• Actualité > Le premier maser fonctionnant à température ambiante
    http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/physique-1/d/le-premier-maser-fonctionnant-a-temperature-ambiante_40708

    Historiquement, les masers ont précédé les lasers. Pourtant, ils n’ont jamais connu les développements de leurs cousins devenus des outils de la vie quotidienne. Cela va peut-être changer car des chercheurs britanniques viennent de trouver le moyen d’obtenir un effet maser à…

    Source : Futura-Sciences

    #Maser #laser #revue_Nature #température_ambiante #Microwave_Amplification_by_Stimulated_Emission_of_Radiation #saphir #National_Physical_Laboratory #Townes #maser_hydrogène #ramsey #p-terphenyl #pentacène #horloge_atomique #tumeur #scanner #radiotélescope #intelligence_extraterrestre #Oxborrow #Seti #polymère #maser_à_température_ambiante #Gravity_Probe_A

  • Et si le problème de l’industrie c’était… l’Euro ? | RussEurope
    http://russeurope.hypotheses.org/472

    Et si le problème de l’industrie c’était… l’Euro ?
    13 novembre 2012

    Par Jacques Sapir

    Le débat engagé à la suite de la publication, la semaine dernière, du « Rapport Gallois » (rapport de Louis Gallois sur la competitivité) a contribué à porter la lumière sur la situation de l’industrie française. Deux récentes notes de l’INSEE, la première portant sur l’évolution de la production (INSEE-Industrie) et la seconde sur l’évolution des investissements dans l’industrie (INSEE-Invest), confirment que la situation s’est largement dégradée et qu’elle continuera à le faire dans un avenir prévisible. La montée actuelle du chômage en témoigne. De juin 2012 à juin 2013 le chômage devrait s’accroître de 500 000 à 600 000 personnes. Même en admettant que soient crées 100 000 emplois-jeunes sur la période (ce qui me paraît optimiste) nous devrions avoir une hausse minimale de 400 000 chômeurs, pour arriver à 3,4 millions en juin 2013. Cette hausse va continuer, peut-être sur un rythme un peu moins rapide en raison de l’impact progressif du crédit d’impôts décidé par le Premier Ministre, pour la fin de 2013. Les enquêtes de l’INSEE, qui ont été citées, annonçant une chute de l’investissement, et le contexte international (et européen) restant déprimé, il est hautement probable que l’on soit, en incluant la création supplémentaire de 50 000 emplois-jeunes pour le deuxième semestre, aux environs de 3,7 millions de chômeurs au 31 décembre 2013. Pour l’année 2014, le chômage devrait continuer à augmenter, sans doute entre 300 000 et 400 000 personnes, toujours en incluant l’effet positif pour les entreprises du crédit d’impôts, mais en lui soustrayant l’effet dépressif des mesures prises pour financer ce même crédit d’impôts. Ainsi, en incluant les créations d’emplois-jeunes et les effets positifs des mesures annoncées la semaine dernière, on aboutira à un nombre de chômeur qui sera autour de 4 millions. Il faut ajouter que ces calculs sont sous réserve qu’il n’y ait pas de choc exogène supplémentaire, comme il pourrait en survenir en provenance des Etats-Unis si Démocrates et Républicains n’arrivent pas à trouver un accord sur la question de la dette et du budget. D’une manière plus générale, on constate un approfondissement du mouvement de désindustrialisation. Cela aura des conséquences importantes sur la répartition des revenus si rien n’est fait, car un pays désindustrialisé se caractérise par une structure sociale fortement polarisée entre des revenus élevés, mais en petit nombre, et une grande masse de revenus très faibles.

    #UE #Sapir #Euro #Crise #Gallois

  • Le coût du fédéralisme dans la zone Euro | RussEurope
    http://russeurope.hypotheses.org/453

    Le coût du fédéralisme dans la zone Euro
    10 novembre 2012

    Par Jacques Sapir

    L’hypothèse « fédérale » fait actuellement couler beaucoup d’encre. Elle est présentée comme « la » solution à la crise de l’Euro, les autres alternatives étant l’appauvrissement dramatique des pays du « sud » de la zone Euro ou l’éclatement de la dite zone[1]. Certains n’hésitent pas à ajouter qu’elle était déjà en germe dans les imperfections aujourd’hui reconnues de la zone Euro[2]. Pour autant, il ne semble pas que l’on ait une réelle compréhension de ce qu’implique la constitution d’une « Fédération Européenne », et en particulier du point de vue des flux de transferts. Par contre, on commence à en percevoir les contraintes, et ceci en particulier dans l’abandon de la souveraineté budgétaire. La volonté de l’Allemagne de soumettre les budgets à une décision préalable de Bruxelles va, bien évidemment, dans ce sens[3].

