• Décoloniser le changement climatique

    Les destructions des écosystèmes se sont accélérées et ont exacerbé les #relations_de_dominations entre Nord et Sud globaux. L’#environnementalisme_occidental, par son exclusion d’une partie des peuples de la Terre, a échoué à proposer des outils théoriques, pratiques et politiques pour véritablement confronter la #crise_écologique globale et construire un monde plus juste. En partant des expériences des #peuples_autochtones et subalternes du Sud et Nord, et des territoires anciennement colonisés y compris des « #Outre-mer », Plurivers offre une approche plurielle des pensées de l’#écologie allant au-delà de la #modernité occidentale. Internationale, interdisciplinaire et plurilingue, cette revue permet de penser les possibilités d’action selon notre position sociale et géographique ; elle dessine différents possibles afin de #faire-monde en commun à l’heure où les conditions d’#habitabilité de la Terre sont en péril.

    https://www.editionsducommun.org/products/plurivers-1-fevrier-2024

    #changement_climatique #climat #revue #décolonial

  • #Chowra_Makaremi : « Le #viol devient le paradigme de la loi du plus fort dans les #relations_internationales »

    En #Ukraine, Poutine revendique de faire la guerre au nom du genre. En #Iran, le régime réprime implacablement la révolution féministe. Dans d’autres pays, des populistes virilistes prennent le pouvoir. Une réalité que décrypte l’anthropologue Chowra Makaremi.

    IranIran, Afghanistan, invasion russe en Ukraine, mais aussi les discours des anciens présidents Donald Trump ou Jair Bolsonaro ou du chef de l’État turc, Recep Tayyip Erdogan : tous ont en commun de s’en prendre aux #femmes, comme l’explique l’anthropologue Chowra Makaremi.

    L’autrice de Femme ! Vie ! Liberté ! Échos du soulèvement en Iran (La Découverte, 2023) fait partie des chercheuses sollicitées par Mediapart pour #MeToo, le combat continue, l’ouvrage collectif publié récemment aux éditions du Seuil et consacré à la révolution féministe qui agite le monde depuis l’automne 2017 et le lancement du fameux mot-clé sur les réseaux sociaux. Depuis, toutes les sociétés ont été traversées de débats, de controverses et de prises de conscience nouvelles. Entretien.

    Mediapart : « Que ça te plaise ou non, ma jolie, il va falloir supporter. » Cette phrase a été prononcée le 7 février 2022 par le président russe, #Vladimir_Poutine, devant Emmanuel Macron. Elle était adressée à l’Ukraine et à son président, Volodymyr Zelensky, qui venait de critiquer les accords de Minsk, signés en 2015 pour mettre fin à la guerre dans le Donbass. Quelle lecture en faites-vous ?

    Chowra Makaremi : Le viol devient le paradigme de la #loi_du_plus_fort dans les relations internationales. La philosophe #Simone_Weil souligne dans un texte combien la #guerre relève de la logique du viol, puisque sa matrice est la #force qui, plus que de tuer, a le pouvoir de changer l’être humain en « une #chose » : « Il est vivant, il a une âme ; il est pourtant une chose. [L’âme] n’est pas faite pour habiter une chose ; quand elle y est contrainte, il n’est plus rien en elle qui ne souffre violence », écrit-elle.

    Cette comptine vulgaire de malfrats que cite #Poutine dit la culture criminelle qui imprègne sa politique. Elle me fait penser à ce que l’anthropologue Veena Das nomme la dimension voyou de la souveraineté étatique : la #truanderie comme n’étant pas seulement un débordement illégitime du pouvoir mais, historiquement, une composante de la #souveraineté, une de ses modalités.

    On le voit avec le pouvoir de Poutine mais aussi avec ceux de #Narendra_Modi en #Inde (dont parle Veena Das), de #Donald_Trump aux #États-Unis, de #Jair_Bolsonaro au #Brésil, de #Recep_Tayyip_Erdogan en #Turquie. Quand Poutine a dit sa comptine, personne n’a quitté la salle, ni Emmanuel Macron ni la presse, qui a cherché, au contraire, à faire parler la symbolique de cette « remarque ». Tout le réseau de sens et de connexions qui permet à cette cruelle boutade de tenir lieu de discours guerrier intuitivement compréhensible et audible montre que le type d’#outrage dont elle relève est une #transgression qui appartient, à la marge, à l’#ordre.

    On parle de la #masculinité_hégémonique au pouvoir avec Poutine, mais elle fait écho à celle de nombreux autres chefs d’État que vous venez de citer. Quelles sont les correspondances entre leurs conceptions de domination ?

    Il n’y a pas, d’un côté, les théocraties comme l’Iran et l’Afghanistan, et, de l’autre, les populismes virilistes de Trump, Erdogan, Bolsonaro, qui s’appuient sur des « #paniques_morales » créées par la remise en cause des rôles traditionnels de #genre, pour s’adresser à un électorat dans l’insécurité. Bolsonaro, très lié à l’armée et à l’Église, s’est appuyé sur je ne sais combien de prêcheurs pour mener sa campagne. Dimension religieuse que l’on retrouve chez Poutine, Modi, Erdogan.

    La #religion est un des éléments fondamentaux d’un #pouvoir_patriarcal très sensible à ce qui peut remettre en question sa #légitimité_symbolique, sa #domination_idéologique, et dont la #puissance est de ne pas paraître comme une #idéologie justement. Cette bataille est menée partout. Il y a un même nerf.

    Quand l’anthropologue Dorothée Dussy parle de l’inceste et de sa « fonction sociale » de reproduction de la domination patriarcale, son analyse est inaudible pour beaucoup. C’est ainsi que fonctionne l’#hégémonie : elle est sans pitié, sans tolérance pour ce qui peut en menacer les ressorts – et du même coup, en cartographier le pouvoir en indiquant que c’est là que se situent les boulons puisque, précisément, la puissance de l’hégémonie est dans l’invisibilité de ses boulons.

    Si on prend le #droit_de_disposer_de_son_corps, en Occident, il s’articule autour de la question de la #santé_contraceptive et du #droit_à_l’avortement et dans les mondes musulmans, autour de la question du #voile. De façon troublante, une chose est commune aux deux situations : c’est le viol comme la vérité des rapports entre genres qui organise et justifie la #contrainte sur les femmes à travers leur #corps.

    En Occident, le viol est le cas limite qui encadre juridiquement et oriente les discussions morales sur l’#avortement. Dans les sociétés musulmanes, la protection des femmes – et de leur famille, dont elles sont censées porter l’honneur – contre l’#agression_masculine est la justification principale pour l’obligation du voile. Il y a de part et d’autre, toujours, cet impensé du #désir_masculin_prédateur : un état de nature des rapports entre genres.

    C’est ce qu’assènent tous les romans de Michel Houellebecq et la plupart des écrits du grand Léon Tolstoï… « L’homme est un loup pour l’homme, et surtout pour la femme », dit un personnage du film Dirty Dancing. Cette population définie par ces rapports et ces #pulsions, il s’agit de la gouverner à travers l’#ordre_patriarcal, dont la domination est posée dès lors comme protectrice.

    L’Iran et l’#Afghanistan figurent parmi les pays les plus répressifs à l’encontre des femmes, les régimes au pouvoir y menant un « #apartheid_de_genre ». Concernant l’Afghanistan, l’ONU parle même de « #crime_contre_l’humanité fondé sur la #persécution_de_genre ». Êtes-vous d’accord avec cette qualification ?

    Parler pour la persécution de genre en Afghanistan de « crime contre l’humanité » me semble une avancée nécessaire car elle mobilise les armes du #droit pour désigner les #violences_de_masse faites aux femmes et résister contre, collectivement et transnationalement.

    Mais il me paraît tout aussi important de libérer la pensée autour de la #ségrégation_de_genre. À la frontière entre l’Iran et l’Afghanistan, au #Baloutchistan, après la mort de Jina Mahsa Amini en septembre 2022, les femmes sont sorties dans la rue au cri de « Femme, vie, liberté », « Avec ou sans le voile, on va vers la révolution ». Dans cette région, leur place dans l’espace public n’est pas un acquis – alors qu’il l’est à Téhéran – et elles se trouvent au croisement de plusieurs dominations de genre : celle d’un patriarcat traditionnel, lui-même dominé par la puissance étatique centrale, iranienne, chiite.

