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#rock’n’roll

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    François Isabel @fsoulabaille CC BY-NC-ND 16/12/2024
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    Didier Wampas : « Si tu es contre le capitalisme, tu n’es pas obligé de vendre tes disques chez Carrefour » - La Libre
    ▻https://www.lalibre.be/culture/livres-bd/2024/12/16/didier-wampas-si-tu-es-contre-le-capitalisme-tu-nes-pas-oblige-de-vendre-tes

    La RATP, Kyo, Johnny, Manu Chao, Marco Pantani, le Dalaï-Lama… Le chanteur libertaire Didier Wampas publie « Punk ouvrier » dans laquelle il revient sur les grands moments de sa carrière. Entretien sans langue de bois, ça fait du bien.

    « Les Wampas n’aiment pas Kyo, les Wampas n’aiment pas la variété pourrie. » Le 28 février 2004, lors des Victoires de la musique, il n’a pas pu s’empêcher… En descendant les marches du Zénith de Paris avant de chanter « Manu Chao », son tube le plus connu, un boa rose autour du cou, Didier Wampas a préféré asséner sa vérité en prime time plutôt que d’esquisser un sourire forcé dans un show aseptisé. Dans Punk ouvrier, sa biographie, le chanteur déchaîné à la voix éraillée revient sur ce moment et les autres grands souvenirs de sa carrière, en commentant les paroles de ses chansons. C’était la condition sine qua non assure Didier Chappedelaine, son vrai nom. « La maison d’éditions m’a appelé. Au début, je ne voulais pas trop parler de ma vie. Ça ne m’intéressait pas tellement. On a discuté avec Christian Eudeline (journaliste, NdlR) et j’ai accepté uniquement si le livre était plus basé sur la musique que sur ma vie. » Dont on apprend beaucoup, quoi qu’il en dise.

    Quels souvenirs gardez-vous de votre enfance en HLM à Villeneuve-la-Garenne ?

    Ma mère est Bretonne, de Spézet, elle a appris le français à l’école. Ma grand-mère le parlait à peine, elle ne savait ni lire, ni écrire. C’est fou de se dire ça. Ma mère est partie à Paris comme Bécassine pour être bonne chez un docteur. Mon père est d’origine normande, mais il est né à Boulogne. Il travaillait chez Renault, c’était un vrai ouvrier, à l’ancienne. À Villeneuve-la-Garenne, je n’étais pas malheureux, mes parents étaient très très gentils, mais je m’ennuyais un peu. Je n’avais pas vraiment de copains. J’aurais aimé, mais je ne jouais pas au foot, je n’étais pas super bien dans ma peau, j’étais tout maigre. Les autres se moquaient un peu de moi. Heureusement, j’ai eu la lecture très tôt pour m’aider, j’ai lu beaucoup. Après est venue la musique.

    Vous étiez très bon à l’école, puis vous avez décroché au collège. Comment l’expliquez-vous ?

    Je ne me l’explique toujours pas. Je n’ai pas réussi à accrocher au système scolaire au collège. Je n’avais pas envie d’étudier. Je ne comprenais pas le pourquoi du comment, le rapport avec ma vie. On m’a mis en allemand première langue et je n’arrivais pas à m’intéresser au cours. Qu’est-ce que j’en avais à faire d’apprendre l’allemand ? Pourquoi ? J’ai fait une année en seconde à Gennevilliers et là c’était l’horreur. C’était la zone. C’était pour devenir tourneur-fraiseur, dans des grands ateliers. Je suis finalement allé à Clichy où j’ai décroché un bac en électrotechnique.

    Vous avez travaillé toute votre vie à la Régie autonome des transports parisiens (RATP). Pourquoi y êtes-vous resté malgré le succès ?

    J’avais bossé un an et demi à l’usine avant. Je ne sais pas comment font les gens. Quelle drôle de vie quand même. C’est démago de dire que les politiques devraient aller bosser à l’usine, mais ce n’est pas loin de la vérité. Si les gens allaient une fois à l’usine, ils verraient ce que c’est la vie. C’est pas facile. Cette expérience m’a permis de me rendre compte que c’était beaucoup plus cool à la RATP. Au tout départ, quand j’ai commencé, il n’y avait pas d’intermittents du spectacle. À partir des années 90, j’aurais pu avoir le statut, mais je n’avais pas envie de rentrer là-dedans. La RATP m’a permis de me moquer pas mal des maisons de disques, des contrats, des ventes, de ne pas être obligé de faire des dates pour avoir le statut. J’ai pu faire de la musique comme j’en rêvais quand j’avais 15 ans. Un truc noble, beau, pur, où on s’en fout de gagner de l’argent. Par amour du rock et de l’art.

    Vous faisiez la première partie de la Mano Negra et vous alliez directement au travail. Ce n’était pas déstabilisant d’enchaîner les deux ?

    Oui, mais ça fait du bien. Ça permet d’en rajouter sur scène, de jouer la rock star parce qu’on sait que ce n’est pas vrai. On retourne bosser et on sait que c’est faux. Ça aide à ne pas prendre la grosse tête.

    Le rock vous a permis de ne pas sombrer durant votre jeunesse ?

    C’est le premier truc qui m’a donné vraiment envie. Quand j’ai eu 15 ans. Je ne savais pas ce que je voulais faire de ma vie. Je voulais être marin, vivre des aventures, mais sans savoir comment. Quand le rock est arrivé, je me suis dit « ouah », enfin quelque chose à quoi m’accrocher. Ça m’a donné un but dans la vie et de savoir qu’on pouvait être différent des autres, sans aimer le disco, le foot et ce n’était pas grave. J’ai rencontré des gens, rien qu’en écoutant des disques. J’écoutais David Bowie et je me rendais compte qu’il y avait d’autres gens comme moi.

    Comment s’est construite votre culture musicale ?

    Je n’en avais pas… J’écoutais le hit-parade d’Europe 1 avec Johnny, Il était une fois et Mike Brant. « Qui saura » a été ma première émotion musicale. À dix ans. La première fois que j’écoute une chanson et que ça me touche aux tripes. Johnny reprenait les chansons d’Elvis et d’Eddie Cochran, je l’ai beaucoup écouté dans les années 70. J’ai quand même un peu appris le rock’n’roll avec lui… C’était un exemple, car il a montré qu’on pouvait chanter du rock en français. Je lui ai écrit une chanson intitulée « Christine », mais je ne lui ai jamais envoyée.

    Vous rencontrez Francis Cottaing à l’école d’électricité. Une révélation ?

    Oui, c’est mon premier copain punk qui écoutait la même musique que moi. Je pouvais enfin en parler avec quelqu’un. On a traîné ensemble et on a rencontré d’autres punks sur le lac d’Enghien. On était quatre, et on s’est dit : on va faire un groupe. Le 14 juillet 1981, on peut dire que c’est la date de naissance des Wampas.

