• L’OIM réaffirme l’importance de traiter les effets de la COVID-19 sur la santé mentale des populations déplacées et migrantes | Organisation internationale pour les migrations
    https://www.iom.int/fr/news/loim-reaffirme-limportance-de-traiter-les-effets-de-la-covid-19-sur-la-sante-me
    https://www.iom.int/sites/default/files/styles/highlights/public/press_release/media/covid_mhpss_ecosoc_has_side_event_std.png?itok=CX3GE5tA

    « Le sentiment d’urgence fait souvent défaut en ce qui concerne la fourniture de soins de santé mentale et de soutien psychosocial dans les situations de crise », a déclaré le Directeur général de l’OIM, António Vitorino. « Pourtant, la santé mentale n’est pas un luxe, c’est la base de ce qui fait de nous des êtres humains. Elle permet à chacun d’entre nous, y compris les migrants et les personnes déplacées, d’apporter une contribution positive et active à nos sociétés et j’appelle tous les décideurs à veiller à ce que les actions en matière de santé mentale fassent partie d’une réponse de santé publique à la pandémie qui soit inclusive et accessible, offerte aux migrants quel que soit leur statut juridique ». La pandémie de COVID-19 affecte profondément le bien-être des personnes partout dans le monde, y compris les migrants, les demandeurs d’asile, les réfugiés et les déplacés internes. Ces personnes subissent de manière disproportionnée les effets de la pandémie en raison de l’affaiblissement de leurs structures de soutien social, de leurs perspectives socioéconomiques austères, de l’inégalité d’accès aux soins de santé et aux services sociaux, de la précarité de leur logement, de la fragilité de leurs conditions de vie et de travail, de leur vulnérabilité aux fausses informations et à la xénophobie, et des risques d’exploitation et de violence.

    #Covid-19#migrant#migration#sante#santementale#droit#santepublique#violence#systemesante#inegalite

  • Le COVID-19, la #surveillance numérique et le danger qu’ils représentent pour vos droits - Amnesty International Belgique
    https://www.amnesty.be/infos/blogs/blog-paroles-chercheurs-defenseurs-victimes/article/covid-surveillance-numerique-danger-representent-droits

    "L’histoire moderne nous a appris qu’il existait un réel danger que des mesures de surveillance se transforment en instruments permanents. Une fois que ces compétences et ces infrastructures sont en place, les gouvernements ont rarement la volonté politique suffisante pour les supprimer." — Permalien

    #covid19 #démocratie #santépublique

  • [Edit Il manque un point d’interrogation et les réfutations ultérieures, ndc] #SantéPublique : La #chloroquine, une piste pour lutter contre le SARS-CoV-2
    https://www.lemonde.fr/sciences/article/2020/03/17/la-chloroquine-une-piste-pour-lutter-contre-le-sars-cov-2_6033364_1650684.ht

    Une vingtaine d’essais cliniques sont en cours en Chine pour évaluer l’effet de cet antipaludéen sur le coronavirus. Les résultats préliminaires d’un essai français semblent probants, mais cette approche thérapeutique ne fait pas l’unanimité.

    La course aux traitements contre le nouveau coronavirus a remis sur le devant de la scène la chloroquine (Nivaquine), un antipaludéen commercialisé depuis soixante-dix ans. En Chine, près d’une vingtaine d’essais cliniques sont en cours pour explorer l’efficacité de cette molécule ou d’un analogue, l’hydroxychloroquine (Plaquenil), chez des patients infectés par le SARS-CoV-2, selon le registre chinois des essais cliniques.

    En France, une étude clinique vient d’être lancée par le professeur Didier Raoult, directeur de l’IHU Méditerranée Infection (Marseille). Evoqués lundi 16 mars dans une vidéo par ce dernier, les résultats préliminaires semblent spectaculaires : au bout de six jours de traitement par Plaquenil, 25 % seulement des patients seraient encore porteurs du virus, la proportion étant de 90 % chez ceux ne recevant pas le traitement. La charge virale à J + 6 serait encore plus basse chez les malades traités en plus par un antibiotique, l’azithromycine.
    Dans sa présentation, le professeur Raoult ne précise pas si ces résultats portent sur l’ensemble des 24 malades prévus dans le protocole, une publication scientifique est attendue.

