• Collision, irruption dans des lieux publics, chutes... une série d’incidents freine l’expansion des robots-taxis à San Francisco Belga - LaLibre.be

    Mardi dernier, un des robots-taxis Cruise a ignoré un panneau signalant un chantier.

    Après une semaine d’incidents bizarres, comiques ou franchement inquiétants avec des taxis sans chauffeurs à San Francisco, l’autorité californienne met un frein aux projets d’expansion de la compagnie Cruise.

    Parmi ces incidents au cours des sept derniers jours, il est question d’un groupe de robots-taxis qui ont roulé ensemble vers une plage de la ville durant la nuit du 11 août avant de s’arrêter et de bloquer un carrefour quinze minutes durant.


    Une série d’incidents freine l’expansion des robots-taxis à San Francisco ©2023 Getty Images

    Mardi dernier, un de ces robots-taxis Cruise a aussi ignoré un panneau signalant un chantier et a roulé directement dans du ciment frais, pour s’y engluer.

    Plus inquiétant, un de ces véhicules autonomes s’est engagé dans un carrefour alors que le feu était vert mais qu’un camion de pompiers s’élançait toutes sirènes hurlantes. Le camion de pompier a embouti le robot-taxi et son unique passager a dû être hospitalisé.

    .@Cruise car trying to go down a street while emergency services respond to a fire just now

if you’re in #sf right now, how are you feeling about the new regulation expanding AI taxi services in the bay area ? Vidéo https://twitter.com/zachurey/status/1690173279221448704
    -- Zach Farley (@zachurey) August 12, 2023

    Après cette collision, l’autorité a annoncé ouvrir une enquête et affirmé que l’entreprise Cruise, appartenant à General Motor, allait diminuer de moitié sa flotte à 50 robot-taxis en journée et 150 durant la nuit.

    Dans une déclaration, Cruise a affirmé vouloir collaborer avec cette autorité, mais aussi confirmé souhaiter déployer des milliers de robot-taxis dans la ville californienne.

    Une autre entreprise, Waymo, détenue par Alphabet dont dépend aussi Google, nourrit les mêmes ambitions.

    Cette enquête survient après un vote controversé de la California Public Utilities Commission (CPUC), chargée de superviser les véhicules autonomes, en faveur des requêtes de ces deux entreprises pour proposer des courses payantes dans toute la ville de San Francisco, de jour comme de nuit.

    Jusqu’à présent, elles étaient limitées : Cruise opère un service de robots-taxis payants la nuit et Waymo expérimente avec des volontaires, gratuitement (ou moyennant paiement, mais avec un humain sur le siège du conducteur).

    #daube #echec #fantasme #MDR #Technologisme #véhicules_autonomes #smartphone #réseaux #embouteillages #robots-taxis #Taxi #autonomes_fahren #robotisation #innovation #intelligence_artificielle #robot #algorithme 

    Source : https://www.lalibre.be/international/amerique/2023/08/20/collision-irruption-dans-des-lieux-publics-chutes-une-serie-dincidents-frein

  • Immoral Code film - Stop Killer Robots
    https://www.stopkillerrobots.org/take-action/immoral-code

    Immoral Code est un documentaire qui s’interroge sur l’impact des robots tueurs dans nos sociétés. Dans un monde où des décisions reposant sur l’intelligence artificielle sont progressivement introduites dans tous les secteurs de la société (soins de santé, #justice pénale, économie, etc.), il importe de questionner cet enjeu. Qu’il s’agisse de préjugés préprogrammés, de protection des données ou de problèmes de confidentialité, ces algorithmes présentent de réelles limites, surtout lorsqu’ils sont appliqués à des systèmes d’armes.

    -- Permalien

    #éthique #robotisation

  • #anarchie #robot #robotisation #robocratie #étatisme

    ★ L’ÉTAT ROBOCRATIQUE - Socialisme libertaire

    « Nous sommes dans un âge de science et de méthode et nos gouvernants, servis par l’armée des chimistes et des professeurs, vous préparent une organisation sociale dans laquelle tout sera réglé comme dans une usine, où la machine dirigera tout, même les hommes ; où ceux-ci seront de simples rouages que l’on changera comme de vieux fers quand ils se mêleront de raisonner et de vouloir. »

    – « À mon frère le paysan », Élysée Reclus, 1873 

    « On considère ici que l’État est son administration, plutôt qu’une une « violence légitime », selon Weber. L’État s’incarne dans ses corps de fonctionnaires au service des politiques, et c’est la légitimité de l’administration, idéalisée dans le concept d’État Providence, qui garantit notre consentement à l’impôt et rend exceptionnel l’emploi de la violence d’État. Les politiques commandent à des fonctionnaires qui s’engagent à 1/ obéir, 2/ appliquer systématiquement lois et règlements avec 3/ la plus grande impartialité et, dans le cadre néolibéral du « New Public Management », à être 4/ toujours plus efficace. Nous venons d’énumérer les quatre qualités constitutives des robots, engrammées au plus intime de leur ADN. Parfaire ces quatre dimensions de l’administration est le ressort de la « digitalisation » de l’État, de la robotisation de l’armée et de la police. La nature profonde de l’État est la Robocratie (...)

    ▶️ Lire le texte complet…

    ▶️ https://www.socialisme-libertaire.fr/2023/03/l-etat-robocratique.html

  • Attentat ? Explosion de gaz ? Bombe ? Terminator ? Non, une tesla tout simplement Assistance à la conduite

    https://www.youtube.com/watch?v=2RKIJNm-lfQ

    L’essentiel, c’était de supprimer le levier de frein à main.

    Bon, juste avant c’était certains qui ne pouvaient pas accéder à leur bagnole à cause d’un bug dans le serveur...

    #tesla #voiture_autonome #voiture #elon_musk #automobile #algorithme #innovation #disruption #technologisme #transport #robotisation #voiture_électrique #spacex #Paris

  • #Israel : Mobileye lance un programme-pilote de voitures autonomes à #Paris
    https://fr.timesofisrael.com/mobileye-lance-un-programme-pilote-de-voitures-autonomes-a-paris

    Les employés d’un magasin de luxe pourront réserver des déplacements pour se rendre à leur travail dans des "robotaxis


    Un véhicule autonome à l’essai à Paris, alimenté par Mobileye, au mois de décembre 2021. (Crédit : Mobileye)

    La compagnie Mobileye, qui développe des systèmes de conduite autonome, a annoncé jeudi qu’elle allait mettre en œuvre un programme-pilote de trajets sur demande à Paris en collaboration avec une firme de transport public française.

    Mobileye, filiale d’Intel, a reçu une autorisation pour faire des essais de ses véhicules autonomes à Paris, ce qui ajoute la capitale française à une liste croissante de villes où la compagnie teste actuellement ses technologies de conduite autonome. Parmi ces villes, Detroit, New York City, Tokyo, et Jérusalem ainsi que Tel Aviv et Munich, où Mobileye va lancer des taxis autonomes et des services de VTC ou « robotaxis » l’année prochaine.

    Les personnes qui souhaitent avoir accès à ce service pourront le faire à travers Moovit, la compagnie israélienne de données de transit rachetée par Intel l’année dernière pour un montant d’environ 900 millions de dollars. Moovit a développé l’application MoovitAV pour les clients désireux de faire du covoiturage avec Mobileye.

    Dans la phase initiale, les employés des Galeries Lafayette, un magasin de luxe parisien, pourront jouir de ce service en demandant ou en programmant un déplacement pour se rendre à la célèbre enseigne du Boulevard Haussmann, quatre jours par semaine. Ce projet-pilote est lancé en partenariat avec l’entreprise française de transport public RATP.

    Ces véhicules, lors de l’essai, pourront transporter deux passagers à la fois. Ils seront accompagnés par un chauffeur de Mobileye, qui sera chargé d’intervenir en cas de problème, et d’un « co-pilote » de la RATP.

    « La conduite autonome dans les rues de Paris est un nouveau tournant dans notre volonté de mettre en œuvre notre vision de mobilité autonome inclusive. Nous sommes heureux de non seulement avoir obtenu cette autorisation de lancer notre programme-pilote mais aussi de le faire aux côtés de partenaires importants à Paris », a déclaré Johann Jungwirth, vice-président du département de la Mobilité en tant que service au sein de Mobileye, dans un communiqué publié jeudi.


    Un véhicule autonome à l’essai à Paris, alimenté par Mobileye, au mois de décembre 2021. (Crédit : Mobileye)

    Côme Berbain, directeur de l’innovation à la RATP, explique que « c’est une opportunité pour la RATP de tester quelque chose de totalement nouveau – un service de voitures autonomes pour les entreprises – mais c’est également l’occasion de tester l’intégration possible de la technologie des véhicules autonomes pour d’autres modes de transport, comme les bus ou les minibus ».

