• Homöopathin versucht seit 12 Jahren erfolglos, ihren Mann zu vergiften
    https://www.der-postillon.com/2021/04/homoeogift.html

    Kiel (dpo) - Was macht sie nur falsch? Schon seit 12 Jahren versucht Sarah W. ohne Erfolg, ihren Mann zu vergiften. Doch was die gelernte Heilpraktikerin und Homöopathin auch tut – es will ihr einfach nicht gelingen, ihren Robert um die Ecke zu bringen.

    „Langsam verliere ich den Glauben, dass es noch klappt“, klagt die 37-Jährige. „Ich verstehe nicht, wie Robert alles, was ich ihm verabreiche einfach so wegsteckt, als wäre nix. Eigentlich müsste er schon hundertmal tot umgefallen sein.“

    Dabei war sie im Frühling 2012 noch voller Hoffnung gewesen, ihren lästigen Ehemann bald los zu sein: „Ich hatte mir Arsen besorgt, eines der wirksamsten Gifte, die es gibt“, berichtet sie. „Ich wollte es ihm erst einfach so in den Kaffee schütten, aber dann fiel mir ein, dass ja jede Substanz deutlich stärker wird, je mehr man sie verdünnt. Also habe ich das Arsen im Verhältnis 1:100.000.000 (D8) verschüttelt. Ich wollte ihn ja nicht mit unwirksamem Schulgift umbringen.“

    Doch der hochpotente Gift-Trank, den Sarah W. ihrem Mann schließlich vorsetzt, bleibt ohne Wirkung – selbst nach Wochen täglicher Verabreichung bleibt Robert kerngesund.
    Sarah W.: „Ein Grund, warum ich Robert umbringen will, ist, dass er mich immer verspottet, weil ich an so esoterischen Kram glaube. Das Lachen wird ihm schon noch vergehen. Irgendwann.“

    „Also habe ich die Dosis logischerweise immer weiter reduziert“, erklärt sie. „Aber so sehr ich das Gift auch verdünnt habe, es wollte trotzdem einfach nicht klappen.“

    Inzwischen möchte W. von Arsen auf einen anderen Wirkstoff umzuschwenken. „Ich habe diese Woche zu meinem Entsetzen festgestellt, dass verdünntes Arsen und andere Gifte homöopathisch genutzt werden, um Leute gesund zu machen. Habe ich Robert all die Jahre versehentlich geholfen, statt ihn zu töten? Wenn verdünnte Gifte heilen, muss ich dann gesunde Stoffe verdünnen? Jedenfalls werde ich ihm jetzt eine Potenzierung aus lebenswichtigen Multivitaminen, belebenden Spurenelementen und gesunden Aminosäuren verabreichen. Wenn er dann nicht endlich tot umkippt, weiß ich auch nicht mehr weiter.“

    #satire #homéopathie #charlatans

  • Israel gelingt wichtiger Sieg im Kampf gegen Hilfsorganisationen
    https://www.der-postillon.com/2024/04/israel-WCK.html

    Parfois il es difficile de faire la différence entre parodie et réalité, parfois il n’y en a simplement pas.

    3.4.2024 - Gaza (dpo) - Heldenhafte Piloten der israelischen Streitkräfte haben in dieser Woche einen entscheidenden Sieg im Kampf gegen internationale Hilfsorganisationen errungen. Bei einem Angriff in Deir al-Balah im Zentrum des Gazastreifens gelang es am Montag, sieben Helfer der Organisation „World Central Kitchen“ (WCK) mit gezielten Schlägen aus der Luft auszuschalten.

    Die WCK-Mitarbeiter befanden sich im Gazastreifen, um die dortige Zivilbevölkerung mit Essen zu versorgen. Der Angriff des israelischen Militärs wurde dadurch erleichtert, dass die drei Fahrzeuge des Konvois deutlich markiert waren und die Fahrt zuvor angekündigt worden war.

    Es ist nicht der erste Erfolg Israels im Kampf gegen den internationalen Altruismus: Laut Angaben der UN und des Weißen Hauses hat das israelische Militär seit Beginn des Krieges nach den Anschlägen der Hamas vom 7. Oktober mehr als 200 Mitarbeiter von Hilfsorganisationen getötet.

    Trotz dieses neuerlichen Sieges bleibt es jedoch weiterhin fraglich, ob Israel den Kampf gegen die Hilfsorganisationen am Ende auch gewinnen wird. Schließlich stehen die Streitkräfte seit Beginn des Krieges unter Doppelbelastung, da sie parallel auch tausende Zivilisten besiegen mussten.

    #parodie #satire #Israel #Gaza #guerre

  • Une organisation en #souffrance

    Les Français seraient-ils retors à l’effort, comme le laissent entendre les mesures visant à stigmatiser les chômeurs ? Et si le nombre de #démissions, les chiffres des #accidents et des #arrêts_de_travail étaient plutôt le signe de #conditions_de_travail délétères.

    Jeté dans une #concurrence accrue du fait d’un #management personnalisé, évalué et soumis à la culture froide du chiffre, des baisses budgétaires, le travailleur du XXIe siècle est placé sous une #pression inédite...

    L’étude de 2019 de la Darès (Ministère du Travail) nous apprend que 37% des travailleurs.ses interrogés se disent incapables de poursuivre leur activité jusqu’à la retraite. Que l’on soit hôtesse de caisse (Laurence) ou magistrat (Jean-Pierre), tous témoignent de la dégradation de leurs conditions de travail et de l’impact que ces dégradations peuvent avoir sur notre #santé comme l’explique le psychanalyste Christophe Dejours : “Il n’y a pas de neutralité du travail vis-à-vis de la #santé_mentale. Grâce au travail, votre #identité s’accroît, votre #amour_de_soi s’accroît, votre santé mentale s’accroît, votre #résistance à la maladie s’accroît. C’est extraordinaire la santé par le travail. Mais si on vous empêche de faire du travail de qualité, alors là, la chose risque de très mal tourner.”

    Pourtant, la #quête_de_sens est plus que jamais au cœur des revendications, particulièrement chez les jeunes. Aussi, plutôt que de parler de la semaine de quatre jours ou de développer une sociabilité contrainte au travail, ne serait-il pas temps d’améliorer son #organisation, d’investir dans les métiers du « soin » afin de renforcer le #lien_social ?

    Enfin, la crise environnementale n’est-elle pas l’occasion de réinventer le travail, loin du cycle infernal production/ consommation comme le pense la sociologue Dominique Méda : “Je crois beaucoup à la reconversion écologique. Il faut prendre au sérieux la contrainte écologique comme moyen à la fois de créer des emplois, comme le montrent les études, mais aussi une possibilité de changer radicalement le travail en profondeur.”

    https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/lsd-la-serie-documentaire/une-organisation-en-souffrance-5912905

    #travail #audio #sens #reconnaissance #podcast #déshumanisation #grande_distribution #supermarchés #Carrefour #salariat #accidents_du_travail # location-gérance #jours_de_carence #délai_de_carence #financiarisation #traçabilité #performance #néo-taylorisme #taylorisme_numérique #contrôle #don #satisfaction #modernisation #mai_68 #individualisation #personnalisation #narcissisation #collectif #entraide #épanouissement #marges_de_manoeuvre #intensification_du_travail #efficacité #rentabilité #pression #sous-traitance #intensité_du_travail #santé_au_travail #santé #épidémie #anxiété #dépression #santé_publique #absentéisme #dégradation_des_conditions_de_travail #sommeil #identité #amour_de_soi #santé_par_le_travail #tournant_gestionnaire #gouvernance_de_l'entreprise #direction_d'entreprise #direction #règles #lois #gestionnaires #ignorance #objectifs_quantitatifs #objectifs #performance #mesurage #évaluation #traçabilité #quantification #quantitatif #qualitatif #politique_du_chiffre #flux #justice #charge_de_travail

    25’40 : #Jean-Pierre_Bandiera, ancien président du tribunal correctionnel de Nîmes :

