• Simple Sabotage Field Manual
    https://en.wikisource.org/wiki/Simple_Sabotage_Field_Manual/Introduction

    Contre les bullshit jobs il y a des techniques rôdées. Merci Arte qui m’a fait découvrir Le fabuleux monde de l’entreprise et comment faire pour y échapper. Le problème est qu’ils ne disent pas comment prospérer et vivre librement à la fois. Retournons donc au sources.

    INTRODUCTION

    a. The purpose of this paper is to characterize simple sabotage, to outline its possible effects, and to present suggestions for inciting and executing it.

    b. Sabotage varies from highly technical coup de main acts that require detailed planning and the use of specially trained operatives, to innumnerable simple acts which the ordinary individual citizen-saboteur can perform. This paper is primarily concerned with the latter type. Simple sabotage does not require specially prepared tools or equipment; it is executed by an ordinary citizen who may or may not act individually and without the necessity for active connection with an organized group; and it is carried out in such a way as to involve a minimum danger of injury, detection, and reprisal.

    c. Where destruction is involved, the weapons of the citizen-saboteur are salt, nails, candles, pebbles, thread, or any other materials he might normally be expected to possess as a householder or as a worker in his particular occupation. His arsenal is the kitchen shelf, the trash pile, his own usual kit of tools and supplies. The targets of his sabotage are usually objects to which he has normal and inconspicuous access in everyday life.

    d. A second type of simple sabotage requires no destructive tools whatsoever and produces physical damage, if any, by highly indirect means. It is based on universal opportunities to make faulty decisions, to adopt a non-cooperative attitude, and to induce others to follow suit. Making a faulty decision may be simply a matter of placing tools in one spot instead of another. A non-cooperative attitude may involve nothing more than creating an unpleasant situation among one’s fellow workers, engaging in bickerings, or displaying surliness and stupidity.

    e. This type of activity, sometimes referred to as the “human element," is frequently responsible for accidents, delays, and general obstruction even under normal conditions. The potential saboteur should discover what types of faulty decisions and cooperation are normally found in this kind of work and should then devise his sabotage so as to enlarge that “margin for error."

    Le fabuleux monde de l’entreprise
    Ou quand le travail perd son sens
    https://www.arte.tv/fr/videos/089133-000-A/le-fabuleux-monde-de-l-entreprise

    Avec David Graeber qui nous a quitté trop tôt.

    Simple Sabotage Field Manual by Office of Strategic Services (#OSS)
    fac-similé
    https://archive.org/details/SimpleSabotageFieldManual/mode/2up

    Comment

    Acts of simple sabotage, multiplied by thousands of citizen-saboteurs, can be an effective weapon against the enemy. Slashing tires,

    – draining fuel tanks,
    – starting fires,
    – starting arguments,
    – acting stupidly,
    – short-circuiting electric systems,
    – abrading machine parts

    will waste materials, man-power, and time. Occurring on a wide scale, simple sabotage will be a constant and tangible drag on the war effort of the enemy.

    Pourquoi

    the very practice of simple sabotage by natives in enemy or occupied territory may make these individuals identify themselves actively with the United Nations war effort, and encourage them to assist openly in periods of Allied invasion and occupation.

    Il faut adapter cette idée à notre actualité.

    On fait tout pour donner uns sens à notre travail s’il n’en a pas encore. Le sabotage n’est que la première étape vers la création d’un environnement vital qui permet de s’épanouir. Pour arriver à cette étape il faut dépasser le simple sabotage et commencer à construire quelque chose. Il faut passer des actes individuels à l’action collective.

    La transition entre ces phases d’action est la plus dangereuse car on quitte la clandestinité sans avoir complètement dépassé les méthodes employé dans la clandestinité. C’est là que l’ennemi peut nous arrêter et terminer notre progression.

    J’ai fait le choix de ne pas passer à travers phase I et de me lancer directemet dans phase II cad la construction. Les imperfection du système en place déclenchent des processus d’auto-sabotage de toute manière et me libèrent ainsi de la nécessité au sabotage actif.

    #travail #résistance

  • TEMOIGNAGE DE SAINTE-SOLINE
    https://ricochets.cc/TEMOIGNAGE-DE-SAINTE-SOLINE.html

    Présent à Sainte-Soline ce we, mon devoir, notre devoir, est aujourd’hui de témoigner. De raconter ce qu’il s’est passé, de dire, transmettre, diffuser largement pour rétablir un bout de vérité, pour tordre le cou à la désinformation malsaine de ceux qui imposent leur modèle de mort. Pour le contexte, tout d’abord, insistons sur le côté hors norme de l’événement : la qualité de l’organisation et de l’accueil, le nombre de bénévoles, des participants venus de toute l’Europe et du monde, les infrastructures (...) #Les_Articles

    / #Résistances_au_capitalisme_et_à_la_civilisation_industrielle, #Violences_policières, Autoritarisme, régime policier, (...)

    #Autoritarisme,_régime_policier,_démocrature...

  • Les #mines, une histoire du #paternalisme

    Sous l’impulsion des compagnies privées qui se partageaient l’exploitation des gisements de #charbon en #France, une population de #mineurs s’est stabilisée à un endroit et pour plusieurs générations.

    C’est une longue histoire de l’#exploitation qui commence il y a plus de deux siècles, quand des #compagnies_minières embauchent des centaines, des milliers d’hommes, de femmes et d’enfants, tout un peuple minier, qu’on installe près des puits de mines de charbon. En possédant les logements, les écoles, les clubs sportifs ou encore les églises, ces compagnies privées organisent la vie quotidienne et le destin des mineurs, avec sa #morale, son #éducation et sa #religion.

    « Être mineur, c’était la garantie d’un salaire, d’un logement, du chauffage en hiver, de l’éducation pour les enfants et de l’accès à la coopérative minière pour les achats ». L’historienne Marion Fontaine explique d’ailleurs : “Si l’on ne prend pas en compte la dangerosité du métier, en termes de vie quotidienne, dans les années 1870-1880, il vaut mieux être un mineur qu’un ouvrier du textile. Mais cette protection a un coût. Elle a un prix énorme, car elle rend les ouvriers extrêmement dépendants de ces largesses patronales”.

    Ainsi, en contrepartie, les mineurs doivent #respect et #obéissance aux #patrons. Un véritable système de #paternalisme_patronal que nous raconte le géographe Simon Edelblutte : “L’industriel va subvenir aux besoins des ouvriers, il les paye et leur assure le logement, ainsi que certains loisirs, l’éducation des enfants, et cetera. Mais si vous aviez des problèmes au travail, si vous vous syndiquiez, et que le patron n’était pas content, non seulement vous pouviez perdre votre travail, mais vous pouviez perdre votre logement aussi, c’était donc une manière de vous contrôler.”

    Mais face à cette omniprésence des compagnies, la #solidarité minière s’organise peu à peu et résiste.

    Du porion à l’ingénieur, des gardes des mines au grand bureau, la #surveillance et le contrôle de la main d’œuvre est plus ou moins stricte selon les zones.

    C’est dans le Nord Pas de Calais que l’on fait ici notre immersion.

    https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/lsd-la-serie-documentaire/les-mines-une-histoire-du-paternalisme-5306611
    #contrôle #patronat #résistance
    #audio #podcast

  • Les mégabassines : tout comprendre en une #carte

    Une carte du bassin de la #Sèvre niortaise, avec des #bassines_artificielles et des #zones_humides, pour comprendre ce qui se passe dans cette région du #marais poitevin.