    Cette nouvelle, rendue publique jeudi, survient une semaine après l’annonce par Intel de son projet de faire entrer Mobileye sur le marché boursier en 2022 avec une évaluation d’approximativement 50 milliards de dollars. Intel avait acheté Mobileye en 2017 pour plus de 15 milliards de dollars. La compagnie avait été cotée en 2014 à la bourse de New York.

    Intel a expliqué que cette initiative permettra de « débloquer la valorisation de Mobileye pour les actionnaires d’Intel en créant une entreprise cotée en bourse, ce qui développera encore les réussites de Mobileye au service de son large marché ».

    Intel a précisé que la firme resterait actionnaire majoritaire de Mobileye et que les deux entreprises continueraient à travailler ensemble « à la poursuite de la croissance informatique dans ce secteur de l’automobile ». L’équipe en charge de Mobileye restera en place et le co-fondateur de la compagnie, Amnon Shashua, conservera son poste de directeur-général.

    La multinationale a expliqué que Mobileye s’attendait à générer 40 % de revenu de plus en 2021 en comparaison avec l’année dernière, à travers un certain nombre de produits et de programmes en place, avec plus d’une trentaine de fabricants automobiles et autres partenaires dans le monde.

    Mobileye joue un rôle déterminant dans les opérations globales d’Intel. Au début de l’année, Intel avait indiqué investir 400 millions de dollars dans une nouvelle structure de Recherche & Développement pour Mobileye, devenu le pôle principal de développement de véhicules autonomes pour Intel. Une fois que le centre sera construit, Mobileye devait employer 4 000 personnes supplémentaires.

    « Mobileye est une entreprise connaissant une croissance majeure qui sera assurément un acteur important de l’avenir d’Intel », a souligné la firme.


    ¨ Une voiture Mobileye à New York City, en juillet 2021. (Autorisation) _

    Mobileye avait commencé à tester des véhicules autonomes à Munich, l’année dernière, après avoir obtenu une autorisation pour son programme-pilote de la part du fournisseur de services techniques indépendant TÜV SÜD. Cela avait été le tout premier programme de ce type lancé en Europe qui s’était inspiré du programme qui avait été mis en place en Israël, où Mobileye teste des véhicules autonomes depuis 2018.

    De plus, Mobileye a établi un certain nombre de partenariats qui sont en cours concernant la délivrance de systèmes de conduite autonome à la start-up californienne Udelv, qui prévoit de déployer une flotte de véhicules de livraison autonomes sur les routes d’ici deux ans. L’entreprise Mobileye s’est aussi associée à deux firmes françaises concernant le développement et le déploiement conjoint de navettes commerciales autonomes de transport en commun en Europe en 2023.

    #Intel #startup #Voiture_autonome #MobilEye #Paris #robotaxis #Moovit #Galeries_Lafayette #RATP #Udelv #voiture #voiture_autonome #algorithme #voiture_autopilotée #transport #autopilote #voitures_autonomes #mobilité #automobile #robotisation #technologisme #surveillance #chômage #licenciements #gafa #gafam #domination #licenciements

  • Hypermarchés, la chute de l’empire

    Le modèle de l’hypermarché a-t-il fait son temps ? Ce concept révolutionnaire du « tout sous le même toit », popularisé en 1963 par Carrefour, a conquis le monde entier. Aujourd’hui pourtant, le pionnier français, comme ses concurrents, a un genou à terre. En cause notamment, la crise du gigantisme, associé à une déshumanisation du commerce et à la surconsommation, pointée du doigt à l’heure des grands défis écologiques, mais aussi la concurrence du e-commerce. Désormais, tout le secteur cherche à sauver ce qui peut l’être, quitte à verser dans des pratiques à la limite de la légalité. Pour obtenir des prix toujours plus bas, sans lesquels elles seraient désertées, les grandes enseignes mettent les fournisseurs de plus en plus sous pression.

    http://www.film-documentaire.fr/4DACTION/w_fiche_film/19158_1

    #film #film_documentaire #documentaire
    #consommation #grande_distribution #Amazon #hypermarchés #hypermarché #Marcel_Fournier #Carrefour #consommation_de_masse #prix #crise #guerre_des_prix #fournisseurs #omerta #RCD #rétorsions #justice #distributeurs #coopernic #CWT #AgeCore #Horizon_International #Suisse #accords_internationaux #Genève #Nestlé #pratiques_commerciales_abusives #Carrefour_Franchising #franchising #illégalité #Whole_Foods #secteur_alimentaire #Amazon_Fresh #JD.com #robotisation #Agriculture_Brain #industrie_agro-alimentaire #intelligence_artificielle #AI #IA #Slovaquie #Amazon_Prime #concurrence #e-commerce #automatisation #centre-ville #Carrefour_City #technologie

  • [Témoignage] Séquence (trop) banale du rail.

    Arrivée à la gare de Joigny, un peu avant 14h, 20 minutes avant l’arrivée du train. Je dois refaire ma carte de réduction et prendre mon billet, je prévois donc du temps.
    Guichet fermé. Pas d’humain auquel s’adresser, mais il reste les billetteries automatiques. Sur les marches de la gare, une femme pleure au téléphone, entourée de sa mère et de ses enfants :"on ne peut pas payer par carte, on n’a que des espèces, on ne peut pas rentrer à Auxerre, on ne sait pas comment faire".
    Je vais pour prendre mon billet a la machine, dans l’urgence. Il me faut cependant attendre puisqu’il faut du temps aux usagers pour comprendre à quelles réductions ils ont droit en fonction de l’âge des différents voyageurs, des cartes de réduction des uns et des autres, de leur absence, et autres questionnements de la machine. Lorsque je m’apprête à valider ma commande, ce satané automate ne me propose aucun billet valable plus tôt que le 4 novembre. Nous sommes le 24 octobre, mon train arrive dans 6 minutes maintenant. Je refais plusieurs tentatives, en vain. Le nombre de places n’’étant pas limité dans les TER, je me dis que j’irai voir le contrôleur directement en entrant dans la rame, pour corriger cette défaillance du dispositif et me mettre en règles.

    Las...
    Le train arrive en gare, contrôleurs dans la rame dans laquelle je monte.
    –"Oh lala monsieur, mais depuis septembre 2018 les billets achetés à bord sont facturés 50 euros plus cher par titre de transport, et votre carte de réduction est périmée, et votre billet à la mauvaise date !"
    Je comprends mieux la détresse de la famille sur les marches. Pour les foyers modestes, 50 euros ce n’est pas rien, et nombreux sont ceux qui ne les ont pas.
    « -Et ma carte, puis-je au moins la renouveler auprès de vous, comme je l’avais prévu en arrivant en gare -ce qui explique que j’aie pris mon billet à tarif réduit - ?
    –oh lala ! Oh que non ! Vous avez techniquement acheté un billet à tarif réduit alors que vous n’aviez plus de carte valide. Et puis vous savez, à bord, nous faisons respecter les règles region par région. Voyez-vous, par exemple, lorsque nous aurons passé Montereau, nous appliquerons les règles de l’Île de France, et non plus celles de Bourgogne-Franche-Comté. Les gens qui auront un chien, par exemple, ne seront plus en infraction. On comprend que ce soit compliqué pour les usagers, on sait aussi qu’il faut quasiment BAC+12 pour acheter un billet en ligne, mais on nous demande de faire du contrôle, alors... »

    Je dois acquitter un dédommagement de 34,50 euros pour la péremption de ma carte de réduction (par chance, car si mon trajet avait excédé 150 km la surtaxe aurait été de 90 euros), et suis invité à contacter le service contentieux pour leur expliquer ma situation kafkaïenne, entièrement liée à la disparition du guichetier à la station dont je dépends.

    Mais moi, ça va, j’ai de quoi les payer, ces 34,50 euros, et je ne dois faire ce trajet que de façon occasionnelle.
    À la station suivante, dix policiers armés jusqu’aux dents viennent assister les contrôleurs pour embarquer une voyageuse refusant d’obtempérer, qui n’est visiblement pas en règles elle non plus, mais refuse de l’accepter.
    10 flics pour une nana, parce que les règles sont les règles, et qu’on ne rigole pas avec les règles.

    Je me demande...
    Le coût de cette intervention policière valait-il le prix d’un billet ?
    Le salaire des cinq agents surnuméraires au regard de la situation aurait-il pu être investi dans le salariat d’un guichetier à la gare de Joigny ?
    L’argent public est-il réellement réparti intelligemment et équitablement ?
    La famille sur les marches de la gare a-t-elle trouvé une solution pour rentrer chez elle ?

