• COP10 antitabac : la Commission européenne impose en express ses positions antivapes aux États – Vapolitique
    https://vapolitique.com/2023/09/28/cop10-antitabac-la-commission-europeenne-impose-en-express-ses-position

    La Commission européenne va tenter de faire adopter par la Convention-cadre antitabac (CCLAT) de l’OMS des mesures qu’elle veut imposer aux populations de l’Union européenne. Ceci permettrait de court-circuiter les parlements, Européen et nationaux, en invoquant le caractère contraignant de la Convention. Pour cela, la Commission européenne a préparé une position pour sa délégation à la COP10 qui réunit les 181 pays signataires de la Convention-cadre pour la lutte antitabac (CCLAT) de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) du 20 au 25 novembre au Panama. Celle-ci consiste, selon les révélations du 19 septembre du média allemand Table, en un refus de reconnaitre la réduction des risques, l’interdiction de publicité et des menaces, imprécises dans le média allemand, sur la vente en ligne de vapotage, et (...)

    #vape #tabagisme #rdr #oms #santépublique

    • Ce sont les tabatiers qui ont écrit ce texte, ou bien ?

      Entre la vape et la clope, y a vraiment pas photo. Et pour avoir observé le processus in vivo sur mon serial stoppeur de clopes, je ne peux que renouveler mon admiration pour l’efficacité du bousin.

      Monsieur Monolecte a voulu passer à la vape pour limiter les nuisances de la clope, pas pour arrêter. En gros, pouvoir fumer à l’intérieur sans puer et empuantir, ne pas incommoder les autres, ne pas subir les effets de la combustion. Donc, il a commencé par des mélanges à la nicotine.

      Très très vite, le besoin de clopes normales a disparu, reste la nicotine et le geste.
      Mais là aussi, alors qu’on a déjà une amélioration aussi physique que rapide (retour de l’odorat et diminution des toux et des essoufflements), il ressent le besoin de diminuer la dose de nicotine des mélanges.

      Il a baissé tranquillement le niveau en nicotine, sans se forcer ou ressentir de manque du tout. Au contraire, au fil des mois, le dosage a continué de baisser.

      Au bout d’une grosse année, il a arrêté la nicotine sans stress ni effort.

      Là, ça fait plusieurs années, toujours pas de rechute et même la vape nature a réduit avec le temps. C’est genre, 2 - 3 bouffées en début de soirée. Parfois une paire en journée si stress.

      Sachant que depuis plus de 35 ans qu’on se connait, il a tenter d’arrêter le tabac peut-être une vingtaine de fois, avec plein de méthodes, toujours en mode sevrage chiant, difficile pour tout le monde et donc 100% d’échec… jusqu’à la vape.

      Meilleure santé, meilleur environnement, 0 chianterie et großes économies dès le tout début de la conversion.

      Alors, la campagne comme quoi la vapote, c’est comme la clope, je rigole très fort.

  • Les hôpitaux tuent des patients par refus de la prévention | Julia Doubleday - Cabrioles - #AutodéfenseSanitaire face au Covid-19
    https://cabrioles.substack.com/p/les-hopitaux-tuent-des-patients-par

    En tant que médecin, si vous affirmez que vous devriez pouvoir exposer les patient·es au COVID parce que le contrôle des infections vous ennuie, vous ne devriez pas être médecin.

    Julia Doubelday est co-animatrice de l’émission The Committee Program ! Chronique de l’agence de communication politique la plus mystérieuse du monde, et rédactrice de The Gauntlet, une newsletter sur les informations et analyses à propos du #COVID.

    Les personnes qui sont « revenues à la normale » (en ignorant l’existence du COVID-19) justifient souvent leur décision en soulignant que leur propre état de santé n’est « pas à haut risque ». Cette affirmation implique implicitement l’existence d’un groupe de personnes à haut risque qui devraient encore prendre des précautions contre le COVID. Est également implicite l’abandon des soins collectifs et de la santé publique, puisque les adeptes du « retour à la normale » font peser la charge des précautions COVID sur les seules personnes handicapées, immunodéprimées et vulnérables.

    La plupart du temps, les groupes à haut risque assument seuls ce fardeau. Ils ne sont plus en sécurité dans les lieux publics et nombre d’entre eux limitent leur temps dans les espaces critiques tels que les supermarchés et les pharmacies ; ils renoncent à se rendre à des concerts ou à d’autres activités « inessentielles ». Des millions de patient·es atteint·es de COVID Long en particulier, qui ne savent que trop bien ce qu’une seule infection par le COVID peut faire, doivent consacrer un temps, une énergie et des moyens financiers démesurés simplement pour continuer à exister dans une société qui s’acharne à les infecter à nouveau, encore et encore. Mais vous pourriez supposer que les lieux de soins - spécifiquement conçus pour accueillir les malades et les blessé·es - sont toujours des espaces sûrs pour les groupes vulnérables.

    Détrompez-vous ! Alors que le COVID continue d’évoluer avec de nouveaux variants et de nouvelles vagues, les hôpitaux suppriment même les mesures insuffisantes de contrôle des infections qu’ils avaient mises en place au début de la pandémie. On vient pour une opération du cœur, on repart avec un virus qui endommage le cœur. Quel business model !

    #médecins #hôpitaux #prévention #RDR

    • Soyons clair : grâce à la vaccination, les formes graves sont relativement plus rares, mais le Covid long, ses séquelles à moyen ou long terme, touchent un nombre grandissant de Français au fil des réinfections. Qui d’entre nous ne connaît pas, dans son entourage, au moins une personne dont la santé s’est dégradée après un Covid, et qui ne remonte pas la pente ? Or, même si la question du Covid long est d’autant plus négligée que sa prise en compte réelle nécessiterait de remettre en place des mesures de prévention basiques (tester, tracer, isoler, même a minima…), des études mettent en avant parmi les facteurs de risque… l’absence de repos à la phase aiguë.

      Dès 2021, des chercheurs britanniques étudiant les caractéristiques et l’impact du #Covid_long sur 2 550 patients expliquaient : « Le fait de ne pas se reposer suffisamment au cours des deux premières semaines de maladie, ainsi que d’autres facteurs tel qu’un revenu inférieur, un âge plus jeune et le fait d’être une femme, étaient associés à des symptômes longs de Covid plus graves. » Comme le note Megan Fitzgerald : « Je ne pense pas que ce soit une coïncidence, en particulier aux Etats-Unis, si les femmes en âge de procréer ont été les plus durement touchées par le Covid long. Nous travaillons à l’extérieur de la maison et nous effectuons également énormément de travail non rémunéré à la maison. »

      Trop occupés à glisser #Sars-Cov 2 sous le tapis et à pourchasser les généralistes mettant en péril les comptes de la nation en arrêtant les malades, les politiques qui avaient brillamment accompagné et couvert la destruction du stock de masques avant 2020 en traquant des dépenses injustifiées sont en train de récidiver, en mettant en danger la vie de ceux et celles qui ne sont rien, au nom de la bonne marche de l’#économie. L’histoire dira, trop tard, si c’était, une fois de plus, « une funeste connerie ».

      https://seenthis.net/messages/1016651

      #isolement #arrêt_maladie #repos #RDR #covid

  • Così la fine del #reddito_di_cittadinanza colpisce le donne vittime di violenza

    Secondo l’Istat il 38% delle donne inserite in un percorso di uscita dalla violenza ha subìto anche violenza economica e il 60% non ha autonomia finanziaria. Molte di loro per ricominciare avevano fatto ricorso al Rdc: adesso non ne usufruiranno più. I percorsi protetti sono rischio ed è possibile che tornino dal partner maltrattante

    Quando ha lasciato il marito che la picchiava, Alessia aveva sei figli da mantenere. Lavorava ma ha scelto di licenziarsi per mettersi in sicurezza. Arrivare a fine mese era difficile, soprattutto in una città costosa come Roma. Così è finita in una casa rifugio per donne vittime di violenza. Ha fatto domanda per ricevere il reddito di cittadinanza, che dopo qualche mese le è stato riconosciuto: insieme agli assegni familiari, arrivava a prendere circa 1.600 euro al mese. Con i soldi messi da parte, Alessia (il nome è di fantasia, come gli altri di questo articolo) si è poi trasferita con i figli in un piccolo paese nel Sud Italia: ha trovato un nuovo lavoro, e questo le ha permesso di ricominciare.