    Aujourd’hui, dans la région et plus précisément à #Sainte-Soline, on attend une grande #manifestation « anti-bassines ». Cette #mobilisation doit rassembler les opposants à ce programme de stockage de l’eau pour l’#agriculture, mais elle a été interdite par la préfecture des Deux-Sèvres, en raison de la violence des affrontements avec les forces de l’ordre lors des précédents rassemblements. Les organisateurs promettent en revanche une mobilisation historique à laquelle sont censées participer des délégations étrangères, européennes mais aussi venues d’outre-Atlantique.

    Delphine Papin, cartographe au journal Le Monde explique comment a été pensée cette carte du bassin de la Sèvre niortaise, qui coule entre les départements de la #Vendée, des #Deux-Sèvres et de la #Charente-Maritime.

    « En bleu, on a tracé les principaux cours d’eau comme la Sèvres niortaise, la Vendée ou le #Mignon. On a aussi tracé les zones humides très étendues dans cette région, puisque nous sommes ici entre terre et mer, dans la région du marais poitevin, qui est la deuxième plus grande #zone_humide de France, après la Camargue. C’est une zone qui concentre une #biodiversité très riche, mais à l’équilibre écologique fragile et qui a subi dans le temps une forte pression humaine avec entre autres la conversion de certaines prairies en zone de #cultures_céréalières.

    En 2014, cette région a retrouvé son statut de #parc_naturel_régional - qu’elle avait perdu en 1996 en raison de ces transformations - : nous avons représenté avec un liseré vert ce périmètre à l’intérieur duquel l’environnement doit être en principe préservé. En jaune justement, on voit les #zones_agricoles, qui sont prépondérantes dans cette région rurale, ponctuée de zone urbains comme #Niort : on y pratique la #polyculture et l’#élevage, mais surtout la #céréaliculture, avec des grandes étendues irriguées très gourmandes en eau. »

    https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/les-cartes-en-mouvement/les-megabassines-tout-comprendre-en-une-carte-6229163

    #cartographie #visualisation #méga-bassines #mégabassines #eau #agriculture #résistance #irrigation

  • 24 mars : les bourgeois et les éditocrates de cour font la gueule, ils sont perdus, aux abois
    https://ricochets.cc/24-mars-les-bourgeois-et-les-editocrates-de-cour-font-la-gueule-ils-sont-p

    Aujourd’hui, les bourgeois et les éditocrates de cour font grave la gueule. Ils ne savent plus à quel flic ou à quel politicard martial se vouer, c’est bon signe. Ils commencent même à critiquer le Roy Macron : « il gouverne mal », « un jour ça va mal finir », « le service de sécurité n’a pas fonctionné ?? » Ils sont anxieux visiblement les pôvres, ils s’inquètent pour leur matricule et leurs avoirs, ils voient que la contestation augmente encore malgré leurs « appels » constants et éplorés à « l’essouflement ». Y en (...) #Les_Articles

    / Révoltes, insurrections, débordements..., #Résistances_au_capitalisme_et_à_la_civilisation_industrielle, (...)

    #Révoltes,_insurrections,_débordements... #Révolution_
    https://labogue.info/spip.php?article1522&lang=fr

  • Et si la contestation se transformait pour de bon en révolution ?
    https://ricochets.cc/Et-si-la-contestation-se-transformait-pour-de-bon-en-revolution.html

    On le disait dès samedi 18 mars : étant donné le niveau de colère et de mobilisation, le gouvernement peut être considéré comme mort. A présent, suite à cette énorme journée historique du 23 mars, on peut franchement parler de soulèvement et d’insurrection. La marmite explose, ça déborde de partout, ça fait trop longtemps qu’on se fait laminer par tous les bouts et que le système en place ravage la planète et le climat. Alors certains (voir plus bas) évoquent à présent la notion casse gueule de « révolution ». (...) #Les_Articles

    / #Résistances_au_capitalisme_et_à_la_civilisation_industrielle, Révoltes, insurrections, débordements..., (...)

    #Révoltes,_insurrections,_débordements... #Révolution_
    https://lagrappe.info/spip.php?article124
    https://manif-est.info/Nous-aussi-on-veut-passer-en-force-2377.html

  • La prima analisi globale dell’attivismo delle donne contro l’industria estrattiva

    Una ricerca ha esaminato 104 conflitti estrattivi registrati nell’Atlante della giustizia ambientale con l’obiettivo di identificare nel contesto globale i punti in comune e le differenze della presenza femminile nelle lotte. Dal Perù al Guatemala, dall’India al Sudafrica. Non solo duri impatti ma anche nuove pratiche di resistenza

    Nei conflitti contro progetti estrattivi di materie prime, le donne non sono solo vittime ma prendono parte in maniera attiva alle azioni di protesta, opposizione e denuncia delle conseguenze ambientali e sanitarie di questi progetti. Assumendo un ruolo predominante nell’opposizione all’industria estrattiva, le donne stanno rimodellando le pratiche esistenti, creando nuove possibilità di lotta che rifiutano l’imposizione della cultura dominante e di un’unica narrazione del progresso.

    Una recente pubblicazione, apparsa sulla rivista Journal of Political Ecology, ha analizzato 104 conflitti estrattivi registrati nell’Atlante della giustizia ambientale (Environmental Justice Atlas – EJA) con l’obiettivo di identificare nel contesto globale i punti in comune e le differenze della presenza femminile nelle lotte per la giustizia ambientale. Si tratta della prima analisi globale dell’attivismo delle donne contro l’industria estrattiva. I ricercatori hanno incluso nell’analisi progetti di estrazione di materie prime come oro, argento, rame, ferro, alluminio, piombo, metalli rari per la produzione di prodotti tecnologici, petrolio, ma anche diamanti e miniere di carbone. La mappatura dei conflitti comprende zone da tutto il mondo, in tutti e cinque i continenti.

    L’Atlante è il più grande inventario esistente di conflitti socio-ambientali, con oltre 3.800 casi segnalati a marzo 2023. Circa il 23% di questi (896 casi) identifica le donne come attori importanti nelle proteste. È il risultato di un lavoro collaborativo da parte di accademici, singoli attivisti e organizzazioni che contribuiscono con approfondimenti per ciascun caso. Alle informazioni dell’Atlante i ricercatori hanno aggiunto, quando disponibili, quelle contenute in testi accademici pubblicati su riviste specialistiche, rapporti istituzionali e altre pubblicazioni di organizzazioni internazionali e locali coinvolte. I conflitti legati all’attività estrattiva possono verificarsi come conseguenza degli impatti socio-ambientali sulla terra, sull’acqua e sui mezzi di sussistenza, come reazione all’esclusione delle donne ai processi decisionali e quindi come proteste contro gli ostacoli all’autodeterminazione femminile, oppure a causa di compensazioni giudicate insufficienti.

    I risultati dell’analisi mostrano che le attività estrattive producono sulle donne quattro tipi di impatti diversi: sulla loro salute e sul lavoro di cura che svolgono; sulle attività legate al sostentamento e al reddito; producono inoltre maggiore violenza nei loro confronti e influenzano le relazioni sociali all’interno delle comunità locali. Le quattro categorie di impatti non si escludono a vicenda, ma possono intrecciarsi tra loro. Di tutti i casi analizzati, il 67% indica conseguenze negative visibili o potenziali che riguardano specificamente le donne.

    In molte comunità rurali, infatti, i compiti quotidiani delle donne sono determinati dalla divisione di genere del lavoro. Occupandosi della produzione di cibo e della gestione dell’acqua, le donne sono particolarmente consapevoli degli impatti che le industrie estrattive hanno sul territorio e sull’ambiente, e sono spesso le prime a denunciarne le conseguenze negative. Le conseguenze sulla salute si devono principalmente alle fonti d’acqua contaminate con cui entrano in contatto che determinano malattie della pelle, problemi legati alla salute riproduttiva come perdita di fertilità e malformazioni durante la gravidanza, problemi respiratori dovuti all’inquinamento da polveri fino allo sviluppo di cancro. Impatti dello stesso tipo possono manifestarsi anche sulla salute di figli e di altri componenti della famiglia, aumentando così il carico del lavoro di cura svolto esclusivamente dalle donne.