    *Eric Lenoir*, le 24 octobre, 15:14
    https://www.facebook.com/ericlenoir.paysagiste.7/posts/2356972377885708

    #train #SNCF #robotisation #dematerialisation #service_public

    • #décadence #démoliton_du_service_public #déshumanisation #désincarnation et ça vaudrait le coup de faire une étude bien renseignée sur cette politique de la SNCF (disparition de l’humain par des machines défaillantes, qui en plus ignorent les cas particuliers. Il faudrait multiplier et publier les témoignages. Même chose pour les banques, bientôt sans doute pour les supermarchés, les compagnies aériennes et les aéroports.

      #résister #résistance

    • On le sait, que la #dématérialisation réduit l’accès des personnes les plus pauvres et vulnérables aux services publics. Mais ça continue.
      https://seenthis.net/messages/752910

      Il y a quelques années, quand la SNCF ne proposait pas de guichet ouvert (soit qu’il n’y en ait pas dans les haltes, soit que les horaires soient réduits dans les petites gares), elle était en faute et permettait aux voyageurs de prendre un ticket au tarif de bord. Cette manière de faire payer aux usagèr·es des manquement en matière d’#accessibilité et d’#inclusivité est vraiment criminelle, c’est une manière de mettre la tête sous l’eau à des personnes qui sont déjà bien démunies.

    • Je me souviens m’être évanouie dans le bus devant les contrôleurs qui ont indiqué aux voyageurs de m’enjamber pour descendre. Ce que les voyageurs ont fait, des jeunes personnes, téléphone en main, m’ont enjambé alors que j’étais à terre, des plus âgés aussi, personne ne s’est opposé à cette humiliation à cette bassesse immonde. ils ont tous fait comme si leur cerveau pouvait obéir à l’horreur sans réagir.
      J’ai compris comment il est possible d’organiser une telle violence et un tel manque de solidarité. Parce que si tous les voyageurs étaient restés des êtres humains, ce ne serait pas possible.
      Vu l’autre jour qu’il existe toujours des 1eres classes dans le train en france, ah ah ah pays des droits des 1eres classes. Comment expliquer autrement que par le quant à soi organisé que ces 1eres classes n’aient pas encore été totalement brûlées ?

    • Banalité du rail, banalité du mal.

      tous les gouvernements, même les plus autocratiques, même les tyrannies, « reposent sur le consentement », et l’erreur réside dans l’équation entre consentement et obéissance. Un adulte consent là où un enfant obéit ; si on dit qu’un adulte obéit, en réalité, il soutient l’organisation, l’autorité ou la loi à laquelle il prétend obéir (Hannah Arendt)

      https://journals.openedition.org/champpenal/8336#tocto1n1

      #flippant

  • Déçue par sa navette autonome, La Défense arrête l’expérience Jean-Bernard Litzler - 15 Juillet 2019 - Le figaro
    https://immobilier.lefigaro.fr/article/decue-par-sa-navette-autonome-la-defense-arrete-l-experience_21e

    Au terme de deux ans d’expérimentation, l’essai n’a pas été transformé. La navette autonome qui circulait dans le quartier d’affaires de la région parisienne a transporté moins de 12.000 voyageurs ces 12 derniers mois et son « bilan global n’est pas satisfaisant ».

    Après avoir chassé de sa dalle, une partie des trottinettes électriques qui pullulait dans le quartier, La Défense s’apprête à se séparer de sa navette électrique autonome qui circulait depuis deux ans à travers le quartier d’affaires de la région parisienne. L’expérience avait pourtant suscité un sacré enthousiasme à son apparition en juillet 2017 et le public avait bien accueilli ce minibus à la bouille sympathique pouvant transporter jusqu’à 15 personnes (11 assises et 4 debout). Tout en rappelant que « pendant les six premiers mois la navette a rencontré un grand succès auprès des usagers, avec plus de 30.000 voyageurs, dont 97% de satisfaits et 88% ayant l’intention de réutiliser la navette », Paris La Défense, l’établissement qui gère le quartier estime que le test n’est finalement pas concluant. D’ailleurs, après six mois d’arrêt suite à un incident technique, l’attrait s’était bien émoussé au point de ne plus séduire que 11865 voyageurs sur la deuxième année d’exploitation.

    Comment en est-on arrivé là ? « Dans l’ensemble, l’exploitation du service a été complexe en raison de difficultés liées à la #connexion (effet de « canyon urbain » à la Défense du fait de la hauteur des tours) », souligne Paris La Défense dans un communiqué tout en expliquant que les changements réguliers de l’environnement urbain au gré de divers événements (marché de Noël, travaux, installations de foodtruck...) ont été difficiles à gérer. Tout comme l’importance et la variété des flux de circulation sur l’esplanade (piétons, cyclistes, trottinettes, véhicules d’entretien).

    Résultat : la navette testée en partenariat avec Ile-de-France Mobilités, #keolis et le constructeur #navya semble avoir montré ses limites actuelles selon Paris-La Défense. Il lui est notamment reproché de ne pas avoir pu augmenter sa vitesse de circulation, ce qui aurait eu pour but de « rendre le service attractif ». Par ailleurs, l’objectif de passage en mode « full autonome », c’est-à-dire sans opérateur à bord n’a pas abouti. Verdict sans appel : « Paris La Défense ne souhaite pas reconduire l’expérimentation ». Si cette navette produite en région lyonnaise n’a pas séduit la capitale, elle met actuellement en avant ses atouts à Lyon même mais également à Tokyo. Et qui sait, une fois les défauts de jeunesse gommés, peut-être la retrouvera-t-on sur les routes de la capitale ?

    #voiture #transport #automobile #mobilité #transports #surveillance #voiture_autonome #voiture_autopilotée #voitures_autonomes #autopilote #robotisation #algorithme #intelligence_artificielle #echec de l’#innovation à 2 balles, sans compter l’absence de toute information sur la #pollution engendrée par ces véhicules.

  • Recension critique de livre d’Antonio Casilli @antoniocasilli par Matthieu Amiech

    Matthieu Amiech, En attendant les robots ?, 2019
    https://sniadecki.wordpress.com/2019/07/09/amiech-robots

    Le livre commence ainsi par une réfutation de la théorie du « grand remplacement technologique », qui selon Casilli « domine le débat intellectuel depuis plusieurs décennies » (p. 13). Une telle affirmation est pour le moins discutable. En sciences économiques, c’est au contraire la théorie de la substitution qui règne aujourd’hui comme (avant-)hier, théorie qui veut que les suppressions d’emplois par l’automatisation dans certains secteurs sont toujours compensées par des créations d’emplois ailleurs, notamment dans de nouveaux secteurs d’activité. L’idée que le chômage de masse et/ou l’emploi précaire ont à voir avec le progrès technologique a été complètement absente du débat intellectuel de 1995 à 2010, et elle n’est redevenue objet de discussion que suite à deux études académiques anglo-saxonnes en rupture avec le consensus habituel, en 2011 et 2013 : le livre américain Race against the machine [La Course contre la machine], annonçant que l’accélération de l’innovation ne resterait pas sans effet sur le marché du travail ; et une étude de deux chercheurs d’Oxford qui prévoyait que 47 % des emplois existants étaient menacés directement par l’intelligence artificielle et la robotique.

    #Antonio_Casilli #Matthieu_Amiech #robotisation #automatisation #surnuméraire #critique_techno

  • Voiture autonome : quelle est l’intelligence de votre voiture, et quelles sont les fonctions (in) utiles ? Jean-Claude Verset - 26 Juin 2019 - RTBF
    Extrait de l’article : Vraiment efficaces les gadgets autonomes de nos voitures ?
    https://www.rtbf.be/info/societe/detail_voiture-autonome-quelle-est-l-intelligence-de-votre-voiture-et-quelles-s

    Aux Pays -Bas, un rapport de l’Alliance ADAS (pour la promotion de la sécurité des systèmes d’aide à la conduite) a tenté d’étudier la précision des mesures prises pour rendre les véhicules plus autonomes. Un rapport qui révèle le long chemin qu’il faudra encore parcourir avant de disposer des voitures réellement autonomes.

    Contrôle longitudinal : vitesse et freinage intelligents
    Le rapport de l’Alliance ADA approche la sécurité autonome sous trois angles. Le premier est le « contrôle longitudinal » qui porte, principalement sur la vitesse du véhicule. On apprend que la précision du système d’avertissement de risque d’un accident frontal est « raisonnable » (entre bon et mauvais) mais n’a guère d’effet sur la sécurité routière. Il en va de même pour le freinage d’urgence autonome dont la précision est jugée tout aussi « raisonnable » et aurait, cette fois, un effet faiblement positif sur la sécurité. Il faut combiner le freinage automatique d’urgence et l’alarme d’accident frontal pour obtenir un effet positif sur la sécurité routière. Selon les termes de l’enquête néerlandaise, le mot « précision » désigne la capacité du système de lancer une alarme ou d’enclencher une action lorsque c’est nécessaire et de ne pas en lancer lorsque c’est inutile (les faux positifs).
    La précision de la détection des piétons et des cyclistes est, elle, jugée insuffisante et son impact sur la sécurité routière inconnue.

