• Au #procès des folles

    « Les violences sont déplacées dans le champs du #fantasme »

    Victimes de violences physiques et psychologiques de la part de leurs ex conjoints, Anouk et Marie doivent être expertisées par des psychologues et psychiatres suite aux #démarches_juridiques qu’elles entament, au pénal et au civil. Elles racontent leurs expériences traumatisantes face à des expertes qui minimisent les faits, remettent en doute leurs paroles, symétrisent les comportements ou encore les accusent d’être hystériques et masochistes. Ces psys considèrent qu’Anouk et Marie « y sont sans doute pour quelque chose », compte tenu de leurs profils psychologiques.

    De très nombreuses femmes vivent les mêmes expériences, source de nouveaux traumatismes, devant la justice, mais aussi dans les cabinets libéraux. Cet épisode décrypte le processus de #psychologisation de la violence (des victimes, mais aussi des agresseurs) qui permet de mieux l’occulter. Avec les analyses de psychologues et d’avocates qui tentent de faire changer ces pratiques.

    https://www.arteradio.com/son/61684896/au_proces_des_folles
    #justice #violence #procès_pénal #procès #traumatisme #masochisme #hystérie #occultation #invisibilisation #psychologie #anxiété #VSS #violences_sexuelles #expertise #peur #honte #répétition #larmes #humiliation #culturalisation #religion #histoire_familiale #hystérie #suspicion #intimité #expertise_psychologique #enquête_de_crédibilité #crédibilité #toute_puissance #traumatisme #post-traumatisme #consentement #colère #tristesse #témoignage #anxiété_généralisée #traumatisme_de_trahison #troubles_du_stress_post-traumatique (#TSPT) #subjectivité #psychanalyse #névrose #masochisme #analyses_paradoxales #présomption_de_masochisme #présomption #concepts #mise_en_scène #jeu #mensonge #manipulation #exagération #répétition #co-responsabilité #dépsychologisation #féminisme #violences_politiques #vulnérabilité #expertises_abusives #maltraitance_théorique #théorie #rite_de_domination #violences_conjugales #analyse_sociale #psychologisation_de_la_violence #patriarcat #domination #violence_systémique #féminicide #sorcière #pouvoir #relation_de_pouvoir #victimisation #violences_conjugales #crime_passionnel #circonstances_atténuantes #injustice #haine #haine_contre_les_femmes #amour #viol #immaturité #homme-système #empathie #désempathie #masculinité #masculinité_violente #violence_psychologique #humiliations #dérapage #déraillement #emprise_réciproque #reproduction_de_la_violence #émotions #récidive #intention #contexte #figure_paternelle #figure_maternelle #imaginaire #violence_maternelle #materophobie #mère_incenstueuse #parentalité_maternelle #parentalité_paternelle #dénigrement

    #audio #podcast

    ping @_kg_

  • Jusqu’où la laïcité ?
    https://laviedesidees.fr/Jusqu-ou-la-laicite

    La laïcité scolaire a changé de nature : conçue comme un principe permettant de régler les rapports entre les Églises et l’État, elle est devenue un ensemble de valeurs associé à l’idéal républicain. Mais est-ce justifié ?

    #Société #religion #école #catholicisme #laïcité #républicanisme
    https://laviedesidees.fr/IMG/pdf/20240904_laicite.pdf

  • Grégoire Perra : témoignage d’un vétérinaire à propos de biodynamie et souffrance animale :
    https://x.com/GregoirePerra/status/1825054629924573573

    « Je ne m’en étais pas rendu compte jusqu’ici, mais peux témoigner que la Biodynamie maltraite les animaux.

    Je vais t’expliquer, c’est un peu complexe car c’est en rapport avec nos lois suisses.

    En Suisse, il existe un délais légal entre le traitement médicamenteux d’un animal et la possibilité de son abbatage, afin de ne pas prendre le risque que les médicaments que la bête a ingéré ne soit consommés par les êtres humains.

    Dans l’agriculture biologique, ce délais est multiplié par deux.

    Mais dans la Biodynamie, il est même interdit d’administrer aux animaux certains médicaments qui pourraient les soigner ou soulager leurs souffrances, comme des antibiotiques.

    Je me suis donc retrouvé à plusieurs reprises à ne pas pouvoir soigner des animaux de l’agriculture biodynamique, tout simplement parce que les anthroposophes avaient interdit de leur administrer des médicaments qui aujourd’hui les auraient guéri facilement.

    En tant que vétérinaire, c’était vraiment une situation morale très éprouvante d’assister impuissant à la souffrance inutile de ces bêtes, parce que la loi suisse m’interdisait de les soigner.

    Mais jusqu’à notre conversation, je ne savais pas que cette interdiction avait un rapport avec les croyances anthroposophiques. »

    Et voilà, nous avons un exemple de ce qui se produit lorsque, dabs un pays, on laisse peu à peu les anthroposophes s’installer, au point qu’un jour ils deviennent assez puissants pour légiférer.

  • Préjugé ! « Les immigrés veulent islamiser l’Europe »

    Derrière le préjugé de « l’#islamisation » de l’Europe se trouvent des stéréotypes anciens contre l’islam et les musulmans ainsi que des enjeux mémoriels autour de la colonisation et de la décolonisation. À cela s’ajoutent des théories d’extrême droite complotistes, comme celle du « grand remplacement ».

    Voici les ingrédients du cocktail :
    Mettre une bonne dose de crainte de la #mondialisation (sans trop savoir pourquoi, ça fait drôlement peur).
    Ajouter une grosse pincée de #racisme.
    Arroser le tout de #religion.
    Saupoudrer d’un peu de « grand remplacement ».
    Et vous obtenez un préjugé : « Les immigrés veulent islamiser l’Europe ».

    L’Europe à l’aune des décolonisations

    « Derrière cette peur d’une islamisation de la France ou de l’Europe par une ’#invasion' d’immigrés musulmans, il y a, sous-jacent, un certain nombre de préjugés : l’islam ne serait pas compatible avec la #culture_européenne, les musulmans constitueraient un groupe homogène qui chercherait à imposer sa culture et sa religion aux pays hôtes », explique l’historien #John_Tolan. À ces #stéréotypes anciens contre l’islam et contre les musulmans s’ajoute une #mémoire, encore vive et pas tout à fait pacifiée, celle de la #colonisation et de la #décolonisation. Ce préjugé, comme bien souvent, se nourrit d’histoire. Il mobilise #Charles_Martel qui arrête les Arabes à #Poitiers en #732, les #Ottomans qui font le #siège_de_Vienne en #1529 et #Charles_de_Gaulle, en 1962, qui craint que #Colombey-les-Deux-Églises ne devienne « #Colombey-les-Deux-Mosquées ».

    La peur d’une islamisation de l’Europe naît au lendemain de la #Seconde_Guerre_mondiale, quand l’industrie européenne en manque de main d’œuvre bon marché fait venir en masse des immigrés, bien souvent issus des anciennes colonies : des Indiens et des Pakistanais vers le Royaume-Uni, des Maghrébins et des Sénégalais vers la France, et des Turcs, vers la Belgique et l’Allemagne. Les mêmes questionnements surgissent : faut-il les intégrer à la communauté nationale ou les laisser à part, dans l’idée d’un départ à plus ou moins court terme ?

    Le « grand remplacement », une théorie complotiste

    La question se pose différemment à partir des années 1970, quand s’affirme un #islam_politique. De nouvelles craintes apparaissent, attisées par des délires complotistes. Les élites européennes, évidemment corrompues, favoriseraient ce mouvement, prêtes à vendre leur civilisation pour une poignée de pétro-dollars. Un pacte secret aurait même été signé avec la Ligue arabe afin d’islamiser l’Europe. Une littérature raciste et complotiste alimente ces théories. C’est là que l’on retrouve l’essayiste d’extrême droite #Renaud_Camus, qui publie en 2011 Le Grand Remplacement.

    Ces théoriciens, issus de l’#extrême_droite conspirationniste, ne visent pas seulement les musulmans mais aussi ceux qu’ils considèrent comme leur complices, qu’ils appellent les #islamo-gauchistes. Leurs écrits conduisent à de terribles passages à l’acte, comme par exemple, toujours en 2011, #Anders_Breivik qui attaque de jeunes militants travaillistes sur l’île d’Utøya en Norvège et provoque la mort de 85 personnes. Breivik ne visait pas des musulmans mais celles et ceux qui, selon lui, organisaient la « #colonisation_islamique » de l’Europe.

    La théorie complotiste du « grand remplacement », en soit intenable, repose sur une idée fausse : une Europe historiquement homogène par sa population, sa religion. « Il est certain que l’Europe de 2072 ne sera pas celle de 2022, tout comme celle de 2022 n’est pas celle de 1972. Mais l’Europe ne sera submergée ni par l’immigration ni par l’islamisation », explique John Tolan. Sinon par une invasion de #peurs et de préjugés !

    https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/histoire-des-prejuges/prejuge-les-immigres-veulent-islamiser-l-europe-4609034
    #préjugés #idées_reçues #migrations #islam #grand_remplacement #croyances #narration #islamo-gauchisme #complotisme #idées-reçues

  • "Die Kirche muss sich der Wahrheit stellen"

    Vor rund 150 Jahren kamen die ersten Missionare aus Deutschland nach Tansania. Sie waren eng verbunden mit der Kolonialbesatzung. Heute müssen sich Kirchen und Orden Rufe nach einer aktiven Aufarbeitung der Kolonialzeit stellen.

    Wenn Reverend Ernest Kadiva aus seinem Bürofenster in der tansanischen Hafenstadt Daressalam schaut, fällt der Blick auf die Azania-Front-Kathedrale, gebaut 1902 von lutherischen Missionaren für die deutschen Christen im Land. Die Kirche ist nicht nur ein Mittelpunkt seines Lebens, sondern auch eine stetige Erinnerung an die - teils brutale - Geschichte der deutschen Mission in Ostafrika. Als stellvertretender Leiter der Vereinten Evangelischen Mission in Tansania muss sich auch Kadiva dieser Geschichte stellen und einen Weg finden, in Zukunft Kirche zu gestalten.

    Mit Versprechen von Fortschritt und Seelenheil waren Ende der 1880er Jahre erstmals deutsche Missionare in Daressalam von Bord gegangen - kurz nachdem Europa bei der Kongo-Konferenz in Berlin den afrikanischen Kontinent unter sich aufgeteilt hatte. Das Gebiet des heutigen Tansanias gehörte fortan zu Deutsch-Ostafrika. „Die Missionare kamen zur gleichen Zeit wie die Kolonialbesatzung“, sagt Kadiva. „Es ist kaum möglich, die beiden zu trennen, sie haben auch eng zusammengearbeitet.“

    Die Mission unterstützte die Kolonialverwaltung unter anderem bei der Gesundheitsversorgung. Wer den christlichen Glauben annahm, konnte zur deutschen Schule gehen, in der Verwaltung arbeiten, Geld verdienen und bekam mehr Macht und Einfluss. Auch deshalb wurden die Missionsstationen immer wieder als Handlanger der Kolonialherrschaft angesehen.

