• #Amiens : le squat de #Rivery-plage expulsable, besoin de soutiens
    https://fr.squat.net/2022/02/21/amiens-le-squat-de-rivery-plage-expulsable

    Le squat de Rivery-plage (arrière), et surtout ses habitant.es, sont expulsables depuis le 22 janvier 2022. On a besoin de coups de main et de soutiens. Tu auras plein d’infos supplémentaires sur place. Concert de soutien le samedi 5 mars [https://squ.at/r/8lwg], au #65_rue_Thuillier-Delambre à Rivery, avec comme d’hab’, sur place, infokiosque, fripe, free-shop, […]

    #Collectif_La_Brèche

  • L’#Inserm met en évidence de nouvelles #pathologies liées aux #pesticides

    Les liens sont de plus en plus évidents entre usage des pesticides et certains #cancers, en particulier chez les agriculteurs et chez les enfants. C’est ce que montre une nouvelle étude de l’Inserm, huit ans après celle qui faisait référence jusqu’à présent.

    https://www.mediapart.fr/journal/france/070721/l-inserm-met-en-evidence-de-nouvelles-pathologies-liees-aux-pesticides
    #santé #maladie #industrie_agro-alimentaire #agriculture #rapport

    • Pesticides et santé – Nouvelles données (2021)

      Ce document présente la synthèse issue des travaux du groupe d’experts réunis par l’Inserm dans le cadre de la procédure d’expertise collective pour répondre à la demande de cinq directions de l’État, la Direction générale de la prévention des risques, la Direction générale de la santé, la Direction générale du travail, la Direction générale de la recherche et de l’innovation, ainsi que le secrétariat général du ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation. Ce travail s’inscrit dans le cadre de l’actualisation du rapport d’expertise collective Inserm intitulé Pesticides : Effets sur la santé, publié en 2013.

      Ce travail s’appuie essentiellement sur les données issues de la littérature scientifique disponible en date du premier trimestre 2020. Plus de 5 300 documents ont été rassemblés à partir de l’interrogation de différentes bases de données (PubMed/ Medline, Scopus, Cairn...) et des recherches complémentaires ont été effectuées par les experts ou en collaboration avec le Pôle expertise collective. Le Pôle expertise collective de l’Inserm, rattaché à l’Institut thématique Santé publique, a assuré la coordination de cette expertise.

      Les pesticides regroupent l’ensemble des produits utilisés pour lutter contre les espèces végétales indésirables et les organismes jugés nuisibles. Qu’il s’agisse de pesticides autorisés aujourd’hui ou utilisés par le passé (dont certains sont rémanents), ils suscitent des inquiétudes concernant leurs effets possibles sur la santé humaine et plus largement sur l’environnement. Afin de mieux apprécier leurs effets sanitaires, l’Inserm a été saisi en 2018 par cinq directions générales ministérielles en vue d’actualiser l’expertise collective intitulée « Pesticides : Effets sur la santé » publiée en 2013.

      L’expertise collective de 2021 dresse un bilan des connaissances dans le domaine au travers d’une analyse critique de la littérature scientifique internationale publiée depuis 2013. Plus de 5 300 documents ont été rassemblés et analysés par un groupe d’experts multidisciplinaire. L’expertise commence par une analyse sociologique de la montée des préoccupations concernant les pesticides et une présentation des connaissances sur l’exposition aux pesticides de la population française, puis elle aborde une vingtaine de #pathologies dont les #troubles_du_développement_neuropsychologique_et_moteur de l’enfant, les #troubles_cognitifs et anxio-dépressifs de l’adulte, les #maladies_neurodégénératives, les cancers de l’#enfant et de l’adulte, l’#endométriose et les #pathologies_respiratoires ainsi que thyroïdiennes. Une dernière partie est consacrée à des pesticides ou familles de pesticides particuliers : le #chlordécone, le #glyphosate et les #fongicides_inhibiteurs_de_la_succinate_déshydrogénase (#SDHi). La présomption d’un lien entre l’exposition aux pesticides et la survenue d’une pathologie est appréciée à partir des résultats des #études_épidémiologiques évaluées et est qualifiée de forte, moyenne ou faible. Ces résultats sont mis en perspective avec ceux des #études_toxicologiques pour évaluer la plausibilité biologique des liens observés.

      Exposition en milieu professionnel

      En considérant les études sur des populations qui manipulent ou sont en contact avec des pesticides régulièrement, et qui sont a priori les plus exposées, l’expertise confirme la présomption forte d’un lien entre l’exposition aux pesticides et six pathologies : #lymphomeslymphomes_non_hodgkiniens (#LNH), #myélome multiple, cancer de la #prostate, #maladie_de_Parkinson, troubles cognitifs, #bronchopneumopathie chronique obstructive et #bronchite chronique. Pour les LNH, il a été possible de préciser des liens (présomption forte) avec des substances actives (#malathion, #diazinon, #lindane, #DDT) et avec une famille chimique de pesticides (#organophosphorés), et pour la maladie de Parkinson et les troubles cognitifs avec les #insecticides organochlorés et les organophosphorés, respectivement. Il s’agit essentiellement de pesticides pour lesquels les études se sont appuyées sur des biomarqueurs permettant de quantifier l’exposition. Les études toxicologiques confirment que les mécanismes d’action de ces substances actives et familles de pesticides sont susceptibles de conduire aux effets sanitaires mis en évidence par les études épidémiologiques.

      Des liens ont été identifiés pour d’autres pathologies ou événements de santé avec une présomption moyenne. C’est le cas notamment pour la maladie d’#Alzheimer, les troubles anxio-dépressifs, certains cancers (#leucémies, système nerveux central, vessie, rein, sarcomes des tissus mous), l’#asthme et les #sifflements_respiratoires, et les pathologies thyroïdiennes.

      Exposition pendant la #grossesse ou l’#enfance

      Les études épidémiologiques sur les cancers de l’enfant permettent de conclure à une présomption forte de lien entre l’exposition aux pesticides de la mère pendant la grossesse (exposition professionnelle ou par utilisation domestique) ou chez l’enfant et le risque de certains cancers, en particulier les leucémies et les tumeurs du système nerveux central.

      Les études de cohortes mères-enfants ont permis de caractériser les liens entre l’exposition professionnelle ou environnementale (c’est-à-dire en population générale) des mères pendant la grossesse et les troubles du développement neuropsychologique et moteur de l’enfant. Il est difficile de pointer des substances actives en particulier, mais certaines familles chimiques de pesticides sont impliquées, avec un niveau de présomption fort, notamment les #insecticides organophosphorés et les #pyréthrinoïdes dont l’usage a augmenté en substitution aux insecticides organophosphorés. Le lien entre les #organophosphorés et l’altération des #capacités_motrices, cognitives et des fonctions sensorielles de l’enfant est confirmé et les nouvelles études sur les #pyréthrinoïdes mettent en évidence un lien entre l’exposition pendant la grossesse et l’augmentation des #troubles_du_comportement de type internalisé tels que l’#anxiété chez les enfants. Les données expérimentales sur des rongeurs suggèrent une #hyperperméabilité de la barrière hémato-encéphalique aux #pyréthrinoïdes aux stades les plus précoces du développement, confortant la plausibilité biologique de ce lien. De plus, comme le montrent les études récentes d’expologie, ces insecticides, qui ont été à la fois utilisés en #agriculture mais également dans les sphères domestiques, induisent une contamination fréquente des environnements intérieurs.