    « On finit par oublier ce qu’on a appris à l’école nationale de la magistrature, c’est-à-dire la motivation d’un jugement... On finit par procéder par affirmation, ce qui fait qu’on gagne beaucoup de temps. On a des jugements, dès lors que la culpabilité n’est pas contestée, qui font abstraction de toute une série d’éléments qui sont pourtant importants : s’attarder sur les faits ou les expliquer de façon complète. On se contente d’une qualification développée : Monsieur Dupont est poursuivi pour avoir frauduleusement soustrait 3 véhicules, 4 téléviseurs au préjudice de Madame Durant lors d’un cambriolage » mais on n’est pas du tout en mesure après de préciser que Monsieur Dupont était l’ancien petit ami de Madame Durant ou qu’il ne connaissait absolument pas Madame Durant. Fixer les conditions dans lesquelles ce délit a été commis de manière ensuite à expliquer la personnalisation de la peine qui est quand même la mission essentielle du juge ! Il faut avoir à chaque fois qu’il nous est demandé la possibilité d’adapter au mieux la peine à l’individu. C’est très important. On finit par mettre des tarifs. Quelle horreur pour un juge ! On finit par oublier la quintessence de ce métier qui est de faire la part des choses entre l’accusation, la défense, l’auteur de faits, la victime, et essayer d’adopter une sanction qui soit la plus adaptée possible. C’est la personnalisation de la peine, c’est aussi le devenir de l’auteur de cette infraction de manière à éviter la récidive, prévoir sa resocialisation. Bref, jouer à fond le rôle du juge, ce qui, de plus en plus, est ratatiné à un rôle de distributeur de sanctions qui sont plus ou moins tarifées. Et ça c’est quelque chose qui, à la fin de ma carrière, c’est quelque chose qui me posait de véritables problèmes d’éthique, parce que je ne pensais pas ce rôle du juge comme celui-là. Du coup, la qualité de la justice finit par souffrir, incontestablement. C’est une évolution constante qui est le fruit d’une volonté politique qui, elle aussi, a été constante, de ne pas consacrer à la justice de notre pays les moyens dont elle devait disposer pour pouvoir fonctionner normalement. Et cette évolution n’a jamais jamais, en dépit de tout ce qui a pu être dit ou écrit, n’ai jamais été interrompue. Nous sommes donc aujourd’hui dans une situation de détresse absolue. La France est donc ??? pénultième au niveau européen sur les moyens budgétaires consacrés à sa justice. Le Tribunal de Nîme comporte 13 procureurs, la moyenne européenne nécessiterait qu’ils soient 63, je dis bien 63 pour 13. Il y a 39 juges au Tribunal de Nîmes, pour arriver dans la moyenne européenne il en faudrait 93. Et de mémoire il y a 125 greffiers et il en faudrait 350 je crois pour être dans la moyenne. Il y avait au début de ma carrière à Nîmes 1 juge des Libertés et de la détention, il y en a aujourd’hui 2. On a multiplié les chiffres du JLD par 10. Cela pose un problème moral et un problème éthique. Un problème moral parce qu’on a le sentiment de ne pas satisfaire au rôle qui est le sien. Un problème éthique parce qu’on finit par prendre un certain nombre de recul par rapport aux valeurs que l’on a pourtant porté haut lorsqu’on a débuté cette carrière. De sorte qu’une certaine mélancolie dans un premier temps et au final un certain découragement me guettaient et m’ont parfois atteint ; mes périodes de vacances étant véritablement chaque année un moment où la décompression s’imposait sinon je n’aurais pas pu continuer dans ces conditions-là. Ce sont des heures de travail qui sont très très chargés et qui contribuent aussi à cette fatigue aujourd’hui au travail qui a entraîné aussi beaucoup de burn-out chez quelques collègues et puis même, semble-t-il, certains sont arrivés à des extrémités funestes puisqu’on a eu quelques collègues qui se sont suicidés quasiment sur place, vraisemblablement en grande partie parce que... il y avait probablement des problèmes personnels, mais aussi vraisemblablement des problèmes professionnels. Le sentiment que je vous livre aujourd’hui est un sentiment un peu partagé par la plupart de mes collègues. Après la réaction par rapport à cette situation elle peut être une réaction combative à travers des engagements syndicaux pour essayer de parvenir à faire bouger l’éléphant puisque le mammouth a déjà été utilisé par d’autres. Ces engagements syndicaux peuvent permettre cela. D’autres ont plus ou moins rapidement baissé les bras et se sont satisfaits de cette situation à défaut de pouvoir la modifier. Je ne regrette rien, je suis parti serein avec le sentiment du devoir accompli, même si je constate que en fermant la porte du tribunal derrière moi je laisse une institution judiciaire qui est bien mal en point."

    Min. 33’15, #Christophe_Dejours, psychanaliste :

    « Mais quand il fait cela, qu’il sabote la qualité de son travail, qu’il bâcle son travail de juge, tout cela, c’est un ensemble de trahisons. Premièrement, il trahi des collègues, parce que comme il réussi à faire ce qu’on lui demande en termes de quantité... on sait très bien que le chef va se servir du fait qu’il y en a un qui arrive pour dire aux autres : ’Vous devez faire la même chose. Si vous ne le faites pas, l’évaluation dont vous allez bénéficier sera mauvaise pour vous, et votre carrière... vous voulez la mutation ? Vous ne l’aurez pas !’ Vous trahissez les collègues. Vous trahissez les règles de métier, vous trahissez le justiciable, vous trahissez les avocats, vous leur couper la parole parce que vous n’avez pas le temps : ’Maître, je suis désolé, il faut qu’on avance.’ Vous maltraitez les avocats, ce qui pose des problèmes aujourd’hui assez compliqués entre avocats et magistrats. Les relations se détériorent. Vous maltraitez le justiciable. Si vous allez trop vite... l’application des peines dans les prisons... Quand vous êtes juges des enfants, il faut écouter les enfants, ça prend du temps ! Mais non, ’va vite’. Vous vous rendez compte ? C’est la maltraitance des justiciables sous l’effet d’une justice comme ça. A la fin vous trahissez la justice, et comme vous faites mal votre travail, vous trahissez l’Etat de droit. A force de trahir tous ces gens qui sont... parce que c’est des gens très mobilisés... on ne devient pas magistrat comme ça, il faut passer des concours... c’est le concours le plus difficile des concours de la fonction publique, c’est plus difficile que l’ENA l’Ecole nationale de magistrature... C’est des gens hyper engagés, hyper réglo, qui ont un sens de la justice, et vous leur faites faire quoi ? Le contraire. C’est ça la dégradation de la qualité. Donc ça conduit, à un moment donné, à la trahison de soi. Ça, ça s’appelle la souffrance éthique. C’est-à-dire, elle commence à partir du moment où j’accepte d’apporter mon concours à des actes ou à des pratiques que le sens moral réprouve. Aujourd’hui c’est le cas dans la justice, c’est le cas dans les hôpitaux, c’est le cas dans les universités, c’est le cas dans les centres de recherche. Partout dans le secteur public, où la question éthique est décisive sur la qualité du service public, vous avez des gens qui trahissent tout ça, et qui entrent dans le domaine de la souffrance éthique. Des gens souffrent dans leur travail, sauf que cette souffrance, au lieu d’être transformée en plaisir, elle s’aggrave. Les gens vont de plus en plus mal parce que le travail leur renvoie d’eux-mêmes une image lamentable. Le résultat c’est que cette trahison de soi quelques fois ça se transforme en haine de soi. Et c’est comme ça qu’à un moment donné les gens se suicident. C’est comme ça que vous avez des médecins des hôpitaux, professeurs de médecine de Paris qui sautent par la fenêtre. Il y a eu le procès Mégnien, au mois de juin. Il a sauté du 5ème étage de Georges-Pompidou. Il est mort. Comment on en arrive là ? C’est parce que les gens ont eu la possibilité de réussir un travail, de faire une oeuvre, et tout à coup on leur casse le truc. Et là vous cassez une vie. C’est pour cela que les gens se disent : ’Ce n’est pas possible, c’est tout ce que j’ai mis de moi-même, tous ces gens avec qui j’ai bossé, maintenant il faut que ça soit moi qui donne le noms des gens qu’on va virer. Je ne peux pas faire ça, ce n’est pas possible.’ Vous les obligez à faire l’inverse de ce qu’ils croient juste, de ce qu’ils croient bien. Cette organisation du travail, elle cultive ce qu’il y a de plus mauvais dans l’être humain. »

    #suicide #trahison #souffrance_éthique

    • Quels facteurs influencent la capacité des salariés à faire le même travail #jusqu’à_la_retraite ?