    Et vous prenez directement le micro ?

    Francis faisait un peu de batterie, les deux autres de la guitare. On s’est mis dans la cave d’un des deux guitaristes et on s’est mis à répéter. J’ai essayé de jouer de la basse pendant trois répétitions, mais comme je ne savais vraiment pas en jouer, je me suis mis en chanteur. En général, c’est le plus mauvais dans un groupe. Dès le début, on a répété trois fois par semaine. On s’est dit que c’était important et qu’il fallait s’y tenir. On l’a fait pendant 30 ans. J’adore toujours les répètes.

    Vous avez vu The Cramps à Bobino, The Coronados au Golf Drouot. Ces deux groupes vous ont fait comprendre que vous pouviez faire pareil ?

    En 1978, je suis allé voir David Bowie à Paris et j’ai été déçu. Il ne se passait rien, il était loin, tout petit sur une grande scène, j’étais assis. Et je me suis dit : c’est pas ça le rock’n’roll. Les Cramps et les Coro dans des endroits plus petits, là, j’ai découvert qu’il y avait des vrais concerts de rock’n’roll. La première fois que tu montes sur une scène, tu ne sais pas quoi faire. Petit à petit, c’est venu, je me suis senti à l’aise, mais c’est long, mine de rien.

    Au départ, vous sniffiez de la colle, vous buviez, mais vous avez tout arrêté à 25 ans ?

    On a commencé à répéter avec des packs de bières. Cela ne m’aidait pas du tout à avancer. Entre les concerts, les trois-huit, je n’avais pas la santé pour tout. Et puis, c’est compliqué les concerts, il y a à boire à volonté, le frigo est rempli. Tu fais la balance à 14 heures pour jouer à 22 heures. Non, non. C’est plus simple de ne pas boire du tout, sinon, c’est compliqué à gérer.

    Vous écrivez dans le livre : « Je ne fais pas de rock pour écrire des paroles, je ne suis pas un poète. » C’est toujours ce que vous pensez ?

    Au départ, je détestais que l’on me dise que je faisais de la poésie, mais je pense aujourd’hui qu’il n’y a pas de bonnes chansons sans bonnes paroles. Et en fait, la poésie, c’est ce qu’on fait quand même. Je déteste retoucher mes paroles, j’ai envie qu’elles sonnent vraies, comme la musique. Je trouve qu’il faut garder le premier jet. Après, Brassens faisait le contraire et c’était bien.

    Par exemple, « Rimini », très beau texte écrit en hommage au feu cycliste Marco Pantani, est sorti d’un seul jet ?

    Quasiment. J’écris très vite. Je l’ai écrite sous le coup de l’émotion. Quand j’ai appris qu’il était mort à Rimini. J’y étais passé l’été avant son décès, j’avais déjà trouvé la ville glauque. Je me suis dit, en hiver, tout seul dans une chambre d’hôtel. Le pauvre… Ça m’a foutu un coup.

    Vous évoquez aussi les suicides de Marc Police, ancien guitariste des Wampas et du chanteur Jean-Luc le Ténia. Vous écrivez : « le monde était trop petit pour eux ». C’est-à-dire ?

    Marc et Jean-Luc étaient des gens qui aspiraient trop à quelque chose de grand, de beau, et justement le monde ne le leur donnait pas. Ils vivaient dans un monde qu’ils trouvaient petit et mesquin et ils ne pouvaient pas supporter d’y vivre, ils voulaient plus de beauté.

    Vous composez d’abord la musique, avant d’écrire ?

    95 % du temps. Je fais des chansons en yaourt et après je mets des paroles dessus. C’est plus facile. Même si ce n’est jamais facile. Là, je dois écrire pour le prochain album des Wampas, j’ai plein de chansons, je n’ai pas de paroles, je ne sais pas par où commencer. Je n’ai rien à dire. J’en suis encore à me demander par où je commence. C’est toujours la même histoire. C’est toujours aussi dur.

    Vous chantez : « C’est pas moi qui suis trop vieux, votre musique c’est de la merde ». Quel est votre regard sur la musique actuelle ?

    C’est un badge que j’avais vu aux USA. Je me suis dit qu’il fallait en faire une chanson car c’est trop vrai. Des fois, on se dit : c’est moi qui suis vieux, mais je crois que si j’avais 15 ans aujourd’hui, il y a plein de musiques que je n’aimerais pas. Pas plus que les Bee Gees à l’époque. J’écoute un peu de tout, pourtant, je comprends que le rap existe, c’est parfois drôle et vivant. Mais la variété française, le RnB et la dance, même si j’essaie, je ne peux pas. La vie est trop courte. Je lis les magazines rocks aussi pour trouver des trucs bien. Je ne veux pas être comme tous ces gens de mon âge qui écoutent uniquement ce qu’ils écoutaient à 15 ans. J’écoute beaucoup de musique classique, ça soulage. Aujourd’hui, Brahms me nourrit plus que les Sex Pistols.

    « Je m’en fous de ce que les gens disent. Je danse sur la Lune ». C’est un peu votre mantra ?

    Oui… C’est tellement jouissif de s’en foutre de ce que les gens pensent. Je n’arrive pas à faire un disque en me disant : tout le monde va l’aimer. Ma copine regardait un reportage sur Clara Luciani, l’autre jour. Elle était toute contente de remporter les Victoires de la musique, je n’ai rien contre elle, mais tout ce qu’elle disait, c’était le contraire de ce que je pense. Si tu as une Victoire de la musique, c’est que tu as fait une musique de merde. Ce ne sont pas les Victoires de la musique, ce sont les Victoires de la thune. Après, les gens font ce qu’ils veulent, c’est tellement bien de pouvoir faire ce dont on a envie. On me demande de passer à la télé, mais je n’ai pas envie. Je n’ai pas envie d’y aller, c’est tellement faux, hypocrite comme milieu, que je ne peux pas y aller.

    Le titre « Manu Chao » a eu du succès en 2004. Comment est-il né ce titre ? Qu’a-t-il changé ?

    « Manu Chao » a accru ma notoriété. Je n’aurais peut-être pas fait un livre aujourd’hui sans ce tube. Je ne suis ni fier, ni pas fier de l’avoir fait. J’avais vu une interview dans laquelle Manu Chao critiquait le capitalisme. Et je m’étais dit : si tu es contre le capitalisme, tu n’es pas obligé de vendre tes disques chez Carrefour. Il ne l’a pas très bien pris. On l’avait invité pour apparaître dans le clip, il n’était pas venu. Les membres de Louise Attaque, par contre, ont dit « oui » avec plaisir. Ils nous ont notamment aidés en nous invitant au Zénith pour faire « Chirac en prison ».

    On allait y venir. Ce titre qui figure sur l’album suivant « Manu Chao » vous a un peu « cramé » ?