    L’occupazione dei terreni coltivabili da parte delle industrie riduce inoltre l’accesso alle risorse, fonti tradizionali di reddito per loro. In questo modo la sicurezza economica delle donne diminuisce, mentre aumenta la dipendenza economica dal lavoro salariato degli uomini, alcuni dei quali lavorano proprio nei luoghi di estrazione.

    Attraverso questi meccanismi, la presenza delle industrie estrattive rafforza le dinamiche patriarcali esistenti nei territori, accrescendo il privilegio maschile e rafforzando il dominio degli uomini. Una condizione che porta le donne a perdere lo status economico, sociale e culturale e a subire anche diverse forme di violenza. Sono minacciate fisicamente, uccise per la loro opposizione all’attività mineraria o sopravvissute a tentativi di assassinio. È il caso di Nasreen Hug che stava preparando una causa internazionale contro il progetto minerario di Phulbari in Bangladesh quando è stata assassinata. Diodora Hernández e Yolanda Oqueli sono entrambe sopravvissute a tentativi di omicidio per il loro attivismo contro i progetti Marlin e El Tambor in Guatemala. Inoltre, la violenza sessuale è usata sia da chi lavora nelle compagnie estrattive sia dalle forze di sicurezza.

    Eppure, dai dati raccolti dalla pubblicazione, emerge che le donne non subiscono passivamente, ma partecipano attivamente all’organizzazione dell’opposizione alle industrie. Il documento distingue otto diverse modalità di protesta: azioni dirette come blocchi stradali, proteste e scioperi; organizzazione di eventi pubblici, come mostre o esibizioni artistiche; vigilanza del territorio, anche per monitorare gli impatti ambientali; promozione di campagne di sensibilizzazione e informazione; avvio di procedimenti legali contro le aziende responsabili di inquinamento; creazione di spazi per lo svolgimenti di attività sociali e politiche; pressione politica nei confronti delle autorità locali, del governo e delle stesse industrie per sensibilizzare alla loro causa e per garantire norme ambientali più severe; gestione dei bisogni materiali, sanitari ed emotivi della comunità come la preparazione di cibo durante le azioni di protesta.

    La pubblicazione è ricca di esempi di donne che hanno lottato e continuano a lottare per la difesa dell’ambiente in cui vivono. Alcune attiviste si sono distinte per aver rifiutato di vendere la terra alle aziende e per aver resistito ai tentativi di esproprio, come nel caso dell’opposizione di Maxima Acuña alla compagnia Yanacocha, promotrice del progetto Conga per l’estrazione di oro e rame in Perù. In Guatemala, Estela Reyes ha bloccato da sola l’avanzata di un trattore, scatenando la resistenza alla miniera d’oro di El Tambor. Altre forme di resistenza comprendono le attività portate avanti da Mukta Jhodia, in India, che ha attraversato i villaggi del Kashipur per informare la popolazione dei potenziali effetti negativi che la miniera di Baphlimali avrebbe avuto sui terreni coltivabili, e quelle di Lorraine Kakaza che in Sudafrica ha lanciato una serie di podcast sui costi che l’estrazione del carbone avrebbe avuto sulla vita delle persone nella provincia di Mpumalanga. Alcune attiviste hanno anche deciso di proseguire il loro impegno entrando in politica: Francia Márquez, leader che si opponeva all’estrazione illegale di oro a La Toma, è stata eletta a giugno 2022 vicepresidente della Colombia.

    Le donne svolgono molto più che un semplice ruolo di supporto, ma la loro capacità di impegnarsi nell’opposizione alle attività estrattive è spesso ostacolata. Se devono far fronte a compiti quotidiani che richiedono tempo, come la produzione di cibo, le faccende domestiche e la cura dei figli, hanno meno tempo da dedicare alla protesta. A volte subiscono pressioni da parte di familiari e di componenti della comunità ad abbandonare l’attivismo. L’analisi, infatti, mostra che esistono relazioni patriarcali anche all’interno dei movimenti di resistenza, che contribuiscono a riprodurre la disuguaglianza di genere anche all’interno dei gruppi di protesta. Le donne devono così affrontare sia le compagnie estrattive sia i partner maschili all’interno della comunità che in alcuni casi organizzano azioni di boicottaggio nei confronti dell’attivismo femminile.

    La volontà di affermare la propria voce nei processi decisionali anche all’interno dei movimenti di opposizione, ha spinto molto spesso la formazione di gruppi di protesta formati da sole donne, alleati a livello locale e internazionale con altri movimenti. Per gli autori della pubblicazione, l’attivismo anti-estrattivista delle donne può contribuire a sfidare le tradizionali percezioni di genere all’interno delle comunità e a promuovere cambiamenti collettivi più ampi in alcuni contesti. È il lavoro, per esempio, portato avanti dalle afrocolombiane di La Toma, in Colombia, e dalle boliviane di Huanuni e Corocoro. Il loro attivismo sta recuperando pratiche ancestrali ripensandole attraverso nuove relazioni con il territorio e all’interno delle comunità, affermando la possibilità di una leadership anche femminile.

    https://altreconomia.it/la-prima-analisi-globale-dellattivismo-delle-donne-contro-lindustria-es

    #femmes #résistance #extractivisme #justice_environnementale

  • Le non-respect de l’outil de travail est essentiel pour les luttes
    https://ricochets.cc/Le-non-respect-de-l-outil-de-travail-est-essentiel-pour-les-luttes.html

    Pour l’ouvrier et l’artisan, l’outil de travail est sacré, c’est l’instrument pour façonner la matière, créer, échanger, relationner avec la terre et les autres, et produire de quoi se nourrir et vivre. Seulement, que signifie « respecter l’outil de travail » dans le cadre du salariat capitaliste de masse où patrons et actionnaires possèdent les usines, les machines, les outils, et louent une force de travail humaine précarisée et mondialisée la moins chère possible en fonction des besoins fluctuants du (...) #Les_Articles

    / #Résistances_au_capitalisme_et_à_la_civilisation_industrielle

  • Retraites etc. : la tête de Macron « sur un billot » ne nous apaisera pas !
    https://ricochets.cc/Retraites-etc-la-tete-de-Macron-sur-un-billot-ne-nous-apaisera-pas.html

    Si Macron et sa meute de bourgeois n’ont aucune légitimité, ce n’est pas tellement parce qu’ils ont été « très mal élus » sans majorité et qu’ils sont très largement détestés, ce n’est pas parce qu’ils abusent du 49.3 et refusent tout dialogue ni débat, c’est surtout parce que le système en place n’est pas, et n’a jamais été, démocratique. Le système en place n’est pas, et n’a jamais été, démocratique. Le Roy Macron, dès avant son allocution TV, a une fois de plus réitéré son mépris du refus (ici très très large) (...) #Les_Articles

    / #Résistances_au_capitalisme_et_à_la_civilisation_industrielle, Révoltes, insurrections, débordements..., (...)

