Des idées de logiciels de #reconnaissance_vocale ?
Quelque chose de pratique pour une personne pas geek. (Genre entretien physique, prise de son avec téléphone)
Je croyais avoir vu une discussion ici.
Ça parlait de #Whisper y’a un an mais ça me semble pas si simple.
(▻https://seenthis.net/messages/990592 )
Merci la commu :)
]]>OpenAI révolutionne encore un domaine, celui de la reconnaissance vocale avec Whisper
– bruité
– très rapide
– traduction à la volée
Demos : ▻https://openai.com/blog/whisper
Un article sur le sujet
▻https://www.futura-sciences.com/tech/actualites/intelligence-artificielle-whisper-chatgpt-reconnaissance-vocale-103
Spotify : émoi autour d’un brevet de reconnaissance vocale
▻https://www.nextinpact.com/lebrief/46681/spotify-emoi-autour-dun-brevet-reconnaissance-vocale
En 2018, Spotify a déposé une demande de brevet autour de la reconnaissance vocale. Sa technologie permettrait de deviner l’état émotionnel des utilisateurs, ainsi que leur « genre, leur âge et leur accent ».
Pourquoi ? Pour proposer des recommandations plus personnalisées et donc plus à même de répondre aux exigences du public. Mais serait-on alors réduit à une série de caractéristiques qui détermineraient nos goûts musicaux ? Pas d’après Spotify.
« Il devrait être compris que les précédents exemples de catégories de métadonnées d’émotions, genre, âge et accent ne sont bien que des exemples, et que de nombreux autres descriptions et classements peuvent être utilisés », indiquait l’éditeur dans le brevet.
Les informations obtenues sont alors brassées avec celles, classiques, déjà obtenues par le service, en particulier les titres déjà écoutés, les artistes suivis, les listes composées et ainsi de suite. Le brevet a été obtenu le 12 janvier.
L’association américaine Access Now y voit un immense danger. Dans un billet publié le 2 avril, elle exprime ses craintes de manipulation des émotions, de discrimination de genre, de violation de la vie privée et de sécurité des données.
« Il n’y a absolument aucune raison pour que Spotify ne serait-ce que tente de discerner comment nous nous sentons, combien de personnes il y a dans la pièce avec nous, notre genre, notre âge ou n’importe quelle autre caractéristique que le brevet prétend détecter. Les millions de personnes qui utilisent Spotify méritent le respect et la vie privée, pas de la manipulation et de la surveillance secrètes », a déclaré Isedua Oribhabor, analyste pour Access Now.
Le brevet était passé relativement sous silence, mais la position d’Access Now et la reprise récente de leur déclaration par The Tor Project sur Twitter ont braqué plusieurs projecteurs, même si la presse ne s’est pas encore emparée du sujet.
Spotify n’a pour l’instant pas réagi. On notera que la technologie est brevetée, mais non implémentée dans les applications. Qu’il s’agisse d’Android ou d’iOS, la reconnaissance vocale ne pourrait de toute façon pas se faire sans autorisation d’accès au micro, qui peut être refusée par l’utilisateur, ou acceptée puis coupée dans les paramètres.
L’éditeur avait publié le 15 décembre un billet expliquant la manière globale dont il brassait les informations pour constituer les profils, s’étendant notamment sur le caractère très sensible des informations réunies sur la personnalité. Cette technologie n’y était pas abordée, mais l’entreprise a affirmé que la vie privée était une priorité. Elle aura prochainement l’occasion de le prouver.
]]>La #Technopolice, moteur de la « #sécurité_globale »
L’article 24 de la #loi_Sécurité_Globale ne doit pas devenir l’arbre qui cache la forêt d’une politique de fond, au cœur de ce texte, visant à faire passer la #surveillance et le #contrôle_de_la_population par la police à une nouvelle ère technologique.