    Je n’avais pas envie de faire comme tout le monde et de rentrer dans le grand cirque médiatique. À l’époque, tout le monde me disait : vous vous tirez une balle dans le pied. Il y a « Rimini » sur le même album, toutes les radios, nous ont dit : s’il n’y avait pas eu « Chirac en prison », on l’aurait diffusée. On n’est plus passé en radio par après. Mais je suis très content d’avoir fait ce titre, je peux me regarder dans une glace.

    Vous avez joué dans des studios et des lieux mythiques, collaboré avec le producteur des Hives, assuré la première partie d’Iggy Pop ou de la Mano Negra, croisé le Dalaï-Lama, voyagé un peu partout… Quand vous vous retournez sur vos 43 ans de carrière, vous vous dites que la vie a été belle non ?

    Oh oui… Quand on regarde d’où je viens, le petit Didier en banlieue qui n’a pas de copains, si on m’avait dit tout ce que je ferai, je ne l’aurais jamais cru. C’est pour ça, avoir plus de succès, vendre plus de disques, je m’en fous, j’ai déjà vécu des choses exceptionnelles. Tous les soirs, quand je rentre sur scène, c’est incroyable. Ça m’amuse toujours autant. Je n’en ai pas marre. Je ne sais rien faire d’autre au fond. Je n’arrive pas à m’exprimer autrement. Faire des nouveaux disques et écrire des bonnes chansons, je ne pense qu’à ça tout le temps. C’est tellement important pour moi. Si je suis là, c’est parce que j’écoutais des disques seul dans ma chambre. Si les gens peuvent écouter les disques des Wampas et être touché comme je l’ai été, c’est ce qui me fait continuer.

    Y a-t-il un moment particulier dans cette carrière ?

    La sortie de mon premier 45 tours. Je me souviens d’avoir pris le train de banlieue pour rentrer chez moi avec mon disque sous le bras. Je me dis : ça y est, j’ai réussi. Je peux mourir. Je lisais Best (magazine musical français, NdlR) depuis des années et là, le disque avait été chroniqué en disant qu’un des morceaux était un des meilleurs titres de l’histoire du rock français. J’étais tellement content. Ça a été le summum de ma réussite, le reste, c’était du bonus. Quelque part, j’aurais pu m’arrêter là.

    Vous roulez toujours dans une vieille Daewoo ?

    Non, je l’ai vendue pour 400 euros… Terminé la voiture. J’ai acheté un appartement pour la première fois de ma vie. J’ai un crédit jusqu’à 70 ans. J’ai toujours été en location et à Sète où je me suis installé, personne ne voulait rien me louer. Je suis allé voir ma banque et ils ont été d’accord. Ils ont été très gentils. Je n’ai jamais été propriétaire avant, parce que je m’en fous. On me disait : tu balances ton argent par les fenêtres. Quand je serai mort, ça changera quoi pour moi que je sois propriétaire ou locataire ? Et puis, les réunions pour parler savoir s’il faut refaire, ou pas, la cage d’escalier, ça me rend fou…

    François Isabel @fsoulabaille CC BY-NC-ND
    • @sombre
      Sombre @sombre CC BY-NC-SA 17/12/2024

      #punkitude

      Sombre @sombre CC BY-NC-SA
    • @rastapopoulos
      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC 17/12/2024

      #musique #rock #punk #Didier_Wampas #chanson

      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 17/12/2024

      J’ai souvent vu les Wampas en concert avec différente formation mais le line-up du début était vraiment impressionnant, presque dangereux sur scène. Pas Didier Wampas, à la fin des années 80, complètement bourré sur la scène de la cité à Rennes mais comme il chantait en yaourt, ça passait crème. Dans la fosse il y en avait encore des plus défoncé que le chanteur mais aucun ne dégageait autant d’énergie brute que le trio qui accompagnait Didier Chappedelaine. Surtout le bassiste et le guitariste Marc Police, ça sentait les tessons de bouteilles (et oui à l’époque y’avait encore des canettes en verre dans les concerts), la sueur, le sexe, la fureur et le #rock’n’roll
      ▻https://seenthis.net/messages/874812
      Les Wampas au Musée
      ▻https://wampas.com/musee
      ▻https://www.youtube.com/watch?v=cuIIuc4yZvc


      Didier Wampas - Punk Ouvrier
      ▻http://euthanasie.records.free.fr/discographie/Zgroupe-W/Wampas.htm

      Vanderling @vanderling
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 19/12/2024

      Les Wampas - Dans cinq jours c’est Noel
      ▻https://www.youtube.com/watch?v=3YntBuANvYU


      ▻https://www.rockmadeinfrance.com/encyclo/wampas/2973
      #yéyé_punk

      Vanderling @vanderling
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  • @vanderling
    Vanderling @vanderling 4/03/2024

    « Opération Ace of Spades » : Motörhead au service secret de Sa Majesté – Libération
    ▻https://www.liberation.fr/culture/musique/operation-ace-of-spades-motorhead-au-service-secret-de-sa-majeste-2024022
    ▻https://www.youtube.com/watch?v=3mbvWn1EY6g

    C’est le plus gros tube de #Motörhead. Le seul même. Le vrombissant Ace of Spades, aussi pétaradant qu’une Harley-Davidson au démarrage, offre son titre à un roman où comme on l’aura compris le groupe de Lemmy Kilmister, peut-être l’homme le plus #rock’n’roll que la terre n’a jamais est enfanté, est au centre d’une histoire aussi délirante que les frasques du chanteur-bassiste fan du mélange speed-Jack Daniels. A la plume électrique, le rock-critic Patrick Foulhoux déjà responsable entre autres d’une biographie des mythiques Thugs et d’une encyclopédie répertoriant le gratin de la scène punk-garage. Ce passage à la fiction, voire science-fiction, est une réussite. A la base une imagination étincelante mettant en scène un Motörhead, engagé par les services secrets britanniques pour sauver le monde d’un black-out sonore généralisé. La solution d’urgente de ces men in black punks ? Rajouter des trémas sur les « o » dès qu’ils sont prononcés. On ne dévoilera pas plus ce court roman picaresque totalement réjouissant, qui frise par instants le surréalisme burlesque. A lire d’une traite même si on est fan de folk.

    ▻https://www.mono-tone-records-editions.com/livresbooks
    #Patrick_Foulhoux #mono_tone_rds

    Vanderling @vanderling
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  • @vanderling
    Vanderling @vanderling 9/03/2023
    5
    @cabou
    @colporteur
    @odilon
    @sombre
    @gblin
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    Who Are We ? | Al-Qasar
    ▻https://alqasar.bandcamp.com/album/who-are-we

    One of the band’s great coups is the track “Barbès Barbès,” an ode and homage to the neighbourhood in Paris where Al-Qasar first came together. The iconic Mehdi Haddab (Speed Caravan) added his oud virtuosity to the track. “Barbès is this edgy, amazing, historically Algerian, and still ungentrified part of the city” explains Attar Bellier. “To me, it is more typical of the way Paris really is than the Eiffel Tower, or than the Louvre. Real people live there, real culture happens there.” Haddab, who occasionally performs with the band, is famous for introducing the oud as a #rock’n’roll instrument. “When he played on the track, it was as if he’d set it alight, it just came to life.”

