• #Rio is a Fast, WebGPU-Powered Terminal for Ubuntu
    https://www.omgubuntu.co.uk/2025/07/rio-terminal-emulator-ubuntu

    Seeking a fast, modern terminal for Ubuntu? Rio is a cross-platform, hardware-accelerated terminal emulator built in #rust with novel features. You’re reading Rio is a Fast, WebGPU-Powered Terminal for Ubuntu, a blog post from OMG! Ubuntu. Do not reproduce elsewhere without permission.

    #News #terminal_apps

  • Le superyacht sea lady II , long de 41 mètres, en feu dans le port de saint-tropez

    Un yacht de luxe de 41 mètres était en flammes jeudi soir dans le port de saint-tropez (Var), a-t-on appris auprès des pompiers qui ont mis en place des barrières antipollution. Le feu s’est déclaré pour une raison inconnue peu après 20h15 sur le superyacht sea lady II, amarré dans le vieux port de cette station huppée de la Côte d’Azur, très prisée par la jet-set internationale.


    Peu avant 22H, le feu n’était « toujours pas éteint », a déclaré à l’AFP un porte-parole des pompiers du Var, faisant état de « difficultés pour monter à bord du navire ». Selon des images diffusées sur les réseaux sociaux, l’incendie dégageait d’épaisses fumées noires dans le ciel de saint-tropez, où de nombreux badauds filmaient la scène le long du quai. « Les yachts alentour ont pu être rapidement dégagés et nous avons mis en place des barrières antipollution », a précisé le porte-parole des pompiers, jugeant « probable que le bateau coule dans le port ».

    Une trentaine de sapeurs pompiers assistés de quatre engins sont mobilisés pour lutter contre l’incendie. Deux hommes se sont présentés aux secours se plaignant d’avoir inhalé des fumées, sans qu’il puisse être précisé s’il s’agit de passagers du yacht. Le sea lady II est un superyacht de 41,2 mètres battant pavillon maltais. Construit en 1986 et rénové en 2024, il est proposé à la location 80.000 euros la semaine hors frais en haute saison . Outre ses huit membres d’équipage, il peut accueillir jusqu’à dix passagers avec ses cinq cabines, toutes équipées d’une salle de bains privée, selon le site de location de yachts Charterindex.
    Source et suite payante : https://www.lefigaro.fr/faits-divers/le-superyacht-sea-lady-ii-long-de-41-metres-en-feu-dans-le-port-de-saint-tr
    #yacht #superyacht #riches #saint-tropez #France

  • #riarmo, #warfare e #guerra_ai_poveri
    https://radioblackout.org/2025/07/riarmo-warfare-e-guerra-ai-poveri

    I piani di riarmo globale accelerano un’escalation bellica che potrebbe essere inarrestabile e che, già ora, miete vittime all’interno dei paesi direttamente investiti dalle politiche di riarmo. La coperta è corta, sempre più corta: quello che si spende in armi non verrà usato per la tutela della salute, per la messa in sicurezza dei territori, […]

    #L'informazione_di_Blackout
    https://cdn.radioblackout.org/wp-content/uploads/2025/07/2025-07-08-riarmo-fricche.mp3

  • La pauvreté et les inégalités au plus haut depuis trente ans
    https://www.lemonde.fr/societe/article/2025/07/07/la-pauvrete-et-les-inegalites-au-plus-haut-depuis-trente-ans_6619650_3224.ht


    L’entrée du centre d’accueil de jour et de mise à l’abri du Secours islamique France, à Massy (Essone), le 4 juillet 2025. SAMUEL GRATACAP POUR « LE MONDE »

    L’Insee a publié, lundi 7 juillet, ses données pour l’année 2023 : le taux de pauvreté atteint 15,4 %, son plus haut niveau depuis le début du décompte en 1996. L’écart entre les 20 % plus riches et les 20 % plus pauvres s’est creusé, proche de celui du début des années 1970.

    Six cent cinquante mille personnes ont basculé dans la pauvreté en l’espace d’une année (...)

    Comment expliquer ces constats ? « Le niveau de vie, soutenu par une conjoncture favorable de l’emploi, a augmenté plus vite que l’inflation, sauf pour les plus modestes », résume M. Duée. Le niveau de vie médian a atteint 2 150 euros mensuels pour une personne seule, une hausse plus forte (5,9 %), que l’inflation ( + 4,9 % en moyenne annuelle), soit une augmentation en euros constants de 0,9 %. Mais les évolutions à chaque extrémité du spectre des revenus ont été très différentes : le niveau de vie des 10 % les plus riches a progressé de 2,1 % en euros constants, « porté par les rendements des produits financiers », souligne M. Duée. Tandis que les 30 % d’habitants les plus modestes ont connu une baisse de leur niveau de vie, particulièrement marquée pour les 10 % les plus pauvres (− 0,9 % en euros constants).

    https://archive.ph/AyYnT

    edit Alternatives économiques https://archive.ph/6uMTR

    #pauvreté #taux_de_pauvreté #inflation

  • Smilitarizziamo #sigonella: manifestazione regionale contro le #basi_militari #USA#nato
    https://radioblackout.org/2025/07/smilitarizziamo-sigonella-manifestazione-regionale-contro-le-basi-mil

    Il territorio siciliano è particolarmente compromesso dalla presenza diffusa su tutta l’isola di basi militari, punti da cui droni e aerei che partecipano negli scenari di guerra attuali partono, transitano e vi stazionano. Non soltanto Sigonella ma anche il Muos a Niscemi supportano le operazioni militari in Medio Oriente. Questo sabato è stata dunque lanciata […]

    #L'informazione_di_Blackout #manifestazione_contro_la_guerra #palestina #riarmo
    https://cdn.radioblackout.org/wp-content/uploads/2025/07/Sigonella-2025_07_03_2025.07.03-10.00.00-escopost.mp3

  • Königshaus stellt Betrieb seines Zuges ein
    https://www.spiegel.de/panorama/britisches-koenigshaus-stellt-betrieb-seines-zuges-ein-a-f208a649-3504-4d6c-

    Les déplacements de la famille royale d’Angleterre en train sont plus couteux que les voyages en hélicoptère, alors on opte pour la modernité et chamge de moyen de transport. Au fond je les soupçonne d’avoir envie de rattrapper leurs copains ultra-riches qui prennent systématiquement les véhicules aériens les plus rapides et modernes pour se rendre aux rendez-vous entre gens sélects.

    L’article est intéressant parce qu’on y apprend quelques chiffres budgétaires des représentants de l’impérialisme d’outre-manche.

    1.7.2025 - Auch die Royals müssen sparen: Mehr als 150 Jahre lang gehörte ein Zug zum Fuhrpark der königlichen Familie. Jetzt wird er ausgemustert, aber es gibt Ersatz.

