region:nord de la grèce

  • #Grèce : la réalité n’affecte pas le dogme
    https://la-bas.org/5211

    Le 16 septembre 2011, un homme s’immole par le feu devant une banque de Thessalonique, au nord de la Grèce (photo : REUTERS/Nodas Stylianidis) La Grèce sort des plans d’aide imposés depuis huit ans par l’Union européenne. Les faucons européens sont bien contents : « la Grèce retrouve son autonomie ». En fait, rien ne change et l’austérité va continuer. Le bilan de ces huit ans est désastreux. La population a baissé de 400 000 personnes. Plus de 300 000 jeunes ont quitté le pays, surtout les diplômés, les salaires et les retraites ont baissé d’environ 40 %, les ménages ont perdu un tiers de leurs (...) Continuer la (...)

    #Articles

  • Migration : Sous nos yeux, ils demandent à passer

    https://www.franceculture.fr/emissions/matieres-a-penser-avec-frederic-worms/sous-nos-yeux-ils-demandent-a-passer-0

    Frédéric Worms s’entretient avec le philosophe et historien de l’art

    Georges Didi-Huberman de son ouvrage "Passer, quoi qu’il en coûte" co-écrit avec Niki Giannari (Minuit, 2017).
    Idomeni, frontière entre la Grèce et la Macédoine, mars 2016
    Crédits : Maria Kourkouta

    « Ils », ce sont eux, les « migrants », ils demandent « seulement à passer » comme le dit Nika Gianniri dans le poème qui ouvre le livre qu’elle partage avec Georges Didi-Huberman. Leur livre « du passage » à eux, face à ce passage arrêté, bloqué, ce laissez-passer refusé, cette Europe murée, ici, à Idomeni au Nord de la Grèce. Une cinéaste, une poète qui travaille dans une association, et l’historien des images passantes, survivantes, résistantes, s’unissent pour nous donner à penser ce passage. Nous permettre de le voir. Car cela se passe sous nos yeux, littéralement sous nos yeux et nous ne le voyons pas. Avec en arrière plan tous les passages bloqués, les « spectres qui hantent l’Europe ». L’auteur du « livre des passages », Walter Benjamin, qui se suicide en 1940 à Port-Bou, ville frontière d’un autre temps d’arrêt. Surimpression des images. Regardons « les ». Leur passage, c’est le nôtre. Le temps des laissez passer est revenu.

    Georges Didi-Huberman : Comme dit Hannah Arendt des réfugiés "ils sont notre avant-garde". Ils sont notre passé et notre futur.

    Il n’est pas d’image qui ne soit migrante. Toute image est une migration. Les images ne sont jamais autochtones.

    On pourrait dire que mon idée fixe, c’est le mouvement. Notre tragédie politique aujourd’hui ce sont les mouvements empêchés.

    Il y a des choses qui sont et ces choses qui sont ont, à chaque moment de leur existence, la traîne de leur mémoire et la dynamique de leur futur qui arrive.

    L’art du désir ne doit jamais oublier l’art de la mémoire. L’art de la mémoire ne doit jamais oublier son art du désir.

    #migrations #réfugiés#asyle #frontières #murs #documentaires

  • Réfugiés : la #Croatie et la #Slovénie se préparent à rouvrir les #camps

    Face à une arrivée croissante de réfugiés depuis la Grèce et la Macédoine, et face au blocage de la frontière serbo-hongroise, la Croatie et la Slovénie se préparent à une éventuelle réouverture de la « route des Balkans » cet automne.

    Six mois après la fermeture officielle de la « route migratoire des Balkans », les autorités macédoniennes font état d’un nombre croissant de tentatives de passages illégaux de la frontière sud avec la Grèce. En juillet, les autorités ont renforcé la présence de la police et de l’armée dans la zone frontalière. Selon la police, le 16 août, pas moins de 120 tentatives de franchissement clandestin de la frontière ont été enregistrées, tandis que 49 personnes ont été arrêtées.

    La plupart des migrants et réfugiés fuient les camps du nord de la Grèce, où les conditions de vie sont déplorables. En Macédoine, quelque 200 personnes se trouvent toujours dans des camps, 130 à Gevgelija (sud) et 80 à Tabanovce (nord). Ceux qui parviennent à franchir la frontière entre la Grèce et la Macédoine font ensuite route vers la Serbie et l’Europe occidentale.

    Dans le nord de la Serbie, à la frontière hongroise, dans les campements informels à l’entrée des « zones de transit » de Horgoš et Kelebija, au pied de la clôture frontalière, des centaines de familles attendent de pouvoir passer en Hongrie. La durée moyenne d’attente est d’une quarantaine de jours, alors que les autorités hongroises ne laissent entrer que 30 personnes quotidiennement.

