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  • “L’hôpital est malade” : des infirmiers racontent leur enfer quotidien
    04/10/17 16h05
    Par
    Amélie Quentel
    A l’heure où une récente enquête de la Fédération nationale des étudiants en soin infirmiers (Fnési) estime alarmant le bilan de santé des élèves soignants, force est de constater que, côté titulaires, la situation est également préoccupante. Nous avons interrogé plusieurs d’entre eux - professionnels ou personnes toujours en formation - qui nous ont raconté leur quotidien fait de pressions et d’humiliations, ou encore leur sentiment d’être parfois maltraitants avec les malades, faute de temps et de moyens. A l’hôpital, force est de constater que le burn out et la dépression ne touchent pas que les patients.

    Au sein de l’hôpital public français, quand vous faites part de votre détresse au travail, on vous considère comme “une emmerdeuse”. Voilà ce qu’a subi Aurélie*, infirmière bretonne de 29 ans. C’était il y a trois ans, et pourtant, le souvenir de ce moment d’une violence inouïe reste vif dans la mémoire de cette jeune femme au rire communicatif – c’est du moins ce qu’on a perçu au téléphone.

    A l’époque, sa propension à l’hilarité ne fait plus vraiment partie de sa vie : Aurélie est alors plongée dans une dépression sévère. En cause, une longue période de roulement de nuit imposée par la direction de son hôpital, dans le Finistère, que son corps, déjà fatigué par le job en soi, ne supporte pas bien. Elle ne dort plus, prend des anxiolytiques et des somnifères, est “au bout du bout”.

    Quand elle commence à avoir des pensées suicidaires, elle se résout à aller voir la médecine du travail, qui l’enjoint à expliquer sa situation à la DRH. Laquelle lui dira gentiment, en quinze minutes top chrono car, bon, on n’a pas que ça à faire quand même de s’occuper des collègues qui vont mal, qu’elle est “une épine dans son pied” du fait de ses désidératas, et qu’elle “avait cherché, en vain, à la virer, en lui cherchant une faute grave”. Pas de chance : les appréciations d’Aurélie, à l’époque stagiaire en passe d’être titularisée, sont bonnes. Elle obtiendra finalement gain de cause et changera d’horaires.

    Des histoires comme celles d’Aurélie, il en existe des myriades. Elles se terminent parfois moins bien, en témoignent des cas de suicides, comme celui d’Emmanuelle Lebrun, infirmière travaillant au Havre qui, persuadée à tort d’avoir commis une erreur mortelle sur un bébé, avait décidé de s’appliquer un traitement similaire à elle-même en 2016 – l’enfant avait finalement survécu, comme le rappelle ce papier du Monde. En fait, de l’avis des principaux concernés, la situation des soignants serait peu à peu devenue intenable.

    “Cocotte-minute”, “l’hôpital est malade”, “malaise des blouses blanches”... Les infirmiers n’ont pas assez d’expressions pour exprimer leur désarroi face à leurs conditions de travail, de plus en plus dégradées de l’avis des personnes titularisées depuis de longues années au sein des établissements de santé.

    "La moindre chose me paraît insurmontable"

    Côté étudiants en soins infirmiers, le constat est également sévère. En témoigne cette enquête de la Fnési, (Fédération nationale des étudiant.e.s en soins infirmiers) dont les chiffres – et surtout les causes qui les sous-tendent – donnent le vertige : 76,5 % d’entre eux estiment être obligés de travailler à côté pour subvenir à leurs besoins financiers tandis que 78,2 % se déclarent “tout le temps ou souvent stressé”, que 75,4 % racontent être épuisés physiquement ou encore en très mauvaise santé psychologique (26,2%).

    Les conséquences de ce bilan de santé préoccupant : des crises d’angoisse et des épisodes dépressifs, des velléités suicidaires voire des passages à l’acte, une consommation élevée de médicaments… “Parfois, je me dis : “ça me saoule, pourquoi je fais ça ?” Et, en même temps, j’ai envie de faire ce métier… Avant, je n’étais pas du genre à me décourager mais, plus le temps passe, plus je me décourage vite. La moindre chose me paraît insurmontable”, nous raconte Hélène*, 24 ans, stagiaire de 3e année dans un hôpital du sud-est de la France.

    La jeune femme semble un peu émue en racontant son parcours, explique avoir fondu en larmes quelques heures plus tôt en répondant à une simple question posée par une formatrice : “Comment se passe ton stage ?” En fait, Hélène a peu à peu perdu confiance au gré de ses différentes expériences, peinant à trouver sa place – le sentiment d’être “un boulet” collé à ses chaussures d’hôpital – au point de ne pas se sentir “légitime” à être titularisée, alors même que “dans un an, [elle est] censée être opérationnelle”. A-t-elle songé à aller consulter un médecin pour parler de son mal-être ? “Non. Si je m’arrête, ça peut remettre en cause mon diplôme et mon stage. J’ai peur qu’on croit que j’en ai rien à foutre du boulot.”