    Über die Rolle der Missionare in der Kolonialzeit werde aktuell geforscht, sagt Claus Heim, Fachreferent für Tansania bei Mission EineWelt der Evangelisch-Lutherischen Kirche in Bayern. Mittlerweile sei Mission eine gemeinsame Vision. Die Missionsstationen und Kirchen mitsamt ihrer Arbeit im Gesundheits- und Bildungssystem sind inzwischen meist in tansanische Hände übergegangen und werden vielfach noch von Deutschland aus unterstützt. Zusammenarbeit und Austausch gehören fest dazu: Nicht nur sind Deutsche in Tansania im Einsatz, auch tansanische Pfarrerinnen und Pfarrer oder Ordensleute helfen in Deutschland aus.
    Kirche müsse Verbrechen aktiv aufarbeiten

    „Wir helfen einander, wir lernen voneinander, wir feiern miteinander“, sagt Heim. 100 Jahre nach dem Maji-Maji-Krieg, in dem die Deutschen einen Aufstand gegen Unterdrückung und Ausbeutung brutal niederschlugen, verfassten 2005 auch mehrere Missionswerke gemeinsam eine Bitte um Vergebung.

    Das reiche nicht, sagt der tansanische Historiker Valence Silayo: Die Kirche müsse die Verbrechen, in die sie verwickelt gewesen sei, aktiv aufarbeiten. „Die Kirche muss sich der Wahrheit stellen“, betont er. Besonders bei der Zerstörung von Kulturgütern und Traditionen sieht er die Mission in der Schuld. Heute seien die Kirchen nicht nur in der Pflicht, sondern auch in einer Position, die tansanischen Gemeinschaften in ihren Forderungen nach Restitution und Reparationen zu unterstützen.

    Solidarität solle sich nicht nur in Worten zeigen, sondern ganz konkret in Taten, fordert er. „Die Kirche muss mehr Initiative ergreifen, um den Gemeinschaften etwas von dem zurückzugeben, was auch die Missionare ihnen genommen haben.“

    Reverend Ernest Kadiva ist überzeugt, dass es insgesamt eine Theologie braucht, die die Herausforderungen in Tansania in den Blick nimmt. Bildung, Landwirtschaft und Klimawandel müssten zentrale Themen für die Kirche sein, damit sie auf Dauer Relevanz habe, erklärt er. „Die Kirche braucht eine Reformation, so wie damals bei Luther“, sagt Kadiva.

    https://www.evangelisch.de/inhalte/232097/23-07-2024/deutsche-kolonialzeit-die-kirche-muss-sich-der-wahrheit-stellen

    #Eglise #colonialisme #Allemagne #colonialisme_allemand #Tanzanie #histoire #missionnaires #évangélisation #histoire_coloniale #religion

    ping @_kg_

  • Si tu ne votes pas pour Trump, alors les wokistes vont interdire la Bible pour la remplacer par une version inclusive et queer. (Avec plein de petits points au milieu des mots.)

    Disciples in the Moonlight
    https://www.youtube.com/watch?v=uyfY-S2cdwU

    In the not-too-distant future, the United States has banned the Bible for its “offensiveness” and replaced it with a government-approved version. A small group of Christians are recruited to smuggle God’s Word to underground churches throughout the Midwest. With a ruthless federal agent in hot pursuit, the believers must choose between following the law or honoring and trusting God.

  • JO de Paris 2024 : quand les autorités catholiques confondent le banquet de Bacchus avec le dernier repas du Christ lors de la cérémonie d’ouverture
    https://www.lemonde.fr/culture/article/2024/07/29/jo-de-paris-2024-quand-les-autorites-catholiques-confondent-le-banquet-de-ba


    « Le Festin des dieux » (vers 1635-1640), de Jan Harmensz van Bijlert. Dionysos est représenté allongé au premier plan, pressant une grappe de raisin au-dessus de sa bouche. MUSÉE NATIONAL MAGNIN

    Une des scènes de la cérémonie d’ouverture, qui a suscité de nombreuses réactions, fait référence au festin des dieux de l’Olympe, un thème qui a inspiré plusieurs tableaux.
    Par Philippe Dagen

    Un tableau de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024, vendredi 26 juillet, fait depuis lors scandale. C’est celui où paraît le chanteur Philippe Katerine quasi nu, le corps peint en bleu. Il a été accusé d’impudeur et d’obscénité au nom de diverses religions, et la Conférence des évêques de France a déploré « des scènes de dérision et de moquerie envers le christianisme ». Ceux-ci ont cru y voir une parodie de la Cène, le dernier repas du Christ avant la Crucifixion, dont la représentation la plus connue est la fresque (1495-1498) de Léonard de Vinci, mais dont il existe d’innombrables autres versions peintes, dessinées ou gravées.

    Selon la tradition chrétienne, ce dîner – cena en latin – rassemble le Christ et les douze apôtres. Ce simple chiffre suffirait à établir que la scène conçue par Thomas Jolly n’a pas de rapport avec la Cène, étant donné le nombre bien plus élevé d’invitées et d’invités. Sans doute l’équivoque est-elle née de la mise en scène : des figures groupées derrière ce qui peut ressembler à une table, bien qu’il y manque les plats et les boissons traditionnellement présents dans les images de la Cène.
    Mais, plus que tout, le costume, si l’on peut dire, de Philippe Katerine, ne permet aucune hésitation sur les références mythologiques et artistiques qui sont ici en jeu. Sa nudité, qui a tant choqué, sa barbe, sa couronne de pampres et de fleurs, la tresse tombant de l’épaule jusqu’au ventre, le plateau chargé de fruits et de fleurs : tout le désigne comme l’incarnation du dieu nommé #Dionysos par les Grecs et devenu Bacchus pour les Romains. Celui-ci a pour précepteur Silène, le plus souvent représenté avec des cornes de bouc et en état d’ébriété. Dionysos est associé à la vigne et au vin et, plus largement, à la nature et à la fécondité. En Grèce, il est aussi le père de la tragédie, mais ce n’est pas ce que Thomas Jolly a retenu.

    « Une grande fête païenne »

    Le groupe des drag-queens et leurs déguisements extravagants, leur gestuelle et celle de Philippe Katerine font clairement allusion à cette iconographie. On la retrouve dans les représentations de Bacchus les plus connues, dont celle du Caravage, et dans celles qui réunissent le jeune dieu à la belle Ariane qu’il découvre sur l’île de Naxos, où elle a été abandonnée par son amant, Thésée. La plus fameuse de ces œuvres est celle (1520-1523) du Titien, au centre de laquelle bondit un Bacchus nu, hors une draperie rouge, escorté de bacchantes et de satyres, guère plus habillés que lui, ce à quoi la chanson interprétée par Philippe Katerine fait explicitement référence.

    Plus généralement, ces éléments sont ceux de l’iconographie classique du festin des dieux, une assemblée olympienne puisqu’elle réunit déesses et dieux de l’Olympe. C’est d’ailleurs bien la référence qu’avait en tête le metteur en scène de la cérémonie, interrogé sur BFM-TV, dimanche 28 juillet : « L’idée était plutôt de faire une grande fête païenne reliée aux dieux de l’Olympe… Olympe… olympisme. »

    De la Renaissance au XVIIe siècle, de Raphaël à Jacob Jordaens en passant par les maniéristes nordiques, ce sujet a beaucoup servi, car il se prête particulièrement bien à l’invention et à la liberté. Dans ces tableaux sont disposés femmes et hommes dans l’état de nature, parfois dans des poses lascives. Ce sont autant de célébrations des plaisirs, comme voulait l’être la scène imaginée par Thomas Jolly.

    Philippe Dagen

    Des cathos offusqués par un Jésus nu, des média musulmans eux-aussi outrés par un tel étalage de débauche. Les monothéismes veulent plus rien savoir de la Grèce ou de la Rome antique. Se souvenir du polythéisme serait admettre la profusion des inventions humaines que sont les #religions. Et leur caducité.

    • Boucheron s’est-il taillé le costume de Delerm [edit euh... Philippe Catherine pour ce qui est de cette cérémonie] ?
      https://blog.mondediplo.net/crise-totale

      Abondance de crédits et promesse d’audience planétaire aidant, il était temps de franchir quelques crans : « Entre ici Louise Michel avec ton ridicule cortège ». Car voilà ce qui a été fait à Louise Michel, et avec elle aux pétroleuses, aux communards, en leur temps agonis, animalisés, déshumanisés mais par la crapule versaillaise, et par-là anoblis pour toujours : sur la scène du macronisme, ils ont été « célébrés » — et par-là dégradés à nouveau. Tout anachronisme mis à part, nul ne peut douter que Louise Michel aurait été passionnément gilet jaune, et de tout son être au milieu de cette plèbe qui inspira à Patrick Boucheron une épouvante toute versaillaise. La voilà la différence entre l’histoire réelle et l’histoire « célébrée », où les historiens célébrants poussent des cris d’horreur au spectacle du dixième, du centième de ce qu’accomplit l’histoire réelle qu’ils célèbrent. La Commune met le feu aux Tuileries, à l’Hôtel de Ville, au Palais de justice, renverse la colonne Vendôme, on ne parle même pas des barricades — CNews et BFM tiennent deux heures sur une poubelle qui brûle, le soir même Karim Rissouli demande gravement à ses invités si la violence est une folie à condamner ou bien à condamner, Patrick Boucheron en fait partie sauf s’il doit se lever tôt le lendemain pour aller le dire sur France Inter ; plus tard, donc, il nous proposera une merveilleuse évocation scénique de Louise-en-fait-on-ne-sait-plus-qui, chair de poisson, curriculum effacé, une figurine en carton.
      Pendant ce temps un tableau des trois glorieuses affiche sa fière proclamation, « Liberté », et des militants d’Extinction Rébellion sont arrêtés au matin parce qu’ils s’apprêtaient à coller des stickers. Marie-Antoinette porte sa tête, c’est follement audacieux, mais il y a cinq ans il y avait de la comparution immédiate pour des guillotines en carton. En fond sonore, ça chante que ça ira et les aristocrates à la lanterne, mais la tête à Dussopt sur un ballon de foot ou la liquette arrachée du DRH d’Air France, c’était le commencement de la barbarie.

      #JO #Histoire

    • argument vaseux de cathocentré. le catholicisme a intégré ce qui lui semblait nécessaire, selon les contextes, du "paganisme" et des polythéismes.

      edit : la même source dénonce un " féminisme militant hyperpolitisé (à gauche toute !) qui a un besoin vital de s’inventer du « machisme » et du « masculinisme » à gogo pour pouvoir conserver ses subventions " (ce dont il faudra parler aux permanencières du planning familial).

  • Amalek, Amalekiter – Bibel-Lexikon
    https://www.bibelkommentare.de/lexikon/150/amalek

    Dans la série « J’aime les religions » je découvre pourquoi il faudrait enfermer tous les croyants dans une sorte de paradis sans armes afin de les empêcher de s’entretuer et de nous égorger comme victimes collatéraux, nous qui n’avons rien à faire avec leurs délires sanglants.

    Par exemple le #génocide est un devoir divin du peuple #juif, si on croit ce que dit l’Ancien Testament. C’est une perspective qui laisse peu d’espoir pour l’avenir de l’état d’Israel.

    Alors que faire pour arrêter la tuerie en Palestine ? L’état juif ne survira que s’il sera capable d’établir des rapports paisibles et amicaux avec les autres peuples de la région.

    Le soutien que lui apportent les chrétiens d’Amérique ne fait que le précipiter vers la bataille finale de Gog et Magog. Cette issue et la « rupture », l’enlèvement biblique constituent la raison profonde du soutien que la droite religieuse apporte aux génocidaires juifs. Ils s’imaginent qu’ensuite ils seront débarassés de tous les infidèles (nous) dont les juifs qui auront fait la plus grande partie du sale boulot.