    Von Gloucestershire im Südwesten Englands ins rund 115 Kilometer entfernte Staffordshire und dann nach London: Das war laut der BBC die Route für Mitglieder des britischen Königshauses, die ihre Reise im vergangenen Februar mit dem königlichen Zug zurückgelegt haben. Kostenpunkt: 44.000 Pfund (rund 51.260 Euro). Es ist nur ein Beispiel, aber es zeigt, wie teuer der Zug für das Königshaus ist.

    Jetzt stellt die Monarchie in Großbritannien wegen Sparmaßnahmen den Betrieb des königlichen Zuges ein. Im Rahmen der am Montagabend veröffentlichten Jahresbilanz des Königshauses teilte der Schatzmeister von König Charles III., James Chalmers, mit, dass er das berühmte Transportmittel aufgrund der hohen Kosten außer Dienst gestellt habe. Stattdessen habe er den Einsatz von zwei Hubschraubern für die Beförderung der Königsfamilie genehmigt.

    Der königliche Zug sei »seit vielen Jahrzehnten ein Teil des nationalen Lebens, der von allen Beteiligten geliebt und gepflegt wird« sagte Chalmers. Im Rahmen von Charles’ Bemühungen zur Modernisierung des Königshauses sowie zur Senkung seiner Aufwendungen sei jedoch »auch die Zeit gekommen« sich von dem Zug zu verabschieden, sagte Chalmers. Er verwies auf die Bemühungen des Königshauses, »bei der Vergabe von Mitteln diszipliniert und zukunftsorientiert vorzugehen«.

    Der Zug wird von den Mitgliedern der Königsfamilie seit Mitte des 19. Jahrhunderts benutzt. Im Laufe der Zeit ist seine Wartung aber zunehmend aufwendig und kostspielig geworden. Der König habe nun dem Zug, zu dem auch ein in den Achtzigerjahren eigens für ihn angefertigter Waggon gehört, »aufs Herzlichste Lebewohl« gesagt.

    Laut dem am Montag veröffentlichten Jahresbericht zum sogenannten Sovereign Grant, mit dem die offiziellen Aufgaben und die Paläste des britischen Königshauses finanziert werden, beliefen sich die Ausgaben für 2024/25 das vierte Jahr in Folge auf 86,3 Millionen Pfund (rund 100,6 Millionen Euro). Im nächsten Jahr soll der Zuschuss auf 132 Millionen Pfund steigen.
    Erste Waggons wurden während der Regentschaft von Königin Victoria eingesetzt

    Der königliche Zug hat eine lange Geschichte: Die ersten Waggons wurden Mitte des 19. Jahrhunderts während der Regentschaft von Königin Victoria eingesetzt. 2020 reisten Prinz William und seine Frau Kate mit dem Zug auf einer Strecke von 2000 Kilometern durchs Land, um Menschen in systemrelevanten Berufen für ihren Einsatz während der Coronapandemie zu danken.

    2022 sollte der Zug den Sarg der verstorbenen Königin Elizabeth II. von Schottland nach London bringen – allerdings wurde damals wegen Sicherheitsbedenken davon abgesehen.

    Freunde des royalen Zuges müssen sich keine zu großen Sorgen machen: Er wird durch das Vereinigte Königreich fahren, ehe er aus dem Verkehr gezogen wird. Im Anschluss wird er möglicherweise öffentlich ausgestellt.

    #Rioaume_Uni #monarchie #chemins_de_fer #transport_ferroviaire #anachronisme #luxe #nantis #impérialisme

  • Route des Canaries : pour éviter les contrôles, de nouveaux itinéraires encore plus dangereux

    La route migratoire vers les Canaries connait une nette mutation ces dernières semaines : pour éviter le renforcement des contrôles en #Mauritanie et au #Sénégal, les départs de #pirogues clandestines se font désormais de plus en plus depuis la #Guinée. Ce nouvel #itinéraire emprunté par les migrants, en allongeant la durée de la traversée, rend le trajet encore plus dangereux.

    La route migratoire vers les Canaries connait une nette #reconfiguration ces dernières semaines. Alors qu’habituellement les pirogues de migrants tentaient de rejoindre clandestinement les #îles_Canaries depuis le Sénégal, la Mauritanie ou encore le #Maroc, désormais, les départs se sont déplacés.

    Les embarcations de fortune se font de plus en plus depuis le Sud, en Guinée, a déclaré ce jeudi le délégué du gouvernement aux Canaries, Anselmo Pestana. Ce dernier insiste aussi sur le changement de route de certains migrants qui optent pour l’Algérie, dans le but d’atteindre l’Espagne via les Baléares.

    D’après le délégué, ces changements d’itinéraire opérés par les passeurs est du au renforcement des contrôles menés au Sénégal et en Mauritanie depuis le début de l’année.

    Cette nouvelle route guinéenne vers les Canaries s’avère cependant particulièrement dangereuse, puisqu’en allongeant la traversée, elle augmente également les risques de #naufrages et de #dérive des embarcations. Anselmo Pestana a ainsi mis en garde contre ce changement et exprimé son inquiétude face aux risques accrus pour les migrants.

    Sur la seule année 2024, l’ONG espagnole Caminando Fronteras a établi un bilan de 10 457 personnes mortes ou disparues en mer. Le bilan de ces « naufrages invisibles » est largement sous-estimé puisqu’un grand nombre d’embarcations disparaissent en mer sans que l’on ne retrouve jamais leur trace.

    Au cours de l’année 2024, 46 843 exilés, principalement en provenance d’Afrique de l’Ouest, ont atteint les îles Canaries. Du jamais vu pour l’archipel espagnol, qui fait face depuis plusieurs mois à une saturation de plus en plus importante de son système d’accueil.

    Des itinéraires plus lointains pour échapper aux contrôles

    D’après l’Agence européenne de gardes-frontières et de garde-côtes, Frontex, une baisse de 41% des arrivées de migrants irréguliers sur les îles Canaries a été enregistrée depuis le début de l’année. En novembre 2024, 7 338 arrivées ont été comptabilisées contre 445 en mai 2025. Le délégué du gouvernement aux Canaries, a souligné que le nombre d’arrivées est passé d’environ 19 100 personnes au premier semestre 2024 à 11 300 personnes pour la même période en 2025.

    Cette diminution notable est le résultat du renforcement des contrôles policiers au Sénégal et en Mauritanie, ainsi que des #accords de #coopération_bilatérale récents entre les autorités de ces pays et celles espagnoles pour endiguer les flux migratoires. Ces derniers mois, avec l’appui de la Garde civile et de la police nationale espagnoles, des opérations de démantèlement de réseaux de traite d’êtres humains se sont multipliées dans ces pays d’Afrique de l’Ouest. En avril 2024, la gendarmerie mauritanienne a notamment démantelé un vaste réseau, arrêtant 117 personnes et saisissant d’importantes quantités de matériel.

