• La dépendance aux drogues à l’âge libéral
    http://www.laviedesidees.fr/La-dependance-aux-drogues-a-l-age.html

    La répression des toxicomanies au nom de l’ordre et de la santé publique contredit les principes libéraux de liberté individuelle et d’accroissement de l’offre ; elle se voit à son tour contredite par les conséquences psychiques, physiques et criminelles de la clandestinité qu’elle implique. Il convient donc de réapprécier les risques et les responsabilités.

    Essais & débats

    / #drogue, #droit, #individualisme, #libéralisme, liberté, #risque, santé

    #Essais_&_débats #liberté #santé

  • Turkey’s quake-readiness no better than before 1999
    http://www.todayszaman.com/business_turkeys-quake-readiness-no-better-than-before-1999_355958.html

    Although 15 years have passed since a devastating earthquake hit the Marmara region in 1999, Turkey has taken insufficient measures since then and is leaving the country vulnerable to another major quake.

    The magnitude 7.4 earthquake left at least 18,000 people dead and many others disabled when it hit the Marmara region on Aug. 17, 1999. Fifteen years later, Turkey is wondering when the area will be hit by another one, with many expressing concerns about the readiness of the country’s most populous city, İstanbul, for a big quake.

    Recent media reports said half of the 480 empty plots that were allocated for people to gather in and set up tents following quakes or other natural disasters in İstanbul in 2001, in line with the İstanbul Metropolitan Municipality’s Emergency Action Plan, were opened up to construction. Residential units or shopping malls have been constructed in 240 of these empty plots since then.

    #risques_urbains
    #gestion_urbaine
    #tremblement de terre
    #rénovation urbaine
    #Istanbul

  • #Transport de #matières_radioactives : l’#information du #public en question
    http://www.actu-environnement.com/ae/news/ASN-transports-substances-radioactives-22448.php4

    Dès lors, la Criirad se pose la question de la nécessité de ces transports à hauts risques. « Sont-ils tous indispensables ? », s’interroge l’ingénieur. Les transports de substances radioactives liés au secteur de la santé s’élèvent à 26% des transports recensés. Ce « nombre élevé de transports (…) correspond principalement aux produits radiopharmaceutiques livrés très régulièrement aux hôpitaux, compte tenu de leur courte période radioactive », commente l’ASN. S’il est pour l’instant difficile de limiter les allées et venues dans le domaine médical, quid de l’industrie nucléaire ?

    Certaines zones du territoire français sont « des points de convergence du cycle du combustible », pointe Julien Syren en citant la vallée du Rhône. Pierrelatte (Drôme), Romans-sur-Isère (Drôme), Malvési (Aude) et, surtout, La Hague (Manche), premier centre mondial de recyclage de combustible usé, comptent parmi ces points névralgiques, énumère Julien Syren. Ainsi, le rapport de l’ASN chiffre à « une centaine » les transports de plutonium sous forme d’oxyde entre l’usine de retraitement de La Hague et l’usine de production du combustible de Melox, située dans le Gard.

    #opacité des #risques

  • Jean GADREY » Blog Archive » Etats-Unis : croissance zéro des salaires réels… depuis 35 ans !
    http://alternatives-economiques.fr/blogs/gadrey/2014/07/09/etats-unis-croissance-zero-des-salaires-reels%e2%80%a6-depu

    Le pays de la libre entreprise, de la valeur travail, de l’initiative individuelle, du capitalisme triomphant et dominateur, la nation phare des « élites » occidentales qui y voient un « modèle de croissance », est parvenu à ce que le pouvoir d’achat du salaire médian (et comme on va le voir de la grande majorité des salaires) soit exactement le même au début de 2014 qu’au début de 1979. Champions les Ricains, championne leur oligarchie !

    http://alternatives-economiques.fr/blogs/gadrey/2014/07/11/etats-unis-suite-45-ans-de-declin-du-salaire-minimum-reel-c

    Deuxième épisode de cette série « Yes, they can ». Dans mon billet précédent, nous avons constaté la stagnation de la majorité des salaires réels aux Etats-Unis depuis 35 ans. Or il existe aux Etats-Unis (depuis le Fair Labor Standards Act de 1938, signé par Franklin Roosevelt en même temps qu’un paquet de 121 lois), un salaire (HORAIRE) minimum fédéral. Ce SMF a-t-il suivi la tendance presque générale à la stagnation depuis 35 ans ? Pas du tout. Il a décliné depuis 45 ans, et pas qu’un peu.

    http://alternatives-economiques.fr/blogs/gadrey/2014/07/12/etats-unis-3-la-crise-n%E2%80%99est-pas-finie-elle-est-a-ve

    En relation avec ce qui précède, les ménages (ceux des « classes moyennes » surtout) ont recommencé à s’endetter depuis 2013, après avoir réduit leur taux d’endettement après 2008. La séquence ayant précédé 2008 se reproduit : selon les chercheurs du Levy Institute de New York (le Guardian, 15 juin 2014), un « tsunami de dettes » (dettes privées des ménages et des entreprises plus encore que dette publique) se préparerait, boosté par les inégalités et la baisse des salaires réels. Cet endettement privé conforte certes la demande et la croissance à court terme, mais c’est recréer ce que ce même institut considère comme une relation à hauts risques entre la dette croissante des 90 % et les gains démesurés des 10 %. Cela ne vous rappelle rien ?

    #États-Unis #risques_systémiques #banksters

  • Attention danger : les banques sous-estiment sciemment leurs risques (Ph. Herlin) | Olivier Demeulenaere – Regards sur l’économie
    http://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2014/07/11/attention-danger-les-banques-sous-estiment-sciemment-

    "Il ne faudrait plus s’inquiéter pour nos économies, nous expliquent les banques, la crise est passée et les ratios de solvabilité se sont nettement améliorés. Les banques se plaisent en effet à souligner que les risques sont sous contrôle, que leur matelas de liquidité s’avère suffisant.