    Le contrôle de vitesse adaptatif qui consiste à adapter automatiquement la vitesse du véhicule aux variations du trafic est jugé raisonnable au niveau de la précision, mais les résultats sur la sécurité routière sont jugés contradictoires.

    Quant à l’adaptation intelligente de la vitesse, elle est estimée d’une bonne précision, et d’un impact réel sur la sécurité routière par sa capacité à prendre le relais de l’automobiliste.

    Le contrôle latéral : mode de conduite et changement de voie
    Le deuxième angle du rapport s’intéresse au « contrôle latéral », la capacité du véhicule autonome à garder le bon cap. Ce contrôle latéral appartient encore largement au futur.
    L’avertissement de dépassement de ligne existe déjà sur de nombreux modèles. Le rapport juge sa précision raisonnable (ni mauvaise ni bonne), mais sans grands effets sur la sécurité , car cette aide ne fonctionne pas dans toutes les circonstances, analyse le rapport. Même verdict pour l’alerte en cas de dépassement dans l’angle mort. L’avenir serait au « lane keeping system » qui permettra à l’ordinateur de bord de maintenir le véhicule sur sa bande. Ce qui n’est pratiquement pas encore disponible à ce jour.

    La surveillance de l’état du conducteur
    Le troisième angle de contrôle vise le conducteur. On peut déjà compter sur la caméra de recul et même sur un détecteur d’alcoolémie qui empêche une personne sous influence de prendre le volant. Cette fois, la précision est bonne et l’effet sur la sécurité du trafic important… Mais cela ne concerne pas les voitures autonomes.
    Les détecteurs de fatigue embarqués semblent encore perfectibles. Selon le rapport, les systèmes actuels de détection ne sont pas encore efficaces . Soit, ils ne détectent pas toutes les périodes de somnolence, soit en croyant endormi un conducteur parfaitement éveillé. Parmi les fonctions qui pourraient un jour être embarquées figure encore la détection de la distraction qui détermine si le conducteur ne quitte pas trop souvent la route des yeux. Un système qui ne serait pas non plus totalement au point.

    #voiture #transport #automobile #mobilité #transports #surveillance #voiture_autonome #voiture_autopilotée #voitures_autonomes #autopilote #robotisation #innovation #algorithme  #intelligence_artificielle #critique #industrie #recherche

    Tiens, aucune recherche sur la #pollution des #voitures , leur consommation !

  • Duplex, l’assistant intelligent de Google, cache encore des humains bien réels Kesso Diallo - 23 Mai 2019 - Le figaro
    http://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/duplex-l-assistant-intelligent-de-google-cache-encore-des-humains-bien-reel

    Une intelligence artificielle peut cacher des humains. L’année dernière, Google a présenté son assistant intelligent Duplex lors de sa conférence pour les développeurs. Capable de prendre les rendez-vous à la place de son utilisateur, il avait impressionné, et un peu inquiété, les observateurs avec sa voix « si humaine ». Mais si celle-ci ressemble autant à celle d’un humain, c’est parce qu’il s’agit parfois d’une véritable personne. Un article du New York Times révèle en effet que des employés travaillant dans des centres d’appels peuvent effectuer ces réservations. Google a déclaré au journal américain qu’environ 25% des appels de Duplex sont passés par des humains. De plus, environ 15% de ceux lancés par l’assistant intelligent sont pris en charge par une vraie personne à un moment donné.

    L’entreprise a expliqué qu’il était parfois nécessaire qu’un humain soit impliqué dans la conversation, notamment lorsqu’elle n’est pas certaine que le restaurant prenne les réservations ou que l’utilisateur du service n’est pas un spammeur (personne qui passe des appels indésirables en grande quantité).
    . . . . .

    #duplex #réseaux_neuronaux #Google #robotique #Assistant #domotique #intelligence_artificielle #algorithme #robotisation #robots #innovation en nougat #MDR

  • Un accident suspend la circulation des navettes autonomes à Sion ats/spe - 20 Septembre 2019 - RTS
    https://www.rts.ch/info/regions/valais/9858744-un-accident-suspend-la-circulation-des-navettes-autonomes-a-sion-.html

    Une légère collision entre une voiture et une navette autonome s’est produite jeudi matin à Sion (VS). CarPostal a retiré ses deux navettes de la circulation, le temps de comprendre les causes de l’incident.
    La voiture bifurquait lentement sur la place de la gare de Sion lorsqu’elle a heurté l’aile avant gauche de la navette. « Aucun voyageur ne se trouvait à l’intérieur et personne n’a été blessé » a précisé CarPostal dans un communiqué.

    CarPostal espère remettre le plus vite possible les navettes en circulation mais ne le fera que lorsque les causes de l’incident seront élucidées. « Le constructeur analyse en ce moment les boîtes noires du véhicule », a précisé Valérie Gerl, porte-parole de CarPostal.


    Intégration au trafic urbain
    C’est la deuxième fois que les tests doivent être temporairement suspendus. En septembre 2016, un incident avait provoqué la suspension de l’exploitation durant deux semaines.

    Cantonnées jusqu’à fin 2017 dans les rues à faible trafic de la vieille-ville de Sion, les navettes autonomes peuvent depuis mai 2018 traverser les carrefours à grande circulation sans assistance manuelle et ainsi s’intégrer davantage au trafic urbain.

    #navette_autonome #transport #accident #poubelles #daube #echec #fantasme #Suisse #voiture #algorithme #robotisation #innovation #intelligence_artificielle 

  • Gennevilliers : un incendie dans la concession automobile #Tesla L.M. - 19 Aout 2018 - Le Parisien
    http://www.leparisien.fr/hauts-de-seine-92/gennevilliers-un-incendie-dans-la-concession-automobile-tesla-19-08-2018-

    Le sinistre a ravagé 1000m² de locaux mais n’a pas fait de victimes.
    Il était autour de 2h30 du matin, dans la nuit de samedi à ce dimanche, quand un incendie s’est déclaré dans les locaux de la concession automobile Tesla de Gennevilliers. Les flammes ont ravagé quelque 1 100 m² d’entrepôt sur deux étages avant que le feu puisse être circonscrit par les pompiers dépêchés sur place.

    Six lances dont deux de grande puissance et une sur robot d’extinction auront été nécessaires pour éviter que les flammes ne se propagent à la partie administrative du lieu et aux bâtiments attenants. Le sinistre a été totalement maîtrisé vers 5 heures du matin. Aucune victime n’est à déplorer dans l’incendie, dont on ignore s’il a détruit des véhicules de la predtigieuse marque.

    « Nous saluons la mobilisation des pompiers et travaillons avec les autorités pour déterminer les causes de l’incendie », fait savoir un porte-parole de Tesla.

    #tesla #voiture #incendie #mobilité #robotisation #innovation #batteries #électricité #elon_musk #faillitte #économie #baudruche

  • Les fournisseurs de Tesla s’inquiètent de ne plus être payés Arthur Marcadé - 22 Aout 2018 - le figaro
    http://www.lefigaro.fr/societes/2018/08/22/20005-20180822ARTFIG00276-les-fournisseurs-de-tesla-s-inquietent-de-ne-plus

    Le constructeur de voitures électriques demande à ses fournisseurs des remises sur des factures déjà réglées, ainsi qu’un prolongement de ses délais de paiement, rapporte le Wall Street Journal. De quoi alimenter les doutes des partenaires de Tesla sur sa solidité financière.

    Les chaînes d’assemblage de Tesla semblent produire autant de voitures que d’ennuis pour son fondateur, Elon Musk. Alors qu’il subit la pression des marchés financiers depuis l’annonce de sa potentielle sortie de la Bourse, le constructeur suscite également des doutes chez ses fournisseurs, d’après le Wall Street Journal. Ceux-ci craignent que leur client en vienne à ne plus pouvoir honorer ses factures. Cette inquiétude est née à la suite de demandes de ristournes faites par Tesla, de délais de paiement rallongés ainsi que d’un rythme de production de la Model 3 tel que les commandes peinent à suivre.


    Tesla dans l’œil du cyclone
    Selon un sondage mené par l’OESA, une association d’équipementiers auto, auprès de cadres supérieurs du secteur, 18 des 22 participants estiment que Tesla représente désormais un risque financier pour les entreprises sous-traitantes. Les remises exigées par le constructeur, allant de 9 à 20% sur des factures payées en 2016 ainsi que des délais de paiement doublés de 60 à 120 jours ont suffi à semer le trouble. Dans une série de mails échangés avec ses fournisseurs, Tesla tient des propos jugés inquiétants par ces derniers. « Cette requête est essentielle pour que Tesla puissent poursuivre ses opérations. Ces sommes sont un investissement dans la société visant à faire perdurer la croissance au long terme de Tesla et de ses fournisseurs », peut-on lire. Denis Virag, consultant en construction interrogé par le Wall street Journal, juge que la situation est « ridicule » et que « cela montre que Tesla est désespéré. Ils sont préoccupés par leur profitabilité mais ne tiennent pas compte de celle de leurs fournisseurs ».

