#rnaissance

  • Ça faisait longtemps qu’on ne nous avait pas mis en scène une des saines colères de Jupiter.

    « Voilà où on en est  ! » : Emmanuel Macron remonté contre Elisabeth Borne, ce qu’il aurait dit à son sujet
    https://www.voici.fr/news-people/voila-ou-on-en-est-emmanuel-macron-remonte-contre-elisabeth-borne-ce-quil-aura

    Emmanuel Macron n’aurait pas mâché ses mots au sujet de sa collaboratrice lors d’un épisode qui se serait déroulé en privé, devant “sa garde rapprochée, entre le 49.3 et la motion de censure”. “Vous n’avez pas voulu de Catherine Vautrin, vous m’avez vendu Elisabeth Borne comme la perle rare, et voilà où on en est !”, se serait agacé Emmanuel Macron, enlisé dans une crise sans précédent.

  • La visite officielle de Charles III en France reportée en raison de la mobilisation contre la réforme des retraites
    😁😁😁
    Faut leur interdire la vraie vie, ils n’ont plus le droit de venir parader chez nous en grands seigneurs venant visiter le bon peuple.
    Qu’ils restent dans leur palais
    La vraie vie est à nous !

    • Reste plus qu’à se débarrasser de l’autre roitelet.

      Accessoirement, oui puisque le contexte s’y prête mais surtout continuer l’action dans la rue, par la grève et le blocage, pour que lui ou d’autres soient empêchés de continuer leur œuvre de malfaisance sociale. En fait Macron on s’en tape.

    • abandon de la loi immigration, annulation de la visite de Charles 49-3, le pouvoir est aux abois
      le faire venir c’était fournir à nouveau un prétexte à des mobilisations pas forcément contrôlables ("on va recommencer") dans de nombreuses villes (Paris, Versailles, Bordeaux, Marseille). or, sans mobilisation de l’armée, faut économiser le bourrin.

      non sans raison, la presse décrit les syndicats comme surpris par l’ampleur de la mobilisation d’hier : ils peuvent pas commencer à dételer, faut qu’ils suivent, ils ne peuvent pas sérieusement se démarquer d’initiatives prises par le mouvement en cours.

      grève inopinée à France Intox. langue fourchue pas parler !

      tout va mal, eh eh

    • L’abandon de la loi immigration est prévu de longue date

      Oui ils veulent saucissonner l’affaire « immigration » dans une nouvelle loi... comme tu dis ;-) remugle nauséeux du gouvernement Hollande.
      Ceci étant la mobilisation pour les sans papiers est encore à l’orde du jour pour demain :

      ACCUEIL - Campagne Antiracisme et Solidarité
      https://antiracisme-solidarite.org

      Le 25 mars, à l’occasion de la journée internationale contre le racisme, des manifestations seront organisées PARTOUT SUR LE TERRITOIRE contre la loi DARMANIN
      albertville (21 mars) – 11H30 devant la sous-préfecture
      Alençon – 11H rue aux sieurs
      annecy (27 mars) – 18h bourse du travail
      Auxerre – 11h Place Surugue
      bayonne – 16h devant la mairie
      BLOIS – 11h place de la république
      Bordeaux – 14h place pey-berland
      bourg-en-bresse – 11H devant la préfecture
      Brest – 13h30 Place de la Liberté
      Chalon-sur-Saône – 9h 11 rue au Change
      CHAMBERY (21 MARS) – 18h place de genève
      Chartres – 15h Place Charles de Gaulle
      Dunkerque – 15h place jean-bart
      Figeac – 10h place Carnot
      FOIX – 14h30 Halle VILLOTTE
      GAP (28 mars) – 18h devant la préfecture
      GRENOBLE – 14H Place Félix Poulat
      La Rochelle – 14h Port de la Rochelle
      Le Mans – 14h30 place de la République
      LILLE – 11H Place de la république
      LIMOGES (24 mars) – 17h30 devant la préfecture
      LYON – 14H PLACE BELLECOUR
      Mâcon – 11H esplanade Lamartine
      Marseille – 11h Porte d’Aix
      Martigues – 16h30 parvis cinéma la cascade
      MONTPELLIER – 14h place de la comédie
      Nantes – 17h Miroir d’eau
      Nîmes – 10h palais de justice
      Orléans – 15h place de la république
      Paris – 14h Place de la République
      Pau – 15h30 Place clémenceau
      perpignan – 15h place de la victoire
      Quimper (24 mars) – 18h devant la préfecture
      Rennes – 14h30 Place de la République
      Rouen – 14h30 métro théâtre des arts
      Saint-Étienne – 11h Place Jean Jaurés
      strasbourg – 14h place kléber
      tarbes – 10h30 place de verdun
      valence – 10h fontaine monumentale

