Reading the city: #Roland_Barthes in Paris and Tokyo | Essay | Architectural Review
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From ‘The Eiffel Tower’ to Empire of Signs, Roland Barthes teaches architects how to interpret places
We all dream of the Eiffel Tower.
A kiosk halfway to the sky. Where you can buy paper aeroplanes, burnt sugar-coated peanuts, dense rolls of newspaper, shiny magazines and innumerable keyrings in the shape of the Eiffel Tower. You can probably buy a stamp on the Eiffel Tower to affix to your postcard showing the very same site. I would like to write to the tower. It might be the beginning of a flirtatious correspondence. I know it has been married before.
It is a friendly building, seen throughout the day by the inhabitants of a city. Winking here, blinking there, but never failing to touch them all with its kindly glance from time to time, as though to say ‘Hello, we’re both still here’.
]]>Roland Barthes lave plus blanc
« (…) Quel meilleur terrain que celui de la publicité, espace de la
prolifération de signes supposés insignifiants, pour accomplir ce
programme ? Comme après lui Daniel Boorstin, Guy Debord ou Jean
Baudrillard, Barthes voit la culture de masse comme une production de simulacres destinés à tromper un public crédule. Le territoire de la
propreté lui permet d’opposer la lessive Persil, qui revendique un
blanc superlatif, vérifié par des comparaisons qui ont tout l’air de
faux-semblants, au mousseux aérien d’Omo : « L’important, c’est d’avoir su masquer la fonction abrasive du détergent sous l’image délicieuse d’une substance à la fois profonde et aérienne qui peut régir l’ordre moléculaire du tissu sans l’attaquer. » Pourtant, « Persil et Omo, c’est tout comme », conclut le sémiologue, qui note que ces deux marques appartiennent au même trust : Unilever.
(…)
Avant l’arrivée de nouveaux concurrents, à partir de 1956, le paysage
décrit par Roland Barthes est celui de l’affrontement de deux marques et de deux produits à la composition et aux qualités différenciées, que la publicité met en récit. Dans le contexte d’une revue littéraire, il est certes tout à fait remarquable qu’un chercheur en sciences sociales se préoccupe des représentations publicitaires de produits ménagers. Mais Barthes ne fait pas lui-même sa lessive, et en l’absence d’une expérience pratique de ces détergents, il est
difficile de s’apercevoir que les slogans caractérisent bel et bien
des propriétés effectives.
Le blanchiment de Persil ou la mousse d’Omo ne sont pas que des
métaphores destinées à abuser un public naïf. De façon générale, c’est l’ensemble du rapport à la consommation et aux industries culturelles – et donc bien souvent à un univers assigné aux femmes ou aux classes inférieures, qui subira pendant longtemps la même approche condescendante et réductrice de la part des observateurs spécialisés.
Pourtant, proposer la sémiologie d’une pratique dont on n’a pas
l’expérience, c’est un peu comme tenter de décrypter une langue dont on n’a pas l’usage. On risque de ne voir que le jeu gratuit des
signes, là où il y a aussi des faits sociaux. »
« Aucun déplacement ne nécessite une voiture qui roule à 200 km/h »
▻https://lesjours.fr/obsessions/suv/ep7-interview-orphelin
Faut-il une réponse politique au succès encombrant des SUV, qui représentent désormais plus de 40 % des immatriculations de véhicules neufs en France ? À ce jour, les multiples questions posées par ce type de véhicules très à la mode et très rentables n’ont que peu ému les parlementaires. Une voiture de 2,5 tonnes qui ne transporte la plupart du temps qu’une seule personne a-t-elle sa place en ville comme à la campagne ? Peut-on supporter, alors que la crise climatique s’amplifie plus vite que le pire des scénarios ne l’avait imaginé, que les SUV, parce qu’ils sont plus lourds et moins aérodynamiques, surconsomment et polluent davantage que des berlines équivalentes ?
]]>Pensée de l’image et théorie de la représentation chez #Maurice_Blanchot : à partir de #L'espace_littéraire
▻http://www.larevuedesressources.org/pensee-de-l-image-et-theorie-de-la-representation-chez-maurice
Approches de l’imaginaire L’œuvre critique de Maurice Blanchot laisse peu de place à l’image bien qu’elle soit entièrement tournée vers l’image. Peu de place car l’analyse des processus artistiques qui parcourt son œuvre se fonde uniquement sur le champ du littéraire, où l’image n’est #Image que par métaphore. Et Blanchot se refuse à la stylistique comme à la sémiotique qui font du symbole linguistique leur matériau. Double refus donc, de méthode et de principe. Il convient également, pour comprendre ce (...)
/ #Platon, #Mythe_d'Orphée, #Michel_Foucault, #Jean-Paul_Sartre, Maurice Blanchot, Image, #Imaginaire, #Imagination, #Langage, #Roland_Barthes, L’espace (...)
]]>#Roland_Barthes, his Grandfather and Côte d’Ivoire
▻http://africasacountry.com/roland-barthes-his-grandfather-and-cote-divoire
“He had nothing to say.” That’s how French philosopher Roland Barthes described his grandfather #Louis-Gustave_Binger, the archetypal French colonialist: “Il ne tenait aucun discours”. And yet. Explorer of the Niger Loop, Louis-Gustave Binger was the author of Du Niger au Golfe de Guinée (1891). He was the founder of the Côte d’Ivoire colony and […]
#FILM #HISTORY #MEDIA #Cote_d'Ivoire #Vincent_Meessen #Vita_Nova
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