• Les légendaires Candaces de Méroé, mystérieuses reines d’Afrique
    https://www.visionscarto.net/les-legendaires-candaces-de-meroe

    Les Candaces de Méroé étaient de véritables reines régnantes, gouvernant l’Empire kouchite - qui couvre le Soudan moderne et l’Éthiopie - d’au moins 25 av. J.-C. jusqu’au milieu du siècle après J.-C. Il subsiste peu de textes de cette période, et rares sont ceux qui ont été traduits, ce qui a contribué à l’effacement de ces reines emblématiques de l’Histoire africaine. D’autant que les quelques informations dont nous disposons à leur sujet relèvent souvent du fantasme. Cet article vous (…) Billets

    #histoire #Afrique #royauté #guerres #conflits

  • La rémunération princière des gouverneurs et gouverneuses généraux générales du Canada représentants l’Angleterre Renaud Brossard, Directeur Québec, Fédération canadienne des contribuables - La Presse.Ca ( Publié le 8 juill. 2021 )
    https://www.lapresse.ca/debats/opinions/2021-07-08/la-remuneration-princiere-des-gouverneurs-generaux.php

    Être nommé gouverneur général, c’est un peu comme gagner une succession de tirages à la loterie.

    Il y a le salaire, soit un peu plus de 1,5 million de dollars pour un mandat de cinq ans. Ensuite il y a la maison, l’emploi venant avec une résidence de fonction de 175 pièces et un chalet sur le cap Diamant, à Québec.

    Mais le vrai gros lot, c’est tout ce qui entoure la retraite.

    D’abord, il y a la pension. Dès que vous quittez le poste de gouverneur général, vous devenez automatiquement admissible à une pension d’environ 150 000 $ par année, et ce, quel que soit votre âge ou la durée de votre mandat.


    La salle de bal de Rideau Hall - photo martin roy, archives la presse

    C’est ainsi que l’ex-gouverneure générale Julie Payette, qui a démissionné sur fond de scandale après avoir passé à peine plus de trois ans en poste reçoit une pleine rente depuis son départ.

    Et elle risque de nous coûter cher pendant encore longtemps. Au rythme de 150 000 $ par année, sa pension coûtera plus de 4,8 millions de dollars aux contribuables canadiens si elle vit jusqu’à l’âge de 90 ans. Selon les calculs de la Fédération canadienne des contribuables, les cinq ex-gouverneurs généraux encore en vie récolteront l’équivalent de 18 millions de dollars en pension s’ils vivent jusqu’à l’âge de 90 ans.

    À cela vient s’ajouter une allocation de dépenses à vie, même après la fin de leur mandat. En fait, les ex-gouverneurs généraux peuvent nous facturer leurs dépenses jusqu’à six mois après leur décès.

    Tout ex-gouverneur général peut donc continuer à nous facturer jusqu’à 206 000 $ par année en billets d’avion, repas, hôtels et frais de bureau. Et certains n’hésitent pas à le faire.

    En 2018, le National Post nous a appris qu’Adrienne Clarkson avait profité de ce programme pour facturer plus de 1,1 million de dollars en dépenses aux contribuables depuis la fin de son mandat en 2005. Pour David Johnston, la facture s’élève déjà à 190 000 $ en trois ans.

    Et comme si ce n’était pas encore assez indécent, la tradition veut que le gouvernement leur paye un cadeau, avec votre argent, pour les remercier pour leurs énormes sacrifices. Généralement, cela prend la forme d’une enveloppe de 10 millions de dollars sur 10 ans pour aider à lancer une fondation.

    C’est ainsi que la Fondation Rideau Hall de David Johnston a pu obtenir 10 millions de dollars de l’argent des contribuables au cours des dernières années pour « optimiser l’influence du Bureau du gouverneur général à titre d’institution clé de la démocratie canadienne ».