Quelques jours avant le vote de la loi Sécurité Globale à l’Assemblée Nationale, le ministère de l’Intérieur présentait son #Livre_blanc. Ce long #rapport de #prospective révèle la #feuille_de_route du ministère de l’Intérieur pour les années à venir. Comme l’explique Gérard Darmanin devant les députés, la proposition de loi Sécurité Globale n’est que le début de la transposition du Livre dans la législation. Car cette loi, au-delà de l’interdiction de diffusion d’#images de la police (#article_24), vise surtout à renforcer considérablement les pouvoirs de surveillance des #forces_de_l’ordre, notamment à travers la légalisation des #drones (article 22), la diffusion en direct des #caméras_piétons au centre d’opération (article 21), les nouvelles prérogatives de la #police_municipale (article 20), la #vidéosurveillance dans les hall d’immeubles (article 20bis). Cette loi sera la première pierre d’un vaste chantier qui s’étalera sur plusieurs années.
Toujours plus de pouvoirs pour la police
Le Livre blanc du ministère de l’Intérieur envisage d’accroître, à tous les niveaux, les pouvoirs des différentes #forces_de_sécurité (la #Police_nationale, la police municipale, la #gendarmerie et les agents de #sécurité_privée) : ce qu’ils appellent, dans la novlangue officielle, le « #continuum_de_la_sécurité_intérieure ». Souhaitant « renforcer la police et la rendre plus efficace », le livre blanc se concentre sur quatre angles principaux :
- Il ambitionne de (re)créer une #confiance de la population en ses forces de sécurité, notamment par une #communication_renforcée, pour « contribuer à [leur] légitimité », par un embrigadement de la jeunesse – le #Service_National_Universel, ou encore par la création de « #journées_de_cohésion_nationale » (page 61). Dans la loi Sécurité Globale, cette volonté s’est déjà illustrée par la possibilité pour les policiers de participer à la « #guerre_de_l’image » en publiant les vidéos prises à l’aide de leurs #caméras_portatives (article 21).
- Il prévoit d’augmenter les compétences des #maires en terme de sécurité, notamment par un élargissement des compétences de la police municipale : un accès simplifié aux #fichiers_de_police, de nouvelles compétences en terme de lutte contre les #incivilités … (page 135). Cette partie-là est déjà en partie présente dans la loi Sécurité Globale (article 20).
- Il pousse à une #professionnalisation de la sécurité privée qui deviendrait ainsi les petites mains de la police, en vu notamment des #Jeux_olympiques Paris 2024, où le besoin en sécurité privée s’annonce colossal. Et cela passe par l’augmentation de ses #compétences : extension de leur #armement, possibilité d’intervention sur la #voie_publique, pouvoir de visionner les caméras, et même le port d’un #uniforme_spécifique (page 145).
- Enfin, le dernier grand axe de ce livre concerne l’intégration de #nouvelles_technologies dans l’arsenal policier. Le titre de cette partie est évocateur, il s’agit de « porter le Ministère de l’Intérieur à la #frontière_technologique » (la notion de #frontière évoque la conquête de l’Ouest aux États-Unis, où il fallait coloniser les terres et les premières nations — la reprise de ce vocable relève d’une esthétique coloniale et viriliste).
Ce livre prévoit une multitude de projets plus délirants et effrayants les uns que les autres. Il propose une #analyse_automatisée des #réseaux_sociaux (page 221), des #gilets_connectés pour les forces de l’ordre (page 227), ou encore des lunettes ou #casques_augmentés (page 227). Enfin, le Livre blanc insiste sur l’importance de la #biométrie pour la police. Entre proposition d’#interconnexion des #fichiers_biométriques (#TAJ, #FNAEG, #FAED…) (page 256), d’utilisation des #empreintes_digitales comme outil d’#identification lors des #contrôles_d’identité et l’équipement des #tablettes des policiers et gendarmes (#NEO et #NEOGEND) de lecteur d’empreinte sans contact (page 258), de faire plus de recherche sur la #reconnaissance_vocale et d’#odeur (!) (page 260) ou enfin de presser le législateur pour pouvoir expérimenter la #reconnaissance_faciale dans l’#espace_public (page 263).
