Arf !
The other grey places tend to be so either because they are closed off — North Korea by choice, Somalia by violence — or because their unusual status makes data collection too politically awkward for international organizations.
#Guyane !!!
Lutter au Sahara
▻http://survie.org/billets-d-afrique/2015/247-juin-2015/article/lutter-au-sahara-4967
Sous la direction de Denis Vericel et APSO. ISBN 978-2-9552413-0-1 ; 290 p. 15€. Cet ouvrage qui réunit une quinzaine de contributions, de juristes, d’anthropologues, de journalistes, de professeurs, d’anciens représentants et fonctionnaires de l’ONU, fait le tour de la question du #Sahara_Occidental sous ses divers aspects, historique, géographique, ethnique, démographique, culturel et politique. Il vient combler un vide singulier. Le Sahara Occidental est en effet un trou noir de l’information. (...)
#Photographie. Ces #soldats jouets bien réels
Photographiées par #Simon_Brann_Thorpe, les troupes du #Front_Polisario, qui disputent le contrôle du #Sahara-Occidental au Maroc depuis 1975, ressemblent à s’y méprendre à des #figurines.
#Sahara_occidental : Parlement européen / Strasbourg exige le recensement des populations des camps de Tindouf ) :.
▻http://www.lopinion.ma/def.asp?codelangue=23&id_info=45746&date_ar=2015-5-1+17:3:00
Via Pierre Ageron sur Twitter
Sahara : Parlement européen / Strasbourg exige le recensement des populations des camps de Tindouf
Le Parlement européen, réuni en plénière à Strasbourg, a appelé, mercredi, à une réévaluation de l’aide de l’Union et son adaptation aux besoins réels des camps de Tindouf, ainsi qu’au recensement des populations des camps, mettant ainsi fin aux supercheries de l’Algérie et ses protégés du Polisario, démasqués par le rapport d’enquête de l’Office européen de la lutte anti-fraude (OLAF) qui a révélé des détournements massifs et organisés de l’aide humanitaire internationale aux détriments des populations séquestrées.
Sahara Occidental : quel scénario après Gdeim Izik ?
par Carmen Gómez Martín
▻http://anneemaghreb.revues.org/1490
À l’automne 2010, comme prélude aux protestations populaires du Maghreb et du Machrek, les Sahraouis accomplissent une action totalement inattendue : ils dressent le campement pacifique de Gdeim Izik afin de dénoncer leur situation sur les plans politique, économique et social au sein des territoires occupés par le Maroc au Sahara occidental. L’objectif de ce texte est de détailler le déroulement des protestations de Gdeim Izik et de fournir les éléments nécessaires à la compréhension des effets que cet événement a eu à court terme au sein des territoires occupés et dans les camps de réfugiés sahraouis à Tindouf (Algérie). Ces effets se matérialisent dans la revitalisation du conflit par de nouvelles formes de protestation (l’établissement de campements en dehors des centres urbains), dans l’irruption de nouveaux acteurs dans l’espace de contestation sahraoui (notamment des jeunes chômeurs et des activistes des droits de l’Homme), dans la transition d’actions pacifiques vers des réactions plus radicales et violentes, ou encore dans la montée des tensions entre les différentes populations qui cohabitent dans la région.
Espagne : un juge propose le renvoi devant un tribunal de responsables marocains pour génocide au Sahara
▻http://www.lemonde.fr/afrique/article/2015/04/09/espagne-un-juge-propose-le-renvoi-devant-un-tribunal-de-responsables-marocai
Un juge espagnol a proposé, jeudi 9 avril, le renvoi devant un tribunal de onze fonctionnaires, policiers et militaires marocains pour génocide et assassinats entre 1975 et 1991 au Sahara occidental, ancienne colonie espagnole, annexée par Rabat en 1975.
Le magistrat de l’Audience nationale, spécialisée dans les affaires complexes, estime qu’ils peuvent être jugés dans un arrêt notifiant la fin de son enquête et qui peut encore faire l’objet d’un recours. L’arrêt a été rendu à la demande du parquet, qui soutient ce renvoi, selon une source judiciaire. Selon le magistrat, il « existe des indices rationnels » permettant de juger les onze inculpés pour « génocide » en lien avec des « assassinats », des « détentions arbitraites » et des « actes de torture ».
Le juge par ailleurs a lancé un mandat d’arrêt pour sept suspects déjà mis en examen et a délivré quatre commissions rogatoires pour quatre autres personnes, afin que les poursuites leur soient notifiées, car elles n’étaient pas visées jusque-là.
#Sahara_occidental : #mémoires, #culture, #histoires
Le présent numéro des Cahiers d’EMAM constitue un numéro thématique bilingue consacré au Sahara occidental. Il réunit les résultats d’un projet de recherche triennale (2008-2011) mené dans le cadre d’un financement du ministère espagnol de la Science et de l’Éducation et coordonné par l’Université autonome de Madrid. Les textes sont organisés selon trois parties : la première partie offre un aperçu de la réalité socio-historique du peuple #sahraoui ; la deuxième partie se compose de textes qui se focalisent notamment sur une approche d’économie politique du colonialisme espagnol alors que les articles de la troisième et dernière partie portent sur la manière dont s’est construite – et se construit toujours – l’histoire du Sahara occidental et les mémoires du peuple sahraoui. Les textes rassemblés offrent donc un ensemble de réflexions critiques, historiques et sociales assez variées, permettant au lecteur de prendre conscience de plusieurs scénarios interprétatifs au sujet de l’histoire de la société saharienne et du peuple sahraoui.