    Mais, pour ce spécialiste des maladies infectieuses, membre du conseil scientifique sur le nouveau coronavirus qui vient d’être mis en place par le ministre de la santé, il y a suffisamment d’arguments pour utiliser dès maintenant ce traitement, très peu onéreux, chez des malades du Covid-19. « En Chine, en Iran, en Corée du Sud, en Arabie saoudite, l’hydroxychloroquine et la chloroquine font déjà partie des protocoles thérapeutiques, conseillés par des experts, pour certains de renommée mondiale. Il y a urgence à organiser de telles recommandations en France, et c’est ce que j’ai proposé aux autorités sanitaires », indique-t-il. D’autres équipes hospitalières françaises ont manifesté leur intérêt pour le protocole marseillais, qui est proposé, on ne sait pas à quelle échelle, à des patients hospitalisés, hors cadre d’étude clinique.

    De son côté, le gouvernement britannique a récemment inscrit sur la liste des médicaments interdits à l’exportation parallèle la chloroquine, l’hydroxychloroquine, et une combinaison d’antiviraux, pour parer aux besoins éventuels de patients britanniques atteints de Covid-19 et anticiper des ruptures de stock de ces produits.

    Des précautions en cas de grossesse
    Les spécialistes français sont cependant partagés sur l’efficacité antivirale de ces molécules et sur leur rapport bénéfice-risque. La question est notamment posée du risque d’intoxication à forte dose et d’une potentielle génotoxicité (effet délétère sur les gènes). Depuis 2018, en France, les RCP (résumé des caractéristiques du produit) de la chloroquine puis de l’hydroxychloroquine – toutes deux commercialisées par Sanofi – ont été modifiés. Ces documents officiels d’information stipulent désormais que les femmes et hommes en âge de procréer doivent utiliser une contraception efficace pendant le traitement et jusqu’à huit mois après son arrêt.

    La chloroquine ne doit pas être administrée pendant la grossesse, sauf en l’absence de thérapeutique plus sûre. Des précautions jugées excessives par des professionnels de santé, mais qui, après l’affaire de la Dépakine (responsable de malformations et de troubles du neurodéveloppement chez les enfants de femmes traitées avec cet antiépileptique pendant leur grossesse), ont de quoi interroger si la Nivaquine et le Plaquenil devaient être prescrits largement dans un contexte d’épidémie. Le point en cinq questions.

    Quelles sont les indications actuelles de ces médicaments ?
    Antipaludéen de synthèse mis au point dans les années 1930 en Allemagne, la chloroquine a été commercialisée en 1949. D’abord arme essentielle de prévention et de traitement du paludisme, son utilisation a décliné du fait du développement de résistances des plasmodiums et d’autres médicaments. Un arrêt de commercialisation de ce médicament, délivrable uniquement sur ordonnance, est désormais prévu en France. « Suite à la baisse de la demande, liée à la présence sur le marché d’autres options thérapeutiques, notre fournisseur a arrêté la production du principe actif », précise Sanofi.
    La chloroquine, et surtout l’hydroxychloroquine, ont aussi des indications dans des maladies auto-immunes comme le lupus et la polyarthrite rhumatoïde, et en prévention des lucites (allergies au soleil). « Le Plaquenil est aujourd’hui l’un des traitements de base du lupus systémique, maladie qui touche une personne sur 2 000 », explique la professeure Nathalie Costedoat-Chalumeau, interniste (hôpital Cochin, AP-HP).

    Que sait-on de leurs effets sur le SARS-CoV-2 ?
    Les rares publications scientifiques sur le sujet sont, pour l’instant, issues du premier pays touché chronologiquement par le virus : la Chine. Un premier article publié le 25 janvier dans la revue Cell Research fait état d’une grande efficacité in vitro de la chloroquine sur ces virus. Rapidement, des essais cliniques ont été lancés en Chine et des résultats préliminaires positifs portant sur une centaine de malades ont été annoncés lors d’une conférence de presse le 15 février, puis repris le 19 février dans une lettre au journal spécialisé BioScience Trends, sans données chiffrées.