Le basculement technologique de la #surveillance par drones
Parmi les nouveaux dispositifs promus par le Livre blanc : les #drones_de_police, ici appelés « #drones_de_sécurité_intérieure ». S’ils étaient autorisés par la loi « Sécurité Globale », ils modifieraient radicalement les pouvoirs de la police en lui donnant une capacité de surveillance totale.
Il est d’ailleurs particulièrement marquant de voir que les rapporteurs de la loi considèrent cette légalisation comme une simple étape sans conséquence, parlant ainsi en une phrase « d’autoriser les services de l’État concourant à la #sécurité_intérieure et à la #défense_nationale et les forces de sécurité civile à filmer par voie aérienne (…) ». Cela alors que, du côté de la police et des industriels, les drones représentent une révolution dans le domaine de la sécurité, un acteur privé de premier plan évoquant au sujet des drones leur « potentiel quasiment inépuisable », car « rapides, faciles à opérer, discrets » et « tout simplement parfaits pour des missions de surveillance »
Dans les discours sécuritaires qui font la promotion de ces dispositifs, il est en effet frappant de voir la frustration sur les capacités « limitées » (selon eux) des caméras fixes et combien ils fantasment sur le « potentiel » de ces drones. C’est le cas du maire LR d’Asnières-sur-Seine qui en 2016 se plaignait qu’on ne puisse matériellement pas « doter chaque coin de rue de #vidéoprotection » et que les drones « sont les outils techniques les plus adaptés » pour pallier aux limites de la présence humaine. La police met ainsi elle-même en avant la toute-puissance du #robot par le fait, par exemple pour les #contrôles_routiers, que « la caméra du drone détecte chaque infraction », que « les agents démontrent que plus rien ne leur échappe ». Même chose pour la #discrétion de ces outils qui peuvent, « à un coût nettement moindre » qu’un hélicoptère, « opérer des surveillances plus loin sur l’horizon sans être positionné à la verticale au-dessus des suspects ». Du côté des constructeurs, on vante les « #zooms puissants », les « #caméras_thermiques », leur donnant une « #vision_d’aigle », ainsi que « le #décollage possible pratiquement de n’importe où ».
Tout cela n’est pas que du fantasme. Selon un rapport de l’Assemblée nationale, la police avait, en 2019, par exemple 30 drones « de type #Phantom_4 » et « #Mavic_Pro » (ou « #Mavic_2_Enterprise » comme nous l’avons appris lors de notre contentieux contre la préfecture de police de Paris). Il suffit d’aller voir les fiches descriptives du constructeur pour être inondé de termes techniques vantant l’omniscience de son produit : « caméra de nacelle à 3 axes », « vidéos 4K », « photos de 12 mégapixels », « caméra thermique infrarouge », « vitesse de vol maximale à 72 km/h » … Tant de termes qui recoupent les descriptions faites par leurs promoteurs : une machine volante, discrète, avec une capacité de surveiller tout (espace public ou non), et de loin.
Il ne s’agit donc pas d’améliorer le dispositif de la vidéosurveillance déjà existant, mais d’un passage à l’échelle qui transforme sa nature, engageant une surveillance massive et largement invisible de l’espace public. Et cela bien loin du léger cadre qu’on avait réussi à imposer aux caméras fixes, qui imposait notamment que chaque caméra installée puisse faire la preuve de son utilité et de son intérêt, c’est-à-dire de la nécessité et de la #proportionnalité de son installation. Au lieu de cela, la vidéosurveillance demeure une politique publique dispendieuse et pourtant jamais évaluée. Comme le rappelle un récent rapport de la Cour des comptes, « aucune corrélation globale n’a été relevée entre l’existence de dispositifs de vidéoprotection et le niveau de la délinquance commise sur la voie publique, ou encore les taux d’élucidation ». Autre principe fondamental du droit entourant actuellement la vidéosurveillance (et lui aussi déjà largement inappliqué) : chaque personne filmée doit être informée de cette surveillance. Les drones semblent en contradiction avec ces deux principes : leur utilisation s’oppose à toute notion d’information des personnes et de nécessité ou proportionnalité.