      Exposition des #riverains des #zones_agricoles

      Les populations riveraines des zones agricoles peuvent être concernées par la dérive des produits épandus sur les cultures. En effet, des études suggèrent une influence de la #proximité aux zones agricoles sur la #contamination par les pesticides du lieu de vie, variable selon les substances, leur mode d’application et la manière d’estimer l’exposition. Des études écologiques ou cas-témoins avec géolocalisation reposant sur la caractérisation de l’activité agricole au voisinage des adresses de résidences suggèrent un lien entre l’exposition des riverains des terres agricoles et la maladie de #Parkinson, et également entre la #proximité_résidentielle à des zones d’#épandages de pesticides (rayon <1,5 km) et le comportement évocateur des troubles du spectre autistique chez l’enfant. Cependant, ces études présentent des limites importantes liées à l’évaluation fine de l’exposition ou à l’absence de données individuelles, ce qui rend le niveau de présomption faible.

      Focus sur le chlordécone, le glyphosate et les inhibiteurs de la succinate déshydrogénase

      Le chlordécone, #insecticide utilisé aux #Antilles_françaises dans le passé, persiste de nos jours dans les milieux naturels insulaires. La consommation des denrées alimentaires contaminées a entraîné une contamination de l’ensemble de la population. La présomption forte d’un lien entre l’exposition au chlordécone de la population générale et le risque de survenue de #cancer_de_la_prostate a été confirmée. En considérant l’ensemble des données épidémiologiques et toxicologiques disponibles, la causalité de la relation est jugée vraisemblable.

      Concernant l’herbicide glyphosate, l’expertise a conclu à l’existence d’un risque accru de LNH avec une présomption moyenne de lien. D’autres sur-risques sont évoqués pour le #myélome multiple et les #leucémies, mais les résultats sont moins solides (présomption faible). Une analyse des études toxicologiques montre que les essais de #mutagénicité sur le glyphosate sont plutôt négatifs, alors que les essais de #génotoxicité sont plutôt positifs, ce qui est cohérent avec l’induction d’un stress oxydantstress oxydant. Les études de cancérogenèse expérimentale chez les rongeurs montrent des excès de cas, mais ne sont pas convergentes. Elles observent des #tumeurs différentes, pour les mâles ou les femelles, qui ne se produisent qu’à des doses très élevées et uniquement sur certaines lignées. D’autres mécanismes de #toxicité (effets intergénérationnels, perturbation du microbiote...) sont évoqués qu’il serait intéressant de considérer dans les procédures d’évaluation réglementaire.

      Pour les fongicides SDHi, qui perturbent le fonctionnement mitochondrial par l’inhibition de l’activité SDH, un complexe enzymatique impliqué dans la respiration cellulaire et le #cycle_de_Krebs, il n’existe à ce jour pratiquement aucune donnée épidémiologique portant sur les effets possibles de ces substances sur la santé des agriculteurs ou de la population générale. Les études toxicologiques ou mécanistiques montrent que certains SDHi pourraient être considérés comme des #perturbateurs_endocriniens au moins chez les modèles animaux utilisés (poissons). Alors que les SDHi ne présentent aucune génotoxicité, certains montrent des effets cancérogènes chez les rongeurs mais ce résultat est discuté sur la base d’un mécanisme de cancérogenèse non extrapolable aux humains. Des recherches sont nécessaires pour améliorer l’évaluation du potentiel cancérogène des SDHi, et plus généralement des composés non génotoxiques, et pour combler les lacunes dans les données humaines par le renforcement de la biosurveillance et l’exploitation des cohortes existantes.

      En conclusion

      L’expertise souligne l’importance de réévaluer périodiquement les connaissances dans ce domaine. La confirmation et la mise en évidence de présomptions fortes de liens entre certaines pathologies et l’exposition aux pesticides doivent orienter les actions publiques vers une meilleure protection des populations. Ces questions relatives aux liens entre une exposition aux pesticides et la survenue de certaines pathologies s’inscrivent dans une complexité croissante, la littérature faisant apparaître une préoccupation concernant les effets indirects de certains pesticides sur la santé humaine par le biais des effets sur les #écosystèmes. L’#interdépendance en jeu mériterait d’être davantage étudiée et intégrée, au même titre que les aspects sociaux et économiques afin d’éclairer les prises de décisions lors de l’élaboration des politiques publiques.

      https://www.inserm.fr/information-en-sante/expertises-collectives/pesticides-effets-sur-sante

      Pour télécharger l’étude :


      https://www.inserm.fr/sites/default/files/2021-07/Inserm_ExpertiseCollective_Pesticides2021_RapportComplet_0.pdf

      #toxicologie #thyroïde #autisme

  • #Amiens : propriétaire violent, appel à soutien du #Collectif_La_Brèche (la suite)
    https://fr.squat.net/2021/07/06/amiens-proprietaire-violent-appel-a-soutien-du-collectif-la-breche

    Salut à toutes et tous ! Suite à notre appel à soutien, afin de faire nombre et de dissuader par notre présence les tentatives d’expulsion illégale par notre propriétaire, de nombreuses personnes sont venues nous soutenir. Ça a fait chaud au cœur, et on remercie toutes les personnes qui sont passées dormir, discuter, amener à […]

    #65_rue_Thuillier-Delambre #Rivery

  • #Amiens : appel à soutiens ! Le squat du #Collectif_La_Brèche menacé violemment par un proprio
    https://fr.squat.net/2021/07/01/amiens-appel-a-soutiens-le-squat-du-collectif-la-breche-menace-violemment-

    Communiqué du collectif la Brèche Salut à tous.tes Voilà 2 ans que le collectif la Brèche occupe un lieu à #Rivery (périphérie d’Amiens). Le bâtiment était abandonné depuis de nombreuses années, et était dans un bien triste état quand nous l’avons investi. Son proprio, qui habite à Nice, possède en outre de nombreuses autres propriétés, […]

    #65_rue_Thuillier-Delambre

  • Loren Bidard : Les riverains face à la restauration écologique et à l’entretien des cours d’eau : Exemples dans les vallées de la #Risle et de l’Eure
    https://reseaux.parisnanterre.fr/loren-bidard-les-riverains-face-a-la-restauration-ecologique-e

    Ce carnet est issu d’un travail de master 2 mené au sein de l’UMR LAVUE à l’Université Paris Nanterre entre mars et septembre 2020. Évolution de la réglementation : une affirmation des principes écologiques La notion de continuité écologique a été … Lire la suite

    #Carnets_de_terrain #entretien #eure #restauration_des_cours_d'eau #riverain

  • Organizing amidst Covid-19


    Organizing amidst Covid-19: sharing stories of struggles
    Overviews of movement struggles in specific places

    Miguel Martinez
    Mutating mobilisations during the pandemic crisis in Spain (movement report, pp. 15 – 21)

    Laurence Cox
    Forms of social movement in the crisis: a view from Ireland (movement report, pp. 22 – 33)

    Lesley Wood
    We’re not all in this together (movement report, pp. 34 – 38)

    Angela Chukunzira
    Organising under curfew: perspectives from Kenya (movement report, pp. 39 – 42)

    Federico Venturini
    Social movements’ powerlessness at the time of covid-19: a personal account (movement report, pp. 43 – 46)

    Sobhi Mohanty
    From communal violence to lockdown hunger: emergency responses by civil society networks in Delhi, India (movement report, pp. 47 – 52)
    Feminist and LGBTQ+ activism

    Hongwei Bao
    “Anti-domestic violence little vaccine”: a Wuhan-based feminist activist campaign during COVID-19 (movement report, pp. 53 – 63)

    Ayaz Ahmed Siddiqui
    Aurat march, a threat to mainstream tribalism in Pakistan (movement report, pp. 64 – 71)

    Lynn Ng Yu Ling
    What does the COVID-19 pandemic mean for PinkDot Singapore? (movement report, pp. 72 – 81)

    María José Ventura Alfaro
    Feminist solidarity networks have multiplied since the COVID-19 outbreak in Mexico (movement report, pp. 82 – 87)