    #Révoltes,_insurrections,_débordements... #Révolution_
    https://dijoncter.info/reforme-des-retraites-la-manifestation-fait-disjoncter-la-republique-450
    https://labogue.info/spip.php?article1516
    https://lagrappe.info/spip.php?article112
    https://lenumerozero.info/Retour-sur-la-derniere-manifestation-a-Saint-Etienne-contre-le-49-3-6
    https://rebellyon.info/Lyon-la-nuit-est-sauvage-24664
    https://iaata.info/La-meilleur-retraite-c-est-l-attaque-Suivi-de-la-semaine-du-20-mars-5792.htm

  • Retraites etc. : échos du soulèvement en cours, une occasion historique d’aller beaucoup plus loin que de meilleures retraites !
    https://ricochets.cc/Retraites-etc-echos-du-soulevement-en-cours-une-occasion-historique-d-alle

    Terminé le mouvement social plutôt gentil et convenu coaché par les Intersyndicales qui visait à faire abroger une réforme de merde de plus, on passe à présent à une révolte politique et générale qui s’auto-organise, à un soulèvement qui veut en finir avec Macron et ses sbires, qui veut attaquer le capitalisme et instaurer la démocratie directe. Il faut l’assumer pleinement et accentuer la révolte, il faut que les grévistes prennent confiance, l’assument et s’émancipent des tutelles centrales. Il faut (...) #Les_Articles

    / #Résistances_au_capitalisme_et_à_la_civilisation_industrielle, Révoltes, insurrections, débordements..., (...)

    #Révoltes,_insurrections,_débordements... #Révolution_


    https://ricochets.cc/IMG/distant/html/watchvB1KAXJae6d-f8ea347.html

  • Retraites etc. : le gouvernement est déjà mort, poursuivons le plus loin possible !
    https://ricochets.cc/Retraites-etc-le-gouvernement-est-deja-mort-poursuivons-le-plus-loin-possi

    Retirer cette réforme de merde ne suffira pas à éteindre le feu. On veut la chute du régime pour commencer, en guise d’apéritif. Les ordures de ministres et de députés du régime macroniste se terrent et fuient la « guillotine » du 49-.3 populaire, qu’ils s’enterrent définitivement avec les autres déchets et ne réapparaissent plus ! Le retrait de la réforme ne doit pas nous arrêter Cette fois, la grève dure se conjugue enfin à la giletjaunisation générale et les jeunes s’y mettent, le gouvernement est mort, (...) #Les_Articles

    / #Résistances_au_capitalisme_et_à_la_civilisation_industrielle, Révoltes, insurrections, débordements..., (...)

    #Révoltes,_insurrections,_débordements... #Révolution_

  • Ce n’est pas le gouvernement qui gouverne
    https://ricochets.cc/En-democratie-il-n-y-a-pas-de-gouvernements.html

    En écho au fameux « ce n’est pas la rue qui gouverne », rappelons-nous que dans une démocratie ce n’est pas le gouvernement qui gouverne, ni même un parlement de représentants. La démocratie est forcément directe, exercée à une échelle locale par un nombre réduit de personnes. Donc : Toute démocratie réelle est impossible tant qu’existent le capitalisme, l’Etat, la société de masse techno-industrielle et la quête de délivrance - De plus, ce système fabrique des individus de plus en plus inaptes à toute forme de (...) #Les_Articles

    / Révoltes, insurrections, débordements..., #Résistances_au_capitalisme_et_à_la_civilisation_industrielle, Autoritarisme, régime policier, (...)

    #Révoltes,_insurrections,_débordements... #Autoritarisme,_régime_policier,_démocrature...
    https://www.facebook.com/763992522/videos/760843375318690

  • #Die : 200 personnes plantent des arbres pour défendre des terres agricoles
    https://ricochets.cc/Die-200-personnes-plantent-des-arbres-pour-defendre-des-terres-agricoles.h

    A Die ce dimanche 12 mars environ 200 personnes sont venues planter 80 arbres fruitiers sur des terres agricoles menacées par la #CCD de Alain Matheron et par Nateva (Léa Nature) qui persistent à vouloir en faire une zone industrielle de plus. Dans une ambiance déterminée, adultes et enfants étaient heureux de réaliser ces plantations ensemble, sur ces belles terres au pied des montagnes dioises ensoleillées. Reportage : Faire un trou, ameublir la terre, placer soigneusement l’arbre, reboucher, (...) #Les_Articles

    / Die, CCD, #Agriculture, #Ecologie, #Résistances_au_capitalisme_et_à_la_civilisation_industrielle

    https://latulipesauvage.org

  • Le système nous fait une guerre totale, donc on ne peut pas jouer symboliquement à la bataille
    https://ricochets.cc/Le-systeme-nous-fait-une-guerre-totale-donc-on-ne-peut-pas-jouer-symboliqu

    Macron nous fait la guerre, et sa police aussi, mais nous on est déter pour bloquer le pays ! C’était un des slogans populaires lors du soulèvement des gilets jaunes. Macron, les gouvernements, le système en place (mégamachine, Etat-Capitalisme, technocratie, système policier, lobbies, patriarcat, système techno-industriel, productivisme, institutions anti-démocratiques, tyrannies...) et ses agents nous font en effet une guerre sans merci, une guerre contre les humains et l’ensemble des vivants. (...) #Les_Articles

    / #Résistances_au_capitalisme_et_à_la_civilisation_industrielle, Révolution , Révoltes, insurrections, (...)

    #Révolution_ #Révoltes,_insurrections,_débordements...

  • L’8 marzo “clandestino” delle donne afghane che resistono ai Talebani

    Nonostante le difficoltà e le minacce, le attiviste celebrano la giornata per ricordare che il cambiamento è sempre possibile. Anche in un Paese dove oggi violenze domestiche e persino l’uccisione di una figlia non vengono puniti.

    Buio. Temperature polari, neve, fango e ancora buio. Di sera la città scompare nell’oscurità. L’elettricità c’è raramente. Le luci stradali e quelle dentro le case sono spente. I passi incerti degli uomini per strada, come fantasmi. Resti di una vita che non c’è più. Miliziani ovunque, posti di blocco. Sono vestiti meglio i Talebani: buone divise, mezzi potenti, armi efficienti, ereditati dall’esercito e dagli americani. È questa la Kabul che ritrova Rehana, militante della Revolutionary association of the women of Afghanistan (Rawa) dopo una lunga assenza. Nemmeno nelle case si sta al sicuro. I miliziani arrivano, sono una cinquantina. Circondano un quartiere, chiudono le strade. Poi entrano nelle abitazioni e perquisiscono, buttano all’aria tutto. Dicono di cercare armi ma rovistano anche nella biancheria delle donne. Alcune tra le nostre amiche attiviste hanno subito questa avventura. Se sei da sola in casa, convocano un testimone maschio altrimenti non potrebbero entrare. Mostrano a tutti che hanno il controllo del Paese, seminano paura. E ci riescono benissimo.

    La paura è entrata infatti nella pelle di tutti. Rehana racconta di averla davanti agli occhi ogni giorno quando prende l’autobus. Ha tempo di osservare dalla sua postazione di donna, schiacciata con le altre, in fondo. I posti buoni sono per gli uomini. Uomini spenti, sguardi opachi. Ascolta la desolazione, l’avvilimento, le storie delle donne. Si scambiano lo sconforto. Non c’è lavoro, non c’è da mangiare, niente per scaldarsi, non possono comprare nemmeno un pezzo di sapone per lavarsi. Le mamme si preoccupano per le figlie. Troppo vuoto nella mente. I disturbi psichici aumentano. Non c’è scuola, né lavoro, né distrazioni, né vita sociale. I Talebani si sono mangiati i loro sogni. Chiuse in casa, spesso una sola stanza, da mesi non possono uscire. È pericoloso: i miliziani possono portarsele via.