    Cependant, ces résultats sont trompeurs. Malgré les mois avec une plus faible activité, Frontex souligne que « la pression sur les îles Canaries reste élevée, supérieure à la moyenne des années précédentes, en raison de l’instabilité persistante au Sahel et du développement des réseaux de passeurs en Mauritanie ». La tendance à la baisse ne devrait donc pas se maintenir, souligne l’agence. D’autant que comme chaque année, l’amélioration des conditions météorologiques durant l’été, laisse présager une hausse des arrivées aux Canaries, particulièrement entre août et novembre.

    Et contrairement aux idées reçues, les chiffres officiels ne traduisent pas un ralentissement de la migration par la route atlantique mais plutôt une reconfiguration des voies migratoires vers l’Europe.

    Car pour éviter les contrôles, les réseaux mafieux de passeurs ont adapté leur stratégie en déviant les routes : les nouveaux épicentres des départs d’embarcations précaires et surchargées sont désormais localisés en Guinée, un pays moins surveillé.

    La #Guinée-Bissau est également un lieu de départ de plus en plus privilégié. Ses 200 km de côtes, difficiles à surveiller, en font un point de départ important, principalement via l’#archipel_des_Bijagos (88 îles) distant de plus de 1800 km des Canaries.

    Une #dangerosité des traversées exacerbée

    Cette nouvelle voie migratoire, du fait de son éloignement des Canaries, s’avère être beaucoup plus meurtrière.

    « Le risque est bien plus élevé pour la vie des personnes qui tentent de se rapprocher des Canaries, car elles essaient de s’éloigner de la côte » pour échappe aux contrôles a alerté le délégué du gouvernement aux Canaries. Il a précisé que ces traversées peuvent durer jusqu’à dix jours, ce qui multiplie les probabilités de naufrage des embarcations ainsi que les dérives en pleine mer. En partant de Guinée, les migrants se lancent dans une traversée de plus de 2 200 km jusqu’à #El_Hierro (Canaries), soit 750 km de plus qu’en partant depuis le Sénégal ou bien de Gambie. Les dangers en pleine mer sont donc considérablement accentués (vagues, pénuries d’eau et de nourriture, risque de panne, d’insolation).

    Les ONG alertent régulièrement sur les « #bateaux_fantômes », des embarcations qui errent en mer, dont les passagers ont parfois pu rentrer en contact avec les ONG mais dont le contact a été perdu. Les embarcations sont donc livrées à elles-mêmes, en pleine mer, à la merci des intempéries.

    « Il existe également un risque qu’elles se perdent dans l’océan Atlantique et aillent vers les Caraïbes ou le #Brésil » a-t-il précisé. Plusieurs pirogues parties des côtes ouest-africaines ont par le passé déjà été retrouvées en Amérique du Sud ou centrale.

    La tragédie survenue fin mai à La Restinga (îles Canaries), où un bateau parti de Guinée-Conakry a chaviré à quelques mètres du quai après plus de dix jours en mer, tuant quatre femmes et trois jeunes filles, illustre dramatiquement les conséquences de cet allongement des itinéraires.

    En ce qui concerne la route algérienne, le trajet n’est pas plus sûr. Des embarcations contenant des cadavres de migrants subsahariens ligotés ont récemment été découvertes aux #Baléares, signe que les itinéraires migratoires sont en constantes évolution. Une enquête est en cours.

    https://www.infomigrants.net/fr/post/65427/route-des-canaries--pour-eviter-les-controles-de-nouveaux-itineraires-
    #mise_en_danger #migrations #réfugiés #route_atlantique #risques #contrôles_frontaliers #frontières #militarisation_des_frontières #accords_bilatéraux #mortalité #létalité #mourir_en_mer
    ping @6donie

  • #gkn sotto #sgombero: aggiornamenti dal #collettivo_di_fabbrica
    https://radioblackout.org/2025/06/gkn-sotto-sgombero-aggiornamenti-dal-collettivo-di-fabbrica

    Dal Collettivo di fabbrica arriva la notizia di un possibile sgombero del presidio della ex Gkn. Si apprende da testate giornalistiche che il presidio sarebbe sotto sgombero da parte del Tribunale fallimentare su indicazioni dei commissari/custodi nominati dal Tribunale stesso a tutela degli interessi dei soggetti immobiliari nell’ambito della procedura di fallimento. Con queste indicazioni […]

    #L'informazione_di_Blackout #riconversione
    https://cdn.radioblackout.org/wp-content/uploads/2025/06/GknOrdinanzaSgombero-.mp3

  • Nato. Si vis bellum, para bellum
    https://radioblackout.org/2025/06/nato-si-vis-bellum-para-bellum

    Al #vertice_nato i 31 paesi dell’alleanza hanno deciso un innalzamento della spesa di guerra al 5% del Pil. Lacrime e sangue. Nel senso letterale del termine. La Spagna ha ottenuto lo sconto e potrebbe trascinarsi dietro altri paesi recalcitranti, non per buona volontà ma per questioni di bilancio. Ma il dato resta: la corsa […]

    #L'informazione_di_Blackout #riarmo
    https://cdn.radioblackout.org/wp-content/uploads/2025/06/2025-06-25-mazzeo-nato.mp3

  • Not Even War Can Stifle Ukraine’s Punk Rock Spirit | #Bandcamp_Daily
    https://daily.bandcamp.com/scene-report/not-even-war-can-stifle-ukraines-punk-rock-spirit

    Here are a few of the Ukrainian punk bands living through—and making music in—the middle of war.

    https://deelav.bandcamp.com/track/the-sounds-of-war

    DEATH PILL & HÄXAN - 2 Riot grrrl bands en Ukraine
    ITW #Kartonzine 2021 https://seenthis.net/messages/950672
    #Ukraine #musique #riot_grrrl #punk_rock

  • [BD] #Voltairine_de_Cleyre - « L’anarchisme sans étiquette » [02]
    https://www.partage-noir.fr/bd-voltairine-de-cleyre-l-anarchisme-sans-etiquette-02-1902

    Texte : MLT & Dessins : #OLT (CC BY-NC-SA 4.0) #Emma_Goldman la considère comme la femme anarchiste la plus douée et la plus brillante que l’Amérique ait jamais produite . Devenue proche des anarchistes individualistes, elle s’engage pour un anarchisme sans adjectifs : Je ne m’appelle plus autrement que simple anarchiste. En 1895, dans une conférence sur la question sexuelle, elle déclare aux femmes : « (…) À cause de l’interdit qui pèse sur nous, de ses conséquences immédiates sur (…) OLT

    / Voltairine de Cleyre, Emma Goldman, #Ricardo_Flores_Magón, #Etats-Unis

    https://www.partage-noir.fr/IMG/pdf/voltairine_de_cleyre.pdf

  • Europe : un pas en avant sur Gaza ? Entretien avec Rima Hassan
    19 juin 2025 | Journal l’Humanité
    https://www.youtube.com/watch?v=aFwidu9w3FU

    Pour la première fois, le Parlement européen, toutes tendances politiques confondues, sauf l’extrême droite, a dénoncé le génocide en cours à Gaza, et le silence ou la complicité des dirigeants de l’Union européenne dans ce génocide. Les députés exigent la suspension immédiate de l’accord d’association entre l’UE et Israël, et l’arrêt des livraisons d’armes à Netanyahou. Quelle est la situation à Gaza et en Cisjordanie au moment plus de 50 Palestiniens ont été massacrés mardi près d’un centre de distribution d’aide alimentaire, alors que la famine s’installe, et que les soins de santé sont « au bord du gouffre » (ONU) ? Quelles sont les conséquences pour les Palestiniens de la guerre lancée par Israël contre l’Iran ? Quelles nouvelles alliances nouer pour faire avancer concrètement la cause palestinienne ? Entretien avec la députée européenne Rima Hassan (La Gauche), qui revient également sur les violations du droit international commises par Israël lors de l’arraisonnement du Madleen et de l’arrestation de son équipage, dont elle faisait partie.