    Ben Trott
    Queer Berlin and the Covid-19 crisis: a politics of contact and ethics of care (movement report, pp. 88 – 108)
    Reproductive struggles

    Non Una Di Meno Roma
    Life beyond the pandemic (movement report, pp. 109 – 114)
    Labour organising

    Ben Duke
    The effects of the COVID-19 crisis on the gig economy and zero hour contracts (movement report, pp. 115 – 120)

    Louisa Acciari
    Domestic workers’ struggles in times of pandemic crisis (movement report, pp. 121 – 127)

    Arianna Tassinari, Riccardo Emilia Chesta and Lorenzo Cini
    Labour conflicts over health and safety in the Italian Covid19 crisis (movement report, pp. 128 – 138)

    T Sharkawi and N Ali
    Acts of whistleblowing: the case of collective claim making by healthcare workers in Egypt (movement report, pp. 139 – 163)

    Mallige Sirimane and Nisha Thapliyal
    Migrant labourers, Covid19 and working-class struggle in the time of pandemic: a report from Karnataka, India (movement report, pp. 164 – 181)
    Migrant and refugee struggles

    Johanna May Black, Sutapa Chattopadhyay and Riley Chisholm
    Solidarity in times of social distancing: migrants, mutual aid, and COVID-19 (movement report, pp. 182 – 193)

    Anitta Kynsilehto
    Doing migrant solidarity at the time of Covid-19 (movement report, pp. 194 – 198)

    Susan Thieme and Eda Elif Tibet
    New political upheavals and women alliances in solidarity beyond “lock down” in Switzerland at times of a global pandemic (movement report, pp. 199 – 207)

    Chiara Milan
    Refugee solidarity along the Western Balkans route: new challenges and a change of strategy in times of COVID-19 (movement report, pp. 208 – 212)

    Marco Perolini
    Abolish all camps in times of corona: the struggle against shared accommodation for refugees* in Berlin (movement report, pp. 213 – 224)
    Ecological activism

    Clara Thompson
    #FightEveryCrisis: Re-framing the climate movement in times of a pandemic (movement report, pp. 225 – 231)

    Susan Paulson
    Degrowth and feminisms ally to forge care-full paths beyond pandemic (movement report, pp. 232 – 246)

    Peterson Derolus [FR]
    Coronavirus, mouvements sociaux populaires anti-exploitation minier en Haïti (movement report, pp. 247 – 249)

    Silpa Satheesh
    The pandemic does not stop the pollution in River Periyar (movement report, pp. 250 – 257)

    Ashish Kothari
    Corona can’t save the planet, but we can, if we listen to ordinary people (movement report, pp. 258 – 265)
    Food sovereignty organising

    Dagmar Diesner
    Self-governance food system before and during the Covid-crisis on the example of CampiAperti, Bologna (movement report, pp. 266 – 273)

    URGENCI
    Community Supported Agriculture is a safe and resilient alternative to industrial agriculture in the time of Covid-19 (movement report, pp. 274 – 279)

    Jenny Gkougki
    Corona-crisis affects small Greek farmers who counterstrike with a nationwide social media campaign to unite producers and consumers on local level! (movement report, pp. 280 – 283)

    John Foran
    Eco Vista in the quintuple crisis (movement report, pp. 284 – 291)
    Solidarity and mutual aid

    Michael Zeller
    Karlsruhe’s “giving fences”: mobilisation for the needy in times of COVID-19 (movement report, pp. 292 – 303)

    Sergio Ruiz Cayuela
    Organising a solidarity kitchen: reflections from Cooperation Birmingham (movement report, pp. 304 – 309)

    Clinton Nichols
    On lockdown and locked out of the prison classroom: the prospects of post-secondary education for incarcerated persons during pandemic (movement report, pp. 310 – 316)

    Micha Fiedlschuster and Leon Rosa Reichle
    Solidarity forever? Performing mutual aid in Leipzig, Germany (movement report, pp. 317 – 325)
    Artistic and digital resistance

    Kerman Calvo and Ester Bejarano
    Music, solidarities and balconies in Spain (movement report, pp. 326 – 332)

    Neto Holanda and Valesca Lima [PT]
    Movimentos e ações político-culturais do Brasil em tempos de pandemia do Covid-19 (movement report, pp. 333 – 338)

    Margherita Massarenti
    How Covid-19 led to a #Rentstrike and what it can teach us about online organizing (movement report, pp. 339 – 346)

    Dounya
    Knowledge is power: virtual forms of everyday resistance and grassroots broadcasting in Iran (movement report, pp. 347 – 354)
    Imagining a new world

    Donatella della Porta
    How progressive social movements can save democracy in pandemic times (movement report, pp. 355 – 358)

    Jackie Smith
    Responding to coronavirus pandemic: human rights movement-building to transform global capitalism (movement report, pp. 359 – 366)

    Yariv Mohar
    Human rights amid Covid-19: from struggle to orchestration of tradeoffs (movement report, pp. 367 – 370)

    Julien Landry, Ann Marie Smith, Patience Agwenjang, Patricia Blankson Akakpo, Jagat Basnet, Bhumiraj Chapagain, Aklilu Gebremichael, Barbara Maigari and Namadi Saka,
    Social justice snapshots: governance adaptations, innovations and practitioner learning in a time of COVID-19 (movement report, pp. 371 – 382)

    Roger Spear, Gulcin Erdi, Marla A. Parker and Maria Anastasia
    Innovations in citizen response to crises: volunteerism and social mobilization during COVID-19 (movement report, pp. 383 – 391)

    Breno Bringel
    Covid-19 and the new global chaos (movement report, pp. 392 – 399)

    https://www.interfacejournal.net/interface-volume-12-issue-1

    #mouvements_sociaux #résistance #covid-19 #confinement #revue #aide_mutuelle #Espagne #résistance #Irlande #Kenya #impuissance #sentiment_d'impuissance #faim #violence #Delhi #Inde #féminisme #Wuhan #Pakistan #PinkDot #LGBT #Singapour #solidarité_féministe #solidarité #Mexique #care #Berlin #Allemagne #queer #gig_economy #travail #travail_domestique #travailleurs_domestiques #Italie #Egypte #travailleurs_étrangers #Karnataka #distanciation_sociale #migrations #Suisse #route_des_Balkans #Balkans #réfugiés #camps_de_réfugiés #FightEveryCrisis #climat #changement_climatique #décroissance #Haïti #extractivisme #pollution #River_Periyar #Periyar #souveraineté_alimentaire #nourriture #alimentation #CampiAperti #Bologne #agriculture #Grèce #Karlsruhe #Cooperation_Birmingham #UK #Angleterre #Leipzig #musique #Brésil #Rentstrike #Iran #droits_humains #justice_sociale #innovation #innovation_sociale

    ping @isskein @karine4

  • #Amiens : des nouvelles du squat de #Rivery
    https://fr.squat.net/2019/11/21/amiens-des-nouvelles-du-squat-de-rivery

    Salut, voici quelques nouvelles du #Collectif_La_Brèche, groupe de squatteurs et squatteuses à Amiens (Picardie). Si vous en aviez pas eu depuis longtemps, ça veut pas dire qu’on a pas été actifs. Depuis le 14 mai 2019, le bâtiment du #65_rue_Thuillier-Delambre, 80136 Rivery est squatté par le Collectif La Brèche. Avant, ça […]

    #2_rue_Debray #4_rue_Debray #40_rue_Bonvallet #65_boulevard_Guyencourt #La_Mérule #La_Pente #Maison_Cozette #ouverture #Saint_Rock_Village

  • Un #riverain de #Lasne dérangé par un #agriculteur qui travaille un #dimanche : la réaction du fermier fait le buzz
    https://www.rtbf.be/info/regions/detail_un-riverain-de-lasne-derange-par-un-agriculteur-qui-travaille-un-dimanch

    Les nuisances causées par son charroi agricole sont loin d’être insupportables. Mais à proximité de sa culture, on peut apercevoir une dizaine de villas quatre façades. Parmi les habitants de ces maisons, un homme - dont Georges ne veut pas divulguer l’identité - l’appelle sur son portable pour lui demander de cesser son va-et-vient avec son tracteur.

    https://ibb.co/NC9bP2v

  • #Jon_Swain, la traversée des #Khmers_rouges

    Le Cambodge déchiré est au cœur des mémoires du reporter britannique qui narre la décennie 1970-1979, en proie à la peur, à la folie et à une « tristesse majestueuse ».