    Dopo il devastante terremoto che ha colpito Turchia e Siria il 6 febbraio molti hanno preso d’assalto l’aeroporto di Kabul, con l’obiettivo di salire sugli aerei che partono per portare soccorso: file di automobili come nell’agosto 2021, tanti venivano anche da altre province. La Turchia è la meta da raggiungere a qualsiasi costo: i Talebani sono spiazzati, fanno fatica ad arginare l’assalto, si spara fino a tarda sera. La gente, in città, pensa che ci sia stato un attentato. Khader non è riuscito a partire: “Comunque qui si muore. Preferisco perdere la vita sotto le macerie di un terremoto che qui”.

    Nel buio delle strade succede di tutto e al mattino si trovano i cadaveri. Il 9 febbraio, i Talebani hanno dichiarato di averne raccolti 148 nel corso del mese precedente. Si muore di freddo, di fame, di droga, per mano talebana, per l’aggressione da parte di un criminale, per omicidio, per attacchi suicidi.

    La stessa cupa prigione è saldamente installata nella mente degli uomini. Sahar, insegnante, racconta cos’è successo nel suo quartiere a una famiglia che conosce di vista. Un padre, Faiz, ama sua figlia quindicenne (così dice): bella, istruita, allegra, ne è fiero. La sorveglia costantemente: lei è preziosa, il suo migliore affare. La vende in sposa, con suo grande profitto, a un suo collega, un uomo rispettabile, più anziano di lui.

    Lei, Zahra, invece, ha altri progetti. È innamorata e si vede di nascosto con il suo fidanzato Amid, progettano la fuga. Ora che il padre l’ha promessa, non esce più. Il ragazzo di notte riesce a entrare nella sua stanza, vuole vederla. Sono vicini, si tengono le mani. Faiz, padre che ama sua figlia, controlla. La vita di Zahra gli appartiene, l’affare è già combinato. Tutta la casa controlla, anche i muri, gli scricchiolii, i pavimenti: tutte spie di Faiz. Allarmato, entra nella stanza, Amid scappa dalla finestra. Faiz prende il suo fucile e gli spara, ma ormai il ragazzo è sparito nel buio.

    Così, si gira, con la furia negli occhi, mentre la figlia gli urla che vuole sposare Amid, solo lui. Non ci pensa molto, riempie il corpo della sua bambina di pallottole. Zahra viene uccisa. Il padre solleva il cadavere, così leggero e lo getta nel cortile. I vicini si affacciano, le donne urlano. Faiz è ancora lì, con il fucile in mano e spinge via con i piedi il corpo della figlia. I vicini, spaventati, denunciano l’omicidio alle autorità. Eccoli, i “giudici”, con il turbante di traverso, armati fino ai denti. Gli occhi accesi da chissà quale delirio. Vedono il corpo della ragazza, nessuno ha osato spostarlo. Entrano in casa dove la madre non smette di singhiozzare. Parlano con Faiz. Ascoltano, annuiscono. I vicini spiano dalle finestre. Escono nel cortile per assistere alla “giustizia talebana”’. Ecco, ora sarà frustato, arrestato, ucciso, si dicono. Se lo porteranno via. Se lo merita. Ma i Talebani si complimentano con lui, gli danno pacche sulle spalle, lo lodano senza ritegno: “Hai fatto il tuo dovere. Ora il tuo onore è salvo e la sharia rispettata. Tua figlia era una puttana”. Giustizia è fatta.

    Oggi, in Afghanistan, i reati contro le donne non hanno nemmeno la dignità di essere delitti, sono comportamenti governati dalla sharia. Giustificati, accettati, accolti dentro la vita di ogni giorno. I codici cambiano e sono i Talebani a dettarli. La giustizia è sprofondata nel fanatismo. Oggi, nel silenzio del mondo, i Talebani fanno quello che vogliono. Impongono le loro pene: amputazioni, lapidazioni, frustate. E la voce delle donne, inascoltata, perde forza e si prosciuga. Sulle leggi che proteggevano le donne i Talebani non si esprimono nemmeno: per loro non sono mai esistite. Basta la sharia. Copre ogni caso sottoposto alla giustizia. La violenza degli uomini non è più un crimine, tanto meno quella domestica, non è oggetto di alcuna sanzione, è colpa delle donne che non hanno saputo servire bene i loro mariti. L’impunità nutre gli abusi, si annida nelle case, diventa a poco a poco la regola, un tarlo, una malattia. Il triste potere di annichilire devasta il cervello e l’anima degli uomini. Imprigiona la loro mente più del corpo delle donne.

    “Per i Talebani le donne non valgono nulla e tutte le decisioni vengono prese in loro assenza, in corti improvvisate, alla presenza degli anziani della tribù e della famiglia, solo maschi. Sono le vittime a rischiare: sanzioni, prigione o violenze sessuali da parte dei giudici”
    – Mirwais, avvocato penalista

    Chi ha difeso le donne è sotto tiro: avvocate, giudici, procuratrici, vivono nascoste sotto continua minaccia di morte. Sono conosciute e rischiano molto. Non basta impedire loro di lavorare, per i Talebani vanno eliminate. Soprattutto per quei padri e quei mariti che, a causa loro, erano stati imprigionati. Questi uomini sono stati tutti liberati dai Talebani, già nella loro corsa verso Kabul nell’agosto 2021. Ex prigionieri e combattenti hanno saccheggiato le case di donne giudici. E vogliono la loro vendetta. “Pochissime si rivolgono alle corti talebane per i loro problemi -dice Mirwais, avvocato penalista-. Per i nuovi governanti le donne non valgono nulla e tutte le decisioni vengono prese in loro assenza, in corti improvvisate, alla presenza degli anziani della tribù e della famiglia, solo maschi. Sono le vittime a rischiare: sanzioni, prigione o violenze sessuali da parte dei giudici”. La stampa non c’è più ma qualche notizia sulla “giustizia talebana” filtra sui social network. Ci sono state donne lapidate in diverse province, in quella di Badakhshan in particolare. A Ghowr una donna si è suicidata per sfuggire a questa crudele esecuzione. Nella provincia di Takhar, 40 giovani sono stati frustati in mezzo alla strada e messi in prigione per non aver osservato le prescrizioni su hijab e barbe. Scendere in strada è come andare in guerra.

    L’8 marzo in Afghanistan non c’è nulla da festeggiare. Non c’era nemmeno nei vent’anni passati quando, tranne poche eccezioni, la giustizia per le donne restava una chimera. Ma le militanti afghane che si battono per i diritti delle loro sorelle ci tengono molto a celebrare questa festa. Per loro è sempre stato un giorno importante e lo è ancora. “Serve a ricordarci le vittorie delle donne -dice Gulnaz, militante di Rawa-. Se loro ce l’hanno fatta, ce la faremo anche noi. Ci vorrà molto tempo ma le cose cambieranno. Oggi sappiamo che continueremo a combattere, con le armi della consapevolezza, dell’istruzione, della cura, della resistenza e con la forza della vita stessa. È questa che dobbiamo celebrare oggi”. Rawa e le altre associazioni di donne continuano a lottare. Trovano ogni escamotage per realizzare quello che serve: scuole, rifugi, ambulatori. Tutto segreto, per una vita che non si fa schiacciare. Continuano a inventare e a dare speranza alle donne. Rawa ci sarà l’8 marzo: le militanti arriveranno per l’occasione addirittura da altre province. Nonostante tutto, nei modi più fantasiosi, riusciranno ad affermare la certezza che qualcosa si può sempre fare per arginare l’orrore e nutrire la forza delle donne. Un giorno di coraggio che, ancora, i Talebani e gli altri tagliagole non sono riusciti a devastare.