    Fin février, Zhong Nanshan, scientifique de renom et principal conseiller médical du gouvernement chinois sur le sujet, a précisé, lors d’une conférence de presse, que le SARS-CoV-2 devenait indétectable en quatre jours chez les malades traités par chloroquine (alors que le temps moyen d’excrétion chez des patients dans d’autres études serait de l’ordre de douze, voire vingt jours). Face à ces données préliminaires, peu précises et non validées par les canaux habituels de la science, une partie du corps médical reste réservée.
    Louant le pragmatisme des Chinois, Didier Raoult a lancé un essai clinique, qui a reçu l’approbation d’un comité de protection des personnes (CPP) et de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM). Prévue chez 24 malades, l’étude évalue les effets de 600 mg/jour d’hydroxychloroquine pendant dix jours, sur la durée d’excrétion du virus et la sévérité de l’infection. Il s’agit d’un essai ouvert, l’évolution des malades inclus étant comparée à celle de patients pris en charge ailleurs et traités de façon symptomatique. « Je connais bien l’hydroxychloroquine, dont j’ai découvert l’efficacité dans deux pathologies dues à des bactéries intracellulaires, la maladie de Wipple et la fièvre Q, et j’ai une expérience sur 4 000 patients », souligne le professeur Raoult, qui plaide, dans ce contexte, pour un partage en temps réel des résultats.

    Sont-ils efficaces sur d’autres virus ?
    Dans un article de synthèse de deux pages (Antiviral Research, en ligne le 5 mars), Frank Touret et Xavier de Lamballerie (unité des virus émergents, université de Marseille) appellent la communauté scientifique à considérer les publications sur la chloroquine et le nouveau coronavirus à la lumière de précédentes expériences avec cette molécule comme antiviral.

    L’activité antivirale in vitro de la chloroquine a été identifiée dès la fin des années 1960, écrivent les deux chercheurs, en précisant que cette propriété, qui existe aussi avec l’hydroxychloroquine, concerne de nombreux virus différents, y compris le coronavirus du SRAS. Une efficacité contre une variété de virus (dont Zika, le virus grippal A H5N1) a été montrée chez des souris et d’autres modèles animaux. Mais, jusqu’ici, aucun essai clinique dans le cadre d’infection virale aiguë (chikungunya, dengue) ou chronique (HIV) n’a été couronné de succès, soulignent les deux chercheurs. « In vitro, la chloroquine a une activité antivirale directe. Elle empêche le cycle viral de s’effectuer normalement, en modifiant le pH, explique Xavier de Lamballerie. In vivo, c’est moins clair, l’action antivirale pourrait être plutôt indirecte, par des effets anti-inflammatoires, immunomodulateurs, comme avec la ribavirine. Je ne pense pas que l’activité antivirale de la chloroquine soit très puissante chez l’homme, mais l’immunomodulation qu’elle induit peut être intéressante à certaines phases d’une infection. »

    Par ailleurs, certains soulignent la capacité de la chloroquine à faciliter l’entrée du zinc dans les cellules ciblées par le coronavirus, ce qui permettrait à ce métal sous forme ionique d’entraver sa réplication. Face à cette hypothèse, Xavier de Lamballerie invite à la prudence.

    Ces médicaments sont-ils difficiles à manier ?
    La chloroquine, considérée comme un médicament à marge thérapeutique étroite, est « hautement toxique en cas de surdosage, particulièrement chez les enfants », écrit le réseau français des centres régionaux de pharmacovigilance (CRPV) sur son site, dans un texte daté du 5 mars. La gravité de l’intoxication aiguë « provient du caractère précoce et brutal de survenue des troubles cardio-vasculaires », souligne le réseau.

    « Chez l’adulte, la dose dangereuse est estimée à partir de 2 g de chloroquine en une prise » (une dose à comparer avec les 500 mg deux fois par jour recommandés dans le protocole chinois de traitement du Covid-19). « En l’état des connaissances actuelles, (…) la chloroquine ne présente pas une balance bénéfice-risque favorable dans la prise en charge des infections à coronavirus Covid-19, estime le réseau des CRPV. Ainsi, son utilisation dans cette indication doit donc être actuellement exclue, en dehors d’essais cliniques ou de prises en charge spécialisées. »

    La chloroquine est-elle à risque pour les femmes enceintes ?
    En 2018, Sanofi a demandé à l’ANSM une modification des informations concernant la chloroquine, les autorités japonaises ayant identifié en 2015-2016 un risque génotoxique (délétère sur les gènes) pour un médicament de la même famille, la primaquine.
    L’analyse conduite par l’Agence, à partir de données de la littérature et de celles fournies par le laboratoire, « a mis en évidence que la chloroquine est génotoxique, qu’il existe des incertitudes sur le risque cancérogène et qu’elle a un impact sur la fertilité et des effets tératogènes [malformations] et fœto-létaux chez le rat », indique l’ANSM. Compte tenu de ces éléments et « conformément aux recommandations européennes », précise-t-elle, l’Agence a demandé de faire figurer sur les notices et les RCP la nécessité pour les femmes et les hommes d’une contraception pendant le traitement par chloroquine et jusqu’à 8 mois après son arrêt. Il est aussi précisé que cette molécule ne doit pas être utilisée en cas de grossesse, sauf en absence d’alternatives plus sûres. Le RCP de l’hydroxychloroquine a été modifié dans le même sens.

