Méditerannée : les secours en mer ne créent pas d’”appel d’air”” rédigé par Kim Hulot-Guiot.

      Nous proposons ci-dessous un bref résumé des principales conclusions des deux chercheurs :

      En 2013, en réponse aux nombreuses disparitions lors des traversées de la mer Méditerranée, l’Union européenne avait mis en place l’opération Mare Nostrum habilitant ainsi des garde-côtes à sauver des personnes migrantes dans la zone internationale au large des côtes libyennes. Une année plus tard cette opération fut suspendue par crainte que cela ait contribué à augmenter le nombre de tentatives de traversée de la Méditerranée centrale. Les missions suivante Triton, Themis ou Eunafovor n’ont presque plus effectué de sauvetage en mer. Ce manque a été comblé par des navires d’ONG qui ont assisté plus de 115’000 migrants entre 2014 et octobre 2019.

      Ce tableau issu de l’article montre l’évolution du nombre enregistré de personnes disparues en Méditerranée (centrale, est et ouest) entre 2014-2019 :

      En 2017, l’Italie a développé une nouvelle approche de cette question. Elle a conclu un accord avec les garde-côtes libyens pour qu’ils réduisent le nombre de départ depuis leurs côtes. De plus, l’Italie a progressivement fermé ses ports aux navires de sauvetage des ONG et entrepris la confiscation progressive de navires qui auraient enfreint ses interdictions. Ce procédé a eu comme conséquence de faire diminuer le nombre de navire de sauvetage d’ONG en mer Méditerranée. Le nouveau gouvernement italien n’a pas infléchi les règles et la rencontre européenne de Valletta en septembre 2019 suggérait encore entre les lignes que la présence des navires de sauvetage des ONG pourrait être responsable des départs continus de personnes migrantes depuis la Libye.

      En réalité, peu de recherches empiriques détaillent ce lien. Cette étude est une volonté d’y pallier. Elle utilise des indices statistiques qui permettent de mettre en corrélation les départs non-contrôlés des côtes libyennes et les activités de sauvetage au large de ces côtes par les ONG. Elle conclue à un manque de lien significatif entre ces deux facteurs :

      En 2015, le nombre total de départ depuis la Libye a légèrement baissé en comparaison à 2014 bien que les nombre de personnes sauvées par des ONG ait augmenté de 0.8 à 13% du nombre total de personnes sauvées dans cette zone ; après juillet 2017, le nombre de migrants quittant la Libye a diminué même si les ONG sont devenues les plus importantes actrices des sauvetages en mer. Cela suggère que l’accord passé entre les milices libyennes et l’Italie conclut en juillet 2017 a un impact beaucoup plus grand pour réduire les départs que les activités menées par les bateaux des ONG.

      Vu le manque de données disponibles, de telles recherches devraient continuer d’être entreprises. Néanmoins les premiers résultats significatifs servent à éclairer le débat politique. En ce sens, les auteurs suggèrent des recommandations :

      Le fait que la présence des ONG constitue un facteur attractif pour le départ des migrants à partir des côtes libyennes pour se rendre en Italie est ici infirmé. Par conséquent, les restrictions législatives portées aux opérations de sauvetage en mer par ces ONG a conduit à une augmentation des morts lors de ces traversées sans réduire significativement les départs. Ces décisions devraient donc être reconsidérées.
      Le retrait de cette zone des forces armées européennes en secours aux migrants a été décidé sur des présupposés hasardeux. S’il est clair que les ONG ne constituent par un attrait aux départs irréguliers des côtes libyennes, les navires militaires européens ne le constitueraient pas non plus, mais pourraient bien au contraire sauver des vies et détecter des arrivées non détectées. Il serait donc important de redéployer ces forces en Méditerranée.
      Les mesures visant à empêcher les migrations dans les pays de transit ou de départ ont un impact beaucoup plus grand sur les processus migratoires que la présence des navires de sauvetages en mer des ONG. Néanmoins, ce processus d’externalisation de la gestion des migrations est très problématique vu les conditions de vie et détention dont souffrent les personnes migrantes en Libye. Il faudrait donc réussir à combattre le trafique d’être humains sur la terre tout en réduisant les facteurs attractifs d’immigration et en améliorant les conditions de vie et les possibilités de protection en Libye.