    Le problème est que cette réduction des risques ne provient pas uniquement d’un comportement plus vertueux, mais également en partie de dissimulations. En effet, « Selon certains analystes, les banques auraient révisé leurs modèles de risque de façon à abaisser leurs niveaux de fonds propres requis, en sous-estimant le risque et en présentant une valorisation optimiste des actifs. » Et où lit-on cela ? Dans une obscure publication complotiste ? Pas du tout, et bien au contraire puisqu’il s’agit de rien de moins que du 84e rapport annuel de la Banque des règlements internationaux (BRI), « la banque centrale des banques centrales », notamment chargée d’édicter les normes prudentielles des banques commerciales dans le monde (Bâle III).

    Le rapport précise d’ailleurs, juste après, que « ce phénomène est peut-être l’une des causes de la décote persistante sur le cours des actions des banques par rapport à la valeur comptable de leurs fonds propres. Cette préoccupation a été exacerbée par le constat que les pondérations de risque pour des actifs similaires variaient considérablement d’une banque à l’autre » (page 120). Les investisseurs et les marchés ne croient pas vraiment à une claire amélioration de la situation des banques, et ils délaissent les actions de ce secteur........

    #économie
    #banques
    #banksters
    #risques
    #crise
    #ratios_de_solvabilité
    #BRI (84e rapport annuel de la Banque des règlements internationaux)
    #Bâle_III ( normes prudentielles des banques commerciales dans le monde)

  • Edito spécial du Mercredi 8 Avril 2014 : La victoire à la Pyrrhus des Etats-Unis sur BNP-Paribas Par Bruno Bertez | Le blog A Lupus un regard hagard sur Lécocomics et ses finances
    http://leblogalupus.com/2014/07/09/edito-special-du-mercredi-8-avril-2014-la-victoire-a-la-pyrrhus-des-et
    https://pbs.twimg.com/media/BsBmLIzIAAAx8n9.jpg:large

    L’Eurogroupe envisage « de réfléchir sur les moyens d’accroître la place de la monnaie européenne dans le commerce international ». C’est une des conséquences de l’affaire dite BNP-Paribas. D’autres banques sont concernées, on parle du Crédit Agricole et de Deutsche Bank entre autres. Nous dirons, il était temps, et nous ajouterons, il est trop tard. Il aura fallu quinze ans pour que les incapables qui gouvernent l’Europe se rendent compte qu’il est nécessaire de promouvoir la devise européenne dans les échanges internationaux ! Et dire qu’il a été crée avec la propagande mensongère : « Nous allons faire concurrence au dollar » !

    https://pbs.twimg.com/media/BriVnfgCYAAkzK1.jpg:large

    ..... Ainsi, les excédents des Chinois, des Russes, des Emergents, et des Pays Producteurs de Pétrole sont utilisés pour acheter des actifs financiers américains, -des promesses-, ce qui en quelque sorte stabilise le système. Grâce à ce recyclage, les Etats-Unis bénéficient d’un pouvoir d’achat supérieur à celui dont ils disposeraient s’ils devaient régler leurs déficits par des exportations, ou par de l’or, ou par toute autre marchandise ou service réels. Les Américains bénéficient de ce que l’on appelle l’excès d’épargne mondiale, le fameux « saving glut » théorisé par Greenspan, puis Bernanke. Ceci a été désigné par des nombreux économistes sous le nom de BWII, Bretton Woods II. C’est le fameux paradoxe de Jacques Rueff qui, en son temps, énonçait : les Etats-Unis sont un joueur de billes qui perd ses billes, mais ceux qui gagnent leur rendent afin que le jeu puisse continuer.......

    >>>

    Sur ce dernier point, on sait que la CIA est vigilante et procède à des écoutes et à des simulations pour ne pas être prise au dépourvu. On en a un indice dans l’affaire de Facebook où l’armée a cofinancé une étude sur les comportements émotionnels et leur manipulation. On sait aussi que Google fournit des informations suivies sur le sentiment à l’égard des marchés, ce n’est pas par simple curiosité. Les marchés sont maintenant considérés comme des lieux de stratégie, de possibles champs de bataille, et il faut pouvoir déceler tout ordre ou mouvement nuisible organisé ou non, hostile ou non.

    <<<

    #1984
    #économie
    #finance
    #Changes
    #Devises
    #Etats-Unis
    #Europe
    #Géopolitique
    #Gestion_du_risque
    #Titrisation
    #Produits_Structurés
    #Marché_Obligataire
    #Marchés_Financiers
    #Marchés_Boursiers
    #Actions
    #Mondialisation
    #Risques_géopolitiques
    #Russie

  •  » [Invité] Le cancer des ponts, par Alexis Kalogeropoulos
    http://www.les-crises.fr/le-cancer-des-ponts

    La société américaine des ingénieurs civils, ASCE, prévoit dans son dernier rapport qu’un investissement de 1.7 billions (1 700 milliards) de dollars est nécessaire d’ici 2020 pour maintenir en état de fonctionnement le parc d’infrastructures routières américain. Cette somme représente un peu plus de 10% du PIB des USA.

    Pourquoi une telle somme ? De quoi souffrent ces infrastructures ? Les infrastructures américaines seraient en mauvais état ? Et qu’en est-il des nôtres ? Quelles en sont les conséquences et les perspectives ?

    Un peu d’histoire

    De tous temps et dans toutes nations, les infrastructures routières ont été les artères des sociétés. Elles nous servent à nous déplacer et à transporter nos marchandises. Elles ont des implications dans nos vie quotidienne et dans notre économie, sans même que nous y prêtions attention. Elles sont là, sous la forme de réseaux urbains, autoroutes, ponts et tunnels. Nous connaissons tous l’expression, toutes les routes mènent à Rome ! Car l’empire romain avait construit sa puissance autours de son réseau de routes, permettant sans encombre le déplacement des armées, des biens et des personnes. Au fil du temps, ce réseau s’est étendu et densifié, mais depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale les choses ont changé. Nous avons vécu une mutation majeure de notre réseau routier. Jamais au cours des siècles précédents nous n’avons eu un réseau aussi rapide dense et étendu, avec des marchandises et des hommes se déplaçant chaque jour un peu plus.