    Vers la Croatie et la Slovénie

    Face au blocage de la « route hongroise », de plus en plus de migrants et réfugiés se dirigent vers la Croatie et la Slovénie. La semaine dernière, le ministère croate de l’Intérieur a publié les premières photos du nouveau centre de Tovarnik, non loin de la frontière serbe, où les migrants clandestins seront conduits à l’avenir, avant d’être transférés à Zagreb ou repoussés en Serbie.

    Lundi 15 août, la police croate a arrêté un groupe de quatre trafiquants serbes près du village de Lisac, à la frontière croato-slovène. Selon la police, 26 Turcs, six Irakiens, trois Pakistanais, trois Syriens et deux Indiens se trouvaient dans la remorque d’un camion. Quelques jours plus tôt, douze personnes originaires d’Algérie, du Maroc, de Libye, de Sierra Leone et de Syrie ont été arrêtées dans les villages de Šapjane et Pasjak, également proches de la frontière entre la Croatie et la Slovénie.

    La Slovénie a annoncé qu’elle allait renforcer sa clôture frontalière. Ces dernières semaines, des migrants et réfugiés ont été renvoyés en Croatie par la police slovène, tandis que d’autres ont demandé l’asile en Slovénie.

    Selon la police slovène, la semaine dernière, 311 migrants et réfugiés se trouvaient dans les centres d’accueil et de détention. Les autorités ont annoncé qu’elle se préparaient à un éventuel scénario d’une réouverture de la « route des Balkans », si la Turquie ne respecte pas l’accord avec l’Union européenne. Les centres de réception de Dobova, Lendava et Šentilj, fermés en mars, sont prêts à accueillir de nouveaux arrivants. La Slovénie envisage « dix scénarios possibles, incluant la réouverture de la route ». Les autorités ont demandé aux volontaires de se préparer pour l’automne.

    http://www.courrierdesbalkans.fr/le-fil-de-l-info/refugies-la-croatie-et-la-slovenie-se-preparent-a-rouvrir-les-cam
    #camps_de_réfugiés #asile #Balkans #migrations #réfugiés

  • Le HCR est préoccupé par les installations de réfugiés au nord de la Grèce
    http://asile.ch/2016/05/28/hcr-preoccupe-installations-de-refugies-nord-de-grece

    Le HCR a déclaré le 27 mai 2016 être « vivement préoccupé » par les conditions précaires dans plusieurs sites au nord de la Grèce où les réfugiés et les migrants ont été évacués cette semaine depuis l’installation de fortune d’Idomeni.

  • Idomeni (Grèce) : nouveaux affrontements entre des migrants et la police
    http://cettesemaine.info/breves/spip.php?article1604

    Echauffourées à Idomeni entre migrants et policiers grecs Reuters le 18/04/2016 à 19:06 Plusieurs dizaines de migrants bloqués à la frontière nord de la Grèce ont lancé des pierres en direction des forces de police, lundi près d’Idomeni, en réaction à l’accident dont avait été victime l’un d’entre eux, (...) — 0-117.jpg, Brèves de 2016

  • Crise des réfugiés : dans certains villages du nord de la Grèce, plus de migrants que d’habitants

    Courrier des Balkans | jeudi 24 mars 2016

    La route des Balkans reste fermée, mais les candidats à l’asile continuent d’affluer. Les réfugiés en route vers l’Europe sont toujours bloqués en Grèce, et dans les communes du nord du pays, les habitants et les autorités locales craignent de se retrouver vite complètement débordés.

    Par Elisa Perrigueur

    Avant, à #Idomeni, il n’y avait pas grand monde. Les maisons étaient souvent vides, leurs volets fermés. Seuls quelques chiens erraient, sur les routes de ce village du nord de la Grèce. Depuis plusieurs mois, la vie a repris. Des Syriens, Afghans, Pakistanais, Irakiens, déambulent entre les maisons pour tuer le temps. Assises sur des pierres, des femmes voilées pianotent sur leurs portables. Sur une place abandonnée aux herbes folles, les enfants jouent.

    Le plus grand #bidonville de Grèce

    Idomeni abrite aujourd’hui le plus grand bidonville du pays. À côté de la vieille voie de chemin de fer qui relie la Grèce à la Macédoine, des milliers de tentes bleues et vertes s’étendent à perte de vue. Quelque 13 000 migrants et réfugiés attendent, dans ce camp entouré de champs, dans l’espoir de pouvoir franchir la frontière macédonienne. Jamais, au cours des dernières décennies, Idomeni n’avait vu autant de gens sur ses terres.

    Comme la plupart des habitants de la région, Panos connaît tous les « spots » où sont désormais rassemblés les réfugiés et migrants. Sur une carte Google Maps, le jeune homme originaire de la ville de Kilkis, désigne les différents lieux. En plus du tristement célèbre camp d’Idomeni, explique t-il, « on y voit celui de Chevso, où il y a environ 3 500 personnes, celui de Nea Kavala, où il y a à peu près le même nombre. Puis aussi d’autres ’mini-camps’ improvisés, autour des stations essence. ».

