• Tracking cryptic SARS-CoV-2 lineages detected in NYC wastewater
      https://www.nature.com/articles/s41467-022-28246-3

      Tracking SARS-CoV-2 genetic diversity is strongly indicated because diversifying selection may lead to the emergence of novel variants resistant to naturally acquired or vaccine-induced immunity. To monitor New York City (NYC) for the presence of novel variants, we deep sequence most of the receptor binding domain coding sequence of the S protein of SARS-CoV-2 isolated from the New York City wastewater. Here we report detecting increasing frequencies of novel cryptic SARS-CoV-2 lineages not recognized in GISAID’s EpiCoV database. These lineages contain mutations that had been rarely observed in clinical samples, including Q493K, Q498Y, E484A, and T572N and share many mutations with the Omicron variant of concern. Some of these mutations expand the tropism of SARS-CoV-2 pseudoviruses by allowing infection of cells expressing the human, mouse, or rat ACE2 receptor. Finally, pseudoviruses containing the spike amino acid sequence of these lineages were resistant to different classes of receptor binding domain neutralizing monoclonal antibodies. We offer several hypotheses for the anomalous presence of these lineages, including the possibility that these lineages are derived from unsampled human COVID-19 infections or that they indicate the presence of a non-human animal reservoir.

  • Pfizer CEO to Israeli TV: World should be back to near-normal in ‘a few months’ Time of Israel

    Albert Bourla says US-based pharma firm is aiming to produce annual shot to cover all COVID variants; accuses anti-vaxxers of causing millions of deaths by spreading misinformation.


    Pfizer CEO Albert Bourla attends a ceremony in the northern city of Thessaloniki, Greece, October 12, 2021. (AP Photo/Giannis Papanikos, file)

    In interviews with Israeli television aired Saturday, Pfizer CEO Albert Bourla predicted the world will return to near-normal conditions within a few months and said the US-based pharmaceutical firm is aiming to produce a once-a-year vaccine covering all coronavirus variants.

    “Once a year it is easier to convince people to do it. It is easier for people to remember. From a public health situation, it is an ideal solution. We are looking to see if we can create a vaccine that covers Omicron and doesn’t forget the other variants. And that could be a solution unless something completely different comes out,” he told Channel 12 news.

    La suite : https://www.timesofisrael.com/pfizer-ceo-to-israeli-tv-we-should-be-back-to-near-normal-in-a-few-mo

    #vaccination #vaccins #vaccin #Pfizer #EnMarche #crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccins #santé_publique #néo-libéralisme #ordo-libéralisme #Pasteur #cobayes

    • Des textos de von der Leyen au PDG de Pfizer intriguent
      La Commission européenne a refusé de donner des informations à la presse sur des SMS échangés par sa présidente avec le PDG de Pfizer à propos de l’achat de vaccins.

      La médiatrice de l’UE a reproché vendredi à la Commission européenne d’avoir refusé de donner des informations à la presse sur des textos échangés par sa présidente avec le PDG du laboratoire Pfizer à propos de l’achat de vaccins contre le Covid-19. La médiatrice, Emily O’Reilly, a demandé que le cabinet d’Ursula von der Leyen procède à « une recherche plus approfondie » afin de retrouver ces messages et d’en révéler le contenu conformément aux règles de transparence applicables aux documents de l’UE.

      Après un article du New York Times en avril 2021 rapportant qu’elle avait échangé des SMS avec le patron de Pfizer, Albert Bourla, dans le cadre des négociations sur un contrat d’achat de vaccins contre le Covid-19, un journaliste a demandé à la Commission l’accès aux textos et autres documents sur ces discussions. L’exécutif européen, qui était en charge de négocier les achats de vaccins pour le compte des États membres, a accepté de lui transmettre trois documents (un email, une lettre et un communiqué de presse) mais aucun SMS.

      « Le public peut y avoir accès »
      La Commission a indiqué n’avoir aucune trace de ces messages, affirmant que les textos n’ont pas vocation à être conservés et ne sont pas soumis aux règles sur la transparence des institutions européennes, datant de 2001. Dans une réponse à l’enquête déclenchée par la médiatrice, la Commission juge que ces messages sont « par nature des documents d’une courte durée de vie, qui ne contiennent en principe pas d’informations importantes relatives aux politiques, activités et décisions de la Commission ».

      Pour la médiatrice au contraire, « il est clair » que les textos « entrent dans le cadre de la législation européenne sur l’accès du public aux documents » et « le public peut y avoir accès s’ils concernent le travail de l’institution ». Elle a appelé l’administration européenne à faire évoluer ses pratiques en matière de conservation des documents pour prendre en compte les « moyens modernes de communication ».