    D’autres, à l’image de Pauline, 21 ans, n’ont tout simplement parfois pas les sous pour se soigner. “Ce sont des études qui coûtent cher [En moyenne, le coût de la rentrée d’un étudiant en soins infirmiers est de 2 577,10 € selon une étude de la Fnési, alors même que ces élèves seraient en général, selon une enquête de la DRESS citée par le syndicat, issus de catégories socio-professionnelles plus modestes en comparaison d’autres filières paramédicales, ndlr]. Cela arrive qu’on réfléchisse à deux fois avant d’aller chez le médecin car on n’a pas les moyens – et donc, on ne se soigne pas.”

    La jeune femme rappelle à raison que les étudiants infirmiers ont un grade licence, mais pas une licence stricto sensu, ce qui les empêche souvent d’avoir accès aux services universitaires, malgré des partenariats mis en place dans certains établissements – une ineptie selon les syndicats infirmiers. Et qu’il faut acheter la blouse, les pinces, les ciseaux et tutti quanti. En perte de confiance après plusieurs humiliations – “Nos encadrants sont parfois très cassants. Une fois, l’une d’entre elles m’a dit : “Si tu as réussi ce soin, c’était le coup du hasard.” Je suis beaucoup dans le doute et dans l’attente de la critique” – elle se dit à présent que, “si [elle] avait su comment se passait la formation, [elle] se serait peut-être ré-orientée”.

    Un état de détresse constaté depuis plusieurs années par la Fnési, comme nous l’explique par téléphone sa secrétaire générale Ludivine Gauthier, elle-même étudiante infirmière : “La problématique existe depuis longtemps, mais il y a une sorte de tabou à l’hôpital à ce propos. Heureusement, les étudiants sont au fait que ce n’est pas normal, et sont actuellement dans une dynamique de dénonciation de ce qu’il se passe.”

    "Sur le fil"

    Le sentiment que les pouvoirs publics occultent leurs problèmes depuis des années est prégnant chez les soignants, qui, au-delà d’être entendus par nos gouvernants, aimeraient être écoutés – ce qui n’est pas tout à fait la même chose. Idem du côté de leur hiérarchie. “Avant, les hôpitaux étaient dirigés par des médecins, des gens qui avaient un regard médical, se remémore avec nostalgie Isabelle*, infirmière depuis plus de trente ans. Petit à petit, ce sont des gestionnaires affublés de pièces de monnaie à la place des yeux qui ont pris leur place. On a l’impression qu’un mec peut passer de gérant d’une concession automobile à directeur d’hôpital…”

    Passée à la fois par le public et le privé, par le poste de cadre ou de simple titulaire, elle se désole de la prégnance du travail administratif de plus en plus imposé aux infirmiers et infirmières, qui les “étouffe”. Une pression à la rentabilité, une chasse aux lits vides, autant de contraintes qui sont mal vécues par les personnels hospitaliers. “Mais la direction sait très bien que, malgré tout, la majorité d’entre nous se défoncera quand même pour s’occuper bien des patients, car on aime notre métier. Aussi, qu’on ne laissera pas tomber nos collègues en difficulté. De même, qu’on ne fera pas forcément grève car on vivrait mal de laisser nos patients, et que ça pourrait nous retomber dessus. Ils jouent là-dessus.”

    Elle est malgré tout conscience que les récurrentes coupes budgétaires et réductions de la masse salariale posent de gros soucis - et ce, tant en termes de rythme de travail pour les soignants que pour la qualité des soins prodigués aux patients. Parfois “sur le fil”, il n’est pas rare que, dans le rush, après des heures de boulot à courir partout, ils ne savent plus trop qui est qui, qui est dans quel lit, appréhension de “finir par faire une connerie”, impatience de rentrer chez soi, culpabilité forte de penser ainsi et de ne pas avoir le temps de mieux s’occuper des personnes à prendre en charge.

    “On m’a déjà appelée pour me dire “il nous faut des renforts, on est en train d’être maltraitants””, désespère Nathalie Depoire, présidente du syndicat Coordination nationale infirmière. Idem du côté des aides soignants, qui se retrouveraient parfois à “systématiquement mettre des couches” aux malades, par manque de temps. Nathalie Depoire estime “largement insuffisante” la réponse des pouvoirs publics face aux problèmes rencontrés, parle de “maltraitance institutionnelle” en sus de celle infligée parfois aux patients faute de temps et de moyens. “On pourrait largement avoir des revendications salariales, quand on voit comment on est mal payés par rapport à nos compétences et nos responsabilités. Mais l’urgence aujourd’hui, c’est de nous donner les moyens de soigner.”