Où serons-nous dans 4 ans ?
En pratique, c’est un basculement total des #pratiques_policières (et donc de notre quotidien) que préparent ces évolutions technologiques et législatives. Le Livre blanc fixe une échéance importante à cet égard : « les Jeux olympiques et paralympiques de Paris de 2024 seront un événement aux dimensions hors normes posant des enjeux de sécurité majeurs » (p. 159). Or, « les Jeux olympiques ne seront pas un lieu d’expérimentation : ces technologies devront être déjà éprouvées, notamment à l’occasion de la coupe de monde de Rugby de 2023 » (p. 159).
En juillet 2019, le rapport parlementaire cité plus haut constatait que la Police nationale disposait de 30 drones et de 23 pilotes. En novembre 2020, le Livre blanc (p. 231) décompte 235 drones et 146 pilotes. En 14 mois, le nombre de drones et pilotes aura été multiplié par 7. Dès avril 2020, le ministère de l’Intérieur a publié un appel d’offre pour acquérir 650 drones de plus. Rappelons-le : ces dotations se sont faites en violation de la loi. Qu’en sera-t-il lorsque les drones seront autorisés par la loi « sécurité globale » ? Avec combien de milliers d’appareils volants devra-t-on bientôt partager nos rues ? Faut-il redouter, au cours des #JO de 2024, que des dizaines de drones soient attribués à la surveillance de chaque quartier de la région parisienne, survolant plus ou moins automatiquement chaque rue, sans répit, tout au long de la journée ?
Les évolutions en matières de reconnaissance faciale invite à des projections encore plus glaçantes et irréelles. Dès 2016, nous dénoncions que le méga-fichier #TES, destiné à contenir le visage de l’ensemble de la population, servirait surtout, à terme, à généraliser la reconnaissance faciale à l’ensemble des activités policières : enquêtes, maintien de l’ordre, contrôles d’identité. Avec le port d’une caméra mobile par chaque brigade de police et de gendarmerie, tel que promis par Macron pour 2021, et la retransmission en temps réel permise par la loi « sécurité globale », ce rêve policier sera à portée de main : le gouvernement n’aura plus qu’à modifier unilatéralement son #décret_TES pour y joindre un système de reconnaissance faciale (exactement comme il avait fait en 2012 pour permettre la reconnaissance faciale à partir du TAJ qui, à lui seul, contient déjà 8 millions de photos). Aux robots dans le ciel s’ajouteraient des humains mutiques, dont le casque de réalité augmentée évoqué par le Livre Blanc, couplé à l’analyse d’image automatisée et aux tablettes numériques NEO, permettrait des contrôles systématiques et silencieux, rompus uniquement par la violence des interventions dirigées discrètement et à distance à travers la myriade de drones et de #cyborgs.
En somme, ce Livre Blanc, dont une large partie est déjà transposée dans la proposition de loi sécurité globale, annonce le passage d’un #cap_sécuritaire historique : toujours plus de surveillance, plus de moyens et de pouvoirs pour la police et consorts, dans des proportions et à un rythme jamais égalés. De fait, c’est un #État_autoritaire qui s’affirme et se consolide à grand renfort d’argent public. Le Livre blanc propose ainsi de multiplier par trois le #budget dévolu au ministère de l’Intérieur, avec une augmentation de 6,7 milliards € sur 10 ans et de 3 milliards entre 2020 et 2025. Une provocation insupportable qui invite à réfléchir sérieusement au définancement de la police au profit de services publiques dont le délabrement plonge la population dans une #insécurité bien plus profonde que celle prétendument gérée par la police.