    C’est le béton armé qui a permis l’explosion du nombre et de la taille de ces infrastructures. Le béton est un matériau à la fois léger, résistant et peu coûteux ; il est venu remplacer les structures en acier et en pierre de taille qui dominaient le marché de la révolution industrielle. Un premier problème est que le béton peut vieillir vite et mal selon les conditions et que certaines structures construites depuis 1945 peuvent avoir une durée de vie inférieure à 50 ans dans les cas les plus sévères. Les coûts de démolition d’un pont et de reconstruction d’un nouvel ouvrage peuvent aller jusqu’à plusieurs centaines de fois le prix initial de l’ouvrage. Ce qui expose les propriétaires d’ouvrages à des situations financières critiques, au vu des sommes en jeu. La maintenance des infrastructures est la solution la plus économique, et elle est en règle générale à la charge du propriétaire de l’ouvrage, commune, région, ou état Le cancer du béton

    Le second problème est qu’une partie de ces infrastructures est malade, affectée par ce que l’on appelle le « cancer du béton ». Le béton se désagrège localement, mettant à nu des pans entiers de structure laissant voir leurs armatures rouillées, cette maladie est causée par le sel. Le sel provient de deux sources, des sels de dégivrage répandus sur les routes en hiver et de l’eau de mer. Nous ne connaissons pas les chiffres de l’extension de cette maladie du béton, il est cependant certain qu’un grand nombre de structures dans le monde sont contaminées par l’une ou l’autre de ces sources de sel.

    Le béton est un matériel poreux. Il absorbe d’importantes quantités d’eau salée qui migrent dans la structure au fil du temps, par capillarité, comme du café dans un bloc de sucre. Une fois dans les pores du béton le sel n’en ressort plus, il s’accumule au fil des hivers et des embruns. C’est lorsqu’il arrive au niveau des premières armatures, situées à quelques cm en dessous de la surface, que le sel va commencer son travail de sape. La rouille étant plus volumineuse que le fer, elle va faire éclater à force la couverture de béton. Une fois initiée, la corrosion ne s’arrête plus, le béton va alors lentement pourrir de l’intérieur et la structure va s’affaiblir........

    #béton
    #ponts
    #risques

  • Quels #risques #systémiques pour la #Chine ?

    L’#économie #chinoise se rapproche d’une contradiction majeure : freiner les #investissements comme il serait souhaitable de le faire risque de multiplier les #problèmes #sociaux ; mais maintenir le schéma de la #croissance par des investissements expose le pays à un risque financier aux conséquences sociales tout aussi graves [...]

    Une analyse claire et intéressante des enjeux économico-financiers de la Chine de demain, voire d’aujourd’hui en fait !

    http://www.questionchine.net/quels-risques-systemiques-pour-la-chine?artpage=2-2

    Revue de Presse Hebdomadaire sur la Chine du 03/03/2014

  • L’empirisme contre attaque | Le blog du Docteur V.
    http://docteurv.com/2014/02/23/lempirisme-contre-attaque

    Les patients ne comprennent en général rien aux #statistiques, la notion de #risque est quelque chose de largement abstrait. Ils voudraient savoir ce qui va leur arriver à EUX. Et ça, aucun médecin honnête ne peut leur dire dans l’immense majorité des cas. Quand un cardiologue dit à un patient qu’il doit prendre de l’aspirine pour éviter de faire un nouvel infarctus, le patient pense :

    • que s’il arrête l’aspirine, il va faire un infarctus

    • que s’il le prend il ne va plus jamais en faire

    Si vous lui dites : « Il faut traiter 50 personnes pendant 3 ans pour éviter un infarctus. Donc 49 sont traitées pour rien. » Il vous demande : « Mais pour MOI, Docteur ? »

    Et oui, vous avez compris. Le médecin joue au poker à chaque prescription. Il parie que le traitement qu’il vous propose va vous être bénéfique, mais il ne peut JAMAIS savoir les cartes que vous allez tirer.

    Pour #prescrire quelque chose, il faut essayer d’estimer le bénéfice qu’il peut avoir, mais ne jamais oublier le risque même rare que vous lui faites courir. Une #mort subite pour 200 000 traitements, ce n’est pas grand-chose, mais quand c’est pour votre patient, pour lui, c’est 100 %.

    C’est la roulette russe. Vous avez un très gros revolver avec 200 000 trous dans le barillet et une seule balle. Mais elle existe. Le médecin ne doit jamais l’oublier. Et il doit choisir le barillet le plus grand, s’il a le choix.

    #médecine #santé

    • En général, je trouve que nous avons un énorme déficit de pensée. Je veux dire par là que les défis qui nous sont posés maintenant, à une échelle planétaire, dans un cadre démocratique, par une complexité croissante, ne nous permettent plus de faire ce que nous nous autorisons pourtant, à savoir l’économie d’une réelle éducation aux méthodes et aux outils pour penser ces enjeux.

  • BBC News - Iranian warships ’to sail close to US maritime border’

    http://www.bbc.co.uk/news/world-middle-east-26105749

    Iranian warships in the Atlantic Ocean are to sail close to US maritime borders for the first time, a senior naval commander has said.

    Iranian media quoted Adm Afshin Rezayee Haddad as saying the deployment was a response to US vessels in the Gulf.

    The fleet consists of a destroyer and a helicopter-carrying supply ship.

    It began its voyage last month and entered the Atlantic though South African waters, the IRNA news agency quoted the admiral as saying.

    #iran #états-unis #risque_de_troisième_guerre_mondiale et tout ça pour 30 cadets iraniens #paranoïa des américains, présents sur tous les océans de la planète avec une armada capable de détruire la terre en 5 secondes et qui s’affolent pour 30 apprentis militaires qui passent le cap de bonne espérance :) Et ils s’étonnent après qu’on ne les prenne plus au sérieux.

    • Ils s’affolent parce que la flotte approche : ils viennent de franchir le Cap de Bonne-Espérance…

      Parce que sinon, ça fait plus de 15 jours qu’ils ont appareillé et que toutes ces déclarations ont été faites (22/01/2014)

      Persian patrol : Iran sends warships to Atlantics — RT News
      http://rt.com/news/iran-navy-atlantic-patrol-025

      The Iranian Navy is sending a fleet of warships to the Atlantic Ocean. Tehran says the ships will be defending sea routes while providing training for their crews.

      Iran’s 29th fleet includes the destroyer, Sabalan, and helicopter-carrying support ship, Kharg, the state news agency FARS reported. It is to sail 25,000 nautical miles over its three-month long trip.