L’implantation du groupe suisse #Glencore au #Sahara_occidental crée le débat
Glencore a signé son contrat avec le #Maroc, alors que la communauté internationale ne reconnaît pas la souveraineté du royaume sur le Sahara occidental.
▻http://www.rts.ch/play/tv/le-19h30/video/limplantation-du-groupe-suisse-glencore-au-sahara-occidental-cree-le-debat?id=65
#pétrole #agriculture #globalisation #matières_premières
France-Maroc : un arrangement à l’amiable sur le dos des victimes de #Torture
▻http://survie.org/billets-d-afrique/2015/244-mars-2015/article/france-maroc-un-arrangement-a-l-4905
Le #Maroc a obtenu une garantie d’impunité en échange du rétablissement de ses relations judiciaires et sécuritaires avec la France. Le 31 janvier, les ministres de la Justice des deux pays annonçaient le « rétablissement immédiat de la coopération judiciaire et juridique », un peu moins d’un an après sa suspension par le Maroc. La crise entre les deux pays avait commencé quand des policiers étaient venus à la résidence de l’ambassadeur du Maroc en France pour notifier au chef du renseignement marocain une (...)
/ #Répression, #Salves, Maroc, Torture, Une, #Mohammed_VI, #Sahara_Occidental
▻http://www.maxisciences.com/sahara/comment-la-poussiere-du-sahara-fertilise-chaque-annee-les-forets-de-l-
Une nouvelle vidéo de la NASA dévoile comment la poussière du désert du Sahara est transportée chaque année par les vents et permet de fertiliser grâce à son phosphore les sols de la forêt amazonienne.
Ce phénomène naturel est connu des scientifiques depuis quelques temps. Toutefois, sa portée est restée jusqu’à présent de l’ordre de l’hypothèse. Une nouvelle étude menée par des chercheurs du NASA Goddard Space Flight Center, a finalement permis de quantifier la proportion exacte de poussière subsaharienne transportée annuellement. Une animation, réalisée pour l’occasion rapporte l’évolution de ces composés lors de leur voyage trans-atlantique. « Nous savons que la poussière est très importante à bien des égards. C’est une composante essentielle du système de la Terre. La poussière affecte le climat tout comme le changement climatique a une incidence sur la poussière », explique dans un communiqué Hongbin Yu, directeur des travaux de recherche.
Carte des lieux de détention arbitraire des #migrants arrêtés à #Nador #Maroc
Voici la carte montrant les lieux d’#enfermements illégaux où ont été dispersés les migrants subsahariens raflés dans le nord-est à côté de #Melilla, sans contrôle judiciaire et sans respect d’aucunes procédures légales...
#Maroc #détention_administrative #rétention #migration #asile #réfugiés #visualisation #cartographie
Si riche Sahara occidental, par Olivier Quarante (Le Monde diplomatique, mars 2014)
►http://www.monde-diplomatique.fr/2014/03/QUARANTE/50237
La question du Sahara occidental recouvre de plus en plus celle du développement économique du Maroc. Car les territoires que Rabat appelle « provinces du Sud » contribuent largement aux recettes d’exportation du royaume. Les partisans de l’indépendance contestent la légalité de cette exploitation.
Vice-président d’une association qui travaille sur la question des ressources naturelles au Sahara occidental, M. Mohamed Alisalem Bobeit, que l’on rencontre dans une maison d’El-Ayoun, parle calmement. Il a bien conscience de l’importance de PhosBoucraa pour le Maroc. Le site produit autour de 10 % des phosphates extraits par l’OCP et celui-ci prévoit de doubler sa production d’ici à 2020. « C’est le pillage de ressources qui appartiennent au peuple sahraoui », estime M. Bobeit. Il prend des risques à s’exprimer publiquement sur le sujet : M. Sid Ahmed Lamjayed, le président de l’association (illégale, puisque le Maroc ne reconnaît aucune association créée par des Sahraouis), a été arrêté le 25 décembre 2010, après le vaste mouvement de protestation de Gdeim Izik (7), et condamné à la prison à perpétuité par le tribunal militaire de Rabat.
À propos des interventions économiques de l’UE et de la France en particulier :
Peut-on parler de réels « bénéfices » ? En l’absence de données fiables sur le territoire, que le Maroc n’est pas contraint de fournir puisqu’il n’est pas considéré par l’ONU comme la « puissance administrante » (10), impossible de répondre de façon certaine. L’instrumentalisation de cette question pour servir la politique royale, en revanche, ne fait aucun doute. La définition en novembre 2013 d’un « nouveau modèle de développement des provinces du Sud » élaboré par le CESE avait pour but d’apporter la contribution de la « société civile » à la « réussite de l’initiative marocaine d’autonomie » (11). Depuis 2007, Mohammed VI présente celle-ci comme le contre-projet au référendum d’autodétermination demandé chaque année par l’ONU depuis 1991.