    https://altreconomia.it/l8-marzo-clandestino-delle-donne-afghane-che-resistono-ai-talebani
    #Afghanistan #femmes #résistance #Revolutionary_association_of_the_women_of_Afghanistan (#Rawa) #Kaboul #peur #justice

  • #Die : plantation d’arbres sur des terres menacées dimanche 12 mars !
    https://ricochets.cc/Die-plantation-d-arbres-sur-des-terres-menacees-dimanche-12-mars.html

    Il n’y a pas que les retraites à défendre, mais aussi les terres nourricières. La Tulipe Sauvage lance un appel pour ce dimanche : ZADIMANCHE / DIMANCHE 12 MARS / PLAINE DE CHAMARGES ALLONS PLANTER DES ARBRES SUR DES TERRES MENACÉES DIMANCHE 12 MARS à 11H30 Plaine de Chamarges RDV au niveau du rond-pointde la Route de Ponet (D543) Apportez votre pique-nique, des outils (pioches, bêches, fourches-bêches, pelles) et des bidons d’eau pour arroser les plantations. Parkings à proximité (...) #Les_Articles

    / Die, #Résistances_au_capitalisme_et_à_la_civilisation_industrielle, #Agriculture

    https://latulipesauvage.org/2023/03/08/zadimanche-dimanche-12-mars

  • Vers le 07 mars et au delà : stratégies et cibler les sources des problèmes
    https://ricochets.cc/Vers-le-07-mars-et-au-dela-strategies-et-cibler-les-sources-des-problemes.

    De nouvelles réflexions sur le 7 mars et ses suites. Pour se sortir des ornières et des impasses, pour relever la tête et se doter d’objectifs stratégiques. VERS LE 07 MARS ET AU DELA [Par le collectif Tous Dehors] Un mois et demi de manifestations massives, des millions de personnes dans la rue, une mobilisation jamais vue depuis trente ans, un pouvoir qui joue le tout pour le tout dans une orgie de vociférations managériales, de mépris et de mensonges digne d’un arracheur de dents. Quelque (...) #Les_Articles

    / #Résistances_au_capitalisme_et_à_la_civilisation_industrielle, Révoltes, insurrections, débordements...

    #Révoltes,_insurrections,_débordements...
    https://rebellyon.info/Reformes-sociales-le-dilemme-du-24573

  • Comment réussir sa résistance passive au néolibéralisme ? - Source d’inspiration : Sabotage de la valeur travail (1/2)
    https://www.frustrationmagazine.fr/sabotage-performance

    Depuis quelques mois, les grands #médias s’emballent autour d’une tendance selon eux inquiétante et dangereuse, je l’appellerai : "la grève volontaire mais non visible du travail », ou « démission silencieuse » ; on oserait imaginer que le nombre de #travailleurs dans le monde diminue, ce qui impliquerait moins de productivité, et comble de la malchance, des personnes qui feraient alors "le strict minimum" définis sur leur contrat de #travail. Que révèle cette #tendance ? selon certaines sociétés de presse. Cette tendance de résistance plus instituées comme la grève ou, nettement moins efficace, le « dialogue social » entre « partenaires sociaux » montre bien qu’il est grand temps de rendre notre économie plus humaniste. En partageant le travail par exemple, le "travailler moins pour travailler tous" antithèse du "travailler plus pour gagner plus". Si on fait comme cela, on aura résolu la question du #chômage et de la #pauvreté. Par ailleurs, la #résistance aux heures supplémentaires, voire à un sentiment d’appartenance stéréotypé, est très efficace, et permet de réduire l’exploitation au travail : retrouver sa dignité face à l’arbitraire patronal voire trouver la force d’aller plus loin : le sabotage au travail, ou une façon possible de reprendre le pouvoir sur son travail et, à terme, de changer la société.

  • Disparition programmée des paysans et accaparement des terres par l’industrie et la finance
    https://ricochets.cc/Disparition-programmee-des-paysans-et-accaparement-des-terres-par-l-indust

    Derrière les jolis discours vendeurs sur le bio, l’agriculture responsable, l’amour des paysans, les images de fermes d’Epinal au salon de l’Agriculture, on débusque vite les logiques implacables et anonymes de la techno-industrie, du capitalisme et des Etats. Ces logiques destructrices prennent le dessus sur les niches alternatives et les mensonges type greenwashing, et alimentent non-stop l’accaparement des terres et la disparition des paysans au profit des seules productions rentables et (...) #Les_Articles

    / #Résistances_au_capitalisme_et_à_la_civilisation_industrielle, #Agriculture, Le monde de (...)

    #Le_monde_de_L'Economie
    https://reporterre.net/Les-paysans-de-plus-en-plus-depossedes-de-leurs-terres
    https://reporterre.net/Un-manifeste-pour-1-million-de-paysans
    https://confederationpaysanne.fr/actu.php?id=13271
    https://reporterre.net/Magasins-bio-des-fermetures-en-cascade
    https://reporterre.net/Crise-de-la-bio-les-producteurs-galerent
    https://reporterre.net/L-agriculture-bio-symboliquement-enterree

  • Subsistance contre capitalisme industriel et patriarcal - livre
    https://ricochets.cc/Subsistance-contre-capitalisme-industriel-et-patriarcal-livre.html

    Un livre important pour bien comprendre la différence et l’opposition entre la perspective de la subsistance qui porte la possibilité de sociétés vivables et l’hégémonie du capitalisme industriel et patriarcal qui apporte partout la destruction et la brutalité. [Subsistance contre capitalisme industriel, avec Maria Mies et Veronika Bennholdt-Thomsen (par Lila)->https://www.partage-le.com/2023/02/11/subsistance-contre-capitalisme-industriel-avec-maria-mies-et-veronika-be (...) #Les_Articles

    / #Résistances_au_capitalisme_et_à_la_civilisation_industrielle, #Autonomie_et_autogestion, (...)

    #Féminisme

  • Méga-bassines : gouvernement, lobbies et agro-chimie ensemble pour nuire aux cycles de l’eau et aux vivants
    https://ricochets.cc/Mega-bassines-gouvernement-lobbies-et-agro-chimie-ensemble-pour-nuire-aux-

    Le système en place ne veut pas de paysans, d’agro-écologie, de permaculture, pas assez rentable, pas assez de machines et de technologies, contraire aux besoin de valorisation du capital. Mais des luttes s’amplifient et continuent le combat pour la vie, pour « la terre et la liberté ». Le combat contre les méga-bassines en fait partie. Mégabassines : six réservoirs retoqués en Charente-Maritime (...) Ce n’est pas le premier succès juridique des opposants aux mégabassines. Déjà début février, notamment, (...) #Les_Articles

    / #Agriculture, #Résistances_au_capitalisme_et_à_la_civilisation_industrielle

    https://reporterre.net/Megabassines-six-reservoirs-retoques-en-Charente-Maritime
    https://www.terrestres.org/2023/02/27/mega-bassines-un-affrontement-entre-mondes

  • À #Saint-Brévin, la solidarité avec les réfugiés triomphe des fauteurs de haine

    L’#extrême_droite, qui souffle le vent raciste pour récolter la tempête identitaire, a échoué, samedi 25 février, à #Saint-Brévin-les-Pins. Sa tentative de rameuter contre un #centre_d’accueil pour demandeurs d’asile a fait #flop, face à la #mobilisation antifasciste.

    Nous voilà posté du mauvais côté, en ce samedi 25 février après-midi : derrière un cordon de CRS protégeant une centaine de manifestants d’extrême droite, plantés entre l’église et la mairie de Saint-Brévin, pour s’opposer, en toute turpitude tapageuse, à l’implantation d’un centre d’accueil de demandeurs d’asile (#Cada) dans la ville.