      https://asile.ch/2019/11/25/policy-brief-eui-les-secours-en-mer-des-ong-constituent-ils-un-facteur-attract

    • Ammiraglio #Giuseppe_De_Giorgi:

      “Il dato più interessante, sottolinea De Giorgi, è che con la chiusura di Mare Nostrum gli sbarchi non sono affatto diminuiti, anzi sono aumentati. E di molto. Basta un dato a smontare le accuse mosse dai teorici dell’equazione ‘più soccorsi uguale più sbarchi’. Nel novembre del 2013, in piena Mare Nostrum, erano arrivati in Italia 1883 migranti. Nel novembre dell’anno successivo, cioè subito dopo la conclusione dell’operazione, sono stati registrati 9134 arrivi, con un aumento netto del 485 per cento.
      ‘Di questi,’ continua l’ammiraglio, ‘3810 migranti sono stati soccorsi dalla Marina e sottoposti a controllo sanitario prima dello sbarco. I restanti 5324 sono arrivati direttamente sul territorio nazionale senza controllo sanitario. Di questi ultimi, infatti, 1534 sono stati intercettati e soccorsi dalla Capitaneria di porto e 2273 da mercantili commerciali non attrezzati per quel tipo di attività, ma obbligati dal diritto del mare a intervenire.’
      Insomma, gli sbarchi continuano, ma in maniera più caotica e disordinata. La frontiera è di nuovo arretrata: da acquatica è tornata a essere terrestre e a coincidere con le coste italiane.”

      (Alessandro Leogrande, La frontiera, 2017 : pp. 186-187)

  • Pourquoi les infractions d’« outrage et rébellion » sont-elles critiquées ? - Libération
    https://www.liberation.fr/checknews/2019/06/16/pourquoi-les-infractions-d-outrage-et-rebellion-dont-est-accuse-le-journa

    Dissimuler les violences policières

    La critique du délit d’outrage ne s’appuie pas que sur ces considérations financières. « Toute la difficulté de ces infractions c’est que ceux qui établissent les PV sont aussi victimes », pose Sophie Legrand, du syndicat de la magistrature. Un argument qu’on retrouve déjà dans une tribune de 2008 dans Libé, rédigée par le Collectif pour une dépénalisation du délit d’outrage (Codedo).

    Aussi, il est reproché aux forces de l’ordre de mobiliser les infractions de rébellion et d’outrages pour camoufler des violences et des erreurs policières. « Très souvent, les violences policières sont dissimulées derrière des outrages et rébellions. Si une personne blessée porte plainte alors qu’il n’y a pas de preuves, les policiers se retournent contre elle en parlant d’outrages et de rébellions. La victime des violences devient accusée. Dans un tribunal, c’est la parole des policiers contre la parole d’un jeune, qui ne fait pas beaucoup le poids. », déclarait l’actuel directeur de l’Ecole des hautes études en sciences sociales, Didier Fassin, à Franceinfo au début de l’affaire Théo en 2017.

    Sur le même mode, l’Acat (Action des chrétiens pour l’abolition de la torture) écrivait dans un rapport en mars 2016 sur « l’usage de la force par les représentants de la loi » que « le risque d’être ainsi poursuivi constitue un obstacle dans le recours à la justice à double titre : d’une part il dissuade un grand nombre de personnes de porter plainte, d’autre part il participe à décrédibiliser le plaignant et à déconsidérer sa plainte. Dans ce type d’affaires, les plaintes pour outrage et rébellion participent de facto à une stratégie de défense contre les accusations de violences policières et aggravent le climat d’impunité. »

    #maintien_de_l'ordre #police