      J’y serai !

    • @marielle

      « Ça, c’est fait. Reste plus qu’à se débarrasser de l’autre roitelet. »

      Macron est à ce point constitué de mépris et de suffisance qu’il a lancé au pays en ébullition ce défi incroyable : il est inutile de continuer à revendiquer ses droits, de toute façon, le président gagnera la confrontation contre les « factieux ».

      Cela n’a fait qu’empirer la haine sur sa personne . C’est peu de le dire ; il n’y a qu’à sortir dans les rues et écouter pour s’en convaincre. Le pays en chaud bouillant pour lui coller un magistral coup de pied aux fesses.

      On aurait tord de ne pas profiter de ce contexte pour se débarrasser de ce représentant si caricatural de la technocratie libérale. Mais on risque d’être fort déçu de ne s’en tenir qu’à cela.

      En fait, j’éprouve la plus grande indifférence à l’encontre de Macron : je n’estime pas qu’il soit fondamentalement différent de ses prédécesseurs et je n’attends rien de l’éventuel·le successeur·e.

      Ce sont les institutions qu’il faut abattre. Quel que soit le casting, les pantins chargés de faire tourner la machine capitaliste pour les intérêts de la classe possédante et perpétuer la routine tautologique de la machine productrice de valeur pour toujours plus de valeur, seront toujours les mêmes.

      Macron nous a déclaré clairement que pour éviter de nous faire bouffer, il n’y aurait aucune autre solution que de lui casser les dents.

      Alors moi je vote pour le cassage de dents !

      Mais plus que celles du président, ou des personnes (représentant des institutions et des pouvoir capitalistes) ce sont aux dents des engrenages du système d’exploitation capitaliste qu’il faut s’en prendre. En paralysant l’économie capitaliste on pourra espérer engager le processus d’expropriation des capitalistes.

      Si l’action révolutionnaire – au sens où je l’entend - est nécessairement violente c’est quand elle s’attaque à un ordre dont la suppression représente en soi une violence encore plus grande que la menace physique de quelques-une de ses représentants (comme ce fut le cas, en définitive, avec la disparition de l’ordre monarchique et aristocratique).

      Voilà où se situe la véritable violence révolutionnaire : non pas mettre sur le billot les têtes des exploiteurs mais anéantir le système lui-même – capital, marchandise, salariat, travail, patriarcat – sur lequel prospèrent les exploiteurs du moment.

      Pour autant, la réaction répressive à cette offensive sociale légitime doit être prise, aujourd’hui, à sa juste proportion.

      D’abord, une partie des forces (institutionnalisées ou non) qui étaient à nos côtés passeront de l’autre bord, dès que la tension arrivera à un stade jugé « menaçant ». N’oublions pas qu’en 1968, même si la référence fait tousser dans les rangs radicaux, c’est la réaction qui a rassemblé le plus grand nombre de manifestants dans la rue et a marqué la fin de révolte (et non la "récréation"). Le capitalisme a ensuite digéré l’essentiel de la critique qui lui avait été envoyée ( Le nouvel esprit du capitalisme - Luc Boltanski Ève Chiapello).