      Les aspects clés des contrats sont confidentiels
      « Aucune tentative n’a été faite pour identifier si les textos en question existaient. Cette façon d’agir ne répond pas aux attentes en matière de transparence », a critiqué Emily O’Reilly. Si ces messages sont identifiés, la Commission devra « évaluer s’ils remplissent les critères, en vertu de la législation de l’UE sur l’accès aux documents, pour être divulgués », conclut-elle dans ses recommandations qui ne sont toutefois pas contraignantes.

      Plus de la moitié des 4,2 milliards de doses contre le Covid-19 achetées ou réservées par l’UE sont fournies par le duo américano-allemand Pfizer-BioNTech. Les aspects clés des contrats passés avec les laboratoires, notamment les prix, sont confidentiels, ce qui a été critiqué par des eurodéputés et des ONG. « Cette affaire est plus importante qu’un simple échange de SMS », a dénoncé l’eurodéputée néerlandaise Sophie in’t Veld (Renew Europe), estimant que « la Commission européenne est devenue moins transparente (...) ».

      #ue #union_européenne #corruption (une habitude chez pfizer) #ursula_von_der_leyen #commission_européenne

    • Dans les hôpitaux, en France, on en est à trimballer les vieux d’un service à l’autre pour ne pas faire exploser la DMS (durée moyenne de séjour) pour que le service ne perde pas d’argent.

      Les règles financières de gestion imposées par l’union européenne sont formidables ! Des sigles et des chiffres.

    • Curieux, ces faux pass ne font pas baisser les statistiques officielles
      Covid-19 : trois hommes soupçonnés d’avoir établi plus de 60.000 faux passes sanitaires mis en examen
      https://www.lefigaro.fr/flash-actu/faux-passes-sanitaires-trois-mises-en-examen-a-paris-20220128

      Trois hommes soupçonnés d’avoir usurpé l’identité numérique de médecins et établi plus de 60.000 passes sanitaires falsifiés ont été mis en examen vendredi 28 janvier à Paris, a appris l’AFP de source judiciaire.
      . . . . .
      Les trois mis en examen sont soupçonnés d’être des pirates informatiques, avait indiqué dans un communiqué la gendarmerie, estimant à plus de 62.000 le nombre total de faux passes sanitaires créés. L’enquête, notamment confiée aux gendarmes de l’Office central de lutte contre les atteintes à l’environnement et à la santé publique (OCLAESP), a établi que les trois suspects, âgés de 22 à 29 ans, auraient usurpé l’identité numérique de 35 médecins répartis dans toute la France.


      Ils auraient ensuite généré les certificats de vaccination frauduleux puis les auraient revendus directement à leurs bénéficiaires ou au profit de complices faisant office de revendeurs, expliquait-elle. Par ailleurs, huit suspects ont aussi été interpellés mardi et mercredi dans la région lyonnaise, dans le cadre d’une autre enquête.

      Cette dernière est partie du signalement de l’Ordre des infirmiers de la Loire et d’un médecin de la Caisse primaire d’assurance maladie, portant sur des milliers de passe sanitaires établis au nom d’un infirmier de la région d’Angers (Maine-et-Loire), lequel n’avait jamais effectué de vaccinations anti-Covid, avait indiqué mercredi une source judiciaire, confirmant une information du Monde. En réalisant que son compte professionnel avait été piraté, un infirmier avait déposé plainte à Angers. Mais les investigations se sont orientées vers la région lyonnaise, entraînant la saisine de la juridiction inter-régionale spécialisée (JIRS) de Lyon.

      #pass #pass_sanitaire

  • Martin Hirsch faisait moins le malin en Commission d’enquête parlementaire (CDS)
    https://www.crashdebug.fr/martin-hirsch-faisait-moins-le-malin-en-commission-d-enquete-parlementair

    À votre avis, ou s’arrête la "naiveté" et ou commence la corruption ?, quand un cabinet de conseil étranger vous offre du "pro bono" (du bénévolat) pour optimiser vos "process" etc...

    Alors jusqu’où vas l’influence de ces cabinets privés de ’conseils’ si altruistes ? à qui je le rappel on à demandé de gérér la vaccination etc..., et on se retrouve aujourd’hui avec une vaccination massive de 75%, et on à 500.000 ’cas positifs’ par jour de déclaré ?

    Les vaccins ne fonctionne pas, les tests PCR sont bidons.

    En quoi c’est une ’réussite’ ça ? (Et comme je l’ai dit : Qui serat responsable juridiquement devant les tribunaux ? l’État Français ou Mc Kinsey ?)

    Je voudrais pas dire, mais ils se sont fait arnaquer, enfin ils s’en (...)