    ▻https://babelmusicxp.com/les-concerts/la-programmation/al-qasar
    ▻https://glitterbeat.com/on-tour
    ▻https://seenthis.net/messages/760481
    #psych_rock #hypnotic_roots #trance_musique #North_African

    Vanderling @vanderling
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 13/12/2024

      Les reprises transcendantes d’Al-Qasar | FIP
      ▻https://www.radiofrance.fr/fip/les-visions-transcendantes-d-al-qasar-7627240
      ▻https://www.radiofrance.fr/s3/cruiser-production-eu3/2024/12/2a406449-86ad-4331-bfd2-d6f350a169d3/1200x680_sc_img-1877.webp

      Le collectif psyché-rock dévoile un nouvel album de relectures fusionnelles où s’invitent Mamani Keita, Sami Galbi, Cheick Tidiane Seck, ou encore Alsarah.

      Uncovered - Al-Qasar
      ▻https://alqasar.bandcamp.com/album/uncovered

      Vanderling @vanderling
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  • @vanderling
    Vanderling @vanderling 31/10/2022

    Jerry Lee Lewis (1935-2022) - Soul Bag
    ▻https://www.soulbag.fr/jerry-lee-lewis-1935-2022

    https://www.soulbag.fr/wp-content/uploads/2022/10/Jerry-Lee-Lewis_GP-copie.jpg

    Il était, selon le titre inspiré de son album de duos de 2006, le “dernier homme debout” (“Last Man Standing”) du rock ‘n’ roll. Avec la disparition de #Jerry_Lee_Lewis, et même si vivent encore quelques interprètes historiques, au premier rang desquels figure Wanda Jackson, c’est le dernier pionnier du genre qui a révolutionné, au milieu des années 1950, le monde des musiques populaires qui vient de s’en aller.

    ►https://seenthis.net/messages/851876
    Where to Start With the Legendary Sun Records

    ▻https://daily.bandcamp.com/lists/sun-records-critical-discography

    If #Sun_Records mastermind Sam Phillips could have foreseen how much of pop music’s future would be directly indebted to his label’s output, he probably would have hung onto his artists a little longer. In the ‘50s, Phillips’s modest but mighty Memphis recording studio birthed those early, earth-shaking tracks by Elvis Presley, Howlin’ Wolf, Jerry Lee Lewis, Carl Perkins, and Johnny Cash—to name just a few. They moved on to bigger labels fairly quickly, but almost all of them made their most influential records at the Sun Studio at 706 Union Avenue.

    Vanderling @vanderling
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 31/10/2022

      The Killer Keys Of Jerry Lee Lewis (Sun Records’ 70th / Remastered 2022) | Jerry Lee Lewis
      ▻https://jerryleelewis.bandcamp.com/album/the-killer-keys-of-jerry-lee-lewis-sun-records-70th-remaster

      Vanderling @vanderling
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 31/10/2022

      Jerry Lee Lewis – a life in pictures
      ▻https://www.theguardian.com/music/gallery/2022/oct/28/jerry-lee-lewis-life-in-pictures

      Vanderling @vanderling
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 18/11/2022

      Great balls of Jerry Lee Lewis
      Guillaume Gilles pour #Gonzaï
      ▻https://gonzai.com/great-balls-of-jerry-lee-lewis

      Toute sa vie, The Killer aura secoué son piano autant qu’il le pouvait ; tellement qu’à la fin il en est mort. Si l’on connaît toutes ses petites anecdotes, du mariage avec sa cousine à l’incendie de son piano devant Chuck Berry, restera surtout cette vie boogie-woogie brûlée par les deux bouts, entre foi en Dieu et haute sympathie pour la musique du diable. Origines, influences, technique et prestations mémorables : Ladies and gentlemen, voici la naissance et mort du #rock’n’roll racontées par les deux mains qui glissent de Jerry Lee Lewis.

      Vanderling @vanderling
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  • @giramundo
    Giramundo @giramundo 27/08/2021
    3
    @mad_meg
    @sombre
    @ericw
    3

    Ce livre a l’air excellent ! A moins que ce ne soit la (très bonne) critique de Sylvie Tissot, mais pas que ...

    ►https://lmsi.net/Faut-il-jeter-tous-ses-vinyles-des-Rolling-Stones-a-la-poubelle

    Sex revolts propose une analyse passionnante, minutieuse, drôle aussi, dans un style enlevé que la traduction parvient le plus souvent à rendre, des thèmes qui traversent un courant musical défini de manière très large (puisque les auteur·e·s nous amènent jusqu’au rap). Il démystifie ce tour de passe-passe par lequel le mépris des femmes devient une source inépuisable de blagues, et leur haine l’étalon à travers lequel se mesure l’art de la transgression.

    De fait, et Sex revolts le rappelle avec éloquence, il n’y a rien de transgressif à chanter des horreurs sur les femmes. Rien de beau, rien d’entraînant, rien de marrant, ni de cool : l’alibi que procure la culture rock à la misogynie se dégonfle d’un seul coup.

    #rock’n’roll #misogynie #culture_rock #patriarcat

    Giramundo @giramundo
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  • @vanderling
    Vanderling @vanderling 12/07/2021

    Folc Records
    ▻https://www.folcrecords.es/folc-records

    Friends of Los Chicos, para amantes del garage-punk, frat-rock, pub-rock, R&B, punk rock, power-pop, es decir, seguidores del #rock’n’roll en general.
    Las iniciales FOLC corresponden a Friends Of Los Chicos porque este sello está dirigido con mentalidad de fan por los componentes de este grupo.

    ▻https://folcrecords.bandcamp.com/music

    ▻https://folcrecords.bandcamp.com/album/folc002-soul-gestapo-up-to-you-7-ep

    #Folc_rcds #Madrid

    Vanderling @vanderling
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 12/07/2021

      https://www.folcrecords.es/wp-content/uploads/2018/09/subsonics-atlanta-usa-en-fun-house-madrid-1536234475.17.jpg https://www.folcrecords.es/wp-content/uploads/2017/12/26195757_2264631793563125_6672761233844676197_n.jpg

      Vanderling @vanderling
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  • @vanderling
    Vanderling @vanderling 9/11/2020
    1
    @pascal_le
    1

    La revanche des She-Punks - Vivien Goldman - Le Castor Astral
    ▻https://www.castorastral.com/livre/la-revanche-des-she-punks

    Vivien Goldman s’intéresse au rôle des femmes dans l’histoire du punk, de sa naissance à Londres dans les années 1970 jusqu’aux groupes actuels propulsés sur la scène internationale. Ici, elle parcourt quatre thèmes — l’identité, l’argent, l’amour et la protestation — dans l’objectif d’explorer et de souligner ce qui fait du punk une forme d’art libératrice pour les femmes.