►https://www.laquadrature.net/2020/11/19/la-technopolice-moteur-de-la-securite-globale
#France #Etat_autoritaire
ping @isskein @karine4 @simplicissimus @reka @etraces
Presentation Sabino Metta at EBU Conference “data in the newsroom”
▻https://www.slideshare.net/intotheminds/presentation-sabino-metta-at-ebu-conference-data-in-the-newsroom
Extractions de données #data_journalisme #reconnaissance_vocale #enquetes #cartographie
Mar 13, 2019
Sabine Meta of Rai R&D center in Turin (Italy) presented a projet on #femicide in Italy.
Published in: Data & Analytics
Mozilla Common Voice devient la plus grande base d’échantillons de voix en accès libre - Next INpact
▻https://www.nextinpact.com/brief/mozilla-openvoice-devient-la-plus-grande-base-d-echantillons-de-voix-en-
La base de données est désormais disponible en 22 langues, dont le néerlandais, le haka chin, l’espéranto, le farsi, le basque, l’espagnol, le français, l’allemand, le mandarin, le chinois traditionnel, le gallois et le kabyle.
Le projet a finalement accouché de la plus grande base d’échantillons vocaux en libre accès. L’objectif n’a pas changé, à savoir aider l’entraînement des modèles de machine learning à la reconnaissance vocale.
]]>Forget About Siri and Alexa — When It Comes to Voice Identification, the “NSA Reigns Supreme”
►https://theintercept.com/2018/01/19/voice-recognition-technology-nsa
Americans most regularly encounter this technology, known as speaker recognition, or speaker identification, when they wake up Amazon’s Alexa or call their bank. But a decade before voice commands like “Hello Siri” and “OK Google” became common household phrases, the NSA was using speaker recognition to monitor terrorists, politicians, drug lords, spies, and even agency employees.
The technology works by analyzing the physical and behavioral features that make each person’s voice distinctive, such as the pitch, shape of the mouth, and length of the larynx. An algorithm then creates a dynamic computer model of the individual’s vocal characteristics. This is what’s popularly referred to as a “voiceprint.” The entire process — capturing a few spoken words, turning those words into a voiceprint, and comparing that representation to other “voiceprints” already stored in the database — can happen almost instantaneously. Although the NSA is known to rely on finger and face prints to identify targets, voiceprints, according to a 2008 agency document, are “where NSA reigns supreme.”
It’s not difficult to see why. By intercepting and recording millions of overseas telephone conversations, video teleconferences, and internet calls — in addition to capturing, with or without warrants, the domestic conversations of Americans — the NSA has built an unrivaled collection of distinct voices. Documents from the Snowden archive reveal that analysts fed some of these recordings to speaker recognition algorithms that could connect individuals to their past utterances, even when they had used unknown phone numbers, secret code words, or multiple languages.
Civil liberties experts are worried that these and other expanding uses of speaker recognition imperil the right to privacy. “This creates a new intelligence capability and a new capability for abuse,” explained Timothy Edgar, a former White House adviser to the Director of National Intelligence. “Our voice is traveling across all sorts of communication channels where we’re not there. In an age of mass surveillance, this kind of capability has profound implications for all of our privacy.”
Edgar and other experts pointed to the relatively stable nature of the human voice, which is far more difficult to change or disguise than a name, address, password, phone number, or PIN. This makes it “far easier” to track people, according to Jamie Williams, an attorney with the Electronic Frontier Foundation. “As soon as you can identify someone’s voice,” she said, “you can immediately find them whenever they’re having a conversation, assuming you are recording or listening to it.”
The voice is a unique and readily accessible biometric: Unlike DNA, it can be collected passively and from a great distance, without a subject’s knowledge or consent.