    Semeurs de zizanie xénophobe, ils espèrent tirer profit de leur fait d’arme qui les galvanise : avoir obtenu, en janvier dernier, qu’un projet d’accueil de quelques familles de réfugiés fût abandonné, à Callac, village à une vingtaine de kilomètres de Guingamp, dans les Côtes d’Armor. Rebelote à Saint-Brévin ? Tel est leur fâcheux espoir.

    Face aux CRS, des protestataires antifascistes conspuent le rassemblement raciste ; tout en prônant le droit des exilés fuyant les guerres et les dictatures à trouver refuge en France. « Solidarité ! », s’époumone une voix féminine, devant nous. Derrière nous, un butor issu des rangs nazillons vocifère : « Parle plus fort, on t’entend pas, sale pute ! »

    Alors, les CRS se boyautent bruyamment. « J’ai cru que c’était un collègue », lâche avec une ingénuité confondante un jeune fonctionnaire des forces de l’ordre.

    Peu auparavant, de jeunes antifas confusionnistes, dissimulés par des masques sanitaires et des bonnets jusqu’aux sourcils, nous avaient fait passer un sale quart d’heure : au prétexte que nous sommes journaliste, donc forcément vendu à tous les pouvoirs – même, et pourquoi pas surtout, en travaillant à Mediapart.

    Un vieux paysan libertaire nous tira d’une telle agressivité inféconde, laissant ses camarades à leurs réflexes pavloviens, pour désigner, d’un geste large, la flicaille casquée, suréquipée, sur le pied de guerre civile : « Les CRS sont là d’abord et avant tout contre nous, plutôt que pour contenir les fachos. Ceux-ci ont droit à toute leur sympathie. »

    Le meeting identitaire bat son vide, en un concours fort riquiqui de quidams caricaturaux, ligués devant l’hôtel de ville de Saint-Brévin-les-Pins. Une voix s’élève du microphone : « Les forces de l’ordre font un travail exceptionnel pour qu’on puisse s’exprimer. Et on remercie aussi le service d’ordre de l’Action française ! »

    Un représentant local du parti de Marine Le Pen prend la parole : « Le Rassemblement national s’est désolidarisé de la manifestation mais pas de notre combat – la preuve c’est que je suis parmi vous. Le Cada auquel nous nous opposons, en plus d’être à côté d’une école, ne sera pas loin d’un camping où des grands-parents accueillent l’été leurs petits-enfants. Qu’arrivera-t-il aux jeunes filles qui déambulent en maillot de bain ? Pas besoin de faire un dessin. »

    Des cataractes de propos vipérins et anxiogènes submergent la place de la mairie tout l’après-midi : « L’Afrique, c’est ici et maintenant à Saint-Brévin. […] Implantation d’une boucherie halal, qui va vite se transformer en mosquée gérée par les Frères musulmans. […] L’insécurité tout court. […] Non-assistance à personnes en danger. »

    Un furieux de Reconquête, la faction factieuse d’Éric Zemmour, est venu d’Île-de-France : « Non à la répartition de l’immigration dans les campagnes françaises ! Les bonnes âmes gauchistes, la charité en bandoulière avec l’argent des autres, qu’ils [sic] les prennent chez eux dans leur maison, dans leur appartement, au lieu de les inciter à mourir en Méditerranée. Ce sont des irresponsables sans aucune humanité. Ils veulent déraciner les peuples africains – accueillis, régularisés, naturalisés. Et ce, pendant que les Français, de plus en plus pauvres, vivent dans leur voiture. Qui paie pour les migrants ? C’est vous ! »

    Le Monsieur Loyal du moment fustige « l’indécence des journalistes de gauche qui osent se plaindre au moindre coup de téléphone menaçant », puis passe le microphone à sa femme. Celle-ci, sous quelques sifflets, avoue avoir commencé à militer au Parti socialiste. Puis ce fut Chevènement. Puis enfin, là où elle est aujourd’hui : « Ce qu’on appelle l’extrême droite, c’est simplement le peuple français ! »

    La foule clairsemée s’époumonne : « On est chez nous ! Ensemble, ensemble, on va gagner ! » Le flot des propos se déverse : « Projet mondialiste de Macron, de Mélenchon et de toutes les ordures. […] Idéologie mortifère. Ils s’attaquent à nos clochers et même aux statues de l’île de Ré. […] Délinquance étrangère désaxée. […] La loi “Asile immigration” va accélérer la politique de peuplement de nos territoires par des populations subsahariennes. » Etc., etc.

    Ce matin-là, dans l’espoir d’être plus nombreux – et il l’aura été dix fois plus –, le peuple de gauche occupait le terrain à Saint-Brévin. Une minorité voulait donc en remontrer à l’extrême droite, au point de lui réserver un comité d’accueil d’une hostilité légitime et sérieuse en s’attardant sur place l’après-midi. L’immense majorité, obéissant à l’appel au calme et à la soif de tranquillité des vieilles troupes humanistes, décampa sur le coup de midi.

    Non sans avoir réussi, en rassemblant presque 900 personnes, une démonstration de force tranquille. Même si toutes les prises de parole transpirent l’inquiétude défensive, face à un fond de l’air bien plus brun que rouge.

    François Prochasson, conseiller municipal de Nantes, rappelle les récentes exactions commises par l’extrême droite dans sa ville contre un squat et contre une association d’aide aux migrants : « Les valeurs d’accueil et d’hospitalité sont menacées. »

    Jérôme Alemany, conseiller départemental de Loire-Atlantique chargé de l’insertion et de la lutte contre l’exclusion, rappelle que la « terre de rencontres, d’échanges et d’accueil » qu’il représente voit ses valeurs défendues « par une traduction juridique : la Convention de Genève, qui protège les réfugiés. C’est une obligation internationale mais il en va aussi de notre honneur et de notre humanité, à laquelle nous n’entendons pas renoncer. »

    Le député européen Damien Carême prône un « accueil inconditionnel » qui ne soit pas limité aux Ukrainiens, qui ne trie pas en fonction « de la couleur de peau ou de la religion », sur un Vieux Continent tenté de se faire forteresse.

    Andy Kerbrat, élu La France insoumise (LFI) de Nantes à l’Assemblée nationale, évoque la haine antimigrants des parlementaires d’extrême droite auxquels il se heurte, mais auxquels le gouvernement donne des gages avec la loi dite « Asile immigration » concoctée par Gérald Darmanin.

    Toutes les interventions antiracistes semblent graves et parfois sépulcrales. Elles appellent non seulement à se ressaisir mais à inventer de nouvelles formes de lutte, pour ne point laisser le terrain à l’ultradroite identitaire et raciste, qui croit pouvoir imprimer la cadence en toute impunité.

    L’espérance ne saurait être en berne plus que de raison. La manifestation montre qu’il est possible de porter un coup d’arrêt à l’extrême droite. Celle-ci fait un four aussi patent qu’humiliant. Et les jeunes pousses d’une gauche qui ne s’en laisse plus conter irradient, au bon sens du verbe, la confiance en l’avenir.

    Un couple de militants à peine trentenaires, membres de LFI tout en souhaitant ardemment la relève et l’après-Mélenchon, évoque la richesse des réseaux qui se nouent et fermentent, entre Nantes et Rennes. Entendez-vous dans nos campagnes…

    Laurence Goubet, de l’association Les Bouillonnantes, nous détaille les modalités du RFF (Refugee Food Festival), qui se tient dans une douzaine de villes de France autour du 20 juin, à l’occasion de la Journée mondiale des réfugiés.