    #IsraelUE

  • Lithium dans le #Finistère : en bord de mer gronde la #colère

    À #Tréguennec, un article sur un gigantesque #gisement et une visite ministérielle ont mobilisé les citoyens contre tout projet de #mine.

    L’affaire commence le 24 janvier 2022. « Sous le sol de Tréguennec, des milliers de tonnes de lithium, nouvel or blanc », titre ce matin-là Le Télégramme. Dans la minuscule bourgade du sud du Finistère – 320 habitants –, certains en recrachent leur café. Pourtant, le rapport du Bureau de recherches géologiques et minières qui mentionne le #gisement de 66 000 tonnes date de 2018, les sondages sur lesquels il s’appuie ont eu lieu entre 1977 et 2010. Mais jusqu’à peu, le lithium n’intéressait pas grand monde. C’était avant que ce métal ne devienne un composant essentiel des #batteries électriques et de la #transition_énergétique, et qu’il attise de plus en plus les appétits des industriels et des politiques (lire l’épisode 1, « Le lithium, de l’or blanc en barre » : https://lesjours.fr/obsessions/lithium-france/ep1-lithium-sous-sol-france).

    « C’est un collègue, rédacteur en chef adjoint, qui avait vaguement entendu parler de ça et m’a suggéré de creuser », raconte Didier Deniel, l’auteur de l’article. Qui n’imaginait pas susciter un tel effarement. Le maire Stéphane Morel lui-même n’était pas au courant. « Quand je suis allé le voir la première fois, il en est presque tombé de sa chaise, sourit le journaliste. Et sur le moment, il a pris les choses avec humour, disant qu’ils pourraient s’acheter les meilleurs joueurs de foot et concurrencer le PSG. » Sauf que dans la région, la nouvelle n’a pas suscité le même enthousiasme. Dans la semaine suivant la parution de l’article, une figure de la vie associative locale, Stéphane Le Garrec, monte le groupe Facebook « Lithium à Tréguennec, Non merci ! », qui rassemble très vite plus de 8 000 personnes. Le 26 février, une manifestation a lieu dans le village. Le maire ne plaisante plus. « Tréguennec et le pays bigouden ne sont pas à vendre, même pour tout l’#or_blanc du monde », écrit-il au Télégramme. C’est que ledit gisement ne se situe pas n’importe où.

    À quelques kilomètres du bourg, les vagues se fracassent sur la plage, fine bande de sable blanc séparée des terres par un cordon dunaire. À l’horizon, les bleus du ciel et de l’océan se confondent. Au lieu-dit #Prat-ar-C’Hastel, un tumulus abritant un cimetière préhistorique voisine une ancienne carrière de feldspath engloutie sous les eaux d’un étang. Le gisement de lithium, parmi les plus importants de l’Hexagone, est là, dans une zone à l’équilibre infiniment précaire, que les exploitations passées n’ont cessé de fragiliser. « Il y a un siècle, la #baie_d’Audierne était protégée par un mur naturel de galets de près de 20 kilomètres, formé il y a des dizaines de milliers d’années, lors de la dernière glaciation », raconte Benjamin Buisson, responsable du pôle littoral et biodiversité de la Communauté de communes du Pays Bigouden Sud. L’#Ero_Vili, le « sillon de galets » en breton.

    Mais dans les années 1940, ces galets sont une ressource précieuse pour l’armée allemande occupante, qui bâtit des bunkers tout le long de la côte ouest pour prévenir toute attaque maritime alliée – le mur de l’Atlantique. Fin 1941, les nazis installent une usine de concassage de #galets à Prat-ar-C’Hastel. En à peine plus de deux ans, quelque 400 000 m3 sont retirés du cordon protégeant la baie. Au cours des décennies suivantes, de nombreux autres prélèvements privés viendront le fragiliser encore davantage. Jusqu’à ce jour de février 1966 où l’Ero Vili se rompt sous les assauts de l’océan. L’eau envahit les terres, façonnant un nouveau paysage.

    Aujourd’hui, le squelette de l’immense usine de concassage se dresse toujours, dominant le fragile cordon dunaire qui protège désormais les terres. Au loin, sur la plage, on aperçoit encore deux blockhaus à demi engloutis. Et de l’autre côté de la dune, la flore et la faune fourmillent. Quand on l’interroge sur les possibles impacts d’une #extraction_minière sur la zone, le responsable de la communauté de communes reste prudent : « Je suppose que beaucoup dépend de la technique d’#extraction. Mais le bruit, les poussières, le passage des camions, la gestion de l’eau, l’érosion, le risque que la mer s’engouffre dans les terres si l’on est trop près du trait de côte… Dans une zone sensible comme celle-ci, les #risques_environnementaux d’une extraction ne sont pas négligeables. »

    Et pour preuve, la prairie dunaire et son #écosystème sont aujourd’hui triplement protégés. Depuis 1982, les 650 hectares des rives de la baie appartiennent au Conservatoire du littoral. « Ces terres sont quasi inaliénables », souligne Benjamin Buisson. Selon le Code de l’environnement, le Conservatoire ne pourrait s’en séparer qu’à l’autorisation expresse du Conseil d’État. La prairie dunaire est encore une zone #Natura_2000 et, à l’automne 2021, elle a reçu le #label_Ramsar (de la convention internationale du même nom). « Certes, il s’agit d’une protection essentiellement symbolique, reconnaît Benjamin Buisson, Mais il n’existe qu’une cinquantaine de #zones_humides labellisées Ramsar en France, c’est dire leur importance et la valeur morale qui s’y attache. » Depuis deux ans, les élus locaux préparent même la transformation en parc naturel régional. Extraire du lithium à Tréguennec impliquerait donc de surmonter tous ces obstacles administratifs, symboliques… et sociaux.