      En France, en 2019, 37 % des salariés ne se sentent pas capables de tenir dans leur travail jusqu’à la retraite. L’exposition à des #risques_professionnels – physiques ou psychosociaux –, tout comme un état de santé altéré, vont de pair avec un sentiment accru d’#insoutenabillité du travail.

      Les métiers les moins qualifiés, au contact du public ou dans le secteur du soin et de l’action sociale, sont considérés par les salariés comme les moins soutenables. Les salariés jugeant leur travail insoutenable ont des carrières plus hachées que les autres et partent à la retraite plus tôt, avec des interruptions, notamment pour des raisons de santé, qui s’amplifient en fin de carrière.

      Une organisation du travail qui favorise l’#autonomie, la participation des salariés et limite l’#intensité_du_travail tend à rendre celui-ci plus soutenable. Les mobilités, notamment vers le statut d’indépendant, sont également des moyens d’échapper à l’insoutenabilité du travail, mais ces trajectoires sont peu fréquentes, surtout aux âges avancés.

      https://dares.travail-emploi.gouv.fr/publication/quels-facteurs-influencent-la-capacite-des-salaries-faire-
      #statistiques #chiffres

  • Der Blarze Schwock - Ab jetzt gibt’s Comedy
    https://www.youtube.com/watch?v=tu8b7iSik2o

    Leider offline: Fight Club - Ingo Intifada gegen Bomber Harris

    „Schreiben ist ein Wunderwerk!” - Martin Baxmeyer im Porträt - GERMANISTIK IM BERUF
    https://gibblog.de/portraets/schreiben-ist-ein-wunderwerk-martin-baxmeyer-im-portraet

    Von Jule Müller.

    Martin Baxmeyer ist ein Bühnenmensch. Während seines Vortrags sitzt er nicht und steht auch nicht still. Er läuft auf und ab, ringt vergnügt die Hände, betont jedes Wort spielerisch. Er geht auf sein Publikum zu, spricht theatralisch und verstellt dabei auch gerne mal seine Stimme. Schnell wird klar: Selbst ein Vortrag im Seminarraum wird zu einer kleinen Aufführung. Seine Leidenschaft für Worte – egal ob gesprochen oder geschrieben – ist nicht zu überhören.

    „Ich bin eine Wortkreatur – durch und durch!“, ruft Baxmeyer aus und berichtet von seiner Freude daran, neue Wörter zu erfinden oder zu finden. “Ich kann mich Ewigkeiten mit einem neuen Wort beschäftigen, das ich irgendwo aufgeschnappt habe. Selbst ein Wort wie ’glibberig’ habe ich versucht, in einen Zeitungsartikel einzubauen.” Für Baxmeyer ging es schon immer um den Umgang mit Sprache. Darüber entdeckt er auch die Liebe zum Theater. Bereits 1988, im Alter von 17 Jahren, schreibt er sein erstes Stück, das ihm heute allerdings regelrecht peinlich ist. Noch während seines Studiums der spanischen, französischen und deutschen Literatur gründet er gemeinsam mit Kommilitonen das anarchistische Kabarett „Der Blarze Schwock“, in deren Aufführungen er selbst einige Rollen übernimmt. Baxmeyer ist ein kreativer Kopf: “Ich habe Berge an Versen geschrieben, drei Schallplatten mit eigenen Liedern rausgebracht, einen Turm an akademischen Texten verbrochen. Am Ende ging es mir immer ums Wort.”

    MARTIN BAXMEYER ALS MITARBEITER AM SCHREIB-LESE-ZENTRUM (SLZ)
    Im Jahr 2016 hat Baxmeyer einen folgenschweren Verkehrsunfall. Gerade zu einem Zeitpunkt, in dem der promovierte Romanist einen entfristeten Vertrag erhalten hätte. Und auch seine kreative Laufbahn als Kabarettist, Schauspieler, Musiker und Autor muss er weitestgehend aufgeben: “Doch durch eine irrwitzige Verkettung von Zufällen ergab sich für mich glücklicherweise eine neue Perspektive am Schreib-Lese-Zentrum.” Das SLZ selbst ist dem Germanistischen Institut beigeordnet und unterstützt nicht nur Studierende aller Fachbereiche, sondern grundsätzlich alle Mitglieder der Universität beim (wissenschaftlichen) Schreiben: individuell oder in Seminaren. Baxmeyer ist dort seit vier Jahren als wissenschaftlicher Mitarbeiter für die Schreibberatung zuständig. Seiner Meinung nach vermittelt die Uni beispielsweise nicht ausreichend, wie eine Hausarbeit geschrieben wird. Nach dem Motto „Hilfe zur Selbsthilfe“ bietet Baxmeyer deshalb eine Art Werkzeugkasten, aus dem Studierende unterschiedliche Strategien wählen können, um Schreib- und Lesekompetenzen zu verbessern. Besonders interessant ist außerdem ein Zertifikatskurs, der insofern berufsqualifizierend ist, als Studierende hier selbst zu Schreibberater*innen ausgebildet werden.

    „SCHREIBEN IST FÜR MICH EINE ENDLOSE ENTDECKUNGSREISE“
    Baxmeyer legt Wert darauf, dass wissenschaftliches Schreiben durchaus kreativ sein kann. „So sehr an der Universität auch diskutiert wird, sie ist und bleibt ein Ort des Schreibens.” Und gerade da, wo es klare Vorgaben gibt – wie bei einer wissenschaftlichen Hausarbeit – bleibt oft noch viel Raum für eigene Ideen. Denn für Baxmeyer beinhaltet Schreiben einen spielerischen Umgang mit Sprache. Schreiben sollte nicht bloß das Fixieren eines Wortes auf Papier sein, sondern immer auch eine Leidenschaft: „Wenn man weiß, wie man schreibt, schafft man sich eine eigene Stimme in der Welt.“

    #Allemagne #Münster #cabaret #satire #anarchisme

  • « Les Palestiniens sont très difficiles à tuer » : le satiriste #Bassem_Youssef enflamme les réseaux sociaux

    Dans un long entretien avec le journaliste britannique Piers Morgan, le « John Stewart égyptien », qui vit désormais en Californie, mêle #humour_noir et défense de la Palestine. Son interview a déjà été visionnée par des millions de personnes.

    https://www.youtube.com/watch?v=l_XB5NZ-5Xc&embeds_referring_euri=https%3A%2F%2Fwww.jeuneafrique.co

    « Je connais vos positions et je les respecte, Piers. Je sais que vous êtes dans le bon camp. » L’interview de Bassem Youssef dans le talk-show de Piers Morgan, diffusée le 18 octobre sur #TalkTv – dernière-née de l’empire de Rupert Murdoch –, commençait sous les auspices les plus courtois. Elle a pourtant rapidement viré au match de boxe – les deux interlocuteurs, d’accord sur bien des points, ayant du mal à faire converger leur analyse du conflit qui oppose, depuis le 7 octobre, le Hamas et l’armée israélienne.

    Satiriste chevronné, Bassem Youssef est chirurgien cardiaque de formation. Il était devenu célèbre en Égypte grâce à son émission « Al‑Bernameg » (« The Show »), diffusée après la chute du président Hosni Moubarak en 2011 et suivie, jusqu’à son interdiction en 2013, par plusieurs dizaines de millions de téléspectateurs. Habitué des joutes verbales, l’homme, qui a dû s’exiler aux États-Unis, a l’art de la punchline accrocheuse et joue volontiers de la #provocation. Interrogé par Piers Morgan sur le conflit en cours, il commence par évoquer une interview récente, dans la même émission, du journaliste américain ultraconservateur Ben Shapiro.