    #En_vedette #Actualités_françaises

    • Covid-19 : les tests antigéniques erronés à cause du froid dans des barnums de dépistage parisiens Winny Claret, France Bleu
      https://www.francebleu.fr/infos/sante-sciences/covid-19-les-tests-antigeniques-errones-a-cause-du-froid-dans-des-barnums

      Les tests antigéniques sont sensibles au froid et peuvent générer de faux résultats positifs. Les pharmaciens tirent la sonnette d’alarme et pointent les tentes de dépistage qui sont installées au milieu de nulle part, loin des officines, des laboratoires ou des cabinets médicaux.

      Les autorités sanitaires le rappellent en plein hiver : les tests antigéniques, quand ils sont laissés à une température trop basse (en dessous de 2 degrés), peuvent générer une série de faux positifs. Une réaction chimique au moment où l’on verse le diluant sur la petite cassette qui nous indique si on est malades. En plein hiver, le risque existe. D’autant que de nombreux Français vont se faire tester dans des barnums de pharmacie installés dans la rue. Des tentes blanches qui ont fleuri dans les rues de Paris.

      Des barnums à plusieurs kilomètres de leur centre médical
      Comme sur la place du Trocadéro, dans le 16ème arrondissement. Capuche sur la tête, les pieds collés au petit chauffage d’appoint, Alan attend les patients sous l’une des deux grandes tentes blanches installées sur le trottoir, serré contre sa collègue. « On est fort frigorifiés ! Là-bas c’est ma tente mais comme on n’a qu’un chauffage je me suis mis avec elle. »

      Le testeur antigénique de 18 ans a commencé il y a une semaine, il a été formé deux heures par le centre médical qui l’embauche. « C’est bête ! On a juste à rentrer un coton-tige dans le nez et attendre le résultat. Après on l’envoie à l’infirmier qui l’envoie par mail au patient. » Pas de professionnel de santé sur place, la structure qui gère ses barnums se trouve à six kilomètres de là. Et les tests restent toute la journée dans le froid au risque de fausser les résultats et de générer de faux positifs ! 

      Les pharmaciens réclament plus de contrôles
      Pratique toute autre dans cette pharmacie du 15ème. Un cabanon juste devant l’officine, Diamanta étudiante en pharmacie fait sans cesse des allers retours, « On rentre tout de suite les ramener à l’intérieur pour que les résultats soient le plus fiables possible. »

      A part l’écouvillon, diluant et cassette de dépistage restent à l’intérieur. Pas question de compromettre les tests pour le pharmacien Laurent Halwani. « Quand on est responsables, on est responsables de A à Z. Il faut vraiment que l’on communique le résultat le plus juste ! » L’union des pharmaciens d’officines appelle d’ailleurs l’Etat à multiplier les contrôles des barnums sauvages. Son porte-parole, Gilles Bonnefond conseille aux patients de les éviter.

      « Quand vous voyez un barnum au milieu de nulle part, ce n’est pas la peine d’y aller », selon Gilles Bonnefond

      #business #tests #quarantaine #gaspillage #pillage #vaccination #vaccins #vaccin #Pfizer #EnMarche #crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccins #santé_publique #France #néo-libéralisme #ordo-libéralisme #tests_PCR

  • #Covid-19 : le #sous-variant BA.2 bien plus contagieux qu’Omicron, selon le Danemark - Capital.fr
    https://www.capital.fr/economie-politique/covid-19-le-sous-variant-ba2-bien-plus-contagieux-quomicron-selon-le-danemar

    Peut-il réinfecter ceux qui ont déjà été infectés par le BA.1 ?

    « Les scientifiques s’efforcent de déterminer si ces mutations affectent la capacité du sous-variant BA.2 à échapper à l’immunité existante, le rendent plus infectieux ou réinfectent les personnes qui ont eu le BA.1 », a déclaré le SSI.

    On va très vite le savoir…

    La nouvelle a été annoncée alors que le Danemark, le Royaume-Uni, l’Irlande et les Pays-Bas ont commencé à lever la plupart des restrictions liées à la Covid-19

    #sars-cov2 #sous-variants #assassins

    • En début de semaine, ils avaient trouvé, dans un journal télé, un spécialiste Danois, qui expliquait qu’ils avaient déjà la réponse : « On n’a pas constaté de réinfection par le BA.2 ». Je le trouvais bien affirmatif... mais pourquoi pas. S’ils constatent que tout va bien, alors oui, continuons. Mais... Comment pouvaient-ils déjà être aussi affirmatifs ? Comment savent-ils ce que tant d’autres ne savent pas ?