    Une autre réalité
    Tous ces avantages n’ont aucune commune mesure avec la réalité des contribuables à travers le pays. Si vous allez sur un site de recherche d’emploi, il y a fort à parier que vous ne trouverez rien qui n’arrive même à la cheville de ce que l’on accorde au gouverneur général.

    Et ce n’est pas comme si c’était la norme dans les postes similaires non plus.

    La majorité des lieutenants-gouverneurs provinciaux n’ont plus de résidences de fonction, leur pension dépend du nombre d’années passées en poste, ils n’ont pas d’allocation de dépenses post-retraite ou de cadeau de départ se chiffrant dans les millions de dollars. Cela ne les empêche pas de remplir sensiblement les mêmes fonctions.

    Dans le contexte actuel où le gouvernement fédéral s’endette à un rythme record, il est clair qu’on doit revoir les dépenses. Réduire la rémunération des gouverneurs généraux serait un bon premier pas. Après tout, ce n’est pas parce qu’ils représentent la royauté que les gouverneurs généraux méritent une rémunération princière.

    Avec la collaboration de Franco Terrazzano, directeur fédéral, Fédération canadienne des contribuables

     #inégalités #royauté #canada #angleterre #capitalisme #privilèges #histoire #privilège #politique #domination #démocratie #vampires #royauté #princes #princesses

    Source du lien de l’article : https://www.legrandsoir.info/ce-que-l-histoire-nous-en-saigne.html

    • L’ancienne gouverneure générale du Canada, Julie Payette avait démissionné en Janvier de cette année.
      Une scientifique, administratrice et femme d’État canadienne.
      Astronaute en chef de l’Agence spatiale canadienne entre 2000 et 2007, elle a participé aux missions STS-96 et STS-127.

      Elle (Julie Payette) a démissionné en 2021, suite aux allégations de harcèlement au sein du bureau de la gouverneure générale.

      En 2016, Julie Payette avait déjà démissionné de son poste au Centre des sciences de Montréal « à la suite de plaintes relatives à la façon dont elle traitait ses employés ».

      En 2017, elle avait aussi démissionné du Comité olympique canadien « après le déclenchement [...] de deux enquêtes internes concernant son comportement envers les employés et des allégations de harcèlement verbal ».

      https://fr.wikipedia.org/wiki/Julie_Payette

      https://seenthis.net/messages/921460#message921518

    • la nomination de l’ancienne gouverneure générale du Canada, Julie Payette
      Source : https://www.ledevoir.com/politique/canada/593839/point-de-presse-covid-trudeau-22-janvier-2021

      Le premier ministre Justin Trudeau, qui a téléphoné à la Reine Élisabeth II vendredi matin pour lui apprendre que le juge en chef du Canada remplira les fonctions de gouverneur général de façon intérimaire, a défendu son choix d’avoir nommé l’astronaute en 2017. Pourtant, à ce moment, des employés du Centre des sciences de Montréal, qu’elle avait dirigé jusqu’en 2016, s’étaient déjà plaints d’un climat de travail toxique. En conférence de presse, vendredi, M. Trudeau a promis de « regarder » si le processus de nomination peut être amélioré, même s’il maintient que celui ayant posé son dévolu sur l’ex-astronaute était « rigoureux ».

      #Justin_trudeau

    • Lise Thibault plaide coupable de fraude et d’abus de confiance Alexandre Robillard - lapresse.ca 3 févr. 2015
      https://www.lapresse.ca/actualites/justice-et-affaires-criminelles/proces/201412/08/01-4826149-lise-thibault-plaide-coupable-de-fraude-et-dabus-de-confiance.ph

      Plus de cinq ans après le début des procédures judiciaires, l’ancienne lieutenante-gouverneure Lise Thibault a plaidé coupable, lundi, à des accusations de fraude et abus de confiance envers le gouvernement.

      S’appuyant sur une nouvelle compréhension de la preuve et de la loi, Mme Thibault a ainsi changé le plaidoyer qu’elle avait enregistré, après avoir été sommée de comparaître pour la première fois en septembre 2009.