    Car les gens d’ici sont férocement attachés à leur terre. Le 26 février 2022, quelque 600 personnes ont ainsi convergé vers Tréguennec. Dans la cour de l’ancienne école publique, on croise alors des pancartes « Pas touche à nos dunes » ou « Tréguennec n’est pas à vendre » et, dans la foule rassemblée, on ressort les mythiques anecdotes de la #résistance de Plogoff, à la fin des années 1970. À l’époque, l’État français prévoit de construire une centrale nucléaire dans cette commune à une trentaine de kilomètres de Tréguennec (dont les terres avaient été un temps considérées par EDF). Mais en juin 1978, les Plogoffites bloquent l’accès au site. Deux ans plus tard, ce sont des dizaines de milliers de manifestants qui déferlent et affrontent la police. En 1981, le projet est finalement abandonné. La résistance de Plogoff devient mythique. La documentariste Nicole Le Garrec (sans lien avec Stéphane Le Garrec) se souvient : « Il y avait une détermination sans faille, qui a rassemblé toutes les classes sociales – des agriculteurs, des marins, des anciens militaires, pourtant peu prompts à la rébellion… Les femmes surtout ont formé le cœur de cette cette résistance. »

    Le 26 février 2022, Nicole Le Garrec et son mari Félix sont allés manifester sans hésiter. Respectivement âgés de 80 et 90 ans, les deux documentaristes n’imaginaient pas se relancer dans la #lutte. « Mais quand nous avons appris qu’il y avait du lithium à Tréguennec, la question ne s’est pas posée », déclare Nicole. Elle raconte d’une voix douce et grave cette baie d’Audierne où ils ont vécu toute leur vie. « Je me rappelle encore l’époque où les vagues se brisaient sur l’Ero Vili. On entendait le roulement des galets à des kilomètres, comme un énorme grondement ! » Aujourd’hui, on ne l’entend plus, mais la beauté reste. « Nous pensions ce lieu magique à l’abri des appétits de l’industrie. Alors d’imaginer que l’on puisse le ravager, mon cœur s’est soulevé. »

    Pourtant, d’appétit de l’industrie… il n’y a pas pour l’heure : la mobilisation citoyenne a eu lieu avant même qu’un hypothétique projet de mine de lithium n’ait été évoqué – à ce jour, il n’y en a toujours aucun. Mais la secrétaire d’État à la Biodiversité, #Bérangère_Abba, a elle-même attisé les craintes le 9 février 2022, quand elle est venue contempler le paysage qui avait reçu quelques mois plus tôt le label Ramsar. « C’est un site exceptionnel mais les besoins sont importants, la pression géostratégique est forte sur ce type de #métaux. Il faut mesurer plus précisément avec des scientifiques l’ampleur de ce gisement. » La course à l’or blanc est mondiale et la France est sur la ligne de départ dans l’Allier. Pourquoi pas dans le Finistère ?

    « Le lithium n’est pas véritablement un métal “rare”, explique Guillaume Pitron, journaliste et chercheur associé à l’Institut de relations internationales et stratégiques (Iris). D’un point de vue strictement théorique, les ressources en lithium ne manquent pas. Mais la question ne se pose pas uniquement en termes de réserves disponibles mais également de réserves exploitables. Du lithium, il y en a au fond des océans ou dans d’autres zones écologiquement sensibles. Mais l’impact de son extraction serait tel que celle-ci en devient écologiquement inacceptable. Une telle extraction a donc un coût – social, politique – auquel entreprises et gouvernants ne veulent pas se confronter. »

    « Il y a des choses auxquelles il ne faut pas toucher », assène Nicole Le Garrec, en écho. Mais le monde fait alors face à un dilemme. Car les prévisions de croissance des besoins en lithium sont telles que les ressources actuellement exploitées pourraient bien ne pas suffire. Si la production mondiale a dépassé les 100 000 tonnes en 2021, elle devrait être multipliée par huit en 2040 pour répondre aux besoins annuels des seuls véhicules électriques, selon l’Agence internationale de l’#énergie. 800 000 tonnes par an, extraites de réserves mondiales prouvées de 22 millions de tonnes. La ruée vers l’or blanc prend des allures de course vers l’abîme.

    « Les prévisions de consommation annuelle de lithium ne sont pas tenables », tranche Judith Pigneur. Pour la docteure en génie industriel et spécialiste de l’extraction minière de l’association #négaWatt, une telle augmentation de la production mondiale est un danger. « Dans l’industrie, plus on va vite, plus les risques sanitaires et environnementaux sont importants », dit-elle (lire l’épisode 2, « Lithium dans l’Allier : les dés sont-ils pipés ? » : https://lesjours.fr/obsessions/lithium-france/ep2-mines-pollution). Mais au-delà, se pose la question de ce que nous sommes prêts à sacrifier pour accéder à cette précieuse ressource. Car à l’heure actuelle, le #recyclage du lithium n’est pas encore déployé : « La production massive n’en est qu’au début et nous ne pourrions pas recycler assez vite pour répondre aux besoins mondiaux tels qu’ils sont anticipés. » Reste donc la tentation d’extraire toujours plus, dans des zones potentiellement sensibles. « En comptabilisant les projets passés, actuels et futurs, 6,7 millions de km2 de la surface terrestre sont impactés par l’industrie minière, dont 8 % dans des aires protégées. L’accélération de la consommation annuelle de ressources comme le lithium constitue un péril majeur, dont les impacts sur la biodiversité pourraient dépasser ceux évités par l’atténuation du changement climatique », assure Judith Pigneur, s’appuyant sur une étude parue dans la revue Nature en 2020.

    « Il ne s’agit pas pour autant de remettre en question la transition énergétique et de continuer comme avant, mais il faut fixer des lignes rouges à ne pas dépasser, comme le respect des zones protégées », poursuit l’experte. Et pour cela, freiner l’augmentation de la consommation du précieux métal : « Nous ne pouvons penser la transition énergétique sans questionner nos usages et penser des mesures de #sobriété. Penser un futur parc automobile électrique réduit, en autopartage, construire de petites voitures avec des batteries moins importantes… » Dans le cas français, de telles mesures permettraient de limiter cette consommation exponentielle de lithium à 128 000 tonnes entre 2020 et 2050 au lieu de 340 000 tonnes, d’après les études de négaWatt.