    Dans le nord, ces camps sont désormais plus peuplés que les villages eux-mêmes. 20 000 candidats à l’asile s’y massent toujours, même après l’accord signé entre l’Union-Européenne et la Turquie. « Ici, on comprend plus qu’ailleurs la détresse de ces gens. La majorité des habitants de la région sont eux-mêmes des réfugiés, venus après la « Grande catastrophe » de 1922, explique Panos, lui-même descendant de Grecs venus de Kars, en Turquie. « Quand nous voyons ces gens, nous revoyons nos ancêtres ».

    Les habitants s’impatientent

    Mais, Panos tempère toutefois, « le problème, c’est que la situation s’éternise, alors que ces personnes n’ont pas du tout envie de rester ici, elles veulent aller en Allemagne, en Suède ». Le nord du pays est l’une des régions les plus touchées par le chômage. « Quel intérêt ont-ils à demander l’asile en Grèce ? », s’interroge Panos. Le jeune homme est ingénieur, et lui même au chômage depuis de longs mois. « Moi aussi, j’hésite à aller en Allemagne pour trouver du travail », sourit-il tristement.

    Veste de cuir sur le dos, regard sombre et teint hâlé, Christos Goudenoudis, le maire du canton de Baionia (dans lequel se trouve le village d’Idomeni), n’est pas convaincu par l’accord signé entre l’UE et la Turquie la semaine dernière. « Selon l’accord, les gens du camp d’Idomeni seront transférés petit à petit dans des centres, où l’on examinera leur situation au cas par cas pour distinguer les migrants économiques de ceux éligibles au droit d’asile ». Il esquisse un bref sourire ironique. « Je demande à voir ». Pour lui, l’urgence, c’est d’évacuer l’immense camp d’Idomeni, qui ne devrait pas abriter plus de 2 000 personnes, estime t-il. Il a des solutions à proposer : « Si l’on changeait les points de distribution de nourriture par exemple, cela forcerait les gens à partir ».

    “« Aujourd’hui, les migrants bloqués ont encore de l’argent, mais que se passera t-il quand ils n’en auront plus ? Comment réagiront-ils ? »”

    Christos Goudenoudis assure que les habitants de son canton font preuve de patience, mais que « la peur commence à monter ». Il mentionne des « vols dans les maisons, des rixes dans le camp, des distributions de nourriture qui virent au chaos. « Aujourd’hui, les migrants bloqués ont encore de l’argent, mais que se passera t-il quand ils n’en auront plus ? Comment réagiront-ils ? ». Son ton se fait aussi amer lorsqu’il évoque le voisin macédonien, qui « a érigé un mur de barbelés à sa frontière en moins de six heures ».

    Les administrations locales débordées

    Lena Anastasiadou est adjointe au maire de #Kilkis, canton qui comprend la commune de #Nea_Kavala, où se trouve un autre camp de 3 500 personnes. Elle aussi exprime ses craintes. « Nous sommes débordés. On nous avait dit qu’il y aurait 2 000 personnes, elles sont 3 500. Ce n’est pas une question de bord politique, nous ne pouvons simplement pas les accueillir dans ces conditions ». Pour elle, « il faut que ces gens comprennent véritablement qu’ils n’auront aucun espoir de passer ».

    “« C’est à l’Europe de prendre ces gens en charge. »”

    Elle aussi réfléchit à des solutions. « Il faudrait créer des petites structures de 400 à 500 places dans toute la Grèce, et pas seulement dans le nord », suggère t-elle. Lena Anastasiadou estime que la situation ici n’est « pas juste ». « Je suis en charge des habitants, je dois faire en sorte que tout se passe bien dans ma commune. J’ai beaucoup de peine pour ces réfugiés, mais ma priorité, c’est les villages ». Selon elle, « c’est à l’Europe de prendre ces gens en charge ».

    Le jour de la signature de l’accord entre l’UE et la Turquie, avant qu’il ne soit dévoilé, nombreux réfugiés s’étaient dirigés vers les camps à la frontière. Une rumeur courait ; la frontière macédonienne serait ouvert à l’issu de la réunion de Bruxelles. Bien sûr, il n’en fut rien.

    http://www.courrierdesbalkans.fr/articles/grece-apres-l-accord-les-habitants-du-nord-sceptiques.html
    #route_des_Balkans #Balkans #Grèce #asile #migrations #réfugiés #campement

  • Profession #gladiateur
    http://www.lemonde.fr/sport/article/2016/02/11/profession-gladiateur_4863577_3242.html

    Ancien champion de ju-jitsu – il a représenté la France à la Coupe du monde 1998 à Rio –, Brice Lopez a découvert l’#archéologie_expérimentale dans les années 1990. Dario Battaglia, pionnier italien dans ce domaine, cherchait des spécialistes pour tester, in vivo, ses théories sur les disciplines de #combat_antiques  : lutte, pancrace, boxe… L’idée était de vérifier la validité des hypothèses historiques tirées de l’étude des textes, des objets antiques ou des représentations visuelles, comme les fresques et les mosaïques.