    Un de ces jours on discutera pourquoi les croisés peu civilisés ont perdu contre les muselmans plus intelligents qu’eux.

    Pour changer d’ambiance la semaine prochaine on s’intéressera aux hindou-fascistes de Modi. Je préfère. C’est beaucoup plus coloré que les histoires ennuyeuses de la bible. C’est aussi plus meutrier. Le sang qui y coule est plus rouge que rouge.

    Plus loin on parlera des moines de la terreur tibétaines, mongoles et birmans. Ce sont de sacrés compères aussi.

    On terminera notre joyeux tour du monde en nous interrogeant sur le bien fondé des religions des chasseurs de têtes. Ce sont des homme comme nous qui sont capables de choses merveilleuses sous instruction de leurs prêtres et chamans.

    J’aime les religions, c’est tellement riche et varié !

    Mit dem Namen Amalek ist insofern eine Schwierigkeit verbunden, als wir schon in 1. Mose 14,7 von Amalektiern lesen, einige hundert Jahre vor der Geburt von Amalek, dem Sohn Eliphas und dem Enkel von Esau (1. Mo 36,12). Ob sich alles, was wir anschließend von diesem Volksstamm lesen, auf den Nachkommen von Esau bezieht oder ob diese schon vorher lebenden Menschen sich mit ihnen verschmolzen haben, wissen wir nicht.

    Der Volksstamm wurde zahlreich und kriegerisch. Das erste, was wir von ihnen lesen, ist ihr Angriff auf Israel, nachdem es das Rote Meer durchzogen hatte. Sie wurden besiegt und Gott erklärte: „Ich werde das Gedächtnis Amaleks auslöschen unter dem Himmel.“ Nicht dass sie sofort und auf einmal vernichtet wurden, aber der Herr schwor, dass er „Krieg haben würde gegen Amalek von Geschlecht zu Geschlecht“ (2. Mo 17,8–16). Amalek wohnte im Süden des Landes (4. Mo 13,29), und Bileam nannte sie „die erste der Nationen.“ Doch er sagte voraus, dass sie für immer ausgelöscht werden würden (4. Mo 24,20).

    Als die Israeliten sich im Unglauben mit den Kundschaftern, die eine schlechte Nachricht über das Land brachten, einverstanden erklärten, wurde ihnen gesagt, dass sie alle in der Wüste fallen würden; daraufhin beschlossen sie, doch in das Land zu gehen, um es zu besitzen; aber sie wurden durch die Amalektier und die Kanaaniter besiegt. Einige Male in der Zeit der Richter wurde wieder Krieg gegen Amalek geführt. Saul, dem gesalbten König über das Volk des Herrn, wurde aufgetragen, sie völlig auszurotten; aber er fehlte darin, den Auftrag des Herrn zu erfüllen und die Rache des Herrn für sein Volk völlig auszuführen. So war es Samuel, der Agag, den König der Amalekiter, in Stück hieb (1. Sam 14,48; 15,1–33).

    David griff die Amalekiter in seinen frühen Tagen ebenfalls an (1. Sam 27,8). Ebenso nachdem sie Ziklag verbrannt und die Frauen und Kinder - einschließlich der beiden Frauen Davids - weggeführt hatten. David erbeutete alles zurück und sandte von der Beute an die Ältesten Israels (1. Sam 30,1–31). David weihte ihr Silber und Gold dem Herrn (2. Sam 8,12). In den Tagen Hiskias wurde der Rest der Amalekiter durch die Söhne Simeons geschlagen (1. Chr 4,41–43). Unter den Völkern, die sich verschworen hatten, Israel zu vernichten, werden die Amalekiter genannt (Ps 83).

    Wir erkennen also, dass Amalek das erste Volk war, das Israel angegriffen hatte und dass es immer ein Feind blieb, der stets bereit war, Israel zu belästigen, wenn es schwach war - bis zu den Tagen Hiskias. Dieses Volk wird auch in dem feindlichen Zusammenschluss der Völker am Ende ihrer Geschichte gefunden. Es ist ein passendes Bild auf Satan als den Feind des Volkes Gottes.

    https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Amal%C3%A9cites

    Selon la Bible, ils furent toujours acharnés contre les Hébreux, qui à leur tour les regardaient comme une race maudite. Dieu ordonna à Saül de les exterminer. Ce roi leur déclara la guerre et les défit. Mais, contre la défense de Dieu, il pardonna à Agag, leur roi : cette désobéissance lui fit perdre sa couronne, qui fut transférée à David.
    ...
    Dans le judaïsme, les Amalécites représentent l’ennemi archétypal des Juifs. Amalek, leur chef, est cité dans le Deutéronome : « Souviens-toi de ce que te fit Amalek pendant le voyage lors de votre sortie d’Égypte » (Deutéronome 25:17) ; « Quand donc l’éternel ton Dieu, t’aura délivré de tous les ennemis qui t’entourent, et qu’il t’aura assuré la sécurité dans le pays qu’il te donne en héritage pour que tu en prennes possession, tu effaceras la mémoire d’Amalek, de dessous le ciel. Ne l’oublie pas » (Deutéronome 27:19).

    #religion

    • Réponse de Perplexity : Sainte Anne est souvent utilisée pour désigner les hôpitaux psychiatriques en France pour plusieurs raisons historiques et culturelles :

      L’influence du Centre hospitalier Sainte-Anne à Paris : Cet établissement, fondé en 1651, est devenu un symbole des asiles psychiatriques en France, aux côtés de l’hôpital Esquirol

      . Sa longue histoire et sa spécialisation en psychiatrie, neurologie et neurosciences en ont fait une référence dans le domaine.
      Importance historique : Le Centre hospitalier Sainte-Anne a joué un rôle pionnier dans le développement de la psychiatrie et des neurosciences en France

      . Cette notoriété a contribué à associer le nom « Sainte-Anne » aux établissements psychiatriques en général.
      Amalgame populaire : Par extension, le nom « Sainte-Anne » est devenu dans le langage courant un terme générique pour désigner les hôpitaux psychiatriques, même si tous ne portent pas officiellement ce nom.
      Tradition de nommer les hôpitaux d’après des saints : En France, il était courant de donner des noms de saints aux établissements de santé. Sainte Anne, mère de la Vierge Marie dans la tradition chrétienne, a été choisie pour cet hôpital parisien emblématique.

      Il est important de noter que malgré cette association populaire, tous les hôpitaux psychiatriques en France ne s’appellent pas « Sainte-Anne ». C’est plutôt une expression familière utilisée pour désigner ce type d’établissement, en référence à l’institution parisienne historique.

    • En jetant un coup d’œil sur l’histoire de l’hôpital, Il semble que le nom ait été choisi juste en référence à la sainte patronne d’Anne d’Autriche.

      Avant la construction de l’asile, différents établissements à vocation hospitalière se sont succédés.

      Au XIIIe siècle, Marguerite de Provence, la veuve de Louis IX, fait construire à l’emplacement actuel de la Prison de la Santé une dépendance de l’Hôtel-Dieu : une maison de santé destinée à héberger les pestiférés. Lui succède au XVe siècle, entre les faubourgs Saint-Jacques et Saint-Marcel, le Sanitat Saint-Marcel (dit La Santé) également destiné à isoler les malades contagieux pestiférés.

      Mais Anne d’Autriche , mère de Louis XIV, juge ce voisinage dangereux trop proche du couvent des Bénédictines où elle séjournait souvent (à l’emplacement actuel de l’hôpital du Val de Grâce). En 1651, elle rachète la maison de santé et fait construire un autre bâtiment plus au Sud de Paris, près de la future Barrière de la Santé.

      Ce projet se transforme en Ferme Sainte-Anne, par référence à Sainte-Anne, la sainte patronne de la reine .

      https://gallica.bnf.fr/blog/03082017/hopital-sainte-anne-histoire-du-site

    • Anne d’Autriche et Sainte-Anne d’Apt
      https://www.luberon-apt.fr/experiences-luberon/anne-d-autriche-et-sainte-anne-d-apt

      On dit que la grille menant aux cryptes était usée sous les baisers fervents des pèlerins. Des saints, des papes, des rois se déplaçaient pour prier dans le sanctuaire : Urbain II pour prêcher la première croisade, Urbain V, pour prier sur la tombe de ses parents ensevelis près des reliques, le cardinal Pierre de Luxembourg qui fut béatifié, Guy de Lusignan, ... Mais le plus fameux pèlerinage fut accompli par la Reine Anne d’Autriche, très dévouée à sa sainte patronne.

    • Sur wikipedia je découvre que ...
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Anne_(m%C3%A8re_de_Marie)

      Le luthéranisme considère que Martin Luther a choisi d’entrer dans les ordres en tant que frère augustin après avoir invoqué Anne alors qu’il était menacé par la foudre.

      ... puis ...

      Le thème de l’Immaculée Conception est retenu au XIIe siècle par le catholicisme en raison d’une dévotion accrue à Anne, avant de devenir un dogme en 1854.

      Pour commencer une réponse à la question initiale, on constate que

      d’abord c’était un truc de fanatiques religieux ( Luther quand même, c’était un dur.),

      puis au moment de l’avènement de la médecine moderne et du passage du pouvoir sur la vie et la mort des charlatans d’antan aux chamans en blouse blanche on introduit le dogme de la conception immaculée qui est aujourd’hui défendu et par le pape et les luthériens.

      Si dans ce contexte le fait de nommer des hôpitaux « Sainte Anne » n’est pas l’expression de la volonté du pouvoir théocratique, pour utiliser l’expression du jour, de faire barrage au pouvoir iatrocratique, ça m’étonnerait.

      Il faudrait encore creuser pour trouver des indices plus pertinents, mais c’est un sujet intéressant.

      #iatrocratie #religion

  • #Esclavage dans les #mondes_musulmans : les faits, les clichés et leur postérité

    #M’hamed_Oualdi revient sur les traites serviles en terre d’islam, souvent instrumentalisées pour relativiser l’esclavage pratiqué par les Européens. Il démonte les comparaisons hasardeuses, sans complaisance pour une histoire dont les #traumatismes sont encore vivaces.

    https://www.mediapart.fr/journal/culture-et-idees/210624/esclavage-dans-les-mondes-musulmans-les-faits-les-cliches-et-leur-posterit
    #islam #histoire #traite_d'êtres_humains #traite_islamique #comparaison #traite_atlantique #traite_trans-saharienne #Sahara #imaginaire #couleur_de_peau #religion

    • L’esclavage dans les mondes musulmans. Des premières traites aux traumatismes

      L’esclavage dans les mondes musulmans suscite de nombreux fantasmes et de multiples instrumentalisations. Cet ouvrage propose une mise au point rigoureuse et informée sur ce sujet, afin de couper court aux polémiques qui l’entourent.