    Guillaume Pitron, lui, cite volontiers Albert Einstein : « On ne résout pas un problème avec le mode de pensée qui l’a engendré. » Pour le journaliste, la transition énergétique n’aura de sens « que si elle nous invite à profondément changer la façon dont nous consommons le monde ». « Mais cela implique des changements organisationnels, politiques et des bouleversements intimes immenses, soupire-t-il. Je voudrais croire que si les mines se trouvaient sous nos fenêtres nous aurions tout à coup conscience de l’impact réel de nos modes de consommation. Mais c’est un vœu pieux. »

    À Tréguennec, un an après l’article du Télégramme, le lithium est toujours à 130 mètres sous terre, il n’occupe plus les conversations. Mais la méfiance demeure. Sur les bords de la carrière de Prat-ar-C’Hastel, les habitants ont planté un arbre à la mémoire de Stéphane Le Garrec, décédé dans un accident de voiture l’hiver dernier. À son pied, quelqu’un a déposé une ardoise, avec ce message : « Restons vigilants ».

    https://lesjours.fr/obsessions/lithium-france/ep3-treguennec-bretagne
    #lithium #extractivisme #Bretagne #voitures_électriques

  • Pour une réappropriation féministe de la mort : l’expérience de la coopérative funéraire de Rennes - Lisbeth/Sarah Andres
    https://lisbethmedia.com/pour-une-reappropriation-feministe-de-la-mort-lexperience-de-la-cooper

    Dans une société traversée par des systèmes de domination, certaines morts valent plus que d’autres. Quand des journalistes s’autorisent à pleurer un pape, d’autres sont rappelés à l’ordre pour avoir exprimé leur peine face aux victimes de violences policières. Le devoir de « neutralité » sert surtout à imposer un récit, dans les médias mais aussi à l’école. Le 31 mars dernier, une professeure de lycée à Sens a été suspendue pour avoir proposé une minute de silence en hommage aux victimes de Gaza. Parce que la mort est politique, et qu’elle est aussi un espace de soin, de lutte et de mémoire, rencontre avec la coopérative funéraire de Rennes.

    https://numelyo.bm-lyon.fr/f_view/BML:BML_00GOO0100137001104872200
    Ervoanik Plouillo/L’Ankou de Ploumilliau , carte postale des Éditions d’Art Jos Le Doaré – Tous droits réservés- Collection du Musée de Bretagne, #Rennes.


    #Bretagne #Ankou #rites_funéraires #coop_funéraire

    • Comment accepter le risque sans se précipiter vers le danger, comprendre le monde sans être paralysé par le savoir, naviguer dans l’incertain sans s’aveugler de chimères ?

      Avec Catherine Van Offelen, essayiste

      « Celui qui attend que tout danger soit écarté pour mettre les voiles ne prendra jamais la mer », disait Thomas Fuller il y a presque quatre siècles, sans doute avec juste raison. Mais nous n’en sommes plus là : au terme d’une longue histoire, nous sommes devenus hypersensibles aux risques, voire quasiment allergiques.

      La notion de risque présuppose d’avoir identifié la probabilité de dommages par essence négatifs. Elle est apparue dans l’esprit collectif lors de l’émergence de la société industrielle. La loi de 1898 qui instaurait la « responsabilité sans faute » à propos des accidents du travail a en quelque sorte officialisé l’entrée de notre monde dans l’ère du risque. Mais depuis lors, la sensibilité aux risques a éminemment varié, au point de s’inverser : longtemps perçu comme le prix à payer pour faire advenir le mieux, il est finalement devenu le symptôme d’un dérèglement général à corriger, voire comme l’annonce tangible des apocalypses futures.

    • #éthique #virtù #phronesis (en EN. ’practical wisdom’)

      https://plato.stanford.edu/entries/ethics-virtue/#PracWisd

      –-----------------

      https://fr.wikipedia.org/wiki/Phronesis

      [...]

      La définition aristotélicienne rattachée à l’éthique est celle-ci [7] : « La phronésis est une disposition pratique, une manière d’être habituelle (en grec : ἕξις πρακτική / héxis praktikḗ), accompagnée de règle vraie (orthos logos), capable d’agir dans la sphère de ce qui est bon ou mauvais pour l’être humain »[8]. Ramenée à sa signification courante, c’est-à-dire au sens que ce mot avait avant Platon, elle devient « la pénétration éthique », élément parmi beaucoup d’autres dans l’analyse du caractère moral[5]. Aristote prive donc ce mot de toute la signification théorique qu’il avait chez Platon, et distingue son domaine de celui de la σοφία / sophía et du νοῦς / noûs[9]. En abandonnant la théorie des Idées, Aristote distingua nettement la #métaphysique et l’ éthique, parce qu’il découvrit les racines psychologiques de l’action et de l’évaluation morale dans le caractère (ἦθος / êthos). Le résultat a été la distinction féconde entre raison théorique et raison pratique, restées liées et confondues dans la phronésis selon Platon [6].

      La φρόνησις / phrónēsis selon Aristote est donc la vertu (arété) de la faculté d’opiner de l’âme, qui se distingue de la faculté de raison[10]. Ceci parce que la faculté d’opiner, comme la prudence, a rapport au contingent, c’est-à-dire à la sphère des actions humaines, et non au nécessaire ou à l’universel. Il ne s’agit pas de spéculation mais de délibération de l’eudémonisme pour le choix de ce qui est moralement désirable et de la saisie prudente de son propre avantage. Cette phronésis est une « vertu pratique », c’est-à-dire qui a rapport à la praxis, à l’action, par opposition à la poïesis (fabrication), c’est-à-dire aux arts ou à la production technique (technè).

      [...]

  • Je tourne le dos 3 jours, bing 2 morts. Tous les deux à 82 ans Brian Wilson (sniff) et Sly Stone (gros sniff) hommage de #FIP avec une superbe programmation autour de l’univers musical de ce dernier.
    https://www.radiofrance.fr/fip/podcasts/club-jazzafip/hommage-a-sly-stone-la-legende-du-funk-1618557
    Une sélection signé M. Portier-Kaltenbach et C. Charles et pioché dans la caverne d’Ali-Baba qu’est la discothèque de la maison de la radio.
    https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/12250-10.06.2025-ITEMA_24163455-2025Y19087S0161-NET_MFP_B
    https://www.radiofrance.fr/fip/sly-stone-prodige-du-groove-est-mort-6443769
    Sly Lives ! documentaire de Questlove le batteur des Roots i nvite dans son documentaire des artistes comme André 3000, Chaka Khan, Q-Tip, Nile Rodgers, Clive Davis ainsi que des membres du groupe Sly & The Family Stone à témoigner de la créativité novatrice et de l’héritage du prodige dont la carrière a été trop tôt écrasée par ses addictions.
    https://www.radiofrance.fr/fip/questlove-celebre-sly-stone-dans-un-documentaire-9247184
    The first family
    https://slyandthefamilystone.bandcamp.com/track/i-gotta-go-now-out-on-the-floor-funky-broadway

  • Gouvernement Bayrou : plus de la moitié des ministres sont millionnaires, selon leur déclaration de patrimoine
    https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2025/06/12/gouvernement-bayrou-plus-de-la-moitie-des-ministres-sont-millionnaires-selon

    La tendance ne fait que s’accentuer depuis 2017 : sous la présidence d’Emmanuel Macron, les ministres sont de plus en plus riches. Le gouvernement actuel compte 22 millionnaires sur 36 membres, d’après leurs déclarations d’intérêts et de patrimoine, rendues publiques, mardi 10 juin, par la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP). Par comparaison, en 2022, 19 millionnaires figuraient dans le gouvernement d’Elisabeth Borne, qui comptait quatre membres supplémentaires.