    Antoine de Clerck, engagé au service des autres « depuis les scouts de France », nous parle de l’appel pour l’organisation d’une Convention citoyenne sur la migration, inspirée de la Convention sur le climat. Sa complice sur le sujet, Vanessa Krycève, aura du reste imposé, l’air de rien, l’une des interventions les plus émouvantes et revigorantes de cette matinée. Ainsi fut préempté, samedi 25 février 2023, le centre de #Saint-Brévin-les-Pins, au détriment d’une coalition des préjugés racistes heureusement réduite à la portion congrue.

    https://www.mediapart.fr/journal/france/260223/saint-brevin-la-solidarite-avec-les-refugies-triomphe-des-fauteurs-de-hain
    #réfugiés #anti-réfugiés #solidarité #asile #migrations #résistance #antifascisme #hébergement #France

    via @karine4

    • C’était en 2016 (signalé par @karine4)...
      Loire-Atlantique : Des coups de feu contre le futur centre d’accueil de migrants à Saint-Brévin

      La tension ne redescend pas. Alors que se divise sur le futur accueil de 70 migrants venus de Calais, des coups de feu ont été tirés mardi soir sur devant les accueillir. Une enquête a été ouverte, a-t-on appris mercredi auprès des gendarmes.

      Les tirs ont eu lieu vers 20h35 contre le centre de vacances EDF choisi par l’Etat pour héberger ces migrants, ont indiqué les gendarmes, sans donner plus de précision. Aucune interpellation n’avait été effectuée mercredi soir.
      Un réunion publique organisée par les opposants

      « Cet acte est inadmissible et irresponsable », s’est ému le maire divers droite de Saint-Brévin, Yannick Haury. Le 17 septembre, à l’arrivée de 70 migrants étaient descendus dans la rue et s’étaient lancé « quelques invectives », lors de deux manifestations qui s’étaient déroulées sans incident notable, avait alors indiqué la préfecture de Loire-Atlantique.

      « Il y a quelques personnes qui entretiennent ce climat, mais la majorité des Brévinois (...) souhaite que cet accueil de personnes réfugiées puisse se faire dans les meilleures conditions », a déclaré Yannick Haury.

      Le collectif des a décidé la semaine dernière d’organiser lui-même une « réunion publique d’information », ce samedi. Dans un communiqué, il condamne « fermement » les coups de feu. « L’imposition de migrants dans notre commune, sans aucune concertation, sans aucune information, sans demander l’avis des Brévinois est également une violence qu’il convient de condamner », ajoute la déclaration.
      Soutien de la CGT

      Dans un communiqué, la CGT a « condamné avec la plus grande fermeté cette lâche tentative d’intimidation », et apporté son « soutien total à la CCAS, à ses élus et aux salariés de la Caisse centrale des activités sociales des personnels des industries électriques et gazières ».

      https://www.20minutes.fr/nantes/1937239-20161006-loire-atlantique-coups-feu-contre-futur-centre-accueil-mi

    • Solidaires avec le maire de Saint-Brevin-les-Pins

      Nous, élu·es de l’ANVITA, membres d’ONG, d’associations et de syndicats, tenons à apporter notre soutien sans faille à M. Yannick Morez, maire de Saint-Brevin-les-Pins, suite à l’annonce de sa démission, poussée par les menaces et violences de l’extrême droite qui l’ont visé personnellement en mars dernier.

      Une situation intolérable

      La situation à Saint-Brevin est extrêmement grave : il est intolérable qu’un·e élu·e de la République soit menacé·e de mort, son intégrité physique mise en danger, et qu’il soit ainsi contraint de renoncer à son mandat et de quitter sa ville. Combien de temps le gouvernement va-t-il encore fermer les yeux sur les agissements des groupuscules d’extrême-droite radicaux passant à l’action ? Doit-on renoncer à une société ouverte et accueillante devant les mobilisations haineuses d’une minorité qui empoisonnent nos territoires ?

      Nous, élu·es de l’ANVITA, membres d’ONG, d’associations et de syndicats, refusons de nous laisser dicter par l’extrême droite les orientations politiques que nous devons suivre. Nous œuvrons pour l’intérêt général au sein du pays, de nos territoires. Accueillir et porter des projets d’hospitalité est non seulement une chance pour nos collectivités : c’est un devoir moral et une obligation légale. Nous ne céderons jamais sur cet engagement.

      La réaction de l’Etat

      Nous nous questionnons également sur le retard voire l’absence de réactions et de soutiens de la part des représentant·es de l’État et du gouvernement. Yannick Morez le dénonçait lui-même dans l’émission Envoyé Spécial en avril dernier. Face à Élise Lucet, il disait ressentir : « Un abandon, en quelque sorte ».

      En tant qu’élu·es de la République et membres d’ONG, d’associations et de syndicats, nous considérons intolérable que l’État et le gouvernement abandonnent des élu·es et porteur·ses de projet confronté·es à de telles violences ! L’État doit sortir de sa posture ambivalente qui impose des projets d’une main et refuse de les défendre de l’autre ; il a le devoir de réagir avec la plus grande rapidité et fermeté lorsqu’un·e élu·e est menacé·e. À Saint-Brevin-les-Pins, ce ne sont pas seulement l’accueil et la solidarité qui ont été attaqués : c’est la démocratie et la République !

      Les collectivités et élu·es membres de l’ANVITA, les ONG, les associations et les syndicats signataires renouvellent leur engagement de rester mobilisé·es et vigilant·es à toute situation similaire. Nous apporterons notre soutien systématique et indéfectible à tout·e élu·e, toute collectivité, tout porteur·se de projet d’hospitalité visé·e. Nous affirmons qu’il est indispensable de ne plus rien céder à l’extrême droite.

      M. le Maire, bravo et merci pour votre engagement. Votre combat en faveur de l’accueil, d’une société solidaire et ouverte est le nôtre.

      https://www.gisti.org/spip.php?article7017

  • La stratégie de la composition, ni fossilisation ni émiettement impuissant
    https://ricochets.cc/La-strategie-de-la-composition-ni-fossilisation-ni-emiettement-impuissant.

    Des réflexions intéressantes pour lutter avec possible succès malgré les divergences et diversités (et même grâce à elles). Une stratégie utile pour la probable grève générale qui veut démarrer le 7 mars, ou, plus probablement, pour des luttes locales ? La stratégie de la composition - De Standing Rock à NDDL en passant par Lützerath et la forêt d’Atlanta De Standing Rock à Lützerath, le combat pour la défense de la terre coïncide toujours avec la construction de la commune. En situant la défense de la forêt (...) #Les_Articles

    / #Résistances_au_capitalisme_et_à_la_civilisation_industrielle, Révoltes, insurrections, (...)

    #Révoltes,_insurrections,_débordements...
    https://lundi.am/La-strategie-de-la-composition

  • Une analyse critique de la collapsologie
    https://ricochets.cc/Une-analyse-critique-de-la-collapsologie.html

    Pour mieux comprendre certains aspects problèmatiques de la collapsologie. Et aussi une émission pour mieux comprendre ce qu’est profondément le capitalisme, afin déviter un anti-capitalisme tronqué qui mène à des impasses. Une analyse critique de la collapsologie Une émission d’analyse critique de la collapsologie française et de ses thèses - avec Benoit, théoricien de la critique de la valeur et auteur à ce sujet d’ Une critique anticapitaliste de la collapsologie et Théa, qui travaille sur Marx et (...) #Les_Articles

    / #Ecologie, #Le_monde_de_L'Economie, Résistances au capitalisme et à la civilisation (...)

    #Résistances_au_capitalisme_et_à_la_civilisation_industrielle
    https://lenumerozero.info/Une-analyse-critique-de-la-collapsologie-6087
    https://spectremedia.org/sortir-du-capitalisme