    [...] Assise sur un des bancs qui entoure l’aire de combat, Meryl Ducros, 26  ans, seule femme du lot, scrute les affrontements qui s’enchaînent. Doc­torante en histoire, la fille de Brice Lopez boucle ­actuellement sa thèse à l’université de Montpellier. Son thème  ? «  Gladiateurs de l’Orient grec, représentations et statut social  ». «  Je ne pensais pas l’avoir influencée à ce point », s’étonne encore le père. Meryl Ducros, elle, s’amuse de l’atavisme  : «  A l’inverse des autres historiens, j’ai d’abord vécu les combats avant d’étudier les textes et les représentations iconographiques. Pour un sujet comme le mien, l’#expérimentation est essentielle. Contrairement au Moyen Age, on n’a pas retrouvé de manuel de combat antique.   » La fille et le père échangent continuellement. Quand l’une ramène la photo d’une fresque débusquée dans un musée du nord de la Grèce, l’autre en teste la posture des personnages.

    «  Lorsqu’on trouve des armes en fouille, témoigne encore Claude Sintès, du Musée de l’Arles antique, Acta met en place un protocole pour comprendre leur utilisation et nous apporte des solutions. Ils sont dans le dur physique, et nous, plus dans l’#intellectualisation.  » L’une des fiertés de Brice Lopez et de son équipe est de contribuer à dissiper les idées reçues colportées par le cinéma et les jeux vidéo. «   Tout ce que l’on croit savoir des gladiateurs est faux et découle des tableaux des peintres pompiers du XIXe siècle, siffle le patron d’Acta. L’Europe vivait alors dans une ambiance de colonisation, de compétition capitaliste et ne pouvait concevoir un monde fait pour le spectacle.  » Au premier rang des erreurs historiques, figure ainsi le pouce renversé. «  Le peintre Jean-Léon Gérôme l’a popularisé avec son œuvre Pollice verso , assure Meryl Ducros. Dans l’Antiquité, cela n’existait pas. Les gladiateurs combattaient entre membres de la même école. Le but était la soumission de l’adversaire, pas sa mise à mort, qui restait extrêmement rare.   »

    #histoire_romaine

  • Migrants dans les Balkans : un sommet « opérationnel » pour une situation exceptionnelle

    L’agence européenne de surveillance des frontières Frontex est désormais au cœur du dispositif de la #politique_d’asile : elle doit organiser la difficile procédure d’#enregistrement des demandeurs mais aussi participer plus activement à la #politique_de_retour. Le tout avec des moyens qui ont été promis mais se font encore attendre.

    http://justpaste.it/ojoq
    #summit #Balkans #asile #migrations #réfugiés #politique_migratoire #Frontex #militarisation_des_frontières #renvoi #retour

    v. sur la page du Monde :
    http://www.lemonde.fr/europe/article/2015/10/25/migrants-dans-les-balkans-un-sommet-operationnel-pour-une-situation-exceptio
    signalé par @fil

    • Pourparlers sur les flux migratoires à Sofia

      Serbie, Bulgarie, Roumanie ont examiné samedi à Sofia les possibilités d’améliorer la coordination des flux migratoires entre pays des Balkans. Ces pays en discuteront dimanche à Bruxelles lors d’un mini-sommet avec des représentants de l’UE.


      http://www.bluewin.ch/fr/infos/international/2015/10/24/trois-pays-des-balkans-veulent-mieux-organiser-les.html

    • Réfugiés : Berlin et les dirigeants des Balkans s’accordent à l’arraché sur un #plan_d’urgence

      Ce n’est pas ce nouveau rendez-vous bruxellois qui allait résoudre la crise des migrants qui menace de déstabiliser l’Europe. Mais le « mini-sommet » bruxellois de dimanche, consacré à la route des Balkans occidentaux qu’empruntent des milliers de réfugiés syriens, irakiens ou afghans, a eu au moins le mérite de mettre tous les dirigeants concernés autour de la table.

      http://www.lemonde.fr/europe/article/2015/10/26/refugies-berlin-et-les-dirigeants-des-balkans-s-accordent-a-l-arrache-sur-un

    • Meeting on the Western Balkans Migration Route: Leaders Agree on 17-point plan of action

      The past weeks have shown that the challenges currently faced along the Western Balkans migration route will not be solved through national actions. Only a collective, cross-border approach based on cooperation can succeed. This is why President Juncker convened the leaders of the countries concerned and most affected by the emergency situation along the Western Balkans route.

      Today, leaders representing Albania, Austria, Bulgaria, Croatia, the former Yugoslav Republic of Macedonia, Germany, Greece, Hungary, Romania, Serbia and Slovenia met in Brussels at the Commission’s Berlaymont Headquarters and agreed to improve cooperation and step up consultation between the countries along the route and decided on pragmatic operational measures that can be implemented as of tomorrow to tackle the refugee crisis in the region.