    "L’ambiance entre nous devient parfois délétère"

    Le manque de reconnaissance pèse en effet sur les infirmiers, qui ont souvent le sentiment d’être “un pion”, des “petites mains” tenues de se taire parce que c’est comme cela que ça se passe - le comportement des patients eux-mêmes pouvant parfois être désagréable, les actes du type “je pisse partout dans la chambre mais je m’en fous car, après tout, vous êtes payés pour ça” pouvant arriver. Des pions d’ailleurs interchangeables : quand un service est touché par une réduction d’effectifs, un soignant peut se retrouver du jour au lendemain parachuté dans un autre. De quoi, même si “la formation est censée être polyvalente”, générer de l’anxiété et un sentiment de dévalorisation chez eux. “J’ai déjà reçu en larmes une femme qui était passée du service de chirurgie à celui d’oncologie - ce n’est pas du tout la même chose. Elle répétait qu’elle était nulle parce qu’elle avait des difficultés”, souffle avec tristesse Nathalie Depoire.

    Certains versent alors dans le défaitisme, d’autres dans l’énervement, d’autres dans tout cela à la fois. “J’ai pu voir certain en venir aux mains, se lamente la syndicaliste. L’ambiance entre nous devient parfois délétère.” Les rivalités entre services existeraient, de même que celles entre les différentes professions : aide-soignant VS. infirmiers par exemple, ou infirmiers VS. médecins - les actes de solidarité étant eux-aussi bien réels. "Je trouve que c’est très difficile de trouver sa place en stage, assure ainsi Sonia*, élève en deuxième année de formation qui, elle, est globalement heureuse de son cursus, estime que le fait d’être fatigué est propre à beaucoup d’étudiants et que "ce sont des attitudes et caractères personnels de certains qui posent souci".

    Entre encadrants et étudiants, aussi, le ton peut monter : les premiers n’ont pas le temps de s’occuper des seconds, qui, en conséquence, n’apprennent pas tout ce qu’il faudrait durant leurs stages, perdent confiance etc etc etc, voire sont parfois formés par des intérimaires et vacataires qui ne connaissent pas bien l’hôpital puisque, par définition, ils n’y restent pas de façon pérenne. “Les jeunes nous voient stresser, et eux aussi du coup : ça devient contagieux”, raconte par exemple Manon*, infirmière depuis sept ans en banlieue parisienne qui s’est parfois retrouvée à gérer vingt patients seule pendant plusieurs jours. Ces mêmes élèves seront pourtant amenés, une fois diplômés, à devenir encadrants eux-mêmes… Le cercle est en fait vicieux et surtout vicié par le manque d’argent. Ludovic*, enthousiaste étudiant en troisième année dans l’ouest de la France et appréciant parler en verlan - “j’adore ce boulot… et j’ai envie de changer les choses !” [bon ok là c’est pas du verlan, ndlr] - prévient : “Il faut montrer qu’il y a un problème. Avec les infirmiers, on pourrait être la sonnette d’alarme à l’échelle de l’hôpital : ça va finir par péter.”

    *Tous les prénoms ont été modifiés

    PS : Dans le ventre de l’hôpital, un documentaire diffusé mardi 3 octobre sur Arte revient sur cette question du mal-être des soignants. Le travail du réalisateur Jérôme le Maire, qui a passé deux ans dans une unité chirurgicale de l’hôpital Saint-Louis à paris, est disponible en replay ici.

    #burn_out #DRH (inhumanité des)

  • Panik sur la Terre
    http://www.radiopanik.org/emissions/panik-sur-la-ville/panik-sur-la-terre-

    Franck Perrault est #paysan-boulanger près d’Angers, en Pays de la Loire, dans l’Ouest de la France. Il s’intéresse à tout le processus de fabrication du #pain : de la graine sélectionnée et plantée, au blé récolté et moulu en #farine, en passant par le #levain et le pétrissage du pain, la cuisson au four, et la vente dans les circuits courts. S’il utilise des méthodes et procédés d’antan pour ses activités de paysan et de #boulanger, il demeure très actuel, à l’heure où le respect de la Terre est plus qu’une nécessité, sûrement un devoir.

    #alimentation2017 #semence #blé_ancien #bio #levain,pain,farine,alimentation2017,boulanger,semence,blé_ancien,paysan,bio
    http://www.radiopanik.org/media/sounds/panik-sur-la-ville/panik-sur-la-terre-_03735__1.mp3

  • Pas au nom de tous les catholiques !
    https://www.crashdebug.fr/actualites-france/13517-pas-au-nom-de-tous-les-catholiques

    Il est vrai que se faire prendre en otage par une partie de la Droite, ce n’est franchement pas agréable et surtout illogique, comment un vrai catholique pourrait-il être adepte du libéralisme et de la mondialisation ? c’est un non-sens contraire aux écritures... (enfin je parle en mon nom et celui de Chalouette.)