      Objet d’études scientifiques mais aussi et surtout de passions politiques, l’esclavage dans les mondes musulmans suscite de nombreux fantasmes et de multiples instrumentalisations. Pour couper court aux inlassables polémiques qui entourent ce sujet prétendument tabou, M’hamed Oualdi l’aborde dans cet ouvrage en historien, c’est-à-dire d’une manière attentive à la fois à l’établissement des faits et à l’appréhension de leur complexité.
      Contre la vision homogénéisante d’un esclavage « islamique » unifié qui ne sert qu’à relativiser la gravité de la traite atlantique, il souligne la diversité des traites au sein de ces mondes depuis la période médiévale et la pluralité des formes que prend la servitude en leur sein. Il pointe aussi le caractère ambivalent des politiques abolitionnistes mises en œuvre par les puissances européennes au XIXe siècle, avant d’interroger la persistance de l’esclavage et des traumatismes qui lui sont liés dans les sociétés arabes et musulmanes contemporaines. Des premières traites aux « post-esclavages », ce sont ainsi non seulement les étapes marquantes dans l’histoire de ces sociétés qui sont restituées, mais aussi la trajectoire et la parole de millions d’hommes et femmes asservis.

      http://www.editionsamsterdam.fr/lesclavage-dans-les-mondes-musulmans

      #livre

  • Elvis (* January 8, 1935) is alive.
    https://www.youtube.com/watch?v=QClj1WbIseQ


    And he is a gay communist now !

    La preuve

    https://www.youtube.com/watch?v=96V_gsINmko

    https://www.youtube.com/watch?v=RuBAqCBFNF8

    https://www.youtube.com/watch?v=Tyzv7GR6YUg

    Comme diraient mes copains amerloques : Only a dead communist is a good communist .

    Discussion scientifique : pourquoi il n’est pas le seul.
    https://www.youtube.com/watch?v=8eraNZHM1to

    Question : Pourquoi Elvis est vivant ?
    Réponse : C’est facile à prouver. Elvis est bon. C’est évident. Puisqu’on ne peut pas être et bon et communiste et mort à la fois (il n’y a pas d’intérêt une fois qu’on est mort), Elvis est vivant.
    QED.

    P.S. Elvis gay ? Bah évidemment. Vous avez regardé attentivement ses vidéos ? Alors !

    #rock_n_roll #wtf #crowdsourcing
    #sagesse_des_mouches #vie_éternelle #religion

  • Emmanuel Roman, directeur général du premier fonds obligataire au monde : « Une politique économique qui n’a pas de sens est immédiatement punie par le marché »
    https://www.lemonde.fr/economie/article/2024/06/18/emmanuel-roman-directeur-general-du-premier-fonds-obligataire-au-monde-une-p

    Cet entretien pourrait être titré la beauté du capitalisme financier où les peuples n’ont qu’à bien se tenir...

    Aujourd’hui, l’extrême droite est aux portes du pouvoir. En tant que patron de l’une des plus grosses sociétés de gestion au monde, comment voyez-vous ça ?
    Nous assistons à une croissance des mouvements populistes dans le monde entier, en Amérique latine, aux Etats-Unis, avec une fracture totale du monde politique, en France aussi. D’un point de vue macroéconomique, les vrais problèmes en Europe sont le niveau élevé de la dette, et l’inflation. Donc, politique mise à part, le seul vrai sujet est de savoir quoi faire vis-à-vis de la dette publique : soit augmenter les taxes, soit couper les dépenses publiques. Pour avoir lu le programme du Rassemblement national et leurs vingt-deux points, je peux dire qu’il n’y a pas un seul élément de réponse aux vrais problèmes macroéconomiques.
    L’arrivée du RN au pouvoir risquerait-elle de provoquer une crise de la dette française ?
    Les marchés sont capables de regarder sur le plus long terme. Ils savent que l’Europe est passée par beaucoup de hauts et de bas et a pu gérer des situations compliquées, comme celle de la Grèce, par exemple. Cela dit, une politique économique qui n’a pas de sens est immédiatement punie par le marché.

    on vous puni, mais de toute façon il y a toujours du fric à se faire
    Donc, comment gérez-vous votre investissement face à ces incertitudes ?
    L’une des stratégies envisageables serait d’attendre que les choses se décantent et, en cas de dislocation des marchés, trouver les opportunités d’investissement. On parlait de l’Angleterre un peu plus tôt : il y a eu un « trade » [mouvement boursier] exceptionnel, dans un sens comme dans l’autre, en octobre 2022, parce que la politique n’avait aucun sens.

    La secousse sur les marchés provoquée par Liz Truss était donc une opportunité d’investissement. Est-ce que c’est aussi le cas pour les élections françaises ?
    C’est potentiellement une opportunité.

    Mais peut-on vraiment imaginer un dérapage de la dette américaine ?
    C’est très peu probable. Les Etats-Unis ont trois énormes avantages. Ils ont la devise mondiale de réserve. Par ailleurs, le dollar est le marché le plus liquide au monde, le seul vrai actif où l’on peut investir beaucoup d’argent. Enfin, la capacité à collecter des impôts aux Etats-Unis est grande : il n’y a pas de taxe à la consommation, pas de taxe énergétique, et de nombreux avantages fiscaux qui pourraient disparaître… Il est facile de trouver une série de mesures fiscales qui dégageraient 500 milliards de dollars par an.
    là le mec fait l’apologie de l’impôt, certes en grande partie sur la consommation sur les gens ordinaires, mais aussi sur les niches fiscales qui touchent les plus riches
    [...
    par contre là, c’est serrez les fesses parce que les Vietnamiens, les Bengalais et les Africains sont prêts à souffrir plus que vous, vous finirez plus pauvres, et c’est la beauté du capitalisme... ]
    Comprenez-vous la colère d’une partie de la population contre la mondialisation ?
    Il faut comprendre qu’il y a une partie du monde qui est prête à travailler beaucoup plus, qui est sortie de la pauvreté il n’y a pas si longtemps. Or, nous sommes dans un système économique compétitif mondial. Cela a une répercussion énorme sur le contrat social en Europe. Cette mondialisation des sphères économiques fait que l’inégalité au niveau mondial a été réduite par l’émergence d’immenses pays en Asie, qui ont un système de production extrêmement efficace et peut-être un droit du travail qui n’a rien à voir avec celui de la France, mais qui crée des déséquilibres énormes. Il faut donc y faire face.

    Ce que vous nous dites, c’est qu’en Europe on va être plus pauvres et que ça va être plus dur…
    De manière relative, oui, cela va être plus difficile.

    #dette #capitalisme_financier #punition #spéculation

  • Wang Mang, einziger chinesischer Kaiser der Xin-Dynastie (9 v.u.Z. - 23 u.Z. )
    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Wang_Mang#R%C3%BCckkehr_an_die_Macht


    L’empereur et la poule sacrée, une histoire machiavellique.
    Question : quelle poule présente-t-on aujourd’hui au peuple pour qu’il delègue son pouvoir aux élites ?

    Nachdem er seine Macht konsolidiert hatte, ging Wáng Mǎng daran, den Kult um seine Person systematisch auszubauen. Er ließ Prophezeiungen verbreiten, denen zufolge er die Reinkarnation mythischer Herrscherpersönlichkeiten wie des legendären Ji Dan sei. Zudem änderte er die Namen von Regierungsinstitutionen und auch von einigen Orten und ersetzte sie durch Namen, die an die Zhou- oder die Shang-Dynastie erinnerten. Aus Vietnam ließ er 1 n. Chr. ein Albino-Huhn an den Hof schicken. Da diese seltenen Tiere als Zeichen göttlicher Gunst galten, konnte er seine Tante überzeugen, ihm noch mehr Befugnisse zu übertragen. Währenddessen vergaß er es jedoch nicht, die Verwandten des Kaisers vom Hof fernzuhalten und ihren Einfluss zu beschneiden.

    Dynastie Xin (新朝, Xīn Cháo)
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Dynastie_Xin

    Wang Mang
    https://en.wikipedia.org/wiki/Wang_Mang
    Wang Mang (Chinese : 王莽 ; Wáng​ Mǎng) (45 BCE[1] – 6 October 23 CE), courtesy name Jujun (Chinese : 巨君 ; Jùjūn), officially known as the Shijianguo Emperor (始建國天帝, shǐ jiàn guó tiān dì )

    #Chine #histoire #dynastie_Xin #religion #superstition

  • Iran : la guerre contre les #femmes
    https://laviedesidees.fr/Iran-la-guerre-contre-les-femmes

    Actrices de la sécularisation et de la résistance, les Iraniennes sont la cible du régime depuis 1979. C’est sur cette toile de fond qu’éclate en 2022 le mouvement « Femme, Vie, Liberté ».

    #International #religion #violence #Moyen-Orient #dictature
    https://laviedesidees.fr/IMG/pdf/20240611_iran.pdf

  • Lecture d’un extrait du livre « Ceux qui appartiennent au jour » d’Emma Doude Van Troostwijk, paru aux Éditions de Minuit, en 2024.

    https://liminaire.fr/radio-marelle/article/ceux-qui-appartiennent-au-jour-d-emma-doude-van-troostwijk

    Une jeune femme d’origine néerlandaise revient voir sa famille de pasteur installée dans le presbytère d’un village en Alsace. Un grand-père atteint de pertes de mémoire. Un père en proie à un burn-out et un frère qui s’interroge sur son futur en tant que pasteur. La vulnérabilité masculine vue à travers le regard d’une jeune femme. Un premier roman sur l’héritage et la transmission, sur le présent de ce monde qui « brûle jusqu’au bout ». Un récit construit comme une espèce de jeu de patience, dont les fragments parsemés de mots néerlandais et français, compose avec pudeur une suite de tableaux d’observations décrivant les gestes du quotidien d’une famille se racontant des histoires pour ne pas oublier.

    (...) #Radio_Marelle, #Écriture, #Livre, #Lecture, #En_lisant_en_écrivant, #Podcast, #Art, #Poésie, #Littérature, #Mémoire, #Famille, #Religion, #Temps (...)

    https://liminaire.fr/IMG/mp4/en_lisant_ceux_qui_appartiennent_au_jour_emma_doude_van_troostwijk.mp4

    http://www.leseditionsdeminuit.fr/livre-Ceux_qui_appartiennent_au_jour-3423-1-1-0-1.html

  • Lehrerin aus Berlin: Meine Schülerinnen sitzen plötzlich mit Kopftuch vor mir – was steckt dahinter?
    https://www.berliner-zeitung.de/open-source/lehrerin-aus-berlin-meine-schuelerinnen-sitzen-ploetzlich-mit-kopft

    06.06.2024 von Ada M. Hipp - Unsere Autorin unterrichtet an einer Berliner Schule. Immer mehr Mädchen tragen dort plötzlich Kopftuch. Im Gespräch mit den Schülerinnen fragt sie: Warum?

    Ich unterrichte an einer Schule in Berlin. Immer öfter erlebe ich, dass ein Mädchen „plötzlich“ mit einem Kopftuch im Klassenraum vor mir sitzt, welches noch vor den Ferien oder dem Wochenende keines trug. In der Regel betrifft es Mädchen des 9. oder 10. Jahrgangs. Von manchen hätte ich es nicht gedacht, da sie sich zuvor meist offen verhielten und dem sogenannten westlichen Lebensstil sehr zugeneigt waren. Wenn sie dann mit Kopftuch vor mir sitzen, verhalten sie sich oft anders, wesentlich ruhiger als zuvor.

    Weil mich das alles sehr erstaunte, bat ich sie, mir ihre Beweggründe darzulegen. Bei Gesprächen mit mehreren Schülerinnen stellte ich fest, dass die Veränderung der Mädchen nur für Außenstehende „plötzlich“ geschieht. Für die Mädchen selbst ist die Entscheidung zum Tragen eines Kopftuches das Ergebnis eines längeren Prozesses. Sie denken viel und intensiv darüber nach.