    « Ben Shapiro est quelqu’un de très intelligent, je me fie à tout ce qu’il dit, et chez vous il a dit que la solution c’était de tuer autant de Palestiniens que possible », attaque Bassem Youssef face à un intervieweur interloqué. « Donc O.K., poursuit-il, je me fie à lui. Mais ma question c’est : Combien de ces “fils de pute”, comme il dit, faudra-t-il encore tuer pour que #Ben_Shapiro soit content ? »
    « Quel #taux_d_ change aujourd’hui pour les vies humaines ? »

    Mal à l’aise, le journaliste assure que M. Shapiro n’a jamais employé de tels termes, mais son invité poursuit sans se laisser perturber. « Les Palestiniens sont très difficiles à tuer, vous savez ? Ils ne meurent jamais ! Je le sais, j’en ai épousé une et j’ai essayé plusieurs fois, mais ça n’a jamais marché. En plus elle utilise les enfants comme boucliers humains. »

    Piers Morgan essaie de préciser les déclarations de Ben Shapiro, affirmant que celui-ci a effectivement estimé qu’il faudrait « tuer autant de terroristes que possible » avant de souligner que ceux-ci « utilisent leurs enfants comme boucliers humains ». Bassem Youssef exhibe alors à l’écran un diagramme qui représente, dit-il, le nombre de #victimes palestiniennes et israéliennes du conflit sur plusieurs années. Sans surprise, le déséquilibre est immense, même si la source des chiffres n’est pas précisée. « Je le répète, continue-t-il, je suis d’accord, il faut les tuer. J’ai juste une question : C’est quoi la proportion ? Quel est le taux de change, aujourd’hui, pour les vies humaines ? »

    « Mais alors, si vous étiez à la place d’Israël, comment réagiriez-vous aux attaques du 7 octobre ? », l’interrompt Piers Morgan, qui lui demande s’il est par ailleurs d’accord pour estimer que l’offensive du Hamas était d’une sauvagerie inédite. « Est-ce que je condamne le Hamas ? rugit l’humoriste. Oui, je condamne le Hamas. Je les déteste ! Donc, quant à votre question au sujet de ce que je ferais, voilà ma réponse : Je ferais exactement ce qu’Israël fait : tuer autant de gens que le monde m’autorise à le faire. Parce qu’on les laisse faire ! Mais j’ai une question pour vous. Disons que le Hamas est le problème et imaginons un monde sans Hamas. Tenez, la #Cisjordanie par exemple… Comment peut-on expliquer que là-bas aussi, même sans Hamas, il y a eu des milliers de Palestiniens tués ces dernières années… »

    « Un mauvais investissement »

    « Soyons clair, poursuit-il, inspiré. Admettons, le Hamas est le problème. Disons qu’ils n’existent plus. Bon, en Palestine, 20 % des habitants sont soumis au système répressif israélien et les autres survivent comme ils le peuvent, depuis des décennies. À votre avis, les gens seront-ils enclins à sympathiser avec ceux qui les oppressent, ou avec ceux qui résistent ? Bien sûr j’entends les gens de l’autre camp, qui nous expliquent qu’Israël est le seul pays qui avertit les civils avant de les bombarder. Comme c’est gentil de leur part ! J’en ai parlé avec la famille de ma femme, avec mon beau-frère qui vit à Gaza. J’ai demandé : “Quand Israël prévient que des frappes vont avoir lieu, est-ce vrai que le Hamas vous oblige à rester là ?” Il m’a dit : “Non !” Vous vous rendez compte, quel salaud de menteur ! »

    Tout à son idée, Piers Morgan persiste : que ferait Bassem Youssef à la place d’Israël ou de ses alliés ? « Disons que je me mets à la place d’un colon israélien, propose l’humoriste. D’abord, je m’adresse à mon Premier ministre Benyamin Netanyahou. “Vous nous avez promis la paix, mais le 7 octobre, quand le Hamas a attaqué, l’armée a mis des heures à intervenir. Vous avez fracturé notre société. Dans les kibboutz on dit que vous avez laissé faire pour justifier une future offensive massive sur Gaza !” » « Je suis citoyen américain, rappelle-t-il ensuite. Mon pays donne des milliards de dollars à Israël tous les ans. Si j’étais Joe Biden – qui a dit que c’était le meilleur investissement que son pays ait jamais fait – j’irais voir Benyamin Netanyahou et je lui chuchoterais à l’oreille :“j’ai fait un mauvais investissement.” »

    « Mais comment en sort-on ? » insiste l’hôte du talk-show, totalement dépassé par les propos de son invité. « Je ne sais pas, admet Bassem Youssef. Mais je me demande ce qu’espère Israël en écrasant Gaza sous les bombes. C’est quoi le but ? Pousser les civils à se tourner contre le Hamas ? C’est ce que font les terroristes : tuer pour semer la peur et pousser les gens à se retourner contre leurs autorités, par peur. Ça fait des années qu’Israël tue des milliers de Palestiniens, est-ce que ça a réglé le problème ? En quoi ce serait différent cette fois ? »

    Partagée par des milliers d’internautes sur X (anciennement Twitter), la vidéo ne cesse, depuis, de se répandre et de provoquer des réactions. Dont une majorité de commentaires enthousiastes venus d’internautes du Maghreb et du Moyen-Orient, qui ont le sentiment d’avoir trouvé, enfin, un porte-parole à la hauteur.

    https://www.jeuneafrique.com/1495233/politique/les-palestiniens-sont-tres-difficiles-a-tuer-le-satiriste-bassem-youss
    #satire #à_lire #à_voir #7_octobre_2023 #Israël #Palestine #Hamas #vidéo #humour
    via @isskein

    • Un autre extrait:

      PM : « Pourquoi tout le monde arabe veut constamment attaquer Israël sans sans offrir d’endroits où les Palestiniens pourraient aller ? »
      BY : « C’est exactement ce que Israël veut. (...) C’est la pire des solutions. Ce sont des Palestiniens, c’est leur terre et on leur enlève. (...) L’Europe compte 44 pays. Pourquoi n’accueilleraient-ils Israël ? »
      BY : « Pendant des années l’Occident nous a dit : ’Regardez-nous, nous sommes libéraux. Nous sommes pour les droits humains. Nous sommes tous égaux. Adoptez nos valeurs.’ Et soudainement vous ne voulez même pas d’un cessez-le-feu. Vous ne voulez pas dire à Israël d’arrêter. Soudainement, nous voyons McDonalds donner des repas gratuits à l’armée israélienne. Parce que rien ne vous ferait sentir mieux, après avoir tué un tas d’enfants palestiniens, qu’un Happy Meal. Israël est un pays raciste, qui applique l’apartheid, qui renvoie cette image brillante de sécularisme et de démocratie aux gens pour qu’ils acceptent tout ce qu’ils font, parce qu’ils voient les Palestiniens comme des êtres inférieurs. C’est toute la question. (...) C’est pourquoi nous posons la question : ’Où sont passés vos #valeurs ?’ Parce que c’est là le fonds du problème, ce n’est pas Hamas, ce n’est pas Palestine. C’est des gens qui nous perçoivent comme des êtres inférieurs. »

      https://twitter.com/realmarcel1/status/1720851283479810113

  • Wolf Biermann zu Gast bei Wolfgang Neuss (1965)
    https://www.youtube.com/playlist?list=PL76F6F6BF188016A1

    Après cette soirée Wolf Bierman. a perdu l’autorisation de se présenter à l’Ouest et Wolfgang Neuss eté obligé à fermer sa salle après avoir collecté des dons pour le vietcong pendant ses conférences.

    Die reaktionäre Tante Tagesspiegel macht beim lesen weiße Finger, so rieselt der Kalk.

    A propos de la communication au sein de l’hierarchie militaire

    Innere Führungs-Kettenreaktion!

    Der Oberst sagt zum Adjudanten:
    – Morgen früh, neun Uhr ist eine Sonnenfinsternis. Etwas, was nicht alle Tage passiert! Die Männer sollen im Drillich auf dem Kasernenhof stehen und sich das seltene Schauspiel ansehen! Ich werde es ihnen erklären. Falls es regnet werden wir nichts sehen, dann sollen sie in die Sporthalle gehen!

    Adjudant zum Hauptmann:
    – Befehl vom Oberst: Morgen früh um neun ist eine Sonnenfinsternis. Wenn es regnet, kann man sie vom Kasernenhof aus nicht sehen, dann findet sie im Drillich in der Sporthalle statt. Etwas, was nicht alle Tage passiert. Der Oberst wird’s erklären, weil das Schauspiel selten ist!