    Or, en participant au soulèvement révolutionnaire qui traversait le pays, elles ont également renégocié leur place à l’intérieur de ces #dominations_croisées, chantant en persan, avec une intelligence politique remarquable, le slogan des activistes chiliennes : « Le pervers, c’est toi, le salopard, c’est toi, la femme libérée, c’est moi. »

    C’est en écoutant les femmes nommer, en situation, la #ségrégation qu’on saisit le fonctionnement complexe de ces #pouvoirs_féminicides : en saisissant cette complexité, on comprend que ce n’est pas seulement en changeant des lois qu’on les démantèlera. On se trouve ici aux antipodes des #normes_juridiques, lesquelles, au contraire, ressaisissent le réel dans leurs catégories génériques. Les deux mouvements sont nécessaires : l’observation en situation et le #combat_juridique. Ils doivent fonctionner ensemble.

    https://www.mediapart.fr/journal/international/040124/chowra-makaremi-le-viol-devient-le-paradigme-de-la-loi-du-plus-fort-dans-l

  • Berlin-Besuch : Für Nancy Pelosi bleibt das Goldene Buch verschlossen – US-Politikerin im Roten Rathaus
    https://www.berliner-zeitung.de/politik-gesellschaft/berlin-besuch-fuer-nancy-pelosi-bleibt-das-goldene-buch-verschlosse


    Quelle marque de baskets porte l’ambassadrice Amy Gutmann ?

    A l’époque de la DDR la fidélité de vassal états-unienne affichée par les politiciens de Berlin-Ouest fut l’expression d’un équlibre précaire enret les blocs de l’Est et de l’Ouest. Aujourd’hui le maire de Berlin montre la même attitude lors du spectacle de la visite privée de la „Speaker Emerita“ Pelosi.

    Les chrétien-démocrates, social-démocrates et verts jurent toujours sur la constitution états-unienne comme à l’époque du mur. Le maire de Berlin exprime son appréciation particulière de la récente apparition de Pelosi dans le rôle de Madame Chiang Kai-shek dans le théâtre chinois. A Berlin l’esprit de la ville-frontière hante les politiciens municipaux. Heureusement le ridicule ne tue pas les zombies politiques.

    Elmar Schütze - Die Grande Dame der US-Demokraten zu Gast in Berlin: Erst lobte sie Regierungschef Kai Wegner, am Abend war Nato-Generalsekretär Jens Stoltenberg an der Reihe.

    Wenn eine eine Reise tut – und noch dazu eine weite –, dann nimmt sie gerne mit, was geht. Nancy Pelosi war am Freitag nach Berlin gekommen, um einen Termin bei der American Academy zu absolvieren. Der altehrwürdige amerikanische Thinktank verleiht den Henry-A.-Kissinger-Preis 2023 an Nato-Generalsekretär Jens Stoltenberg. Die langjährige Sprecherin der Demokraten im US-Repräsentantenhaus ist als Laudatorin gebucht.

    Da sie nun also ohnehin nach Berlin kommen wollte, ließ Pelosi ihr Büro nach weiteren Polit-Terminen in der Stadt suchen. Fündig wurden ihre Leute beim Regierenden Bürgermeister Kai Wegner im Roten Rathaus und anschließend bei Bundestagspräsidentin Bärbel Bas im Regierungsviertel. Am Freitagabend stand dann der eigentliche Grund der Reise an: Die American Academy hatte für die Preisvergabe die Telekom-Repräsentanz an der Französischen Straße gemietet.

    Magenta dominiert bei Nancy Pelosis Besuch in Berlin

    Apropos Telekom. Womöglich hatte sich Pelosi von der Werbe-Farbe von Europas größtem Telekommunikationsunternehmen inspirieren lassen. Jedenfalls trug sie beim Besuch bei Kai Wegner am frühen Nachmittag ein Kostüm in Magenta.

    Begleitet wurde die 83-jährige Grande Dame der US-Demokraten von Botschafterin Amy Gutmann. Die 73-Jährige, eine passionierte Radfahrerin, wie sie die erstaunte Hauptstadtpresse schon mehrfach wissen ließ, trug einen dunklen Blazer, darunter ein kurzes rotes Kleid, nackte Beine und weiße Turnschuhe an den Füßen.

    Obama trug sich im Goldenen Buch ein, für Nancy Pelosi blieb das Gästebuch

    Bei der Gelegenheit ließen sich einmal mehr die Feinheiten des Protokolls des Roten Rathauses bewundern. So wurde Nancy Pelosi zunächst die Vitrine mit dem Goldenen Buch Berlins mit dem Eintrag des damaligen US-Präsidenten Barack Obama aus dem Jahr 2013 gezeigt. Für die nicht in Regierungsfunktion angereiste Pelosi blieb das Gästebuch der Stadt Berlin. In diesem verewigte sie sich als „Speaker Emerita“, als ehemalige Sprecherin des Repräsentantenhauses.

    In ihre Rede stieg die weltgewandte Pelosi, die zuletzt mit ihrem Engagement für die Unabhängigkeit Taiwans einen Aufschrei der Volksrepublik China provozierte, mit einem langgezogenen „Oui gääht’s?“ ein. Um dann in ihrer Muttersprache Gastgeber Kai Wegner für seine jüngsten Statements zu Israel und Palästina zu loben. Der Regierende Bürgermeister sei eindeutig jemand, „der die Menschen zusammenbringen möchte“.

    Wegner revanchierte sich artig, indem er sagte, wie „glücklich und auch stolz“ er sei, Pelosi empfangen zu dürfen. Er sei bekanntlich „jemand, der felsenfest an die transatlantischen Beziehungen, an ein starkes Band für Freiheit, Demokratie und Menschenrechte“ glaube, so Wegner. Schließlich habe er persönlich es den Westalliierten zu verdanken, „dass ich in Frieden und Freiheit aufwachsen durfte“. So freue er sich jetzt schon darauf, im kommenden Jahr Los Angeles zu besuchen, die Metropole, mit der Berlin die älteste Städtepartnerschaft aufweise. Bei der Gelegenheit wolle er auch nach Boston reisen, sagte er.

    Seit diesem Freitag kommt für Wegner vielleicht noch ein weiteres Ziel hinzu: Baltimore. Schließlich hatte ihm Nancy Pelosi gerade davon erzählt, dass ihr Vater und ihr Bruder Bürgermeister der Stadt bei Washington D.C. gewesen seien und von Baltimores Rathaus geschwärmt.

    Kai Wegner wünscht den US-Demokraten Glück bei Präsidentschaftswahl

    Ganz am Ende wurde Kai Wegner auch parteipolitisch. „Ich wünsche Ihnen alles Gute, auch für die Wahlen in Amerika“, sagte er in Richtung seines Gastes. Deren Ausgang sei „ganz entscheidend für eine enge Zusammenarbeit zwischen den USA und Europa“. Klarer hätte sich der CDU-Politiker kaum vom Ex-US-Präsidenten Donald Trump abgrenzen können, ohne diesen auch nur namentlich zu nennen.

    Anschließend verabschiedeten sich die beiden Politiker – wenn auch nur für ein paar Stunden. Wegner stand am Abend auf der Gästeliste bei der Verleihung des Kissinger-Preises an den Norweger Stoltenberg.

    P.S. Il semble qu’Amy Gutmann et Nancy Pelosi ne soient pas copines à cause de quelques vieilles histoires chinoises.

    Amy Gutmann faced questions over Penn’s donations from China at hearing for ambassadorship
    https://www.inquirer.com/news/amy-gutmann-penn-president-biden-germany-ambassador-20211214.html
    https://www.inquirer.com/resizer/dLVOCRAUIZBHx5US1G7zf5TEtXU=/800x533/smart/filters:format(webp)/cloudfront-us-east-1.images.arcpublishing.com/pmn/32GQQGI6YZFHPILTOL5BJ4V2P4.jpg
    Cet article nous apprend qu’Amy Gutmann a fait embaucher Joe Biden par son université quand il était au chômage. Elle n’est pas appréciée par tous les sénateurs démocrates à cause de ses relations trop étroites avec les républicains (et les Chinois).