    A la demande de l’ANSM, les laboratoires Sanofi sont en train de réaliser des études complémentaires pour mieux caractériser le risque génotoxique de ces deux molécules.
    « La génotoxicité peut concerner les cellules reproductrices, spermatozoïdes et ovocytes. A un certain niveau de risque, cela pose donc la question de l’obligation de contraception et d’une contre-indication pendant la grossesse, explique la docteure Sophie Gautier (CRPV de Lille), membre du groupe de travail « grossesse » de l’ANSM. En ce qui concerne le risque tératogène de la chloroquine, on ne peut pas l’exclure mais il n’y a pas de signal clinique. »

    En décalage avec ces mentions sur les RCP et les notices, le site Internet du centre de référence sur les agents tératogènes (CRAT), destiné aux médecins, écrit que, « dans le paludisme, l’utilisation de la chloroquine est possible, quel que soit le terme de la grossesse ». Dans les autres pathologies, « si la chloroquine est nécessaire à l’équilibre maternel, son utilisation est possible quel que soit le terme de la grossesse, à la dose efficace la plus faible possible ». Une discordance assumée par la docteure Elisabeth Elefant, responsable du CRAT, qui insiste sur les « très nombreuses et rassurantes » données chez les femmes enceintes exposées à la chloroquine.

    « Cette molécule a été très largement utilisée en Afrique pendant des décennies et il n’a pas été observé de malformations, précise-t-elle. Quant aux données de génotoxicité, ce sont des tests faits en premier lieu pour évaluer les risques cancérigènes et, de ce point de vue, nous n’avons pas d’inquiétude documentée pour la chloroquine. Enfin, s’agissant d’une potentielle atteinte des cellules reproductrices qui conduirait à des problèmes en cas de grossesse, on s’inspire des données des médicaments cancéreux comme le cyclophosphamide, mais ici c’est un risque théorique. »
    Face aux nouvelles préconisations, « ingérables et infondées », selon les termes de la docteure Elefant, surtout pour l’hydroxychloroquine (Plaquenil) – largement plus prescrite que la chloroquine pour des maladies inflammatoires –, la responsable du CRAT et des sociétés savantes de médecine interne de rhumatologie et de dermatologie ont plaidé en 2018 auprès de l’ANSM pour faire évoluer le dossier. « La France est le seul pays à demander une contraception jusqu’à huit mois après la fin du traitement, alors même que le Plaquenil fait l’objet d’un essai chez des femmes, en prévention des fausses couches à répétition », note encore Mme Elefant.

    Pour les prescripteurs, c’est surtout la perspective de contre-indication pendant la grossesse qui posait problème. « Je n’ai aucune arrière-pensée sur le rapport bénéfice-risque du Plaquenil dans le lupus. L’interdire pendant la grossesse, compte tenu des données rassurantes dont nous disposons, aurait été extrêmement problématique. Heureusement, en concertation avec l’ANSM, nous avons pu faire évoluer la mention sur la grossesse dans le RCP, avec des termes un peu plus positifs », souligne la médecin interniste Nathalie Costedoat-Chalumeau. En pratique, les médecins continuent à prescrire ce médicament chez les femmes enceintes qui en ont besoin. Quant à la contraception pendant le traitement et huit mois après, aucun des prescripteurs que nous avons interrogés ne l’exige.

    #soin #épidémie

  • Boost for sustainable healthcare,

    British Medical Journal, éditorial, 28 janvier

    Pour des soins de santé durables :
    S’attaquer au gaspillage, à la corruption et à la futilité en médecine

    ’Lors de la conférence sur la prévention des surdiagnostics qui s’est tenue à Sydney, en Australie, en décembre 2019, a été lancé un nouveau groupe, « Sustainable healthcare » (soins de santé durables).