    • pendant ce temps, TAC la voix de son maître disait hier :

      Point de situation sur le sous-variant BA.2

      [TAC | jeu. 27 janv. 2022 | 22:30]

      À ce jour, le nombre de cas infectés par le sous-variant BA.2 reste très limité. Toutefois, “il faut être extrêmement prudent”, a affirmé Olivier Véran dans une interview donnée le 25 janvier. En s’appuyant sur les données venues du Danemark, le ministre de la Santé a fait un point sur les connaissances actuelles. Son origine provient d’une mutation sur une protéine, ce qui permet d’avancer que : “les cellules humaines pourraient ne pas reconnaître ce variant alors même qu’elles auraient été exposées à Omicron”, a expliqué le ministre de la Santé. “On pourrait se recontaminer potentiellement au BA.2 même lorsqu’on aurait été contaminé au variant Omicron”. En France, “sur 10 000 séquençages en vie réelle la semaine dernière, il y avait 60 cas de ce variant BA.2. “Nous n’avons pas encore assez de recul pour savoir s’il est moins ou aussi dangereux qu’Omicron”, a précisé Olivier Véran.

      DON’T PANIC. CIRCULEZ, Y A RIEN À VOIR. Mais méfiez vous quand même.

    • Dans la famille omicron
      Covid : le sous-variant BA.2 arrive en France et « il a l’air de prendre le pouvoir », 25 janvier 2022
      https://www.liberation.fr/societe/sante/covid-le-sous-variant-ba-2-arrive-en-france-et-il-a-lair-de-prendre-le-pouvoir-20220125_R2V64NQTDFFSTKHMWIRAEVNXRU/?redirected=1
      La pandémie de Covid-19 en Francedossier

      Le ministre de la Santé et le président du Conseil scientifique ont confirmé mardi l’émergence du sous-variant BA.2 en France. Mais les 60 cas officiellement détectés ne semblent pas compromettre leurs prévisions optimistes d’une décrue progressive de l’épidémie au printemps.

      Son nom ne vous dit peut-être encore rien mais il faut probablement vous préparer à l’entendre de plus en plus souvent. Le sous-variant BA.2, qui reprend le schéma d’omicron (BA.1) mais présente plusieurs nouvelles mutations, se propage désormais en France, après être devenu majoritaire au Danemark et en Inde. [avec nos yeux crevés et nos lunettes noires] « On a repéré 60 cas » sur le territoire, a indiqué ce mardi le ministre de la Santé, Olivier Véran, interrogé sur LCI. « Ce variant, il a la couleur, l’odeur, le goût d’omicron, mais ce n’est pas exactement omicron, c’est omicron qui a muté, c’est ce qu’on appelle un sous-lignage du variant omicron », a-t-il précisé. Selon lui, les autorités danoises rapportent qu’on « pourrait potentiellement se recontaminer avec le sous-variant BA.2 après avoir contracté omicron ».

      « La vague omicron n’est pas terminée mais elle est différente », a déclaré de son côté le président du Conseil scientifique, Jean-François Delfraissy, sur France Info. Sur le sous-variant BA.2, il reconnaît qu’il « a l’air de prendre le pouvoir ». « S’il prend le pouvoir au Danemark et qu’il explique la situation au Danemark, cela veut dire qu’il est plus transmissible encore », souligne-t-il [finaud].

      Beaucoup d’inconnues subsistent autour de ce sous-variant. « Pourquoi serait-il plus transmissible ? Qu’est-ce qui lui arrive de plus ? Je ne le sais pas. Personne ne le sait actuellement », reconnaît le médecin [du pestilent]. Et d’ajouter : « Quel est son niveau de gravité ? Si on a un variant qui n’est pas grave, somme toute, le problème est différent. Eh bien, je ne le sais pas sur le BA.2. »

      Même si l’évolution du BA.2 est scrutée « avec une grande attention », Delfraissy se range dans le clan des optimistes. Alors qu’il estime que « les choses vont atterrir plutôt vers la mi-mars avec une baisse progressive, très lente, en termes d’hospitalisations », [anticipant de manière exceptionnelle sur le monde d’après] il est apparu pour la première fois sans masque sur le plateau télévisé. Présage de jours meilleurs, et surtout « signe qu’il faut commencer à anticiper ce qui nous attend » pour le printemps.

      une prévision de baisse lente (un mois et demi) qui va croiser une montée imprévue par les augures

      ça fait comme si l’immunité conférée par Omicron tenait la route alors que
      https://seenthis.net/messages/946922

      on aura vérifié que, quoi qu’on en dise, pendant que la téloche nous postillonne à la tronche, l’école reste le coeur de la société

      #sous-variant_BA.2 #BA.2 #protocole_tous_infectés #société_d'abandon #aupaysdeslumièreséteintes #sans_vergogne

    • Au Royaume-Uni, le sous-variant BA.2 reste très minoritaire (de l’ordre de 3 %), mais il aurait, depuis quelques jours, commencé à grignoter la part de son aîné. D’où cette interrogation légitime : la diffusion accélérée de BA.2 au Danemark, où les nouvelles contaminations flambent, serait-elle un signe de sa transmissibilité accrue ?