    La déflagration approche. La glissade a déjà commencé. Quand Jon Swain débarque à l’aéroport Pochentong de Phnom Penh, l’Indochine est presque déjà un souvenir. Elle hante encore les discussions, nourrit l’imaginaire et sert de toile de fond au chaos qui surgit. Jon Swain a alors « à peine plus de vingt ans », la foi des aventuriers et l’envie des rêveurs d’ailleurs, égarés dans le conformisme et la grise monotonie de l’Occident. Par un matin froid de 1970, le journaliste quitte son desk anglais de l’AFP à Paris pour rejoindre les rives du Mékong. Il ne quittera plus le « spectacle vraiment grandiose » de ce fleuve, écrit-il en empruntant à Henri Mouhot, naturaliste et explorateur français du XIXe siècle qui l’accompagne dans ce voyage sans réel retour. Marqué à vie par la « tristesse majestueuse d’un pays torturé mais magnifique ».

    Jon Swain va s’immerger sans sombrer, malgré de terribles remous. Il arrive dans un « Cambodge sans avenir ». Epaulé par les Etats-Unis, le maréchal Lon Nol vient de chasser du pouvoir Norodom Sihanouk. La guerre du Vietnam déborde dans le trop petit, trop fragile et trop divisé royaume khmer. Les combats sont déjà aux portes de Phnom Penh. Swain passe son baptême du feu comme reporter embarqué dans les rangs de l’armée cambodgienne du général Dien Del. Ses hommes luttent contre les vietcongs, un boudha sculpté autour du cou pour gri-gri antiballes, des baskets aux pieds et des chapelets de grenade comme des pommes à leur ceinture. Les Khmers rouges, casquette Mao et sandales Ho Chi Minh, sortent de la forêt.

    Rêvasseries opiacées.
    Swain découvre combien la « guerre nous rend aussi romantiques que cyniques ». Quelques pages avec des rêvasseries opiacées dans les antichambres des bordels, des « beautés exotiques aux yeux en amande et à la peau caramel » fleurent bon le folklore de pacotille à la mode du Mal jaune de Lartéguy. Même si l’on comprend que le « sexe et l’opium ont été des exutoires essentiels à la survie », rappelle Swain qui a trouvé l’amour dans les bras de Jacqueline et l’amitié indéfectible aux côtés des reporters et photographes.

    Hormis ces passages, ces mémoires, pour la première fois traduits en France, sont un témoignage rare et un récit prenant, parfois effrayant, d’un monde qui sombre, de Saigon à Phnom Penh, de Hanoi au golfe de Thailande, dans cette décennie (1970-1979) qui a été un bain de sang en Asie du Sud-Est. Dans la galerie de personnages côtoyés (tenancières, diplomates, patron de bar, combattants, villageois, écrivains et journalistes), dans ces scènes qui racontent la dérobade au bord de l’abîme, on voit la « peur gagner du terrain ». Swain campe comment les Cambodgiens « vivaient simplement, naturellement. Sans la moindre idée du désastre à venir. […] Avec une foi puérile dans la capacité des Occidentaux à résoudre leurs problèmes ». Le Cambodge est au cœur du livre, en proie aux déchirures.

    Capitale ratissée.
    Swain est à Phnom Penh quand la capitale est prise par les Khmers rouges, le 17 avril 1975. Il est bientôt minuit dans le Royaume. « La folie semblait prendre le pouvoir », note le reporter du Sunday Times. Le 17 avril 1975, il est braqué par des « gamins, les yeux injectés de haine, la bouche écumante. […] Des petits paysans avec la mort au bout des doigts. […] J’étais encore assez jeune pour penser que la mort, même au Cambodge, n’arrivait qu’aux autres. Là, j’avais le sentiment qu’elle me tendait les bras. » Grâce à Dith Pran, le fixeur cambodgien du New York Times, il échappe à l’exécution. L’histoire sera au cœur de la Déchirure, le film de Roland Joffé en 1985.

    Swain est l’un des très rares journalistes présents à l’ambassade de France, dernier îlot de liberté dans une capitale ratissée par des Khmers rouges vindicatifs et sanguinaires. « Mais que pouvait la souveraineté française au milieu de ce fatras révolutionnaire et du pouvoir absurde des armes ? » Le récit de ces jours « sombres entre tristesse et effroi » (Libération du 29 juin 2010) est quasi unique. River of Time raconte le dilemme des autorités françaises qui ont dû livrer des centaines de Cambodgiens aux mains de leurs futurs bourreaux. Et rappelle le rôle joué par François Bizot, alors anthropologue, qui, lui aussi, a consigné ces moments terribles dans le Portail.

    Puis l’ambassade est évacuée, Swain transféré vers la Thaïlande. Il parcourt le Laos, le Vietnam où le nord communiste finit par avaler pour de bon le sud du pays. Dans des pages terrifiantes et noires comme de l’encre, il croise la route de boat people vietnamiens, survivants des viols, des tortures, du cannibalisme. Raconte la tragédie d’un peuple qui « supporte l’insupportable ». Funeste parabole d’un monde englouti.

    https://next.liberation.fr/livres/2019/07/03/jon-swain-la-traversee-des-khmers-rouges_1737792
    #livre #histoire #génocide #Cambodge

    ping @albertocampiphoto

    • River of time

      « Le formidable livre de Jon Swain va bien plus loin que tout ce que j’ai lu sur le tragique conflit d’Indochine. C’est à la fois une lettre d’amour à un pays qu’il adore et une introspection sans concession. River of Time est le témoignage d’événements terribles et douloureux. Ce livre est d’une honnêteté désarmante. C’est une étude brillante et perturbante sur les liens ancestraux entre la beauté, la mort, la violence et l’imagination qui se sont mêlés au Vietnam comme nulle part ailleurs. » J. G. Ballard, Sunday Times. 1970. Jon Swain a vingt-deux ans. Il couvre la guerre du Vietnam et est l’un des rares journalistes présents à Phnom Penh quand la ville tombe aux mains des Khmers rouges. Capturé, il échappe de peu à l’exécution grâce à l’interprète cambodgien du New York Times, Dith Pran. Cette histoire bouleversante a inspiré le célèbre film de Roland Joffé, La Déchirure (The Killing Fields). « Le livre de Jon Swain conjugue plus qu’aucun autre la poésie avec une description précise et rigoureuse des faits. » François Bizot, auteur du Portail. « L’un des meilleurs livres sur les guerres d’Indochine écrits par un correspondant de presse avec ceux de Michael Herr ou de Neil Sheehan. » Rémy Ourdan, Le Monde.


      https://editionsdesequateurs.fr/Actualites/Catalogue/RiverOfTime

  • Two French rivers disappear underground in cracks and sinkholes (ht...
    https://diasp.eu/p/7587675

    Two French rivers disappear underground in cracks and sinkholes

    Two French rivers disappear underground in large cracks and sinkholes: The Doubs River (Franche-Comté) and the Risle (Normandy). And nobody knows when they are coming back! Article word count: 428

    HN Discussion: https://news.ycombinator.com/item?id=17782892 Posted by Earth_Change (karma: 94) Post stats: Points: 114 - Comments: 20 - 2018-08-17T14:06:10Z

    #HackerNews #and #cracks #disappear #french #rivers #sinkholes #two #underground

    Article content:

    The Doubs river flows normally in Franche-Comté, France. But since about a week or so, the river has totally dried up over a length of more than 1 km, between Pontarlier and Morteau, although precipitation has been abundant this winter and spring. The river has (...)