      European Commission President Jean-Claude Juncker said: “Countries affected should not only talk about and at each other but also with each other. Neighbours should work together not against each other. Refugees need to be treated in a humane manner along the length of the Western Balkans route to avoid a humanitarian tragedy in Europe. I am therefore pleased that today we were able to jointly agree on a 17-point plan of pragmatic and operational measures to ensure people are not left to fend for themselves in the rain and cold.”

      http://europa.eu/rapid/press-release_IP-15-5904_en.htm

    • Résumé de Laurence Pillant (reçu via la mailing-list Migreurop) :

      Pour prendre le pouls grec dans la presse nationale après le "mini-sommet" européen, voici un extrait de la revue de presse de l’ambassade française (http://www.ambafrance-gr.org/Les-dernieres-revues-diffusees-en-ligne) en Grèce sur le contrôle migratoire :

      Sous le titre « Berlin a fait passer son programme sur la question des réfugiés » et affirmant « la satisfaction de Berlin à l’égard d’Athènes », le quotidien économique Imerissia fait état de dures négociations lors du mini-sommet sur la crise des réfugiés. Le PM grec, M. Tsipras se serait félicité du rejet de trois propositions qu’il a lui-même qualifié d’« absurdes », comme il les a qualifiées, avaient été rejetées. Il s’agit de : a) la création d’une ville de 50.000 personnes, qui s’ajouterait aux engagements déjà pris par Athènes sur la création de centres d’accueil pour 7.000 réfugiés dans les îles et pour 20.000 personnes en Attique et dans le Nord de la Grèce, d’ici la fin de l’année. La partie grecque a accepté finalement d’accueillir 20.000 réfugiés supplémentaires, pour lesquels une subvention de leurs loyers serait prévue sur financements européens pendant la durée de leur séjour en Grèce ; b) la possibilité pour un pays de ne pas autoriser le passage sur son territoire de réfugiés venant d’un autre pays. Cette éventualité risquait d’aggraver la situation de la Grèce. Il a donc été convenu d’informer le pays de passage en question au sujet du nombre des réfugiés qui le concernera ; c) une nouvelle opération de FRONTEX à la frontière Nord de la Grèce,
      destinée à empêcher les flux migratoires en direction de l’ARYM.

      Le PM grec a en outre souligné qu’il avait été constaté « à l’unanimité » que la Turquie jouait un rôle primordial en ce qui concerne les flux des migrants et reconnu la nécessité d’une coopération étroite entre les deux services des garde-côtes. Imerissia relève que les dirigeants des pays ayant participé à ce mini-sommet ont exprimé par une déclaration commune leur satisfaction au sujet de l’intention de la Grèce d’augmenter sa capacité d’accueil de réfugiés. Plusieurs journaux relèvent que ce développement a été salué par le porte-parole de la chancellerie allemande, M. Seibert, comme étant « particulièrement important ». Selon Kathimérini, l’ambiance au début du sommet était très lourde vis-à-vis de la Grèce et le Premier ministre grec aurait essuyé les tirs de ses
      homologues hongrois, M. Orban, et croate, M. Milanovic. M. Tsipras aurait toutefois reçu le soutien du Haut-Commissaire des Nations Unies pour les réfugiés, M.Antonio Guterres. Selon une source diplomatique, le PM grec a fait preuve de sang-froid, reconnu le retard de la partie grecque dans l’ouverture des « hotspots » et affirmé que ces centres seraient prêts dans un mois et demi. Kathimérini publie un article sur « la question des réfugiés (qui) menace l’Europe » soulignant que l’euroscepticisme et la xénophobie minent les valeurs de l’U.E. et renforcent les partis nationalistes et extrémistes. De son côté, Ta Néa, souligne que, si la Grèce a pris des engagements, ce n’est pas le cas pour les autres pays ayant participé au mini-sommet. L’article attire l’attention sur l’absence de cette réunion informelle tant de la France que de la Turquie. Ce reportage déplore l’incertitude du « plan en 17 points » adopté, qui ne fait allusion qu’à l’augmentation de la capacité d’accueil de 50.000 places le long du « couloir
      balkanique », sans que les pays de transit (l’Albanie, la Bulgarie, la Croatie, l’ARYM, la Hongrie, la Roumanie, la Serbie et la Slovénie) se soient engagés sur un nombre précis de réfugiés à accueillir sur leur propre territoire. Selon le journal des rédacteurs, le ministre délégué à la politique migratoire, M. Mouzalas, a salué le programme de logement sur financement européen décidé dimanche dernier. Le quotidien rappelle que, selon un communiqué de la Commission européenne, la Grèce toucherait 5,9 millions d’euros du « Fonds asile, migration et intégration » pour la création des « hotspots » et des structures d’accueil. Ta Néa note que, selon le plan approuvé, 3.000 réfugiés seront logés dans des structures provisoires dans Athènes. Le ministre compétent, M. Mouzalas, a évoqué la création, avec l’ONU, de deux structures d’accueil en Attique et dans le Nord de la Grèce, susceptibles d’accueillir 10.000 réfugiés chacune, sans exclure la possibilité de subdiviser ces structures en unités plus petites. Le ministre a rappelé un accord récent avec le ministère de la défense, qui accepterait la création d’un centre d’accueil dans un camp militaire désaffecté, à Phyli en Attique. Le projet de mise en place d’un centre dans les installations de la PYRKAL à Lavrio en Attique s’est heurté à la forte réaction du conseil municipal local. Dans le Nord, le gouvernement examinerait la mise à profit d’un ancien bâtiment dans la zone industrielle de Sindos, près de Thessalonique. Les partis politiques ont critiqué les résultats du mini-sommet. Ainsi, la ND a parlé de la
      transformation de la Grèce en un « dépôt d’âmes » et reproché au Premier ministre d’avoir observé le silence sur deux questions cruciales, à savoir sur la mise en oeuvre immédiate des procédures de réadmission du côté de la Turquie et sur le refoulement des migrants qui pénètrent illégalement sur le territoire grec sans être des réfugiés. Dans un communiqué, le PASOK reproche au gouvernement son manque de préparation avant le sommet et son ambivalence entre la rhétorique des droits des réfugiés et sa réaction phobique face aux réfugiés eux-mêmes et à leurs problèmes. Réaffirmant sa volonté d’aider les efforts nationaux de gestion des flux migratoires, ce parti réclame une information complète et continue au sein de l’Assemblée nationale. Un communiqué du parti communiste KKE qualifie les dernières décisions de douloureuses et de dangereuses tant pour les réfugiés que pour le peuple grec et invite le peuple grec à réagir de manière massive et déterminée. Pour le dirigeant de l’Unité populaire (LAE), M. Lafazanis, le résultat du mini-sommet a été « un fiasco assourdissant ». « La Grèce doit devenir une force de renversement progressiste en Europe », a-t-il soutenu, reprochant « aux gouvernements grecs de céder
      continuellement devant les exigences inextricables de l’Europe allemande ».