    Ihre Lebenswirklichkeiten und ihre Perspektiven sind in der aufgeheizten gesellschaftlichen Debatte nur selten Thema. Die eine Seite stilisiert das Kopftuch zum feministischen Symbol und pocht auf die „weibliche Selbstbestimmung“ oder zumindest die private, persönliche Entscheidungsfreiheit. Die andere Seite redet vom „Kopftuchzwang“, der den „unterdrückten“ Mädchen auferlegt würde und ihnen jegliche Autonomie und Eigenwilligkeit abspricht.

    Wenn ich die Gespräche mit meinen Schülerinnen Revue passieren lasse, fällt mir auf, wie komplex und widersprüchlich die Sache mit dem Kopftuch oft ist.

    Im Jahre 2014 erschien ein Mädchen türkisch-libanesischen Familienhintergrunds meiner damals 10. Klasse nicht nur plötzlich mit Kopftuch in der Schule. Sie kleidete sich noch dazu in einer Abaya. Dieses bodenlange, hochgeschlossene, langärmelige Überkleid bedeckt weder Kopf noch Gesicht. Traditionell wird es mit einem Hijab (Kopftuch) oder Niqab getragen. Der Niqab ist ein Gesichtsschleier, der einen Sehschlitz freilässt. An deutschen Schulen wird der nicht getragen. Die Abaya sehe ich jedoch immer öfter im Schulalltag.

    In Frankreich wurde im September 2023, zu Beginn des neuen Schuljahres, Schülerinnen verboten, in Abayas gekleidet in die Schule zu kommen, da man diese Kleidung als religiöses Zeichen einstuft. In Frankreich pocht man auf Laizität, also die strikte Trennung von Staat und Religion.

    Vielen meiner Schülerinnen ist die Abaya ohnehin schlicht zu unpraktisch, wie sie mir erzählen – wegen der vielen Treppen im Schulhaus. Bei jenem türkisch-libanesischen Mädchen, das 2014 in meiner Klasse saß, war das offenbar nicht der Fall. Sie kam in der Abaya und verhielt sich fortan anders. Sie mahnte Mitschüler häufiger zu besserem Verhalten an, war selbst weniger aufbrausend und ruhiger. Ich war damals irritiert, da ich die Familie des Mädchens gut kannte und wusste, dass dort keine Frau ein Kopftuch trägt. Ich hakte nach. Das Mädchen erzählte, dass sie sich etwas intensiver mit dem Islam beschäftigt habe und sich daraufhin zum Tragen des Kopftuchs und der Abaya entschieden hätte.
    Die Mutter hofft, es sei nur eine Phase

    Als ich sie fragte, wie denn ihre Familie darauf reagiert hätte, meinte sie, sie wäre zwar zunächst einmal geschockt gewesen, ihre Entscheidung jedoch würde sie respektieren. Im Gespräch mit der Mutter, die immer sehr offen war, äußerte diese, dass sie hoffe, diese „Phase“ ihrer Tochter möge möglichst bald vorübergehen. Sie selbst würde von Verwandten, Bekannten und anderen auf ihre Tochter und deren neuen Kleidungsstil angesprochen. Gezwungen wurde das Mädchen offensichtlich nicht. Sie kam auch wie alle anderen mit auf unsere Klassenfahrt ins Ausland.

    Als das Mädchen nach der Schule eine Ausbildung begann, legte sie Kopftuch und Abaya ab. Ihr seien die damit verbundenen Auflagen eines veränderten, streng nach islamischen Regeln geführten Lebensstils mit regelmäßigen Besuchen der Moschee dann doch zu einschneidend, als dass sie den Rest ihres Lebens so verbringen wolle, erzählte sie mir. Auch die ständigen Nachfragen nach dem Wieso oder Warum und der Druck in der Familie wurden ihr zu viel. Sie wollte sich nicht ständig rechtfertigen.

    Im Jahre 2018 saß in meiner neuen siebten Klasse ein Mädchen mit Kopftuch, das sich immer darüber beschwerte, wie unschön ihre Mitschüler miteinander umgingen, Ausdrücke sagten, sich gegenseitig beschimpften. Ihr extrem vorbildliches Verhalten war untypisch für ein Kind ihres Alters. Sie lachte nie. Einmal sah ich, wie sie bei einem kleinen Missgeschick eines Mitschülers die Mundwinkel dann doch leicht zu einem, für ihre Verhältnisse, breiten Grinsen verzog. Als sie sich selbst bei ihrer Schadenfreude ertappte, erschien sofort wieder ihr überernstes Gesicht.

    Nach den Sommerferien dachten meine Kollegin und ich, wir hätten eine neue Schülerin bekommen. Das Mädchen mit dem Kopftuch fehlte. Auf ihrem Platz saß ein Mädchen mit vollem, wunderschönem Haar. Wir fragten uns, weshalb uns niemand, weder das Sekretariat noch die Schulleitung, über die neue Schülerin informiert habe. Bei der Anwesenheitskontrolle lasen wir auch den Namen der verschwundenen Schülerin mit dem Kopftuch nicht laut vor, denn sie war ja nicht da.

    Nach dem Verlesen der Namen rief eine Mädchenstimme: „Ich bin doch auch da, warum haben Sie meinen Namen nicht genannt?“ – Es war die vermeintlich nicht anwesende Schülerin, wir haben sie einfach nicht erkannt. Auch deshalb nicht, weil statt dem sehr stillen, verkrampften Mädchen, dort ein fröhlich lachendes saß.

    Sie wollte das Kopftuch nicht mehr tragen – „Na endlich!“, sagte der Vater

    Auch hier hakte ich nach. Das Mädchen erzählte mir, dass die Familie gemeinsam im Auto in die Türkei gefahren sei, um dort die Sommerferien bei den Großeltern zu verbringen. Sie saß auf der Rückbank, hinter dem Vater und schluchzte. Irgendwann fragte sie der Vater, was denn los sei. Sie antwortete, dass sie das Kopftuch nicht mehr tragen wolle. Da drehte sich der Vater während der Fahrt zu ihr um und riss ihr das Kopftuch ab. „Na endlich!“, sagte er. Dann lachten alle.

    Im Sommer 2023 hörte ich auf einer Exkursion mit meiner Klasse, wie sich zwei befreundete Mädchen darüber unterhielten, wie es denn wäre, wenn sie beide nach den Sommerferien in der achten Klasse ein Kopftuch trügen. Sie verabredeten sich zum Tragen eines Kopftuchs, wie andere Teenager sich zum Tragen der gleichen Jacke oder gleichfarbiger T-Shirts verabreden.

    Nach den Sommerferien kam eines der beiden Mädchen jedoch weiter ohne Kopftuch in die Schule. Sie erzählte mir, dass ihre Mutter ihr in intensiven Gesprächen erklärt hatte, dass sie ihrem Verhalten nach noch nicht reif genug für das Tragen eines Kopftuchs sei. Außerdem diene das Kopftuch nicht dazu, einer Teenagerlaune nachzukommen. Der Tochter kam das wie eine Art Kopftuchverbot vor.

    Die Freundin erschien nach den Ferien wie verabredet mit Kopftuch. Sie nahm der anderen übel, dass sie keines trug, fühlte sich verraten. Die Freundschaft litt sehr, erst kürzlich näherten sich die beiden wieder an.

    In einem Elterngespräch sprach ich die Mutter des Kopftuch tragenden Mädchens darauf an. Sie meinte, sie könne ihrer Tochter das Tragen des Kopftuchs nicht ausreden, obwohl sie genau wisse, dass sich ihre Tochter nicht an die mit dem Tragen des Kopftuchs verbundene, vorbildlichere Verhaltensweise halte.

    Wenn ich meine Schülerinnen vor mir habe, denke ich oft: Wir sollten mehr mit ihnen, statt über sie reden, Interesse an ihnen und ihrer Kultur zeigen und versuchen, sie und ihre Beweggründe besser zu verstehen. Auch das ist wichtig für eine gelingende Integration.

    Ada M. Hipp, Jahrgang 1968, lebt mit ihrer Familie in Berlin. Seit 1992 ist sie im Berliner Schuldienst tätig.

    Transparenzhinweis: Die Autorin verwendet ein Pseudonym, der wahre Name ist der Redaktion bekannt.

    #Berlin #école #pédagogie #religion

  • Elfjährige getötet : Zeugin spricht von erschütterndem Abschiedsbrief des Kindes
    https://www.berliner-zeitung.de/mensch-metropole/berlin-elfjaehrige-getoetet-zeugin-spricht-von-erschuetterndem-absc


    Les religions sont effrayantes. A Berlin-Köpenick une famille chrétienne tente de s’envoyer au ciel en s’entretuant avec des couteaux. Leur fille de onze ans invite sa meilleure copine chez elle prendre un dernier repas ensemble et lui adresse une lettre d’adieu. Ensuite elle meurt d’un coup de couteau dans le coeur. Deux des quatre membres de la famille survivent.

    29.5.2024 von Katrin Bischoff - Im Prozess um die Bluttat in Berlin-Köpenick mit zwei Toten zeichnet die Mutter der besten Freundin des getöteten Kindes ein verstörendes Bild von der Angeklagten.

    Der Brief, den Heidrun N. am 16. Oktober vorigen Jahres von ihrer Tochter Lena* gezeigt bekam, war das Erschütterndste, was sie je erlebt hatte. So beschreibt es die sichtlich um Worte ringende Frau am Mittwoch am Landgericht Berlin. Elisabeth, die beste Freundin von Lena, hatte den Abschiedsbrief verfasst. Ihre Tochter habe den Inhalt nicht verstanden, sagt die 57-jährige Zeugin. „Ich wusste sofort, was er bedeutet.“

    „Liebe Lena“, hatte die elfjährige Elisabeth, die alle nur Eli nannten, geschrieben. „Ich bin mit Mama in den Himmel gegangen. Wir fühlen uns hier nicht mehr sicher. Oben wird es gut sein. Es gibt dort viele Katzen und wir kriegen viele Geschenke. Bitte sei mir nicht böse, ich werde oben auf dich warten. Dann können wir für immer zusammen sein.“

    Heidrun N. ist Zeugin an diesem vierten Verhandlungstag im Prozess um den gewaltsamen Tod der elfjährigen Elisabeth und deren 68 Jahre alten Oma Christina L. Auf der Anklagebank sitzen Elis Mutter, die 42-jährige Dorothea L., und Werner L., der 71-jährige Großvater des getöteten Kindes.

    Dorothea L., eine blasse, schmale Frau mit rotblonden, schulterlangen Haaren, soll ihr Kind zwischen dem 13. und 14. Oktober vorigen Jahres in der gemeinsamen Wohnung in der Kinzerallee in Köpenick mit tiefen Schnitten an den Handgelenken und einem Stich ins Herz getötet und der Großmutter auf deren eigenen Wunsch hin die Pulsadern aufgeschnitten haben. Sie soll die Stellen, an denen sie ihren Verwandten Schnitte und Stiche versetzen wollte, mit Filzstift markiert haben. Tochter und Oma verbluteten. Dorothea L. muss sich vor Gericht wegen Totschlags verantworten.

    Dem Großvater des Mädchens wirft die Anklage Totschlag durch Unterlassung vor. Die Anklage geht von einer sogenannten Garantenpflicht aus. Er soll von den Tötungsabsichten gewusst und nichts unternommen haben.

    Die streng religiöse Familie hatte laut Staatsanwaltschaft bibeltreu und pietistisch gelebt, sich immer weiter zurückgezogen und abgeschottet. Sie habe sich wegen der gesellschaftlichen Entwicklung, der Politik und der Einwanderung zunehmend verängstigt gefühlt, so die Staatsanwaltschaft. In dieser Situation sei der Wunsch gereift, „sich diesen Sorgen dauerhaft zu entziehen“.