    14.12.2021 by Susan Snyder, Jonathan Tamari - “What I do know and what I make sure is that no gifts, no contracts to the University of Pennsylvania are allowed to threaten academic freedom or allowed to threaten national security,” Gutmann said.

    University of Pennsylvania President Amy Gutmann faced questions Tuesday about Penn’s donations from China, but largely batted them back during a relatively ruffle-free, 90-minute Senate foreign relations committee hearing on her nomination to become U.S. ambassador to Germany.

    U.S. Sen. James E. Risch, the ranking Republican on the committee, noted that Penn received $86 million in donations and contracts from China since 2014, and he was surprised that Gutmann had previously said she wasn’t aware of most foreign donations and contracts, nor did she have a role in reporting them to the U.S. Department of Education. Universities’ ties to China have become an issue of increasing importance over the last several years with lawmakers concerned about the country’s influence. Members of both parties see China as America’s most prominent rival for global economic and political influence.

    “I understand a university is a large operation,” said Risch, of Idaho. “However, as captain of the ship, you are in charge of it.”

    Gutmann, 72, who was being considered during the hearing along with nominees for two other posts, said the money from China is a small fraction — less than 1% — of the money Penn takes in. Penn, with its 12 schools and six hospitals, received $5 billion since 2014 and $10 billion over her presidency, which began in 2004. she said.

    “It’s not surprising that I don’t know of specific gifts and contracts,” she said. “...What I do know and what I make sure is that no gifts, no contracts to the University of Pennsylvania are allowed to threaten academic freedom or allowed to threaten national security.”

    “I think that’s a fair answer,” Risch responded.

    Gutmann was introduced to the committee by Pennsylvania Sens. Pat Toomey, a Republican, and Bob Casey, a Democrat, an indication of her bipartisan support. Gutmann, a Harvard-educated political scientist who has written on the spirit of compromise, for years has worked with politicians in both parties, inviting both Democrat Joe Biden, before he was president, and Republican Jeb Bush, the former Florida governor who is son and brother to two former presidents, to serve as presidential professors of practice at Penn.

    Both Toomey and Casey spoke glowingly of Gutmann’s accomplishments as the leader of Philadelphia’s largest private employer and longest-serving Penn president.

    “During her tenure, she dramatically grew Penn’s endowment, expanded Penn’s commitment to science, technology and medical innovation and enhanced the university’s engagement in the Philadelphia community,” Toomey said.

    The committee’s chair, Sen. Bob Menendez (D., N.J.), said Gutmann’s “years of experience” and “powerful family history will no doubt serve us well.”

    She would take over as the U.S. representative to one of America’s most powerful European partners just as, Menendez noted, a new government takes hold in Germany and the country remains a critical ally in deterring Russian aggression.

    “The importance of having a Senate-confirmed U.S. ambassador in Berlin cannot be overstated. This is a critical time for the transatlantic relationship, and particularly for the United States and Germany,” Menendez said in his opening remarks. As Russia’s Vladimir Putin “continues to try to bully his way through Europe, we need strong U.S. representation, and close coordination with allies, to stand up for our partners, and reject illegitimate efforts to redraw the map of Europe.”

    Gutmann, along with former Comcast executive David L. Cohen, was one of Biden’s most prominent early ambassador nominees. She has personal ties to Germany — her father fled Nazi Germany and settled in the United States — and an accomplished academic record. She was also in charge when Penn hired Biden to a lucrative teaching position during his years between the vice presidency and his 2020 campaign for president.

    The hearing Tuesday came more than five months after Gutmann’s July nomination, much to the frustration of Democrats who have accused Republicans of stalling confirmations of uncontroversial nominees to significant positions. The Senate committee still has to vote on Gutmann’s nomination, which would then go to the full Senate for a final vote, neither of which have a clear timeline. Cohen was approved as ambassador to Canada last month.

    If confirmed, Gutmann pledged to work on increasing trade and investment with Germany, combatting climate change, strengthening global health and countering terrorism. She also promised to “engage younger generations of Germans” on the U.S. role in rebuilding Germany.

    “I would be excited to begin work during this key juncture in our relations as a new German government is stepping on to the global stage,” she said.

    #USA #Chine #Allemagne #Berlin #relations_internationales #politique #wtf

  • Oui mais les #cyclistes
    http://carfree.fr/index.php/2023/10/23/oui-mais-les-cyclistes

    Qui n’a pas déjà entendu cette phrase de la part de bagnolards mis face à leurs responsabilités ? Dès qu’on dit aux automobilistes qu’ils roulent trop vite, qu’ils sont dangereux, qu’ils Lire la suite...

    #Alternatives_à_la_voiture #Insécurité_routière #Vélo #2000 #lille #piétons #relations_cyclistes-automobilistes #sécurité_routière

  • Berlin Global Dialogue an der ESMT in Berlin-Mitte : Konferenz über den Wandel
    https://www.berliner-zeitung.de/mensch-metropole/berlin-global-dialogue-an-der-esmt-in-berlin-mitte-konferenz-ueber-

    Le capital allemand lutte pour les marchés des pays aux langues persanes et turciques. Ses représentants cherchent à y réduire l’influence de la Russie et de la Chine. Cette semaine se tient à Berlin une rencontre du chancelier allemand avec de hauts responsables de cinq pays de la région d’Asie. Le remodèlement des relations et alliances internationales se joue par tous les moyens diplomatiques et belliqueuses. On verra si les participants le jugeront utile de nous informer du contenu de leurs pourparlers.

    26.9.2023 von Thomas Fasbender - Initiator der Konferenz ist Lars-Hendrik Röller, Ex-Führungskraft unter Angela Merkel. Es kommen hochrangige Gäste aus Zentralasien und Bundeskanzler Olaf Scholz.

    Im ehemaligen DDR-Staatsratsgebäude in Berlin-Mitte beginnt am Donnerstag der erste Berlin Global Dialogue, eine neue Plattform für internationalen Austausch unter dem Dach der Berliner Wirtschaftshochschule ESMT. Die zweitägige Veranstaltung ist der Transition gewidmet, also Veränderungen in einer Zeit, die von Wende und Wandel geprägt ist. Drei solcher Wenden stehen im Mittelpunkt: zu einer neuen Weltwirtschaftsordnung, zu CO₂-freien Technologien und zu einer gerechteren Gesellschaft.

    Neben Bundeskanzler Olaf Scholz und dem Europarats-Präsidenten Charles Michel nehmen die Präsidenten aus Kasachstan und Sri Lanka sowie die belgischen und albanischen Premierminister teil. Auf Ministerebene sind Saudi-Arabien, Südafrika und Frankreich vertreten, außerdem Vorstandsvorsitzende und Topmanager internationaler Konzerne und Großbanken.

    Klimakrise und der Umbau der Industriegesellschaft

    Initiator des Berlin Global Dialogue ist Lars-Hendrik Röller, unter Angela Merkel von 2011 bis 2021 Leiter der Wirtschafts– und Finanzabteilung im Bundeskanzleramt. Röller lehrt heute als Wirtschaftsprofessor an der ESMT. Das Motiv seines Engagements: „Wir haben einen Punkt erreicht, an dem Staaten- und Unternehmenslenker zur Schaffung eines neuen Wirtschaftssystems zusammenwirken müssen.“

    In einer Ankündigung sagte Röller, die Klimakrise, die neue Weltwirtschaftsordnung und der Umbau der Industriegesellschaft könnten nur in globaler Zusammenarbeit bewältigt werden. Das setze den Dialog zwischen Politik und Wirtschaft voraus und sei auch der Grund, warum man den Berlin Global Dialogue ins Leben gerufen habe.
    Eine neue multipolare Welt

    Der Bundeskanzler begrüßt das neue Format. Die multipolare Welt, so Scholz, verlange nach neuen Perspektiven und multilateralen Lösungen. Der Berlin Global Dialogue habe zum Ziel, die notwendigen Ideen zu generieren, „hier in Berlin, an einem Ort, der für Versöhnung und Einheit steht“.