      On Tuesday, Iranian Navy Commander Rear Admiral Habibollah Sayyari was attending a ceremony in the port city of Bandar Abba in Southern Iran to wish the fleet bon voyage.

      His deputy, Rear Admiral Seyed Mahmoud Moussavi, who was also present, said Iran is sending a message of peace and friendship to other nations by sending its fleet to international waters in the Atlantic.

      Avec les noms des navires :
      • la frégate Sabalan , de la classe Alvand, n° de coque 73) construite en 1969 par les Britanniques sur une évolution des Type 21


      Le Sabalan et le Kharg
      • et son ravitailleur, le Kharg , toujours de construction britannique, ex Swan Hunter en 1977, Kharg depuis 1984

      D’accord, les Iraniens se font un plaisir mâtiné de provocation en claironnant qu’ils défendent la liberté de navigation sur les mers du globe. Mais, en face, ça démarre au quart de tour.

      Et puis, ça doit bien faire rigoler les Russes de reprendre la rhétorique de l’époque où les escales des bâtiments de la glorieuse flotte soviétique étaient l’occasion de célébrer la paix et l’amitié entre les peuples

      Pour mémoire, rappelons qu’il y avait déjà eu des hauts cris il y a tout juste 3 ans quand une flotte de même composition (l’ Alvand , n° de coque 71, tête de classe et, déjà, le Kharg ) et avec le même rôle de croisière école (qu’on pense à notre défunte Jeanne d’Arc ) avait franchi le canal de Suez pour la première fois depuis 1979 et avait été exécuter quelques manœuvres au large de la Syrie. L’illustration de l’article de la BBC (reprise dans toutes les dépêches) date nettement de cette époque…

      Les commentaires de l’époque d’A. Lieberman se démarquaient par leur habituelle modération…

      BBC News - Iran warships sail via Suez Canal amid Israeli concern
      http://www.bbc.co.uk/news/world-middle-east-12533803

      Last week, Israeli Foreign Minister Avigdor Lieberman said: "To my regret, the international community is not showing readiness to deal with the recurring Iranian provocations.

      “The international community must understand that Israel cannot forever ignore these provocations.”

      Et le commentaire du correspondant de la BBC, Jonathan Marcus, pourrait être resservi, un peu adapté pour tenir compte de l’évolution de la situation syrienne et du passage à l’arrière-cour états-unienne.

      The passage of two Iranian naval vessels through the Suez Canal represents yet another clear sign of Tehran’s widening strategic horizons. And for Israel and its main ally - the US - it sends multiple signals.

      It underscores that if a significant number of Western warships can operate in the Gulf - what Iran sees as its maritime backyard, then Iran too can deploy vessels to the Mediterranean - what Nato countries would regard as their maritime backyard.

      The Iranian ships are to be based at a Syrian port, thus solidifying and symbolising the close ties between Damascus and Tehran.

      And coming at a time of significant turmoil in the region, the deployment illustrates that Iran is eager to secure its widening strategic interests. If this annoys the Israelis or the Americans, then so much the better.

  • Either Kanal İstanbul project or İstanbul must be sacrificed
    http://todayszaman.com/newsDetail_getNewsById.action;jsessionid=E8223DB232061A03B757D01FE66966

    Compte-rendu des discussions lors d’une conférence tenue à l’université Bilgi intitulée : « Kanal İstanbul from Legal, Urban, and Ecological Aspects ».

    Une idée de l’ampleur des travaux :

    Professor Görür also has some interesting calculations concerning the excavations that would result from the construction of the canal: “The excavated ground that would be produced from the shortest of the possible Kanal İstanbul routes [Yeniköy-Küçükçekmece] would be of a volume that would require 18 million truckloads to lift and carry away. Even if one had 1,000 trucks a day taking 10 trips apiece, the excavated earth would take five years to clear.”

    La spéculation foncière et immobilière induite par le projet est déjà effective dans les périphéries Nord-Ouest d’Istanbul notamment dans la ville-satellite de Kayasehir de TOKI, appelée à devenir une nouvelle polarité commerciale, économique et résidentielle

    Professor Hürriyet Öğdül of Mimar Sinan University’s department of urban planning believes the theory that Kanal İstanbul is in fact a for-profit project with plots of land obtained through real estate sites. Öğdül asserts that Kanal İstanbul and the third airport project are connected to one another, noting that the connection will begin with the massive amounts of soil excavated from the canal. This earth, he contends, will be used to fill in the wetlands in the spot where the airport is to be built. This, the filling in of wetlands using agricultural soil, will be a global first, he says. He further states that this would go down in history as an enormous natural disaster. One additional truth on which Öğdül shed light during his presentation was that May 31, 2012’s Transformation of Areas at Risk for Disaster Law (number 6306) was certainly brought about in some senses solely for the Kanal İstanbul project.

    #Istanbul
    #Kanal Istanbul
    #aménagements
    #risque
    #environnement
    #immobilier

  • Les enfants ont-ils perdu le droit de se déplacer librement ? (Le Journal de Montréal)
    http://www.journaldemontreal.com/2014/01/20/les-enfants-ont-ils-perdu-le-droit-de-se-deplacer-librement

    En 1926, un enfant de huit ans pouvait marcher près de 10 km pour aller pêcher, sans la surveillance d’un adulte. De nos jours, un enfant du même âge peut à peine s’éloigner seul à plus de 300 mètres de sa maison. Ce phénomène menacerait leur santé mentale, affirme un médecin britannique.

    #enfants #déplacement #risques

    • Marrant, je m’en faisais la réflexion, toujours dans le cadre de ma révolte contre la confiscation des espaces publics de déambulation au profit du tout-voiture.
      Quand j’étais gosse, j’avais une bande de potes du quartier avec lesquels j’étais dehors jusqu’à assez tard dans la soirée, surtout en été (coucher du soleil). Nous avions un périmètre assez étendu, jusqu’aux routes fréquentées, en fait.

      Mais bon, j’étais en milieu urbain, pas rural.
      Et dans le quartier où je sévissais, il y a eu des travaux d’aménagement pour faciliter la circulation des voitures en éliminant des trottoirs, des jardins, des murets, ce qui fait que les voitures sont plus nombreuses et rapides : je doute que les gosses puissent pédaler sans danger dans ce périmètre.