    Le groupe aura le potentiel de rassembler les questions de futilité et de gaspillage dans le domaine de la biomédecine, de corruption dans la production et la gouvernance de la recherche biomédicale, d’exploitation des ressources planétaires et du changement climatique qui en résulte, des coûts croissants des soins de santé biotechnologiques dans le monde entier et de la menace que cela représente pour la couverture universelle des soins de santé. Il s’agit d’un énorme programme de questions interconnectées qui s’exacerbent les unes les autres dans une série de cercles de plus en plus vicieux.

    Le BMJ fait partie du nombre croissant de revues, d’organisations, de chercheurs, de cliniciens, de patients et de citoyens qui attirent l’attention sur les problèmes posés par un excès de médecine : dépistage, tests, diagnostics et traitements excessifs. La médecine moderne a été une force puissante pour le bien, et de nombreuses personnes doivent leur vie à ce pouvoir. Cependant, en raison du respect partagé de l’humanité pour ce succès, combiné aux récompenses financières croissantes de l’industrialisation des soins de santé, presque tout le monde a été lent à reconnaître que la médecine a également un grand pouvoir de nuisance’...

    #santé #santépublique

    www.bmj.com/content/368/bmj.m284 ?utm_source=twitter&utm_medium=social&utm_term=hootsuite&utm_content=sme&utm_campaign=usage

  • Produire des médicaments efficaces et au juste prix ... en se passant de Big Pharma - Observatoire des multinationales
    http://multinationales.org/Produire-des-medicaments-efficaces-et-au-juste-prix-en-se-passant-d

    Après avoir mis en lumière les stratégies d’influence et les profits mirifiques dégagés par les labos pharmaceutiques sur le dos de la sécurité sociale, le dernier volet des « Pharma Papers » montre que des alternatives existent. Médicaments autoproduits par les pharmaciens ou les hôpitaux, remèdes développés en s’inspirant du modèle du commerce équitable, alliance entre gouvernements pour négocier ensemble avec l’industrie, priorité aux génériques... Reportage aux Pays-Bas, un pays qui fait figure de pionnier dans ce domaine. — Permalink

    #bigpharma #santépublique

  • Médor : : Santé : 600% d’augmentation pour les conventions secrètes de l’industrie pharma
    https://medor.coop/fr/article/sante-600-daugmentation-pour-les-conventions-secretes-de-lindustrie-pharma

    Une branche des soins de santé dont le budget est multiplié par six, est-ce possible  ? Opacité d’un système, coût de plus en plus élevé et interrogations sur les produits remboursés, la procédure «  article 81  » mériterait une réforme. Comme le constatait le rapport du Centre d’expertise fédéral (KCE) fin mai : «  Les bénéfices du système sont clairs pour le monde pharmaceutique, mais le sont de moins en moins pour les payeurs publics.  » — Permalink

    #belgique #bigpharma #santépublique

  • Le #tabac continue d’asphyxier la machine européenne
    https://www.latribune.fr/opinions/tribunes/le-tabac-continue-d-asphyxier-la-machine-europeenne-768694.html

    La Commission européenne laisse l’industrie du tabac contrôler la traçabilité des cigarettes. Plutôt fâcheux car « Big Tobacco » ne se prive pas d’alimenter le commerce illicite et que la législation internationale exige l’indépendance des contrôles. Un eurodéputé français part en guerre contre la directive tabac. — Permalink

    #europe #santépublique

  • Cigarette électronique, arrêtez de publier n’importe quoi. : Liberté et Démocratie
    http://aristosmarcou.blog.tdg.ch/apps/m/archive/2018/01/31/cigarette-electronique-arretez-de-publier-n-importe-quoi-2893

    En France, la #vape est interdite partout où les cigarettes sont interdites au prétexte que cela peut inciter les fumeurs à fumer… Il est heureux que Pernault Ricard n’ait pas le poids de Philippe Morris, sans quoi, boire de l’eau serait prohibé au prétexte que cela peut donner envie à un alcoolique de boire de l’alcool… — Permalink

    #désinformation #santépublique

    • J’aimerais finir en rappelant quelque chose, Vape n’est sans doute pas très bon pour la santé. On peut se demander si l’être humain est fait pour avoir de la vapeur grasse dans les poumons. Donc si vous ne fumez pas, ne vous mettez pas à la Vape. Si vous êtes enceinte, ne vous mettez pas la vape, etc etc… Les seuls à qui je recommande de s’y mettre, c’est les fumeurs de bonnes vieilles clopes puantes. Et si possible, juste le temps d’arrêter.