    Parallel zu der Veranstaltung findet am Freitag ein Gipfeltreffen der fünf Staatschefs aus Zentralasien – Kasachstan, Kirgisistan, Tadschikistan, Turkmenistan, Usbekistan – mit Olaf Scholz im sogenannten C5+1-Format statt. In diesem Rahmen konferieren die Zentralasiaten mit mehreren Partnern weltweit. Das Treffen mit dem Bundeskanzler ist der erste C5+1-Gipfel mit einem Mitgliedsland der Europäischen Union. Außerdem sind separate Gespräche zwischen Scholz und der einzelnen Präsidenten geplant.

    Für beide Seiten ist eine intensivere Zusammenarbeit von Interesse. Der wirtschaftliche Aufstieg der Chinesen und die Schwächung Russlands durch seinen Krieg in der Ukraine haben das geopolitische Koordinatensystem in Eurasien verändert. Weder die Zentralasiaten noch die Europäer wünschen, dass die Region zwischen dem Kaspischen Meer und China in eine einseitige Abhängigkeit von Peking gerät. Deutsche und europäische Unternehmen sind zudem als Lieferanten von Technologie und als Investoren begehrt. Wirtschaftlich ist die Region alles andere als unbedeutend; Zentralasien beherbergt erhebliche Bodenschätze, nicht zuletzt sogenannte Batterierohstoffe.

    Die Konferenz Berlin Global Dialogue findet am 28. und 29. September in der ESMT statt (Schloßplatz 1, 10178 Berlin). Mehr Informationen unter: www.berlinglobaldialogue.org

    #Allemagne #Europe #Chine #Russie #Kazakhstan #Kirghizistan #Tadjikistan #Turkménistan #Ouzbékistan #Asie #économie #relations_internationales #impérialisme

  • Außenministerin war auf Weg nach Australien : Baerbock sitzt nach Flugzeugpanne in Abu Dhabi fest
    https://www.tagesspiegel.de/politik/aussenministerin-auf-weg-nach-australien-gestrandet-baerbock-sitzt-nach

    Quand on s’intéresse à la politique on rencontre parfois des chiffres impressionnants qui frôlent l’absurde. Ici c’est la maniére de dépenser de l’argent pour la mise en scène du personnage de notre ministre des affaires extérieures connue pour sa sagesse qui bat Chuck Norris à tous les niveaux.

    D’abord on la fait voyager dans un Airbus assemblé avec amour par les petites mains habiles d’ouvre:ièr:e:s toulousain:e:s. Cela aurait été un bon plan s’il n’y avait pas eu l’entretien de l’engin par les spécialistes de la Bundeswehr connus pour avoir augmenté ces dernières années la disponibilité de nos Eurofighters prèsque neufs à 70 pour cent. Autrement dit on peut compter avec trois interruptions de voyage de notre brillante ministre sur dix décollages.

    Passon sur les dizaines de milliers que la ministre facture chaque année au contribuable pour ses coiffeu:ses:rs et visagistes. Son voyage chez les assassins de Ned Kelly et leurs voisins pulverise des sommes nettement plus intéressantes. En bonne hypocrite verte elle ne partage pas les fauteuils étroits de première classe avec son équipe sur un vol de ligne mais elle profite de son Airbus personnel. Il faut bien dépenser les milliards d’Euros que son gouvernement a emprunté pour mener des guerres pendant qu’il soumet les enfants et retraités du pays aux mesures d’austérité systématiques digne d’une Margaret Thatcher.

    On pourrait continuer encore longtemps à dénoncer et ridiculiser la bêtise inhumaine de ce gouvernement. Sans exception chaque décision qu’il prend nuit aux intérêts des gens ordinaires et profite au capital transatlantique.Il faudrait arrêter de s’en moquer. Il faudrait commencer à terminer ce foutage de geule.

    14.9.2023 - Baerbock sitzt nach Flugzeugpanne in Abu Dhabi fest

    Wegen eines Defekts der Landeklappen ist die Außenministerin in Abu Dhabi gestrandet. Ihr Reiseplan ist durcheinandergewirbelt. Es ist nicht die erste Panne bei einem Regierungsflieger.

    Erneute Flugzeugpanne für Außenministerin Annalena Baerbock: Nach einer Zwischenlandung zum Auftanken in Abu Dhabi in den Vereinigten Arabischen Emiraten musste die Grünen-Politikerin am frühen Montagmorgen ihren Flug zu einer einwöchigen Reise nach Australien, Neuseeland und Fidschi abbrechen.

    Ein Sprecher des Auswärtigen Amts hatte zuvor an Bord erklärt: „Wegen eines mechanischen Problems müssen wir aus Sicherheitsgründen nach Abu Dhabi zurückkehren.“ Das Flugzeug landete um 5.33 Uhr Ortszeit (3.33 Uhr MESZ) wieder sicher in Abu Dhabi.

    Im Laufe des Tages soll entschieden werden, wann Baerbock ihre Reise in die Pazifik-Region fortsetzen kann. Unter anderem wegen der gesetzlich vorgeschriebenen Ruhezeiten der Flugzeugbesatzung wurde bei dem erzwungenen Zwischenstopp nicht damit gerechnet, dass sie noch im Laufe des Montags mit der Flugbereitschaft der Bundeswehr weiterfliegen kann.

    Auf dem Flughafen von Abu Dhabi prüften mitgereiste Techniker, ob der Defekt mit Bordmitteln zu beheben ist, Ersatzteile beschafft werden müssen oder ob eine Ersatzmaschine von Köln/Bonn, dem Standort der Flugbereitschaft, zum Golf-Emirat geflogen werden muss.

    Die Regierungsmaschine, ein Airbus A340-300, steht auf dem Flughafen von Abu Dhabi.
    Die Regierungsmaschine, ein Airbus A340-300, steht auf dem Flughafen von Abu Dhabi.

    Denkbar war auch, dass Baerbock mit einem kleinen Teil der Delegation einen Linienflug nimmt und der Rest der Mitreisenden mit einer Regierungsmaschine nachkommt.. Allerdings starten Linienflüge erst am Montagabend nach Australien.

    Das Flugzeug war nach einer Zwischenlandung zum Auftanken in Abu Dhabi um 3.33 Uhr Ortszeit wieder gestartet. Drei Minuten später wurde das Problem in der Luft bemerkt und der Flieger musste aus Sicherheitsgründen zurückkehren.

    Der Flugkapitän hatte zuvor über den Bordlautsprecher darüber informiert, dass es Probleme beim Einfahren der Landeklappen gebe.

    Um sicher in Abu Dhabi landen zu können, musste zunächst Treibstoff abgelassen werden. Der Airbus war für die lange Strecke mit 110 Tonnen Kerosin betankt. Davon mussten 80 abgelassen werden.

    Das Flugzeug war mit einem maximalen Startgewicht von 271 Tonnen gestartet. Für die Landung musste es auf ein Gewicht von unter 190 Tonnen kommen.

    Hintere Landeklappen defekt

    Nach der Landung begleitete die Flughafenfeuerwehr den Airbus. Der Flugkapitän sprach von einer normalen Landung, die für eine solche Situation im Simulator geübt werde. Er habe die Begleitung durch die Feuerwehr nicht beantragt.

    Der Kapitän sagte, er sei seit 35 Jahren Pilot und seit 30 Jahren bei der Flugbereitschaft. Ein solcher Fehler sei in der ganzen Zeit noch nicht aufgetreten.

    Den Angaben zufolge war eine der beiden hinteren Landeklappen defekt. Aus diesem Grund konnten diese nicht symmetrisch eingefahren werden. Dies erhöhte den Kerosinverbrauch. Zudem konnten weder die Reiseflughöhe noch die normale Reisegeschwindigkeit erreicht werden.