    Depuis, de nombreux petits partenaires en ont profité pour dénoncer des défauts de paiement sur des commandes récentes. Tesla a rapidement cherché à éteindre la polémique. « Nous ne sommes pas en retard car nous ne pouvons pas les payer, c’est simplement parce que nous vérifions si les pièces sont correctes », a répondu Elon Musk au journal américain.

    « 7000 voitures, 7 jours »
    L’inquiétude des prestataires vient aussi du rythme de production actuel de l’entreprise et des sommes qu’impliquent ses commandes. La marque a atteint son objectif de produire 7000 Model 3 en sept jours, comme l’annonçait Elon Musk début juillet sur son compte Twitter. Pour autant, elle connaît des difficultés dans la distribution et la logistique de ses voitures. Pire, elle n’enregistre désormais plus assez de commandes, toujours selon le Wall Street Journal. Des milliers de Tesla attendent ainsi leur acquéreur sous le soleil californien. La dette de l’entreprise envers ses partenaires s’élève aujourd’hui à 2,26 milliards de dollars. Le constructeur inquiète aussi les investisseurs, qui doutent de plus en plus de la capacité de Tesla à devenir un jour rentable.

    De leur côté, Musk et son directeur financier Deepak Ahuka ont réagi dans le Wall Street Journal : « La force financière de Tesla se développe actuellement et est encore sur le chemin d’un rapport trimestriel positif et rentable. Nos relations avec nos fournisseurs sont très bonnes », assurent-ils en concluant : « Nous n’allons assurément pas vers la faillite. »

    #tesla #voiture #mobilité #robotisation #innovation #batteries #électricité #elon_musk #faillitte #économie #baudruche

  • Shocked, burnt and bruised: the plight of workers at Tesla’s plants Peoples Dispatch - 10 Juillet 2018
    https://peoplesdispatch.org/2018/07/10/shocked-burnt-and-bruised-the-plight-of-workers-at-teslas-plants

    A third investigation has been opened last week into carmaker Tesla by California’s Division of Occupational Safety and Health (OSHA), which received a complaint from a worker at the company’s automobile assembly plant in Fremont. The details of the complaint will be disclosed by the body only after the completion of the investigation.

    The investigation has been launched only days after the company’s CEO, Elon Musk, announced that he would be launching a new production line at the Fremont plant.

    Over the past years, Tesla’s Fremont plant, which employs over 10,000 workers, has proven to be an extremely dangerous workplace, where employes have been “sliced by machinery, crushed by forklifts, burned in electrical explosions and sprayed with molten metal.”


    In 2014, the rate of work-related recordable injuries – i.e injuries that require medical treatment beyond first aid – was 15% higher than the average rate in the automobile industry. The following year, when the industry average of such injuries came down from 7.3 per 100 workers to 6.7, at the Fremont plant, the rate of injuries increased from 8.4 per 100 workers to 8.8, which was 31% higher than the industry average.

    The figures on the rate of serious injuries – i.e those that require days off from work or restricted duty or transfer to a different task – paint a much darker picture of how dangerous working in Tesla is for its employees. As with recordable injuries, the rate of serious injuries also came down industry-wide in 2015. In the case of Tesla’s plant, however, the rate of serious injuries soared and was 103% higher than the industry average, according to a report by Work Safe, a non-profit organization that specializes in workplace health and safety issues.

    The 2018 annual report of The National Council for Occupational Safety and Health, which identified Tesla as one of the 12 most dangerous workplaces in the US that puts its employees at risk of physical injuries, pointed out that the rate of recordable injuries was 31% higher than the industry average in 2016, while the rate of serious injuries was 83% higher. Last year, another 722 instances of work-related injuries were reported at the Fremont plant, of which 600 were serious injuries.

    While the industry-average for last year is not yet available, Tesla’s Vice President of Environment, Health and Safety claimed on its website, under an article titled “Becoming the Safest Car Factory in the World”, that the recordable injuries last year had declined by 25% compared to the year before.

    “Relying on 2017 injury data to reach any conclusions about safety trends at the plant is premature and could have misleading results,” said Workspace’s report, which pointed to many irregularities in the way in which the injury logs were maintained by the company.

    “I hear coworkers quietly say that they are hurting but they are too afraid to report it for fear of being labeled as a complainer or bad worker.”

    . . . . . . .

    #tesla#voiture #mobilité #robotisation #innovation #batteries #électricité #accidents_du_travail #pénibilité #danger #elon_musk

    • Une troisième enquête a été ouverte début juillet contre le constructeur automobile Tesla par la Division de la sécurité et de la santé au travail de Californie (OSHA dans son acronyme anglais), à la suite de la plainte d’un ouvrier de l’usine d’assemblage automobile de l’entreprise de Fremont. Les détails de la plainte ne seront divulgués par le service qu’après la fin de l’enquête.

      L’enquête a été entamée quelques jours seulement après l’annonce, par le PDG de l’entreprise Elon Musk, qu’il lancerait une nouvelle ligne de production dans l’usine de Fremont.

      Ces dernières années, l’usine Tesla de Fremont, qui emploie plus de 10 000 ouvriers, s’est avérée être un lieu de travail extrêmement dangereux, où les employés ont été « taillés en pièces par des machines, écrasés par des chariots élévateurs, brûlés dans des explosions électriques et aspergés de métal en fusion ».

      En 2014, le taux de blessures liées au travail rapportées – c’est-à-dire des blessures exigeant un traitement médical au-delà des premiers soins – était de 15% plus élevé que le taux moyen dans l’industrie automobile. L’année suivante, lorsque le taux moyen de ces blessures dans l’industrie est passé de 7.3 à 6.7 pour 100 ouvriers, il a augmenté de 8.4% à 8.8% dans l’usine de Fremont, ce qui était plus élevé de 31% que la moyenne de l’industrie.

      Les chiffres du taux de blessures graves – c’est-à-dire celles qui nécessitent des jours d’arrêt de travail ou un horaire de travail limité ou encore le transfert à un autre poste – brossent un tableau beaucoup plus sombre de la dangerosité du travail chez Tesla pour ses employés. Comme pour les blessures signalées, le taux de blessures graves a aussi diminué dans toute l’industrie en 2015. Dans le cas de l’usine de Tesla, ce taux de blessures graves a explosé pour se situer à 103% de la moyenne de l’industrie, selon un rapport de Work Safe, une organisation à but non lucratif spécialisée dans les questions de santé et de sécurité au travail.

      Le rapport annuel 2018 du Conseil national pour la sécurité et la santé au travail, qui a identifié Tesla comme l’un des 12 lieux de travail les plus dangereux aux États-Unis, qui exposent leurs employés au risque de blessures physiques, a souligné que le taux de blessures signalées était plus élevé de 31% que la moyenne dans l’industrie en 2016, tandis que le taux de blessures graves était plus élevé de 83%. L’an dernier, 722 cas de blessures liées au travail ont été rapportées dans l’usine de Fremont, dont 600 étaient graves.
      . . . . .

  • Navettes autonomes disparues de la circulation DOE - 13 Juillet 2018 - 20min.ch
    http://www.20min.ch/ro/news/vaud/story/Des-navettes-autonomes-30679750

    A Cossonay (VD), les voyageurs devront encore patienter pour tester les véhicules intelligents.

    Une faute ?
    Les bus du futur ont pris du retard à Cossonay. Alors qu’ils auraient dû circuler depuis le début de l’été, les deux navettes autonomes limitées à 25km/h ne font plus partie du paysage. Des soucis techniques ont repoussé leur mise en service à cet automne au plus tôt, relate La Côte. Après une phase-test, les parcours ont été en partie revus, explique Mauro Pascale, sous-directeur des transports de la région (MBC).
    Prévu initialement le 10 décembre 2017, leur départ avait été repoussé une première fois. Le personnel de bord ayant déjà été formé, il ne manque plus que l’autorisation des l’Office fédéral des routes pour que les bus verts s’aventurent sur les routes.


    #daube #echec #fantasme #Suisse #voiture #algorithme #voiture_autonome #voitures_autonomes #voiture #transport #automobile #robotisation #innovation #intelligence_artificielle #robot

    • Voitures autonomes : pas pour demain Joan Plancade - 16 Mars 2018 - bilan.ch/techno-plus
      http://www.bilan.ch/techno-plus-de-redaction/voitures-autonomes-demain

      Intempéries qui brouillent les capteurs, limites de l’intelligence artificielle, méfiance des passagers... Les défis sont nombreux pour les véhicules sans chauffeur, malgré des progrès constants.