  • Bras de fer autour d’un mégaprojet minier en Grèce - Observatoire des multinationales
    http://multinationales.org/Bras-de-fer-autour-d-un-megaprojet-minier-en-Grece
    http://multinationales.org/IMG/arton570.jpg?1426065563

    L’affaire est considérée par beaucoup comme une illustration de la tentative d’importer en Europe du Sud, à la faveur de la crise, les pratiques douteuses des multinationales minières, subies depuis des décennies par les pays d’Afrique, d’Amérique latine et d’Asie. L’entreprise minière canadienne Eldorado Gold veut relancer la mine de Skouries et ouvrir plusieurs nouvelles mines d’or dans la péninsule de Chalcidique, au Nord de la Grèce. Des projets qui menacent de bouleverser en profondeur un environnement relativement préservé, et de polluer les seules sources d’eau potable de la région. Profitant du contexte d’austérité et de portes grands ouvertes aux investisseurs étrangers, la multinationale avait réussi à s’assurer le soutien des autorités locales et nationales. Le nouveau gouvernement grec emmené par Syriza a retiré son soutien au projet, mais sur le terrain, la lutte continue.

    #voilà_voilà

  • Bras de fer autour d’un mégaprojet minier en #Grèce
    http://multinationales.org/Bras-de-fer-autour-d-un-megaprojet-minier-en-Grece

    L’affaire est considérée par beaucoup comme une illustration de la tentative d’importer en Europe du Sud, à la faveur de la crise, les pratiques douteuses des multinationales minières, subies depuis des décennies par les pays d’Afrique, d’Amérique latine et d’Asie. L’entreprise minière canadienne #Eldorado_Gold veut relancer la mine de Skouries et ouvrir plusieurs nouvelles mines d’or dans la péninsule de Chalcidique, au Nord de la Grèce. Des projets qui menacent de bouleverser en profondeur un (...)

    Actualités

    / L’Humanité, Grèce, #Industries_extractives, Eldorado Gold, #Industries_extractives, #industries_extractives, #eau, #communautés_locales, #influence, impact sur (...)