      Ensuite, il ne faut se laisser embarquer par nos propres mirages. Depuis la Commune, il est vain d’espérer toute hypothèse de fraternisation des forces de l’orde. Et sans fraternisation ce n’est même pas la peine d’espérer une quelconque victoire militaire des révolutionnaires. Donc pour moi, et depuis longtemps, les choses sont claires : nous ne gagnerons jamais sur le plan militaire (et c’est tant mieux, car la constitution du moindre « bataillon rouge » annonce déjà la fin de l’espérance révolutionnaire).

      Plus l’action directe par la grève, le blocage, le sabotage et toute autre action de déstabilisation sera massive, décentralisée et non militarisée (sans état major) mais pas nécessairement inorganisée et non-violente, plus les forces de l’ordre seront désorganisées, épuisées et démoralisées.

      Cette description n’est plus, aujourd’hui, une vue de l’esprit.

      Quant aux suites… nous n’y sommes pas encore.

      Alors il n’y a, pour l’heure, pas beaucoup d’autres solutions que d’arrêter de bosser, oui : on s’arrête tous de bosser, pour de bon. Y compris, on lâche les claviers et on laisse le smartphone ;-) pour descendre dans la rue massivement, aujourd’hui, demain, le plus tôt possible et le plus souvent possible.

      Je n’étais quasiment pas intervenu sur seenthis depuis une semaine et pour cause : j’étais dans la rue. C’est un grand plaisir d’y revenir.

      À bientôt, je l’espère, lors d’une prochaine immersion dans le monde numérique :-)

    • je ne sais d’où vous tenez que la loi immigration devait passer à la trappe, de ce que j’ai lu c’est nouveau et c’est une grosse déconvenue pour le pointeur de l’intérieur (bien qu’il soit annoncé l’intention d’en faire passer des tranches, on ne sait comment, ça le prive d’un rôle éminent : tailler des croupières au RN après que le projet de Macron de pulvériser LR ait réussi)

  • Projet de loi olympique : les députés adoptent un article controversé sur la vidéosurveillance

    https://www.france24.com/fr/france/20230323-projet-de-loi-olympique-les-d%C3%A9put%C3%A9s-adoptent-un-article

    L’Assemblée nationale a donné jeudi raison au gouvernement français, qui souhaite expérimenter la vidéosurveillance basée sur des algorithmes avant et pendant les JO-2024. La gauche et Amnesty international craignent des dérives sécuritaires.

    Un pas vient d’être franchi. L’Assemblée nationale a approuvé, jeudi 23 mars, le recours à de la vidéosurveillance dite « intelligente », basée sur des algorithmes. Un dispositif inédit que l’exécutif veut expérimenter avant et pendant les JO-2024, malgré les craintes de dérives sécuritaires exprimées par la gauche.

    Adopté avec 59 voix pour (majorité présidentielle - LR - RN) face à 14 contre (Nupes) , l’article 7 du projet de loi sur les Jeux olympiques prévoit la possibilité d’expérimenter, dès la promulgation de la loi, l’analyse au moyen d’algorithmes d’images de caméras et de drones lors de grands événements, afin d’alerter les autorités sur des faits et gestes potentiellement à risque.

    « Voté en l’état, ce projet de loi marquerait une première étape dangereuse pour les droits humains, dont le droit à la vie privée » avait également critiqué l’ONG Amnesty international en janvier, dénonçant un projet qui « comporte de graves dangers pour nos droits ». Le Conseil national des barreaux s’est également prononcé contre cette mesure.

    « Pas les sweats à capuche » dans les algorithmes
    Les Jeux olympiques sont en ligne de mire mais l’expérimentation, qui doit s’arrêter fin 2024, pourrait démarrer dès la promulgation de la loi, et concerner par exemple la prochaine Coupe du monde de rugby à l’automne.

    La liste des « événements » à détecter doit être fixée par décret, après avis de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil). Lors des débats, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a cité en exemples « un départ de feu, des goulots d’étranglement de population, un colis ou un sac abandonné ». Mais « pas les sweats à capuche », a-t-il assuré, pressé de questions par la gauche.