    Hauptmann zum Leutnant:
    – Schauspiel vom Oberst: Morgen früh neun Uhr im Drillich, Einweihung der Sonnenfinsternis in der Sporthalle! Der Oberst wird’s erklären, warum es regnet! Sehr selten so was!

    Leutnant zum Feldwebel:
    – Seltener Schauspielbefehl! Morgen um neun wird der Oberst im Drillich die Sonne verfinstern, wie es alle Tage passiert in der Sporthalle, wenn ein schöner Tag ist. Wenn’s regnet: Kasernenhof!

    Feldwebel zum Unteroffizier:
    – Morgen! Um neun! Verfinsterung des Obersten im Drillich wegen der Sonne! Wenn es in der Sporthalle regnet, was nicht alle Tage passiert, antreten auf’m Kasernenhof. Sollten Schauspieler dabei sein, soll’n sich selten machen!

    Gespräch unter den Soldaten:
    – Haste schon gehört, wenn’s morgen regnet?
    – Ja, ick weeß – der Oberst will unser’n Drillich vafinstan!
    – Dit dollste Ding: Wenn die Sonne keinen Hof hat, will er ihr einen machen
    – Schauspieler soll’n Selter bekommen, typisch
    – Dann will er erklären, warum er aus rein sportlichen Gründen die Kaserne nicht mehr sehen kann
    – Schade, dass das nich alle Tage passiert!

    Wundern Sie sich jetzt noch, warum auf den Truppenübungsplätzen die Manöverbeobachter nie voll getroffen werden?

    #humour #parodie #satire #politique #armée #auf_deutsch

  • Birte spielt nicht mehr mit
    https://www.kontextwochenzeitung.de/gesellschaft/639/birte-spielt-nicht-mehr-mit-8943.html

    Les stations de télévision publiques allemandes ne tolèrent pas la mise en cause du système capitaliste en place dans ses émissions. Il n’y a pas de censure traditionnelle mais on n’invite pas les personnes connues pour leurs positions radicales. Ceci va de pair avec la criminalisation systématique des participants de chaque mouvement contestataire qui prend de l’ampleur au niveau national.

    La comédienne Christine Prayon a pris du recul pour récupérer ses forces après avoir subi de graves symptômes suite à la vaccination contre le Covid. Elle ne retournera pas à l’écran de si tôt car depuis un an sa manière de parodier les puissants n’est plus compatible avec les émissions humoristiques « officielles ».

    28.6.2023 von Susanne Stiefel (Interview)| - Christine Prayon alias Birte Schneider tritt nicht mehr in der „heute-show“ auf. Welke & Co. machten „Stimmung gegen Andersdenkende“, kritisiert die Kabarettistin. Und bezieht „Die Anstalt“ und Böhmermann mit ein.
    ...
    Ich habe mit der Art, wie die großen gesellschaftlich prägenden Themen seit Corona behandelt werden, zunehmend Bauchschmerzen bekommen. Ich habe auch mit den Verantwortlichen dort geredet und betont, dass ich mich nicht daran beteiligen will, Andersdenkende der Lächerlichkeit preiszugeben. Satire darf sich nicht daran beteiligen, den Diskurs zu verengen. Und jetzt findet genau dies wieder statt beim Krieg in der Ukraine. Da werden Narrative und Positionen von Gruppen, die gesellschaftlich in der Hierarchie weit oben stehen, unablässig wiederholt und gleichzeitig wird Stimmung gegen Andersdenkende gemacht. Das hat nach meinem Dafürhalten nichts mehr mit Satire zu tun.

    Alles vorbei, Türe zu bei Welke & Co.?

    Die Tür wurde mir offen gelassen, falls ich das mal wieder anders sehen oder mich wohlfühlen sollte. Das finde ich auch schön. Aber ich habe diesen Schlussstrich für mich gezogen. Nein, und offiziell sind auch bei der „Anstalt“ im ZDF keine Türen zu. Aber man wird halt immer weniger gefragt, bis man irgendwann nicht mehr gefragt wird, und das hat Gründe. Ich habe mich wohl erfolgreich mit meinem Programm und meinen Ansichten aus vielen Sachen rauskatapultiert. Ich glaube zum Beispiel auch, wenn man das große Fass Kapitalismuskritik aufmacht und das wirklich ernst meint, ist man draußen.
    ...
    In der realen Welt werden junge Menschen, die sich auf Straßen kleben, in den Knast gesteckt.

    Das Kriminalisieren von Gruppen, das kennen wir auch noch von S 21. Das hat man mit allen versucht, weil man gemerkt hat, jetzt wird es gefährlich. In Stuttgart wurde der Protest immer größer, es waren über 100.000 auf der Straße, da musste man gucken, dass das so nicht mehr geht. Und das, was die Letzte Generation macht, ob sie sich dessen bewusst ist oder nicht, ist ein Angriff auf das bestehende System. An einer empfindlichen Stelle, und sie bringen es zum Bröckeln, indem sie den Verkehr lahmlegen, sodass die Leute nicht zur Arbeit kommen. Das ist eine Attacke auf eine heilige Kuh. Das kann man doch im Kapitalismus nicht machen, aber hallo, ja, wo kämen wir denn da hin?

    Ha, Sie sind schon wieder auf der Bühne. Aber zurück in die Realität: Entsprechend sind auch die Reaktionen. Etwa der Autofahrer.

    Das wundert mich nicht. Das stört. Demonstrieren an einem dafür ausgesuchten Platz stört nicht. Es sei denn, die Demonstration wird so groß, dass man sie nicht mehr wegreden oder wegleugnen kann, wie S 21 damals. Aber der zivile Ungehorsam ist natürlich erlaubt, doch er kippt, wenn er zu etwas gemacht wird, was nicht sein darf. Ziviler Ungehorsam gleich kriminell. Das ist doch beängstigend. Wo geht denn das hin? Wenn wir diese Mittel nicht mehr zur Verfügung haben? Wie sollen wir uns denn noch wehren, wenn wir Unrecht sehen? Ja, demonstrieren?

    Oder eben auch nach den Utopien schauen. Ernst Bloch sagt im Prinzip Hoffnung, Utopien haben einen Fahrplan, sie gehen von Missständen aus und in die Richtung auf ein besseres, gerechteres Leben. Und Sie sagen, Utopien sind nicht lustig.

    Dystopien ja, aber Utopien... was mach ich da? Vortrag halten?

    Über die Regierung lästern. Über den Porsche-Lindner …

    Aber das ist doch sooo langweilig.

    Aber immer noch notwendig. Aufklärung ist notwendig, deshalb bin ich Journalistin geworden. Und jetzt kommt die Prayon daher und sagt, wir wissen doch schon alles, die Sauereien sind alle bekannt, alles transparent. Stimmt doch nicht.

    Was hilft es uns, dass wir wissen, was bei Stuttgart 21 gelaufen ist? Ist doch alles da, die Lügen, die Korruption. Wir wissen doch auch, was beim NSU passiert ist. Wir kennen die ganzen Skandale, wir sehen das alles, und was folgt daraus? Natürlich ist Aufklärung nötig, die soll auch nicht aufhören. Für mich war nur der Punkt, dass das, was normalerweise für die Aufgabe des Kabaretts gehalten wird, also die Kritik am Bestehenden, dass das alleine mich nicht interessiert, wenn man nicht gleichzeitig darüber redet, was noch möglich ist. Und wenn man auch nicht gleichzeitig über die tieferen Ursachen spricht. Für mich ist es immer Ausdruck eines kranken Systems. Wie soll ich jemandem vorwerfen, dass er sich bereichert hat, wenn das innerhalb des Systems verlangt wird? Oder finden Sie, dass der Kapitalismus auch nur eines der gewaltigen Probleme unserer Zeit in den Griff kriegt? Und auch mit einem grün angepinselten Kapitalismus werden wir die Erde nicht retten.

    https://www.christineprayon.de
    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Christine_Prayon

    #Allemagne #théâtre #satire #télévision #cabaret #censure #capitalisme

  • What I Got Right About The Iraq War
    https://www.theonion.com/what-i-got-right-about-the-iraq-war-1850249194
    Kurt Tucholsky avait raison quand il disait qu’il était possible que les champs de guerre à venir ne soient plus circonscrits et protégés par une police spécialisée. D’abord il y a eu la guerre totale puis la guerre pour la démocratie, les deux rendues possibles par l’aval des gens ordinaires, des connards comme toi et moi.