    ▻https://www.youtube.com/watch?v=d2QMXo8cmc8


    Launderette
    #punk_féministe #castor_astral #reggae

    Vanderling @vanderling
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 9/11/2020

      requiem pour un keupon - Rémi Pépin
      ▻https://www.castorastral.com/livre/requiem-pour-un-keupon

      https://www.la-petroleuse.com/6670-thickbox_default/livre-requiem-pour-un-keupon-remi-pepin.jpg

      ▻https://www.la-petroleuse.com/livres-punk-rock/4763-livre-requiem-pour-un-keupon-remi-pepin.html

      Les 9, 10 et 11 novembre 1989, le groupe Bérurier Noir se sabordait en public, remplissant trois Olympia et mettant un terme symbolique à une épopée incendiaire : la saga du rock alternatif en France. Le premier de ces trois soirs, le mur de Berlin s’effondre inaugurant la lente dissolution du bloc de l’est.

      Une douzaine d’années auparavant, un soir de septembre 1977, Bruno et ses potes prennent le punk rock en pleine tête lors d’un concert de Clash au Bataclan. Pour eux, rien ne sera plus jamais comme avant. Dans la foulée de la première vague punk, à la toute fin des années 1970, c’est toute une génération qui tente au travers de réseaux d’autoproduction, de concerts sauvages, d’alliances de circonstances avec la mouvance autonome ou les squatters des quartiers déshérités, de construire une contre-culture vivante et radicale basée sur un rock violent et en rupture avec le modèle dominant.

      Comme toutes les belles histoires, celle-ci est ponctuée de bruit et de fureur, d’espoirs et d’échecs, de loyauté et d’embrouilles. On croise, au fil de ce récit générationnel, de nombreux groupes de l’époque tels que Bérurier Noir, les Wampas, la Mano Negra, les Satellites, les VRP, les Garçons bouchers ou encore Pigalle.

      L’effondrement du bloc communiste et le triomphe de l’ultralibéralisme marqueront la fin d’une aventure qui aura formé une génération à la politique, la contre-culture et, bien entendu, au meilleur du #rock’n’roll.

      ▻https://www.youtube.com/watch?v=PfRudkryo7Q&feature=emb_logo


      berurier noir - vivre libre ou mourir

      Vanderling @vanderling
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  • @vanderling
    Vanderling @vanderling 25/07/2020

    les 40 ans de l’as de pique

    https://64.media.tumblr.com/ca809329c3c0466943326855cef80f04/8818cb5fb7ff3c07-ea/s540x810/914c707ac59ae4ea83104027fe80b2f5dd54a585.jpg

    Ace Of Spades appears on Motörhead’s album ‘Ace Of Spades’. Originally released on Bronze Records on 8th November 1980, produced by Vic Maile. The line up on this album was Lemmy, Fast Eddie Clarke and Philthy Animal Taylor. This version was recorded live at Whitla Hall, Belfast on 23rd December 1981 and appears on the ‘Riders Wearing Black’ live album as part of the 40th anniversary of Ace Of Spades.

    ▻https://www.youtube.com/watch?v=KXJniLlwBC8


    ▻https://twitter.com/myMotorhead

    #Motörhead

    Vanderling @vanderling
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 25/07/2020

      Motörhead’s Ace of Spades by marching band “Heavy Hoempa” at Bospop Festival, Weert Limburg Netherlands, 9 July 2016

      ▻https://www.youtube.com/watch?v=dk9wO6EXc64

      Vanderling @vanderling
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 26/07/2020

      The Chase Is Better Than The Catch
      ▻https://www.youtube.com/watch?v=PktB0bxo2oQ

      Vanderling @vanderling
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 12/12/2020

      Première pierre à l’édifice « On Parole » enregistré en 1975, six mois avant le punk mais sorti qu’en 79 par United Artist . Le label espérait un mélange entre Hawkwind et Pink Fairies mais Lemmy qui venait de se faire virer embraye sur Motörhead avec #Larry_Wallis et Lucas Fox. Le batteur est le dernier survivant de cette formation d’origine. Larry Wallis est mort l’année dernière, à l’âge de 70 ans.
      ▻https://hardforce.com/actu/30087/motorhead-deces-guitariste-larry-wallis
      ▻https://www.allmusic.com/artist/larry-wallis-mn0000112724/biography
      ▻https://www.discogs.com/Larry-Wallis-The-Sound-Of-Speed/master/1262495
      ▻https://www.discogs.com/artist/548109-Lucas-Fox

      Vanderling @vanderling
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 12/12/2020

      Motörhead ‎– On Parole
      ▻https://www.discogs.com/Mot%C3%B6rhead-On-Parole/release/16034022
      ▻https://www.youtube.com/watch?v=3lNhOYwl3Pc&feature=emb_logo


      The Watcher (1997 Remaster)

      Vanderling @vanderling
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 12/12/2020

      Hawkwind - Motorhead
      ▻https://hawkwind.bandcamp.com/track/motorhead

      Vanderling @vanderling
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 12/12/2020

      #Pink_Fairies - Resident Reptiles

      ▻https://pinkfairies.bandcamp.com/track/resident-reptile

      • The legendary UK space-psych rock anarchists return with this fantastic new album led by founding Fairy Paul Rudolph!

      • Rudolph is joined by former Hawkwind bassist Alan Davey and original Motörhead drummer Lucas Fox, who not only created a killer rhythm section for the album but also co-wrote the songs!

      • Another Pink Fairies/Motörhead member, Larry Wallis, contributed creative ideas to this project as well as writing the track “Old Enuff To Know Better!”

      Vanderling @vanderling
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 12/12/2020

      Larry Wallis - The Sound of Speed

      ▻https://larrywallis.bandcamp.com/album/the-sound-of-speed

      Vanderling @vanderling
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 26/12/2020

      Lemmy – Wes Orshoski and Greg Olliver – 2011
      ▻https://gonzai.com/documentaires-pop-le-guide-ultime-des-soirees-couvre-feu

      On a tous été choqués de découvrir à travers ce documentaire dans quel bordel était l’appartement de #Lemmy, et qu’il y passait aussi ses journées à jouer aux jeux vidéo. En dehors de ça, c’est le formidable portrait d’un type qui a voué sa vie au #rock’n’roll (« Dans la vie, il faut faire des choix, entre fonder une famille et le rock’n’roll, j’ai choisi le rock’n’roll »). Motörhead n’était pas très aimé des critiques et il faut attendre 40 ans avant de se dire que c’était un grand groupe. De grands moments d’émotion quand il évoque sa période Hawkwind (« S’ils ne m’avaient pas viré, je serais encore avec eux aujourd’hui ».) puis des confidences profondes sur la paternité. Ça et ses mythiques mini shorts en jean. Je vous recommande de le regarder jusqu’à la fin : pendant le générique, ils ont monté toutes les blagues foireuses que Lemmy n’arrête pas de raconter à longueur de journée. Le gars c’était un peu Les Grosses Têtes de RTL avec beaucoup de Jack Daniels.