    Dal primo gennaio 2024 il reddito di cittadinanza verrà definitivamente sospeso, e questo rischia di compromettere i percorsi di uscita dalla violenza di molte donne. “Grazie al reddito di cittadinanza molte donne hanno lasciato il maltrattante e hanno trovato il coraggio di iniziare una nuova vita”, spiega Federica Scrollini, operatrice del centro antiviolenza BeFree di Roma. “Quel sostegno economico è stato volàno per la ricerca di una nuova autonomia che comprende casa, lavoro, cura di stesse e dei figli. Senza questa base di partenza, molti percorsi di fuoriuscita dalla violenza non vedranno la luce. D’altronde, con un mercato del lavoro in asfissia, i servizi sociali ridotti dall’osso e l’ennesima crisi economica alle porte, dove possiamo andare senza soldi?”.

    Secondo l’Istat il 38% delle donne inserite in un percorso di uscita dalla violenza ha subìto anche violenza economica. Il 60% non ha autonomia finanziaria, quota che sale al 69% se si considera la fascia tra i 18 e i 29 anni. Alcune di loro per ricominciare hanno fatto ricorso al reddito di cittadinanza, che da gennaio 2024 sarà sostituito dall’assegno di inclusione, concesso a tutte le famiglie con un minore, una persona con disabilità o con più di 60 anni, oppure con componenti svantaggiati inseriti in programmi di cura e assistenza certificati dalla pubblica amministrazione. L’importo è fino a 6mila euro l’anno, 500 al mese, più un contributo affitto di 3.360 euro l’anno, 280 al mese: il totale è di un massimo di 780 euro al mese, l’equivalente del reddito di cittadinanza. La misura prevede alcune agevolazioni per le donne vittime di violenza: nel conteggio dell’Isee, le donne potranno costituire nucleo familiare indipendente da quello del marito, e non avranno l’obbligo di partecipare percorsi di inclusione lavorativa, né di accettare le proposte di lavoro eventualmente offerte. “Il problema è che l’assegno esclude di fatto le donne che non hanno figli a carico, anche se si trovano in una situazione di difficoltà economica”, denuncia l’organizzazione ActionAid.

    Per le donne che non hanno figli, dal primo settembre c’è la possibilità di richiedere il supporto per la formazione e lavoro, pensato per le famiglie con una persona in grado di lavorare (i cosiddetti “occupabili”). Questo sussidio però è molto più ridotto -350 euro al mese- ed è vincolato alla partecipazione a progetti di formazione e di accompagnamento al lavoro individuati dal governo. Il limite massimo di Isee per ottenerlo, inoltre, è stato abbassato a 6mila euro, molto meno rispetto ai 9.360 euro del reddito di cittadinanza: gli “occupabili” che si trovano nella fascia intermedia restano senza aiuti. ActionAid ha lanciato quindi una petizione per chiedere al governo di garantire reddito, lavoro e autonomia abitativa affinché le donne non ricadano nella violenza.

    “Nei nostri servizi ci sono diverse donne che ancora ricevono il reddito di cittadinanza”, afferma Simona Lanzoni, vicepresidente della fondazione Pangea e coordinatrice della rete nazionale antiviolenza Reama, che ha aperto lo sportello Mia Economia sulla violenza economica. “Da gennaio rischiano di perdere quella sicurezza economica: ancora non sappiamo che cosa succederà. Comunque il reddito di cittadinanza non era una misura risolutiva: è utile in una fase iniziale, ma poi oltre quello che cosa c’è? In Italia mancano i sostegni al lavoro”.

    Lo sa bene Mara, brasiliana, arrivata in Italia da giovane. Per molti anni è stata vittima di violenza in ambito familiare, e ha anche subìto un abuso sessuale. Poi c’è stata la denuncia alla polizia: quando è arrivata in casa rifugio, aveva quasi cinquant’anni e non aveva niente in mano. Sono state le operatrici ad aiutarla a fare domanda per il reddito di cittadinanza: percepiva circa 700 euro al mese, e così si è sentita pronta a intraprendere un tirocinio, che da solo non le avrebbe garantito un guadagno sufficiente a sopravvivere. Dalla casa rifugio è passata alla casa di semi-autonomia: il tirocinio si è trasformato in un’assunzione, anche se a tempo determinato. Il contratto però le viene rinnovato di mese in mese, e il compenso non è sufficiente a pagare un affitto. Così Mara sta pensando di tornare in Brasile.

    Un altro strumento pensato per aiutare le donne che escono da una situazione di violenza e si trovano in condizione di povertà è il reddito di libertà: istituito nel 2020, consiste in un contributo economico di 400 euro al mese per un massimo di dodici mesi. Per il periodo tra il 2020 e il 2022 la misura è stata finanziata con 12 milioni di euro, a cui si aggiungono 1,8 milioni per il 2023: in tutto ne hanno potuto beneficiare meno di 3mila donne, un numero molto ridotto se si considera che secondo l’Istat ogni anno sarebbero circa 21mila le persone che avrebbero i requisiti per accedervi. In più non sono state adottate linee guida nazionali per valutare lo stato di bisogno delle richiedenti e oggi vige il principio del “chi prima arriva meglio alloggia”: le donne possono fare domanda e risultare idonee, ma una volta finiti i fondi non otterranno comunque il contributo.

    “Abbiamo molte donne che aspettano di ricevere il reddito di libertà”, spiega Mariangela Zanni, presidente del Centro Veneto Progetti Donna e consigliera dell’associazione nazionale Donne in rete contro la violenza(D.i.Re), che in Italia raccoglie più di cento centri antiviolenza e più di 50 case rifugio. “Si tratta di una misura importante, ma i finanziamenti sono pochi e le liste di attesa sono lunghe”.

    La violenza economica continua così ad essere uno dei principali strumenti di controllo sulla donna da parte del maltrattante. “La privazione del salario, l’impedimento di lavorare, l’obbligo a prendersi cura da sole dei figli, impedisce a molte donne che subiscono violenza di avere un’autonomia economica”, conclude Anita Lombardi, operatrice dello sportello di orientamento al lavoro del centro antiviolenza Casa delle donne di Bologna. “Per questo tutti gli strumenti che danno un sostegno economico, a partire dal reddito di cittadinanza fino al reddito di libertà, sono importanti affinché venga assicurato a queste donne il diritto a progettare la propria vita in libertà e autonomia”.

    https://altreconomia.it/cosi-la-fine-del-reddito-di-cittadinanza-colpisce-le-donne-vittime-di-v

    #revenu_de_Base #rdb #revenu_universel #Italie #femmes #violence_domestique #VSS #violences_sexuelles #violence_économique #autonomie_financière #autonomie #reddito_di_libertà

  • Depuis le début de l’ère capitaliste on a toujours été en guerre, mais on a tendance à l’oublier pendant les périodes de cessez-le-feu.

    Caitlin Johnstone - I Was 19
    https://caitlinjohnstone.com/2023/07/05/i-was-19

    Les souvenirs de jeunesse en temps de paix et prospérité de la future journaliste indépendante australienne.

    I was 19 the first time I was raped.

    Backpacking through Europe, drugged, woke up being sodomised over a toilet bowl in some Italian hotel bathroom.

    Blood everywhere.

    Memories were fuzzy through whatever it was he slipped me, but I recall fumbling with the doorknob trying to get out, unable to understand why it wasn’t opening, then looking down and seeing that he had his foot up against the bottom of the door.

    Earlier that day I’d felt like I was flying. Here I was, traveling in Europe just like a grownup, making it work somehow even in a country where I didn’t speak the language.
    ...

    CaitlinJohnstone.Com Is Now At CaitlinJohnstone.Com.Au
    https://caitlinjohnstone.com.au/2023/07/24/caitlinjohnstone-com-is-now-at-caitlinjohnstone-com-au

    Konrad Wolf - Ich war neunzehn
    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Ich_war_neunzehn

    Il y a des moments qui nous font croire qu’on puisse établir une paix durable.