  • ’Sulla pelle dei profughi hanno mangiato in tanti’

    Per evitare che il sospetto spazzi via anche ciò che di buono viene fatto, e non è poco, il Cantone dovrebbe togliere quel velo opaco che finora ha coperto i mandati ad associazioni e privati che si occupano dei migranti". A sfogarsi è una persona che conosce bene ciò che succede nelle stanze dell’Ufficio cantonale del sostegno sociale e dell’inserimento (Ussi). Una «gola profonda» nauseata da certe situazioni e che ora ha deciso di raccontare cosa, a suo dire, non va. Un racconto che il Caffè riporta tutelando, per ovvie ragioni, la sua identità. Alcune delle accuse riguardano l’#Ussi, il cui capoufficio negli scorsi giorni, per decisione del Dipartimento sanità e socialità, è stato esautorato di ogni responsabilità sul Servizio richiedenti l’asilo. Una conseguenza dello scandalo per il mandato diretto, e non registrato nella lista delle commesse pubbliche, assegnato ad #Argo1, la società di sicurezza privata finita nella bufera giudiziaria, che aveva ottenuto un incarico milionario per la sorveglianza in tre centri per i richiedenti l’asilo (la cifra ipotizzata sarebbe di oltre 3 milioni di franchi sull’arco degli ultimi due anni e mezzo).


    http://www.caffe.ch/stories/cronaca/57256_sulla_pelle_dei_profughi_hanno_mangiato_in_tanti
    #asile #migrations #réfugiés #économie #business #privatisation #Suisse #Tessin

    –-
    sur ce bunker voir aussi:

    sur ce bunker voir aussi:
    https://seenthis.net/messages/789186
    https://seenthis.net/messages/926614

  • The biggest problem for Trump’s border wall isn’t money. It’s getting the land.

    Tamez fought the government in federal court. During seven years of litigation and negotiation, she became famous for resisting the border fence. The government eventually paid her $56,000 for a quarter-acre the fence sits on and gave her a code to open a gate so she can access her land to its south.

    Imagine this playing out over and over again along the 1,300 miles of borderlands that President Trump wants to wall up. “We will soon begin the construction of a great wall along our southern border,” Trump promised Tuesday night in an address to Congress. “It will be started ahead of schedule, and, when finished, it will be a very effective weapon against drugs and crime.”

    https://www.washingtonpost.com/posteverything/wp/2017/03/03/the-biggest-problem-with-trumps-border-wall-isnt-money-its-getting-the-land/?postshare=2361488659805129&tid=ss_tw
    #aménagement_du_territoire #terres #murs #barrières_frontalières #résistance #frontières #USA #Etats-Unis
    cc @daphne @albertocampiphoto @marty @reka

    • Sur le même sujet dans le passé...

      Donald Trump’s Great Wall of eminent domain

      Randal John Meyer of the Cato Institute has an interesting article explaining how Donald Trump’s plan to build a wall across the Mexican border would require the use of eminent domain to forcibly displace large numbers of American property owners: What Donald Trump doesn’t want you to know about his plan to build a “Great Wall” between the U.S. and Mexico: He’d need to steal private property from Americans to build it.

      https://www.washingtonpost.com/news/volokh-conspiracy/wp/2016/04/01/donald-trumps-great-wall-of-eminent-domain
      #propriété_privée

    • Landowners Likely To Bring More Lawsuits As Trump Moves On Border Wall

      Hundreds of irate landowners along the river have protested what they call a government land grab to install the controversial fence. Their cases landed before U.S. District Judge Andrew Hanen in Brownsville. He calls himself “the fence judge.”

      http://www.npr.org/2017/02/23/516895052/landowners-likely-to-bring-more-lawsuits-as-trump-moves-on-border-wall

    • ‘Impenetrable, physical, tall’: Colbert uses Trump’s speeches to calculate border-wall costs

      If President Trump is the finicky client describing what he wants for a monstrous wall-building project along the Mexican border, Stephen Colbert is the flummoxed architect trying to fashion a blueprint from his bombastic adjectives.

      https://www.washingtonpost.com/news/style/wp/2017/03/11/impenetrable-physical-tall-colbert-uses-trumps-speeches-to-calculate
      #coût #prix #satire

    • Americans and Mexicans living at the border are more connected than divided

      During my travels, I started thinking of the space between the two countries as a kind of “third nation.” I confess, I’ve never heard anyone in a border city refer to their turf as a third nation. Locals have many other ways of describing their special connection across the line, like “twin cities” and “ciudades hermanas” (sister cities). Some even call themselves “transborder citizens” living in a “transfrontier metropolis.”

      http://www.sanluisobispo.com/opinion/article138142578.html
      #liens #connexions #échanges

    • Las grietas del muro

      Este material cuenta con derechos de propiedad intelectual. De no existir previa autorización por escrito de EL UNIVERSAL, Compañía Periodística Nacional S. A. de C. V., queda expresamente prohibida la publicación, retransmisión, distribución, venta, edición y cualquier otro uso de los contenidos (Incluyendo, pero no limitado a, contenido, texto, fotografías, audios, videos y logotipos). Si desea hacer uso de este contenido por favor comuníquese a la Agencia de Noticias de El Universal, al 57091313 extensión 2425. Muchas gracias.

      http://www.eluniversal.com.mx/entrada-de-opinion/articulo/carlos-heredia-zubieta/mundo/2017/04/2/las-grietas-del-muro

    • The Trump Administration is Hiring 12 Attorneys to Seize Land for His Border Wall

      The Trump administration is hiring a small army of attorneys to fight landowners so the government can seize the property needed to build the wall on the U.S.-Mexico border that President Donald Trump promised his supporters.

      It is not clear how many Americans will have their land seized, how long the process will take, or how much it will cost, according to a new report published by Democrats on the Senate Homeland Security Committee Monday. But the administration is gearing up for a fight nonetheless.

      http://www.newsweek.com/trump-administration-hiring-12-attorneys-seize-land-his-border-wall-710444

    • Le « mur » de Trump va bientôt traverser leur jardin

      Dans la vallée du Rio Grande, la plupart des terrains où le mur de Donald Trump doit être construit sont privés. Les propriétaires tentent de résister face à un État qui a tous les droits, y compris celui de les flouer. Deuxième volet de notre série de reportages au sud du Texas, à la frontière mexicaine.


      https://www.mediapart.fr/journal/international/030319/le-mur-de-trump-va-bientot-traverser-leur-jardin

    • Rio Grande Valley Landowners Plan To Fight Border Wall Expansion

      President Trump last week vetoed a congressional measure aimed at blocking his national emergency declaration. The next battle over that emergency declaration will likely be in the courts.

      Meanwhile, planning for extending the border wall is already happening in Texas’ Rio Grande Valley.

      More than 570 landowners in two counties, Hidalgo and Starr, have received right-of-entry letters from the government asking to survey their land for possible border wall construction.

      Eloisa Tamez lives in El Calaboz, a small town outside of Brownsville, Texas. In 2007, she received a phone call that she describes as life-changing.

      “I was notified by two border patrolmen, that ’did I know that my property was in the path of the planned construction of the border wall,’” Tamez said. “I told them I did not know.”

      The government wanted permission to access her land to survey it, but she refused, so they took her court, where her case dragged on for months, but, eventually — she lost her case.

      “Within 24 hours after he gave the order, they built that,” Tamez said, referring to the wall that now sits behind her property.