      Il ne faudrait pas non plus dire que la cigarette électronique est toute rose donc :) Les voisins de tablée n’apprécient pas forcément non plus les odeurs de vapotage… bien que ces odeurs sont fortement heureusement moins agressives que celle d’une cigarette classique.

      Perso, ça me convient très bien que les lieux d’interdiction restent les mêmes (mais je ne suis pas fumeur !). Vu le temps qu’il a fallu pour exclure la cigarette des lieux publics alors que les dangers pour les autres étaient démontrés… autant s’éviter de futurs problèmes.

  • Cigarette électronique : le harcèlement scientifique continue !
    https://www.franceinter.fr/emissions/sante-polemique/sante-polemique-01-fevrier-2018

    "On pourrait aussi publier des études montrant que la bière sans alcool contient du sucre, que le sucre peut rendre le foie plus gras, et que le foie gras peut conduire à la cirrhose ! Une telle mise en garde ne serait heureusement pas prise au sérieux (même s’il vaut mieux boire de l’eau). Et nos chercheurs de ressortir à propos de la ecigarette des arguments eux aussi transposables à l’alcoolisme “Des études montrent que certains jeunes qui boivent des jus de fruits ou de la bière sans alcool finissent pas consommer des boissons alcoolisées” sur l’air de "l’un conduit à l’autre". Et bien non, il n’existe aucune preuve que la ecigarette favorise la consommation ultérieure de #tabac.

    Et donc, non, on ne peut peut pas comparer la toxicité toujours hypothétique et au pire quasi négligeable (...)

    #désinformation #santépublique #vape

  • #tabac & dictature : Nouveau dérapage totalitaire de l’OMS ~ Vapolitique
    http://vapolitique.blogspot.com/2017/10/tabac-dictature-nouveau-derapage.html

    "En plus de l’autoritarisme violent, être lié d’intérêt avec la production de tabac brut semble presque devenu un critère pour influer sur les recommandations de l’OMS. Vera daCosta, brésilienne à la tête du bureau anti-tabac, l’influence de l’Inde lors de la dernière convention sur son territoire, la Thaïlande prise en exemple à suivre... L’arrivée du Zimbabwe dans le domaine lié des maladies non-transmissibles pourrait presque passer pour logique dans ce monde orwellien qu’est devenu l’OMS. Les violations brutales des droits humains écrasés au nom d’un culte d’une bonne santé réduite à l’abstinence et l’obéissance à l’ordre paraissent acquises dans la matrice de l’organisme onusien." "Harry Shapiro rappelle cette semaine que, dans les années 1990’, l’OMS interdisait déjà à ces (...)

    #drogues #oms #santépublique

  • grONDES : Appel de Scientifiques pour un moratoire sur la 5G
    http://www.grondes.be/2017/09/appel-de-scientifiques-pour-un.html

    Plus de 180 scientifiques et médecins de 37 pays demandent un moratoire sur le déploiement de la 5G jusqu’à ce que des études d’impact sanitaires et environnementales sérieuses et indépendantes soient réalisées préalablement à toute mise sur le marché.

    Peut-être qu’il faudrait prendre le temps d’écouter leurs arguments...? — Permalink

    #santépublique #technologie

  • Prévention du tabagisme, la #vape pourrait-elle être un outil
    http://www.vapyou.com/prevention-cigarette-vape-outil

    Si la plupart des bien pensants semblent se satisfaire de coercition et de leçons de morale, peut-être serait-il temps de passer des obligations de moyens aux obligations de résultats. Pour les responsables de la santé publique, il s’agit donc de changer de logiciel. Certes, c’est moins simple que le petit confort « d’avoir fait les choses ». Il faut prendre quelques risques, repousser les fantasmes et idées reçues, innover. Il est temps d’agir autrement, d’autant que les gouvernements successifs ne se sont jamais décidé à faire appliquer l’interdiction de vente au mineurs chez les buralistes. Pourtant raison « évidente » mais qui n’a d’ailleurs précautionneusement pas été abordée dans le communiqué du premier ministre. Lobby quand tu nous tiens… Oui, il y a de nouvelles pistes pour tenter de détourner les (...)

    #cigarette #santépublique

    • Excellent !
      Lire absolument ce qui concerne le port du casque pour les cycliste, afin de les décourager de prendre leur vélo.
      En Belgique, l’IBSR, en France la sois disant « prévention routière » (Lobby Volvo).