    Penelope et François Fillon assistent à la messe de canonisation de cinq bienheureux, à Rome le 11 octobre

    2009. Photo Alberto Pizzoli. AFP

    Présenter François Fillon comme le « candidat chrétien » met beaucoup de catholiques mal à l’aise. Car depuis la fin du XXe siècle, la dérive droitière d’une partie de l’électorat catholique, finit par contredire le véritable message chrétien.

    En novembre 2016, une couverture du quotidien Libération s’écriait : « Attention, Jésus (...)

    #En_vedette #Actualités_françaises

    • Jeune, catho et électeur de François Fillon « à contre-coeur »
      RTS - Tamara Muncanovic - 22 Mars 2017

      http://www.rts.ch/info/monde/8479420--tous-pourris-d-accord-mais-je-vote-pour-qui-moi-.html

      « A contre-coeur » : l’expression est lâchée. Pierre-Hugues Dubois votera probablement pour François Fillon à la présidentielle française, mais à contre-coeur. Quelques mois auparavant, l’étudiant ingénieur en statistiques était pourtant prêt à s’engager au sein du parti Les Républicains. Mais l’affaire des emplois présumés fictifs et plusieurs points du programme du candidat de la droite ont refroidi le jeune homme de 22 ans. Ce qui manque à ce catholique pratiquant dans le paysage politique français, c’est une « offre pape François ». Soit un candidat conservateur sur les questions sociétales, tels que l’avortement ou l’euthanasie, mais ouvert sur les thèmes de l’aide aux plus faibles et aux migrants.

      A Rennes où il étudie, le petit dernier d’une famille de quatre enfants se passionne pour la politique. Chaque mercredi, il se rend à l’aumônerie de son campus universitaire où se tient après la messe une discussion thématique. Depuis le mois de janvier, celle-ci est consacrée à la politique, en vue des élections. Un chrétien doit-il aller voter ? Sur quelle base doit-il faire son choix ? Le père De La Foye – au nom prédestiné – éclaire les étudiants bretons sur les questions qu’ils se posent.

      Ce soir-là, sur la quinzaine de jeunes présents au souper qui suit la discussion, nombreux sont ceux qui voteront pour François Fillon, ce candidat qui s’est publiquement présenté comme chrétien. Egalement originaire de l’ouest de la France, l’ancien Premier ministre a-t-il conquis tous ces catholiques ?

      Un seul étudiant ose se manifester lorsque la question est posée. Vianney ne votera pas pour François Fillon, le programme du politicien ne correspondant pas à ses attentes sur les questions éthiques comme la procréation médicalement assistée. Au premier tour, le jeune homme hésite encore. Peut-être donnera-t-il sa voix à Nicolas Dupont-Aignan ou François Asselineau. Par contre, au second tour, il sait qu’il glissera un bulletin Marine Le Pen dans l’urne. Un geste qui n’est pas si courant à Rennes, ville marquée à gauche où le Front national a peiné à percer par le passé.

      Non, Pierre-Hugues ne s’est pas engagé dans la politique. Petites lunettes posées sur le nez, il explique avec assurance qu’il peut se rendre tout aussi utile – voire davantage – à travers la vie associative. Le Breton officie en tant que trésorier au sein de l’Association catholique des étudiants rennais, co-anime une émission pour jeunes sur une radio associative et participe à l’organisation d’événements, tel le pèlerinage au Mont-Saint-Michel qui réunit plusieurs centaines d’étudiants de l’ouest de la France le dimanche des Rameaux.

      Marche, chants, messes et méditations sous un soleil de plomb, la rencontre permet à ces jeunes catholiques de se retrouver. « La foi nous apporte quelque chose de plus, une certaine espérance », raconte Domitille, bénévole pour le pèlerinage. « Peut-être sommes-nous là pour redonner de l’espoir aux autres jeunes et leur dire que nous pouvons trouver le bon chemin pour l’avenir. »

      La foi, Pierre-Hugues l’a reçue de ses parents. Après une période à l’adolescence où il s’est éloigné de Dieu, l’étudiant a vécu un moment magique à Madrid en 2011 lors des Journées mondiales de la jeunesse, cet événement organisé par l’Eglise catholique rassemblant des jeunes du monde entier. « A un moment, le pape nous a dit de prier, et d’un coup, un million de personnes se sont tues et ce fut extraordinaire », se rappelle-t-il.

      En tant qu’étudiant en sciences exactes, le jeune homme connaît cependant le doute. Mais sa soif de transcendance le rattrape toujours. Un besoin de dépassement qui, espèrent ces chrétiens français, leur permettra peut-être de peser sur le pays davantage que leurs aînés. Que ce soit avec un groupe de pression comme le mouvement Sens commun, issu de la Manif pour tous, ou à travers le monde associatif, ces catholiques peuvent asseoir leurs actions sur une organisation qui possède une expérience de plus de 2000 ans.