    En effet, passer au « fédéralisme » implique que les politiques budgétaires des États membres de la fédération soient contrôlées par le gouvernement « fédéral », en l’occurrence dans la situation actuelle la Commission Européenne. Mais, le « fédéralisme » implique aussi des transferts budgétaires importants, qui existent d’ailleurs dans les États fédéraux, qu’il s’agisse de l’Allemagne, des Etats-Unis, du Brésil ou de la Russie. Le Président russe, Vladimir Poutine, a d’ailleurs parfaitement posé le problème en signalant, lors de la discussion qu’avec des experts internationaux on a eu avec lui, que le passage à une monnaie unique entre pays fortement hétérogènes impliquait des flux de transferts élevés[4].

    #Sapir #Euro #crise #fédéralisme ?

  • Les dessous d’une annonce : Jean-Marc Ayrault et le “crédit d’impôt”.
    http://russeurope.hypotheses.org/432

    Les dessous d’une annonce : Jean-Marc Ayrault et le “crédit d’impôt”.

    Le Premier Ministre, M. Jean-Marc Ayrault a procédé mardi 6 novembre à des annonces qui ont été considérées comme importantes à la suite de la remise par Louis Gallois de son rapport sur la compétitivité de l’industrie française. La rapidité de la réaction a pu surprendre. En fait, ces mesures avaient été préparées depuis le mois de septembre, et le gouvernement avait déjà procédé à des « fuites » pour préparer l’opinion[1]. Ces mesures s’intègrent dans la stratégie du gouvernement qui continue d’espérer une reprise de la croissance à partir de l’été 2013.

    Les mesures présentées par J-M Ayrault et leurs effets sur la croissance.

    Ces mesures, en effet, consistent en un crédit d’impôts pour les entreprises de 20 milliards d’euros (10 milliards en 2013 et 5 milliards en 2014 et 2015), crédit d’impôts qui sera financé à hauteur de 10 milliards (en réalité plutôt 7 milliards…) par des hausses de TVA intervenant en 2014, et par des contractions de dépenses (normalement de 5 milliards par an mais en réalité plus élevées pour atteindre les 13 milliards manquants) en 2014 et 2015. En fait, cela revient à redonner aux entreprises les 10 milliards d’impôts que avaient été prélevées par la loi de finances 2013, et il n’y aura que 10 milliards d’argent frais, répartis en 2014 et 2015.

    L’impact de ces mesures sera le plus élevé en 2013 car il sera plus que compensé par les hausses d’impôts et les baisses de dépenses budgétaires en 2014 et 2015.

    #Sapir #Ayrault #Gallois

  • Hurlements en faveur du réel
    http://naqoyqatsi.blog.lemonde.fr

    Hollande : illusionné normal

    Dans l’illusion, c’est-à-dire la forme la plus courante de mise à l’écart du réel, il n’y a pas à signaler de refus de perception à proprement parler. La chose n’y est pas niée : seulement déplacée, mise ailleurs. Mais, en ce qui concerne l’aptitude à voir, l’illusionné voit, à sa manière, tout aussi clair qu’un autre. Cette vérité apparemment paradoxale devient sensible dès que l’on songe à ce qui se passe chez l’aveuglé, tel que nous le montre l’expérience concrète et quotidienne, ou encore apparemment plus lointainement, la pratique politique.

    Hollande par exemple, à l’intérieur du roman vrai dans lequel il est plongé, voit bien, parfaitement et totalement, que la situation est critique : cette perception, qu’il accueille chaque jour sans broncher, n’est jamais remise en question. Et pourtant Hollande est aveugle non de ne pas voir, mais de ne pas accorder ses actes à sa perception. Ce qu’il voit est mis comme hors circuit : la crise de l’Euro, qui n’est pas qu’une crise de la dette non supportée par une « intégration politique », est perçue et admise, mais étrangement séparée des effets que sa reconnaissance devrait normalement entraîner sur le plan pratique.