Dernier exemple en date : le 10 décembre 2013, la majorité du Parlement européen a validé le nouvel accord de pêche qui doit prolonger, entre 2014 et 2017, celui de 2007-2011. Cette fois encore, le Maroc comprend — sans même que cela soit mentionné dans le protocole — les eaux du Sahara occidental.
#extractivisme négation de l’#autodétermination par les affidés du #totalitarisme prolongement du #colonialisme
Le makhzen (le palais) fait tout pour accréditer l’idée que les Sahraouis profitent des richesses naturelles. L’OCP, par exemple, mènerait une politique sociale : « Tous les revenus nets de PhosBoucraa sont réinvestis dans la région et bénéficient à ses habitants », peut-on lire dans son rapport d’activité 2012. Sur le site minier, on a recruté pas moins de cinq cent trente jeunes Sahraouis après les événements de Gdeim Izik. Il s’agissait d’embaucher les enfants des retraités qui y travaillaient déjà à l’époque espagnole et qui n’étaient pas satisfaits de la retraite qu’ils touchaient. « Un accord a bien été trouvé, mais les jeunes ont été embauchés à un statut auquel plus personne n’est recruté, donc à un salaire moindre », regrette pourtant M. Eddia Sidi Ahmed Moussa, figure du syndicalisme local, secrétaire général de la Confédération syndicale des travailleurs sahraouis (interdite).
Autre levier : l’octroi de la carte de promotion nationale, une aide sociale équivalant à environ 150 euros mensuels, qui semble largement attribuée. Plusieurs récits recueillis sur place confortent l’idée que, s’agissant des Sahraouis, cette allocation permet d’acheter la paix sociale et de réguler l’agitation politique à travers la distribution de l’argent par des chefs de tribu. Les autorités peuvent aller jusqu’à retirer l’aide à une personne vue dans une manifestation prosahraouie.
Fruits d’une histoire relativement récente, près de 17 000 km de lignes frontalières traversent les espaces saharo-sahéliens. Cela équivaut – mis bout-à-bout – à plus de 40% de la circonférence de la terre. Si ces lignes ne sont pas des obstacles aux circulations humaines, elles demeurent le symbole de fortes démarcations politiques et institutionnelles, entre le Maroc et l’Algérie par exemple, mais aussi entre les espaces géopolitique du Maghreb et de l’Afrique subsaharienne.
L’OCDE a produit un atlas complet sur la région, il est absolument remarquable.
▻http://www.oecd.org/fr/csao/publications/un-atlas-du-sahara-sahel-9789264222335-fr.htm
Les manifestants algériens ne croient pas les autorités qui reculent sur le gaz de schiste.
▻http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article2405
Après une volte-face du président, qui n’a pas prise au sérieux, le chef du gouvernement algérien, Abdelmalek Sellal a intensifié la propagation de la nouvelle orientation énergétique algérienne. Il déclare, mercredi 21 janvier, un large recul sur l’ouverture imminente des premières exploitations de gaz de schiste. Soit, aucun chantier ne sera ouvert avant 2022, a-t-il précisé. En soutenant que les études pour déterminer les capacités de la nouvelle ressource énergétique prendront quatre ans. Et qu’aucune (...)
#associations,_mouvement,_vie_associative,_initiatives_citoyennes,_intérêt_commun,_communauté,_Etat,_institution
/ Terrorisme , islamisme , Al-Qaeda , politique , , #fait_divers,_société,_fléau,_délinquance,_religion,_perdition, Afrique, Monde Arabe, islam, Maghreb, Proche-Orient,, Maghreb, (...)
#Terrorisme_,islamisme,Al-Qaeda,politique, #Afrique,_Monde_Arabe,_islam,_Maghreb,_Proche-Orient, #Maghreb,_Algérie,_Tunisie,_Maroc,_Libye,_Africa,_population,_société
Manifestations contre l’exploitation du gaz de schiste en Algérie : Nord et Sud ensemble pour la survie de l’humanité.
Mobilisations : « D’In Salah à Paris…la peur a changé de camp ».
La vaillante In Salah a été visiblement l’écrasante opposition au projet d’extraction du gaz de schiste. Contrairement à la petite effervescence populaire dans les villes du Nord, les habitants du Sud ont manifesté pacifiquement en masse pendant 21 jours et ils continuent jusqu’à ce jour. Au fur et à mesure que leur nombre grandissait dans les rues, leurs voix semblaient être étouffées à la fois par les évènements internationaux et les diversions provoquées à cette occasion. Ils n’ont pas baissé les bras, ni la tête : ils nous ont offert une magnifique marche dans toute la ville digne d’une révolution de printemps. La peur a changé de camp.