    Tante des Kindes verweigert die Aussage vor Gericht

    Auch die Angeklagten sollen versucht haben, sich das Leben zu nehmen. Sie überlebten schwer verletzt. Die Schwester von Dorothea L. hatte sie gefunden, nachdem sie ihre Eltern nicht mehr erreicht hatte. Vor Gericht machte die Schwester, Elisabeths Tante, von ihrem Zeugnisverweigerungsrecht Gebrauch.

    Dafür wird die Mutter der besten Freundin des getöteten Kindes ausführlich gehört. Heidrun N. fühlt sich nicht wohl im Zeugenstand und vermeidet den Blickkontakt mit den Angeklagten. Sie habe sich fest vorgenommen, diese Frau – damit meint sie Dorothea L. – nicht wiedersehen zu müssen, erklärt sie dem Gericht. Von der angeklagten Dorothea L. zeichnet sie ein verstörendes Bild. Eli sei ihrer Mutter hörig gewesen, sagt die Zeugin und spricht von einem ungesunden Verhältnis von Mutter und Tochter.

    „Wir haben versucht, Eli mit in unsere Unternehmungen einzubeziehen, weil ihre Mutter nicht viel mit ihr gemacht hat“, sagt Heidrun N. Sie erzählt von gemeinsamen Ausflügen, bei denen Elisabeth regelrecht aufgeblüht sei. Doch bei allem habe das Mädchen seine Mutter angerufen und um Erlaubnis gefragt, selbst wenn es nur eine Kugel Eis essen wollte. Heidrun N. spricht von Restriktionen, die erdrückend wirkten, von Überwachung und Kontrolle. „Als hätte Dorothea ihre Tochter nicht als eigenständige Person wahrgenommen“, erklärt die Zeugin.

    Elisabeth hat nach Angaben von Heidrun N. unter der unguten Umklammerung der Mutter gelitten. Das Kind sei von seiner Mutter auch zusammengestaucht worden, öfter sei es dabei zu sogenannten ernsthaften Gesprächen gekommen. Sie, die Elfjährige, werde nun langsam erwachsen, und sie solle vorsichtig sein, soll ihr Dorothea L. eingebläut haben. Elis Mutter habe ihrer Tochter die rotblonden Haare schwarz gefärbt, angeblich zum Schutz, berichtet die Zeugin.

    Vor Gericht sagt Heidrun N., Elisabeth habe nie davon erzählt, nicht mehr leben zu wollen. Sie habe auch nicht gewusst, dass die Familie L. religiös gewesen sei. Anzeichen für eine drohende Katastrophe habe sie erst nach dem Tod des Kindes erkannt: Wenige Tage vor der Tat sei Eli sehr komisch zu ihrer besten Freundin geworden. Barsch habe sie Lena gesagt: „Ruf nicht mehr an, am Wochenende mache ich etwas mit meiner Mutter.“
    Freundin zum Abschiedsessen eingeladen

    Am 7. Oktober hatte Dorothea L. ihre Tochter Elisabeth und die ein Jahr ältere Freundin Lena zum Essen eingeladen – weil es das letzte Mal sei, soll die Frau gesagt haben. „Nach meiner heutigen Deutung war es das Abschiedsessen“, sagt die Zeugin. Dann nahte der Geburtstag von Elisabeth. Und Dorothea L. forderte Lena auf, ihr Geschenk an die Freundin vorab zu übergeben, weil es in diesem Jahr keine Geburtstagsfeier geben werde.

    Am 17. Oktober vergangenen Jahres wäre Elisabeth L. zwölf Jahre alt geworden. An diesem Tag lag das Kind tot auf dem Obduktionstisch. Das Mädchen war vor der Tat weder gefesselt noch betäubt worden.

    *Name geändert

    Piétisme
    https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Pi%C3%A9tisme

    Spenerstraße
    https://m.kauperts.de/Strassen/Spenerstrasse-10557-Berlin

    Kinzerallee
    https://m.kauperts.de/Strassen/Kinzerallee-12555-Berlin

    #Berlin #Köpenick #Kinzerallee #religion #famille #suicide_collectif #christianisme #piétisme

    • Elfjährige in Berlin-Köpenick getötet: Verurteilte Mutter und Opa des Mädchens legen Revision ein
      https://www.berliner-zeitung.de/mensch-metropole/elfjaehrige-in-berlin-koepenick-getoetet-verurteilte-mutter-und-opa

      2.7.2024 von Katrin Bischoff - Die Mutter wurde wegen Totschlags und Tötung auf Verlangen zu acht Jahren und drei Monaten, der Großvater wegen Beihilfe zu sechs Jahren Haft verurteilt.

      Im Fall des in einer Wohnung in der Köpenicker Kinzerallee getöteten elfjährigen Mädchens und deren Großmutter haben die Verteidiger der Mutter und des Opas des Kindes Revision eingelegt.

      Eine Schwurgerichtskammer des Berliner Landgerichts hatte die 42-jährige Dorothea L. vor einer Woche wegen Totschlags und Tötung auf Verlangen zu einer Haftstrafe von acht Jahren und drei Monaten und den 71-jährigen Werner L. wegen Beihilfe zum Totschlag zu sechs Jahren Haft verurteilt.

      Damit war die Kammer weit über das von der Staatsanwaltschaft geforderte Strafmaß von vier Jahren und drei Monaten für die Mutter und drei Jahren für den Opa hinausgegangen. Die Verteidigung von Dorothea L. hatte keinen konkreten Antrag gestellt, die Verteidigung von Werner L. auf Freispruch plädiert.

      Berlin: 42-Jährige nach Tötung von Tochter und Mutter zu mehr als acht Jahren Haft verurteilt

      Morddrohung und Korruption im Pankower Kleingartenverein: „Verklagt mich doch!“

      Dorothea L. hatte ihre Tochter und 68-jährige Mutter im Oktober vorigen Jahres umgebracht und danach versucht, sich selbst zu töten. Ihr Vater soll von den Plänen gewusst und nichts unternommen haben. Die bibeltreue, pietistisch lebende Familie war mit der gesellschaftlichen Entwicklung nicht mehr klargekommen und hatte beschlossen, gemeinsam aus dem Leben zu scheiden.

      Die Mutter hatte im Prozess angegeben, dass ihre Tochter sterben wollte. Die Richter gingen jedoch davon aus, dass das Kind ohne den Sterbewunsch von Mutter und Großmutter niemals auf den Gedanken gekommen wäre, sich töten zu lassen.

  • Tiersegnung in Rudow : „Hunde, Katze oder Papagei – wir sind auf alles eingerichtet“
    https://www.tagesspiegel.de/berlin/tiersegnung-in-rudow-hunde-katze-oder-papagei--wir-sind-auf-alles-einge


    Faites bénir les âmes de vos bêtes, c’est ce que propose une paroisse de l’extrême sud de Berlin. Pourquoi pas, comme ça je pourrai enfin vivre mon éveil hindou-bouddhique façon Jesus des clebs sans avoir honte. Pépé pervers sera délivré de sa réincarnation comme fourmi car les gros toutous dans leur trance religieuse n’auront pas de yeux pour lui . Splatch, tant mieux pour papie, la prochaine réincarnation l’attend après la cèrémonie. Un truc du genre prêtre prédateur lui irait bien.

    La bonne idée nous parvient ... dadam ... oui, des État Unis !

    28.5.2024 Hunde, Katzen, Vögel, aber auch Leguane und Schlangen sind willkommen. Die Evangelische Gemeinde Berlin-Rudow lädt am 1. Juni erstmals zu einer Tiersegnung ein. „Wir rechnen mit mehr als 100 Menschen, die mit ihren Tieren kommen“, sagte Initiator Heinz-Jürgen Stamm der Deutschen Presse-Agentur. „Hunde, Katzen oder Papagei auf der Schulter – wir sind auf alles eingerichtet“, sagte Stamm, der Mitglied im Gemeindekirchenrat ist.

    Die Idee stammt aus New York

    Einige Beschränkungen gibt es aber schon: Die Rückenhöhe der Tiere darf einen Meter nicht überschreiten. „Wir wollen verhindern, dass es mit zu großen Tieren wie etwa Kühen oder Pferden Unruhe gibt.“ Auch giftige Tiere seien nicht erlaubt. Die Segnung finde zudem nicht in der Kirche, sondern im Kirchgarten statt, damit hinterher die Reinigung nicht zu aufwendig werde. „Es wird die berühmten Tüten geben für jeden, der einen Vierbeiner an der Leine hat“, kündigte Stamm an.

    Auf die Idee einer Tiersegnung sei er bei einem Besuch in New York gekommen. Dort ist etwa die Kathedrale zum Heiligen Johannes bekannt für ihre Tiersegnungen. Beschränkungen wie in Rudow gibt es dort allerdings nicht. Mit Kamel, Kuh, Papagei, Eule oder auch Ratte kommt dort schnell ein Gefühl wie im Zoo auf.

    Erste Tiersegnungen gab es schon im 17. Jahrhundert: Damals wurde Nutztieren der Segen Gottes gespendet. Vom Wohlergehen der Tiere hing damals auch das Überleben der Menschen ab. Heute bereichern Hunde, Katzen und Haustiere, die von Menschen in der Stadt gehalten werden, das Familienleben oder spielen für viele alte und alleinstehende Menschen eine wichtige Rolle.

    In Berlin haben auch schon das Rogate-Kloster Sankt Michael zu Berlin oder die Gemeinde St. Canisius Tiersegnungsgottesdienste gefeiert. Häufig finden diese am 3. Oktober statt, dem Vortag zum Fest des Heiligen Franziskus. Franz von Assisi ist Schutzpatron des Tierschutzes. Der 4. Oktober ist Welttierschutztag. (dpa)

    #Berlin #religion #animaux #wtf

  • Who are the Falun Gong ? | Foreign Correspondent
    https://www.youtube.com/watch?v=QzlMQyM8p74

    Tu penses que le #catholicisme est réactionnaire ? Vas d’abord voir chez les Falun Gong .

    Dans ce reportage #Foreign_Correspondent publie des témoignages sur les conséquences pratiques du culte #Falun_Gong sur la vie de ses disciples. On comprend que c’est d"abord une secte religieuse comme d’autres. Le reportage fournit des informations qui soutiennent que c’est aussi une organisation fasciste sans le qualifier ouvertement comme tel. Tous les éléments sont là dont le soutien que Falun Gong apporte à #Donald_Trump.

    L’idée que les métis sont la conséquence d’intrigues d’extraterrestres semble d’abord risible, mais pris au sérieux par des millions de disciples c’est un élément d’idéologie fasciste. L’idée des 81 exterminations de l’humanité n’ajoute pas un iota d’humanisme à l’idéologie suicidaire et génocidaire du falun gong.

    Avec sa puissance financière, son empire d’organisations et ses activités médiatiques dans le monde entier le gourou fondateur #Li_Hongzhi et ses disciples sont un danger derrière une façade souriante. Leur propagande pour le retour à « la Chine avant le communisme » défend un modële de société sans état de droit pratiquant les pieds bandés et l’extermination de la famille entière des délinquents.