      Next, came the battle for compensation.

      The government originally low-balled her, she said, so she sued for more.

      “The settlement that I got, which was $56,000,” Tamez said. “I converted some of that for scholarships for graduate nursing students.”

      Tamez said she didn’t want the money and just wanted her land, without a wall.

      Tamez’s experiences in dealing with the government back then is similar to what other landowners went through — they fought, they lost, the wall was built.

      Now it seems like those legal skirmishes will begin again.

      Efrén Olivares, director of the racial and economic justice program at the Texas Civil Rights Project, said this time around it seems more people will be impacted, but is hopeful more residents now know their rights.

      “What happened last time ... a lot of people didn’t know they didn’t have to accept the first offer, so they signed without knowing they were giving up their rights,” Olivares said.

      Olivares said landowners in the Rio Grande Valley should know the courts can weigh in on the surveying and the compensation amounts.

      In this latest effort to extend the wall, Congress has required the federal government to meet with local officials to discuss design and alignment of the border barrier.

      In Starr county, Roma Mayor Roberto Salinas said he met with local Border Patrol officials three weeks ago to try to negotiate on behalf of his community.

      “Right now what’s planned below the center of town is an 18 feet steel fence,” Mayor Salinas said. “We think that would be a detriment to tourism, instead what we would like to see is something more like a concrete barrier built with some decorative fencing on top of it that would enhance tourism.”

      Salinas said the border patrol officials were receptive, but there’s no official contract.

      Mayor Salinas said he understands both sides of the wall debate.

      “Border Patrol and Homeland Security say they need the fence in order to do their jobs. I’m a big supporter of Border Patrol and Homeland Security and if they say they need it, I think we should comply and give them what they need,” Salinas said.

      The mayor said border officials assured him no homes would be displaced during the construction of a new border wall, but he’s skeptical because they’ve walked back commitments in the past.

      Ninety-year-old Elvira Canales lives in Salineño, a 15-minute drive west of Roma.

      She said she recently talked to the Army Corps of Engineers about an upcoming road construction project near her property by the Rio Grande. Canales said she’ll take legal action if the government tries to take her land for the road, or for the proposed wall.

      “I won’t sell it, or I won’t give it permission because it’s my property for generations and generations,” Canales said.

      The Canales family has not yet received an official letter from the government asking for permission to survey their land.

      U.S. Customs and Border Protection officials provided NPR with a statement saying they prefer to avoid homes and other structures, and are in the preliminary stages of planning and designing in Starr County. CBP also said it has not finalized border wall construction timelines for the county.

      https://www.npr.org/2019/03/19/704116416/rio-grande-valley-landowners-plan-to-fight-border-wall-expansion?t=155306324746

    • Border wall goes up, landowners continue to fight

      The #Cavazos family is still taking a stance against the border wall as construction continues in other parts of the Valley.

      Freddy Cavazos, property owner along the US-Mexico border, is reminded of what his grandmother useD to say to him when we was kid.

      “She said never sell this property, our grandma kept telling us,” said Freddy Cavazos.

      The Cavazos family hasn’t sold it, instead they’ve continued to fight against the federal government’s eminent domain.

      “We were supposed to have this all cleared up in June, but they keep postponing and postponing,” said Freddy Cavazos.

      The 60-acre property is owned by several family members, Reynaldo Azaldua Cavazos is one of them.

      “How much are you getting? $3.98,” responded Reynaldo Azaldua.

      The Cavazos family settled for $350 for the government to access their land for 12 months.

      An offer that originally stood at $100.

      “It just shows, the low ball offers, the pennies on the dollars, that the government is willing to offer these border wall properties,” said Rick Garza, Staff Attorney for Texas Civil Rights Project representing the Cavazos family.

      Now government officials have made their way onto the Cavazos family ranch for the next step.

      “We had appraisers here last week, they looked at every structure here,” said Reynaldo Azaldua.

      According to the Texas Civil Rights Project, the government’s offer can come in the next few days or even months.

      For now, it’s a waiting game and family members say they are willing to play as long as they try to keep their grandmothers ranch.

      “She would probably tell us keep fighting, hijos keep fighting, even if you lose in the end,” said Freddy Cavazos.

      The Cavazos family’s next court date is scheduled to be in December.

      https://valleycentral.com/news/local/border-wall-goes-up-landowners-continue-to-fight

    • Trump admin preparing to take over private land in #Texas for border wall

      The Trump administration is preparing court filings to begin taking over private land in Texas to build a border wall as early as this week, say officials.

      https://www.nbcnews.com/politics/immigration/trump-admin-preparing-take-over-private-land-border-wall-n1082316?cid=sm_np

  • « Nous ne pouvons rester sourds au désarroi de parents d’enfants, de riverains à l’idée d’un projet qui vise à implanter un centre permanent de 200 jeunes réfugiés non accompagnés, âgés de 15 à 18 ans, sur une parcelle contiguë aux écoles enfantine et primaire
    d’Aïre » dixit Daniel Rochat du comité de l’Association des
    intérêts d’Aïre-Le Lignon (AIALI, http://www.aiali.ch) dans la Tribune de Genève, le 24.05.2016.

    ARRGGHHH !

    #école #peur #asile #migrations #réfugiés #Genève #xénophobie #Aïre #NIMBY #logement #hébergement

    • Un centre pour SDF fait polémique dans le XVIe : ma réponse à ceux qui crachent leur haine

      LE PLUS. Choqué par la polémique née de la future construction d’un centre pour personnes sans domicile fixe dans le XVIe arrondissement de Paris, Eric Labbé a posté sur Facebook une lettre en réponse à un internaute qui se demandait comment il aurait réagi à la place des riverains. Nous l’avons reprise sur le Plus.

      http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1495985-un-centre-pour-sdf-fait-polemique-dans-le-xvie-ma-reponse-
      #riverains
      merci @isskein d’avoir signalé cela

    • ONEX,CITÉ INTERDITE
      Article paru le 13.04.2017 dans Le Matin

      La justice a annulé le permis de construire du centre d’accueil. Le débat reste vif dans la commune genevoise.