    Les souvenirs de jeunesse en temps de guerre et famine du futur réalisateur et président de l’académie des beaux arts de la #RDA .

    Film von Konrad Wolf (1968) - Am 16. April 1945 ziehen der Deutsche Gregor Hecker als Soldat der Roten Armee mit seiner kleinen Truppe im Gefolge der 48. Armee von der Oder her kommend durch Brandenburg nach Westen. Gregor Heckers Eltern sind deutsche Kommunisten, die noch vor dem Zweiten Weltkrieg in die Sowjetunion fliehen konnten.

    Als die Truppe nach Bernau kommt, das nach der Besetzung durch sowjetischen Panzerspitzen inzwischen wieder geräumt worden ist, wird Hecker kurzerhand zum Kommandanten der Stadt ernannt. Mit einer Handvoll Leuten versucht er, eine Kommandantur einzurichten. Sie kommen mehrfach mit Zivilisten in Kontakt, darunter ein heimatloses Mädchen, das um schützende Unterkunft bittet.
    ...

    Moi, à dix neuf ans j’étais heureux et décidé à passer ma vie à me battre contre les responsables des crimes de guerre et dans notre quotidien faussement considéré comme paisible. On voulait stopper leur guerre contre la terre et l’humanité.
    Quelle illusion.

    Heureusement il y a Bert Brecht.

    Die Bitten der Kinder
    https://www.berlin.de/projekte-mh/netzwerke/spaetlese/themen/politik-wirtschaft-und-soziales/artikel.471296.php

    „Die Häuser sollen nicht brennen.
    Bomber sollt man nicht kennen.
    Die Nacht soll für den Schlaf sein.
    Leben soll keine Straf sein.
    Die Mütter sollen nicht weinen.
    Keiner sollt töten einen.
    Alle sollen was bauen.
    Da kann man allen trauen.
    Die Jungen sollen`s erreichen.
    Die Alten desgleichen.“

    1951

    Uraufführung vor 75 Jahren „Der gute Mensch von Sezuan“
    https://www.deutschlandfunk.de/brecht-urauffuehrung-vor-75-jahren-der-gute-mensch-von-100.html

    Käthe Reichel spielte die Rolle 1957 in der berühmten Inszenierung von Benno Besson am Berliner Ensemble. In einem Interview vor der Premiere wurde sie nach der Botschaft des Stückes gefragt:

    „Na, die ist einfach: dass es unter gewissen Umständen, solche Umstände, wie sie im Stück gezeigt werden, in einer durch und durch korrupten kapitalistischen Welt, nicht möglich ist, gut zu sein.“

    Der Krieg, der kommen wird
    https://lyricstranslate.com/de/bertolt-brecht-der-krieg-der-kommen-wird-lyrics.html

    Liedtext
    Der Krieg, der kommen wird
    Ist nicht der erste. Vor ihm
    Waren andere Kriege.
    Als der letzte vorüber war
    Gab es Sieger und Besiegte.
    Bei den Besiegten das niedere Volk
    Hungerte. Bei den Siegern
    Hungerte das niedere Volk auch.

    Morgendliche Rede an den Baum Griehn
    http://www.planetlyrik.de/bertolt-brecht-gedichte-fuer-staedtebewohner/2018/11

    1
    Griehn, ich muß Sie um Entschuldigung bitten.
    Ich konnte heute nacht nicht einschlafen, weil der
    Sturm so laut war.
    Als ich hinaus sah, bemerkte ich, daß Sie schwankten
    Wie ein besoffener Affe. Ich äußerte das.

    2.
    Heute glänzt die gelbe Sonne in Ihren nackten Ästen.
    Sie schütteln immer noch einige Zähren ab, Griehn.
    Aber Sie wissen jetzt, was Sie wert sind.
    Sie haben den bittersten Kampf Ihres Lebens gekämpft.
    Es interessierten sich Geier für Sie.
    Und ich weiß jetzt: einzig durch Ihre unerbittliche
    Nachgiebigkeit stehen Sie heute morgen noch gerade.

    3
    Angesichts Ihres Erfolgs meine ich heute:
    Es war wohl keine Kleinigkeit, so hoch heraufzukommen
    Zwischen den Mietskasernen, so hoch herauf, Griehn, daß
    Der Sturm so zu Ihnen kann wie heute nacht.

    #Brecht #guerre

  • Italie. Le gouvernement Meloni à l’épreuve de pressions socio-politiques contradictoires – A l’encontre
    http://alencontre.org/europe/italie/italie-le-gouvernement-meloni-a-lepreuve-de-pressions-socio-politiques-c

    Comme on le sait, à la fin du mois de juillet, 169 000 familles italiennes ont reçu sur leur téléphone portable un message laconique mais inquiétant de l’Institut national de la sécurité sociale (INPS). Il disait à peu près ceci : « Le #revenu de citoyenneté est suspendu, comme le prévoit le Décret travail (Decreto Lavoro), dans l’attente d’une éventuelle intervention des services sociaux municipaux. » Ces 169 000 familles ne constituent qu’une partie des quelque 436 000 (pour un total d’environ 615 000 personnes) que le Décret travail adopté par le gouvernement Giorgia Meloni le 1er mai voulait priver du Revenu de citoyenneté (RdC), l’allocation située entre 500 et 700 euros mensuels créée par le gouvernement Giuseppe Conte 1 [membre du Mouvement 5 étoiles-M5S] en 2019 pour pallier la pauvreté croissante répandue dans le pays et surtout dans le Sud.

    Un message, celui de l’INPS, qui est d’ailleurs erroné. En effet, aucune des presque 8000 communes italiennes n’avait été prévenue qu’elle devrait faire face à la perte soudaine de revenus de dizaines de milliers de familles en plein été. De plus, les « services sociaux municipaux » ne sont pas du tout dotés de fonds adéquats pour faire face à une urgence sociale aussi importante et imprévue.

    [...]

    L’objectif est donc de contraindre de plus en plus de personnes à accepter un #emploi, quels que soient le #salaire et les modalités d’emploi. C’est ce que demande une grande partie du patronat afin de maintenir les « coûts » de production à un niveau bas et augmenter ainsi les profits.

    Ainsi, cette droite gouvernementale a décidé de faire la #guerre_aux_pauvres en cherchant également à recruter les secteurs les moins conscients de la classe ouvrière dans la configuration cette bataille ignoble.

    Mais il y a aussi un objectif politique : celui de dissiper l’important capital d’adhésion qui a permis au M5S d’occuper, lors des dernières élections, la première place dans toutes les régions du Sud.

    Malgré la parenthèse estivale, les réactions de rue contre la réduction du Revenu de citoyenneté s’organisent. Bien entendu, dans les mobilisations qui se développent surtout dans le Sud (la majorité de ceux qui seront privés du #RdC résident dans les régions méridionales), les initiateurs intègrent aussi dans leur propagande la dénonciation de toute la politique économique du gouvernement Meloni, l’augmentation des dépenses militaires, les amnisties fiscales en faveur des fraudeurs, la réintroduction (en juillet 2023) des rentes viagères [après leur suppression en 2018] pour les parlementaires [quelque 851 sénateurs et sénatrices, dont la rente est de 5522 euros net]…

    Une première mobilisation est prévue le 28 août à Naples, Palerme, Catane et Cosenza, et des initiatives concomitantes sont également prévues dans d’autres villes. L’initiative a été prise par le « Réseau des comités pour la défense et l’extension du Revenu » (Rete dei comitati per la difesa e l’estensione del Reddito), qui rassemble d’importants secteurs populaires d’anciens bénéficiaires du RdC, et organisée par le biais d’un certain nombre de réseaux sociaux et soutenu par des collectifs de #chômeurs et des organisations de gauche.

    #Decreto_Lavoro

  • Des Mask Blocs se forment partout | Austin Fisher
    https://cabrioles.substack.com/p/des-mask-blocs-se-forment-partout


    Des membres d’un #Mask_Bloc manifestent pour garder les masques dans les lieux de soin à Los Angeles. Sur la banderoles et les pancartes on peut lire “Les masques dans les hopitaux sauvent des vies”, “Maintenez les masques dans les lieux de soins”, “Donnez des soins, pas le Covid”.