      En France, une interrogation similaire a vu le jour. Pourquoi le pic de la vague Omicron, dont l’arrivée était annoncée vers la mi-janvier, tarde-t-il tant ? Si la vague reprend une nouvelle vigueur, son accélération peut-elle être liée, en partie du moins, à l’arrivée de BA.2 ? Impossible à ce stade de répondre.
      D’une part, nos systèmes de détection des variants ne sont pas adaptés à un suivi de ce sous-variant. « La détection des mutations du SARS-CoV-2 par criblage ne permet pas, dans la plupart des laboratoires, de distinguer BA.1 de BA.2 », explique Florence Débarre. Pour faire ce distinguo, il faudra modifier les cibles de criblage. L’autre méthode est de séquencer la totalité du génome viral. Or, « la remontée des données du séquençage en France n’est pas immédiate », ajoute la biologiste. Par conséquent, on ne peut pas savoir à quel niveau ce sous-variant circule en France. A ce jour, moins d’une vingtaine de cas ont été certifiés par séquençage sur l’ensemble du territoire. Un nombre probablement sous-estimé.

      D’autre part, le portrait de ce petit frère d’Omicron reste flou. « Il n’y a pas à ce stade de connaissances de risque de contagiosité [du sous-variant BA.2] vis-à-vis de celles et ceux qui ont déjà contracté le variant Omicron », estimait le ministre de la santé, Olivier Véran, jeudi 20 janvier.

      (...) il a été trouvé dans de nombreux pays d’Asie (...)

      https://justpaste.it/9aaem

      #in_retrospect

    • Pour faire ce distinguo, il faudra modifier les cibles de criblage.

      et ça pose un problème aux labos, de modifier les cibles ? ou c’est la mise à jour de SIDEP qui pose problème ?

  • #Quebec : Annuler un spectacle rapporte plus que le jouer Catherine Lalonde
    https://www.ledevoir.com/culture/665445/coronavirus-annuler-un-spectacle-rapporte-plus-que-le-jouer

    Paradoxes dans les théâtres. La réouverture des salles y est accueillie avec joie. Mais les nouvelles restrictions sanitaires, qui limitent les salles à recevoir au mieux 50 % de leurs spectateurs, font qu’il est présentement plus rentable d’annuler un spectacle que de le jouer. Petits calculs avec colonnes de fichier Excel, pour illustrer.


    Photo : Valérie Remise « Les Hardings », la pièce d’Alexia Bürger créée en 2018 et qui aborde la tragédie de Lac-Mégantic, doit être jouée à l’Espace le vrai monde ? le 23 février prochain.

    Les Hardings, la pièce d’Alexia Bürger créée en 2018 qui aborde avec une délicatesse de dentellière la tragédie de Lac-Mégantic, doit être joué à l’Espace le vrai monde ? le 23 février prochain. La directrice générale et artistique, Mélissa Pietracupa, a ouvert ses cahiers de comptabilité au Devoir pour illustrer le cul-de-sac dans lequel elle se trouve. Sa salle fait 528 places ; elle peut vendre 264 billets. Mercredi, 153 étaient vendus.

    « Avec la mesure d’aide à la billetterie du Conseil des arts et des lettres du Québec (CALQ), actuellement, si j’annule Les Hardings, je fais 2140 $, explique-t-elle, calculs à l’appui. Si je maintiens le spectacle, je perds 3600 $. » La directrice de l’espace affilié au Collège Ahuntsic n’en revient pas de devoir choisir de faire un déficit pour conserver vivant son lien avec le public. Et avec les artistes.

    Depuis le début de la pandémie, cette mesure d’aide du CALQ vient rembourser les billets que les théâtres ne peuvent pas vendre en raison des mesures de distanciation et des consignes sanitaires. La mesure paie des billets invendus, en d’autres mots. Le problème, c’est la nouvelle exigence de n’avoir que des demi-salles, qui vient changer les calculs. La mesure, s’il y a 50 % de spectateurs, rembourse au théâtre de Mme Pietracupa 2291 $. Si elle avait programmé le même spectacle entre le 1er avril et le 31 août 2021 (dans le respect de la règle de distanciation de 1,5 mètre), elle aurait alors pu obtenir 5943 $.

    Écart avec la réalité
    La directrice poursuit sa démonstration : pour Zoé, d’Olivier Choinière, prévu les 10 et 11 mars prochains, elle perdra 746 $, considérant les frais qu’engendre le spectacle. Si elle l’annule, elle fera 6057 $. Dans les deux cas, les cachets des artistes seront honorés de la même manière. « Il faut que le CALQ ajuste sa mesure », estime Mme Pietracupa.