    Baerbocks Flugplan verschiebt sich deutlich

    Baerbock selbst wollte sich zunächst nicht öffentlich zu dem Vorfall äußern. Es wurde aber davon ausgegangen, dass sie die Reise fortsetzen will.

    Ursprünglich wollte die Außenministerin am Dienstagabend von der australischen Hauptstadt Canberra nach Sydney weiterfliegen. Am Donnerstagmorgen Ortszeit war der Weiterflug nach Neuseeland geplant. Noch am Donnerstagabend sollte es nach Fidschi weitergehen. Baerbock war am Sonntag zu einer einwöchigen Reise in die Pazifikregion aufgebrochen.

    Es ist nicht das erste Mal, dass die Außenministerin auf ihren Reisen aufgehalten wird. Erst Mitte Mai war Baerbock wegen eines Reifenschadens an ihrem Regierungsairbus in Doha im Wüsten-Emirat Katar gestrandet und musste ihre Reise in die Golfregion unfreiwillig verlängern.
    Bereits mehrere Pannen bei Regierungsfliegern

    Doch auch andere Regierungsmitglieder mussten bereits wegen Pannen an einer Maschine der Flugbereitschaft der Bundeswehr unplanmäßige Aufenthalte in Kauf nehmen.

    Beispielsweise musste der Luftwaffen-Airbus „Konrad Adenauer“ im November 2018 mit der damaligen Kanzlerin Angela Merkel (CDU) und dem damaligen Finanzminister Olaf Scholz (SPD) an Bord auf dem Weg zum G20-Gipfel in Buenos Aires umkehren. Unter anderem war das Funksystem lahmgelegt. Beide flogen Linie nach Argentinien.

    Im Oktober 2018 knabberten zudem Nagetiere bei einem Stopp in Indonesien wichtige Kabel der „Adenauer“ an. Scholz kehrte damals per Linienflug von der Tagung des Internationalen Währungsfonds zurück.

    Im Dezember 2016 strandete die damalige Verteidigungsministerin Ursula von der Leyen (CDU) auf dem Weg nach Mali. Wegen eines Computerproblems bei ihrem A340 in der nigerianischen Hauptstadt Abuja musste sie dort übernachten.

    Baerbocks jüngster Flug nach Australien war ursprünglich mit der Schwestermaschine der früheren „Konrad Adenauer“ geplant, einer nahezu baugleichen A340-300. Diese war jedoch ebenfalls kaputt. (dpa)

    #Allemagne #politique #relations_internationales #verts #qviation #Airbus #Abu_Dhabi #Australie #Nouvelle_Zélande #Fidji

    • Defekte am Regierungsflieger Baerbock bricht Pannenreise nach Australien ab
      https://www.spiegel.de/politik/deutschland/annalena-baerbock-bricht-pannen-reise-nach-australien-ab-a-0dfee713-b344-410
      C’est la fin. Même notre super-intelligente ministre des affaires extérieures ne peut rien y changer. Vol de ligne.
      https://www.youtube.com/watch?v=6FMGYycBAMU&pp=ygUNZG9vcnMgdGhlIGVuZA%3D%3D

      15.08.2023, 06.34 Uhr
      - Es geht nicht weiter: Nach zwei Pannen an der Regierungsmaschine hat Annalena Baerbock ihre geplante Reise nach Australien abgesagt. Die in Abu Dhabi gestrandete Außenministerin kehrt nun nach Berlin zurück – per Linienflug.

      Nach den wiederholten Pannen mit ihrem Regierungsflugzeug bricht Außenministerin Annalena Baerbock ihre geplante Reise zu einem einwöchigen Besuch in der Pazifik-Region ab. »Wir haben bis zuletzt geprüft und geplant, aber leider war es nicht mehr möglich, die geplanten Reisestationen der Indo-Pazifik-Reise nach dem Ausfall des Flugzeugs der Flugbereitschaft mit den noch verfügbaren Optionen logistisch darzustellen«, sagte ein Sprecher des Auswärtigen Amts am Dienstagmorgen.

      Da die Landeklappen nicht wie nötig vollständig und synchron eingefahren werden konnten, konnte das Flugzeug die normale Reiseflughöhe und -geschwindigkeit nicht erreichen – der Kerosinverbrauch auf der langen Strecke nach Australien wäre deutlich gestiegen. Da das Flugzeug für den knapp 14-stündigen Flug vollgetankt war, musste das Gewicht für die Landung stark reduziert werden.

      Ein zweiter Versuch scheiterte in der Nacht. Der Flieger war nach dem Start um 1.00 Ortszeit (23.00 Uhr MESZ) in Abu Dhabi zu Anfang zwar gestiegen, nahm aber kein Tempo auf. 15 Minuten nach dem Abheben drehte der Airbus vom Typ A340-300 dann erneut vom Kurs ab und flog zurück in Richtung des Wüstenemirats, wo er schließlich um 2.57 Uhr Ortszeit wieder landete.

      Laut Angaben aus ihrer Delegation hätte Baerbock wegen der defekten Luftwaffen-Maschine eigentlich am Vormittag von der Hauptstadt der Vereinigten Arabischen Emirate, Abu Dhabi, mit ihrem Tross per Linienflug direkt zur australischen Metropole Sydney aufbrechen sollen. Doch das erwies sich offenkundig als nicht praktikabel.
      Schwere Entscheidung

      Noch in der Nacht waren Baerbocks Delegation und die mitreisenden Journalisten gebeten worden, sich zur Abfahrt zum Flughafen um 08.00 Uhr in der Lobby des Hotels zu treffen. Die zu diesem Zeitpunkt völlig überraschende Entscheidung zum Abbruch der Reise fiel erst, als der gesamte Tross bereits abfahrbereit in der Lobby stand.

      Aus der Delegation war von einer am Ende schweren Entscheidung die Rede. »Das ist alles sehr misslich«, hieß es. In den kommenden Monaten werde es darauf ankommen, den entstandenen Schaden wieder gutzumachen. So müssten voraussichtlich hochrangige Beamte nach Australien, Neuseeland und Fidschi zu Gesprächen und wichtigen Terminen reisen. Die abgebrochene Reise müsse nachgearbeitet werden. Der Indo-Pazifik bleibe Schwerpunkt für die Bundesregierung.

      Baerbock war am Sonntag zu einer einwöchigen Reise nach Australien, Neuseeland und Fidschi aufgebrochen. Auch bei der Golfreise der Außenministerin im Mai hatte es technische Probleme mit der Regierungsmaschine gegeben . Damals musste Baerbock ihren Aufenthalt im Emirat Katar um einen Tag verlängern, weil der Luftwaffen-Airbus wegen eines platten Reifens nicht wie geplant den Rückflug antreten konnte.

  • Comment faire du #Vélo sur les voitures
    http://carfree.fr/index.php/2023/06/15/comment-faire-du-velo-sur-les-voitures

    D’abord la marche à pied sur les voitures, maintenant faire du vélo sur les voitures. Une cycliste de Budapest en #Hongrie est tellement en colère contre les voitures garées sur Lire la suite...

    #Alternatives_à_la_voiture #actions #cyclistes #relations_cyclistes-automobilistes #Solutions #stationnement

  • Japanese Aqarium’s Flowchart Illustrates the Complex Relationships of Their Penguins | Spoon & Tamago
    https://www.spoon-tamago.com/japanese-aqarium-penguin-relationship-flowchart

    Quelqu’un·e comprend le nippon ?

    Penguins are highly social species. They like being with others and, like humans, this can often lead to polyamorous and sometimes scandalous situations. Penguin drama can include serious crushes and heartbreaks but also adultery and egg-stealing. Penguins may even develop crushes on their caretakers. And these Japanese aquariums have it all charted in a flowchart that can be studied for hours.