    Les ministres de François Bayrou se placent quasiment tous parmi les 5 % des Français avec les revenus les plus importants, selon les données de la World Inequality Database.

    https://archive.ph/wiFfm

    Pour et par les #riches.
    #propriétaires de l’entreprise France.

  • #los_angeles. Rivolta contro le #deportazioni
    https://radioblackout.org/2025/06/los-angeles-rivolta-contro-le-deportazioni

    È cominciata venerdì scorso la ribellione contro le deportazioni di massa volute dall’amministrazione Trump. I militari hanno effettuato rastrellamenti nelle strade, nei supermercati e nelle fabbriche della metropoli più ispanica degli States. La risposta poliziesca alle proteste è stata molto violenta con impiego massiccio di proiettili di gomma e lacrimogeni. Almeno 56 persone sono state […]

    #L'informazione_di_Blackout #rivolta_a_los_angeles #Stati_Uniti
    https://cdn.radioblackout.org/wp-content/uploads/2025/06/2025-0-09-rivolta-los-ang-mazzonis.mp3

  • Les castors, entre surprises et promesses
    https://metropolitiques.eu/Les-castors-entre-surprises-et-promesses.html

    Les castors ont précédé Homo sapiens et façonné les milieux naturels des rivières et des vallées dans la longue durée. Pour peu que l’on accepte de cohabiter avec eux, ils pourraient devenir de précieux alliés face aux destructions écologiques. Faiseurs des mondes préhistoriques Le #castor d’Europe (Castor fiber) est l’une des deux espèces de castor qui existent actuellement sur Terre, la seconde étant celle du Canada (Castor canadensis). Depuis plusieurs millions d’années, ils ont façonné en profondeur #Terrains

    / #animaux, castor, #voisinage, biodiversité, #rivière, #écologie, #cohabitation

    #biodiversité
    https://metropolitiques.eu/IMG/pdf/met-luglia.pdf

  • #Keir_Starmer can’t stop the migrant boats either

    Small boat crossings seem as intractable for Labour as they were for the Tories.

    Keir Starmer promised voters he would “smash the gangs.” It’s proving easier said than done.

    Less than a year after Conservative Prime Minister Rishi Sunak went down in flames amid a failed promise to “#stop_the_boats,” his Labour successor is grappling with the same highly-visible sign of Britain’s struggle to control its borders.

    The early signs aren’t promising.

    More than 1,100 migrants crossed the English Channel this Saturday, official data show, the highest number recorded in a single day so far in 2025. It brings the provisional total of people making the perilous journey so far this year to 14,811.

    Responding to the numbers, Home Secretary Yvette Cooper has been reaching for some familiar scapegoats: France — and the weather.

    Cooper urged swifter action from French authorities after images of police apparently watching people set off for England without intervening were splashed across British newspapers.

    The Home Office has also made great play of unseasonably good weather, publishing an analysis Tuesday linking it to the increased arrivals.

    It said 60 days this year up to May had been classed as “red days” — labeled as such by the authorities because Channel crossings are more likely due to good weather — compared with just 27 in the same period last year.

    Acknowledging voter anger about the crossings, Starmer insisted the government is “ramping up our efforts to smash the people smuggling gangs at source,” pointing to seized boats and engines, raids on illegal workers, and deportations of people deemed ineligible for asylum.

    But the vanquished Conservatives find themselves enjoying a rare moment of schadenfreude.

    “No one revels in massive numbers of illegal immigrants flooding into the country, but they have done a terrible job,” Shadow Home Secretary Chris Philp said. “Their claim to smash the gangs is in complete tatters.”

    He said Tuesday: “Blaming the weather for the highest ever crossing numbers so far this year is the border security equivalent of a lazy student claiming ‘the dog ate my homework.’”
    Regrets, I have a few

    With right-wing insurgent Nigel Farage snapping at his heels, Starmer may well be contemplating the fate of Tory predecessor Sunak.

    Sunak has since conceded that his embrace of the “stop the boats” slogan — emblazoned on the Downing Street lectern at press conferences and adorning Tory campaign literature — was a mistake. He has conceded that the language was “too stark … too binary.”

    Starmer has similarly made big promises about “restoring order” to the asylum system, deploying his own three-word slogan: “Smash the gangs.”

    Yet there are signs of increased confidence among people smugglers. New data show that boats are arriving in the U.K. more packed with people than ever. Some 33 small boats carrying more than 80 people each arrived in the U.K. last year, compared to just one in the year to April 2023.

    Like Sunak, Starmer is grappling with multiple factors that appear beyond his control — as was starkly illustrated by that syndicated picture of French police watching boatloads of migrants depart.

    Cooper has flourished the new agreements she has reached with French authorities, heralding a new multimillion-pound plan when she became the first home secretary to visit Northern France in almost five years.

    But those making the crossings appear to be exploiting French rules that prevent police from stepping in when they are already in the water.

    The French interior ministry has promised to free police to operate in shallow waters, with its General Secretariat for the Sea having been asked to formulate a proposal by the summer. Cooper told MPs on Monday she is urging France to complete its maritime review of operational tactics and to implement changes “as swiftly as possible.”
    ‘Not acceptable’

    Starmer’s own MPs, many of whom are facing the threat of Nigel Farage’s anti-immigration Reform UK party, are giving ministers the benefit of the doubt — for now.

    Mike Tapp, the Labour MP for the coastal town of Dover, said the numbers were “not acceptable,” but insisted his party’s approach is the right one.

    “We’ve put a lot of effort into fixing what’s going on behind the scenes,” he said. Border security needs to be a “top priority,” he added. While describing the threat from Reform UK as multifaceted, he said the issue of illegal migration is “toxic.”

    A second Labour MP, granted anonymity to speak candidly, wants to see more movement on deterrence.

    “Serious action needs to be taken to activate third country return hubs, and I would argue an updated approach to the [European Convention on Human Rights] needs to be taken,” the MP said.

    Starmer used a trip to Albania last month to say he wants to send refused asylum seekers to return hubs. But the challenge of setting up such schemes was starkly illustrated when the Balkan country ruled out participating in any U.K. plan.

    The government has set out plans to tighten the application of Article 8 of the ECHR, which protects the right to family life and is sometimes invoked by people seeking to remain in the U.K. in immigration cases.

    It also happens to have been a longstanding bugbear of the Conservatives.

    https://www.politico.eu/article/keir-starmer-labour-small-boat-crossings-borders-migration-security-english

    #Manche #traversées #frontières #migrations #migrations #réfugiés #UK #Angleterre #France #smash_the_gangs #dissuasion #Rishi_Sunak #red_days #météo

    • ‘Smash the gangs’: is Labour’s migration policy just a #slogan?