    Histoire de Falun Gong (2001)
    https://www.persee.fr/doc/perch_1021-9013_2001_num_64_1_2604
    https://hub.hku.hk/bitstream/10722/194523/2/Content.pdf

    Voilà du racisme, même s’il ne peut avoir d’importance au niveau individuel que pour les croyants : Li Honzhi nous laisse qu’un toute petite part du paradis. Le gros est réservé aux « Chinois ».

    Le souci de pureté de Li Hongzhi s’étend aux races humaines. « II n’est pas permis de mélanger les races du monde. Maintenant que les races sont mélangées, cela crée un problème extrêmement grave ». Car chaque race a son propre monde céleste : la race blanche a son Paradis, qui occupe une toute petite partie de l’univers ; la race jaune possède ses mondes du Bouddha et du Tao qui remplissent presque tout l’univers. Or les enfants issus de mélanges raciaux ne sont liés à aucun monde céleste, « ils ont perdu leur racine » . La loi cosmique interdit les mélanges culturels et raciaux : ainsi, selon Li Hongzhi, Jésus interdit à ses disciples de transmettre sa foi vers l’Orient. C’est pour cela qu’à l’origine, l’Occident et l’Orient étaient séparés par d’infranchissables déserts, une barrière que la technique moderne a détruite.
    Lorsqu’il y a mélange racial [...], le corps et l’intelligence des enfants sont malsains. [...] La science moderne le sait, chaque génération est inférieure à la précédente

    Il y un élément très efficace dans le Falun Gong Dafa qui met à sa juste place la caste médicale, toujours si on est disciple de Li. Le gourou chinois se définit en guérisseur suprême par l’esprit comme dans les temps quand la médecine moderne dite scientifique n’avait pas encore poussé de leur piédestal les superstitions anciennes.

    Le véritable disciple de Li Hongzhi ne doit pas prendre de médicament en cas de maladie. Les soins thérapeutiques ne font que déplacer la maladie , qui provient d’un corps subtil dans un espace profond qui n’est nullement touché par le traitement. La maladie est un moyen de repayer sa dette karmique : il faut donc la laisser suivre son cours naturel, à moins que Li Hongzhi lui- même n’intervienne pour l’éradiquer. Si l’homme ordinaire peut prendre des médicaments, l’adepte de l’ascèse, s’il veut éliminer son mauvais karma, doit s’en abstenir. Il lui est également interdit de soigner d’autres personnes par le Falun Gong.
    ...
    Ceux qui prétendent soigner ont le corps possédé.

    Vu d’aujourd’hui le Falun Gong s’est développé à partir d’un courant chinois sectaire du qui gong dans une organisation fasciste internationale qui recrute de nouveaux disciples parmi les perdus du monde capitaliste qui ont besoin d’une explication de leurs souffrances et d’une idéologie qui les élève au dessus de leurs concitoyens qui demeurent dans le cercle vicieux de la course à la réussite individuelle.

    Le sectarisme du Falun Gong renforce cette dynamique génératrice d’antagonisme confirmant la vision d’un monde partagé entre les disciples sauvés de Li Hongzhi et le reste du monde possédé par les démons. Le fondamentalisme du Falun Gong qui appelle à l’exclusion mutuelle des croyances, des pratiques et des races, et qui interdit d’absorber des idées, des techniques ou des substances (médicaments) étrangers à l’œuvre du Maître, contrarie la tendance syncrétique d’une certaine tradition chinoise toujours soucieuse d’intégrer dans l’harmonie les meilleurs éléments du monde. ... La mort d’adeptes pour cause de refus de soins thérapeutiques attira l’attention critique des médias sur le Falun Gong vers la même période, ajoutant au complexe de persécution de la secte. Et les manifestations répétées d’adeptes avant et après le commencement de la répression officielle, devant les bureaux de journaux, autour de Zhongnanhai, sur la Place Tiananmen — qui ne peuvent que durcir la réaction ô combien prévisible de l’Etat dans la logique du système politique chinois — semblent calculées pour engager le pouvoir sur un champ de bataille moral opposant le Démon persécuteur aux Héros martyrs.
    ...
    L’épisode du Falun Gong montre que le millénarisme chinois n’est pas mort : quelle sera sa prochaine manifestation ?

    Nine familial exterminations
    https://en.m.wikipedia.org/wiki/Nine_familial_exterminations

    Extermination des homosexuels
    https://en.m.wikipedia.org/wiki/Teachings_of_Falun_Gong
    Dans « Wikipedia/Teachings of Falun Gong » on trouve des passages critiques comme le suivant.

    Li additionally stated in a 1998 speech in Switzerland that, "gods’ first target of annihilation would be homosexuals."Although gay, lesbian, and bisexual people may practice Falun Gong, founder Li stated that they must “give up the bad conduct” of all same-sex sexual activity.

    Le texte de l’article « History of Falun Gong » dans Wikipedia par contre fait évidamment partie des campagnes de propagande de la secte contre la Chine. On n’y trouve aucune analyse de la croissance du culte et de son organisation. Les mesures de la Chine y sont présentées comme injustifiées et cruelles.

    Je souffre d’une allergie innée aux croix gammées, alors en espérant d’en partager la sensation avec vous voilà le symbole officiel de la secte.


    Il est composé de cing swastikas dont je ne veux même pas apprendre la signification. Le design en soi est suffisament écoeurant.


    N. B. vous remarquez l’expression de l’esprit originel allemand : nos designers #nazis ont inversé le sens des crochets de la swastika religieuse. En Asie ça tourne vers la gauche, en Allemagne on l’a établi en symbole conséquent qui est orienté à droite ;-)

    #Chine #Taiwan #USA #Australie #presse #médias #religion #sectes #fascisme #anticommunisme #qui_gong

  • Le Mahabharata de C. Rajagopalachari
    https://en.m.wikipedia.org/wiki/List_of_works_by_C._Rajagopalachari

    Pourquoi les mythes fondateurs des nations sont-ils toujours aussi violents ?

    C’est comme l_’Anneau des Nibelungen_ que certains extrémistes prennent pour le mythe national allemand.
    https://fr.m.wikipedia.org/wiki/L%27Anneau_des_Nibelungen

    Le Mahabharata en bref

    A long time ago, two families were to inherit a vast kingdom known as the Kuru Empire. The five sons of Pandu, called the Pandavas, were brave warriors, each of them born with divine blood running through their veins. They were virtuous, examples of humanity at its peak. They were endowed with wisdom, patience, strength, knowledge and compassion. Their cousins, the hundred sons of Dhritarashtra, were called the Kauravas. The Kauravas were greedy, always hankering after more wealth. Since neither Pandu nor Dhritarashtra were suited to reign over the kingdom, the throne had to be equally divided between these two families. However, the Kauravas cheated the Pandavas out of their share and drove them into a long exile. They constantly try to kill them throughout their exile, but the Pandavas persist. At long last, they return to claim their rightful inheritance, but the Kauravas are not ready to part with even a portion of the kingdom. With the stage set, the Pandavas and the Kauravas meet in an epic battle on a field which had already been washed several times over with the blood of warriors. On Kurukshetra, they would fight a mighty war which would leave both sides crippled. And on this battlefield, the Blue God, Krishna, explains the righteous duty the Pandavas have to fulfill by exterminating their vile cousins. This is a story of love, avarice, wisdom, patience and respect for one’s fellow man. Every known moral lies hidden in the Mahabharata, and it is for this reason that it is considered one of the greatest stories ever composed.

    Hinduva
    https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Hindutva

    Vue par de la persoective des protagonistes du Mahabharata la religion hindoue est effrayante et l’idéologie Hindutva lui correspond mieux que le blabla qu’on nous fait avaler à propos du grand pacifiste Ghandi.

    Selon la philosophe scientifique indienne Meera Nanda, résumée par Alan Sokal, l’Hindutva propage un message relevant des pseudosciences. Plusieurs de ses théoriciens rejettent la prétention occidentale à une raison scientifique universelle considérée comme un « rejeton posthume du colonialisme », voire une forme de violence envers les autres cultures. Ils voient dans les textes sacrés hindous comme le Rig-Veda l’expression de connaissances très avancées en physique des particules, en cosmologie, en biologie et mathématiques : ainsi, la mention dans un hymne d’une « forme à dix doigts » voudrait dire que l’univers a dix dimensions, comme dans la théorie physique des supercordes. En 2001, sous le gouvernement du BJP, les nationalistes hindous ont obtenu la création dans les universités indiennes de cursus d’astrologie védique, de karmakāṇḍa (rituel hindouiste), de vastu shastra (architecture sacrée), de yoga et de « mathématiques védiques ». Ils font réécrire les manuels d’histoire pour effacer les contributions des savants musulmans et autres non-hindous. Cette politique suscite des protestations chez les scientifiques indiens eux-mêmes. Un des promoteurs de cette politique pseudoscientifique est Narendra Modi, premier ministre du Gujarat en 1999 : selon lui, les anciens brahmanes connaissaient l’arme nucléaire et la télévision et c’est seulement leur sagesse qui leur interdisait d’en faire un plus grand usage. Il a d’abord fait appliquer cette doctrine dans le système d’enseignement de son État ; il l’étend à toute l’Inde lorsqu’il arrive au pouvoir comme Premier ministre en 2014, tout en écartant des programmes tout ce qui se rattache au monde musulman ou à des formes plus éclairées de l’hindouisme. 1 600 scientifiques indiens ont signé une pétition contre ce qu’ils appellent la « Modi-fication » de l’enseignement. La dynastie musulmane des Moghols, l’assassinat du Mahatma Gandhi, le changement climatique et, en 2023, la théorie de l’évolution de Darwin ont ainsi été rayés des programmes scolaires.

    Tout cela est assez incroyable vu le statut de pays de puissance informatique, pharmaceutique et spatiale. Il faudrait se rappeller que sous les nazis aussi la recherce scientifique avancée faisait bon ménage avec l’idéologie farfelue du « Ahnenerbe » de Heinrich Himmler.

    #religion #hindouisme #Inde #hindutva #fascisme #nazis

  • ACCORDO ITALIA – ALBANIA : FRA STRATIFICAZIONE COLONIALE E DEVOZIONE

    In questa puntata di Harraga abbiamo parlato di esternalizzazione della detenzione amministrativa in Albania. Sebbene sembra che la scadenza del 20 Maggio, per l’apertura di un Hotspot a #Shengin e di un #CPRI a #Ghader, stia saltando per via del passo rallentato al quale proseguono i lavori, sarà comunque in tempi molto prossimi che vedremo sorgere le ennesime strutture di reclusione per persone senza documenti europei. La gestione e la giurisdizione alla quale faranno riferimento sarà totalmente made in Italy, di fatti i bandi e gli appalti sia edili che per il dislocamento delle guardie sono stati emessi a Roma. La struttura di Ghader sarà un CPRI ossia un centro di detenzione amministrativa per richiedenti asilo provenienti da paesi cosiddetti sicuri trovati dalla marina militare italiana in acque internazionali.