    Le CALQ est-il au courant du problème ? Peut-on attendre des modifications ? « Comme depuis la mise en place de la mesure, nous apporterons des changements, si nécessaire, afin de tenir compte de l’évolution de la situation et de l’annonce d’hier », a répondu la directrice des communications du subventionnaire, Honorine Youmbissi.

    Alexandre Provencher, du théâtre Desjardins, à LaSalle, confirme que de son côté aussi qu’« il est plus rentable d’annuler » certains spectacles. Le directeur général et artistique se demande, avec la production, s’il doit annuler Neuf, d’Orange noyée (Mani Soleymanlou), prévu le 19 février. « On en est à notre troisième report de ce spectacle. Chaque fois, mes spectateurs s’étiolent. Je suis passé de 400 billets vendus à 300. » Sa salle peut en temps normal accueillir 800 spectateurs. « Là, je dois ajuster ma salle pour répondre à la demi-jauge. Je vais encore perdre des billets. Est-ce que je maintiens, ou est-ce que j’annule ? »

    #Spectacle #Théatre #Concerts #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #santé_publique #confinement #néo-libéralisme #ordo-libéralisme

    • #Canada : La sécurité au Parlement et la police se préparent à l’arrivée des manifestants La presse canadienne

      Le ministre de la Sécurité publique, Marco Mendicino, a déclaré que personne ne voulait qu’une manifestation antivaccination prévue sur la colline du Parlement ce week-end se transforme en une tentative violente de renverser le gouvernement et a averti les gens de ne pas considérer les manifestants comme de simples combattants de la liberté.

      Plusieurs milliers de personnes sont attendues à Ottawa dès vendredi dans le cadre du groupe “Canada Unity” qui réclame le retrait des exigences de vaccination et des restrictions liées à la COVID-19. Certains des dirigeants du groupe préconisent un événement pacifique, mais les déclarations de certaines personnes associées au groupe ont inclus des menaces de violence.


      Des employés renforcent la sécurité autour du Parlement canadien, à Ottawa, à deux jours d’une manifestation regroupant des camionneurs opposés à la mesure leur imposant d’être vaccinés pour traverser la frontière canado-américaine. Photo : La Presse canadienne / Justin Tang

      M. Mendicino a déclaré que plusieurs corps de police — dont le Service de police d’Ottawa, la GRC et le Service de protection parlementaire — coordonnent la réponse et prennent des décisions indépendamment de toute implication du gouvernement.

      Les forces de sécurité sur la colline du Parlement se préparent à ce que jusqu’à 10 000 manifestants débarquent au centre-ville d’Ottawa, en fin de semaine, pour protester contre les mesures de confinement et la vaccination obligatoire des routiers. . . . . . .

      La suite : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1857815/ottawa-camionneur-manifestation-parlement-preparation-securite

  • Un marqueur pour différencier les infections des#réinfections à la #Covid-19
    https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/coronavirus-marqueur-differencier-infections-reinfections-covid-19-

    « Notre capacité à surveiller et à contrôler à la fois l’infection et la réinfection repose sur le développement de stratégies de dépistage simples et immunologiquement solides », notent les auteurs de l’étude. L’analyse de ces anticorps pourrait en être une.

    Source :
    Serological Markers of #SARS-CoV-2 Reinfection
    https://journals.asm.org/doi/epdf/10.1128/mbio.02141-21

  • Vaccination & Anticorps facilitants

    https://www.youtube.com/watch?v=CudkMkXoxcI

    De la politique du No Pain - Pas de douleur.
    L’obésité, le véritable problème de la santé publique.
    Les frères Bogdanofs
    Enfants et infection. De l’évolution de la vie sociale des enfants.
    Evolution du nombre de virus par patient.
    La France, second pays au monde après les USA pour ce qui est du nombre de cas.

     #crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccins #santé_publique #raoult #didier_raoult #france

  • Rire & Chansons : La drôle de chronique de #Karine_Dubernet, je me suis convertie au Covidisme

    Notre Pfizer qui est aux cieux,
    Que tes doses soient sanctifiées,
    Que tes actionnaires prospèrent,
    Donne-nous nos trois doses de ce jour,
    Vaccine-nous comme nous vaccinons ceux qui refusent de se vacciner,
    Ne nous laisse pas entrer en réanimation,
    Mais délivre-nous du Covid,

    Au nom du pèze, du fric et du simple d’esprit,
    ARNm.

    https://www.youtube.com/watch?v=AcdADBzetUA

    Attention !
    Ne pas faire confiance à #Pfizer à cause de ses 75 condamnations et 10 193 896 333 $ d’amendes pour charlatanisme, publicité mensongère, corruption de médecins, de fonctionnaire… fait de vous un, une #complotiste.