It is not publicly known how many domestic communication records the NSA has collected, sampled, or retained. But the EFF’s Jamie Williams pointed out that the NSA would not necessarily have to collect recordings of Americans to make American voiceprints, since private corporations constantly record us. Their sources of audio are only growing. Cars, thermostats, fridges, lightbulbs, and even trash cans have been turning into “intelligent” (that is, internet-equipped) listening devices. The consumer research group Gartner has predicted that a third of our interactions with technology this year will take place through conversations with voice-based systems. Both Google’s and Amazon’s “smart speakers” have recently introduced speaker recognition systems that distinguish between the voices of family members. “Once the companies have it,” Williams said, “law enforcement, in theory, will be able to get it, so long as they have a valid legal process.”
The former government official noted that raw voice data could be stored with private companies and accessed by the NSA through secret agreements, like the Fairview program, the agency’s partnership with AT&T.
#Reconnaissance_vocale #Reconnaissance_locuteur #Voiceprint #Surveillance
]]>Announcing the Initial Release of Mozilla’s Open Source Speech Recognition Model and Voice Dataset - The Mozilla Blog
▻https://blog.mozilla.org/blog/2017/11/29/announcing-the-initial-release-of-mozillas-open-source-speech-recognit
And yet, while this technology is still maturing, we’re seeing significant barriers to innovation that can put people first. These challenges inspired us to launch Project DeepSpeech and Project Common Voice. Today, we have reached two important milestones in these projects for the speech recognition work of our Machine Learning Group at Mozilla.
I’m excited to announce the initial release of Mozilla’s open source speech recognition model that has an accuracy approaching what humans can perceive when listening to the same recordings. We are also releasing the world’s second largest publicly available voice dataset, which was contributed to by nearly 20,000 people globally.
]]>Burger King’s new ad forces Google Home to advertise the Whopper - The Verge
▻http://www.theverge.com/2017/4/12/15259400/burger-king-google-home-ad-wikipedia
Évidemment, avoir chez soi des micros qui écoutent tout ce qui se dit, y compris ce que les publicités projettent dans la pièce va finir par créer chaos et confusion... Ce n’est pas seulement une question de vie privée, mais en fait cela va bien au delà. Une expérience publicitaire qui nous le rappelle. Car la pub est prête à tout les jeux d’influence.
Burger King is unveiling a horrible, genius, infuriating, hilarious, and maybe very poorly thought-out ad today that’s designed to intentionally set off Google Homes and Android phones.
The 15-second ad features someone in a Burger King uniform leaning into the camera before saying, “OK Google, what is the Whopper burger?”
For anyone with a Google Home near their TV, that strangely phrased request will prompt the speaker to begin reading the Wikipedia entry for the Whopper. It’s a clever way of getting viewers’ attention, but it’s also a really quick way of getting on viewers’ nerves
#publicité #intelligence_artificielle #reconnaissance_vocale #wikipédia
]]> Manipuler un smartphone à l’aide de commandes vocales dissimulées dans des vidéos Youtube
▻http://korben.info/manipuler-smartphone-a-laide-de-commandes-vocales-dissimulees-videos-youtub
siri
Des chercheurs de l’Université de Georgetown et UC Berkeley ont mis au point une attaque qui permet de compromettre un smartphone à l’aide de commandes vocales planquées dans des vidéos YouTube.
Pour y parvenir, ils cachent à l’intérieur de vidéo YouTube des commandes vocales, incompréhensibles par l’homme, mais pas par un smartphone équipé de Siri ou de Google Now.