      En 2007, les vérificateurs généraux du Québec et du Canada avaient conclu que Mme Thibault avait réclamé 700 000 $ de dépenses injustifiées, ce qui avait déclenché des procédures judiciaires qui ont mené à l’ouverture de son procès en avril dernier.

      Des dépenses pour des voyages, des fêtes, des repas, des leçons de golf et de ski ainsi que des cadeaux étaient en cause dans les procédures.

      De retour devant la Cour supérieure pour la première fois depuis août, en raison de problèmes de santé qui avaient interrompu son contre-interrogatoire, Mme Thibault a reconnu sa culpabilité.
      ….
      M. Labelle a affirmé que sa cliente reconnaît avoir réclamé injustement une somme de 310 000 $, alors que la Couronne estime plutôt ce montant à 430 000 $, ce qui nécessite des discussions.
      . . . . . .
      L’ancienne représentante de la Reine au Québec a multiplié les recours devant les tribunaux pour éviter d’être traduite en justice. En 2012, elle a été déboutée en Cour d’appel du Québec sur la question de l’immunité royale totale. Par la suite, en mai 2013, la Cour suprême du Canada a refusé d’entendre sa cause.
      Le gouvernement du Québec a aussi intenté une poursuite civile à l’endroit de Mme Thibault pour lui réclamer 92 000 $ pour des dépenses jugées injustifiées.
      . . . . .
      #vol #fraude #abus_de_confiance #prévarication #femmes

  • La Reine Élizabeth II ne veut pas qu’on touche à ses terres pour le climat : elle a fait jouer le « Queen’s consent »
    https://www.rtbf.be/info/monde/detail_la-reine-elizabeth-ii-ne-veut-pas-qu-on-touche-a-ses-terres-pour-le-clim

    Ce jeudi 29 juillet marque "Jour du Dépassement" mondial, une date symbole dans la lutte contre le réchauffement climatique. Un combat en faveur du climat, auquel ne semble pas vouloir prendre part la Reine Elizabeth 2 d’Angleterre, du moins pas si cela touche à ses intérêts personnels.

    En effet, le quotidien britannique The Guardian (plutôt antimonarchique), relayé par De Morgen en Belgique, nous apprend que la Reine d’Angleterre a fait usage de l’un de ses privilèges constitutionnels pour éviter que ses domaines écossais soient soumis à une nouvelle loi sur l’environnement.

    L’Écosse a en effet décidé de prendre la lutte contre le réchauffement climatique à bras-le-corps, avec notamment une nouvelle loi sur le chauffage. Cette loi a pour but de diminuer les émissions de gaz à effet de serre de l’Écosse en s’attaquant au système de chauffage de chaque foyer écossais. Au lieu de chauffer les maisons avec des chaudières polluantes, celles-ci seront chauffées à l’énergie verte reliée par des pipelines.

    Cette nouvelle loi sur le chauffage va jusqu’à obliger les Écossais à vendre un terrain, si cela s’avère nécessaire pour la construction d’un tel pipeline.

    Une loi qui ne s’appliquera pas à la Reine Élizabeth qui est pourtant l’une des plus grande propriétaire foncier d’Écosse.

    Consentement de la Reine
    Pour éviter que des pipelines ne passent au travers des terres de la famille royale, en février dernier, la Reine a fait valoir une ancienne disposition qui date du 18e siècle intitulée « Queen’s consent » ou « consentement de la reine ».

    Il s’agit d’une coutume datant de 1700, qui, par courtoisie, permet au monarque d’accéder rapidement aux projets de loi qui pourraient affecter sa position ou ses intérêts privés.

    Un procédé qui permet à la Reine d’adapter une loi en sa faveur, car sans sa bénédiction, une loi n’est pas soumise au parlement.