    Pourtant, faire confiance à Pfizer c’est comme laisser monter son gosse dans la voiture d’Emile Louis, en toute connaissance de cause.

    Karine et la gestion de la crise par not président !
    « Dire que t’es capable d’emmerder des millions de Français, revient à admettre que t’es un immense trou du cul. »

    #Humour #vaccination #EnMarche #crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccins #santé_publique #confinement #France #néo-libéralisme #ordo-libéralisme #injustice #populisme

    • Baromètre des médias 2022 : la confiance des Français au plus bas Aude Carasco
      https://www.la-croix.com/Economie/Barometre-medias-2022-confiance-Francais-bas-2022-01-20-1201195923

      Jamais l’intérêt pour l’actualité et la confiance envers les médias n’ont été aussi faibles à la veille d’une présidentielle, relève le 35e Baromètre de confiance dans les médias Kantar-Onepoint pour « La Croix ».

      En cette année d’élection présidentielle, plus aucun média n’obtient une majorité de confiance de la part des Français. Même la radio (à 49 %) qui caracolait seule en tête depuis le lancement, en 1987, de notre Baromètre médias avec une crédibilité encore de 52 % l’an dernier.

      Moins écouté avec le développement du télétravail pendant la crise sanitaire, ce média a été bousculé cette année par la reprise en main éditoriale d’Europe 1 par l’industriel Vincent Bolloré. Or, les Français, toujours selon notre étude, jugent à 91 % « important » ou « essentiel » que les médias soient « indépendants des intérêts et des milieux économiques ». C’est même le cas des 94 % des sondés qui citent la radio comme mode principal d’information.

      En perdant 3 points de crédibilité, ce média de la mobilité et de l’intimité se retrouve au même niveau que la presse écrite (à 49 %, + 1 point). Si la confiance dans la télévision progresse elle aussi (44 %, + 2 points), celle envers Internet (24 %, – 4 points) renoue avec ses plus bas niveaux historiques.

      « On observe une convergence de la crédibilité entre les médias traditionnels, avec un écart qui se creuse avec Internet », relève Guillaume Caline, directeur enjeux publics et opinions chez Kantar Public-Onepoint. Même si les Français se sont un peu moins informés par Internet cette année (32 %, – 2 points) au profit de la télévision (48 %, + 2) et de la presse papier (6 %, + 1), « la tendance guidée par les jeunes (qui privilégient à 66 % Internet, NDLR) ne va pas s’inverser ».

      La pandémie de Covid, un sujet trop traité pour huit Français sur dix
      Cette défiance envers les quatre supports d’information ( #télévision, #radio, #presse papier, #Internet ) incite une partie de plus en plus large de la population à « mettre à distance l’actualité », souligne Guillaume Caline. En pleine campagne, seuls six Français sur dix (62 %, comme en 2018) déclarent s’intéresser « assez » ou « beaucoup » à l’actualité, moins que lors de la précédente présidentielle, où l’actualité était suivie par 64 % des sondés. Mais on n’observait pas en 2017 un tel décrochage auprès des jeunes de 18-24 ans. Ils étaient encore 63 % à porter un intérêt à l’actualité, alors qu’ils ne sont plus que 38 % (– 13 points sur un an) cinq ans plus tard.

      Cette désaffectation des plus jeunes est à rapprocher de leur perception négative du traitement médiatique de sujets qui leur sont chers. Ils sont ainsi 68 % (contre 53 % pour l’ensemble de la population) à estimer que le dérèglement climatique et ses conséquences ont été mal traités. Et seuls 20 % (contre 37 %) ont une perception satisfaisante du travail journalistique sur les violences faites aux femmes.

      Ils se rapprochent davantage de l’avis de leurs aînés pour l’appréciation d’autres sujets, comme la pandémie de Covid-19 qui a saturé l’espace médiatique pour huit Français sur dix (79 %). De même que la candidature d’Éric Zemmour à la présidentielle dont les médias ont trop parlé pour 73 % des sondés. Les plus jeunes se montrent un peu plus cléments sur le transfert de Lionel Messi au Paris Saint-Germain, trop médiatisé pour un Français sur deux (50 %) et 46 % des 18-24 ans.

      De façon plus positive, les Français jugent que les médias ont accordé « la place qu’il faut » à une majorité d’événements soumis à leur appréciation : l’entrée de Joséphine Baker au Panthéon, les élections régionales et départementales, le départ d’Angela Merkel ou encore le procès des attentats du 13 novembre 2015. Une certaine reconnaissance de l’investissement éditorial pour des sujets jugés importants.