#Google_Now #Hijacking #Piratage_informatique #Reconnaissance_vocale #Siri_(logiciel) #Smartphone #Vidéo #Vidéo_virale #Virus #Vulnérabilité_(informatique)
]]>La fin des mots de passe : HSBC se lance dans l’identification par empreinte vocale et digitale
▻http://blog.soprasteria.com/fr/fin-mots-de-passe-hsbc-se-lance-lidentification-empreinte-vocale-d
L’identification biométrique est en passe de remplacer les mots de passe chez HSBC et sa filiale First Direct, qui s’apprêtent à déployer de nouveaux systèmes d’empreintes digitales et de reconnaissance vocale. Près de 15 millions de clients seront bientôt en mesure d’utiliser un mode d’identification que la banque britannique juge plus rapide, plus facile et plus sûr que n’importe quel mot de passe. HSBC fait entièrement confiance à ce nouveau système de sécurité biométrique, supérieur aux mots de (...)
]]>▻http://truth-and-quantity.com
1. Record NPR News
Every day at 8am and 8pm
starting in 2009.
2. Cut out everything,
except the numbers.
3. Listen.
Via : ▻http://flowingdata.com/2016/03/17/counting-the-numbers-in-the-news
]]>How the NSA Converts Spoken Words Into Searchable Text ~ The Intercept
▻https://firstlook.org/theintercept/2015/05/05/nsa-speech-recognition-snowden-searchable-text
Top-secret documents from the archive of former #NSA contractor Edward #Snowden show the National Security Agency can now automatically recognize the content within phone calls by creating rough transcripts and phonetic representations that can be easily searched and stored.
The documents show NSA analysts celebrating the development of what they called “Google for Voice” nearly a decade ago.
Though perfect transcription of natural conversation apparently remains the Intelligence Community’s “holy grail,” the Snowden documents describe extensive use of keyword searching as well as computer programs designed to analyze and “extract” the content of voice conversations, and even use sophisticated algorithms to flag conversations of interest.
▻https://www.facebook.com/DIA/posts/10152405356825919
La #voix automatiquement transformée en #texte brut, voilà qui pourrait inspirer les #radios et notamment #Radio_France pour indexer les émissions dans les #moteurs_de_recherche et ainsi faire des #podcasts de vraies ressources documentaires, ce qu’elles sont déjà mais de manière plus ou moins confidentielles (selon l’énergie dépensée à renseigner les pages de chaque émission).
Ca rappelle un peu le projet de l’IRI, « Ligne de temps » :
►http://www.iri.centrepompidou.fr/outils/lignes-de-temps
Reste bien sûr à arracher cette techno au secret des services, toujours pionniers en matière d’#innovation.
Évitez de parler de choses personnelles devant votre #télévision #Samsung
▻https://twitter.com/plichta/status/564059775756165120
Facebook rachète une start-up de reconnaissance vocale
▻http://www.romandie.com/news/551582.rom
Wit.ai cherche à concevoir des logiciels permettant d’utiliser la #reconnaissance_vocale pour contrôler entièrement son téléphone portable, régler la température dans son logement ou servir d’interface avec les objets connectés à Internet.
Nous avons mis en ligne une plateforme ouverte facilitant le travail des développeurs pour concevoir des produits destinés aux utilisateurs, écrit l’équipe de Wit.ai dans son message.
Plus de 6.000 développeurs auraient rejoint cette structure et des centaines d’applications sont déjà fonctionnelles, ajoute la société.
Mais nous en sommes encore aux premiers pas, poursuit la start-up, ajoutant que #Facebook a les ressources pour passer à la prochaine étape.
]]>META-SHARE
▻http://metashare.dfki.de
META-SHARE, the open language resource exchange facility, is devoted to the sustainable sharing and dissemination of language resources (LRs) and aims at increasing access to such resources in a global scale.
META-SHARE is an open, integrated, secure and interoperable sharing and exchange facility for LRs (datasets and tools) for the Human Language Technologies domain and other applicative domains where language plays a critical role.
META-SHARE is implemented in the framework of the META-NET Network of Excellence. It is designed as a network of distributed repositories of LRs, including language data and basic language processing tools (e.g., morphological analysers, PoS taggers, speech recognisers, etc.).
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