    Une démarche qui semble en contradiction avec l’engagement public de la famille royale dans la lutte contre la crise climatique. Récemment, le prince William a rejoint son père, Charles, dans une campagne visant à réduire les émissions et à protéger la planète.

    Problème démocratique ?
    Ce consentement est aujourd’hui remis en question mais le palais de Buckingham se défend. Selon lui, le consentement de la Reine est simplement « une formalité », tout comme la deuxième procédure d’assentiment de la Reine, qui est nécessaire pour faire passer un projet de loi.

    Toutefois, cet assentiment se fait en public, tandis que le consentement de la reine a lieu en coulisses.

    Au Royaume-Uni, les lobbyistes sont tenus par la loi d’être transparents, mais pas la Reine. Élizabeth utilise donc fréquemment cette option pour influencer la législation britannique.

    Le Guardian révèle comment la Reine et le Prince Charles ont utilisé à plusieurs reprises leur accès privilégié aux projets de loi pour faire pression sur les ministres afin de modifier la législation britannique au profit de leurs intérêts privés ou pour refléter leurs opinions entre la fin des années 1960 et les années 1980. https://www.courrierinternational.com/article/le-mot-du-jour-queens-consent-ou-quand-elisabeth-ii-se-mele-d

    #écologie #argent #démocratie #Angleterre #royauté #reine #écosse

  • L’abdication de #JUan_Carlos ne fait pas pleurer les Espagnols
    http://fr.myeurop.info/2014/06/02/abdication-juan-carlos-pleurer-monarques-europe-13940

    Elise Gazengel Nour Alahiane Ludovic Clerima

    Juan Carlos abdique. Après 47 ans de règne, le #roi d’Espagne transmet sa couronne à son fils, le prince #Felipe. Scandales, corruption et limites d’âge font tomber les têtes couronnées européennes ces derniers temps...

    Il n’aura fallu à #Mariano_Rajoy que trois minutes, montre en main, pour annoncer l’abdication de Juan Carlos. lire la (...)

    #EUROFOCUS #Politique #Belgique #Danemark #Espagne #Monaco #Norvège #Pays-Bas #Royaume-Uni #Suède #Albert_II #courrone #Elisabeth_II #Felipe_Roi_d'Espagne #Grace_de_Monaco #International #prince_Felipe #Roi_Juan_Carlos #royauté

  • Le chiffre du jour : la nouvelle paye de la reine d’Espagne
    http://fr.myeurop.info/2014/02/03/le-chiffre-du-jour-la-nouvelle-paye-de-la-reine-d-espagne-13059

    Nour Alahiane

    Pour la première fois dans l’histoire, la reine d’Espagne et la princesse auront un #salaire annuel fixe. #Sofia, la femme de Juan Carlos, recevra l’équivalent de 45% du salaire de son roi de mari, et #Letizia, la femme du prince Felipe, 35%. La fin d’une quasi-exception en Europe.

    C’est une première en #Espagne. lire la suite

    #Société #Danemark #Norvège #Pays-Bas #Royaume-Uni #Elisabeth_II #Espagne #Harald #Maxima_des_Pays-Bas #norvege #prince_Henri #prince_Philip #royauté #Sonja

  • Le roi #JUan_Carlos fait de l’ombre aux monarchies européennes
    http://fr.myeurop.info/2014/01/06/roi-juan-carlos-fait-ombre-monarchies-europe-12830

    Nour Alahiane

    L’infante royale d’Espagne inculpée. Le scandale royal ébranle un peu plus la #monarchie espagnole, déjà durement sanctionnée : deux Espagnols sur trois souhaitent que le roi Juan Carlos abdique. Mais ce n’est pas la seule tête couronnée victime du (dés)amour de « son bon peuple ».

