#rita_fuhrer

  • #Ruth_Metzler-Arnold préside le nouveau conseil consultatif international d’ORS pour les questions de migration

    L’organe consultatif réunit des anciens politiciens et des experts
    des migrations en Suisse et en Autriche

    L’ancienne conseillère fédérale suisse Ruth Metzler-Arnold préside un nouveau conseil consultatif international pour ORS, prestataire de suivi et d’hébergement de requérants d’asile et de réfugiés. Cette entreprise privée domiciliée en Suisse est spécialisée dans le suivi, l’hébergement et l’intégration de requérants d’asile et de réfugiés en Suisse, en Autriche, en Allemagne et en Slovaquie. En constituant un organe consultatif réunissant des membres compétents, le nouveau CEO du groupe ORS #Jürg_Rötheli souhaite assurer le développement professionnel des activités du groupe dans un secteur de première importance pour l’avenir de l’Europe. Le conseil consultatif a pour tâches de porter un regard global sur les questions actuelles et futures relatives aux migrations et de recommander des éléments de solution à intégrer dans la stratégie technique de la direction d’entreprise.

    Experts chevronnés

    Placé sous la présidence de l’ex-ministre suisse chargée de la justice, de la police et des migrations (DFJP) Ruth Metzler-Arnold, le conseil consultatif constitué est composé d’expertes et experts chevronnés sur les questions de migration. Les membres de l’organe seront Rita Fuhrer, ancienne conseillère d’État et présidente du Conseil d’État du canton de Zurich, #Erwin_Jutzet, ancien conseiller d’État et conseiller national du canton de Fribourg et président de la commission de politique extérieure du Conseil national, ainsi que l’ancien vice-chancelier autrichien (ministre des finances et des affaires étrangères) Michael Spindelegger, qui dirige l’ICMPD (International Centre for Migration Policy Development) en qualité de secrétaire général depuis janvier 2016. L’organe sera complété ces prochains mois par un représentant de l’Allemagne.

    Jürg Rötheli, CEO d’ORS depuis mai 2017, estime que la composition du nouveau conseil consultatif revêt une importance centrale pour le travail de son entreprise : « Le nouveau conseil consultatif apporte à notre entreprise engagée de précieuses connaissances internationales et une grande expérience dans le domaine des migrations. »

    ORS est une entreprise active au niveau international dans le domaine des migrations

    L’entreprise suisse exerçant aujourd’hui ses activités en Autriche, en Allemagne, en Slovaquie et en Suisse est spécialisée dans le suivi efficace et fiable des requérants d’asile et des réfugiés. Elle intervient sur mandat des États, des Länder (cantons) et des communes. Sa collaboration avec les mandants est étroitement encadrée par les autorités responsables. Au-delà du suivi et de l’hébergement, ORS va se consacrer désormais plus intensivement au thème de l’intégration des requérants d’asile et des réfugiés sur le marché du travail des pays susmentionnés et d’autres pays.

    L’entreprise occupe actuellement quelque 1800 personnes, parfaitement qualifiées. Le siège principal du groupe (groupe ORS) se trouve à Zurich, en Suisse

    Membres du conseil consultatif ORS :

    Ruth Metzler-Arnold, présidente

    Ancienne conseillère fédérale et cheffe du Département fédéral de justice et police. Elle est membre du PDC suisse. En sa qualité de ministre, Ruth Metzler-Arnold était responsable de la sécurité ainsi que du domaine des migrations de la Confédération suisse. Ruth Metzler-Arnold est aujourd’hui administratrice et consultante de plusieurs sociétés d’envergure nationale et internationale. Juriste et experte-comptable diplômée, elle préside notamment Switzerland Global Enterprise (S-GE) .

    Dr. #Michael_Spindelegger

    Ancien vice-chancelier de la République d’Autriche, ministre des affaires étrangères et des finances, membre de plusieurs gouvernements autrichiens. Michael Spindelegger, docteur en droit, a également été Parteiobmann (président de parti) de l’ÖVP (Parti populaire autrichien) de 2011 à 2014. Depuis le début 2016, il dirige, en qualité de directeur général, le Centre international pour le développement des politiques migratoires (International Centre for Migration Policy Development - ICMPD) basé à Vienne.