  • Asphyxiés par leurs créanciers, trois agriculteurs se suicident chaque semaine
    http://www.bastamag.net/Asphyxies-par-leurs-creanciers-trois-agriculteurs-se-suicident-chaque-sema

    Le Salon de l’agriculture vient de s’achever. Ses organisateurs ont souhaité le placer sous le signe de la « passion » et des « ambitions ». Des thématiques « inspirées de l’actualité » qui permettent d’aborder « toutes les composantes du secteur : formation, savoir-faire, métiers, innovations... », a déclaré Jean-Luc Poulain, président du Salon. Exit le marasme financier dans lequel nombre de paysans continuent de se débattre, notamment dans l’élevage laitier, particulièrement dans l’ouest de la France. « (...)

    En bref

    / Quelle agriculture pour demain ?, #Conditions_de_travail, #Revenus

    #Quelle_agriculture_pour_demain_ ?

  • [Rennes] Manif-Carnaval pour la victoire de la ZAD NDDL et contre l’Etat d’Urgence
    http://brest.mediaslibres.org/spip.php?article221

    Grande manifestation le 6 février à Rennes, pour la fin de l’aéroport et la victoire de la ZAD, donnant suite à la manifestation du 14 novembre à Landivisiau qui a réuni les collectifs en lutte contre les projets d’infrastructures dans l’Ouest de la France, et contre l’État d’Urgence (...) — Aménagement du territoire - Urbanisme, Contrôle social - politiques sécuritaires, Ecologie, Anticapitalisme, Luttes locales, Etat d’urgence, Notre-Dame-des-Landes, Rennes

  • VISIOCAP sélectionné pour l’opération Mallette du dirigeant
    http://sites.google.com/site/ouestgest/actualites/visiocapselectionnepourloperationmallettedudirigeant

    Assurément l’offre de formation, destinée aux chefs d’entreprises, dans le cadre de l’opération mallette du dirigeant lancée par l’AGEFICE, construite par Pierre-Alain GASCHARD et Christian HARDY a plu ! VISIOCAP a donc été sélectionné pour la formation des dirigeants et des conjoints collaborateurs, membres de l’AGEFICE, dans l’Ouest de la France.Pour plus d’informations sur la « mallette du dirigeant », consultez le programme de formation au format pdf : formation mallette du dirigeant AGEFICE.N’hésitez pas à vous rapprocher d’un point d’accueil AGEFICE.Pour les trouver : http://www.agefice.fr/interlocuteurs-contacts/contacter-un-pta

    #announcement

  • En Studio avec les Headhunters - 10/05/2014
    http://telechargement.rfi.fr/rfi/francais/audio/magazines/r172/l_epopee_des_musiques_noires_20140510_1233.mp3

    RFI - L’épopée des musiques noires // Le 15 avril 2014 à Vannes, en Bretagne, dans l’Ouest de la France, l’un des groupes légendaires de l’histoire du jazz-funk afro-américain donnait un concert exceptionnel et inédit, dans un tout nouveau club, devant un public conquis et privilégié puisque cette petite centaine de chanceux assistait à (...)

  • Les grandes marées menacent l’ouest de la France
    http://www.lemonde.fr/planete/article/2014/01/31/intemperies-grandes-marees-en-vue-a-l-ouest_4357551_3244.html

    Selon Vigicrues, la conjonction des grandes marées et de niveaux d’eau déjà élevés dans les cours d’eau devrait renforcer l’élévation des niveaux à marée haute. « Les niveaux des premiers débordements seront dépassés sur la plupart des estuaires, le niveau des débordements dommageables seront parfois atteints vendredi et samedi », selon la même source, d’où le risque plus important d’inondations.

    http://www.lemonde.fr/planete/article/2014/01/07/derriere-la-tempete-la-menace-persistante-de-l-erosion-du-littoral_4343585_3

    Si le littoral est aujourd’hui si vulnérable, c’est en raison de l’élévation du niveau des mers liée au changement climatique, mais surtout des phénomènes d’érosion des côtes et de submersion marines, estime Patrick Bazin, responsable du département de la gestion des sites du Conservatoire du littoral.

    #réchauffement_climatique
    #it_has_begun

    • Que doit-on comprendre derrière cet accord non conventionnel ? Que LA submersion est commanditée par plusieurs MarineS.
      Ne devrait-on pas plutôt différencier voire « dix faits ranciers » la submersion marine (qui menace notre littoral) et la subversion Marine qui menace le cœur même de la nation ?
      Le monde-point-efferr se mettrait -il à la cryptographie mais au service de qui, foutre dieu !?

      #complot (théorie du ...)