    MaskBlocABQ est un groupe anticapitaliste qui cherche à sensibiliser les gens à la pandémie en cours, alors que le gouvernement, les entreprises et les médias complices déclarent qu’elle est terminée. Pour résister à l’érosion de l’empathie, nous devons inviter les gens à participer à des actes de soin, de défense et de secour mutuel. Nous devons normaliser les actes d’entraide au milieu de la crise quotidienne du capitalisme et intégrer ces mécanismes dans notre travail d’organisation. Mais il s’agit également d’une question de sécurité sur le lieu de travail et d’une question de droit du travail.

    Austin Fisher est un journaliste basé à Santa Fe. Il a travaillé pour des journaux au Nouveau-Mexique et dans son État natal du Kansas, notamment le Topeka Capital-Journal, le Garden City Telegram, le Rio Grande SUN et le Santa Fe Reporter. Depuis qu’il a commencé une carrière à temps plein dans le journalisme en 2015, il vise à utiliser le journalisme pour faire entendre des voix qui ne sont généralement pas entendues dans les débats publics sur les inégalités économiques, le maintien de l’ordre et le racisme environnemental.

    · Nous aimerions dédier cette publication aux formidables camarades du Mask Bloc Paris qui s’organisent pour distribuer gratuitement des masques de qualité (FFP2) devant des établissements de santé et lors d’évènements militants (comme la Pride des Banlieues), et exiger le retour de ce geste collectif de protection mutuelle qu’est le port du masque dans les lieux de soin ·

    #covid #masques #RDR #solidarité

  • COVID-19 pandemic is not over | The Kingston Whig Standard
    https://www.thewhig.com/opinion/covid-19-pandemic-is-not-over

    Is it acceptable for governments and public health officials to ignore the urgent need for pandemic mitigation measures as the virus spreads unchecked? How can individuals assess their personal risks when the powers that be no longer provide: PCR testing, regular COVID-19 case counts or science-based public health guidance?

    Not the ‘summer flu’

    COVID-19 is a serious disease caused by SARS-CoV-2, an airborne virus.

    Earlier this year, the Heart and Stroke Foundation of Canada warned that the vascular system, which is “the foundation” of heart and brain health, is “under threat from COVID.” According to a May 3 statement posted on the charity’s website, blood, oxygen and nutrients are delivered throughout the body by the vascular system.
    Article content

    “Inflammation, injury or other problems can cause the vascular system to either get clogged up or become leaky — yes, just like pipes,” the Heart and Stroke statement reads. “In atherosclerosis, the endothelium gets sticky and builds up plaque. That can lead to a clot causing a heart attack or a stroke.”

    “Because of the vascular connection with COVID-19, people with existing heart disease, a previous stroke or those with risk factors such as high blood pressure should consider themselves high risk for complications,” the Heart and Stroke Foundation warns. “It remains important to get vaccinated, avoid risky situations and wear a mask in crowded situations.”

  • Le retour du Covid, qui aurait pu le prédire ? – Libération
    https://www.liberation.fr/societe/sante/le-retour-du-covid-qui-aurait-pu-le-predire-20230810_MOMXD3XM7BHPFP2VDIPQ
    https://www.liberation.fr/resizer/dUcxhvCvk6n9z9canpFDLWz7pk0=/1024x0/filters:format(jpg):quality(70)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/liberation/HR7M4EHLNRBAXOYDP7AGP4IM6M.jpg

    Qui aurait pu prédire ? Mon premier signal d’alerte, c’était en fin de semaine dernière dans cette grande pharmacie de Bayonne où, de manière très inhabituelle, toutes les préparatrices portaient un masque. C’est en déchiffrant la une du journal régional Sud-Ouest sur un présentoir que j’ai compris que la chenille avait redémarré : « Je n’en reviens pas, ça explose ! » Le Covid refait surface après les fêtes de Bayonne 2023. Et dans les jours qui ont suivi, j’en ai eu la confirmation, quand les amis qui avaient fait les fêtes six jours auparavant et avaient traîné leur rhume, leur toux et leur mal de gorge d’apéro en soirée familiale se sont fait tester en entendant dans le poste que c’était reparti.

    • « Il est très intéressant de noter que si l’on tweete que la pandémie est derrière nous, quand bien même on assortit son message d’un rappel à la vigilance en signalant l’incertitude sur l’avenir, on se reçoit une bordée de messages furieux, frisant parfois l’injure », tweetait le 30 juillet le professeur Antoine Flahault, professeur de santé publique à l’université de Genève.

      et en même temps, twitter sous X, qui sans soucis :-)

      Interrogé sur la reprise du Covid à Bayonne, [Kierzek] bottait en touche sur les rhinovirus : « Covid ou pas Covid, finalement, ça ne change pas grand-chose. » [la grippette is back]

      Alors que les infections répétées de Covid peuvent entraîner jusqu’à 10 % de séquelles invalidantes à type de Covid long, ce genre de cascade, me suis-je dit, est réservé aux professionnels de plateaux télé.

    • « Cette recrudescence n’est pas très inquiétante, abonde Brigitte Autran, présidente du Comité de veille et d’anticipation des risques sanitaires (Covars) citée par nos confrères du Monde. On s’attendait à une reprise, même si sa survenue en plein été peut surprendre. »

      Interrogé ce vendredi, le ministre de la Santé, Aurélien Rousseau, reconnaît une circulation « faible », mais insiste : « Il nous faut rester vigilants, car la situation évolue rapidement. Nous devrons, encore pendant plusieurs saisons, vivre avec les résurgences de ce virus. »

      Côté prévention, pas de changement : les autorités sanitaires s’appuient exclusivement sur la responsabilité individuelle [sans fournir d’information au public, bien entendu]. A savoir les gestes barrières, notamment le port du masque pour les personnes testées positives ou symptomatiques, en particulier pour protéger les personnes fragiles, âgées, immunodéprimées, ou atteintes de certaines maladies chroniques. En revanche l’isolement n’est plus obligatoire pour les personnes positives depuis le 1er février dernier. A moins d’une reprise épidémique plus soutenue, la campagne vaccinale pour les personnes fragiles débutera mi-octobre, combinée à celle de la grippe.

      https://seenthis.net/messages/1013236

    • les infections répétées de Covid peuvent entraîner jusqu’à 10 % de séquelles invalidantes à type de Covid long, ce genre de cascade, me suis-je dit, est réservé aux professionnels de plateaux télé.

      et en même temps, y’a pas moyen pour Lehmann de faire une sorte de « droit de réponse » #covid_long sur le même plateau télé et d’expliquer à nouveau à l’audience que le covid long c’est 10% des cas de contamination, une chance sur 10 à la roulette française, avec conséquences invalidantes variables, donc ce virus n’est pas du tout comparable à un rhino[virus] « grippette » estivale ?

  • Le Covid n’a pas disparu, mais l’empathie, le soin et la solidarité oui | Tithi Bhattacharya
    https://cabrioles.substack.com/p/le-covid-na-pas-disparu-mais-lempathie

    Les effets à long terme de cette culture de plus en plus répandue de la malveillance décontractée se feront sentir pendant longtemps, inhibant l’empathie, l’attention et la solidarité dans de nombreux domaines de la vie sociale.

    Tithi Bhattacharya est professeure d’histoire de l’Asie du Sud à à la Purdue University (USA). Elle est l’autrice de The Sentinels of Culture : Class, Education, and the Colonial Intellectual in Bengal (Oxford University Press, 2005) et l’éditrice de l’étude désormais classique, Social Reproduction Theory : Remapping Class, Recentering Oppression (Pluto Press, 2017). Elle a récemment co-écrit le populaire Féminisme pour les 99% : Un Manifeste (La Découverte, 2019) qui a été traduit dans plus de 30 langues. Elle écrit beaucoup sur la théorie marxiste, le genre et l’islamophobie. Ses travaux ont été publiés dans le Journal of Asian Studies, South Asia Research, Electronic Intifada, Jacobin, Salon.com, The Nation et la New Left Review. Elle est membre du comité de rédaction des revues Studies on Asia et Spectre. Plusieurs de ses articles ont été traduits en français par la revue Contretemps, dont deux sur la pandémie de Covid-19.