    >> À lire : Sécurité des JO de Paris-2024 : dernière ligne droite avant une cérémonie d’ouverture hors normes

    Les députés de la Nupes s’inquiètent du possible dévoiement de cette technologie, craignant que les Jeux ne servent que de tremplin pour généraliser par la suite ce type de surveillance à la population.

    L’exécutif insiste sur les garde-fous, l’absence de reconnaissance faciale, et sur la nécessité de sécuriser les Jeux et les millions de spectateurs attendus. « Les événements prédéterminés concernent non pas des personnes, mais des situations », a insisté Gérald Darmanin, sans les convaincre

    Un traitement des données sous-traité au privé ?
    Lors de l’examen du projet de loi à l’Assemblée, les débats ont beaucoup tourné autour du caractère « biométrique » ou non des données, dans le cas par exemple où il est nécessaire d’isoler et de suivre une personne. La majorité et le gouvernement assurent qu’elles ne revêtent pas ce caractère. « Ce seront forcément des données biométriques », a insisté Sandra Regol (écologiste).

    Les députés de l’opposition ont tenté de circonscrire davantage l’expérimentation, de la cantonner aux abandons de bagage, ou d’imposer le fait que l’État soit seul responsable de l’analyse des données, sans recourir au privé, mais sans succès.

    >> À lire : JO-2024 : Paris est-il prêt face au défi des transports ?

    Un amendement du RN Aurélien Lopez-Liguori, président du groupe d’étude sur la sécurité et la souveraineté numériques, a été adopté. Il entend prioriser le recours à des entreprises européennes. Mais le fait que des députés de la majorité, membres du groupe d’étude, ont cosigné ou sous-amendé un amendement RN, a indigné à gauche.

    Avec AFP

    voir aussi https://seenthis.net/messages/995263

    #Alliance_macroniste_RN #RNaissance

    A noter qu’il n’y avait que 73 députés pour voter ce jour là …

  • Avant Paris 2024, comment la #surveillance de masse est devenue une discipline olympique
    https://www.francetvinfo.fr/les-jeux-olympiques/paris-2024/avant-paris-2024-comment-la-surveillance-de-masse-est-devenue-une-disci

    « Plus vite, plus haut, plus fort. » Aux Jeux, les sportifs ne sont pas les seuls à tenter d’appliquer la devise olympique. En matière sécuritaire, aussi, l’objectif de dépassement se vérifie au fil des olympiades. Depuis cinq décennies, les JO ne se résument plus à un gigantesque barnum, mais aussi à un bunker d’un fort beau gabarit, avec son cortège de gadgets et de lois répressives. Dernier épisode avec Paris 2024, alors que les députés se penchent sur la loi olympique, lundi 20 mars, pour autoriser entre autres une technologie inédite en France, la surveillance algorithmique, critiquée par ses opposants tels que la Quadrature du Net.

    #beauté_du_sport

    • La France, premier pays d’Europe à légaliser la surveillance biométrique
      https://www.laquadrature.net/2023/03/23/la-france-premier-pays-deurope-a-legaliser-la-surveillance-biometrique

      L’article 7 de la loi sur les Jeux olympiques a été adopté ce midi par l’Assemblée, actant l’entrée formelle de la vidéosurveillance algorithmique (VSA) dans le droit français, jusqu’en décembre 2024. À l’ombre du tumulte de la réforme des retraites, et grâce à une procédure comme d’habitude extrêmement rapide, le gouvernement a réussi à faire accepter une des technologies les plus dangereuses jamais déployées. Pour cela, il a usé de stratégies, de mensonges et de récits fictifs, pour que jamais ne soient sérieusement et concrètement discutés le fonctionnement technique de ces outils et leurs conséquences politiques et juridiques en termes de surveillance de masse. Grâce à une majorité totalement désinvestie et au soutien total de l’extrême droite, la VSA a donc pu être légalisée sur la base de mensonges sapant toujours un peu plus le jeu démocratique.