      Vanderling @vanderling
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 25/09/2021

      The Head Cat "Fool’s Paradise"
      Lemmy of Motorhead, Slim Jim Phantom of Stray Cats and Danny B. Harvey!
      ▻https://cleopatrarecordsmotrhead.bandcamp.com/album/the-head-cat-fool-s-paradise

      Vanderling @vanderling
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  • @vanderling
    Vanderling @vanderling 29/02/2020
    1
    @sombre
    1

    Pour les amateurs de kronenbourg, mais pas qu’eux ou elles, hein !
    ▻https://www.youtube.com/watch?v=sjkzbCkZEuQ


    The song was re recorded for a Kronenbourg commercial. The song was up for download on Kronenbourg’s official UK site, but apparently ran out of downloads.
    ▻https://www.fip.fr/rock/70-ans-l-increvable-lemmy-de-motorhead-s-est-eteint-15164
    Ace Of Spades un live coulé dans le bronze
    ▻https://www.discogs.com/Mot%C3%B6rhead-Ace-Of-Spades/release/807566
    ▻https://www.youtube.com/watch?v=pWB5JZRGl0U

    #Motörhead

    Vanderling @vanderling
    • @sombre
      Sombre @sombre CC BY-NC-SA 1/03/2020

      Jolie la version « slow accoustic » de Ace of Spades". En tant qu’ancien bassiste (d’occasion), j’ai toujours « kiffé » son jeu de basse.

      Lemmy joue principalement au médiator. Il porte sa basse à hauteur de ceinture, utilise ses 4 doigts de la main gauche… jusque la, pas grand-chose de neuf ! Mais alors, comment a-t-il révolutionné le monde de la basse métal ? Eh bien c’est bien simple : a cause de son passé de guitariste rythmique, Lemmy fondait les deux instruments (basse et guitare rythmique) en un seul. Du coup, il joue souvent les riffs de la guitare lead, joue quelques accords par ci par la, utilise une grosse overdrive, et s’accorde parfois quelques soli. A noté qu’il s’accorde souvent un demi ton en dessous (soit D# G# C# F#)

      Source : ▻https://www.slappyto.net/Dossiers-Basse/Voir-Article-Basse.aspx?id=179

      Sombre @sombre CC BY-NC-SA
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 1/03/2020
      @sombre

      Lemmy en parle @sombre , du son et de sa technique de jeu de basse, dans le documentaire réalisé par Greg Olliver et Wes Orshoski - Lemmy, sous-titré 49% motherfucker. 51% son of a bitch. (2010) et aussi de sa désopilante collection d’armes du troisième Reich.
      Ace of spades gravé chez Bronze rds en 1980 est un classic. Le trio récidive l’année suivante avec le même label pour No Sleep ’Til Hammersmith . Un live considéré comme un des trois meilleurs du genre selon les amoureux du #rock’n’roll de Dig It !
      ▻https://www.discogs.com/Mot%C3%B6rhead-No-Sleep-Til-Hammersmith/release/372329

      ▻https://www.youtube.com/watch?time_continue=49&v=63bXfm5QexA&feature=emb_logo


      Motörhead - No Sleep ’Til Hammersmith - Overkill Live

      Pour le 30ème anniversaire du show Motörhead remet une cerise sur le gâteau toujours à l’Hammersmith Apollo, en 2005, avec Phil Campbell et Mikkey Dee. Better Motörhead Than Dead - Live At Hammersmith
      ▻https://www.discogs.com/Mot%C3%B6rhead-Better-Mot%C3%B6rhead-Than-Dead-Live-At-Hammersmith/master/293514

      Je les ai vu une première fois, en 2006, au Hellfest et l’année suivante, en automne, au zénith de Rezé avec une playlist en béton (celle du double skeud paru la même année). Cette salle de marchand de béton sentait le ciment frais comme si on venait de retirer les banches. C’est la seule fois où j’ai mis les pieds dans un zénith. Lemmy, Phil & Mikkey étaient ravis de jouer ce soir là, un dimanche, je crois. Et du retour de leur tournée dans le pays nantais (le goût du muscadet, peut être).
      À Clisson, j’entendais pour la première fois « Killed by death », je n’ai jamais plus ressenti mes vertèbres jouer aux osselets comme cette fois-ci.

      ▻https://www.youtube.com/watch?v=4eI64uY6jFc


      Motörhead - Killed By Death
      Special guests
      "Fast" Eddie Clarke (ex-Motörhead, ex-Fastway) on "The Chase Is Better than the Catch" and "Overkill".
      Todd Campbell (Phil Campbell’s son, S.K.W.A.D.) on "Killed by Death".
      Paul Inder (Lemmy’s son) on "Killed By Death".
      Whitfield Crane (ex-Ugly Kid Joe, ex-Medication) on "Born to Raise Hell".
      Doro Pesch (ex-Warlock) on "Born to Raise Hell".
      Brian May (Queen) on "Overkill".

      Vanderling @vanderling
    • @sombre
      Sombre @sombre CC BY-NC-SA 2/03/2020

      Et en guise de #merci, le concert au festival des Vieilles Charrues en 2008, mais je n’y étais pas car c’était compliqué pour moi en ce temps-là.
      ▻https://www.youtube.com/watch?v=ggRwMFviLXw

      Sombre @sombre CC BY-NC-SA
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 2/03/2020
      @sombre

      On m’a raconté leur passage dans le centre Bretagne @sombre une superbe date pour Motörhead, qui tenait la forme. Ils étaient même impressionnés par la foule parait-il. C’était en ouverture du festival, un jeudi, le public s’était déplacé spécialement pour eux ce jour là. Je n’y étais pas non plus, pas que s’était compliqué pour moi mais je ne vais plus aux vielles charrues, ni au Hellfest d’ailleurs. Mais je les ai vu deux autres fois, encore à Clisson en 2009 ou 2010 où ils n’étaient plus la seule tête d’affiche de ce raout de métalleux. Disons que autant le Hellfest montait en puissance, la santé de Lemmy commençait à péricliter par la suite.
      Et une dernière fois en Auvergne (Free Wheels) Magique ! avec la chaîne des volcans et un feu d’artifice en clôture, sur une bande son des Stones Let it Bleed & Sticky Fingers à plein tubes.