    Kyoto Aquarium


    https://www.kyoto-aquarium.com/sokanzu/2023sokanzu

    Sumida Aquarium


    https://www.sumida-aquarium.com/sokanzu/2023sokanzu
    #cartographie #pingouins #relations

  • Bruits de bottes et menaces de guerre | Éditorial de Lutte Ouvrière
    https://www.lutte-ouvriere.org/editoriaux/bruits-de-bottes-et-menaces-de-guerre-654151.html

    Lundi, ont eu lieu les commémorations du 8 mai 1945. C’était la fin de la Deuxième Guerre mondiale en Europe mais pas la fin des guerres qui ont continué de faire rage dans de très nombreux pays. Depuis un an, le conflit en Ukraine montre que la guerre n’est pas une affaire passée pour l’Europe : elle fait maintenant partie de notre présent. 

    Longtemps, les gouvernements ont fait croire que la barbarie guerrière était derrière nous et que c’en était fini des bombardements et des tranchées, des villes rasées et des déportations de population.

    La population avait eu droit au même boniment après la guerre de 14-18, qui avait été un massacre sans nom : 10 millions de morts en Europe, des millions de blessés, d’amputés, de gazés et de « gueules cassées ». 500 000 soldats tués rien qu’à Verdun pour que chaque camp retrouve, au final, les positions qu’il tenait au début de l’offensive !

    L’ampleur des souffrances et des destructions était une « première » et tous les gouvernants de l’époque la présentèrent comme « la der des ders », c’est-à-dire la dernière des guerres. Vingt ans plus tard, en 1939, cela recommença !

    La Deuxième Guerre mondiale rationalisa si bien l’horreur qu’elle fut la plus meurtrière de toute l’histoire. Aux 20 millions de soldats tués, s’ajoutent 40 à 60 millions de civils bombardés et affamés et 6 millions de Juifs, mais aussi des Tziganes et d’autres minorités qui périrent dans les camps d’extermination nazis. De nombreuses villes furent transformées en champs de ruines.

    La Première et la Deuxième Guerres mondiales eurent fondamentalement les mêmes causes : la nécessité d’expansion des trusts capitalistes et la guerre économique qui en résulte.

    Sous leurs dehors inoffensifs, la concurrence et la compétitivité sont l’expression de cette guerre économique. Les défenseurs du #capitalisme nous en chantent les vertus, mais par définition, elles signifient l’affrontement entre intérêts privés. Affrontements que les États relaient avec les moyens que leur confère leur puissance économique, politique et militaire.

    La #guerre_mondiale n’est pas une calamité apportée par tel ou tel monstre dictatorial. Elle est la prolongation de la guerre économique des trusts capitalistes pour contrôler les matières premières, les chaînes de production et s’assurer des marchés à l’échelle mondiale.

    Alors oui, la Première Guerre devait inévitablement être suivie d’une Deuxième. Et la Deuxième Guerre mondiale sera suivie d’une Troisième. Il en sera ainsi tant que dominera le système capitaliste.

    Les #relations_internationales, les #alliances et les retournements d’alliance, les relations pacifiques ou guerrières ne sont pas guidées par le bonheur des peuples, la liberté ou la démocratie. Elles résultent des calculs et des rapports de force entre États et des intérêts capitalistes qu’ils représentent.

    La guerre en Ukraine ne fait pas exception. Les va-t-en guerre expliquent qu’il faut défendre un petit pays agressé par son puissant voisin. Comme si l’#Ukraine n’était pas le théâtre de l’affrontement entre les #États-Unis et la #Russie depuis au moins trente ans ! Comme si le camp impérialiste derrière l’#OTAN équipait, formait et renseignait les troupes ukrainiennes de façon désintéressée !

    La #guerre contre la Russie de Poutine et la mise à l’index de la Chine de Xi Jinping sont les traductions politiques et militaires des rivalités économiques qui opposent ces grandes puissances entre elles. Les travailleurs n’ont à prendre parti ni pour les unes, ni pour les autres. Ils ont à se battre pour renverser ce système capitaliste qui nous condamne à l’exploitation et aux guerres.

    Les États-Unis et les puissances impérialistes occidentales, dont la France, règnent sur l’ordre mondial en levant l’étendard de la paix et de la démocratie. Mais c’est un ordre où les dictatures pullulent ! C’est un ordre qui alimente en Afrique, au Moyen-Orient, en Asie, des guerres sans fin ! C’est un ordre qui plonge des régions entières dans le dénuement et chasse de chez eux des centaines de millions de femmes, d’hommes et d’enfants et qui les transforme en parias !

    Les combats meurtriers en Ukraine ou les accrochages entre les États-Unis et la Chine rendent de plus en plus concrète la menace d’une guerre généralisée. 

    Tous les États s’y préparent en se réarmant à marche forcée. À nous de dire non à une nouvelle guerre impérialiste. Ce combat est indissociable du combat social que les travailleurs ont à mener contre le pouvoir d’une classe capitaliste qui, pour ses parts de marché et ses profits, est prête à plonger le monde entier dans la barbarie.

    #militarisation #Troisième_guerre_mondiale

  • Tipping Confusion - The New York Times
    https://www.nytimes.com/2023/04/09/briefing/tipping-confusion-food-delivery-apps.html

    For delivery drivers, every shift is a game of gig economy roulette: Will customers tip? And if they do, how much? The answers determine their livelihoods.

    “It’s like gambling,” Brantley Bush, an Uber Eats driver, told my colleague Kellen Browning, a technology reporter.

    Kellen rode along with drivers in wealthy Los Angeles neighborhoods, pulling up to gated estates to deliver food to millionaires. Tips varied widely. Bush once received a $130 tip from Doc Rivers, the former Los Angeles Clippers coach. Some customers tipped nothing.

    There is no collective understanding of what we owe delivery drivers in tips. While established etiquette governs tipping in restaurants, a clear protocol is lacking for apps. This confusion is one reason for the wide variation in the tips delivery drivers receive. Let me explain.
    Undertipping on apps

    Tipping for food service used to be straightforward. We added around 20 percent to restaurant bills, dropped spare change in tip jars and had cash on hand for pizza deliveries and takeout.

    Tipping has not only been entrenched in American life but also formalized as part of the economy. The U.S. is unusual among developed countries in allowing tipped workers to make below the minimum wage, sometimes as low as $2.13 an hour.

    Delivery apps upended these norms in two ways.

    First, apps have changed the timing of a tip. Delivery services like Uber Eats and DoorDash ask people to tip when they order, unraveling the logic that a tip is compensation for good service. Customers now aren’t sure what they are paying workers for or how much they should give.

    Second, apps have transformed what was once an in-person exchange into a digital transaction. This depersonalizes the tip and can discourage generous tipping. While diners in restaurants can see the work of servers, apps obscure the work of delivery drivers. Customers may not meet the driver at all, given the option of no-contact delivery.

    “Drivers wonder why people aren’t tipping more,” Kellen told me. “They’ve realized most people aren’t thinking about the human element that goes into delivering their food.”

    The possibility of overtipping

    In the absence of clear norms for tipping on apps, many customers are picking the path of least resistance: the app’s suggested tip.

    This behavior gives power to technology companies to determine the gratuity. The size and placement of a tip button on an app can influence a customer’s selection or make it harder to opt out of a tip. If no tip screen appears, customers are less likely to seek it out. This exposes workers to wage fluctuation.

    These design choices don’t just affect workers; they’re also upending the customers’ experience. Digital payment platforms are prompting customers to tip in places where tipping didn’t previously exist, like supermarkets, mechanics’ garages and dog kennels. Now, many wonder: Should they tip for snacks at a convenience store? Is it rude to select “No tip” when buying groceries? No one seems to know, and new tipping guides offer directives.

    Brian X. Chen, a Times tech columnist, has described these design choices as coercive. He wrote that these types of tips may be investigated as part of the government’s crackdown on “junk fees,” extra costs that businesses profit from while adding little to no value.

    “Tipping has gotten out of control, and people are getting really frustrated,” Brian told me. “It’s a source of confusion that ultimately affects everyone, workers and customers alike.”

    #Gig_economy #Livraison #Pourboire #Relations_humaines #Nudge

  • A #Vélo, restez chez vous !
    http://carfree.fr/index.php/2023/03/27/a-velo-restez-chez-vous

    La dernière #campagne de l’insécurité routière pour imposer le port du scaphandre à vélo n’ayant pas donné les résultats escomptés, la nouvelle campagne portera en 2023 sur le thème « A Lire la suite...