    • Projet de loi olympique : les députés adoptent un article controversé sur la vidéosurveillance

      https://www.france24.com/fr/france/20230323-projet-de-loi-olympique-les-d%C3%A9put%C3%A9s-adoptent-un-article

      L’Assemblée nationale a donné jeudi raison au gouvernement français, qui souhaite expérimenter la vidéosurveillance basée sur des algorithmes avant et pendant les JO-2024. La gauche et Amnesty international craignent des dérives sécuritaires.

      Un pas vient d’être franchi. L’Assemblée nationale a approuvé, jeudi 23 mars, le recours à de la vidéosurveillance dite « intelligente », basée sur des algorithmes. Un dispositif inédit que l’exécutif veut expérimenter avant et pendant les JO-2024, malgré les craintes de dérives sécuritaires exprimées par la gauche.

      Adopté avec 59 voix pour (majorité présidentielle - LR - RN) face à 14 contre (Nupes) , l’article 7 du projet de loi sur les Jeux olympiques prévoit la possibilité d’expérimenter, dès la promulgation de la loi, l’analyse au moyen d’algorithmes d’images de caméras et de drones lors de grands événements, afin d’alerter les autorités sur des faits et gestes potentiellement à risque.

      « Voté en l’état, ce projet de loi marquerait une première étape dangereuse pour les droits humains, dont le droit à la vie privée » avait également critiqué l’ONG Amnesty international en janvier, dénonçant un projet qui « comporte de graves dangers pour nos droits ». Le Conseil national des barreaux s’est également prononcé contre cette mesure.

      « Pas les sweats à capuche » dans les algorithmes
      Les Jeux olympiques sont en ligne de mire mais l’expérimentation, qui doit s’arrêter fin 2024, pourrait démarrer dès la promulgation de la loi, et concerner par exemple la prochaine Coupe du monde de rugby à l’automne.

      La liste des « événements » à détecter doit être fixée par décret, après avis de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil). Lors des débats, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a cité en exemples « un départ de feu, des goulots d’étranglement de population, un colis ou un sac abandonné ». Mais « pas les sweats à capuche », a-t-il assuré, pressé de questions par la gauche.

      >> À lire : Sécurité des JO de Paris-2024 : dernière ligne droite avant une cérémonie d’ouverture hors normes

      Les députés de la Nupes s’inquiètent du possible dévoiement de cette technologie, craignant que les Jeux ne servent que de tremplin pour généraliser par la suite ce type de surveillance à la population.

      L’exécutif insiste sur les garde-fous, l’absence de reconnaissance faciale, et sur la nécessité de sécuriser les Jeux et les millions de spectateurs attendus. « Les événements prédéterminés concernent non pas des personnes, mais des situations », a insisté Gérald Darmanin, sans les convaincre

      Un traitement des données sous-traité au privé ?
      Lors de l’examen du projet de loi à l’Assemblée, les débats ont beaucoup tourné autour du caractère « biométrique » ou non des données, dans le cas par exemple où il est nécessaire d’isoler et de suivre une personne. La majorité et le gouvernement assurent qu’elles ne revêtent pas ce caractère. « Ce seront forcément des données biométriques », a insisté Sandra Regol (écologiste).

      Les députés de l’opposition ont tenté de circonscrire davantage l’expérimentation, de la cantonner aux abandons de bagage, ou d’imposer le fait que l’État soit seul responsable de l’analyse des données, sans recourir au privé, mais sans succès.

      >> À lire : JO-2024 : Paris est-il prêt face au défi des transports ?

      Un amendement du RN Aurélien Lopez-Liguori, président du groupe d’étude sur la sécurité et la souveraineté numériques, a été adopté. Il entend prioriser le recours à des entreprises européennes. Mais le fait que des députés de la majorité, membres du groupe d’étude, ont cosigné ou sous-amendé un amendement RN, a indigné à gauche.

      Avec AFP

      voir aussi https://seenthis.net/messages/995263

      #Alliance_macroniste_RN #RNaissance
      A noter qu’il n’y avait que 73 députés à voter ce jour là …