    #L'Humanité #impact_sur_l'environnement
    « http://www.humanite.fr/les-citoyens-de-chalcidique-preferent-la-vie-lor-567758 »

  • Cinq squelettes découverts dans un mystérieux tombeau grec | ICI.Radio-Canada.ca
    http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/science/2015/01/19/002-grece-tombe-squelette.shtml

    Des ossements humains trouvés dans une tombe du nord de la Grèce sont ceux d’au moins cinq personnes, dont une femme âgée et un bébé, ont révélé lundi des responsables grecs.
    (…)
    On ne sait pas quand les cinq individus sont morts ni quand ils ont été enterrés, ni même si la tombe avait été construite pour eux.
    (…)
    L’annonce de lundi [19 janvier] révèle que les ossements sont ceux d’une sexagénaire qui souffrait d’ostéoporose et de problèmes hormonaux ; de deux hommes âgés de 35 à 45 ans, dont le plus jeune avait été poignardé à mort ; d’un nouveau-né de sexe indéterminé ; et d’un quatrième adulte, dont la dépouille, contrairement aux autres, avait été incinérée.

    D’autres tests sont attendus pour mesurer l’âge des restes et déterminer si les morts étaient parents.

    L’archéologue en chef, Katerina Peristeri, a admis que la principale chambre funéraire a été pillée de fond en comble.

    L’info sur Sciences et Avenir
    Qui sont les 5 mystérieux squelettes du tombeau grec d’Amphipolis ? - Sciences et Avenir
    http://www.sciencesetavenir.fr/archeo-paleo/20150119.OBS0266/5-individus-dans-le-tombeau-grec-d-amphipolis.html

    Mais c’est surtout la découverte, à l’automne 2014, d’un sarcophage en calcaire contenant un grand nombre de fragments d’os qui a retenu l’attention. Les archéologues en auraient récupéré plus de 550 morceaux, selon le dernier pointage des autorités grecques. Dont un crâne en bon état. Soit cinq individus au total parmi lesquels une femme d’environ 60 ans, deux hommes de 35 à 45 ans et un nouveau-né selon les chercheurs de l’université Aristote de Thessalonique, et de l’université Démocrite de Thrace.

  • Grèce - « Le mouvement des pommes de terre » continue malgré l’interdiction | Okeanews
    http://www.okeanews.fr/20141022-mouvement-pommes-terre-continue-malgre-linterdiction

    Le « Mouvement de la patate » - initiative populaire qui s’est fait connaître il y a trois ans en court-circuitant les intermédiaires entre les producteurs et les consommateurs - poursuivra ses activités, selon l’un de ses fondateurs.

    Ilias Tsolakidis, l’un des fondateurs du groupe, a dit que celui-ci continue sa lutte et a annoncé la distribution de produits (pommes, pommes de terre et lentilles) ce samedi aux consommateurs de Katerini, au nord de la Grèce, avec l’autorisation de la municipalité, malgré la loi votée par le Parlement en mai dernier qui interdit la vente de rue dans les communes de plus de 3.000 habitants et qui proscrit de nouvelles autorisations de vente ambulante aux producteurs.

    Le groupe Action volontaire, qui a lancé l’initiative en février 2012, décrit cette nouvelle législation comme étant une tentative tortueuse d’abolition du mouvement « Pas d’intermédiaire », popularisé par les média sous le nom de « Mouvement de la patate ».

    « En d’autres mots, un fermier ne pourra pas vendre ses produits directement au consommateur mais seulement aux négociants et aux grandes surfaces » a dit Tsolakidis à The Press Project International, ajoutant que le groupe « Action volontaire » débutera une campagne nationale pour contraindre le gouvernement à retirer sa loi.

    Il ajoute qu’au lieu de réprimer les intermédiaires en limitant leurs profits, le gouvernement cherche à détruire les marchés de rue pour servir les intérêts des multinationales et des grandes chaînes de distribution.

    « Pas d’intermédiaires » a débuté lorsque le groupe « Action volontaire », dans son berceau de Katerini, a incité les producteurs de pommes de terre à vendre leurs produits directement aux consommateurs, par solidarité - alors que la Grèce faisait déjà face à un chômage record et que son économie sombrait à un niveau alarmant.

    L’idée de court-circuiter supermarchés et épiceries a jailli et s’est répandue comme un incendie à travers le pays. Les prix se sont effondrés et le mouvement a financièrement soulagé des milliers de foyers, tout en mettant en lumière les profits des chaînes de supermarchés. En plus des pommes de terre, sont vendues des olives, du riz, des oignons et d’autres aliments de base.

    #circuits_courts #autonomie #ruralité #paysannerie #démocratie #désobéissance

  • Larmes et crocodile
    http://www.greekcrisis.fr/2014/07/Fr0359.html

    Certains en Grèce alors s’alarment du fait de cette “vente forcée du package” incluant aussi les gisements de lignite du nord de la Grèce, huitième pays producteur au niveau mondial, notons-le, (cinquième producteur mondial d’après d’autres sources). D’une valeur estimée à 100 milliards d’euro, (50 milliards d’après la direction de la Régie), ces gisements seraient alors “offerts aux investisseurs” pour à peine deux milliards d’euros selon les syndicats et la presse de l’opposition. Source : greek crisis

  • Encre de Chine
    http://www.greekcrisis.fr/2014/06/Fr0356a.html

    Sauf que... l’atmosphère athénienne avait autant causé des malaises chez certains manifestants, étant donné que ces... pèlerins de la manifestation, avaient voyagé en autocar depuis leurs contrées du Nord de la Grèce. Une si longue journée d’une époque interminable. Ainsi... acheminés finalement aux urgences des hôpitaux de la capitale, ils ont pu constater en... première loge, combien notre système de santé est encore quelque part vivant, même si, leurs proches ont dû signer un document administratif “acceptant ainsi... d’assumer la charge financière de l’admission à l’Hôpital ainsi que de l’ensemble des actes et examens pratiqués, au cas où leurs malades ne seraient pas couverts par la sécurité sociale”. Source : greek (...)