    I imagine the name Halliburton rings a bell? What we wanted to do, what Rumsfeld and Condi and I and the rest of that bunch really wanted to do, was forever shift war-making into the hands of weapons contractors and mercenary armies. Not only does that make me and a bunch of my buddies incredibly rich, but it makes it so that even if regular people wanted to stop the war machine, they couldn’t. All decisions are made outside public control, and there aren’t any democratic mechanisms left to stop it. Of all the legacies of the war, that might be my absolute favorite.

    On a compris. La partie de la société sous contrôle démocratique a été réduit à quelques secteurs sans grande importance. C’est l’essence et la raison d’être des privatisations néolibérales. C’est 0lud grand que juste le terrain militaire.

    Puis voilà comment nous faire marcher.

    I’m calling on all Americans to support our mission to invade Thailand and restore democracy.

    Gotcha! You started feeling all patriotic for a second there, didn’t you? Started getting all indignant about those poor suffering Thai people and ready to put their flag in your social media handle? I have no fucking clue if Thailand has a democracy, and I don’t care. But inspiring that knee-jerk jingoistic reaction in you, that right there is the legacy of the Iraq War. That’s my legacy.

    En lisant ce texte je me suis demandé si la revue satirique The Onion a inventé de toutes pièces ce texte autentique ou s’ils l’ont déterré dans des archives non identifiées. C’est grave quand la réalité et la satire acide se confondent.

    Peut-être je me trompe, je ne le saura jamais. Il n’y a qu’une seule manière de le savoir : Il faudrait qu’on s’invahisse mutuellement tous. Après il y aura de la démocratie partout, enfin pour les survivants.

    Source : https://seenthis.net/messages/995597
    #merci @kassem

    #guerre #USA #satire

  • « Ces choses fonctionnent. Vous n’avez plus besoin d’un homme ». Enquête sur les tendances et le marché des #sex-toys parue dans NRC (grand quotidien national aux Pays-Bas)

    Où l’on apprend que 20 % des Néerlandais achètent chaque mois un produit érotique...

    À part ça, ils ont la retraite à 67 ans...

    Le 15 septembre 1995, Het Parool titrait : « Les vibrateurs se vendent bien ». Les #sex-shops et les sociétés de vente par correspondance néerlandaises ont vendu « un demi-million de vibrateurs » cette année-là, soit une augmentation de 25 % en deux ans. « Le #vibrateur a disparu du coin maudit du catalogue de vente par correspondance », écrivait le journal. Entre-temps, l’utilisation des vibrateurs est devenue de plus en plus normalisée. On peut acheter ces #jouets_sexuels dans les pharmacies, et les accrocher comme des ornements dans le sapin de Noël. En 2027, les ventes de vibromasseurs dans le monde devraient représenter un chiffre d’affaires de 24 milliards d’euros.

    [...] Dodson prêchait la liberté, non seulement la liberté de se masturber, mais aussi la liberté de le faire avec un vibrateur. Elle avait elle-même découvert le #vibromasseur idéal dans le Hitachi Magic Wand, qui était vendu comme un masseur de dos. Lors des ateliers de #masturbation qu’elle donnait dans son appartement, elle le distribuait aux participants pour qu’ils s’entraînent avec. Ce « vibromasseur » ne pénètre pas, le clitoris est stimulé. C’est plus logique, car trois quarts des femmes ne jouissent pas par la seule pénétration. La #stimulation du #clitoris est donc essentielle pour de nombreuses femmes - le vibromasseur en forme de pénis est basé sur « l’idée que se fait un homme de ce que veulent les femmes », selon M. Dodson.

    Mais il a fallu attendre les années 1980 pour que le #plaisir_sexuel des femmes et le vibromasseur deviennent un véritable enjeu de société. La révolution sexuelle des années 1960 avait apporté aux femmes la pilule et d’autres contraceptifs, mais si elles avaient plusieurs partenaires au lit, elles étaient considérées comme des « salopes ». Les femmes en tant qu’êtres sexuels sont toujours réprimées.

    Cela a changé avec l’arrivée du magnétoscope (et du porno), le sexe entrant désormais dans le salon. Le tabou sur le sexe, la sexualité et la masturbation a également été brisé dans la culture populaire. Lorsque la série populaire Sex and the City (1998-2004), qui tourne autour de la #sexualité_féminine, a donné au « Lapin » un rôle de premier plan, ces vibrateurs ont été difficiles à trouver pendant un certain temps. « C’est rose - pour les filles ! », dit le personnage principal Charlotte à propos du vibrateur à oreilles de lapin qui stimule le clitoris. Elle devient accro à l’appareil et ne veut plus quitter son appartement. « C’est révélateur de l’époque », écrit Lieberman dans son livre. « C’était une mise en garde, un avertissement. C’est amusant, un vibromasseur, mais faites attention. En vain, d’ailleurs, les femmes en voulaient quand même un. »

    Le Lapin, la Balle et, bien sûr, le Tarzan. Il y a encore quelques années, la plupart des vibromasseurs étaient basés sur l’idée de pénétration (et de gros !). Et d’ailleurs, tous les vibromasseurs, y compris les vibromasseurs centrés sur le clitoris comme la baguette magique, étaient équipés d’une fonction de vibration motorisée. Mais plus maintenant.

    [...] Le fossé de l’#orgasme

    « La dernière grande révolution dans les vibromasseurs est assez récente », explique Lieberman. « Le #vibrateur_à_pression_d'air de Womanizer, lancé en 2014, était révolutionnaire. Soudain, il y avait une entreprise qui disait : nous n’avons besoin de stimuler que le clitoris pour que les femmes atteignent l’orgasme, laissez le reste de côté. » Ce sont ces vibromasseurs à air comprimé qui sont désormais les plus achetés. Bien qu’aux Pays-Bas, ce ne soit pas le Womanizer mais le #Satisfyer, moins cher, qui se porte bien. Depuis peu, celui-ci n’est pas seulement disponible en ligne ou dans des magasins spécifiques ; on le trouve également dans les rayons de Hema.

    Ce n’est que ces dernières années que l’attention portée à la sexualité féminine a vraiment augmenté. Depuis l’année dernière, le clitoris complet est représenté dans les manuels de biologie néerlandais (bien que, contrairement au pénis, il ne soit pas encore en état d’excitation). Netflix a réalisé The Principles of Pleasure, une série sur le #plaisir_féminin et l’écart toujours croissant entre les orgasmes. Un écart plus important que l’écart salarial, selon une étude de 2017 : pendant un rapport sexuel, 95 % des hommes hétérosexuels (américains) ont un orgasme, alors que chez les femmes hétérosexuelles (américaines), ils sont 65 %. [...]

    Qu’est-ce qui vibre encore dans le vibrateur moderne ? Principalement l’air qui l’entoure. Et où doit-il aller ? Nulle part ! Pas de pénétration : les vibrateurs à pression d’air sont à la mode - et comme la chaîne de pharmacies Kruidvat a fait la publicité du Satisfyer avec le slogan « Sinterklaas n’est pas le seul à venir cette année », et que ce #sex-toy se trouve même dans les rayons de l’Hema, presque tous les Pays-Bas sont au courant. Ces choses fonctionnent. « Vous n’avez plus besoin d’un homme », a écrit un site web de bien-être pour les femmes à propos de cet appareil étanche doté de « capacités de succion high-tech ».

    Mais le Satisfyer n’est ni le premier ni le seul vibrateur à pression d’air, apprend-on dans l’un des plus grands showrooms de jouets sexuels d’Europe : celui de Shots, à Beneden-Leeuwen, juste au sud de la rivière Waal. [...]

    JEU SEXUEL
    D’après une enquête réalisée par EasyToys auprès de 1 000 Néerlandais, 44 % d’entre eux déclarent posséder un ou plusieurs jouets sexuels. Parmi eux, 18 % en possèdent un, 19 % deux ou trois et 7 % quatre ou plus. Le vibrateur externe, par exemple pour la stimulation du clitoris, est particulièrement populaire. 20 % des personnes interrogées ont déclaré en avoir un ou plusieurs à la maison. 15 % ont un #godemiché à la maison.