    Erwin Jutzet

    Ancien conseiller national (PS) et président de la commission de politique extérieure (CPE) et de la commission des affaires juridiques (CAJ) du Conseil national suisse. En qualité de conseiller national, il a également présidé la délégation chargée des relations avec l’AELE et le Parlement européen ainsi que la commission pour l’élection des juges fédéraux. En 2006, l’avocat a été élu au Conseil d’État fribourgeois, qu’il a présidé en 2011. Pendant son mandat, le spécialiste des migrations a déposé un projet de loi pour l’intégration des migrantes et migrants ainsi que pour la prévention du racisme.

    #Rita_Fuhrer

    Ancienne conseillère d’État et présidente du Conseil d’État du canton de Zurich (UDC). L’ex-politicienne zurichoise a présidé à deux reprises le Conseil d’État de son canton en qualité de conseillère d’État et a dirigé avec succès le Département zurichois de la sécurité et des affaires sociales, comprenant l’office des migrations et l’assistance en matière d’asile. Rita Fuhrer a acquis une renommée nationale en tant qu’experte des questions de migration et elle est reconnue comme une spécialiste des questions de circulation routière et de transport aérien. Elle siège aujourd’hui au sein de différentes conseils d’administration et dirige une petite manufacture.

    CEO groupe ORS :

    Dr. Jürg Rötheli est depuis mai 2017 le nouveau Chief Executive Officer (CEO) du groupe ORS dont le siège central est à Zurich. La carrière professionnelle de cet avocat de formation comporte différentes positions dirigeantes au sein de grandes entreprises suisses et internationales. Il a ainsi siégé pendant de nombreuses années à la direction de Swisscom, le plus grand groupe suisse de télécommunications, et a été CEO de Clear Channel Suisse et vice-président pour l’Europe centrale de Clear Channel International. Clear Channel est un groupe publicitaire de premier plan mondial dont le siège est aux États-Unis. Pour de plus amples informations sur Jürg Rötheli et ORS, consulter www.ors.ch

    Contact :

    Pour d’autres renseignements sur le nouveau conseil consultatif ORS :
    ORS Group
    Service médias
    c/o. KLAUS METZLER ECKMANN SPILLMANN
    Hans Klaus
    Basteiplatz 7
    8001 Zurich/Suisse

    Téléphone +41 43 544 17 44
    Mobile +41 79 357 03 57
    eMail klaus@kmespartner.com

    https://www.presseportal.ch/fr/pm/100053167/100808487

    –-> info de 2017, ajouté ici pour archivage

    #Ruth_Metzler #ORS #asile #migrations #réfugiés

    Dans cet article ORS parle aussi d’une activité en #Slovaquie...

  • Migranti a #Monastir, affari & intrighi

    Ex ministri d’oltralpe consulenti della società che gestisce il lager alle porte di Cagliari.

    Chissà se Francesco, il Papa degli ultimi, si è mai ritrovato tra le mani il curriculum vitae di Ruth Metzler, la donna che da due anni guida la fondazione della Pontificia Guardia Svizzera in Vaticano. Di certo Jorge Mario Bergoglio ignora uno degli ultimi incarichi di Madame Metzler, donna multidisciplinare, capace di passare dal ruolo di ministro della Giustizia e della polizia svizzera a quello ben più privato di presidente del comitato consultivo della Ors, la multinazionale sbarcata in Sardegna per far soldi senza troppi convenevoli dalla gestione dei migranti. Business, senza se e senza ma, l’esatto contrario di quanto professato dal Santo Padre. Il comitato, nato come garante della scalata privata della Ors alla gestione dei migranti, con l’esplicito intento imperialista per la conquista del Mediterraneo, è il fiocco scintillante sull’operazione da mani sull’emigrazione. La storia di Ors, però, ora dopo ora, assume i connotati di un vero e proprio intrigo internazionale, secretato nelle rive del lago di Zurigo e in quelle del Tamigi.