    Tout au long des années 2020-2021, j’ai écrit de nombreux articles sur le COVID pour tenter de souligner à la fois la gravité de la maladie et l’incapacité des gouvernements capitalistes à assurer la santé et la sécurité de leurs citoyen·nes, en particulier les plus vulnérables d’entre elleux, face à une pandémie mondiale. J’ai également publié une série intitulée « Dépêches depuis les premières lignes de soins », dans laquelle j’ai essayé de faire entendre la voix des travailleur·euses essentiel·les pendant la pandémie. Mais j’ai aussi une autre histoire à partager, différente à la fois en termes de registre et de nature. La différence entre tous les autres travaux que j’ai réalisés sur le COVID et ce que vous lirez ci-dessous est la même qu’entre une ordonnance et une plaie ouverte.

    Printemps 2021 : Au moins, j’ai...

    Je retourne au travail, à contrecœur, doublement masquée, doublement vaccinée. Ma demande de pouvoir enseigner en ligne de manière formelle a été refusée par mon université. Je dois maintenant utiliser des idées et des stratégies vagues, à demi formées, pour me protéger et protéger mon enfant. Je souffre d’asthme sévère et mon pneumologue m’a récemment dit que ma capacité pulmonaire n’était que de 40 %.

    Première humiliation : partager mes antécédents médicaux intimes avec une classe remplie d’étudiant·es de première année, pour la plupart âgé·es de 18 ans.

    #toctoc #empathie #attention #solidarité #covid #santé #travail #RDR #masques

  • ✨ Il y a 70 ans...

    Le 17 juin 1953 en RDA - Socialisme libertaire

    Le 17 juin 1965, c’était jour de vacances en Allemagne de l’Ouest ; comme chaque année depuis onze ans, on profite du soleil (quand il y en a) pour aller saucissonner à la campagne. A peine écoute-t-on au transistor les discours officiels tant il est bon de se promener sous les arbres, et le soir on rentre à la maison. Sur les routes de l’Ouest, on aura laissé beaucoup plus de morts dans les voitures calcinées qu’il n’y en eut en tout, au cours du soulèvement de l’Allemagne de l’Est, le 17 juin 1953, jour, que cette fête nationale est censée commémorer. Selon l’auteur de ce récent petit livre, ce chiffre est estimé à vingt et un morts connus pour les 16 et 17 juin 1953. 

    Arnulf Baring a voulu dissiper certaines légendes sur cet événement. En effet, en Allemagne de l’Ouest, les discours officiels proclament rituellement que le soulèvement fut une levée en masse de tout un peuple, avide de liberté, de démocratie et de réunification allemande. C’est faux, et les documents le montrent bien. Les cadres, les petits-bourgeois (commerçants, artisans) et les paysans restèrent à l’écart du mouvement (en tout cas à l’échelle de masse). Le soulèvement eut un caractère strictement ouvrier et limité à certaines villes et branches professionnelles. Selon les sources, on estime le nombre des participants à la grève du 17 juin 1953 à 5 % ou 7 % du total des salariés. Certes, il est possible que la proportion réelle fût supérieure ; mais en tout, cas, ce pourcentage exprime un ordre de grandeur très vraisemblable (...)

    #RDA #communismeautoritaire #dictature #stalinisme #révolte

    ⏩ Lire l’article complet…

    ▶️ https://www.socialisme-libertaire.fr/2019/02/le-17-juin-1953-en-rda.html

  • Transmission de la Covid19 : le rôle central des enfants et des écoles confirmé
    https://www.vidal.fr/actualites/30183-transmission-de-la-covid-19-le-role-central-des-enfants-et-des-ecoles-co

    Des données épidémiologiques obtenues en 2022 lors de la vague massive d’infections à Omicron en Nouvelle-Zélande révèlent que, en huit mois, les deux tiers des enfants et adolescents âgés de 5 à 19 ans ont été infectés, la plus forte incidence dans ce pays, suivie de près par celle observée chez les enseignants (40 % des personnes infectées).

    Ces chiffres ont été obtenus dans un contexte particulier, lors de l’ouverture du pays après deux années d’isolement. Ils sont à comparer avec celui que la plupart des pays, dont la France, ont connu en 2020 et 2021.

    Ceci confirme que, pour l’infection à SARS-CoV-2 à l’instar d’autres viroses respiratoires (grippe saisonnière, bronchiolite ou rougeole), les enfants et les établissements scolaires jouent un rôle central dans la transmission communautaire. Comme pour la grippe saisonnière, la logique voudrait que les autorités sanitaires recommandent désormais la vaccination de tous les enfants, dans une optique de protection de leur entourage vulnérable.

    (...) en huit mois, deux tiers de la population infantile et adolescente ont été infectés par Omicron !

    SARS-CoV-2, un virus respiratoire finalement assez classique

    [...]

    De plus, en 2022, une étude américaine [15] a montré que, dans un contexte où l’incidence du SARS-CoV-2 était supérieure dans les écoles à celle des communautés environnantes, le port du masque par les élèves était rapidement capable de renverser ce ratio, montrant ainsi le poids des infections infantiles dans la transmission.

    euh, alors ça ! on nous aurait menti !

    #covid-19 #enfants #écoles #vaccin #RdR

  • À Marseille, le projet de salle de shoot bute sur le refus de la mairie des 1/7 - #Marsactu
    https://marsactu.fr/a-marseille-le-projet-de-salle-de-shoot-bute-sur-le-refus-de-la-mairie-des-

    Annoncé pour 2023 par l’adjointe à la santé Michèle Rubirola, le projet de salle de consommation à moindre risque pour les usagers de drogue est toujours bloqué. Des lieux ont été identifiés dans le 1er arrondissement, mais la mairie de secteur refuse de rencontrer les porteurs de projet.

    Marseille en manque de salle de shoot
    Quand la ville ignore ses toxicomanes
    Une enquête sur scène présentée par Violette Artaud
    https://www.mediavivant.fr/marseille-en-manque-de-salle-de-shoot-quand-la-ville-ignore-ses-toxicoma
    En France, seules les villes de Paris et Strasbourg ont une #salle_de_shoot. Encore au stade expérimental.
    #toxicomanie #Marseille #drogue #RdR

  • RD Congo : Rejeter la proposition de loi discriminatoire sur la nationalité | Human Rights Watch

    Human Rights Watch appelle le Parlement de la République démocratique du Congo à rejeter une proposition de loi que les autorités pourraient utiliser pour exercer une discrimination contre certains citoyens congolais en raison de l’origine nationale de leurs parents. Cette loi empêcherait tout Congolais dont l’un des parents n’est pas d’origine congolaise d’accéder à la fonction présidentielle et aux postes à responsabilités au sein des institutions. L’examen de cette proposition de loi au cours d’une année électorale renforce les craintes que les autorités ne l’utilisent pour empêcher certaines personnes de se présenter aux élections

    #RD_Congo #Discrimination #Elections

  • Covid : des autorités déconnectées du réel ou perverses narcissiques ?
    https://www.liberation.fr/societe/sante/covid-des-autorites-deconnectees-du-reel-ou-perverses-narcissiques-202302

    Le terme « gaslighting » désigne une forme de manipulation perverse dans laquelle le manipulateur tend à faire croire à sa victime qu’elle a perdu la raison. C’est une technique fréquemment utilisée par les pervers narcissiques, un classique de la violence intraconjugale, qui doit sa désignation à un film noir de George Cukor daté de 1944, Gaslight, avec Ingrid Bergman et Charles Boyer. Dans les années 80, un mari cupide étend son emprise sur sa jeune épousée, héritière d’une fortune sur laquelle il compte bien mettre la main. Il l’isole de ses proches, la tient quasiment prisonnière dans sa grande maison londonienne de caractère gothique et, à la tombée de la nuit, baisse l’intensité des lampes à gaz de la maison pour lui faire croire qu’elle devient folle.

    En ce début d’année 2023, ce sont des centaines de milliers de personnes à risque, et ceux et celles qui se préoccupent un tant soit peu de santé publique, qui se trouvent aux prises avec une entreprise assumée de gaslighting.