      Ensuite, il n’y a avait pas eu de médiatisation du croquemitaine pédophile. Je pense qu’il y en avait autant que maintenant, mais comme c’était sous le manteau, on y pensait moins. Cela dit, on avait déjà le droit aux admonestations sur les inconnus et les bonbons.
      Autre détail : nous faisions masse. Il y avait une vingtaine de gosses dans le quartier. Voire plus, avec la bande ennemie. Nous avions tous le droit de sortir, de parcourir les jardins, d’aller d’une pelouse à l’autre. Là, quand je suis repassée, il y avait des tas de grillages qu’il n’y avait pas. Beaucoup de petits sentiers entre propriétés ont disparus.

      Mais oui, ma fille a nettement moins d’espace de liberté que j’en avais.

    • J’ai des amis en banlieue dont la maison donne sur un cimetière séparé par un muret, un jour quelques ami·e·s de leur fille qui fêtaient ses 10 ans l’ont franchi pour jouer. Chaque parent a dû se déplacer pour récupérer son enfant au commissariat de police du coin, les enfants s’étaient fait embarquer pour #vagabondage !
      Je ne dis pas qu’il faut aller courir sur les tombes, hein, je pense que l’intervention policière et leur terreur est symptomatique d’une moralisation sclérosante de l’espace collectif.

      Et #merci @simplicissimus

      #reclaim_the_street

  • Critique de la manière dont plein d’écolos parlent de Fukushima (et autres catastrophes).

    Philippe Godard, Fukushima, le nucléocrate et le catastrophiste, 2011 | Et vous n’avez encore rien vu...
    http://sniadecki.wordpress.com/2014/01/25/godard-fukushima

    La « gestion » de la crise nucléaire de Fukushima montre comment l’idéologie catastrophiste sert du mieux qu’il est possible les nucléocrates et tous les technolâtres qui contaminent le monde contemporain. Les écologistes catastrophistes, qui à longueur de textes et de conférences nous prédisent un monde invivable d’ici quelques décennies, au mieux un ou deux siècles, sont pris ici à leur propre piège. Il serait temps pour eux de reconnaître leur erreur et d’abandonner cette tactique politique qui confine à la démagogie, y compris chez les décroissants.

    Les informations, les déclarations, les décisions prises au Japon et partout dans le monde dès les premières heures de l’emballement du réacteur n°1 de Fukushima et encore plus dans les jours qui ont suivi permettent de démonter comment fonctionne l’« administration d’un désastre ». En toute lumière, se met en place le mécanisme par lequel les nucléocrates peuvent être certains de récupérer en toute occasion et à tout moment le catastrophisme d’écologistes peu conscients des réalités politiques.

    #Fukushima #catastrophisme #administration-du-désastre #écologie #nucléaire #gestion #risque

    • En ce sens, Three Mile Island, Tchernobyl et Fukushima, de même que la propagation des OGM sur cette planète, ne sont que l’image de la contamination de notre pensée par les catégories du Maître : la catastrophe maîtrisée – et la Seconde Guerre mondiale a débouché sur la « libération », qui est en dernière analyse la maîtrise de la folie guerrière – est le meilleur atout idéologique du Capital. On peut choisir de renforcer cet atout en criant au loup avec les loups et en ne regardant pas ce qu’est, au fond, la catastrophe réelle, ou alors en n’ayant pas le courage de la dénoncer. Car, dans un monde qui croit à ce point au développement, au confort, au progrès et à toutes les balivernes technologiques, c’est bien du courage plutôt que de l’inconscience qu’il faut pour proclamer que la catastrophe est quotidienne, qu’elle n’est pas un dommage collatéral du progrès ou du capitalisme mais son essence même.

      J’avais loupé ce texte remarquable. Merci @fil de la piqûre de rappel…

  • La #cartographie des #risques selon #Davos, Analyses
    http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/finance-marches/debat/0203251267585-la-cartographie-des-risques-selon-davos-644338.php

    Avant les débats, le constat. Comme chaque année, les organisateurs du Forum économique mondial de Davos ont présenté jeudi dernier à Londres leur neuvième rapport sur les risques mondiaux, préambule du sommet qui démarre demain.

    http://www.lesechos.fr/medias/2014/01/21/644338_0203253955550_web_tete.jpg

    What’s Next
    http://www3.weforum.org/docs/GAC/2014/WEF_GAC_GeopoliticalRisk_WhatsNext_Essays_Vol2_2014.pdf

  • Los Angeles : des programmes immobiliers autorisés sur des failles sismiques
    http://lemonde.fr/planete/article/2014/01/09/los-angeles-des-programmes-immobiliers-autorises-sur-des-failles-sismiques_4
    #logement #urbanisme #projet_casse_gueule #cartographie #risque_sismique

    La ville de Los Angeles peut-elle vraiment permettre la construction du Hollywood Millennium, un complexe immobilier avec gratte-ciel de 35 à 39 étages, situés de part et d’autre du fameux building de Capitol Records sur Vine Street, dans le quartier d’Hollywood ? Une nouvelle carte sismique publiée le 8 janvier indique que la Hollywood Fault, une faille sismique active, passe juste en dessous du site et de la légendaire maison de disques de Frank Sinatra, construite en 1956, et bâtiment emblématique de la ville.

  • #Déchets_dangereux : Drancy ne veut plus du transit par sa gare - France Info
    http://www.franceinfo.fr/environnement/le-plus-france-info/stop-aux-dechets-dangereux-a-la-gare-de-drancy-1272481-2014-01-07

    Quinze jours après le déraillement d’un wagon de #déchets_nucléaires, les élus de Seine-Saint-Denis se mobilisent. Le maire de Drancy a décidé de porter plainte mardi contre l’Etat pour mise en danger de la vie d’autrui. Chaque année, près de 15.000 wagons de déchets dangereux passent par cette grande gare de triage en plein milieu d’une zone urbaine dense. Jean-Christophe Lagarde souhaite les supprimer.

    Le déraillement d’un wagon de déchets nucléaires le 23 décembre a eu un écho retentissant. Beaucoup plus que celui du wagon d’acide chlorhydrique qui avait eu lieu dix jours avant. Un wagon heureusement vide. Pourtant le #risque_chimique peut entraîner des intoxications voire des morts jusqu’à plusieurs centaines de mètres autour du lieu des fuites. Pire si c’est un wagon de chlore où l’on considère qu’il faut évacuer un périmètre de 2,6 km.