      Vanderling @vanderling
    • @sombre
      Sombre @sombre CC BY-NC-SA 3/03/2020

      En tout cas, avec ses 63 ans en 2008 (l’âge que j’ai aujourd’hui) et avec la vie de ouf’ qu’il avait eue, il avait gardé une sacrée patate le gaillard ...

      Sombre @sombre CC BY-NC-SA
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 4/03/2020

      J’aime pas les compilations mais comme tout bon aficionados de Motörhead et de Ian Fraser Kilmister en particulier. S’il vous en faut une, c’est Damage Case !

      https://img.discogs.com/WldxQ4zVlQpnxG75c14LfmlKKMU=/fit-in/300x300/filters:strip_icc():format(jpeg):mode_rgb():quality(40)/discogs-images/R-1467646-1263026269.jpeg.jpg

      ▻https://www.discogs.com/Lemmy-Damage-Case/master/545509

      Une série de morceaux qui n’ont jamais été destinés à se côtoyer mais qui, lorsqu’ils sont joués côte à côte, possèdent bien tous la patte de #Lemmy. Damage Case : une compilation/complication qui vous apporte des tubes, des ratés, des conneries et un aperçu d’une carrière singulière. Lemmy : Une vie si jamais il y en avait une !

      ▻https://www.youtube.com/watch?v=lOCVhyTyfIw


      Lemmy & The Upsetters with Mick Green - Blue Suede Shoes

      ▻https://www.youtube.com/watch?v=QL_U6y9XYHM


      Lemmy / Slim Jim / Danny B - Matchbox

      Vanderling @vanderling
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  • @vanderling
    Vanderling @vanderling 28/02/2020

    Power Pop
    Mélodie, choeurs et rock’n’roll
    1970 - 2019
    Christophe Brault
    ▻https://lemotetlereste.com/musiques/powerpop

    https://lemotetlereste.com/couverture/couv_livre_3164.jpg?v=2 https://66.media.tumblr.com/eaf9fc5c98c4575438026858fae4b655/tumblr_n3rvg5lYt41qak3zco1_500.jpg

    ▻https://power-pop.tumblr.com

    À travers cette sélection de cent #albums, Christophe Brault invite le lecteur à plonger dans l’univers de la #power_pop. Ce subtil mélange entre une mélodie pop façon Beatles où des chœurs renforcent l’harmonie et dont l’ensemble est augmenté par une forte dose de guitare #rock’n’roll, est un cocktail né sur les traces des Kinks, des Who et, bien entendu, des Fab Four en 1970. Ses initiateurs ? Ils ont pour nom : Badfinger, Raspberries, Big Star ou Flamin’ Groovies. Avec l’arrivée de la génération punk, la power pop vit son âge d’or grâce aux Cars, à Blondie ou aux Knack. En retrait dans la deuxième moitié des 80’s, elle revient en trombe dans les 90’s et se perpétue encore aujourd’hui comme une niche musicale riche et active dont les étendards sont les Teenage Fan Club, Posies, Fountains Of Wayne ou les Weezer.

    Conférencier rock, Christophe Brault a été disquaire pendant 15 ans et a collaboré à de nombreuses radios (France Bleu Armorique, Fréquence Ille etc.). Aux éditions Le mot et le reste, il est aussi l’auteur de Rock garage.

    The Nerves - Hanging on the Telephone
    ▻https://www.youtube.com/watch?v=ZiUgasXVcCY

    Hoodoo Gurus - « I Was a Kamikaze Pilot »
    ▻https://www.youtube.com/watch?v=5DOsCpHxoPw


    #musique

    Vanderling @vanderling
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 28/02/2020

      The Beat
      ▻https://www.thepaulcollinsbeat.com/index.html
      ▻https://www.discogs.com/Paul-Collins-Beat-Paul-Collins-Beat/release/4433641
      #Paul_Collins

      Vanderling @vanderling
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 29/02/2020

      « Hanging on the telephone », la version de #Blondie ouvre l’album Parallel Lines (1978) un rock mélodique et positif, la définition même de la power pop qui attire à nouveau les projecteurs sur l’ancien groupe de Paul Collins et de Peter Case.
      ▻https://www.discogs.com/Blondie-Parallel-Lines/master/3337
      Bien avant Madonna ou Lady Gaga, il y avait Deborah Harry. La chanteuse du groupe Blondie est devenue une icône punk et glamour. Portrait intime d’une jeune fille du New Jersey qui décide de conjurer l’ennui en se plongeant dans le bouillonnement de New York et qui marquera l’histoire de la pop.
      ▻https://www.arte.tv/fr/videos/077331-000-A/debbie-harry-atomic-blondie
      ▻https://seenthis.net/messages/711660

      Vanderling @vanderling
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  • @davduf
    Davduf @davduf CC BY-NC-SA 19/09/2018
    2
    @vanderling
    @james
    2

    Pogo (regards sur la scène #Punk française 1986-1991)
    ▻http://www.davduf.net/pogo-regards-sur-la-scene-punk-francaise-1986

    Durant quelques années, les meilleures, 1986-1991, Roland Cros s’est promené de squatts en salles de concerts, d’arrière-bars et festivals sauvages, un 24x36 en noir et blanc. Il n’avait qu’un 35 mm, celui du regard humain, pas de flash, mais de l’amour. Roland Cros vient de publier certains de ses clichés, parmi les meilleurs, toujours justes, parfois flous, éblouissants d’humanité, tous, les uns après les autres. Au fil des pages, on croise des têtes de morts (parfois, souvent, DCD pour de vrai), (...)

    #sous-culture

    / Une, #Wampas, Punk, #Thugs

    « ▻http://www.lechappee.org/index.php/collections/action-graphique/pogo »

    Davduf @davduf CC BY-NC-SA
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 19/09/2018

      ►https://seenthis.net/messages/720806

      http://www.lechappee.org/sites/default/files/styles/image_colorbox/public/images-ouvrages/Pogo_5.jpg?itok=IZSoP7Vz

      Vanderling @vanderling
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 13/10/2018

      https://librairie-quilombo.org/local/cache-vignettes/L320xH453/0001-4-53da4.jpg?1538136726

      ▻https://librairie-quilombo.org/pogo
      ▻https://rumbleinwashington.bandcamp.com/track/atomics-rotors-welcome-to-blood-city

      Rumble In Washington est un tribute aux WASHINGTON DEAD CATS. 14 groupes rendent hommage à leur trente ans de carrière en reprenant des titres. Sont présents : Les Fatals Picards, Tagada Jones, Messer Chups, et bien d’autres. La diversité des influences musicales des WDC a permis de réunir des groupes d’horizons musicaux différents pour un rendu joyeusement éclectique et bruyamment #rock’n’roll.