    #covid-19 #santé_publique #RDR #masques #déni #gaslighting

    • (...) le gouvernement a décidé début 2023 que le virus n’existait plus, voire n’avait jamais existé. Les promesses d’un effort massif dans la qualité de l’air en lieu clos, les mécanismes de veille sanitaire permettant d’anticiper un éventuel rebond épidémique, les séquençages, la vaccination, tout a été abandonné, à l’encontre des recommandations de l’OMS s’alertant de la tendance générale à invisibiliser la pandémie. Alors même que la Chine a été sévèrement atteinte et que des millions de personnes continuent à être touchées chaque année par une maladie encore mal connue qui semble, d’après un faisceau d’études concordantes, en capacité d’attaquer durablement, au-delà de la phase initiale, l’organisme humain, avec des conséquences pulmonaires, neurologiques, cardiovasculaires et immunologiques. Comme l’avait préconisé en 2022 Gérald Kierzek, directeur général de #Doctissimo et expert de plateau télé : « Plus on le [Covid] cherche, plus on le trouve. » Et nous y sommes : plus de test, plus de masque, des courbes et des chiffres totalement déconnectés du réel, qui laissent penser que le risque est derrière nous. Jusqu’à Santé publique France qui dans ses campagnes de communication amalgame systématiquement bronchiolites, grippe, gastro-entérites et Covid, parmi « les maladies de l’hiver ». Le Covid… cette maladie qui a circulé tout au long de l’hiver 2022 et qui, selon les anciens, a duré de décembre 2021 à janvier 2023, avec cinq vagues « hivernales ».

      https://justpaste.it/7eabk

      https://seenthis.net/messages/991414

  • #RDC #enfants #esclavagisme #mines #capitalisme

    🛑 République démocratique du Congo : les petits forçats du cobalt... - Amnesty International France

    La République démocratique du Congo recèle la plus importante réserve mondiale en cobalt, un minerai crucial à la transition énergétique mondiale. Quelque 40 000 enfants travailleraient toujours dans les mines, dans des conditions particulièrement périlleuses, en particulier à Kolwezi. Un reportage réalisé pour La Chronique, le magazine des droits humains. Retrouvez l’intégralité du reportage photo qui accompagne cette enquête dans le magazine papier (...)

    ▶️ Lire le texte complet…

    ▶️ https://www.amnesty.fr/actualites/republique-democratique-du-congo-enfants-cobalt-face-cachee-de-nos-batterie

  • la pandémi eléfini de manière très officielle le masque est interdit de manière très officieuse qu’st ce qu’on peut faire maintenant ? attendre le prochain virus
    Ellen Queen Of The Bouse sur Twitter

    lapandémi eléfini de manière très officielle le masque est interdit de manière très officieuse qu’st ce qu’on peut faire maintenant ? attendre le prochain virus

    et encore, avec ce qu’ils ont fait, y’a des chances que ni le prochain ni celui d’après ne donnent lieu à quoi que ce soit de particulier. le problème c’est que les dirigeants ont appris.

    c’est un peu comme quand tu foires ta grève et que tu retournes au taf. ils analysent, ils apprennent, il tirent un pattern, ils le reproduisent. là ils ont appris comment rendre les populations insensibles aux morts et aux invalides en pandémie.

    ils ont appris à quels stimuli la population répond le plus fort. ils ont joué sur beaucoup de choses et noté celles qui fonctionnent. depuis ils ne font que des rappels. même plus besoin de se fatiguer. des millions de bénévoles se chargent de la communication. hands clean.

    ils ont volontairement nourri le complotisme comme ils avaient naguère nourri les casseurs de grève. efficace. ça permet de fausser le jeu. c’est comme quand papa crie que maman est folle. après ça, tout ce qui ressemble à quelque chose que maman aurait pu dire ou faire est fou.

    ça verrouille le pattern. tu savais bien que quelque chose était vrai dans le bordel. mais puisque ce sont les mêmes qui ont fini par vriller complètement et devenir de braves bénévoles du pouvoir à leur insu, tu ne peux pas t’approprier quoi que ce soit qui leur ressemble.

    tu ne peux pas dire que les gouvernements font exprès. qu’ils se foutent totalement que leur population crève parce que de toute manière ils en ont trop et dans leur logiciel de pensée trop de population oui ça existe. si tu le dis tu passes de l’autre côté. tu es baisé.

    ce qui est le plus génial (ya des génies pas bien intentionnés) dans l’affaire c’est que comme tu ne peux plus rien faire pour critiquer le pouvoir NI rien faire pour t’opposer à ses ordres implicites auxquels ses bénévoles stupides te contraignent, tu es devenu le problème.

    tu ne peux plus rien. ni dire ni faire. tu es totalement annihilé. tu ne peux pas dire qu’ils interdisent le masque mais tu ne peux pas le porter non plus. tu ne peux pas dire qu’ils empêchent la vaccination mais tu ne peux pas y accéder non plus. tu deviens le problème.

    tu deviens une personne sans masque qui ne se battra pas pour un5eme rappel si déjà tu as accédé au 4e. tu deviens un parent qui scolarise un enfant malade de 4 ans sans aucune forme de protection. tu deviens ta propre victime personne ne t’a jamais physiquement contraint.

    tout comme personne n’a physiquement contraint à la reprise du travail les grévistes mais ils le font toujours. de plus en plus tôt. chaque événement a donné lieu à un apprentissage. chaque méthode de gestion est devenue une science développée pour s’adapter à d’autres usines.

    chaque gestion de crise fait l’objet d’une étude approfondie, de dizaines de réunions, de prospectives diverses pour préparer les suivantes, et chaque défaite t’en garanti 100 autres derrière elle, alors oui, tu as perdu , tout simplement, ton droit à la santé.

    ce ne sont pas des batailles que tu perds à chaque fois, ce sont des droits de l’Homme.

    #Stratégie_du_choc

  • #DavosStandard pour tous ! (voir le # sur cuicui)

    @Pr_Logos
    https://twitter.com/Pr_Logos/status/1615847361506426884

    A Davos, les maîtres de la planète ont mis en œuvre une politique de prévention :
    – PCR pour entrer avec un bracelet d’accès lié au résultat
    – purificateurs à #filtre_HEPA partout + purificateurs #UV-C (le truc bleu)
    #ventilation ajustable
    #masques FFP2

    Le déni de transmission aéroportée, l’absence d’investissement dans la qualité de l’air, le déni de persistance pandémique.

    C’est pour vous. Pas pour les Maîtres.

    @KashPrime
    https://twitter.com/KashPrime/status/1615745744673148929

    The world’s elite at the Davos forum are enjoying every possible protection from #Covid, including #PCR testing, air filtration, UVGI light.
    Why isn’t this being offered to everyone else?
    Every school, every workplace should have the same protections as the rich and powerful.

    ça a accès aux vaccins, aux anticorps monoclonaux, aux meilleurs soins possibles dans les délais les plus brefs, mais ... il y a le #covid_long ...

    #RDR

    • À Davos, des précautions sanitaires drastiques pour protéger les milliardaires du COVID | Bruce Y. Lee
      https://cabrioles.substack.com/p/a-davos-des-precautions-sanitaires

      Alors que les élites prennent toutes les précautions possibles contre le COVID lorsqu’elles se rencontrent au Forum économique mondial, elles rentrent chez elles et nous disent que le COVID n’est plus une menace, et que la pandémie est terminée. Donc, si vous vous demandez ce qu’il faut faire au sujet du Covid-19, peut-être devriez-vous regarder de plus près ce que les dirigeant·es politiques et économiques font réellement plutôt qu’écouter ce qu’iels disent.

      Bruce Y. Lee est écrivain, journaliste et professeur en politique et gestion de la santé à la Graduate School of Public Health de la City University of New York (CUNY), où il est directeur exécutif du Center for Advanced Technology and Communication in Health (CATCH).