▻https://liliamarsali.wordpress.com/2015/01/21/manifestations-contre-lexploitation-du-gaz-de-schiste-en-alg
#Algérie #gazdeshiste #lutte #InSalah #Sahara
A line in the sand: Fighting 40 years of exile in the desert of Western Sahara By Nicole Crowder
In November 2014 photojournalist Tomaso Clavarino began documenting the Western Sahara military bases and cadets in the SPLA who are fighting for Sahrawi independence in what he describes as one of the “world’s least reported crises.”
“The Polisario Front is now ready to take up arms again as the international community and the #UN mission #MINURSO [the United Nations Mission for the Referendum in Western Sahara] have been unable to solve the crisis in 40 years,” Clavarino says. “Sahrawis have been in exile since 1975, when it was annexed by Morocco, and since 1991 MINURSO has been working in Western Sahara to organize a ‘negotiated political solution’ for the independence of this region.”
Quatre journalistes français auraient été instrumentalisés par le Maroc - Arrêt sur images
▻http://www.arretsurimages.net/chroniques/2014-12-15/Quatre-journalistes-francais-auraient-ete-instrumentalises-par-le-Ma
Le service de renseignement et de contre-espionnage marocain a-t-il instrumentalisé (voire rétribué) plusieurs journalistes français afin d’influencer leurs analyses du royaume chérifien ? C’est ce qu’affirme, sur Twitter, un certain @chris_coleman24. Fin octobre, une première vérification des centaines de documents « confidentiels » qu’il avait divulgués m’avait amené à conclure qu’il s’agissait probablement d’une « intox’ », le twittos refusant de me permettre d’authentifier les documents. Ca l’a énervé, il a donc publié les documents originaux que... j’ai donc pu authentifier.
Les supporters de @chris_coleman24 -ainsi que les médias qui en causent- le présentent souvent comme un « Snowden marocain ». Problème : @chris_coleman24 n’est pas Edward Snowden. Snowden a fait son « coming out » pour expliquer et crédibiliser ses révélations, et décidé de confier à des journalistes le soin de décider de ce qui doit être rendu public, ou non. A contrario, @chris_coleman24 refuse de répondre aux journalistes (de peur, semble-t-il, d’être identifié, et parce qu’il les soupçonnerait de travailler pour les services de renseignement marocains).
Il avait ainsi refusé de répondre à mes nombreuses demandes d’accès aux documents originaux qu’il avait scannés ou copiés/collés dans des .pdf et des .docs qu’il avait lui-même créés (et donc manipulés), m’empêchant de facto de vérifier s’ils étaient authentiques, ou si les documents avaient été caviardés, voire fabriqués de toutes pièces.
Son refus de me répondre m’avait donc entraîné à conclure qu’il s’agissait probablement d’une intox’ voire d’une barbouzerie, d’autant que, si Snowden explique qu’il a révélé tous ces documents pour le bien de son pays (au nom du droit à la vie privée), @chris_coleman24, lui, n’hésite pas à rendre publics des documents ayant trait à la vie privée de personnalités marocaines, tout en semblant moins motivé par le fait de faire éclater la vérité que par le fait de déstabiliser le Maroc, comme en témoigne la conclusion de ma première enquête à son sujet :
Interrogé pour savoir pourquoi il balançait ainsi autant de documents, en vrac, sur Twitter (sous entendu plutôt que de les confier à un journaliste qui pourrait les valider, comme Edward Snowden), @chris_coleman24 m’a enfin répondu que son objectif était : « Tout simplement, fragiliser le Maroc notamment son appareil diplomatique car il faut s’attendre à des remaniements au sommet. »
C’est aussi à cela que l’on distingue un lanceur d’alertes d’un barbouze. Le premier veut faire éclater une vérité. Le second est, sinon en service commandé, tout du moins disposé à manipuler la vérité, voire créer de fausses preuves, et instiller le doute.
En réponse à cette première enquête, @chris_coleman24, énervé de découvrir que je l’assimilais à une « barbouze » au vu de son refus de me permettre d’authentifier les fichiers qu’il faisait fuiter, a mis en ligne un fichier comportant 58 courriels, dans leur format d’origine.
S’il est techniquement impossible d’authentifier une bonne partie d’entre eux, a contrario, les en-têtes d’une vingtaine de ces e-mails contiennent une signature cryptographique démontrant qu’ils sont authentiques, et qu’ils n’ont donc pas été modifiés ni caviardés, mais qu’ils sont bien tels que les ont reçus leurs destinataires, à l’époque.
Ma première enquête ayant été plusieurs fois citée par des médias en France et à l’étranger -dont France24-, @chris_coleman24 m’accuse aujourd’hui d’être « un imposteur, un menteur, un mercenaire de la plume, un salopard agissant également pour le compte du Makhzen » (terme qui désignait le gouvernement du sultan du Maroc -alors sous protectorat français- et qui sert depuis à désigner les aspects les plus traditionnels et vieillis du pays) « pour semer le doute sur l’authenticité des documents ».
A ceci près que s’il avait initialement mis en ligne les documents dans leurs formats d’origine, et/ou s’il avait accepté de répondre à mes nombreuses questions, ma première enquête aurait bien évidemment authentifié ses révélations... Confronté à son refus de communiquer avec les journalistes, et donc de me permettre de pouvoir authentifier les documents qu’il faisait fuiter, il m’était impossible d’authentifier ses révélations... j’en avais donc été réduit et poussé à conclure qu’il s’agissait d’une manip’, voire d’une intox’. A tort.
Afin de lutter contre le spam et l’hameçonnage, un certain nombre d’acteurs de l’Internet, dont Yahoo, ont en effet commencé à déployer, au milieu des années 2000, des mécanismes d’authentification fiable du nom de domaine de l’expéditeur d’un courrier électronique. La norme DKIM (pour DomainKeys Identified Mail) permet ainsi de créer une signature cryptographique du corps du message et d’une partie de ses en-têtes afin de pouvoir vérifier l’authenticité du domaine expéditeur et de garantir l’intégrité du message. Dit autrement : si la signature DKIM est valide, le mail est tel qu’il a été reçu par le destinataire à la date indiquée, et n’a pas depuis été manipulé.
Lorsque @chris_coleman24 a mis en ligne, en réponse à mon article, un dossier réunissant 58 .eml (un format de fichier de mails) évoquant les journalistes français, j’ai donc installé le plugin dkim_verifier dans le logiciel de mail Thunderbird, et ouverts les e-mails, un par un. Certains mails sont invérifiables, parce que non signés, ce qui est le cas de tous les mails envoyés par des adresses @gmail.com. Par contre, la quasi-totalité des mails envoyés par les adresses @yahoo.fr ont une signature « valide ».
Or, Ahmed Charaï, le rédacteur en chef de L’observateur du Maroc que @chris_coleman24 accuse d’être un agent d’influence du renseignement marocain, utilise précisément une adresse @yahoo.fr. Et Mourad Ghoul ("Si Morad" dans les mails), présenté par le twittos comme étant son interlocuteur, est effectivement « Directeur de Cabinet » de la Direction générale des études et de la documentation (DGED), le service de renseignement et de contre-espionnage marocain, dixit un fichier .pdf du Conseil de la communauté marocaine à l’étranger.
On notera enfin que Yassine Mansouri ("Sdi Yassine"), nommé à la tête de la DGED en 2005, et auquel nombre des e-mails de Charaï sont destinés, avait préalablement travaillé de 1987 à 1999 au ministère de l’Information et au ministère de l’Intérieur, puis dirigé l’Agence d’état Maghreb Arabe Presse (MAP), fonction qu’il a occupée jusqu’à sa nomination, en 2003, à la tête de la Direction générale des affaires intérieures (DGAI), l’un des services de renseignement marocains. Premier civil à prendre la direction de la DGED, le fait qu’il ait préalablement et aussi été un homme de média éclaire d’un autre jour cette affaire.
« Je suppose qu’il s’agit d’une erreur »
Un autre élément troublant m’avait initialement fait douter de l’authenticité des documents « leakés » par le twittos : dans un email envoyé au « Si Morad », Ahmed Charaï expliquait qu’il devait « remettre les piges » (d’un montant de 6000 €) aux journalistes français qui écrivaient dans ses journaux, laissant entendre que, non seulement ils étaient instrumentalisés par le renseignement marocain, mais également que ce dernier pouvait aussi contribuer à les rémunérer.
Quand je les avais contactés, Vincent Hervouet, journaliste à LCI et ancien président de l’association de la presse diplomatique française, José Garçon, une ancienne journaliste de Libération, Mireille Duteil et Dominique Lagarde, respectivement rédactrices en chef du Point et de L’Express à l’époque (elle sont aujourd’hui à la retraite), avaient vigoureusement nié avoir jamais été payés par Charaï, expliquant qu’ils écrivaient leurs billets gratuitement, pour rendre service à celui qu’ils présentaient comme un « copain ».
Pauvreté, développement et Sahara occidental : le Maroc se compte - afrique - RFI
▻http://www.rfi.fr/afrique/20140921-maroc-recensement-general-population-fin-ajustement-politiques-publique
▻http://scd.rfi.fr/sites/filesrfi/dynimagecache/0/740/4000/2260/1024/578/sites/images.rfi.fr/files/aef_image/5m_0_0.JPG
Le Maroc vient d’achever le recensement général de sa population. L’opération a duré 20 jours et a mobilisé des dizaines de milliers d’agents dans tout le pays. Une avalanche de données qui devraient être rendues publiques d’ici le mois de décembre. Objectif affiché : servir de base à l’ajustement des politiques publiques, en matière d’éducation, d’emploi, de santé, d’aménagement urbain, mais aussi produire ses propres chiffres concernant le développement du pays.
France Diplomatie sur Twitter : « Davantage de #transparence sur l’aide au #développement française avec la plateforme ▻http://t.co/dKZbHiZk4P #opendata ▻http://t.co/1TNEahqKUY »
▻https://twitter.com/francediplo/status/510802387737395200
Ce tweet marrant signalé par @fil qui remarque que les gens réagissent aux représentations cartographiques ("there is no such thing as an innocent map...". Ici il manque la frontière entre le Sahara occidental et le Maroc, frontière pourtant reconnue par l’ONU. Pourtant ce n’est pas du tout le sujet du tweet (qui annonce le projet de plateforme de transparence des aides françaises en Afrique).
Le ministère des affaires étrangères a donc effacé la frontière entre le Sahara occidental et le Maroc - sans doute pour ne pas froisser l’administration marocaine très chatouilleuse sur la question - Mais a figuré la nouvelle frontière du Sud Soudan de 2011 (alors que le du Sahara occidental est administré par le Maroc depuis le milieu des années 1970 !) et se paye même le luxe de représenter les limites de région disputée d’Abyei.
le MAF ne pourra pas dire, pour sa défense qu’il a « oublié » de représenter la frontière « disputée » entre le Sahara occidental (en attente de son référundum d’autodétermination depuis presque 40 ans) et le Maroc...
De toutes façons, faire semblant d’oublier la frontière du Sahara est un grand classique chez les éditeurs scolaires français qui vendent des livres au Maroc. Pour ne pas risquer la censure, ils l’effacent systématiquement de toutes les cartes où elle est présente !
Je ne parle même pas des journaux, c’est pire :) Il m’est arrivé de me plaindre à haute voix quand la frontière disparaissait de mes cartes. Une fois, on m’a répondu :
« Nous sommes tous des juifs sarahouis ».
#sahara_occidental #vison_cartographique #perception #manipulation #propagande
Perso, je n’ai jamais vu d’autres cartes...
@monolecte : tu veux dire « avec » la frontière en trait plein - qui est d’ailleurs la représentation oficielle de l’ONU ?
Oui...
Je n’aime pas l’idée qu’on puisse me fournir délibérément une représentation du monde faussée.
@monolecte - C’est pour cette raison que seenthis existe :)
Justement, ce n’est plus piati qui est utilisé, mais une copie boiteuse qui en a été extraite par je sais pas qui (je passe sur les détails de pourquoi c’est pas moi qui m’en suis occupé). Le fond de carte n’est plus l’original, toute la mise en page est bancale, la hiérarchie visuelle pfffuit, et les nouvelles pages ont été bricolées.
Sur le sujet des frontières, c’est plus délicat. On a corrigé rapidos dans OSM quand on a vu le tweet. En gros, c’est difficile de mettre tout le monde d’accord sur ce qui représente une frontière (et donc un pays) ou non. Et donc on essaie de viser le consensus en s’appuyant sur ▻http://en.wikipedia.org/wiki/ISO_3166-1 faute de mieux.
A noter donc que le ministère des Affaires étrangères n’est pour rien dans ce souci diplomatique, sinon par manque de conscience professionnelle pour en pas avoir checké avant de clamer l’ouverture du nouveau « site » sur tous les tweets.
Handmaiden to Africa’s Generals
By ALEX DE WAAL and ABDUL MOHAMMED
AUG. 15, 2014
▻http://www.nytimes.com/2014/08/16/opinion/handmaiden-to-africas-generals.html
Très bon article qui malheureusement et comme trop souvent et malgré des décennies de recul, présente les choses comme si les intentions des #Etats-Unis, bien que pavant le chemin de l’enfer, étaient bonnes. Sans compter l’énormité consistant à réclamer plus de rôle pour l’#USAID.
Because Mr. Obama is committed to scaling back the deployment of United States troops to combat terrorism, America’s security strategy in Africa translates largely into training and equipping African armies. Although this approach rightly gives African governments the lead in tackling their own security problems, it is misguided nonetheless. It is, in effect, providing foreign tutelage to the militarization of Africa’s politics, which undermines peace and democracy throughout the continent. America’s diplomacy is becoming a handmaiden to Africa’s generals.
Consider two countries riven by different kinds of conflict and ask yourself what they have in common. On the one hand, there is South Sudan. By African standards, it is not a poor country. It has vast oil resources, and as soon it became independent from Sudan, three years ago, government spending per capita was about $350, four times the average for East African states. It also received the most generous international aid package of any country in East Africa — the equivalent of another $100 per capita. But the government spent about half of its budget on its huge army. And many of its 745 generals proceeded to make fortunes thanks to payroll fraud and procurement scams.
According to President Salva Kiir of South Sudan, $4 billion in public funds were plundered by government ministers. When Mr. Kiir shut out his political rivals from the club of kleptocrats, fighting broke out. Various commanders and party bosses then mobilized supporters through ethnic militias, bringing a sectarian dimension to a conflict that was inherently about the distribution of public resources.
Then there is #Nigeria. Its political leaders, generals and businessmen — who are often all those things at once — have grown wealthy on oil money, while much of the population lives in deep poverty. Health and education services are inadequate, and the government faces widespread outrage about corruption. Small wonder that the Islamist militants of Boko Haram, who espouse austere forms of Shariah justice, are able to recruit disaffected young men and that the Nigerian army struggles to find combat-ready units to counter them.
One thing South Sudan and Nigeria have in common is systemic #corruption and a military #elite that controls politics and business. The civil strife in South Sudan and the jihadist insurgency in Nigeria are largely symptoms of those deeper governance problems. Another thing South Sudan and Nigeria have in common is vast American support. In 2006-2013, the United States government spent up to $300 million to support the South Sudanese army. Nigeria has long been one of Washington’s biggest defense-cooperation partners.
Even as conventional military threats have declined throughout Africa, overall military spending on the continent has grown faster than anywhere else in the world. And these military budgets often hide big black holes. In Uganda, according to local journalists, some funds officially dedicated to the salary of army personnel who turned out not to exist have been used by President Yoweri #Museveni to reward generals loyal to him.
When political crises occur, the American government’s response is to privilege military measures, and local governments know it. For example, the ongoing peace talks in South Sudan have focused more on dispatching Ethiopian, Kenyan and Rwandan troops under the auspices of the Intergovernmental Authority on Development, a regional organization, and less on addressing the root causes of the conflict. In the absence of a durable political solution to the underlying crisis, this is a high-risk move; it could suck the whole of northeast Africa into South Sudan’s war.
The overall approach violates the first principle of peacekeeping: Never send a peace mission where there is no peace to keep. The risks of getting embroiled are especially high when the troops deployed come from a neighboring country. What’s more, the very governments that propose to serve as mediators may have a conflict of interest: They stand to gain from dispatching their soldiers, especially if the mission is funded by contributions from United Nations members.
Counterterrorism assistance has a better track record reinforcing bad government than rooting out extremists. Repression by dictators like #Idriss_Déby in Chad or #Blaise_Compaoré in #Burkina_Faso has been tolerated because their governments have supplied combat troops for operations against jihadists in the #Sahara. Meanwhile, #Kenya has experienced more terrorist attacks since its army moved into Somalia in 2011 to fight the radical Islamist group Al Shabab. After the attack on the Westgate Mall in Nairobi last year, Kenya’s army and police indiscriminately targeted Muslim communities — generating resentment among those groups and potentially more recruits for the militants.
Fifteen years ago, when African leaders set up their own peace and security system within what later became the African Union, they tried to balance diplomacy and armed enforcement. In case of a conflict, they would hold negotiations with all parties; sending in peacekeeping troops would only be a fallback option. But Western countries like the United States and France have tended to favor military approaches instead. During the civil war in Libya in 2011, a panel of five African presidents, established by the African Union and chaired by Jacob Zuma of South Africa, proposed letting Col. Muammar el-Qaddafi go into exile in an African country and then setting up an interim government. But the plan was spurned by NATO, which preferred regime change by way of foreign intervention.
The Obama administration is aware of the dangers of supporting armed forces in Africa. At the U.S.-Africa summit in Washington, Mr. Obama announced a new Security Governance Initiative to help professionalize six African militaries and promote their being subjected to civilian oversight. This is a step in the right direction, but it is a very small step. Only $65 million has been earmarked for that program, compared with $5 billion for counterterrorism cooperation.
Washington has the means to do much more. A single aircraft carrier has a crew as large as the entire American diplomatic service posted abroad. The cost of developing the fleet of F-35 stealth fighter planes could fund the State Department, the #U.S._Agency_for_International_Development and all United Nations peacekeeping operations for nearly 20 years. Security in Africa will not be achieved by giving more power and money to African military forces. It will be achieved by supporting diplomacy, democracy and development.
Alex de Waal is the executive director of the World Peace Foundation at Tufts University. Abdul Mohammed is the chairman of InterAfrica Group, an Ethiopian civil society organization.
#militarisation #Afrique #sécurité #diplomatie #développement #démocratie #Sud_Soudan #Ouganda #OTAN #France
Despite deaths, crackdown, Sahara migrant trail thrives
Niger’s government says it has ended large-scale migrant smuggling. Migrants, smugglers and officials tell a different story
▻http://www.reuters.com/article/2014/05/15/us-europe-immigration-niger-specialrepor-idUSBREA4E08W20140515
#Migration #Niger #Sahara #asile #migration #réfugiés
via @reka
Javier Bardem : « Rabat viole les droits de l’homme avec l’aval de Paris » | L’Humanité
▻http://www.humanite.fr/javier-bardem-rabat-viole-les-droits-de-lhomme-avec-laval-de-paris-523836
Le réalisateur Alvaro Longoria retrace dans "Enfants des nuages,
la dernière colonie", un documentaire produit par Javier Bardem, l’histoire du peuple sahraoui, participant activement à combattre l’injustice de son sort.
Ce premier documentaire du cinéaste espagnol Alvaro Longoria, auteur d’une filmographie riche de fictions et séries, s’ouvre sur un brasier, le soulèvement tunisien. Deux mois auparavant, des émeutes embrasaient le peuple sahraoui, ces « enfants des nuages », nomades cernés de mines. Images de dignité en marche soulignant par effet de contraste l’incessant déni des droits humains dont sont victimes les Sahraouis dans une insupportable ignorance médiatique. Invité, en 2008, du Festival international de cinéma du Sahara, à Dakhla, en Algérie, où survivent à grand-peine des milliers de réfugiés sahraouis, l’acteur Javier Bardem se fait ici le producteur d’un travail qui aura duré plus de quatre ans. Il n’use de sa notoriété qu’aux fins de parvenir à ce que cette cause crève l’écran, nous servant de guide dans le récit tout en menant une action militante aux plus hauts niveaux des instances internationales. La vedette s’efface derrière l’engagement. La belle stature humaine prend le pas. Alvaro Longoria retrace trente-sept ans d’un conflit meurtrier, alternant dans un montage acéré interventions de témoins et de diplomates, archives rares et insertions de séquences d’animations propices à la compréhension géopolitique. Le film est un plaidoyer.
Un article dans Le Monde
« Enfants de nuages, la dernière colonie » : le conflit oublié du Sahara occidental
▻http://www.lemonde.fr/culture/article/2014/04/29/enfants-de-nuages-la-derniere-colonie-le-conflit-oublie-du-sahara-occidental
Ce #documentaire ne nous est pas parvenu sans heurts. Sa sortie sur le territoire français est restée longtemps incertaine, en raison de son sujet #politique sulfureux : le sort du peuple sahraoui et son droit à l’autodétermination. Face à d’éventuelles frictions diplomatiques - qu’il n’a d’ailleurs pas manqué de susciter, la France étant directement mise en cause dans le film pour sa collusion avec le Maroc -, les distributeurs hypothétiques se sont montrés frileux.
Spain loses asylum seeker deportation battle
The European Court of Human Rights ruled on Tuesday that Spain could not go ahead with plans to deport 30 Sahrawi asylum seekers from the Western Sahara because Spanish authorities had failed to properly hear their claims.
▻http://www.thelocal.es/20140422/spain-loses-sahrawi-asylum-seeker-legal-battle
#migration #Espagne #renvoi #expulsion #CEDH #Cour_européenne_droits_homme #Sahara_occidental #Sahrawi #réfugiés #asile
Kerry au Maroc : quel impact sur la question du Sahara occidental ? - France - RFI
▻http://www.rfi.fr/afrique/20140404-kerry-maroc-quel-impact-question-sahara-occidental/?amp%3Bns_fee=0&%3Bns_linkname=lire-3&%3Bns_mchannel=newsletter&%3Bns_s
▻http://scd.rfi.fr/sites/filesrfi/dynimagecache/0/0/3500/1977/1024/578/sites/images.rfi.fr/files/aef_image/2014-04-03T092031Z_450826252_GM1EA431C3D01_RTRMADP_3_ALGERIA-KERRY_0.JPG
Après une visite en Algérie, le secrétaire d’Etat américain John Kerry est à Rabat ce vendredi 4 avril. Outre la coopération économique, la sécurité dans la sous-région devrait être encore au cœur des discussions. Cette mini-tournée pourrait être aussi l’occasion d’évoquer la question du Sahara occidental, sur laquelle Alger et Rabat sont en désaccord ouvert.
Que fait #Total au #Sahara_occidental ?
►http://multinationales.org/Que-fait-Total-au-Sahara
Au large du Sahara occidental - territoire occupé par le #Maroc depuis près de quarante ans -, Total et d’autres firmes internationales commencent à mener des activités de prospection pétrolière et gazière. Le tout dans des conditions très contestables du point de vue de la consultation des populations locales et du partage équitable des bénéfices éventuels avec celles-ci. Les militants de la cause sahraouie dénoncent depuis des années le rôle de l’entreprise française dans la remise en cause de la (...)
/ #Industries_extractives, Total, #Industries_extractives, Maroc, Sahara occidental, #Norvège, #Responsabilité_sociale_des_entreprises_et_investissement_éthique, #communautés_locales, investissement socialement responsable (ISR), #impact_social, #droits_humains, #droit_international, (...)
#investissement_socialement_responsable_ISR_ #éthique
« ▻http://bourse.lesechos.fr/infos-conseils-boursiers/infos-conseils-valeurs/infos/le-fonds-norvegien-verifie-l-ethique-de-total-au-sahara-occidental-9 »
« ►http://www.ipsnews.net/2014/03/u-s-oil-firm-creates-tension-western-sahara »
« ▻http://www.wsrw.org/a111x2652 »
« ►http://www.lemonde.fr/economie/article/2014/03/28/total-negocie-avec-lukoil-pour-exploiter-des-petroles-de-schiste-en-russie_4 »
« ►http://www.novethic.fr/novethic/isr_investissement_socialement_responsable,climat,le_fonds_norvegien_pourra »
« ►http://www.yabiladi.com/articles/details/23060/exploration-petroliere-sahara-maroc-assure.html »
« ►http://www.ohchr.org/Documents/HRBodies/HRCouncil/RegularSession/Session22/A-HRC-22-53-Add-2_en.pdf »
« ►http://in.reuters.com/article/2014/02/07/total-westernsahara-idINL5N0LC35Y20140207 »
« ►http://bigmenthemovie.com »