      Pour ce qui est d’être prévenu de l’arrivée d’une voiture derrière un vélo, rappelons que les rétroviseurs pour vélo existent, c’est quand même mieux qu’un casque connecté.

      Ceci dit ce blog ne parle pas des aménagements urbains hyper dangereux pour les cyclistes et les piétons.
      Plot en béton, en métal sur le bord des trottoirs, barres de fer fixés au sol, etc .
      N’oublions pas les pistes cyclables et caniveaux remplis de cailloux et de gravillons, jamais nettoyés.

    • Perso, j’emmerde les connards de droite qui ignorent que si le vélo a un peu droit de cite aujourd’hui, c’est aussi parce que des écolos gauchistes militent pour ça depuis... 40 ans ?

  • Les e-cigarettes représenteraient un danger majeur pour les jeunes, selon une étude - Forum - Radio - Play RTS
    http://www.rts.ch/play/radio/forum/audio/les-e-cigarettes-representeraient-un-danger-majeur-pour-les-jeunes-selon-une-etu

    Les cigarettes électroniques, prisées par de plus en plus d’adolescents et de jeunes adultes, seraient un danger majeur pour la santé publique. Interview de Jean-François Etter, spécialiste de la prévention du tabagisme à l’Université de Genève et fondateur du programme "stop tabac" en Suisse. — Permalink

    #santépublique #vape

  • E-cigarette : un rapport alarmant, très contesté - Sciencesetavenir.fr
    http://www.sciencesetavenir.fr/sante/e-cigarette-un-rapport-alarmant-tres-conteste_108784

    Un rapport du directeur de la Santé publique aux Etats-Unis qualifie la cigarette électronique de "danger majeur pour la santé publique", faisant bondir nombre d’experts qui voient dans ce dispositif un outil de réduction des risques du tabagisme. — Permalink

    #santépublique #vape

  • Surgeon General’s Report : ce que l’on ne dit pas dans la presse - Le blog de Jacques Le Houezec
    http://jlhamzer.over-blog.com/2016/12/surgeon-general-s-report-ce-que-l-on-ne-dit-pas-dans-la-presse.h

    Le rapport du Surgeon General, l’autorité américaine en termes de santé, vient juste d’être publié et fait les gros titres dans la presse mondiale. C’est son côté volontairement alarmiste qui en fait un sujet de choix pour les journalistes. Pourtant en y regardant de plus près, on voit très vite la supercherie consistant à diaboliser une fois de plus la nicotine et la #vape. — Permalink

    #désinformation #santépublique

  • Les liens entre l’ex-commissaire à la santé et Philip Morris se précisent – EurActiv.fr
    http://www.euractiv.fr/section/justice-affaires-interieures/news/links-of-ex-commissioner-dalli-to-philip-morris-exposed

    Alfred Mifsud, vice-gouverneur de la Banque centrale de Malte, a été payé par Philip Morris pour influencer John Dalli, ancien commissaire à la santé, notamment chargé de la législation encadrant le #tabac. En octobre 2012, le commissaire à la Santé John Dalli a été démis de ses fonctions par le président de la Commission de l’époque, José Manuel Barroso, après un scandale impliquant une firme suédoise de l’industrie du tabac. Il a toujours soutenu être innocent. De nouvelles informations révélées par la journaliste d’investigation Daphne Caruana Galizia sur son blog, Running Commentary, indiquent cependant que John Dalli a également été en contact, via un intermédiaire, avec le géant américain Philip Morris. — (...)

    #europe #lobby #santépublique

  • Les industriels tabacs en guerre contre le paquet neutre
    https://liens.effingo.be/?_ZsAGg

    Alors que le paquet neutre est promu par l’OMS (http://www.who.int/campaigns/no-tobacco-day/2016/fr) et que, chiffres à l’appui, cette mesure - accompagnée d’autres - fonctionne (elle permet de réduire sensiblement le nombre de nouveaux (jeunes) fumeurs), on voit l’industrie du #tabac sur la défensive. Regardez les deux liens suivants qui apparaissent en même temps que la journée sans tabac : ? Le premier, sous la forme d’une dépêche Belga (reprise par certains journaux - merci Le Soir), affirme que le paquet neutre serait couteux pour le trésor public, inefficace, encourageant la contrebande et surtout "que les belges n’en voudraient pas". Affirmations toutes faites, légitimées par un sondage Ipsos commandé et commenté par l’industrie du tabac elle-même... (...)

    #lobby #santépublique