    POPULAIRE
    Sur bol.com, en tête de liste des vibromasseurs les plus vendus figure le Satisfyer Pro 2, qui est désormais également vendu par Hema et Kruidvat. Ce dernier a provoqué une émeute à la Saint-Nicolas dernière en raison d’un panneau d’affichage piquant dans le magasin de Leiden. Le Satisfyer figure également en bonne place sur la liste de la boutique en ligne EasyToys. Le fait qu’il s’agisse d’un jouet sexuel populaire est démontré par les produits dérivés fabriqués pour le « Sattie », des boules de Noël aux boucles d’oreilles.

    PRODUIT ÉROTIQUE
    Une étude réalisée par Newslab pour le compte du prestataire de services financiers Klarna montre que 20 % des Néerlandais achètent chaque mois un produit érotique, du préservatif au vibromasseur. C’est plus que la moyenne internationale. Autour de la Saint-Valentin 2021, le produit le plus vendu était le Satisfyer, l’année suivante, remarquablement, un nouveau chargeur pour ce même sex toy. Les commandes les plus nombreuses provenaient de Zélande (270 % de plus que la moyenne nationale), les moins nombreuses de Flevoland (79 % de moins que la moyenne nationale).

    UN MARCHÉ EN PLEINE CROISSANCE
    À l’échelle mondiale, l’industrie des jouets sexuels est un marché en croissance, selon les chiffres du cabinet d’études de marché Grand View Research. En 2021, le chiffre d’affaires estimé du marché s’élève encore à près de 28 milliards d’euros. Les ventes devraient croître de 8,4 % par an jusqu’en 2030.

  • Reise erfolgreich: Regierung schließt Flüssiggas-Deal mit Mordor
    https://dietagespresse.com/reise-erfolgreich-regierung-schliesst-fluessiggas-deal-mit-mordor

    Oktober 2022, Großer Erfolg für Österreich! Eine Regierungsdelegation unter Führung von Kanzler Karl Nehammer unterzeichnete in Mordor einen Liefervertrag für Flüssiggas. Damit ist die Versorgung für die nächsten Jahre gesichert und die Abhängigkeit von Russland geht zurück.

    MORDOR – Nehammer lächelt zuversichtlich, als die von zehn Orks gezogene Kutsche durch das schwarze Tor fährt. „Das Auge von Mordor ist noch schöner, als ich’s mir vorgestellt hab“, sagt er mit leuchtenden Augen und betrachtet die Flammen am Horizont. „Erinnert mich an meine Heimat Niederösterreich. Wir haben auch so dunkle Türme der finsteren Macht, die Lagerhäuser.“

    Ein Scherge Saurons verzieht sein Gesicht grimmig. „Haben Sie denn keine Angst vor Saurons Auge, das alles sieht?“, will er von Nehammer wissen. Der schüttelt den Kopf. „Ich bin die Message Control gewohnt, da ist so ein Auge ein Schas dagegen.“ Nehammer winkt dem Auge zu.
    Fast lupenreine Demokratie

    Auch Energieministerin Leonore Gewessler ist Teil der Reisegruppe. Um der örtlichen Etikette zu entsprechen, musste sie bei der Einreise einen Schleier an- und ihr Rückgrat ablegen. „Uns muss klar sein, dass wir hier in einer nur fast lupenreinen Demokratie sind“, gibt sie zu bedenken, als die Kutsche gerade die Folterkammern von Barad-dûr passiert.

    Die schmerzerfüllten Schreie der Gefolterten werden so laut, dass sich Gewessler ihre Airpods in die Ohren steckt und auf voller Lautstärke Cat Stevens hört. „Jeder von uns kann einen Beitrag leisten“, lächelt sie und öffnet eine Packung palmölfreier Soletti.

    Warmer Empfang

    „Servus, grüß euch! Schön, dass wir endlich ins Geschäft kommen“, empfängt Sauron den Besuch aus Österreich. Der Herrscher hat einen persönlichen Bezug zu Österreich, da seine Schwester derzeit als Landeshauptfrau von Niederösterreich arbeitet.

    „Ich wusste nicht, dass ihr in Österreich auch Hobbits habt“, sagt Sauron und zeigt auf Heini Staudinger, der als blinder Passagier mitgeflogen ist. „Nein, nein… ich bin sowas wie der Präsident und ich bin auch überhaupt nicht hier, um den einen Ring zu zerstören, ich will hier nur eine neue Waldviertler-Fabrik bauen“, kichert er und schlurft in den Wald davon.

    Kurz darauf, bei einer feucht-fröhlichen Party in Nehammers Hotelzimmer, wird der Deal fixiert. „Einmal hier ein Autogramm bitte“, lächelt Sauron. Mordor liefert Österreich eine Schiffsladung Flüssiggas – im Gegenzug verpflichtet sich die Regierung in Wien, den von Mordor vor Jahren ins Exil vertriebenen Wolfgang Sobotka weiterhin zu beherbergen.

    Heimreise

    Nehammer sitzt im Flugzeug zurück nach Wien. Gewessler hat ihren Aufenthalt verlängert. Sie will das harmonische Idyll Mordors noch einige Tage genießen, ehe sie in den Höllenschlund Österreich zurückkehren muss. Sie und ihr kohlebetriebener Privatjet sind nur noch kleine Punkte am Fuße einer Magmaspalte, als Nehammer aus dem Fenster blickt.

    Nach seiner Rückkehr berichtet Nehammer zufrieden von seiner erfolgreichen Reise. „Wir haben denen gezeigt, dass man sich mit Österreich nicht anlegt, ich habe dort Vollgas gegeben. Der Sauron war zunächst rot, dann blass, dann zittrig“, erklärt Nehammer stolz. Dann setzt er sich in den Zug nach Italien, wo er über eine Rückgabe von Triest verhandeln will, um einen Meereszugang zu erhalten. „Weil im Neusiedler See können wir das Gas nicht entgegennehmen, haha.“

    #Autriche #Mordor #politique #satire #seigneur_des_anneaux

  • Nach Waffendeal mit irrem US-Diktator : Prinz Salman in Saudi-Arabien unter Druck
    https://dietagespresse.com/waffendeal-irrem-diktator-prinz-salman-saudi-arabien

    Geht der Thronfolger zu weit? Nach seinem Festhalten am Waffendeal mit dem verbrecherischen Regime von US-Herrscher Donald Trump steht Kronprinz Mohammed bin Salman in Saudi-Arabien unter Druck. Viele Familienmitglieder bezichtigen ihn, für moderne Waffen saudi-arabische Werte zu verraten.

    RIAD – „Prinz Salman zerschneidet moralische Prinzipien mit einer Knochensäge und löst sie in Säure auf“, kritisiert ein Cousin des Prinzen im staatlichen TV-Sender. „Die USA unterdrücken die freie Presse, stürzen Regierungen und mischen sich in Kriege ein. Mit diesem autoritären Polizeistaat dürfen wir keinen Handel treiben.“

    Die Nerven scheinen blank zu liegen. „Ich hätte nie gedacht, zu erleben, dass Saudi Arabien im Nebenjob als PR-Firma für den imperialistischen Kriegstreiber USA arbeitet“, schreibt ein empörter Politiker aus Saudi Arabien auf Twitter.
    Rechtfertigungen

    Trotz aller Kritik rechtfertigt Prinz Salman den Deal: „Wir brauchen die Waffen, um unser humanitäres Engagement im Jemen fortzusetzen. Hat Trump Frauen in den Schritt gefasst? Vielleicht, vielleicht auch nicht. Ich weiß es nicht.“ Damit widerspricht Salman jedoch seinem eigenen Geheimdienst, der sogar über eine Tonband-Aufnahme verfügen soll, in der Trump mit seinen sexuellen Übergriffen prahlt.