    #Alternatives_à_la_voiture #Fin_de_l'automobile #Insécurité_routière #2000 #communication #cyclistes #humour #lobby #relations_cyclistes-automobilistes #sécurité_routière

  • Une étude révèle que les automobilistes enfreignent la #loi pour gagner du temps, tandis que les #cyclistes l’enfreignent pour sauver des vies
    http://carfree.fr/index.php/2023/03/13/une-etude-revele-que-les-automobilistes-enfreignent-la-loi-pour-gagner-du-te

    Les chercheurs ont constaté que presque tous les usagers de la route enfreignent la loi, mais que les raisons de ces infractions diffèrent d’un mode à l’autre. Les automobilistes enfreignent Lire la suite...

    #Alternatives_à_la_voiture #Insécurité_routière #Vélo #londres #recherche #relations_cyclistes-automobilistes #sécurité_routière #vitesse

  • La prochaine voiture, je me la fais
    http://carfree.fr/index.php/2023/03/02/la-prochaine-voiture-je-me-la-fais

    Rappelez-vous, c’était en novembre dernier et le vieux réac Michel Sardou était invité sur France 2 dans l’émission « 20h30 le dimanche » durant laquelle il avait fait état de Lire la suite...

    #Alternatives_à_la_voiture #Insécurité_routière #Vélo #cyclistes #relations_cyclistes-automobilistes #violence

  • Pour la fin de l’impunité
    http://carfree.fr/index.php/2023/02/24/pour-la-fin-de-limpunite

    « Nous mettrons fin à l’impunité de ces dangereux pourfendeurs de la route » a déclaré triomphalement le ministre des transports, annonçant l’introduction prochaine de l’obligation du port du casque à #Vélo, Lire la suite...

    #Alternatives_à_la_voiture #Fin_de_l'automobile #Marche_à_pied #cyclistes #enfants #humour #italie #marche #piétons #politique #relations_cyclistes-automobilistes

  • pour faire suite aux récents aperçus sur la psychiatrie et la folie suite au meurtre hier par l’un de ses élèves d’Agnès Lassalle dans un établissement dont on ne sait pas si il pâtit lui aussi du manque de psychologue scolaire

    Groupe d’Entraide Mutuelle, l’équation impossible ? Comme des Fous - Changer les regards sur la folie
    https://commedesfous.com/groupe-dentraide-mutuelle-lequation-impossible

    Le texte qui va suivre a été élaboré en avril 2016 par des animateurs, stagiaires, intervenants travaillant dans quatre Groupes d’Entraide Mutuelle de Seine-Saint-Denis et du Val d’Oise (Montreuil, Aulnay sous-bois, Saint-Denis et Arnouville). En janvier 2019, les animatrices et animateurs des GEM de Saint-Denis, Épinay-sur-Seine, Montreuil, Bobigny, Bondy, Persan et Arnouville se réunissant lors de rencontres mensuelles réactualisent ce texte à l’occasion de l’appel de la journée du 22 janvier 2019 et pour faire écho aux tentatives de constructions communes qui émanent partout en France au sein du mouvement des Gilets jaunes.
    Ce texte espère souligner les difficultés que partagent les travailleurs et travailleuses de ces différents GEM d’abord et peut-être, si d’autres personnes s’y reconnaissent, dégager des problèmes plus structuraux.

     

    Les Groupes d’Entraide Mutuelle (GEM) sont issus de la loi du 11 février 2005 pour « l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées ». Il en existe aujourd’hui à peu près 500 en France (100 GEM de plus depuis 2016 [environ 600 actuellement, ndc] ) et sont financés par les ARS (Agence Régionale de Santé) à hauteur maximale de 77 000 € par an (2 000 € d’augmentation depuis 2016). Les GEM ont la particularité de relever d’une approche globale de la santé portée par le service public. Statut hybride devant s’organiser en association Loi 1901, s’inspirant des clubs thérapeutiques mais détaché de la logique hospitalière, ils naissent parallèlement à la destruction progressive des secteurs de psychiatrie (coupe budgétaire massive, diminution des nombres de lits, logique de l’urgence contre une logique de l’accueil, augmentation des pratiques de contentions…). La loi Santé, dite loi Touraine, instaurant les Groupements Hospitaliers de Territoires (GHT), s’inscrit parfaitement dans ce processus.
    De par la possibilité que les GEM offrent aux personnes qui les fréquentent d’être parties prenantes d’une collectivité active et d’y être accueillies en trouvant une place et une fonction sociale qui leur conviennent, les Groupes d’Entraide Mutuelle sont des outils très précieux. Il nous faut cependant dans le même temps être conscient·e·s des logiques actuelles qui gouvernent les modalités de prise en charge (pour ne pas dire de « gestion ») des personnes qui ont à faire avec la psychiatrie. Les GEM ne peuvent remplacer l’importance du travail effectué dans de nombreuses unités intra-hospitalières, CMP, hôpitaux de jours, CATTP… Les GEM ne peuvent remplacer non plus le travail nécessaire des services médico-sociaux (SAVS, SAMSAH, ESAT…) et des services sociaux (CCAS, 115, ASE,…).

    Clubs thérapeutiques et « groupes d’entraide mutuelle » : héritage ou rupture ?
    Marie-Odile Supligeau
    https://www.cairn.info/revue-vie-sociale-et-traitements-2007-3-page-54.htm

    Née en France, dans le contexte particulier de la Seconde Guerre mondiale, la théorisation élaborée sur la base de l’expérience de l’hôpital psychiatrique de Saint-Alban, en Lozère, métamorphosera les configurations du travail thérapeutique en psychiatrie et dans les établissements socio-éducatifs. Elle diffusera, de l’après-guerre à nos jours, selon diverses vagues d’influence ou de régression.

    #soin #relations_de_soin #clinique #psychiatrie #folie #psychiatrie_institutionnelle #Gem

    • De mon expérience en territoriale, je constate que les personnes payées pour accueillir et accompagner le public le plus fragile sont elles-mêmes en situation salariale, statutaire, hiérarchique, professionnelle et psychologique très instable, au bord de la précarité. On trouve dans ces structures le plus souvent une écrasante majorité de femmes (dans les CCAS, missions locales ou les BIJ, par exemple mais j’ai vu que c’était pareil en asso), signe, comme me l’avait signalé une collègue, qu’il s’agit de secteurs professionnels mal payés.

  • Our digital public squares aren’t so healthy. Can we fix that ? | Salon.com
    https://www.salon.com/2023/01/28/our-digital-public-squares-arent-so-healthy-can-we-fix-that

    Despite living in a hyper-connected world, rates of loneliness and depression are higher than ever. We know a great deal about how to design our physical spaces to encourage community connections – libraries, town parks, and adult education centers – but we are just scratching the surface in figuring out how to strengthen social connections and build civic engagement in our online spaces. Can we translate these real world designs into our online platforms to bolster our communities and our democracy?

    Digital pioneers are demonstrating the value that online spaces can provide in fostering community and social cohesion. Some of these groups are not new, like Black Twitter, but are finding ways to survive, and even thrive, within larger toxic social media platforms. Others, like gift sharing communities, are working out exit strategies from traditional social media sites because they have found these structures are overly focused on profit over public interest. Still other pioneers are growing their own platforms to ensure a design that emphasizes local community values.

    Ethan Zuckerman, from the Institute for Digital Public Infrastructure, points out that in addressing issues of misinformation and vitriol online we may be too focused on trying to fix our old social media platforms. Instead, we should focus on creating new spaces that have explicit civic goals and are designed for equity and social cohesion. Real-world communities need to be involved in intentionally designing their own local digital public spaces rather than leaving this work to global tech companies.