      La décennie à venir verra-t-elle l’avènement du véhicule autonome ? La succession des annonces semble plaider en ce sens. Alors que Ford le promet pour 2021, General Motors surenchérit en janvier en affirmant qu’elle lancera la production en série d’une voiture sans pédale ni volant dès 2019. Pour Raphaël Gindrat, cofondateur de la startup lausannoise BestMile, qui développe une solution de gestion de flottes de véhicules autonomes, la révolution est imminente : « Il y a deux ans, on parlait de 2020 pour le véhicule autonome, parce que ça sonnait bien, un chiffre rond, qui correspondait en plus aux JO au Japon et à l’Expo universelle à Dubai. Mais avec les investissements des grands constructeurs, à l’image de General Motors qui a racheté Cruise Automation, des géants de l’informatique Google et Apple, même des fournisseurs de processeurs comme Nvidia, on devrait voir les premiers taxis robots commerciaux sur certaines zones dans ces délais. » 

      Perception et intelligence limitées
      Pour autant, certaines limites techniques invitent à douter d’une généralisation rapide de la conduite autonome sur les routes. En Suisse, les navettes produites par la société Navya, introduites à Sion
il y a déjà trois ans pour CarPostal, sont désormais testées par les TPG (Genève) ou encore le MBC à Cossonay (VD). En termes de performance, on reste encore loin de la prestation d’un chauffeur humain. Les navettes évoluent à une vitesse comprise entre 20 et 30 kilomètres par heure, s’arrêtent très fréquemment, ne discernent pas toujours la nature d’un obstacle et n’évoluent que sur une ligne préalablement cartographiée, sans possibilité de s’en écarter. 

      Des limites qu’explique Diego Isaac, responsable communication de la société Navya à Lyon : « Bien sûr, les véhicules sont équipés de caméras et d’une batterie de capteurs. Mais la technologie est basée avant tout sur la #cartographie précise du trajet et le Lidar, une sorte de « sonar laser ». Que ce soit un piéton assis ou un bout de carton, le véhicule s’arrêtera, car il perçoit une différence entre la carte enregistrée en système et ce qu’il rencontre dans la réalité. Au fur et à mesure des trajets, le système améliore sa compréhension via les informations recueillies, par autoapprentissage. »

      Des véhicules autonomes au comportement routier plus fluide sont en test, notamment par Waymo (Google) ou General Motors, parmi les plus avancés de l’industrie, mais toujours sur la base de la cartographie et du deep learning. Une approche potentiellement insuffisante, selon Hervé Bourlard, directeur de l’institut de recherche sur l’intelligence artificielle Idiap, basé à Martigny (VS) : « Reconnaître n’est pas comprendre.

      Tout ce que peut faire un véhicule autonome aujourd’hui, c’est généraliser des modèles, c’est-à-dire apprendre à partir d’exemples. Or, il reste impossible de couvrir l’ensemble des cas possibles, ce qui est préoccupant sachant que la machine ne dispose pas du « bon sens commun » humain pour faire face aux situations inconnues. »

      i un listing plus exhaustif des types d’obstacles peut s’envisager dans un délai de trois à quatre ans, le scientifique considère qu’un début de basculement vers une compréhension plus fine de l’environnement n’interviendra probablement pas avant une décennie : « La conduite est un #acte_social. Chercher le regard de l’autre à une intersection, comprendre qu’une manifestation a lieu ce jour-là en ville, qu’on est à proximité d’une école, anticiper la réaction d’un piéton sont des interactions très complexes. On en est encore loin en termes d’intelligence artificielle. »

      La barrière météorologique
      Autre défi technique majeur, les difficultés des capteurs en cas d’intempérie. Problème d’identification d’objets, de lecture de marquage au sol et de signalisation, plus encore par temps de neige, les systèmes opèrent très péniblement loin de la douceur californienne (première zone mondiale pour les tests de véhicules autonomes, avec près de 800 000 km effectués en 2017). L’industrie a créé la ville artificielle de #Mcity dans le Michigan, pour essayer les systèmes notamment sous la pluie, la neige ou le givre. En Suisse, en attendant, un test réalisé sur route mouillée en juin  2017 par le TCS, concernant l’assistance au freinage d’un véhicule Volkswagen Up ! équipé d’un Lidar, a abouti à une nouvelle #collision.

      Lever ces obstacles techniques reste nécessaire pour envisager l’évolution d’une régulation, particulièrement défavorable à l’industrie. Selon la Convention de Vienne de 1968, signée notamment par tous les pays européens, « tout véhicule en mouvement (...) doit avoir un conducteur ». Un premier amendement de 2016 autorise désormais l’utilisation de systèmes automatisés, mais toujours sous contrôle d’un conducteur. Certains Etats ont signé des dérogations afin de permettre des tests.

      Reste que la présence du « safety driver » est le plus souvent requise, ce qui limite l’intérêt commercial de la solution, comme le relève Diego Isaac de Navya : « Il n’y a pas de chauffeur dans nos navettes, mais les sociétés de transport doivent quand même payer un opérateur pour les trajets. Sans le coût lié à cet opérateur, les transporteurs publics pourraient repenser leur organisation avec beaucoup plus de rotations, des endroits éloignés desservis, et un service continu. »

      Un point de vue partagé par Raphaël Gindrat de la startup romande BestMile, qui édite un logiciel de gestion de flotte de bus autonome : « Faire un véhicule autonome, si une personne doit surveiller en continu la route, n’a pratiquement aucun intérêt. La législation doit nécessairement évoluer si on veut passer de la phase des tests à des flottes de 20 000 ou 25 000 véhicules, pour des opérateurs comme Uber par exemple. Mais on peut craindre que si les constructeurs allemands ou français restent en retard sur les Américains, les pouvoirs publics européens freinent l’évolution jusqu’à ce qu’ils soient prêts. » 

      Et en cas d’accident ?
      D’autant plus qu’avant d’autoriser le véhicule sans conducteur, le régulateur doit se pencher sur la responsabilité en cas d’accident, afin de déterminer qui paiera le cas échéant. Constructeurs ? Sociétés de mapping ? Réseaux de communication ? Concepteurs d’algorithmes ? La commission des Nations Unies pour l’Europe travaille sur l’Automated data driver recorder, pour permettre d’évaluer les causes et parties impliquées lors d’un accident. Un tout premier pas vers une redéfinition des responsabilités qui pourrait susciter un long débat.

      Derniers à convaincre et non des moindres, les #automobilistes eux-mêmes. Selon une étude menée conjointement par le TCS et l’Office fédéral des routes, seuls 25% des Suisses feraient confiance à un véhicule complètement autonome. Parmi les principaux facteurs d’inquiétude, le hacking et le détournement des systèmes de conduite, pour 66% d’entre eux, qui pourraient notamment aboutir à des crashs. 

      Au-delà des questions techniques, l’automobiliste devra accepter un changement de paradigme. Les prix élevés des technologies de véhicules sans chauffeur et la nécessaire coordination des flottes laissent envisager une transition depuis l’automobile individuelle vers une prestation de mobilité, par navette ou taxi autonome. Une idée qui doit encore faire son chemin, estime Yves Gerber, responsable communication TCS Group : « Les mentalités évoluent petit à petit vers le véhicule partagé, et des études montrent que les gens font d’avantage confiance à une navette sans chauffeur qu’à un véhicule individuel sans chauffeur. Mais il faudra du temps. Il y a, et il y aura encore longtemps, toute une frange de la population attachée à « piloter » sa propre voiture. »

  • Pénuries de batteries pour la Model 3 de Tesla 28 Juin 2018 - L’Essentiel
    http://www.lessentiel.lu/fr/economie/story/27098663

    L’accélération de la cadence de production de la Model 3 de Tesla, après plusieurs mois de retards, a entraîné une pénurie temporaire de batteries.


    Le PDG de Tesla Elon Musk a fait savoir début juin qu’il était confiant dans la capacité du groupe à produire 5 000 berlines Model 3 d’ici la fin du mois, ce qui a été accueilli avec scepticisme par certains analystes à Wall Street. Yoshio Ito, responsable la division automobile de Panasonic, a déclaré jeudi lors de l’assemblée générale du groupe japonais qu’il y avait eu une « forte amélioration de la production », entraînant des pénuries occasionnelles de batteries.

    Panasonic, qui dispose d’un site de production de batteries au Japon et qui exploite avec Tesla l’usine Gigafactory dans l’état du Nevada, est le fournisseur exclusif des cellules de batteries pour les modèles de voitures en cours de production. Le groupe japonais a également une usine en commun avec Tesla pour produire des cellules et des modules solaires à Buffalo, dans l’État de New York.