  • Assurance #chômage : la CGPME aborde la négociation « dans un esprit constructif et offensif »
    http://www.boursorama.com/actualites/assurance-chomage-la-cgpme-aborde-la-negociation-dans-un-esprit-construc

    « On peut légitimement s’interroger pour savoir si l’incitation au retour à l’#emploi ne doit pas être plus contraignante », a déclaré M. Roubaud.

    « Est-il normal qu’un salarié en #CDD à qui l’on propose un CDI, choisisse de refuser pour s’inscrire à #Pôle_Emploi ? », a-t-il poursuivi. « Est-ce normal que sur les 50 #salariés d’une usine de l’ouest de la France à qui l’on a proposé un emploi dans les mêmes conditions à 80 km, un seul ait accepté, les autres préférant toucher les indemnités et s’inscrire, eux aussi, à Pôle Emploi ? », a-t-il ajouté disant citer un « cas réel vécu ».

    • Aujourd’hui, vendredi 17 janvier 2014, premier jour des négociations UNEDIC, les collectifs de chômeurs et chômeuses de Bretagne se sont réunis en coordination à Brest. Quinze délégué-e-s représentaient les groupes suivants : AC ! Quimper, le collectif brestois en marche contre l’injustice sociale, le Mouvement des Chômeurs et Précaires en Lutte de Rennes, le Collectif Anticapitaliste du Pays de Morlaix.

      Alors que le chômage augmente et que le patronat veut s’attaquer aux droits des chômeur-se-s, nos collectifs ont décidé d’organiser la riposte. Dans une société qui ne garantit pas le droit au travail, nous revendiquons le maintien du salaire pour tou-te-s celles/ceux qui sont privé-e-s d’emploi. Il est prévu l’organisation de réunions publiques le 7 février dans chaque ville afin de préparer une journée d’action le 14 février prochain .

      Brest, le 17 janvier 2014,
      la coordination des collectifs de chômeurs et chômeuses de Bretagne

      contact : reseaudesluttes.brest@gmail.com
      contact téléphonique : 06 79 56 19 97

      Rappel :Moins d’un chômeur sur deux est indemnisé :
      http://www.humanite.fr/social-eco/moins-d-un-chomeur-sur-deux-est-indemnise-557218

      L’habituelle propagande contre une des seules situations d’#emploi_discontinu qui soit encore assortie de quelques droits, inégalitaires, et rares (comme les autres chômeurs, la moitié des intermittents en sont pas indemnisés) :
      Intermittents du spectacle : touche pas au milliard !
      En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/economie/intermittents-du-spectacle-touche-pas-au-milliard_1314437.html

      Grandes manœuvres autour de l’Assurance chômage
      http://www.notretemps.com/retraite/chomage-et-retraite/grandes-manoeuvres-assurance-chomage,i44987

      L’assurance chômage est-elle si généreuse ?
      http://www.liberation.fr/economie/2014/01/17/l-assurance-chomage-est-elle-si-genereuse_973352

      Chômage : des droits rechargeables pour inciter au travail ?http://www.francebleu.fr/infos/emploi/chomage%C2%A0-des-droits-rechargeables-pour-inciter-au-travail%C2%A0-1194

      et donc, on améliorerait chouïa la disponibilité à l’emploi Pôle emploi modifie les aides à la recherche d’emploi
      http://www.dossierfamilial.com/actualites/pole-emploi-modifie-les-aides-a-la-recherche-d-emploi-13325.html

      C’est le moment de faire mine d’aller au delà des chiffres et des stats, des « représentants » et des « responsables » :
      Vous êtes précaire, comment se passent vos relations avec Pôle emploi ????
      http://www.lemonde.fr/politique/appel_temoignage/2014/01/17/vous-etes-precaire-comment-se-passent-vos-relations-avec-pole-emploi_4350008

      La droite pense que cela risque de pas être aussi bénéfique pour les patrons que les annonces d’Hollande (pour eux faut se préserver de l’effet de bordel que ça crée chez UDI et ULMP) :
      http://www.lefigaro.fr/emploi/2014/01/17/09005-20140117ARTFIG00158-assurance-chomage-une-negociation-pour-rien.php

      Assurance-chômage : la vraie réforme n’aura pas lieu
      http://www.bfmtv.com/economie/assurance-chomage-vers-une-reforme-a-minima-688992.html

      trop de déficit, trop de bureaucratie, qu’on en finisse !
      Dans la jungle des règles de l’assurance-chômage
      http://www.lefigaro.fr/emploi/2014/01/17/09005-20140117ARTFIG00233-dans-la-jungle-des-regles-de-l-assurance-chomage.

    • Compte rendu de l’occupation du pôle emploi du centre de Toulouse hier.

      Bonjour à tous,

      Sans entrer dans les détails techniques qui sont sinueux et compliqués, la convention UNEDIC, qui a lieu tous les trois ans environ, est à chaque fois l’occasion d’attaques sérieuse du patronat . Depuis dix ans le recul des indemnisations du chômage est spectaculaire, la croissance de la pauvreté aussi.