    People have found ways to thrive on Black Twitter, but being on Twitter is not without its challenges. Platformed racism is the result of a design ethos in Silicon Valley that applauds a hands-off philosophy to support innovation and growth. Outsiders sometimes jump on Black Twitter hashtags and post racist comments and there are reports of police gathering information from Black Twitter. Trolls, cancel culture, and harassment can make Twitter a traumatizing place for many people. Algorithms designed to drive engagement end up promoting offensive content. Community guidelines addressing negative behavior are under-enforced and with Elon Musk’s tenure the hands-off philosophy has shot through the roof and further escalated vitriol and misinformation on the platform.

    Twitter’s design encourages simplicity, impulsivity and incivility. It cues emotional thinking rather than encouraging us to analyze content or re-consider making a post. But, despite its design flaws, small private groups have also emerged on Twitter and have been able to thrive by blocking trolls and curating feeds to minimize the toxicity that is built into the platform. Private student groups on Twitter, such as those that started among friends who attended Historically Black Colleges and Universities (HBCU), continue after graduation to provide community and networking. Both the larger Black Twitter public space and the small private groups provide members with valuable support and shared experiences, despite the design of Twitter, not because of it.

    The Buy Nothing Project is an early model of how to build a value-based platform with a hyper-local focus. Their biggest challenge has been trying to promote values from within a system that runs counter to those values. The design of Facebook actively encourages people to stay online and join more groups. Many Facebook private groups are wonderful — groups that support cancer patients, new Moms, church youth groups — but the platform’s focus on growth and keeping people online, rather than fostering better social cohesion and improving our offline lives, sets the wrong tone.

    Buy Nothing has now created its own app to better foster community as it transitions off of Facebook. They have found that size matters and small is better in order to limit posting and emphasize real world connections. Size also impacted feelings of safety as real-life local connections became more difficult when local groups got too big. The infrastructure of Facebook made it difficult to limit group size and to draw flexible boundaries around neighborhoods to connect diverse groups while keeping it local.

    Tiens, Front Porch (Vermont) me fait penser aux raisons du succès de Biblio-fr dans les années 1990-2000

    Facebook is opaque about how it addresses harmful content and how its algorithms are designed. Content is posted immediately. With 4.75 billion posts shared daily it is impossible to track and remove users who are engaged in selling drugs, child pornography, and spreading misinformation. On Front Porch, posts are first reviewed by paid human moderators and then posted. If someone behaves badly, such as writing insults about a neighbor, that person is contacted and the guidelines are explained: Neighbors can disagree with something someone has posted and voice their opinion, but personal attacks are not allowed. The design of Front Porch prevents illegal activities from being posted. It may be that what works for many towns across Vermont may not be the best design for those in Nevada or New York City, but this type of locally based platform could be modified to accommodate different community values.

    Third places are places outside of our homes and workplaces that provide essential neutral places where we can relax, interact with friends and strangers and enjoy ourselves. Ray Oldenburg first described third places decades ago, at a time when people were moving to the suburbs and third places were disappearing. These informal community gathering places provide a sense of belonging and connection that can strengthen community ties. Libraries, gyms, and cafes can be accessible to everyone and conversation and community building, rather than solely pursuing commerce, are top priorities.

    Sociologist Eric Klinenberg’s book Palaces for the People, traces the importance of public squares throughout history. These “palaces” can offer neutral spaces where everyone is welcome. Klinenberg argues that the future of democratic society rests on developing shared values and shared spaces. These spaces provide connections where people can linger and make friends across group lines and are intentionally designed to promote socialization and connection.

    Tech companies maintain that they cannot moderate online communities because that would jeopardize our right to free speech and because there is simply too much content flying across these networks to track. Both these issues are false flags. We now know that the core infrastructure of these platforms is intentionally designed to amplify vitriol and misinformation because this increases engagement, keeps us online longer, and provides tech companies with billions of dollars from ad revenue. It doesn’t have to be this way.

    #Espaces_publics #Médias_sociaux #relations #Bien_être

  • « Le prochain cycliste je me le fais »
    http://carfree.fr/index.php/2022/11/14/le-prochain-cycliste-je-me-le-fais

    Dimanche soir à la télévision sur France 2, le chanteur Michel Sardou a tranquillement expliqué en direct qu’il allait « se faire un cycliste » sans réaction de la part du présentateur Lire la suite...

    #Alternatives_à_la_voiture #Insécurité_routière #Vélo #cyclistes #relations_cyclistes-automobilistes #violence

  • Sabotages, intox, guerre des étoiles, récession : la guerre en #Ukraine, jusqu’où ?
    https://www.lemediatv.fr/emissions/2022/sabotages-intox-guerre-des-etoiles-recession-la-guerre-en-ukraine-jusquou-

    Dans ce numéro des « combats de l’info », Théophile Kouamouo reçoit Fabrice Epelboin. Contributeur historique de Reflets.info, journal d’investigation en ligne et d’information-hacking.

    #Relations_internationales #russie

  • #Ukraine : Poutine va-t-il perdre la #Guerre ?
    https://www.lemediatv.fr/emissions/2022/ukraine-poutine-va-t-il-perdre-la-guerre-ePt94vnYSG2jmuSaGFyG3w

    La Russie est-elle en train de perdre la guerre en Ukraine ? Ces derniers jours, le recul russe semble en tout cas net et l’hypothèse d’une victoire ukrainienne grandit. Vladimir Poutine donne l’impression d’abattre ses dernières cartes, puisqu’il a…

    #Géopolitique #Relations_internationales

  • Niger : pourquoi ils veulent chasser la France
    https://www.lemediatv.fr/emissions/2022/niger-pourquoi-ils-veulent-chasser-la-france-tEyzpY47SCW730V8cZXUlA

    La France est-elle en danger dans son pré-carré africain ? Après le Mali, c’est au tour du Niger de connaître des manifestations contre la présence militaire française. Dimanche dernier, à Niamey des centaines de personnes ont protesté à la fois contre la…

    #Afrique #Françafrique #International #Relations_internationales

  • Taïwan : jusqu’où iront les États-Unis face à la Chine ?
    https://www.lemediatv.fr/emissions/2022/taiwan-jusquou-iront-les-etats-unis-face-a-la-chine-wtTSWwneQliqR_HDbMbSGw

    Et si la visite à Taïwan de Nancy Pelosi, la présidente de la Chambre des représentants, déclenchait un nouveau conflit aux conséquences mondiales ? En tout cas, l’armée chinoise est sur les dents, et le pouvoir de Xi Jinping ne décolère pas. Notamment…

    #Géopolitique #Politique #Relations_internationales

  • #Macron et ses dictateurs bien aimés
    https://www.lemediatv.fr/emissions/2022/macron-et-ses-dictateurs-bien-aimes-DypTphisR3WtCjPWOYY0eQ

    C’est déjà le 7ème numéro du fond de l’info. Nos journalistes Nadiya Lazzouni, Théophile Kouamouo et Thomas Dietrich décryptent l’actualité politique de la semaine passée. Au sommaire de l’édition, l’intégration du RN à la commission de la défense de…

    #Assemblée_nationale #Extrême_droite #Gouvernement #International #Relations_internationales

  • ‘Friending Bias’ - The New York Times
    https://www.nytimes.com/2022/08/01/briefing/economic-ladder-rich-poor-americans.html

    Social scientists have made it a priority in recent years to understand upward mobility. They have used tax records and other data to study which factors increase the chances that children who grow up in poverty will be able to escape it as adults.

    Education, spanning pre-K through college, seems to play a big role, the research suggests. Money itself is also important: Longer, deeper bouts of poverty can affect children for decades. Other factors — like avoiding eviction, having access to good medical care and growing up in a household with two parents — may also make upward mobility more likely.

    Now there is another intriguing factor to add to the list, thanks to a study being published this morning in the academic journal Nature: friendships with people who are not poor.

    “Growing up in a community connected across class lines improves kids’ outcome and gives them a better shot at rising out of poverty,” Raj Chetty, an economist at Harvard and one of the study’s four principal authors, told The Times.

    The study tries to quantify the effect in several ways. One of the sharpest, I think, compares two otherwise similar children in lower-income households — one who grows up in a community where social contacts mostly come from the lower half of the socioeconomic distribution, and another who grows up in a community where social contacts mostly come from the upper half.

    #Inegalités #Relations_sociales #Culture_participative