  • Histoire des animaux
    http://www.greekcrisis.fr/2014/03/Fr0332.html

    En ce moment en Grèce, la Régie ex-publique d’Électricité (DEI) est sur le point d’être coupée en morceaux, et ainsi mise en vente dans la braderie organisée, le prix unique du livre est menacé et la politique “culturelle” de la “gouvernance” Samaras veut imposer “d’urgence” la suppression, oui, l’abolition du statut des droits d’auteur des artistes et musiciens, (presse de la semaine). Cette semaine encore, le ministère de l’Éducation, par une “ordonnance urgente”, interdit aux lycéens des quartiers Sud d’Athènes toute participation aux mobilisations des comités de quartier contre la “vente” des installations et des pistes de l’ancien aéroport d’Athènes à Ellinikon, tandis que des prélèvements ADN sont pratiqués chez certains habitants à Skouries au Nord de la Grèce qui luttent depuis deux ans, contre (...)

  • Sur la terasse du café ethnique
    http://www.greekcrisis.fr/2013/12/Fr0309.html

    Déjà, ces mercenaires de la Blackwater rebaptisée Academi, seraient en train de prendre en main le “gardiennage” et le maintien de l’ordre dans la région investie par l’exploitant Eldorado Gold à Skouries (mines d’or), au nord de la Grèce, et ceci, à partir du 1er janvier 2014 (reportage du quotidien “Eleftherotypia” du vendredi 20 décembre). C’est vrai que toute la population s’y oppose et que les policiers grecs rechignent de plus en plus à servir de la (mauvaise) sorte ; les tenants de notre régime d’exception qui n’aboutira en rien, sauf à l’esclavage. Source : greek crisis

  • Le 9 novembre 2013, journée mon­diale d’action
    contre les mines d’or en Chalcidique, au nord de la Grèce

    http://www.lavoiedujaguar.net/Le-9-novembre-2013-journee-mon

    La Chalcidique est d’une beauté natu­relle telle que tous les ans elle est inon­dée de tou­ristes venus du monde entier. Dans la par­tie occiden­tale de la Chalcidique se trouve la forêt pri­maire de Skouries. Depuis quelques années, la société minière mul­ti­na­tio­nale Eldorado Gold est éta­blie à Skouries. Avec le concours de puis­sants inté­rêts privés locaux, elle a entamé des acti­vi­tés d’extraction minière à grande échelle.

    Ainsi, la des­truc­tion irré­pa­rable de l’écosystème de Skouries est déjà en cours, impli­quant des dan­gers majeurs de pollu­tion du sol et de l’aqui­fère de toute la Chalcidique occi­den­tale par des métaux lourds. (...)

    #Grèce #mines #résistance #solidarité

  • Chasse au trésor, documentaire contre les mines
    en Chalcidique, au nord de la Grèce

    http://www.lavoiedujaguar.net/Chasse-au-tresor-documentaire

    Chasse au trésor est un film collectif, « un film d’investigation sur l’extraction de l’or au nord de la Chalcidique », selon les réalisateurs.

    Il a été achevé en 2007 et retrace la longue lutte des habitants de certains villages de la région de Chalcidique, au nord de la Grèce, qui s’opposent à la construction d’une mine d’or, en plein milieu d’une des plus belles forêts du pays, par une compagnie canadienne.

    Le documentaire se termine avec la victoire des habitants du village d’Olympiada et le commencement de la lutte des habitants de Megali Panagia et Ierissos contre le lancement d’un nouveau plan d’extraction près de leurs villages. Une résistance qui aujourd’hui, six ans après, est devenue l’une des principales luttes qui se déroulent sur le territoire grec.

    #Grèce #résistance #mine #or

  • Actualutte – Grèce : des manifestants anti-austérité font fuir le président - Actualutte
    http://actualutte.info/2011/10/28/grece-des-manifestants-anti-austerite-font-fuir-le-president

    Le président grec Carolos Papoulias a pris la fuite devant une manifestation anti-austérité à Salonique. Cette ville devait accueillir la parade militaire

    Plusieurs centaines de manifestants anti-austérité ont empêché la tenue de la parade militaire annuelle du 28 octobre à Salonique au nord de la Grèce, forçant le président de la République Carolos Papoulias à quitter les lieux.