    « Nous, on ne sait pas quoi faire. Alors on est allés voir sur la terrasse ce qui se passait à la gare », expliquent Daniel et Joëlle, un couple de retraités qui vivent depuis 40 ans à cent mètres des voies. Malgré les haut-parleurs de la gare qui crachent de rester confinés chez soi, de couper la ventilation, les badauds s’attroupent sur le pont au-dessus des voies.

    #transports #société_à_risques

  • Que nous réserve 2014 ? | RussEurope
    http://russeurope.hypotheses.org/1772

    Il est désormais clair que l’année prochaine s’annonce sous de lugubres auspices. La consommation intérieure n’est plus aujourd’hui soutenue que par un mouvement de désépargne qui touche plus particulièrement les classes populaires. La contraction du volume du Livret A en est la preuve. Par ailleurs, l’environnement économique international s’avère bien plus sombre que ce que l’on pouvait penser au début de 2013. Les Etats-Unis auront une croissance plus faible que prévue, ceci résultant tant de la baisse des gains de productivités (tombés autour de 1% par an) que d’une lente remontée des taux d’intérêts qui pénalisent fortement la demande. En Europe, la situation est catastrophique. L’Italie continue d’être en récession et si l’Espagne semble voir sa situation économique se stabiliser, on ne voit aucun signe de reprise. Par ailleurs, le fait que les prix aient baissé est très inquiétant. Le spectre de la déflation plane sur la péninsule ibérique. Quant à l’Allemagne, les croyants seront déçus : le gouvernement de coalition n’a nullement l’intention de se livrer à une relance salariale importante. Le SMIC, accepté du bout des lèvres par Angela Merkel, ne sera finalement mis en place qu’en…2017. Cela, les réalistes le savaient. Le gouvernement français va donc faire face à trois risques majeurs.

     Les trois risques

    Le premier de ces risques est celui de la déflation. Certes, l’inflation est toujours positive, mais elle est de plus en plus faible. D’ores et déjà sa baisse rapide entraîne une forte hausse des taux d’intérêts réels, qui sont désormais revenus au-dessus du niveau qu’ils avaient lors de la mise en place de l’Euro. D’ores et déjà, on commence à noter les signes de pressions patronales visant à la baisse nominale des salaires. Les effets d’une telle baisse ont toujours été catastrophiques. Quand bien même les prix des produits baisseraient à la même vitesse que les rémunérations, les frais fixes (charges d’endettement) garderaient leur valeur nominale et verraient donc leur poids augmenter en termes réels. Mais l’on sait bien que dans un mécanisme de déflation, les salaires baissent plus rapidement que les prix, contractant d’autant la demande. Que l’on se souvienne que la politique de déflation du chancelier Brünning en Allemagne (1930-1932) fit passer le taux de chômage de 16% à 32% de la population active.

    Le deuxième risque est celui de ruptures graves dans le système productif français. Ces ruptures seront provoquées par la combinaison d’une contraction de la demande et d’une concurrence internationale accrue contre laquelle nous restons sans protection, que ce soit monétaire (taux de change) ou tarifaire (droits de douanes). Elles ne prendront que secondairement la forme de la faillite spectaculaire d’une entreprise importante. Bien plus sûrement, c’est par la faillite de sous-traitants, voire de sous-sous-traitants, que se manifesteront ces ruptures.On estime déjà que les plans sociaux à venir dans l’industrie vont concerner 250 000 salariés. Dans le cas d’une chute brutale de la consommation, ce chiffre pourrait être doublé. Par ailleurs, pour tout emploi industriel détruit, il faut compter de 1,2 à 1,5 emplois connexes détruits. Le nombre de chômeurs pourrait ainsi augmenter de 500 000 dans l’année 2014.

    Le troisième risque est un risque politique. Le gouvernement est déjà confronté à des mouvements de révoltes, certes pour l’instant relativement segmentés, mais qui devraient progressivement faire tache d’huile. Quand il deviendra clair, au début de 2014, que l’on ne voit nulle inversion de la courbe du chômage, la colère sera à la mesure des espérances déçues et des mensonges proférés par le Président. Mais, ce qui se passe en France pourrait bien n’être que le premier acte d’une crise politique européenne majeure. Aujourd’hui l’Euro tue l’Europe. On en aura la preuve avec les élections européennes. Le risque prendra la forme d’un gouvernement acculé, le dos au mur, au niveau intérieur et confronté à des crises graves en Europe.

    #2014
    #économie
    #crise
    #austérité
    #déflation
    #système-productif-français
    #risque-politique

  •  » [Invité] Les agrégats monétaires, le risque inflationniste et la politique des taux d’intérêt aux USA, par Onubre Einz
    http://www.les-crises.fr/agregats-inflation-usa

    Nous examinons dans ce post une question difficile : quelles sont les relations entre la politique future de la FED et l’état des grands agrégats monétaires (M1 & M2). Cette question reprend sous un autre angle le problème des taux d’intérêt de la FED ; nous avons essayé de montrer que l’administration de la hausse des intérêts des bons du Trésor pouvait être analysée comme un test du marché financier, le risque d’un krach obligataire étant induit par la différence de rémunération entre les obligations publiques et privées émises entre 2008 et 2012 et les obligations qui seraient émises à des taux plus élevés. Nous avons insisté sur le fait que la hausse des taux d’intérêt était strictement indispensable pour gonfler le revenu des ménages, la croissance du PIB manquant encore de dynamisme.

    Nous voulons montrer que cette analyse doit être complétée par un examen de l’état des agrégats monétaires M1 et M2, les grands agrégats monétaires étant eux-mêmes impactés par la politique des taux d’intérêt, la rémunération du capital et la situation de l’économie.