    Missione Sardegna

    Lo sbarco in Italia ha una data: 8 gennaio 2020, giorno in cui la società diventa, di punto in bianco, attiva alla Camera di Commercio di Roma, come se la divina provvidenza gli avesse suggerito di tenersi pronta. Il progetto è chiaro: missione Sardegna. Gli bastano pochi mesi di attività per spazzolare tutto quello che c’era disponibile nell’Isola. In sordina conquista la gestione del Centro Rimpatri di Macomer e ai primi di marzo fa il colpaccio, a trattativa privata, sino alla definizione dell’appalto, con l’affidamento provvisorio del ghetto di Monastir. Rase al suolo le concorrenti, quasi tutte siciliane, che da sempre si erano spartite la torta infinita dell’accoglienza. Nell’oasi di Monastir, fattasi lager, non passa giorno senza una guerriglia annunciata. Polizia e carabinieri in perenne tenuta antisommossa come se in quell’enclave di criminalità e Covid latente non ci fosse un responsabile. Ors Italia, accampata in quel lager a gestire un appalto da tre milioni di euro in due anni, è silente. In prima linea tanto ci sono gli uomini e le donne dei blindati schierati in assetto permanente da guerriglia urbana, l’ennesima, sempre pronta ad esplodere.

    200 giorni per l’antimafia

    Un’assegnazione provvisoria quella della prefettura, visto che gli stessi organismi del braccio dello Stato in terra sarda non hanno ancora messo nero su bianco il certificato antimafia, indispensabile per cifre di questa portata. Un dato è eloquente: dopo 200 giorni lo Stato non ha ancora dato il via libera a quel certificato. Ritardi cronici, Covid burocratico o cos’altro? È evidente che affidare per la terza volta con proroga, in scadenza a fine mese, un appalto di questa portata non è roba di poco conto. Serve non poca freddezza per assumersi onori e soprattutto oneri. A Monastir il business, intanto, non si ferma.

    Totalizzatore

    Il totalizzatore degli introiti è in continuo aggiornamento: ieri i migranti, quasi tutti algerini, erano 183, poi, in mattinata, 25 li hanno dirottati in una struttura di Capoterra, tenuta coperta dai sigilli di segretezza. Altri 11 sono arrivati in serata. Alla conta finale delle 20 erano 169. È possibile, ma non è confermato, che i 25 dell’Alan Kurdi, quelli destinati all’Italia, vengano fatti scendere ad Olbia e poi trasferiti a Monastir, giusto per non ridurre il capitale migratorio nel quartier generale della multinazionale svizzera. Del resto stando alle parole della signora Ruth, la presidente del comitato consultivo, «la Ors è sinonimo di assistenza e alloggio professionale e umano per richiedenti asilo e rifugiati». Peccato che non abbia avuto il tempo di visionare le immagini che abbiamo proposto nel nostro giornale, forse, avrebbe evitato di spendere quelle impegnative parole per un ghetto infausto alle porte di Cagliari. Se per alloggio professionale si intende quel tugurio di sbarre e quei cumuli di puzzolente gomma piuma vuol dire che il business sta sconfinando in altro. Un dato, però, emerge inequivocabile aprendo gli scrigni di questa Ors, sede a Zurigo, in un sobborgo periferico, senza pregio e senza nemmeno una modesta targa di facciata. Sono due gli intrecci gestionali di questa società. Ci sono i piani alti e quelli comunali. Per i piani alti Juerg Benno Roetheli ha scomodato prime donne e primi uomini.