    #Hollande #Rosset #UE #Détournement #Normal #Euro #Sapir

    • Les différentes dimensions de l’illusion décrites ci-dessus renvoient à une même « fonction », à une même « structure », à un même « échec ». La fonction : protéger du réel. La structure : non pas dénier la vérité ni même refuser de percevoir le réel, mais le dédoubler. L’échec : reconnaître trop tard dans le double protecteur le réel même dont on croyait s’être gardé. Telle est la malédiction de l’esquive, de renvoyer, par le détour d’une duplication romantique, à l’indésirable point de départ, le réel. On voit maintenant pourquoi l’esquive est toujours une erreur : elle est toujours inopérante, parce que le réel n’a pas besoin de roman.

      #Détournement

  • Le coût d’une sortie de l’Euro | RussEurope
    http://russeurope.hypotheses.org/414

    Le coût d’une sortie de l’Euro

    Par Jacques Sapir

    La question du coût d’une sortie de l’Euro, qu’elle soit individuelle ou concertée (scénario de la dissolution) est dorénavant posée. Le coût de sortie doit par ailleurs être comparé au coût du maintien dans la zone Euro, ainsi qu’aux avantages potentiels du retour à une flexibilité des taux de change.

     

    Le coût du maintien dans l’Euro a été traité à de multiples reprises. Il est extrêmement élevé tant en termes de coûts directs (les différentes contributions aux différents fonds de soutien, FESF ou MES, que la France a faites et qui se montent de 15 à plus de 40 milliards d’euros) qu’en termes de coûts indirects en raison de la hausse du chômage engendrée par l’Euro[1]. Les 800 000 chômeurs supplémentaires (à la date de juin 2012) qui sont induits par l’Euro coûtent approximativement 6,4 milliards d’euros par an en aides directs et induisent des coûts indirects de l’ordre de 4 milliards annuels supplémentaires. Les 500 000 chômeurs que nous sommes en train d’accumuler (de juin 2012 à juin 2013) nous coûteront au moins 6 milliards de plus au total, ce qui devrait situer à 16 milliards d’euros annuels le coût total du chômage liés à l’Euro.Par ailleurs, l’Euro provoquant un écart de 1,5% au minimum entre notre croissance factuelle et la croissance potentielle, et compte tenu du taux des prélèvements fiscaux, ce sont 13 milliards d’euros qu’il faut prélever tous les ans pour combler la part du déficit budgétaire lié à l’absence de croissance provoquée par l’Euro[2]. Enfin, nous avons les « niches fiscales », dont une partie (à hauteur de 50 milliards) est liée à l’absence de compétitivité induite par l’Euro. En admettant que seule la moitié de la somme indiquée puisse être récupérée en cas de dévaluation, cela porte à 25 milliards le coût de ces niches qui pourrait être récupéré si nous pouvions dévaluer.

    Le total est impressionnant. En juin 2012, ce total des coûts indirects se montait à 48 milliards d’Euros (annuels) et il devrait atteindre les 54 milliards en juin 2013. Encore faut-il rappeler que ceci n’inclut pas l’argent injecté, soit directement soit comme garantie mais dans tous les cas à fonds perdus, dans le FESF ou le MES. C’est donc à cette somme d’au moins 48 milliards par an (soit 2,4% du PIB) qu’il faudrait, en toute logique comparer le coût d’une sortie de la zone Euro. Nous devrions y ajouter de 15 à 40 milliards de pertes engendrés par le FESF et le MES. On le constate, ces sommes sont très loin d’être négligeables.

    #Sapir #UE #Euro

  • Fusion CSA-ARCEP-HADOPI : réponse à la tribune de Nathalie Sonnac et Pascal Wilhelm | bluetouff
    http://reflets.info/hadopi-csa-arcep-reponse-tribune-nathalie-sonnac-pascal-wilhelm

    Pascal Wilhelm, avocat à la Cour, Wilhelm & Associés, chargé d’enseignement à Paris-Dauphine et Nathalie Sonnac professeure à Paris-2, directrice de l’IFP, Expert du Lab Hadopi « Économie numérique de la création », se sont cette semaine fendus de se fendre d’un interessant billet d’humeur au sujet de la nécessité, selon eux de fusionner au plus vite HADOPI, CSA et ARCEP. Une lecture assez divertissante que l’on pourra comparer au dernier opus de la série Scary Movie… une blague d’étudiant qui peut faire peur aux âmes sensibles, mais qui en touchera une sans faire bouger l’autre aux autres. Il ne me viendrait pas à l’idée de remettre en question cette implacable logique, fruit de la réflexion commune d’ à notre gauche : d’un avocat en propriété intellectuelle dont on parlait d’ailleurs recemment ans la presse, mais pas pour ses compétences en matière de régulation des réseaux ; à notre droite : d’une experte du Lab Hadopi « Économie numérique de la création » (comprenez le lab du « comment refourguer des galettes en plastiques dans un tuyau en cuivre qui fait 5mm d’épaisseur« ). … qui permet d’aboutir à ce terrifiant constat : #sapeupudurer, la France a un besoin impérieux d’une super giga haute autorité des intertubes. L’argumentaire (...)