    Les batteries sont au cœur du plan de Panasonic visant à un quasi-doublement des revenus de son activité automobile à 2 500 milliards de yens (19,6ámilliards d’euros) d’ici mars 2022, contre 1 800 milliards attendus pour l’exercice en cours. Selon les analystes, le partenariat entre le groupe japonais et le constructeur américain n’est toutefois pas sans risque, comme en témoignent les retards de production de la Model 3 ou encore les accidents de route mettant en cause des Tesla.

    Batteries à l’état solide pas prêtes
    Tesla a en outre annoncé le 12 juin son intention de supprimer des milliers d’emplois à travers le groupe, soit environ 9% de ses effectifs, afin de réduire les coûts et d’améliorer sa rentabilité sans mettre en danger la montée en puissance de la production de sa berline Model 3.

    Les retards de la Model 3 ont conduit Panasonic à abaisser en février les perspectives de son pôle batteries. « Je ne dirais pas que le retard (dans la production de la Model 3 de Tesla) n’a eu aucun impact sur nos activités mais nous sommes en étroite communication avec Tesla et travaillons à améliorer constamment la production », a déclaré Yoshio Ito.

    Soucieux de réduire sa dépendance vis-à-vis de Tesla, Panasonic s’est récemment associé à Toyota Motor pour développer et fournir des batteries de véhicules électriques. Le directeur général de Panasonic, Kazuhiro Tsuga, a déclaré lors de l’AG que les batteries à l’état solide, considérées comme plus stables, ne devraient pas arriver sur le marché automobile avant un moment, même si le groupe reste engagé dans le développement de cette batterie de nouvelle génération.

    « Nous pensons que nous pouvons continuer à améliorer les performances des batteries lithium-ion actuelles au moins jusqu’en 2025 », a-t-il ajouté. « La commercialisation des batteries à l’état solide viendrait après ces progrès ». Le constructeur automobile japonais Toyota entend commercialiser des véhicules équipés de batteries à l’état solide d’ici le début des années 2020.

    #tesla #Panasonic #transport #voiture #mobilité #automobile #robotisation #innovation #batteries #électricité #bricolos #elon_musk #pénuries

  • Suivi des accidents Tesla :

    15 Juin 2018 : @Tesla This is what happened to my husband and his car today. No accident,out of the blue, in traffic on Santa Monica Blvd. Thank you to the kind couple who flagged him down and told him to pull over. And thank god my three little girls weren’t in the car with him.
    https://twitter.com/marycmccormack/status/1007831286176571394/video/1

    21 Mai 2018 : Man Dies After Tesla Crashes Into East Bay Pond
    A man died after the Tesla he was driving plunged into a pond along Crow Canyon Road in the East Bay Sunday night, according to the California Highway Patrol. Bob Redell reports.
    (Published Monday, May 21, 2018)

    https://www.nbcbayarea.com/on-air/as-seen-on/Man-Dies-After-Tesla-Crashes-Into-East-Bay-Pond_-CHP_Bay-Area-483210491.

    12 Mai 2018 : Tesla en feu sur l’A2: la batterie serait en cause
    https://www.tdg.ch/suisse/Tesla-en-feu-sur-l-A2-la-batterie-serait-en-cause/story/13942273
    Tessin : Un automobiliste s’est tué jeudi dernier près du tunnel du Monte Ceneri. Selon les pompiers, la batterie de sa Tesla serait à l’origine de l’incendie.


    Les causes de l’incendie d’une Tesla jeudi au Tessin suscitent la controverse. Selon un message des pompiers de Bellinzone sur Facebook, un problème de batterie pourrait être en cause. Le constructeur américain appelle à la prudence. L’enquête en cours n’a pas encore livré ses résultats.
    L’automobiliste allemand de 48 ans a, pour une raison inconnue, percuté la glissière centrale de l’autoroute A2, près du tunnel du Monte Ceneri (TI). Son véhicule s’est alors renversé et a pris feu. Le conducteur a péri sur les lieux de l’accident.

    10 Mai 2018 : Teenagers killed in fire after Tesla crashes, battery bursts into flames

    http://www.abc.net.au/news/2018-05-10/tesla-crash-battery-fire-kills-two-teenagers/9747648

    Safety investigators in the US are investigating a crash in which the battery of a Tesla electric car caught fire, burning two teenagers to death.

    A witness to the crash in Fort Lauderdale, Florida, said the Tesla Model S was being driven fast and spun out of control. It then crashed into a wall and caught fire.

    Police said two 18-year-olds were trapped and died when the car became engulfed in flames.

    Another teenager was thrown from the car and was taken to a hospital, where his condition was unknown.

    The witness said he tried to help the teenagers but the fire was too intense to get them out of the car.

    Lithium-ion batteries like those used by Tesla can catch fire and burn rapidly in a crash, although Tesla has maintained its vehicles catch fire far less often than those powered by petrol.
    1 Mai 2018 : Teen Driver Charged in Fatal Ohio Prom Night Car Crash
    https://www.usnews.com/news/best-states/ohio/articles/2018-05-10/teen-driver-charged-in-fatal-ohio-prom-night-car-crash

    MONROE, Ohio (AP) — Authorities have charged the teen driver in an Ohio prom night car crash that caused a 17-year-old girl’s death.
    Butler County Sheriff Richard Jones said Thursday that Chynna Brandon is charged with one count of vehicular homicide and two counts of vehicular assault. Butler County Prosecutor Michael Gmoser (MOH’-sur) tells the Hamilton-Middletown Journal-News he plans to keep the case in the juvenile court system.

    No records were available immediately Thursday for a phone or attorney for the 17-year-old Brandon.

    Police say four teens were going to the Monroe school prom in southwestern Ohio April 27 when the driver lost control of a 2013 Tesla sedan and crashed into a telephone pole.

    Passenger Kaylie Jackson later died from her injuries. Three other passengers were released from the hospital.

    #Tesla #voiture_autopilotée #voiture_autonome #transport #voitures_autonomes #voiture #mobilité #automobile #robotisation #innovation #batteries #électricité #accidents

  • Tesla va supprimer 9% de ses effectifs RTBF - AFP - 12 juin 2018
    https://www.rtbf.be/info/economie/detail_tesla-va-supprimer-9-de-ses-effectifs?id=9943762

    Le fabricant de voitures électriques américain Tesla a annoncé mardi dans un courriel adressé à ses employés et consulté par l’AFP qu’il prévoyait de supprimer 9% de ses effectifs.

    Ces licenciements n’affecteront pas la montée en cadence de la production du « Model 3 », voiture censée faire de Tesla un groupe automobile de masse, a assuré l’entreprise qui avait annoncé en mai envisager un plan de restructuration sans en donner les grandes lignes.

    Ils vont épargner les équipes de production, affirme Elon Musk, le PDG auteur du document.


    « Tesla a grandi et évolué rapidement lors des dernières années, ce qui s’est traduit par des doublons dans certains rôles et fonctions », explique Elon Musk. Si ces doublons « faisaient sens par le passé, ils sont difficiles à justifier aujourd’hui ».
    Au 31 décembre 2017, Tesla employait 37.543 salariés à temps plein, mais ses effectifs évoluent beaucoup en fonction de ses montées en cadences et de nouveaux modèles à l’instar du Model 3.

    A Wall Street, le titre gagnait 2,91% à 141,78 dollars vers 18H35 GMT, les investisseurs semblant saluer les efforts du groupe, qui brûle beaucoup d’argent depuis sa création il y a 15 ans, pour essayer d’être rentable cette année.

    #Tesla #licenciement #licenciements #USA #voiture_autopilotée #voiture_autonome #transport #voitures_autonomes #voiture #mobilité #automobile #robotisation #innovation 

  • Saint-Gilles : une Tesla aurait démarré toute seule et foncé dans d’autres véhicules garés RTBF - 31 Mai 2018
    https://www.rtbf.be/info/societe/detail_saint-gilles-une-tesla-aurait-demarre-toute-seule-et-fonce-dans-d-autres

    Un accident s’est produit ce mardi en fin de journée à Saint-Gilles : une Tesla Model S aurait démarré toute seule et percuté cinq voitures garées, rapporte Sudpresse.

    C’est dans la rue de Bosnie qu’a eu lieu cet accident hors du commun. Selon une source policière citée par La Capitale, le propriétaire de la Tesla a expliqué qu’il se trouvait hors de la voiture pour fermer la grille de son agence alors que le moteur de la Tesla tournait. La voiture se serait alors mise en route toute seule. La « voiture fantôme » a foncé sur d’autres voitures garées non loin de là avant de finir sa course dans une Dacia qui s’est écrasée contre une façade de maison. 