      ▻https://tulamort.bandcamp.com/track/baise-la-vie


      #bandcamp

      Vanderling @vanderling
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  • @vanderling
    Vanderling @vanderling 14/07/2018

    ▻https://mrairplaneman.bandcamp.com/track/slippery

    Margaret Garrett (chant-guitare) et Tara McManus (batterie-claviers) forment leur duo en 1996 à Boston. Un nom mystérieux qui fait référence à un titre de Howlin’ Wolf . Un clin d’œil appuyé à leur obsession pour le #rock’n’roll, obsession entretenue depuis leurs années de collégiennes. Elles commencent à jouer dans la rue et enregistrent leur premier album dès 2001. Vite repérées par John Peel (les fameuses Sessions), elles partagent la scène avec les White Stripes, The Strokes, tournent avec Morphine et travaillent avec Greg « Oblivian » Cartwright. Leur musique est adoptée par de multiples programmes TV (dont « The L World ») mais aussi par le cinéma.

    ▻http://beastrecords.free.fr/index.php?option=com_content&task=view&id=281&Itemid=47
    ▻https://mrairplaneman.bandcamp.com/track/cmon-dj


    ▻https://mrairplaneman.bandcamp.com
    ▻http://www.mrairplaneman.com
    ▻https://www.youtube.com/watch?time_continue=191&v=sWH1wKQ2_WQ

    #Mr.Airplane_Man #bandcamp #Beast_rds

    Vanderling @vanderling
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  • @vanderling
    Vanderling @vanderling 30/06/2018
    2
    @scripta21
    @colporteur
    2

    ▻https://www.youtube.com/watch?v=1DQ-yBEfNc8

    S’il est un artiste qui incarne au mieux l’esprit et l’ADN musical du #Binic_Folks_Blues_Festival c’est bien #Kid_Congo_Powers.

    Une Légende du #rock’n’roll à la personnalité et au parcours uniques. Un pionnier, gardien du Temple, activiste prolifique de la scène rock internationale depuis plus de quarante ans. Un teenage kid fan des Ramones qui ne tarde pas à rencontrer Jeffrey Lee Pierce avec lequel il forme The Gun Club avant de rejoindre les Cramps puis d’intégrer les Bad Seeds aux côtés de Nick Cave ! What else ? En 2002 il forme Kid Congo and The Pink Monkeys Birds avec Ron Miller (batterie), Kiki Solis (basse) et Jesse Roberts (claviers). Cinq albums (dont Dracula Boots en 2009 ou Haunted Head en 2013) qui creusent le sillon d’un garage rock sexy et voodoo.

    ►http://www.binic-folks-blues-festival.com

    Vanderling @vanderling
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  • @vanderling
    Vanderling @vanderling 13/08/2017

    r.i.p "The King" 08/07/1935 - 16/08/1977

    https://3.bp.blogspot.com/-mB0Hh6KGv8k/WRQzmMfk4TI/AAAAAAAABqs/iKBnN2UvCzwgmppT09Jvnkkh9AhsmBRnwCLcB/s1600/pissenlit.jpg

    Voilà 40 ans que le king a avalé son bulletin de naissance et qu’il mange les pissenlits par la racine.

    http://www.lesrequinsmarteaux.com/sites/default/files/styles/adaptive/adaptive-image/public/albums-couverture/twist_0.jpg?itok=nudlmpZB

    Enfin toute la vérité sur la disparition du King ! Pour Les Requins Marteaux, #Jürg (le plus #rock’n’roll des auteurs belges) a remonté le temps jusqu’en l’an 1977. Fatigué des strass et du stress #Elvis_Presley s’est retiré dans sa résidence secondaire de Charleroi. Il y coule des jours heureux, entièrement consacrés à l’absorption insouciante d’alcools forts et de frites bien grasses, alors qu’à #Graceland, un sosie assure l’intérim.
    Mais cette paisible retraite va tourner au cauchemar suite à un bête accident domestique : inculpé d’homicide, Elvis est incarcéré sous son faux nom par une administration belge.
    Un malheur n’arrivant jamais seul, le 16 août 1977, alors qu’il purge sa peine en secret, son sosie meurt d’une crise cardiaque à #Memphis, Tennessee. Alors que du fond de sa prison il voit à la télévision que 80 000 personnes en larmes affluent sur Elvis Presley Boulevard, le véritable Elvis comprend soudain que sa vie vient de basculer.

    ▻http://www.lesrequinsmarteaux.com/album/twist-and-shout
    Ce Twist & Shout de Jürg est jubilatoire, publié chez les non-moins mirifiques #Requins_Marteaux

    Jürg est né en 1973 dans le Hainaut, en Belgique. Après de brèves études scientifiques, sa fascination pour les héros de papier le pousse à devenir une sorte d’artiste. Il décide de ne plus se couper les cheveux, se met à écouter des disques à la gloire de Satan et suit plusieurs formations artistiques qui le mènent à Bruxelles où il s’auto-édite frénétiquement et collabore à de multiples fanzines aujourd’hui oubliés. Depuis, il a publié une dizaine de #bandes_dessinées dont certaines sont scénarisées par les écrivains Daniel Picouly et Jean-Bernard Pouy. En 2015 il colorise l’ouvrage Les Collectionneurs (éd. Du Long Bec)

    son blog : ▻http://jurg-poulycrock.blogspot.fr
    ▻https://duckduckgo.com/?q=hommage+au+king&bext=wcp&atb=v33-5__&ia=web
    #hommage au King sur DuckDuckGo Vous ferez votre sélection entre tous ces King ( kong )

    https://img.discogs.com/BGakQUhyh4lrfpSY5SF2AnsfyTE=/fit-in/600x593/filters:strip_icc():format(jpeg):mode_rgb():quality(90)/discogs-images/R-1362967-1406815247-4047.jpeg.jpg

    ▻https://www.discogs.com/fr/artist/27518-Elvis-Presley
    ▻https://scontent-cdg2-1.xx.fbcdn.net/v/t31.0-0/p480x480/21013974_1509694299088557_8358615596908280545_o.jpg?oh=925
    ▻http://www.facebook.com/ziinfams

    Vanderling @vanderling
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 29/05/2020

      "... Premier conseil : ne jamais écrire du mal d’Elvis Presley pour la bonne raison qu’il compte parmi ses fans un bon nombre de psychopathes prêts à traquer et à réduire en pièces quiconque écornerait l’image divine..."
      Nick Kent // Apathy for the Devil – les seventies, voyage au cœur des ténèbres // Rivage Rouge (traduit par Laurence Romance)
      ▻https://www.payot-rivages.fr/rivages/livre/apathy-devil-9782743626617

      https://www.payot-rivages.fr/rivages/sites/rivages/files/styles/book/public/catalog/cover-images/9782743626617.jpg?itok=dz8Sozvf

      ▻https://gonzai.com/nick-kent-apathy-for-the-devil
      ▻https://gonzai.com/profession-rock-critic-laurence-romance
      #Nick_Kent #Laurence_Romance #Rivages_Rouge

      Vanderling @vanderling
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