      Sans mobilisation importante le « rentre dedans » de la classe dominante se fait alors comme dans du beurre, peut-on laisser faire sans broncher ?

      Les intermittents ont quelques moyens de rétorsions, comme bloquer l’animation de la vie culturelle nationale, il l’on fait. Moyens que le chômeur de base n’a hélas pas.

      En 2003 la lutte des intermittents revendiquait « Ce qu’on défend, on le défend pour tous » Hier à Toulouse ils appelaient au rassemblement de tous, arguant que cette lutte était au moins aussi importante que celle des retraites .

      C’était hier la troisième assemblée des intermittents de Toulouse , il était clair cette fois que le « Ce qu’on défend, on le défend pour tous » était mis en avant avec force.

      Trois heures d’occupations, de débats, une demande aux syndicats de mobiliser et... la promesse de se retrouver bientôt.

      Pour la petite histoire, il semble que depuis les très nombreuses occupations des ANPE d’il y a dix ans, qui se sont terminées par les rideaux de fer systématiquement baissés, se soient mis en place désormais, en guise de direction, des "kapos "de service .

      Nous avons pu entrer hier que par surprise je pense, alors que tout se déroulait tranquillement, la direction a appelé la loi et fait des pieds et des mains pour faire enfermer les occupants dans les lieux. La police a judicieusement refusé de boucler les gens, des bribes de conversations entre flics évoquaient la sécurité des personnes.

      Voilà un exemple des « bons services » de la direction d’un pôle emploi....

      Pour finir, il me semble très important en Ariège de suivre le déroulement de ces négociations unedic mieux encore, de se mobiliser.

      Suggestions ?

      D.

      *****************

      Le compte rendu des intermittents de Toulouse :

      Bonjour à tous,

      150 intermittent-es, précaires et salarié-es (une copine a compté !) ont investi ce matin l’agence Pôle emploi Occitane au centre de Toulouse.
      L’occupation a duré 3 heures durant laquelle nous avons tenu une AG.
      Etaient présents et sont intervenus des représentants de l’intersyndicale de Pôle emploi (CGT, SUD Solidaires, SNU/FSU), du MNCP (Mouvement National des Chômeurs et Précaires), du DAL (Droit au Logement), de SUD Solidaires 31 ainsi que des salarié-es qui étaient là en soutien (EDF CGT et santé + impôts SUD Solidaires)
      Etaient aussi présents des élu-es de la ville de Toulouse (Front de gauche, PS). Des images ont été prises (FR3 et TLT). la police présente s’est fait discrète.

      Il été décidé en vue de préparer les mobilisations à venir de se retrouver rapidement dès lundi prochain 17 février à 13H au local de Solidaires 31 qui se situe 52, rue Jacques Babinet au 1er étage (métro Université).
      Cette réunion aura aussi pour but de renforcer la Coordination ceci afin que toutes celles et ceux qui le souhaitent puissent participer activement.
      D’ici-là, nous aurons des informations sur les autres régions
      Nous avons prévu le même soir d’intervenir lors d’une rencontre qu’organise le SYNAVI (Syndicat National des Arts vivants : syndicat de Cies) à 19H au théâtre du Grand -Rond à l’occasion des Municipales avec des candidats de diverses listes.

      D’ici-là informons autour de nous ! Activons nos réseaux ! Il faudra être très nombreux dans les semaines qui viennent.
      Bonne soirée,
      A bientôt,
      L. (CIP-MP)

    • Une simple inversion des déclarations, ca marche souvent bien pour commencer à démonter l’évidence d’une domination.

      (et dans un autre registre, un autre exemple : http://rue89.nouvelobs.com/rue69/2014/02/06/24-heures-vie-dun-homme-249683 )

      http://www.change.org/fr/p%C3%A9titions/m-jean-marc-ayrault-intermittents-du-spectacle-et-sympathisants-nous-demando

      Intermittents du spectacle et sympathisants, nous demandons la suppression du MEDEF, qui lui aussi coûte trop cher.

      Pétition de Romain Cazeaux, Vannes, France

      Que représente un déficit de 320 millions d’euros assurant la survie de plus de 100.000 intermittents du spectacle, face aux 20 milliards de crédit d’impôt aux entreprises sans effet sur la politique de l’emploi ?

      Pétition adressée à :
      M. Jean-Marc AYRAULT, Premier Ministre
      Intermittents du spectacle et sympathisants, nous demandons la suppression du MEDEF, qui lui aussi coûte trop cher.
      Cordialement,
      [Votre nom]

    • communiqué des collectifs de chômeurs en occupation à Carhaix

      Info dernière minute

      Les collectifs de chômeurs et précaires occupant la CECCOB ont été évacués par les services de police vers 17h sans nouvelles du préfet du Finistère.