      "Bien sûr que j’ai peur. Ce centre serait construit à quelques mètres de l’école où sont scolarisés mes enfants. Je suis désormais soulagée. » À la sortie des classes hier en milieu de journée, plusieurs parents ne cachaient pas leur satisfaction suite à la suspension du permis de construire d’une structure d’accueil de 180 requérants d’asile au cœur de la Cité Nouvelle, à Onex (GE). Migrants et femmes dénudées Sujet sensible, le centre divise les habitants du quartier. Les réfractaires pointent, entre autres, du doigt la proximité de l’école et de la pataugeoire. « Avec tout ce qu’on entend, on ne sait jamais », confie ce père de famille. Un autre voisin se montre plus alarmiste : « On ne va quand même pas mettre des migrants à côté de la piscine et de femmes dénudées. » À quelques mètres de là, Brigitte est venue chercher ses petits-enfants. Elle ne comprend pas la peur de ses concitoyens. « Ces angoisses sont dues en partie à la xénophobie, mais surtout au manque d’information des gens. » Datée du 7 avril, la décision du Tribunal administratif du canton de Genève a été rendue publique mardi via un communiqué de l’UDC. Les juges ont annulé l’autorisation de construire à cause d’un vice de procédure, estimant que les constructions devaient être considérées comme de « petits immeubles ». Ce qui n’était pas prévu dans les plans localisés de quartier (PLQ). L’instance judiciaire remet également en doute la notion de provisoire, étant donné que le centre était prévu sur une durée de huit ans. Pour Daniel Cattani (PS), principal relais politique du centre d’accueil, le revers est amer. « C’est un projet bien construit qui vise à accueillir des familles, souligne le conseiller communal. Loger ces populations dans des structures temporaires est bien plus respectueux que de les laisser dans des abris PCi. » Manque de communication De nombreux résidents regrettaient hier une « tentative de passage en force » des autorités communales, estimant avoir été mis devant le fait accompb. Questionné sur ce manque de communication, Daniel Cattani reconnaît, à demi-mot, une erreur du conseil administratif. « Les gens se sont plaints de ne pas avoir leur mot à dire dans la première phase du projet. Je reste malgré tout persuadé que ce centre verra le jour. Cette décision judiciaire va ralentir les choses. Cela va désormais demander pas mal de temps. » Farouche opposante, Zora Masé savoure cette petite victoire. « J’étais dans la rue tous les jours pendant un mois pour faire signer notre pétition contre ce centre », explique la présidente de la section onésienne de l’UDC. Au total, près de 2000 signatures de résidents ont été réunies. Le texte mentionne no tamment « l’insécurité et les nuisances inévitables qui suivront l’installation d’une centaine de migrants ». Un « facteur de risque » Pour Zora Masé, le problème est avant tout écologique. « À titre personnel, je trouve inacceptable de voir disparaître un espace de verdure. Cela dit, certaines personnes du quartier sont inquiètes à cause de la piscine. Mettre des requérants, qui seront probablement musulmans, à côté de femmes dénudées est un facteur de risque. » Rolf Haab, conseiller municipal PLR d’Onex, figure également parmi les signataires de la pétition. L’élu balaie pourtant l’argument sécuritaire. « C’est l’emplacement choisi qui n’est pas approprié, précise-t-il. La Cité Nouvelle est un quartier déjà très dense et peuplé. » Le dossier devrait connaître encore quelques rebondissements. L’Hospice général, qui gère la prise en charge des requérants d’asile sur le canton de Genève, a annoncé qu’elle ferait recours contre cette décision. CE QU’ILS EN PENSENT fill faudrait un espace de rencontre » « Plutôt qu’un simple centre, il faudrait un espace commun de rencontre, un pont entre les migrants et la population d’Onex. C’est la clé de l’intégration. Ça ne doit pas être un lieu où ils ne pourraient que dormir et manger. » Julien « C’est le seul espace vert du quartier » « J’ai signé la pétition. Mon problème est surtout esthétique. Il faut bien accueillir ces gens, mais il y a d’autres endroits dans le canton. Par contre, je pense qu’il n’y aura pas de problèmes sécuritaires avec eux. » Rose-Marie « Je suis contre cette interdiction » « Je ne comprends pas les craintes des gens sur les migrants. Je suis arrivé en Suisse en tant que réfugié en 1995 lorsque j’ai fui le Kosovo. Je suis contre. Il faudrait que ce village puisse être construit. » Fetahu

  • Deux navires de la marine américaine appréhendés par l’Iran
    http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2016/01/12/deux-navires-de-la-marine-americaine-apprehendes-par-l-iran_4846171_3218.htm


    Cette photo fournie par l’armée américaine montre un bateau similaire à ceux appréhendés par l’armée iranienne dans le Golfe persique.
    ZANE ECKLUN / AFP

    Deux bateaux légers de la marine américaine, avec à leur bord 10 marins, ont dérivé dans les eaux territoriales iraniennes et ont été appréhendés par Téhéran, mardi 12 janvier.

    Les Etats-Unis ont obtenu de l’Iran l’assurance que les marins étaient « en sécurité » et pourraient « rapidement » poursuivre leur voyage, a indiqué le porte-parole de la Maison Blanche.

    Selon un autre responsable américain, le secrétaire d’Etat John Kerry a été en contact téléphonique avec son homologue iranien Mohammad Javad Zarif sitôt qu’il a eu vent de l’incident pour tenter de trouver une issue. Les deux diplomates ont noué, au fil des longues négociations sur le nucléaire, des relations personnelles malgré l’interruption, il y a 35 ans, des relations diplomatiques entre leurs deux pays.

    Le commandement américain a perdu le contact avec les deux bateaux alors que ces derniers effectuaient une patrouille, de routine selon Washington, entre le Koweït et Bahreïn. Aucune explication n’a été fournie sur les raisons pour lesquelles les navires se sont retrouvés dans les eaux iraniennes. Un responsable américain, toujours sous couvert d’anonymat, a évoqué l’hypothèse d’une panne touchant l’un des deux navires, les faisant dériver tous deux vers l’île iranienne de Farsi, au milieu du Golfe persique.

    • Vu la nature des bateaux retenus (Riverine Command Boat) et le profil particulièrement bas des réactions états-uniennes, il est difficile de ne pas penser immédiatement à une infiltration ou une covert action

      https://en.wikipedia.org/wiki/CB90-class_fast_assault_craft

      Autre vue sur Pinterest

      L’image fournie au Monde par la marine états-unienne est ainsi légendée


      http://www.navy.mil/view_image.asp?id=126094

      ARABIAN SEA (June 12, 2012) A riverine command boat from Riverine Detachment 23 operates with the amphibious transport dock ship USS New York (LPD 21), not pictured, during a maritime air support operations center exercise. New York is part of the Iwo Jima Amphibious Ready Group with the embarked 24th Expeditionary Unit. New York is deployed in support of maritime security operations and theater security cooperation efforts in the U.S. 5th Fleet area of responsibility.
      (U.S. Navy photo by Mass Communication Specialist 2nd Class Zane Ecklund/Released)

    • US aircraft carrier acted provocatively after Iran arrested sailors: IRGC | News , Middle East | THE DAILY STAR
      https://www.dailystar.com.lb/News/Middle-East/2016/Jan-13/331642-us-aircraft-carrier-acted-provocatively-after-iran-arrested-sai

      A U.S. aircraft carrier acted “provocatively and unprofessionally” for 40 minutes by carrying out maneuvers in the Gulf after Iran arrested 10 American sailors, Iran’s Revolutionary Guards Naval commander, Rear Admiral Ali Fadavi, said on state television Wednesday.

      Separately, a spokesman for the Revolutionary Guards (IRGC) said the U.S. sailors were being interrogated, according to the Tasnim news agency.

    • Iran releases US marines
      http://www.irna.ir/en/News/81919101

      Tehran, Jan 13, IRNA – Iran has released the US marines who had crossed into Iranian terrorial waters.

      According to a statement by the Islamic Revolution Guards Corps, the 10 sailors have been taken to international waters and freed there.

      et sans doute pas (pas encore ?) le navire de commandement, rempli d’outils de communication comme le montrent ses très nombreuses antennes…

    • Une heure plus tard, le communiqué complet (qui ne parle toujours pas des bateaux)

      US marines entered unintentionally, released after apology : IRGC
      http://www.irna.ir/en/News/81919286

      Iran’s Islamic Revolutionary Guards Corps (IRGC) Public Relations Department said in a statement on Wednesday that the US sailors in custody of Iran have been released in the international waters.

      The aircraft carrier USS Harry S. Truman and the French Navy’s Charles de Gaulle aircraft carrier were present in the region when the sailors were detained and the US aircraft carrier had some nervous but passive air and naval reactions which were controlled powerfully and calm returned to the region, the statement added.

      The US sailors had both light and half-heavy weapons with themselves, when arrested, it said.

      The statement noted that US political officials in their repeated contacts with Iranian officials called the action as unintentional and called for the release of the marines.

      The US marines were detained and questioned about their presence in Iran’s territorial waters in the IRGC naval base in the region, it said.

      IRGC statement underlined that after technical and operational investigations of the case and in coordination with political and national security decision makers, the marines were released.

      IRGC reiterated that the marines were released because they had entered Iran’s territorial waters unintentionally and they have apologized for their illegal action.

      Americans guaranteed not to repeat such mistakes again, the statement said.