  • La France en marche EP64 - Les aventures de Jean Castex au pays des non vaccinés Studio Crapulax

    https://www.youtube.com/watch?v=IYEn9Ohm9_I

    Cette vidéo n’est pas sponsorisée par un jeu gratuit tout naze ni un VPN à la noix ni un parti politique !
    Si vous voulez soutenir mon taff et m’aider à me payer des test PCR, ça se passe ici : https://fr.tipeee.com/studio-crapulax
    Oyé oyé, la France en Marche est un programme satirique dont l’existence se justifie parce que « Je suis Charlie » !

    Si ce programme vous semble moins caricatural que la réalité, je décline toute responsabilité.
    En raison de la politique de censure arbitraire de Youtube, je vous invite à télécharger cette vidéo si elle vous a plu parce qu’elle, comme la chaine, n’est pas à l’abri d’une censure définitive et sans appel !

    Si vous souhaitez que je poste mon contenu sur Odysee, hésitez pas à me filer des crédits sur le site. https://odysee.com/@studiocrapulax:d
    J’ai ouvert une chaine télégram où je fous rien mais si ça vous dit de venir taper la discussion, z’etes bienvenus ! https://t.me/studiocrapulaxlafranceenmarche

    #humour #satyre #vaccination #EnMarche #crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccins #santé_publique #enfants #confinement #France #néo-libéralisme #ordo-libéralisme #injustice #populisme #violences_policières

  • Près de 40% des enfants ne sont pas allés au rendez-vous de vaccination en Flandre Explication logique.
    https://www.vrt.be/vrtnws/fr/2022/01/21/pres-de-40-des-enfants-ne-sont-pas-alles-au-rendez-vous-de-vacc

    Perte de confiance  : L’agence flamande "Zorg en Gezondheid" ("Soin et santé") constate que près de 32.000 enfants de 5 à 11 ans ne se sont pas présentés avec un parent au rendez-vous pour leur vaccination contre le Covid-19. Cela équivaut à près de quatre enfants sur dix (39%) éligibles à la vaccination en Flandre. L’Agence a également reçu un refus de la part des parents de 25.000 enfants invités (4,9%). Le baromètre de la motivation réalisé par les universités UCLouvain, ULB, KU Leuven et UGent révélait d’ailleurs mercredi que la motivation à suivre les mesures sanitaires dans le cadre de la pandémie de Covid-19 a diminué en un mois, alors que la méfiance à l’égard de la stratégie gouvernementale a augmenté. Le refus de faire vacciner son enfant chez les parents vaccinés a augmenté de près de 20%, passant ainsi de 41% fin décembre à 60%.

    Confinement des parents  : Le nombre élevé d’enfants qui ne sont pas allés se faire vacciner « est en partie dû aux personnes qui doivent être mises en isolement ou en quarantaine. Cela peut être le cas pour l’enfant lui-même, ou pour les parents qui ne peuvent plus amener l’enfant au centre de vaccination", expliquait ce vendredi Joris Moonens, porte-parole de l’Agence pour les soins et la santé.
    Pour les parents hésitant, les responsables de l’Agence soulignent qu’une prise de rendez-vous ultérieure sera toujours possible. "S’ils n’ont pas refusé, ils recevront une nouvelle invitation", poursuit le porte-parole. "Nous avions de toute façon tenu compte du fait que le taux de vaccination serait plus faible dans cette catégorie d’âge."

    Au total, plus de 514.000 enfants âgés de cinq à onze ans ont déjà été invités à se faire vacciner, soit 99,3 % des enfants flamands de 5 à 11 ans. Les quelques invitations qui n’ont pas encore été adressées seront envoyées dans les prochains jours.

    Une première dose de vaccin a déjà été administrée à 87.117 enfants (17%) en Flandre. La campagne de vaccination des enfants y a démarré le 30 décembre dernier à Gooik (Brabant flamand). En Wallonie, la vaccination des enfants de 5 à 11 ans a débuté mercredi et comptabilisait 15.000 réservations mardi.

    #vaccination #crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccins #santé_publique #enfants #confinement

  • Comment le #SARS-CoV-2 peut évoluer en #variant préoccupant chez un individu #immunodéprimé – Réalités Biomédicales
    https://www.lemonde.fr/blog/realitesbiomedicales/2022/01/19/comment-le-sars-cov-2-peut-evoluer-en-variant-preoccupant-chez-un-individu-i

    Sandile Cele et ses collègues sont parvenus à isoler le virus vivant dans plusieurs prélèvements successifs, notamment 190 jours après le diagnostic de Covid-19, montrant par la même que la patiente excrétait alors du virus infectieux.

    […]

    Les chercheurs ont testé la capacité d’anticorps de sujets convalescents infectés par la souche ancestrale à neutraliser les isolats viraux collectés à J6, J20 et J190. