A nos amours, Maurice Pialat, 1983J’en attendais beaucoup. Seulement voilà... Je vois que Maurice essaie d’utiliser sa manière de diriger ses acteurs, de mettre en scène de la fiction qui serait un peu du documentaire. Ce qui faisait mouche dans
Passe ton bac d’abord et hissait le film au rang de démonstration réaliste sur la condition lycéenne tombe bien à plat. La manière de finir un film, comme ça d’un coup fonctionnait bien et nous collait un sacré vertige lorsqu’on constatait qu’on s’était finalement attaché aux personnages. Mais là pas du tout. Sandrine Bonnaire est insupportable et la situation de sa famille, glauque de chez glauque, nous met super mal à l’aise. Mais on a peur de penser que ce malaise vient du jeu d’acteur douteux. Je n’ai pas passé un bon moment.
Et ce titre... Il le sort d’où ? Le film ne raconte pas ça. Il faudrait un CSA pour les titres...
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