    Madame Metzler

    L’operazione sbarco nel Mediterraneo ha messo nero su bianco nomi e cognomi altisonanti. Tutti personaggi di primo piano che urlano contro immigrazione e invasione salvo, poi, diventare i paladini di una società che proprio dai migranti vuol far soldi, a palate. Pronti ad erigere muri nelle loro patrie, altrettanto protesi a costruire ponti per lo sbarco in Sardegna e non solo. Madame Metzler nell’impresa di sponsorizzazione non è rimasta sola. Al suo fianco nel comitato della Ors, quella che gestisce Monastir e Macomer, ci sono Rita Fuhrer, già ministro degli Affari sociali e della Sicurezza del Canton di Zurigo, così come Erwin Jutzet già membro del governo di Friburgo con delega alla Sicurezza e Giustizia, sino al vice cancelliere austriaco e ministro degli Affari esteri dell’Austria Michael Spindelegger. Quelli che fanno i muri a casa loro ora indicano la strategia: privatizzare la gestione e affidarsi a Ors. La società non si fa pregare e per guadagnare a piene mani dai migranti apre il fronte italico con lo sbarco in Sardegna e dintorni. Dal proscenio internazionale dei sostenitori della multinazionale a quello dietro casa, tra Roma e Avellino. È questo il secondo filone societario della Ors Italia, la compagine destinata a conquistare il governo degli imbarcati dal nord Africa verso la Sardegna.

    Il filone Avellino

    Il manager svizzero Jurge Roetheli, a capo della multinazionale del business sui migranti, non si fida di nessuno e anche per l’operazione sardo italiana non lascia spazio a incursioni esterne. Si autonomina presidente del Consiglio di amministrazione ma al suo fianco mette due uomini di stretta osservanza campana, i due Reppucci, Maurizio, nominato amministratore delegato e Antonio, già sindaco del paese di Chiusano di San Domenico, duemila anime nell’enclave di Avellino. Nella sede di Piazza Annibaliano a Roma, davanti ad un cassonetto, al numero 18, il palazzo è un crocevia di decine e decine di società, tutte nello stesso ufficio. Nessuna targa esterna per una multinazionale che per costituirsi non ha scelto le vie del centro della Capitale. Dopo la chiusura nazionale della gestione comunale dell’accoglienza, messa in campo con i decreti cosiddetti Sicurezza, si sono aperte le praterie allo sbarco senza guanti delle multinazionali nella gestione dei centri di accoglienza e rimpatrio. La Sardegna, tra Macomer e Monastir, è la prima a toccarne con mano le conseguenze.

    Retromarcia austriaca

    Prima dei due centri sardi lo hanno, però, provato in Austria che, dinanzi allo sbarco della Ors, benedetto dall’ex vice Cancelliere, ha deciso di cambiare radicalmente rotta: gestione pubblica del fenomeno migratorio. Il ragionamento d’oltralpe è stato chiaro: i privati hanno tutto l’interesse a ridurre i servizi per favorire il guadagno. Da qui la nascita dell’agenzia pubblica per l’assistenza ai rifugiati. Il quotidiano USA Today ha paragonato la gestione dei centri di accoglienza in Europa alla logica delle carceri private statunitensi, basata sul principio del taglio dei costi e della massimizzazione del profitto. Nel sistema privato, fanno rilevare, ci sono prestazioni inadeguate, pagate care e ridotte nei servizi ai minimi termini. Dalle visite mediche al cibo, dalla qualità degli alloggi all’assistenza. Nel lager di Monastir il business dei migranti è appena agli inizi. Manca il certificato antimafia e tra cinque giorni scade il contratto provvisorio e d’urgenza con gli svizzeri della Ors. Il caos regna sovrano e i denari scorrono a fiumi. Il triangolo Zurigo, Avellino e Monastir è solo la punta di un iceberg, quello degli affari sui migranti.

    https://www.unionesarda.it/articolo/news-sardegna/cagliari/2020/09/25/migranti-a-monastir-affari-intrighi-136-1063321.html

    #asile #migrations #réfugiés #ORS #Italie #Sardaigne #centre #Ruth_Metzler #Rita_Fuhrer #Erwin_Jutzet #Michael_Spindelegger #Maurizio_Repucci #Antonio_Repucci

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