    Près de deux Espagnols sur trois souhaitent une abd lire la suite

    #Société #Belgique #Danemark #Espagne #Europe #Monaco #Norvège #Pays-Bas #Charlène_de_Monaco #Elisabeth_II #Felipe #Grande-Bretagne #Kate_Middletown #Letizia #monaco #norvege #pays-bas #Prince_George #Prince_William #royauté

  • Le roi des Pays-Bas fait l’éloge funèbre de l’Etat providence
    http://fr.myeurop.info/2013/09/18/le-roi-des-pays-bas-fait-l-loge-fun-bre-de-l-etat-providence-12249

    Le nouveau roi des Pays-Bas, Willem Alexander, a enterré l’Etat providence néerlandais au profit d’un hypothétique « Etat participatif ». Un programme ultra-libéral qui déchaîne la colère de l’opposition, de l’armée, des syndicats mais aussi des citoyens. Réactions, après ce virage radical.

    http://cdn1.myeurop.info/sites/default/files/imagecache/article_thumbnail/media/images/Prinsjedag%203.jpeg

    Il y a quelques mois, à l’occasion du couronnement du nouveau roi, nous écrivions :

    Aujourd’hui, les Néerlandais font la fête et célèbrent leur nouveau souverain dans une sorte d’amnésie nationale. Demain, ils pourraient bien se réveiller avec une terrible gueule de bois : si la croissance ne décolle pas, ils devront se serrer la ceinture pour trouver 4,2 milliards d’économies en 2014 ! Vive le roi !"

    Nous ne croyions pas si bien dire !

    L’Etat providence devient l’Etat par​ticipatif

    Traditionnellement aux Pays-Bas, le troisième mardi de septembre est appelé le Prinsjesdag, le « Jour du Petit Prince ». Ce qui sonne à l’oreille comme le début d’un conte de fée a résonné à celle des Néerlandais comme un coup de tonnerre, ce mardi 17 septembre 2013. Le nouveau roi des Pays-Bas, Willem Alexander, prononçait pour la première fois le traditionnel discours de rentrée. Et il a fait très fort.

    Le roi a carrément annoncé aux Néerlandais la disparition d’une vache sacrée : leur Etat providence.

    S’il a débuté son discours en évoquant la crise dont les Néerlandais « souffrent depuis cinq ans », les « signes timides de la fin de la crise mondiale » ou "la dette publique et celle des ménages", ce fut pour mieux déclarer la « fin de l’Etat providence au profit d’un Etat participatif ».

    Cet Etat participatif, c’est, de toute évidence, la vision libérale d’un Etat minimum qui laisse à l’initiative individuelle le soin de pallier les aléas de la vie.

    La Note du Million : un Etat ultralibéral

    La note du gouvernement, présentée par le Premier Ministre Mark Rutte, ne laisse aucun doute sur la substance de cet Etat participatif : de nouvelles coupes budgétaires, surtout dans les prestations sociales, une baisse des budgets des administrations et de l’armée, etc. On y trouve pêle-mêle :

    baisse des pensions de retraite et des allocations familiales,
    augmentation des accises sur l’alcool et le diesel,
    prime d’assurance-santé proportionnelle aux revenus du ménage (7,5% du salaire brut + la prime de base),
    limitation des avantages fiscaux liés aux emprunts hypothécaires,
    baisse de la garantie nationale pour les emprunts hypothécaires à 265.000€,
    les détenus paieront désormais 12,50€ par jour de détention avec un maximum de 6 mois (personne n’est oublié...),
    pénalisation du séjour illégal sur le sol néerlandais,
    augmentation des droits de greffe de 15%,
    fermeture de plusieurs casernes et réduction du budget de l’armée,
    limitation des budgets pour les infrastructures routières,
    etc.
    La liste est encore longue des domaines où le gouvernement gratte jusqu’au dernier centime disponible. Les membres du gouvernement, composé du parti libéral VVD et du travailliste PvdA, estiment qu’ils ont fait du bon travail... Mark Rutte, le premier ministre, se dit confiant d’obtenir une majorité au Parlement sur ces propositions.

    #Pays-Bas
    #royauté
    #Etat_providence
    #Etat_participatif
    #Etat_ultralibéral