      AC ! Quimper, Collectif brestois en marche contre l’injustice sociale, Comité anti-capitaliste du Pays de Morlaix
      ___________________________________________________________________________________________________________________

      Communiqué du 14 février 2014

      Le 14 février 2014 à partir de 14h, la coordination des collectifs de chômeurs et précaires de Bretagne a occupé :

      – pour les collectifs de Morlaix, Quimper et Brest, la CECCOB (cellule de coordination des actions de l’Etat en Pays de Centre Ouest Bretagne) à Carhaix. Afin d’exposer leurs revendications, entre autre concernant les négociations de la nouvelle convention UNEDIC, les chômeurs ont demandé à rencontrer le préfet du Finistère. Ce dernier a refusé sans motif de venir à leur rencontre.

      – Le MCPL de Rennes a occupé le Pôle emploi de Henri Fréville. Ils ont demandé à rencontrer la direction territoriale qui ne les a pas reçus non plus. Elle a préférer faire appel aux forces de l’ordre qui les ont évacués.

      – le Collectif La Boufée de Rennes a occupé le CCI et demandé à rencontrer le Préfet d’Ile et Vilaine. Ils ont également eu pour seule réponse l’intervention des forces de l’ordre.

      Dans le contexte actuel des licenciements massifs et de l’explosion du taux de chômage, l’Etat illustre par là son indifférence et son mépris des chômeurs. Le chômage serait-il sa dernière préoccupation, contrairement au discours du gouvernement actuel.

      Nous réitérons notre revendication principale :

      Un emploi pour tous sinon un salaire pour chacun avec ou sans emploi

      Carhaix le 14 février 2014

      AC ! Quimper, Collectif brestois en marche contre l’injustice sociale, Comité anti- capitaliste du Pays de Morlaix

  • Le saumon fumé de Norvège file entre les doigts des usines françaises - RFI

    http://www.rfi.fr/emission/20130605-le-saumon-fume-norvege-file-entre-doigts-usines-francaises?ns_campaign=

    Pas de chance...

    Le géant mondial du saumon, le Norvégien Marine Harvest, projette de supprimer plus de 400 emplois dans la transformation de ce poisson en Bretagne, dans l’ouest de la France.

    La Bretagne est décidément de moins en moins terre bénie de l’agro-alimentaire. Après la crise du poulet et la crise du porc, c’est au tour de la filière saumon de souffrir. Le groupe norvégien Marine Harvest projette de fermer deux usines, dont une de fumage du saumon à Poullaouen, qui fut la première créée en France dans les années 70. Au total plus de 400 emplois sont menacés.

    #norvège #alimentation #saumons #pêche

  • CherryPepper - Depuis le Mexique, soutien à Notre-Dame-des-Landes
    http://cherrypepper.eu/index.php/fr/actionsfr/2272-depuis-le-mexique-soutien-a-notre-dame-des-landes

    Une zone agricole est menacée par le gouvernement socialiste français et son premier ministre Jean-Marc Ayrault, qui veut imposer sur ces champs de l’ouest de la France un nouvel aéroport de taille internationale, et ce malgré l’opposition des paysans et des paysannes, des jeunes et d’une bonne partie de la population. Nous savons que ce chantier est complètement inutile vu qu’il y a déjà beaucoup d’aéroports en France, et nous sommes au courant du réchauffement climatique global provoqué par la multiplication des avions que seuls les riches peuvent se payer.

    Nous savons aussi, car ils voulaient l’imposer aux villages d’Atenco dans l’État de Mexico, que la construction d’un aéroport entraîne à elle seule la convoitise pour les terres, l’urbanisation accélérée et l’implantation d’industries dans des zones encore rurales, où l’environnement a été préservé. Ce que ces projets amènent, c’est la division et le contrôle social de la population, et encore une fois ce sont les paysans qui se retrouvent spoliés par des constructions imposées de force et uniquement destinées aux gens de la ville ayant beaucoup d’argent.

  • Erreur de clic : la DRH envoie un fichier secret aux salariés
    http://eco.rue89.com/2011/02/09/erreur-de-clic-la-drh-envoie-un-fichier-secret-aux-salaries-189612

    « Pas impliqué », « ne se remet pas en question », « n’intègre pas les messages », « très ironique » : près de 300 salariés d’une filiale de Cap Gemini ont reçu par erreur un fichier d’évaluation nominatif réservé à la DRH. Ils ont pu comparer leurs notes et leurs salaires.

    Ces techniciens informatiques travaillent dans l’Ouest de la France pour Sogeti, une filiale du groupe de services informatiques Cap Gemini. Vendredi après-midi, ils ont malencontreusement reçu un e-mail destiné aux cadres des ressources humaines. L’expéditeur avait cliqué un peu trop vite, expédiant le message à l’ensemble de la liste de diffusion.

    #email #ressources_humaines #management #drh #Cap_Gemini