      // Note de #Cabrioles : Une fois n’est pas coutume nous vous proposons une traduction d’un article de nos camarades de la presse financière sur la manière dont celleux qui président à l’infection de masse se protègent du COVID. Presse financière qui, comme nous l’avions rapporté, assure un suivi sérieux des connaissances scientifiques et des impacts médicaux du COVID, à l’inverse de l’ensemble des médias de gauche. //

      #presse_financière #media #gauche

  • Zum Tod von Fritz Wengler : „Ick vasteh dit janze Ding nich, Alexander“
    https://www.berliner-zeitung.de/mensch-metropole/zum-tod-von-fritz-wengler-ick-vasteh-dit-janze-ding-nich-alexander-

    Ce texte fait froid dans le dos. On sent la fin qui approche et on comprend comment une génération entière de socialistes a ruiné la société qu’ils avaient construit. A mon avis c’est le meilleur texte sur la fin de la #RDA.

    10.1.2023 von Alexander Osang - Alexander Osang erinnert sich an seinen Chef bei der Berliner Zeitung, der ihm 1989 ein Versprechen gab, das er nicht halten konnte. Wengler ist vor wenigen Tagen gestorben.

    Die Pappeln stehen wie eine grüne Wand um den grauen Neubauturm auf der Fischerinsel, wo Fritz Wengler wohnt, der mir vor 20 Jahren ein Versprechen gab, das er nicht halten konnte. Wengler lebt seit 40 Jahren in einer Wohnung im zweiten Stock, die langsam zugewachsen ist wie ein Dornröschenschloss. Ich habe ihn angerufen und gefragt, ob er mit mir reden will.

    Worüber, hat er gefragt.

    Ich will herausfinden, wer ich war, hab ich gesagt.

    Ach so, sagte er, und ich habe mir vorgestellt, wie er dort, am anderen Ende der Leitung, lächelte. Über den naiven Ansatz.

    Vor 20 Jahren war Fritz Wengler erster stellvertretender Chefredakteur der Berliner Zeitung, und weil der Chefredakteur Probleme mit dem Herzen hatte, regierte Wengler die Zeitung durch den Revolutionsherbst. Ich war damals Mitte zwanzig und Jugendredakteur. Wir hatten nie viel miteinander zu tun, aber in der Nacht zum 7. Oktober 1989 kreuzten sich unsere Leben.

    Ich sollte über den Fackelzug der FDJ berichten, der am Vorabend des 40. Jahrestags der DDR durch die Innenstadt zog. Die Republik ging gerade unter, der Fackelzug war die Bordkapelle auf der „Titanic“. Ich rannte hinein, fragte die Leute, was sie hier machten, und schrieb einen Text, der mit vielen Fragen begann. Sind Fackelzüge noch zeitgemäß?, war die erste. Ich schrieb keine Antwort hinter die Fragen, denn mein Mut reichte nicht für ein Nein. Mir zitterten schon so die Hände. Ich zitierte Leute aus dem Zug. Ein Mädchen sagte, dass es traurig sei, weil seine Freundin in den Westen ging. Es habe sehr wohl geweint, sagte es, nachdem Honecker ein paar Tage vorher den Flüchtlingen hatte hinterherrufen lassen: Wir weinen euch keine Träne nach. Gorbatschow kam bei mir vor, Daniel Ortega auch, aber nicht Honecker.

    Ich gab den Text nach unten in die vierte Etage, wo die Chefredaktion saß. Irgendwann klingelte mein Telefon und Fritz Wengler bestellte mich ein. Er saß am Schreibtisch des Großraums und starrte auf das Manuskript.

    Vor ein paar Monaten hatte er mir einen Text über eine unzufriedene Mädchenbrigade aus dem Kosmetikkombinat noch mit den Worten zurückgegeben: „Ick vasteh dit janze Ding nich, Alexander.“ Er hatte mich angesehen, eine Pause gemacht und gesagt: „Aber ick bin mir sicher, du kriegst dit hin.“ Ich war zurückgefahren zu der Mädchenbrigade und hatte sie nach den Dingen gefragt, mit denen sie zufrieden waren, bei ihrer Arbeit, in ihrem Land. Sie hatten mir all die positiven Dinge zusammengekratzt, die ihnen einfielen. Die hatte ich in den Text geschrieben, den auch Fritz Wengler verstand.

    Er war nie laut, kein Schreihals wie andere, er versteckte seine Macht hinter einem Berliner Arbeiterakzent und einem Gesicht, das aussah, als hätte Loriot es gezeichnet. Aber er war hart. Wir kämpften um meinen kleinen, hasenmutigen Text wie die Löwen. Am Ende standen Honecker drin, der FDJ-Chef Eberhard Aurich und ein konstruktiver Schlusssatz, aber es gab auch noch das Mädchen, das seine Freundin beweinte, und die Fragen am Anfang.

    Kurz vor Mitternacht kam der Andruck mit dem Text aus der Setzerei. Der Großraum war fast leer. Fritz Wengler und ich lasen ihn noch mal durch. „Versprich mir, dass es wenigstens so bleibt, Fritz“, sagte ich, und er gab mir die Hand. Als ich am nächsten Tag die Zeitung aufschlug, stand hinter meinen Fragen, auf die ich keine Antwort hatte, ein Ja.

    Braucht die Jugend unserer Zeit Fahnenwälder und Hochrufe, um ihre Empfindungen auszudrücken?

    Ja.

    Ich hatte das Gefühl, als öffnete sich der Boden unter mir. Ein Kollege sagte mir, er würde verstehen, wenn ich kündigte, aber es wäre irgendwie schade, jetzt, da wir auch bald Glasnost bekämen. Wengler war nicht da und ließ mir später ausrichten, er habe kalte Füße bekommen.

    Wir blieben beide bei der Zeitung. Ich machte Karriere, Wengler nicht. Er blieb stellvertretender Chefredakteur, aber man gab ihm keine Aufgaben mehr. Wengler kümmerte sich um den journalistischen Nachwuchs und um das Jagdwesen, weil einer seiner Freunde Jäger war. Am Ende sah ich ihn mit einem kleinen Leiterwagen über die Flure ziehen und Büromaterial verteilen. 1993 bot ihm der Herausgeber Erich Böhme eine Abfindung an. Er nahm sie und ging in den Ruhestand. Ich habe nie mit ihm über die Oktobernacht geredet, über sein gebrochenes Versprechen.

    Es riecht nach Müllschlucker im zweiten Stock des Hochhauses. Fritz Wengler ist 75 Jahre alt, hat sich aber kaum verändert, ein klares, freundliches Gesicht mit unergründlichen dunklen Augen. Er führt mich in ein kleines, schattiges Zimmer, es gibt zwei Bücherregale und einen runden Tisch. Auf dem Tisch stehen eine Thermoskanne und zwei Tassen. Seine Frau stellt sich kurz vor, dann zieht sie sich zurück. Fritz Wengler schließt die Tür. Nur wir beide. Ein Gespräch unter Männern.

    „So“, sagt er, und ich erzähle ihm, dass ich über den Fackelzugtext reden will.

    „Ick weeß“, sagt Fritz.

    „Woher weißt du denn das?“

    „Worüber denn sonst. Ein einziges Ja, mit dem ick allet umjedreht habe. In so ’ner Situation war ick auch noch nicht. Hab ick oft dran jedacht in den letzten Jahren“, sagt er. „Zucker?“

    Er sagt, dass er sich an den Tag minutiös erinnern kann. Er erzählt von den Anleitungen, in die er als Chefredakteur gehen musste. Anleitungen bei Joachim Herrmann, Agitationssekretär im Politbüro und früher Wenglers Chefredakteur bei der Jungen Welt. Er taucht ein in die Kapillaren des Anleitungssystems. Sie kannten sich ja alle, sagt er. Es gab Anordnungen, die er nicht verstand, aber sie kamen nie aus dem Dunklen. Sie kamen von Leuten, die er seit Jahren kannte, Vertrauten sozusagen.

    „Theoretisch begründet wurde es mit dem demokratischen Zentralismus, weeste ja allet“, sagt er.

    Ich nicke.

    „Marx war als Chefredakteur ein Diktator“, sagt Wengler und lächelt leicht. Marx. Er hat jetzt festen Boden unter den Füßen.