      The UK government is desperate to show it is preventing small boat crossings, but its PR-heavy approach may cause more problems with voters than it solves

      At 5.30am on Tuesday, six immigration enforcement officers and a BBC TV crew gathered in a deserted B&Q car park near Sheffield’s railway station, waiting in the rain for a call from London that would trigger simultaneous arrests of suspected people smugglers in six towns.

      Forty minutes later, the Home Office staff drove in convoy to a nearby residential block (followed by the BBC and the Guardian), made their way up the stairs carrying a red battering ram, ready to smash the suspect’s door down. The equipment wasn’t needed, because the man, barefoot in his checked pyjamas, opened the door and let the team inside. He was given a few moments to get dressed, before being taken silently in handcuffs to the van outside, sweat running down his face.

      Footage of the wider operation was broadcast that night on the BBC and also ITV News at 10, with the security minister, Dan Jarvis, in Cheltenham, wearing a black immigration enforcement stab vest, observing another of the six linked arrests.

      Keir Starmer posted photographs of the raids on X, tersely announcing: “When I said we would smash the people smuggling gangs, I meant it.”

      It was a useful bit of positive messaging, carefully facilitated by the Home Office press office, in a week when ministers have been confronted with uncomfortable evidence that their efforts to prevent the arrival of small boats are flailing just as spectacularly as those of the last government.

      Last Saturday 1,195 people arrived in the UK on 18 small boats, the highest number of arrivals this year, bringing the provisional total for 2025 to 14,811; 42% higher than the same point last year (10,448) and 95% up from the same point in 2023 (7,610). The defence secretary, John Healey, said Britain had “lost control of its borders over the last five years”.

      The Home Office tried to explain the rising numbers by releasing figures showing that the number of “red days” – when weather conditions are favourable for small boats crossings – peaked in 2024-25.

      Conservative opposition MPs accused the government of “blaming the weather”. “Public opinion won’t put up with this,” the Reform UK party leader, Nigel Farage, told GB News, urging the government again to declare a national emergency on illegal immigration.

      With Reform’s popularity ratings surging, the government is under enormous political pressure to show that its much-advertised “smash the gangs” policy is beginning to work. Last week’s raids were flagged as an anti-gangs success, but they turned out to be entirely unconnected to people smuggling in small boats. The six people who were arrested on suspicion of facilitating illegal entry are believed to have helped at least 200 Botswana nationals to travel to the UK by plane on tourist visas, and to have assisted them with false documentation on arrival to claim asylum or to get work in care homes.

      The criminal and financial investigation unit of the Home Office’s immigration enforcement team said this was one of the department’s top 10 immigration investigations, ranked by potential financial gain, number of people involved and risk of harm to victims exploited by the gang.

      Reminding the home secretary that small boat crossings were “one of the biggest challenges your department faces”, the Labour MP Chris Murray asked Yvette Cooper at a home affairs select committee hearing: “Can you tell us how many gangs you’ve smashed so far?”

      The home secretary gave some details about the arrests that morning, prompting Murray to respond with enthusiasm: “When I asked that question, I did not expect you to say you had smashed a gang today!”

      In its manifesto, Labour made it clear that the policy of launching a new border security command with hundreds of new specialist investigators using counter-terror powers was designed to “smash criminal boat gangs”.

      The arrests may have represented a significant development for Home Office staff trying to crack down on the exploitation of vulnerable people trafficked into the UK and criminalised by being forced to work illegally, but packaging this as a major breakthrough in the smash the gangs drive has prompted some raised eyebrows.

      One former Home Office official described taking TV cameras to these arrests as a sleight of hand, a PR exercise designed to detract attention from a small boats policy that he said had so far been a “damp squib”.

      Peter Walsh, a senior researcher with the migration observatory at Oxford University, said the government should be given some leeway because the border security, asylum and immigration bill, which will bring in the much-trailed counter-terror style powers to help identify and control smuggling gangs, has not yet been passed. “Overall it’s too early to evaluate their ‘smash the gangs’ policy, because the main legislative developments are in that bill,” he said. “But it would be difficult to describe whatever has been done operationally so far to disrupt smuggling networks as a success, because the numbers [of small boats] have gone up.”

      Starmer’s catchy “smash the gangs” slogan risks becoming almost as much of a millstone as his predecessor Rishi Sunak’s commitment to “stop the boats”. Sunak’s pledge was described as impossible to achieve the moment he announced it, but he continued to put out videos repeating his promise, and gave immigration control speeches standing behind a lectern with a “stop the boats” logo.

      Labour may eventually be able to show some progress on dismantling organised people smuggling operations by citing rising arrest figures. The Home Office press office said that, from July to November 2024, its immigration enforcement teams have convicted 53 people smugglers, including 23 individuals for piloting small boats, leading to more than 52 years in sentences. But Walsh questioned whether these arrests would have a discernible impact on the number of people crossing the Channel in small boats.

      “It doesn’t require substantial investment in training and skills to have a functional smuggler on the ground, getting boats into the water in Calais, getting people into boats. But it takes a lot of resources to investigate them and bring them to justice. One of the major challenges is that lower-level smugglers can quickly be replaced,” Walsh said, pointing, as a comparison, to the speed with which gangs dealing drugs hire new recruits to replace those arrested.

      “Smuggling networks are adaptable. They’re increasingly well financed and decentralised. Senior figures operate in countries like Afghanistan, where we have minimal or no law enforcement cooperation.”

      Campaigners for an overhaul of the asylum system have been dismayed by Labour’s resolutely tough rhetoric on those crossing the Channel illegally, which often fails to acknowledge that many arrivals are coming from war-torn nations such as Afghanistan, Syria, and Eritrea. This week, a research paper published by Border Criminologies and the Centre for Criminology at the University of Oxford found that hundreds of those imprisoned for arriving in the UK on small boats since 2022 were refugees and victims of trafficking and torture, in breach of international law. It said at least 17 children had been arrested and charged with “facilitation”, for having their hand on the tiller of a dinghy.

      Enver Solomon, the chief executive of the Refugee Council, said the government should “dial down the rhetoric”, and adopt a quieter multi-pronged approach, cooperating more deeply with France and other European countries, undermining the business model of the gangs by creating safe and legal routes for people to apply for asylum in the UK.

      “The more you make announcements on a week-by-week basis, the more you give the impression to the public that you’re going to fix the problem very quickly, so you end up falling into the trap of damaging trust because you’re overpromising and underdelivering,” he said.

      It is a message that Starmer’s comms team has yet to learn. In a second tweet on the subject of smashing the gangs in the space of 24 hours this week, the prime minister announced: “My government is ramping up our efforts to smash the gangs at their source.” Attached was a video montage of boats, barbed wire, police vans and men being arrested, overlaid with the words (in emphatic capitals) “OUR PLAN IS WORKING”.

      https://www.theguardian.com/news/ng-interactive/2025/jun/08/smash-the-gangs-labour-migration-policy-slogan