    Con una compagna abbiamo tentato di fare un inquadramento di questi nuovi investimenti per delle prigioni fuori dal territorio italiano affrontato la profonda stratificazione storica e politica del rapporto tra Italia e Albania interpretabile nei termini della colonia.

    https://radioblackout.org/podcast/accordo-italia-albania-fra-stratificazione-coloniale-e-devozione

    #Albanie #colonialisme #Italie #histoire_coloniale #occupation #occupation_militaire #fascisme #expansionnisme #pétrole #résistance #dépendance #protectorat_italien #blanchité #néocolonialisme #migrations #accords #exploitation #néo-libéralisme #néo-colonialisme #call_center #soft_power #religion #télévision #OTAN #violence #migrants_albanais #invisibilisation

    #podcast #audio

    • AGGIORNAMENTI DALL’ALBANIA E L’ESTERNALIZZAZIONE DELLA DETENZIONE AMMINISTRATIVA

      A inizio Giugno 2024 Giorgia Meloni si è recata in Albania dove è stata accolta – scalzando le voci di protesta locali – tra fanfare (neo)coloniali tese a ribadire come il famoso accordo Rama-Meloni – su frontiere e #CPRI – altro non sia che la punta di diamante della linea europea di delocalizzazione della detenzione e della tortura “amministrativa”; nonché la riconferma del florido stato di salute del concetto di Colonia.

      Mentre alle porte dell’Europa si dà un genocidio algoritmico mandato in mondovisione e volto al sadico perfezionamento del colonialismo di insediamento israeliano, in Albania si ritualizza simbolicamente l’utilizzo di un linguaggio coloniale che riconfermi le priorità europee in termini di brutale annientamento dell’eccedenza umana del capitalismo.

      Dire che nei CPR si tortura e che da essi si viene deportati non basta.

      I CPR sono strutture fondamentali nel garantire il perpetuarsi di un ordine coloniale alimentato – oggi, anche – da una soffocante retorica bellica sul nemico interno. Fare attenzione all’ordine di senso attraverso cui la brutalità di frontiere e detenzione si esplica sul piano geopolitico – e non solo – vuol dire però ricordarci anche come l’oppressione lungo la linea del colore incorpori un’implicita gerarchia della bianchezza dentro la quale Storia, Colonia e brutalità del capitalismo neo-liberale sono ingredienti fondamentali.

      Di tutto questo e altro abbiamo parlato in una interessante diretta con una compagna da Milano ai microfoni di Harraga.

      https://radioblackout.org/podcast/aggiornamenti-dallalbania-e-lesternalizzazione-della-detenzione-ammin

    • Proteste contro la visita della Presidente Meloni al porto di Shëngjin in Albania

      Il mito della “storica amicizia” italo-albanese altro non è che neocolonialismo

      I lavori al porto di Shëngjin sono terminati e i centri previsti dall’accordo Rama-Meloni saranno operativi dal 1° agosto 2024. La conferma è arrivata da Giorgia Meloni, che il 5 giugno 2024 si è recata sul posto per ispezionare l’hotspot appena finito.

      Nella struttura a Shëngjin, circondata da un muro alto circa 7 metri, le persone intercettate in mare verranno sbarcate e trattenute massimo 24h per lo screening sanitario, l’identificazione, il fotosegnalamento e la formalizzazione delle domande di protezione internazionale.

      A Gjadër, invece, potranno rimanere anche un mese in attesa di una decisione sulla loro domanda di asilo, che verrà sottoposta a procedura di frontiera, o eventualmente del loro rimpatrio. Questo grande CPR includerà anche un’area dedicata alla detenzione dei migranti che commettono reati all’interno del centro. La legge vigente dentro ai centri sarà italiana, così come il personale dell’ente gestore, Medihospes, e gli agenti di polizia. Il governo albanese collaborerà con le proprie forze di polizia per la sicurezza e la sorveglianza esterna delle strutture.

      A Shëngjin, insieme al primo ministro albanese Edi Rama, la Meloni ha tenuto una conferenza stampa durante la quale ha espresso solidarietà al suo “storico amico”, a suo dire ingiustamente criticato dai media italiani per aver accettato di firmare un accordo con l’Italia per l’accoglienza dei migranti, e al popolo albanese, per essere stato dipinto come un narcostato.

      Durante la conferenza stampa, Meloni e Rama hanno voluto sottolineare ancora una volta il solido rapporto di amicizia tra i due paesi.

      «Volevo dire che le nostre nazioni sono due nazioni amiche, sono nazioni che storicamente hanno collaborato insieme e vorrei ringraziare ancora una volta il primo ministro Rama e tutto il popolo albanese per aver offerto aiuto all’Italia in modo che potessimo realizzare questo accordo e vorrei che questo fosse un esempio per tutta l’Unione Europea», ha detto la presidente del Consiglio.

      Il primo ministro Rama ha aperto la conferenza dicendo: «Parlo italiano perché comunque qui siamo in territorio italiano». Ha poi dichiarato di essere orgoglioso che l’Albania possa essere di servizio all’Italia, definendo una benedizione la possibilità di essere utili al governo italiano.

      L’amicizia italo-albanese è un tropo, una formula per cambiare nome alle cose, velandone il contenuto reale: un’amicizia che è più una comunione di interessi, una relazione d’affari e che soprattutto vale solo ai vertici. Gli albanesi in Italia subiscono spesso discriminazioni, criminalizzazione e violenza di frontiera.

      Lo scorso 30 maggio, un attivista albanese in visita a Roma per parlare di ecologia e turistificazione in Albania e precisamente di questa retorica di fratellanza in relazione alla costruzione dei CPR in territorio albanese, veniva trattenuto 9 ore in una cella di isolamento a Fiumicino dopo essersi opposto al ritorno forzoso in Albania. Era infatti in possesso di tutti i requisiti di accesso al territorio italiano e dopo 9 ore di ingiustificata e discriminatoria detenzione veniva rilasciato senza scuse né spiegazioni.

      Le dichiarazioni rilasciate al porto di Shëngjin riecheggiano un periodo familiare, che gli albanesi hanno tenuto a ricordare. Mentre Rama e Meloni si scambiavano frasi amichevoli, da un edificio di fronte al porto, alcuni attivisti hanno srotolato uno striscione con scritto “7 Aprile 1939 – L’Albania è italiana- 5 Novembre 2023” e hanno diffuso la registrazione audio dell’annuncio dell’invasione dell’Albania ad opera dell’Italia fascista del 7 Aprile 1939.

      Il parallelismo é chiaro quanto la critica diretta ai due leader e al loro accordo: un’esternalizzazione dei confini italiani che viola il principio di sovranità albanese e che é l’ennesima espressione di una logica neocoloniale.

      Recentemente Fabrizio Bucci, ambasciatore italiano a Tirana, ha affermato: «L’Albania è davvero una ‘regione italiana’ dove tutti amano il nostro Paese e parlano la nostra lingua». Dichiarazioni di questo tipo riecheggiano sorprendentemente quelle degli agenti imperialisti italiani durante l’occupazione fascista e confermano il forte radicamento di questa mentalità coloniale.

      Gli attivisti albanesi a Shëngjin hanno ricordato il 7 aprile 1939, giorno in cui le truppe italiane sbarcarono sulle coste albanesi per occuparla senza alcuna formale dichiarazione di guerra. Quel giorno, i bombardieri italiani sorvolarono i cieli albanesi spargendo volantini con messaggi in albanese che recitavano: “Le truppe italiane, che sono state vostre amiche per secoli, vi hanno spesso dimostrato questa amicizia“.

      L’occupazione italiana in Albania ha lasciato profonde cicatrici nel tessuto albanese, costando migliaia di vite e aprendo la strada a regimi autoritari. L’Albania oggi presenta sintomi ben visibili di post-colonialità che sono una diretta conseguenza dell’imperialismo italiano. Basta camminare per le strade di Tirana per capire quanto sia forte e oppressiva la presenza italiana sul territorio. L’Italia è infatti il principale paese straniero per numero di imprese attive sul territorio.

      Negli ultimi dieci anni, l’Italia ha impresso un’importante accelerata alla delocalizzazione delle sue imprese. Questo processo ha avuto conseguenze neocoloniali non solo sul piano economico, ma anche sfruttando la manodopera sottopagata dei cittadini albanesi. Migliaia di giovani albanesi continuano a lavorare da anni in condizioni svantaggiose nei call center italiani. Secondo i dati ufficiali di Info Mercati Esteri, nel 2021, si contavano circa 2675 aziende con capitale italiano in Albania e circa 20.000 italiani che transitavano nel paese, numeri che oggi sono ancora più alti.

      Questo rappresenta un chiaro esempio di come l’Italia sfrutti la forza lavoro in Albania, beneficiando di minori tasse, maggiori profitti e bypassando le normative europee che sarebbero invece vincolanti in Italia.

      Inoltre, per affrontare la crisi economica causata dalla pandemia, il governo albanese ha introdotto nel 2021 una serie di incentivi fiscali per sostenere le imprese. Questi incentivi includono l’azzeramento delle tasse sull’utile di impresa per le aziende con un fatturato fino a 14 milioni di Lek (circa 130 mila euro) e l’azzeramento dell’IVA per le aziende con un fatturato fino a 10 milioni di Lek (circa 80 mila euro).

      Tali politiche fiscali hanno ulteriormente attratto le aziende italiane, consolidando la loro presenza in Albania.

      L’accordo Rama-Meloni, firmato il 5 novembre 2023, è stata la goccia che ha fatto traboccare il vaso. Sin da subito attivisti sia in Albania che nella diaspora si sono mobilitati, con collettivi come Zanë Kolektiv (Italia), MiQ (Grecia), e Shota (Albania e Kosovo) che hanno co-scritto una dichiarazione contro la costruzione di centri di detenzione amministrativa in Albania, denunciando le tattiche neocoloniali italiane e la natura disumanizzante dei centri di detenzione amministrativa.

      La protesta del 5 giugno a Shëngjin ha visto l’arresto temporaneo dei due attivisti che tenevano lo striscione, accusati di aver incitato a partecipare a una manifestazione non autorizzata.

      Questi eventi sottolineano la determinazione degli albanesi a non rimanere più in silenzio di fronte alle politiche neocoloniali italiane. L’accordo Italia-Albania è un altro esempio di come governi extra-UE dalla scarsa legittimazione popolare si rafforzano tramite la complicità dei paesi UE a scapito dei diritti delle popolazioni locali e migranti. La pratica di delocalizzare le imprese italiane in Albania per sfruttare la manodopera locale, insieme alla costruzione di centri di detenzione e hotspot in territorio albanese per estendere la giurisdizione e gli interessi italiani, sono chiari esempi di un neocolonialismo che perpetua disuguaglianze economiche e mina la sovranità dell’Albania, nonché il grado delle libertà politiche e sociali nel paese.

      La nostra resistenza collettiva rappresenta un rifiuto chiaro e deciso di rivivere il passato coloniale sotto nuove forme.

      https://www.meltingpot.org/2024/06/proteste-contro-la-visita-della-presidente-meloni-al-porto-di-shengjin-i

  • La lumière divine des pénitenciers
    https://laviedesidees.fr/La-lumiere-divine-des-penitenciers

    En suivant tout au long de leur incarcération des détenus qui n’étaient pas religieux jusqu’à ce qu’ils le deviennent, l’ouvrage de Thibault Ducloux renouvelle notre compréhension des conditions sociales de production et de maintien de la foi.

    #Société #religion #prison
    https://laviedesidees.fr/IMG/pdf/20240510_prisons.pdf

  • La #religion de la nouvelle extrême droite espagnole
    https://laviedesidees.fr/La-religion-de-la-nouvelle-extreme-droite-espagnole

    Quelle est la part de la référence religieuse dans le discours de Vox, le parti d’extrême droite espagnol ? Le #catholicisme est au cœur de sa revendication identitaire et nationaliste, mais sert aussi de ressource symbolique pour combattre les courants féministes et progressistes.

    #International #Espagne #extrême_droite
    https://laviedesidees.fr/IMG/pdf/20240424_vox.pdf