      IRGC underlined that Iran’s navy is ready to powerfully make any sacrifice in defense of Iran’s sea borders in the Persian Gulf and Strait of Hormuz.

      The US Navy boats entered Iranian territorial waters due to a broken navigation system.

      IRGC Public Relations Department, in a statement, said that the US navy boats were stopped Tuesday at 4:30 PM (local time) when they entered Iranian territorial waters near Farsi Island in the middle of the Persian Gulf.

      IRGC declared that the US navy boats entered Iranian territorial waters illegally.

    • Anxious phone calls, tense moments before Iran’s Supreme Leader okayed U.S. sailors’ release | Reuters
      http://www.reuters.com/article/us-usa-iran-boats-diplomacy-idUSKCN0US02E20160114

      The drama in the Gulf, which the U.S. government had initially hoped to keep under wraps, became public knowledge just hours before President Barack Obama was due to give his annual State of the Union address in Congress.

      Kerry learned of the detention of the sailors in their two small craft at 12:30 p.m. EST (1730 GMT), as he and Defense Secretary Ash Carter met with their Filipino counterparts on the State Department’s eighth floor.

      Kerry almost immediately excused himself and went to his seventh floor office. As it happened, he already had a call scheduled with Zarif at about 12.45 EST.

      Appealing for the sailors’ quick release, Kerry told Zarif: “We can make this into what will be a good story for both of us,” according to a senior State Department official. He repeated that message in follow-up calls, the official said.

      Looming large was the nuclear deal, which both men have invested so much in and striven to protect. In Washington, the deal has come under sustained attack from majority Republicans in Congress who have accused Obama of weakness and say the Iranians are not to be trusted.

      In Tehran, the stakes were no less high. Formal implementation of the nuclear deal is expected to begin within days, giving Iran billions of dollars in relief from economic sanctions in return for curbs on its nuclear activities.

    • Communication officielle de la marine états-unienne (publiée le 18/01)
      (il est, de nouveau, question d’une dérive inexpliquée et d’une panne de moteur)

      DVIDS - News - US Central Command statement on events surrounding Iranian detainment of 10 US Navy Sailors Jan. 12-13, 2016
      https://www.dvidshub.net/news/186483/us-central-command-statement-events-surrounding-iranian-detainment-10-us-n

      The two RCBs were scheduled to conduct an underway refueling with the USCGC Monomoy in international waters at approximately 2 p.m. (GMT). At approximately 2:10 p.m. (GMT) NAVCENT received a report that the RCBs were being queried by Iranians. At approximately 2:29 p.m. (GMT) NAVCENT was advised of degraded communications with the RCBs. At 2:45 p.m. (GMT) NAVCENT was notified of a total loss of communications with the RCBs. Immediately, NAVCENT initiated an intensive search and rescue operation using both air and naval assets including aircraft from USS Harry S. Truman and the U.S. Air Force, and U.S. Coast Guard, U.K. Royal Navy and U.S. Navy surface vessels.

      At the time of the incident, two carrier strike groups were operating nearby. USS Harry S. Truman carrier strike group was 45 miles southeast of Farsi Island and Charles de Gaulle carrier strike group was 40 miles north of Farsi Island. NAVCENT attempted to contact Iranian military units operating near Farsi Island by broadcasting information regarding their search and rescue effort over marine radio, and separately notified Iranian coast guard units via telephone about the search for their personnel. At 6:15 p.m. (GMT), U.S. Navy cruiser USS Anzio received a communication from the Iranians that the RCB Sailors were in Iranian custody and were “safe and healthy.”

      NAVCENT’s initial operational reports showed that while in transit from Kuwait to Bahrain the RCBs deviated from their planned course on their way to the refueling. The command investigation will determine what caused the change in course and why the RCBs entered into Iranian territorial waters in the vicinity of Farsi Island.

      At some point one RCB had indications of a mechanical issue in a diesel engine which caused the crews to stop the RCBs and begin troubleshooting. As the RCBs travel together, the second RCB also stopped. This stop occurred in Iranian territorial waters, although it’s not clear the crew was aware of their exact location. While the RCBs were stopped and the crew was attempting to evaluate the mechanical issue, Iranian boats approached the vessels.
      […]
      A post-recovery inventory of the boats found that all weapons, ammunition and communication gear are accounted for minus two SIM cards that appear to have been removed from two handheld satellite phones.

  • 20 novembre 1910 - Début de la Révolution mexicaine - Herodote.net

    http://www.herodote.net/20_novembre_1910-evenement-19101120.php

    Le 20 novembre 1910, un groupe de Mexicains prend les armes contre le dictateur Porfirio Díaz, en réponse à l’appel lancé des États-Unis par Francisco Indalecio Madero (37 ans). C’est le début d’une révolution longue et douloureuse...

    Une trop longue dictature

    Bourgeois libéral et humaniste, Madero s’est porté candidat au début de l’année 1910 aux élections présidentielles contre le président sortant Porfirio Díaz, un métis de 80 ans qui dirige le Mexique de façon dictatoriale depuis 1876.

    Fort de son autorité, Porfirio Díaz a fait appel à des capitaux étrangers, en particulier américains, pour moderniser les infrastructures et l’économie du pays. Cette modernisation a profité à la bourgeoisie mais enfoncé la paysannerie indienne et métisse dans la misère. Elle a en particulier réduit les terres communales (ejidos) au profit des grandes propriétés (latifundias).

    La candidature de Madero suscite une vive attente chez les peones (paysans indiens ou métis) comme chez les bourgeois libéraux. Mais, dès avant le scrutin, Madero est incarcéré à San Luis Potosí, capitale de l’État du même nom. Il réussit cependant à s’enfuir aux États-Unis où il rédige le plan de San Luis Potosí. C’est un appel à la rébellion contre le dictateur.

    Le signal de la rébellion

    Inquiet de la montée des mécontentements, le dictateur fait arrêter de nombreux « madéristes » à Mexico, le 13 novembre 1910. La riposte ne se fait pas attendre. Une semaine plus tard, le 20 novembre 1910, Pascual Orozco, partisan du chef en exil, prend les armes avec un groupe de mineurs.

    La rébellion madériste est rejointe par Emiliano Zapata, un rebelle indien, ainsi que par Pancho Villa, un bandit du nord. Les « madéristes » défont les troupes gouvernementales et, en mars 1911, contraignent le président à la fuite. (...)

    visuel : Diego Rivera - Le leader agraire Zapata

    #1910 #20_novembre #Mexique #Révolution #Madero #Villa #Zapata #Rivera #Diego_Rivera #économie #politique #changement
    #paysan #réforme #agriculture #art #représentation

  • Everything Old is New « Unrepentant
    http://john.foliot.ca/everything-old-is-new

    I commented that using #justified_text has some fairly serious #accessibility issues for #Dyslexics and some #screen_magnifier users, who will often see the enlarged white-spaces between words in the justified text, rather than the words themselves. The phenomenon is well known, and is referred to as “ #Rivers_of_White ”.

    When I pointed out this problem, my colleague replied “I am using (CSS3) hyphenation — for browsers that support it.” followed by “Graceful degradation is that the text is still fully readable in older browsers. Dyslexics can always upgrade.“

    Putting aside the fact that it may very well not be “fully readable” to the user-groups I just pointed out, the comment about “Dyslexics can always upgrade” floored me. WTF? I had originally seen the justified text in question via my smart-phone (Galaxy S III, so not some low-level feature phone), and I checked it in no less than 5 different browsers I have installed on my phone (Samsung’s native web-kit build, Dolphin, Firefox, Opera Mobile and Opera Mini), and the problem remained. (Perspicacious readers will notice one specific browser missing from that list…)

    #chrome

    "Les dyslexiques peuvent toujours mettre à jour". Saloperie de légende urbaine, ça, que les gens peuvent mettre à jour leurs navigateurs.