    Ce papier suppose de faire quelques hypothèses. Nous nous plaçons dans un cadre optimiste laissant penser qu’une « vraie reprise » est en cours. Cette hypothèse est strictement invérifiable à leur actuelle ; la croissance enregistrée est encore dépendante de la dépense fédérale, de la politique de la FED et de l’érosion du dollar. Il sera extrêmement intéressant de mesurer l’impact du ralentissement de la dépense publique au T2 et T-3 2013 sur le PIB dès que les résultats du T-3, publié par le BEA, auront été consolidés. Une croissance du PIB supérieure à 1,5 % en volume serait le signe que les bases d’une croissance endogène à l’économie se sont recréées aux USA.

    La publication récente des données du T-3 laisse encore planer le doute. La croissance a été soutenue (+2,8 en rythme annuel) mais les éléments qui ont dopé la croissance sont les stocks – dont la reconstitution est toujours sujette à interprétations divergentes, les exportations (bénéficiant de l’érosion du dollar), les investissements résidentiels (soutenus par la FED), les investissements des administrations subfédérales (donc public) et la consommation des personnes (dans laquelle entre les amortisseurs sociaux en déficit) enfin une baisse des importations (soustraite du PIB). Si l’investissement productif reprend d’une manière peu soutenue, il reste essentiellement un investissement de productivité néfaste jusqu’alors à l’emploi (Lien BEA)....

    #économie
    #agrégats-monétaires
    #risque-inflationniste
    #risque-politique
    #taux-d’intérêt
    #USA
    #Onubre-Einz

  • En #Pologne, la lutte contre le #gaz de #schiste s’organise. Volet n°3 d’une série de reportage sur Reporterre.

    « Notre seule victoire ici, c’est d’avoir forcé la compagnie de gaz à acheter son eau plutôt que de pomper dans nos propres puits. En dehors de ça, nous prêchons dans le désert. » Dans les forêts de Cachoubie, en #Poméranie, Hieronim, opposant aux forages, se sent bien seul face aux compagnies qui viennent explorer les schistes polonais en quête de gaz. Pauvres en moyens, dispersés à travers le pays, ignorés par des #médias prêchant en faveur de cette #énergie, le mouvement anti-gaz de schiste tente désespérément de faire émerger un #débat démocratique.

    [...]

    Aneta Wadoswka n’a jamais milité nulle part. Cette étudiante de 24 ans n’a entendu parler de la fracturation hydraulique que par une amie, tandis que des sociétés frackent à quelques kilomètres de sa fac, à Gdansk. « Elle m’a passé un article de l’édition polonaise du Monde Diplomatique (@mdiplo) : je n’avais rien lu ni entendu quoique ce soit sur les #risques environnementaux dans les médias polonais !", avoue-t-elle. "Depuis, je suis le réalisateur Lech Kowalski sur Facebook, c’est le seul endroit où l’info circule efficacement. »

    http://www.reporterre.net/spip.php?article5003

  • http://www.finance-watch.org/notre-travail/evenements/788-webinaires-campagne?lang=fr

    http://www.finance-watch.org/campaign-pages/pdf/Cercle+vicieux%20du%20statu%20quo_Finance%20Watch.pdf
    LA FINANCE IMPOSE SES RÈGLES. CHANGEONS LES RÈGLES !
    Cinq ans après la chute de Lehman Brothers, le système financier n’a pas été transformé : les banques et marchés de dérivés sont plus gros que jamais, les manipulations font les gros titres et l’investissement productif semble l’exception plutôt que la règle. Le risque systémique que les banque européennes font peser sur la société est plus important qu’il ne l’était en septembre 2008.

    Malgré les nombreuses nouvelles réglementations mises en place depuis la chute de Lehman Brothers, le risque d’une autre crise bancaire et financière est toujours possible. Pour comprendre pourquoi, écoutez Benoît Lallemand, l’un de nos analystes senior, à l’occasion d’un webinaire spécial campagne :

    « Pourquoi les réglementations actuelles ne nous protègent pas d’une nouvelle crise » - Vendredi 18 octobre 2013 de 12h15 à 12h45 – Inscrivez-vous ici.
    A l’occasion d’un second webinaire, Benoît présentera nos idées pour améliorer la situation :

    « Des solutions simples pour remettre la finance au service de la société » - Mardi 5 novembre 2013 de 12h15 à 12h45 – Inscrivez-vous ici.
    Ces webinaires vous permettront de mieux comprendre les problèmes et solutions détaillés dans notre campagne « Changeons la finance ! ». Chaque webinaire dure 30 minutes et vous pouvez poser des questions durant toute la séance, pas seulement à la fin, pour débattre en direct avec Benoit. Si vous voulez appréhender l’ensemble de la position de Finance Watch, nous vous recommandons de vous inscrire aux deux webinaires.

    #finance
    #économie
    #Lehman_Brothers
    #risque
    #crise-bancaire
    #crise-financière
    #Benoît-Lallemand :

  • C’est en France qu’une nouvelle crise bancaire coûterait le plus cher | Olivier Demeulenaere – Regards sur l’économie
    http://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2013/10/15/cest-en-france-quune-nouvelle-crise-bancaire-couterai

    "Au sein de la zone euro, ce sont les banques françaises qui auraient le plus besoin d’être recapitalisées en cas de crise systémique, selon une étude de l’IESEG School of Management.

    Que se passerait-il en cas de nouvelle baisse crise bancaire « systémique », c’est-à-dire affectant l’ensemble du secteur financier ? Quels seraient les pays les plus affectés ? Quelles banques auraient le plus besoin d’être recapitalisées ? Une étude de l’IESEG School of Management tente de répondre à ces interrogations.

    Elle se fonde sur les insuffisances estimées de fonds propres des grandes banques, publiées par le « Volatility Laboratory » de « New York University Stern Business School » et par le « Center for Riks Management of Lausanne ».

    240 milliards d’euros nécessaires pour les grandes banques françaises, record européen

    Les résultats ne sont pas vraiment favorables aux grandes banques françaises. Au total, ce seraient elles qui auraient le plus besoin de capitaux, en cas de crise systémique, définie par une baisse de 40% de la Bourse sur six mois. Les besoins de recapitalisation des grandes banques françaises atteindraient 240 milliards d’euros, soit 11,7% du PIB, calcule l’auteur de l’étude, Eric Dor, directeur des études économiques à l’IESEG. Le pays qui suit immédiatement, c’est… Chypre (11% du PIB), puis la Grèce (8,35% de la richesse nationale) . La Grande-Bretagne est assez loin derrière (7,9% du PIB) suivie de l’Espagne (5,6%), de l’Italie (5%) et de l’Allemagne (4,5%).