    Hinter den Kulissen sieht Saudi Arabien die Machtübernahme durch Trump allerdings schon länger mit Sorge. Bei einem Treffen mit seinen engsten Regierungsmitarbeitern und Verwandten erklärte Prinz Salman unlängst: „Ein reicher Familienclan an der Staatsspitze, der sich die Macht nach Belieben aufteilt? So etwas könnte den Westen destabilisieren!“

    Les commentaires

    Jared Kushner
    21. November 2018 14:16

    Das darf nicht sein, solche Geschichten zu veröffentlichen. Das ist doch alles nur erlogen und erstunken. Ein wahrer Bewahrer des einzig wahren Glaubens würde niemals mit diesen Ungläubigen auch nur einen Deal andenken. Da muss etwas ganz anderes dahinterstecken! Das ist sicher eine Verleumdung oder Verschwörung, hervorgerufen durch diesen unsäglichen Einsatz der Chemtrails. Atmen Sie besser die richtigen Quellen.
    17
    Antworten
    Luschenbuschen
    Reply to Jared Kushner
    22. November 2018 11:11

    Und vergessen Sie niemals, sich Ihren Aluminiumfolienhut aufzusetzen!
    8
    Antworten
    Förder’ die Mörder!
    22. November 2018 19:45

    4
    Antworten
    Ist ja auch ein Motto der ÖVP.
    Reply to Förder’ die Mörder!
    22. November 2018 20:28

    Der geht ja auch das dreckige Geschäft über Natur und Gesundheit und Glück.
    Arbeitet ihr Ösisklaven, hehe!
    2
    Antworten
    Nestbenutzer
    21. November 2018 14:55

    Da hat er ja noch Glück, dass er nicht in Österreich einkauft!
    4
    Antworten
    Was könnt er im Kleingeistreich kaufen,
    Reply to Nestbenutzer
    22. November 2018 20:26

    das die Staaten nicht selbst hätten?
    Ihr seid wohl ein geisteskrankes Volk,
    zu glauben, ihr würdet irgend etwas haben,
    das andere nicht haben, hehe, dumm bleibt
    dumm und wird täglich dümmer.
    –6
    Antworten
    Hans Clarin
    Reply to Was könnt er im Kleingeistreich kaufen,
    23. November 2018 17:14

    Ein sehr unwichtiges, dafür aber sehr eingebildetes, dummes Volk.
    Sieht man an den Klicks!
    0
    Antworten
    Daumenmalpi
    Reply to Hans Clarin
    4. Januar 2019 09:48

    Findest du es nicht eingebildet und arrogant alle Menschen eines „Volkes“ in einen Topf zu werfen. Denkt mal nach ihr Nationalisten bevor ihr so einen Scheiß vazapfts!
    0
    Antworten
    Hans
    Reply to Hans Clarin
    23. November 2018 17:15

    Zumindest sehr viel dümmer als diese Amis.
    Sehr viel dümmer!
    1
    Antworten
    Mörder
    28. November 2018 16:26

    »Es lebe die Freiheit!«
    Weshalb das SAUdi-Regime
    westlich wird.
    1
    Antworten
    Wirtschaftsverbrecher: frei;
    Reply to Mörder
    29. November 2018 18:00

    Mörder: frei.
    0
    Antworten

    #Prinz_Knochensäge #satire

  • Jacques Tati | INA
    https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/cpf86642783/jacques-tati

    Interview de Jacques TATI (dans un jardin, assis) à propos de « Mon Oncle » : ses personnages, HULOT, les ARPEL, famille « moderne » dont le fils s’ennuie. Il trouve qu’on a moins de contacts dans cet univers standardisé, que c’est grave de voir détruire de vieux immeubles à Paris. Il ne se prend pas très au sérieux, mais il pense qu’il y a autre chose que l’effet comique dans ce film.

    Jacques Tati « Play Time »
    https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/i00004020/jacques-tati-play-time

    Sur des images du décor de « Play Time » que l’on démonte, Jacques TATI explique à Charles CHABOUD, qu’il aurait aimé que ce décor serve aux jeunes réalisateurs plutôt que d’être démonté. Son travail est d’apporter de la fantaisie, de l’humour et non pas de critiquer l’architecture moderne. Il réagit aux critiques qui lui sont souvent faites sur le côut de ses films et le temps qu’il met à les tourner : « la défense du cinéma c’est la défense des auteurs qui prennent des risques et qui peuvent se tromper. » Il dit faire passer le cinéma avant sa vie privée et critique ceux qui signent des films pour pouvoir changer de voiture. Il explique sa conception du comique et son désir de faire sortir de l’oubli les « petits personnages ». Nombreuses images de Jacques TATI pendant le tournage de « Play Time », mimant des personnages.

    #Jacques_Tati #Mon_oncle #Playtime #comique #satire #cinéma

  • Women Declare Themselves Corporations to Force Supreme Court to Grant Them Rights as People | The New Yorker
    https://www.newyorker.com/humor/borowitz-report/women-declare-themselves-corporations-to-force-supreme-court-to-grant-the

    “The Supreme Court decided in 2010 that corporations are people, so all we want is to be treated like corporations, ” Carol Foyler, who now goes by the corporate name FoylerCo L.L.C., said.

    The decision by millions of women to incorporate sent shock waves through the Court’s conservative majority, who reportedly scoured the Constitution in vain for a means to circumvent the ingenious tactic.

    Even the normally taciturn Clarence Thomas was moved to issue a rare public statement. “It’s a sad day in America when the nation’s highest court is forced to treat women like people,” he wrote.

    #satire #états-unis

  • Die #Anstalt vom 1. Februar 2022
    –->45min cabaret about Frontex

    Beim „Schnuppertag Grenzmanagement“ in der Frontex-Zentrale lernt das Anstaltsensemble, wie man zweifelhafte Machenschaften ins rechte Licht rückt.

    Including 40 pages PDF with reference for every statement:
    „Der Faktencheck zur Sendung vom 1. Februar 2022“

    https://www.zdf.de/comedy/die-anstalt/die-anstalt-vom-1-februar-2022-100.html

    Quote [gendered]:
    „Wie macht mensch denn eine Sache die erfolgreich ist effektiver indem mensch sie reduziert?“
    [...]
    Ich weiß was Sie jetzt sagen wollen: jaja die EU fährt mit ihren Schiffen an der Seenotrettung vorbei und Frontex fliegt mit seinen Flugezeugen oben drüber"
    „Und liege ich damit daneben?“
    [...]
    „Hören Sie, ich glaube Sie haben immer noch eine veraltete Vorstellung davon das Seenotrettung Menschen aus Seenot rettet“
    "Ja gut, aber ich bin ja auch kein Profi"
    „Vermehrte Seenotrettung führt dazu das sich Menschen vermehrt in Seenot begeben. Wissenschaftlich nennt mensch das den Pull-Faktor“
    "Aber das die Wissenschaftler*innen für diese These noch gar keinen Beleg haben, das stört sie nicht oder wie?"
    „Nein, wieso?“
    [...]
    „Um die Zahl der Ertrinkenden zu reduzieren muss Mensch also die*den Badermeister*in abschaffen?“

    #Frontex #cabaret #video #EU #border #migration

    ping @cdb_77

  • #Kaliarda

    Kaliarda retrace l’histoire d’un langage argotique secret inventé par des travailleureuses du sexe grecques. Utilisée comme un moyen de protection, cette langue a été réappropriée par les femmes trans et les homos pendant les années d’extrême répression.

    http://www.film-documentaire.fr/4DACTION/w_fiche_film/63458_1
    #film #film_documentaire #documentaire
    #langue #grec #code_secret #Grèce #communauté_LGBT #LGBT #prostitution #kaliarda #satire #humour

  • Une fresque « sexiste » dans la cantine de l’internat de Purpan, le CHU en ordonne le retrait
    "Une fresque géante à connotation sexuelle recouvre l’intégralité d’un mur du réfectoire de l’internat de Purpan à Toulouse. Association et syndicat demandaient son retrait à la direction du CHU, la jugeant « sexiste » et « humiliante ». Ce lundi soir, le CHU a ordonné que cette toile soit enlevée. (...)"

    https://www.francebleu.fr/infos/societe/une-fresque-sexiste-dans-la-cantine-de-l-internat-de-purpan-association-e

    #art #humour #peinture #parodie #féminisme #hôpitaux #France #Toulouse #sexisme #pornographie #satire #société #santé #vangauguin