    A près avoir fait des constats à l’amiable avec les propriétaires de voitures endommagées, le propriétaire de la Tesla a promis qu’il allait demander des comptes à la marque Tesla. Nous avons tenté de contacter la marque, mais elle n’a toujours pas réagi à l’heure d’écrire ces lignes.

    Une Tesla Model S aurait démarré toute seule et encastré 5 autos La Capitale - Par D.H. - 31 Mai 2018
    http://www.lacapitale.be/237894/article/2018-05-31/une-tesla-model-s-aurait-demarre-toute-seule-et-encastre-5-autos


    À Saint-Gilles, une Tesla Model S aurait démarré toute seule et emplafonné cinq voitures en stationnement ce mardi en début de soirée…
    C’est un incroyable accident qui s’est déroulé ce mardi en fin de journée dans la rue de Bosnie, à Saint-Gilles. Une Tesla Model S aurait démarré en trombe toute seule – c’est-à-dire sans son conducteur au volant– et emplafonné cinq véhicules en stationnement . . . .

    #autopilote #voiture_autopilotée #voiture_autonome #transport #Tesla #voitures_autonomes #voiture #mobilité #automobile #robotisation #innovation #silicon_valley #intelligence_artificielle et complètement #autonome #Tesla #poubelle

  • Les fans d’Elon Musk ne semblent plus tolérer la moindre critique contre lui pym - 29 Mai 2018 - RTS
    http://www.rts.ch/info/monde/9605595-les-fans-d-elon-musk-ne-semblent-plus-tolerer-la-moindre-critique-contre

    Elon Musk, le patron fondateur de Tesla, lance des attaques de plus en plus virulentes contre tout article de presse critique. Une armée d’inconditionnels le soutient activement sur les réseaux sociaux.

    « Qu’est-ce que ça fait quand la mafia Twitter d’Elon Musk est à vos trousses ». Un billet publié par le Daily Beast raconte le sort réservé aux journalistes femmes qui couvrent Elon Musk : elles sont souvent traitées « d’idiotes, de chiennes ou pire ».


    Selon l’auteure, Erin Biba, journaliste scientifique à la BBC, ce ton peu amène serait le fait d’une « armée » de jeunes qui « marchent derrière » Elon Musk. « Honnêtement, je ferais confiance à un chien enragé avant de vous faire confiance », lui avoue ainsi l’un d’eux.
    I’d honestly trust a rabid dog before I trusted you
    -- Fred Brittin (@fb80902) 28 mai 2018

    Un autre message, adressé à une consoeur d’Erin Biba, Jessica Huseman, adopte un ton lourd de reproches : « Et si tu la fermais et que tu arrêtais d’importuner Elon ? Chaque minute où tu causes des ennuis est une minute de retard pour la mise sur le marché d’un véhicule totalement autonome. Tu tues littéralement des gens. »

    How about you shut the hell up and stop bothering Elon. Every min you cause trouble is a minute that fully autonomous vehicle is late to market. You’re literally killing people
    -- Yav Lee (definitely not a Russian bot) (@ChineseDotard) 23 mai 2018

    La semaine dernière, Elon Musk proposait de créer un site d’évaluation de la crédibilité des journalistes. Il a fait un triomphe auprès de ses supporters.

    #violence #harcèlement #censure #tesla #silicon_valley #google #automobile #voiture #elon_musk #voiture_autonome #innovation #robotisation #transport #voiture_autopilotée #électricité #voitures_autonomes #intelligence_artificielle

  • Parcours complexe de supériorité - Le Monolecte
    https://blog.monolecte.fr/2018/05/29/parcours-complexe-de-superiorite

    La neutralité de la machine n’est que celle que l’on veut bien lui accorder. La machine ne fait que le boulot pour laquelle elle a été programmée et le fait suivant les critères et les barèmes qu’on lui a assignés. De ce point de vue là, la machine n’est pas si neutre que cela, elle agit en fonction des intentions de ceux qui se cachent derrière.

    En résumé, une machine qui trie en fonction des aptitudes à faire du vélo ne pourra en aucun cas être bienveillante pour les poissons. Sa seule neutralité, en fait, c’est de servir de paravent à l’humain ou au groupe d’humain qui a décidé délibérément d’exclure les poissons de la compétition.

    #parcoursup #éducation #école #domination #inégalité #surnuméraires

  • Désaccords entre Tesla et les enquêteurs après un accident mortel
    https://www.rtbf.be/info/economie/detail_desaccords-entre-tesla-et-les-enqueteurs-apres-un-accident-mortel?id=989

    Le ton est monté jeudi entre Tesla et l’organisme chargé de faire la lumière sur les causes d’un accident mortel, aboutissant au retrait du constructeur de voitures électriques de l’enquête portant notamment sur son logiciel de conduite semi-automatique Autopilot.

    Cette enquête avait été ouverte par le régulateur des transports américain (NTSB) à la suite de cet accident survenu le 23 mars en Californie. Le conducteur y avait trouvé la mort alors que le logiciel de conduite semi-automatique Autopilot conçu par Tesla était activé. Les batteries de la voiture, disloquée dans le choc, avaient également pris feu.

    Dans des communiqués diffusés jeudi, Tesla et le NTSB se sont renvoyés la responsabilité de cette décision.


    Tesla veut « trop » communiquer
    « Tesla s’est retiré de l’accord avec le NTSB car il requiert que nous ne diffusions pas d’informations publiquement concernant Autopilot et nous considérons que cette exigence a un impact négatif sur la sécurité du public », a indiqué Tesla dans une première déclaration dans la matinée.

    « Nous croyons en la transparence et un accord qui empêche la publication d’informations pendant près d’un an n’est pas acceptable », y a affirmé le constructeur, précisant qu’il continuera néanmoins de collaborer à l’enquête du NTSB.

    Celui-ci a répondu qu’il avait « révoqué » le statut de Tesla comme partie à l’enquête. « Le NTSB a pris cette décision car Tesla a violé l’accord conclu entre les parties en publiant des informations liées à l’enquête avant qu’elles ne soient vérifiées et confirmées par le NTSB ».
    « De telles publications d’informations incomplètes donnent souvent lieu à des spéculations et des conclusions incorrectes sur les causes probables d’un accident ce qui nuit à l’enquête et au public », ajoute-t-on de même source.

    « Il est malheureux que Tesla, de par ses initiatives, n’ait pas respecté l’accord conclu entre les parties », a souligné le président du NTSB Robert Sumwait en précisant que le PDG de Tesla, Elon Musk, avait été informé de cette décision mercredi soir par téléphone et jeudi par courrier.

    Une telle mesure est rare a souligné l’organisme public mais a connu des précédents, notamment lors d’enquêtes sur des accidents d’avions en 2009 et 2014.
    . . . . . . . . .
    « La fonction Autopilot de Tesla présente des défauts » 
    Ce cabinet, Minami Tamaki LLP, a affirmé que, selon ses conclusions préliminaires, d’autres plaintes de conducteurs de Tesla concernant Autopilot ont été recensées et qu’il estime que « la fonction #Autopilot de #Tesla présente des défauts et a vraisemblablement provoqué la #mort de Huang ».

    Le NTSB avait déjà mené une enquête sur un précédent accident mortel d’une Tesla équipée d’Autopilot survenu en 2016 en Floride. Le constructeur avait alors modifié certaines fonctionnalités du système afin de mieux prévenir les utilisateurs de l’approche d’un danger.
    Le NTSB a toutefois souligné jeudi qu’il « continuait d’inciter Tesla à prendre des mesures dans le cadre des recommandations émises dans le cadre de notre enquête sur l’accident de 2016 en Floride » , ce qui pourrait laisser entendre qu’il n’est pas entièrement satisfait des modifications apportées par le constructeur.

    Suite à ces développements, le titre Tesla a perdu près de 2,3% à Wall Street à 294,08 dollars. Il a cédé plus de 14% de sa valeur sur le mois écoulé, en raison de retards de production sur son dernier modèle, le Model 3, et d’inquiétudes sur la santé financière du groupe.

    #autopilote #voiture_autopilotée #voiture_autonome #transport #Tesla #voitures_autonomes #voiture #mobilité #automobile #robotisation #innovation #silicon_valley #intelligence_artificielle #Tesla #poubelle

  • More migrant workers needed to offset ageing population, says IMF | Business | The Guardian

    https://www.theguardian.com/business/2018/apr/09/get-more-migrant-workers-to-offset-strain-of-ageing-population-warns-im

    The International Monetary Fund has said advanced economies such as Britain, the US and Japan risk being overwhelmed by their ageing populations, and calls on them to throw open their borders to more migrant workers in response.

    Within the next few decades, working-age adults will need to support double the number of elderly people than they do now, putting immense pressure on welfare systems and wiping out as much as 3% of potential economic output by 2050, the IMF said in its latest World Economic Outlook report.

    #migrations #asile #vieillesse #population #Vieillissement_population #robotisation #immigration