    #économie
    #risque-systémique
    #banques-françaises sont les moins #capitalisées du #monde
    #crise
    #Deutsche-Bank
    #Crédit-Agricole
    #BNP-Paribas

  • Pradaxa et autres anticoagulants : alerte sérieuse ? - Sciences et Avenir
    http://sciencesetavenir.nouvelobs.com/sante/20130920.OBS7802/pradaxa-et-xarelto-affaire-sanitaire-ou-petard-mouille.h

    Pradaxa et autres anticoagulants : alerte sérieuse ?

    Un syndicat de biologistes dénonce l’utilisation abusive, trop chère de certains anticoagulants oraux jugés dangereux. Faut-il avoir peur ?

    Un syndicat de biologiste dénonce l’utilisation abusive, trop chère de certains anticoagulants oraux jugés dangereux. B. BOISSONNET / BSIP
    C’est un pavé dans la mare que vient de lancer France Info ce vendredi 20 septembre. Le Pradaxa, un médicament anticoagulant prescrit pour empêcher la formation de caillots dans les vaisseaux sanguins pourrait provoquer de graves hémorragies internes.

    TÉMOIGNAGE. La radio illustre son propos par le témoignage d’un homme hospitalisé en urgence après avoir subi pareille mésaventure.

    En fait, le Pradaxa n’est pas le seul médicament dans le collimateur. Dans un communiqué particulièrement alarmiste, le Syndicat des jeunes biologistes médicaux pointe du doigt tous les anticoagulants oraux, n’hésitant pas à les qualifier de « bombe à retardement » et d’évoquer le risque d’un prochain scandale de la même ampleur que celle du Médiator.

    Une nouvelle génération de molécules

    Actuellement, il existe deux anticoagulants oraux sur le marché : le Pradaxa et le Xarelto. Tous deux sont prescrits pour la prévention des accidents emboliques liés à la « fibrillation atriale » (un trouble du rythme cardiaque). Le Xarelto est également prescrit pour traiter les thromboses veineuses profondes ainsi que l’embolie pulmonaire. Deux nouveaux médicaments sont également attendus d’ici peu : l’Apixaban et l’Edoxaban. Ces nouveaux anticoagulants oraux constituent une génération nouvelle de molécules thérapeutiques, commercialisés en Europe depuis 2008, et en France depuis 2012. « Sur le der­nier tri­mestre 2012, parmi les 100 000 patients entre­pre­nant un trai­te­ment anti­coa­gu­lant, 57 % se sont vus pres­crire un NACO en pre­mière inten­tion » chiffre le Syndicat des jeunes biologistes médicaux sur son site.

    Doléances des médecins biologistes

    Ce que leur reproche le Syndicat des jeunes biologistes ? Trois choses :

    Leur prix trop élevé : « Le coût men­suel du trai­te­ment par NACOs (nouveaux anticoagulants Oraux) est de 76 € à com­pa­rer aux 12.5 € en moyenne » pour les traitement anticoagulants plus anciens à base d’antivitamine K (AVK), chiffrent-ils.
    Leur prescription « injustifiée » à des patients qui supportent bien ces traitements plus anciens. 
     Le syndicat des jeunes biologistes médicaux chiffre à 35 000 patients le nombre de patients qui auraient ainsi changé de traitement, avec parmi eux 35 % de per­sonnes âgées de plus de 80 ans.

    Mais surtout un risque potentiellement supérieur de ces nouveaux traitements. En effet, un dosage trop important d’anticoagulants entraîne un risque important d’hémorragie interne. Avec les anciens traitements, il suffit dans ce cas d’injecter de la vitamine K pour annuler l’effet du médicament. En revanche, en ce qui concerne les nouveaux anticoagulants oraux, « il n’existe pas d’antidote per­met­tant, d’en neu­tra­li­ser l’effet en cas d’hémorragie ! » s’alarment les biologistes.
    SCANDALE ? Le syndicat aurait donc fait part, dans un courrier, de ces inquiétudes auprès du ministère de la Santé. Ces éléments portent-ils en eux les germes d’une scandale sanitaire de grande ampleur tels que celui du Médiator ? Pas forcément....

    #ALERTE
    #danger
    #risques
    #coagulation
    #ANSM
    #Pradaxa
    #Xarelto
    #vitamine_K
    #antagonistes

  • Risques psychosociaux : la prolifération des expertises CHSCT injustifiées
    http://www.cms-bfl.com/NewsMedia/PublicationDetail/Pages/default.aspx?PublicationGuid=32605bb7-875b-42b6-a496-1da09d5ab9e5

    Le « risque psycho-social » est une invention du Pr Légeron. C’est un néologisme pour désigner une probabilité (celle d’un passage à l’acte suicidaire dans une entreprise) dont il est le seul à connaître les paramètres. Les CHSCT auront donc beaucoup de mal à le trouver s’ils se lancent à sa recherche...
    #suicide
    #risque
    #psychosociaux

  • Risques psychosociaux : la prolifération des expertises CHSCT injustifiées
    http://www.cms-bfl.com/NewsMedia/PublicationDetail/Pages/default.aspx?PublicationGuid=32605bb7-875b-42b6-a496-1da09d5ab9e5

    Le « risque psycho-social » est une invention du Pr Légeron. C’est un néologisme pour désigner une probabilité (celle d’un passage à l’acte suicidaire dans une entreprise) dont il est le seul à connaître les paramètres. Les CHSCT auront donc beaucoup de mal à le trouver, s’ils se lancent à sa recherche...
    #suicide
    #risque
    #psychosociaux

  • Penser la #dette et la #finance, c’est penser le risque ; #citation tirée du #livre L’Apocalypse joyeuse, de J-B. Fressoz, p. 27 :

    Au milieu du XIIe siècle, les marchands pisans et génois empruntèrent à l’arabe le mot « rizq » ("la part que Dieu attribue à chaque homme") pour désigner, dans leurs contrats, les pertes et les profits liés à des évènements incertains. Le #risque, conjointement à la tenue des comptes ou l’assurance maritime, participait à l’essor du #capitalisme marchand.