    „Die Anordnung für die Feier zum Republikgeburtstag war: Wir lassen uns nicht in die Suppe spucken. Wir haben allen Grund, stolz uff uns zu sein. Und der Fackelzug ist dit Kernstück. Wir wussten ja, dass draußen allet in heller Uffregung war. Aber die Jugend der DDR sollte der Welt zeigen, wat wir geleistet haben, daran hat mich Achim Herrmann am Telefon immer wieder erinnert. Ick weeß nich, wie oft der mich an dem Abend anjerufen hat. Ununterbrochen, wirklich. Jeht doch allet klar mit dem Fackelzug, Fritz? Immer ditselbe. Ausm Palast muss der anjerufen haben. Und dann krieg ick dein Ding uff’n Tisch. Und ick wusste: So jeht es nicht.“

    Er macht eine Pause, trinkt einen Schluck Kaffee, dann sagt er: „Aus drei Gründen“, und ich merke, wie er wächst, während ich langsam zum Jugendredakteur schrumpfe. Es waren immer drei Gründe, aus denen irgendetwas nicht ging.

    „Also erst mal die Fragen. Dann die Gorbi-Rufe und Honecker, der nich vorkam, und schließlich die Mieke, die heult, weil ihre Freundin abjehaun war“, sagt er. „Dit Mädel wollte ick drinbehalten, ick hab wirklich mit mir gerungen. Aber am Ende war ick mir nicht sicher. Deswegen hab ich das Ja reingeschrieben. Ick musste den Kopp hinhalten.“

    „Aber du hast es mir doch versprochen?“

    „Es ging nicht um eine Meinungsäußerung von Osang. Es ging um die Haltung der Redaktion. Und ick bin mit einem schlechten Gewissen ins Bett gegangen in der Nacht, dit kannste mir glooben.“

    „Mir gegenüber?“

    „Meiner Partei gegenüber. Meinem Land“, sagt er und sieht mich ungerührt an. Ich bin ein Zahnrad, ein Teilchen einer Maschine. Mir fallen all die Momente ein, in denen ich ermahnt wurde, meine persönlichen Interessen mit den gesellschaftlichen in Übereinstimmung zu bringen. Es ging immer gleich um alles. Ein Versprechen zwischen zwei Männern ist unter diesen Bedingungen nicht viel wert.

    In seinen Bücherregalen stehen historische Abhandlungen über die Habsburger, die Hohenzollern, die Hunnen und die Kelten, neben den Erinnerungen von Frank Schöbel, Eberhard Esche und Inge Keller. Mein Individualismus muss ihm lächerlich vorkommen, selbstbezogen und weinerlich. Er sagt, dass er sich hinter niemandem verstecken will. Wenn man Papst werden will, muss man katholisch sein. Wo gehobelt wird, fallen Späne.

    „Hast du wirklich nicht einen Moment an mich gedacht, als du das Ja hingeschrieben hast?“, frage ich.

    „Ach, komm. Es ist mir nicht egal gewesen, dass ich hier einem jungen Journalisten seinen Artikel versaue und möglicherweise auch seinen Ruf, aber ich hatte da eine Aufgabe zu lösen“, sagt Fritz Wengler. „Ich hatte einen Auftrag meiner Partei. Und ick hab mich damit identifiziert. Ick war überzeugt, dass wir das Land halten können, wenn wir stark bleiben. Durch Konsens erreichste gar nischt.“

    Er erzählt, wie er als FDJ-Schüler am 17. Juni 1953 vorm Haus der Ministerien Stellung in der Leipziger Straße bezog, um die Aufständischen abzuwehren. Er redet von Krawallmachern und Truppenteilen und kitzlijen Situationen. Aber letztlich bekamen sie alles unter Kontrolle, und er konnte zurückgehen an die FDJ-Schule, wurde Jugendbrigadier im Kabelwerk Oberspree, wo er ein mitreißendes Brigadetagebuch schrieb, das ihn zur Bitterfelder Konferenz brachte und schließlich zur Jungen Welt.

    „Da hab ick so wat jemacht, wie du später bei der Berliner Zeitung. Rausfahren, uffschreiben, wieder rausfahren. Ick war schneller als die andren und hatte immer einen besonderen Blick“, sagt er. Er erzählt, wie er mit seinen Texten aneckte, wie er ständig die Möglichkeiten auslotete, um die Wirklichkeit einzufangen. Er holt mich ins Boot, denke ich. Vielleicht will er sagen, dass der 7. Oktober 1989 für mich so etwas hätte werden können wie für ihn der 17. Juni 1953. Eine Erfahrung, die mich härter, weiser, einsichtiger und vielleicht irgendwann zu einem ersten stellvertretenden Chefredakteur gemacht hätte, der einmal die Woche in die Agitationskommission des Zentralkomitees ging, wo er Anleitungen bekam, die er nicht immer verstand, aber dennoch umsetzte, weil sie nicht aus dem Dunkeln kamen, sondern von Menschen, die er kannte, Vertrauten sozusagen. Ein weiterer Stellvertreter einer Macht, die es gar nicht gab ohne ihn. Später bringt Wenglers Frau eine Schale mit Kartoffelchips, und wir knabbern ein bisschen wie alte Bekannte, Vertraute sozusagen.

    „Jetzt ham wa vier Stunden über dit eine Ja jeredet“, sagt Wengler.

    Ich erzähle ihm, dass der Fackelzugartikel mir immer mal wieder um die Ohren fliegt. Wenn irgendjemand eine Rechnung mit mir offen hat, kopiert er ihn und schickt ihn durch die Gegend, um zu zeigen, was für ein Mensch ich war, damals.

    „Dit willste nun aus der Welt räumen“, sagt Fritz Wengler und lächelt mich mitleidig an.

    Er sagt, dass er alles über die Französische Revolution gelesen hat, was es auf dem deutschen Büchermarkt gibt. Die Jakobiner haben 50 Jahre gebraucht, bis ihnen die Geschichtsschreiber einigermaßen Gerechtigkeit haben widerfahren lassen, sagt Fritz Wengler. 50 Jahre. Papier ist geduldig. Fritz, mein Chefredakteur, sitzt einfach da, liest in seinen historischen Büchern und wartet, dass ihm Recht geschieht. Er hat einst ein Versprechen gegeben, das größer war als das, das er mir in besagter Oktobernacht gab. Er hat das eine gehalten, indem er das andere brach. So sieht er das, und damit bin ich im Boot. Sein Ja steht in meinem Text für die Ewigkeit. Auch wenn die lebendige Erinnerung längst verloschen ist, hängen Fritz Wengler und ich immer noch zusammen in diesem Text in dieser Zeitung fest. Bestimmte Dinge sind nicht richtigzustellen.

    Dies ist eine gekürzte Fassung des Textes „Das Versprechen“, erschienen im Buch „Das letzte Einhorn“, Ch. Links Verlag Berlin, 2022

    #histoire #DDR #socialisme #SED #presse #journalisme

    • A mon avis c’est le meilleur texte sur la fin de la RDA.

      Effectivement, merci @klaus

      une traduction en français ici, un peu améliorable par endroits, mais surtout qui ne rend pas le dialecte berlinois (je suppose…)

      “Je ne comprends pas cette chose, Alexandre” – .
      https://fr.trenddetail.com/aujourd/288761.html

      Si vous voulez être pape, vous devez être catholique.

    • Ou c’est une traduction automatique et la machine n’a rien compris à l’histoire ou la personne devant l’écran n’a pas fait son travail. La qualité est suffisante pour comprendre la trame du récit mais l’âme du texte s’est perdu en route.

    • Tous les problèmes évoqués dans ce texte étaient connus depuis les années 1970. Malheureusement la génération qui était née en RDA n’était pas en mesure y changer quelque chose. C’est les vieux qui bloquaient tout parce qu’ils pensaient que le moindre espace d’ouverture allait se transformer en terrain d’attaque pour l’ennemi de classe. En fin de compte ils ont eu raison parce que l’absence de développement politique et les mensonges omniprésentes sur l’état de la société ont rendu la RDA tellement vulnérable qu’il suffisait d’un leger vent de liberté pour permettre aux capitalistes de prendre le contrôle de toutes les institutions. Nous en connaissons le résultat.