  • Fusion CSA-ARCEP-Hadopi : l’action ne doit pas rimer avec e-tiers–mondialisation | bluetouff
    http://reflets.info/hadopi-csa-arcep

    Pascal Wilhelm, avocat à la Cour, Wilhelm & Associés, chargé d’enseignement à Paris-Dauphine et Nathalie Sonnac professeure à Paris-2, directrice de l’IFP, Expert du Lab Hadopi « Économie numérique de la création », viennent de se fendre d’un interessant billet d’humeur au sujet de la nécessite selon eux de fusionner au plus vite HADOPI, CSA et ARCEP. Une lecture assez divertissante que l’on pourra comparer au dernier opus de la série Scary Movie… une blague d’étudiant qui peut faire peur aux âmes sensibles. Il ne me viendrait pas à l’idee de remettre en question cette implacable logique, fruit de la réflexion commune d’ a ma gauche : d’un avocat en propriété intellectuelle dont on parlait d’ailleurs recemment ans la presse, mais pas pour ses compétences en matière de régulation des réseaux ; a ma droite : Experte du Lab Hadopi « Économie numérique de la création« . … qui permet d’aboutir a ce terrifiant constat : #sapeupudurer La France a un besoin impérieux d’une super giga haute autorité des intertubes. L’argumentaire déroulé par les auteurs est pour le moins surprenant. Il tient d’ailleurs en un seul point « C’est comme ça que ça se passe ailleurs donc pourquoi on ne ferait pas pareil que tout le monde, (...)

    #Non_classé

  • Embouteillages annoncés pour la présidentielle - lesoir.be
    http://www.lesoir.be/dossiers_speciaux/special2/2012-04-12/embouteillages-annonces-pour-la-presidentielle-908424.php

    Les médias belges et suisses seront en première ligne lors du premier tour de la présidentielle française pour transmettre les sondages sorties des urnes, dès 18h.

    A dix jours du premier tour de l’élection présidentielle française, les médias français redécouvrent la législation électorale et ses conséquences : soumis à l’interdiction de publier les premières estimations avant l’heure de fermeture des bureaux de vote, ils pourraient être ’doublés’ par les sites d’information des pays voisins, suisses et belges en particulier.

    En 2007, ça m’inspirait http://lapsuske.brubel.net/Loi-francaise-deontologie-journalistique-belge. #sap

  • Quel est votre score d’influence ? « InternetActu.net
    http://www.internetactu.net/2011/07/11/quel-est-votre-score-dinfluence

    Imaginez un monde, commence Stephanie Rosenbloom, où nous serait assigné un nombre mesurant notre niveau d’influence. Ce nombre nous permettrait de grimper dans la hiérarchie, d’être surclassés dans les hôtels et de gagner des friandises au supermarché. Mais au cas où votre score d’influence serait bas, pas de promotion, pas de suite à l’hôtel, pas de petits gâteaux offerts.

    Ce n’est pas de la science-fiction. Cela arrive à des millions d’usagers des réseaux sociaux.

  • Les joies de l’informatique au CNRS -
    http://www.dgdr.cnrs.fr/sirhus/default.htm

    Le CNRS a décidé de passer la gestion des dossiers annuels de ses agents en ligne et a sous-traité le machin à #SAP. Pour la vague 2011, voilà ce qu’on peut lire :

    Actuellement, les connexions sont possibles avec les navigateurs suivants : Internet Explorer 6, Internet Explorer 7, Internet Explorer 8 (en mode compatibilité IE7), Firefox 1.5, Firefox 2.0, Firefox 3.x
    Les spécificités techniques des navigateurs IE9, FF4, CHROME et SAFARI ne permettent pas de se connecter à l’application.

    Oui oui, ce sont bien les navigateurs supportés en 2011. Et je ne vous parle pas du code source des pages de ce truc.

    #fail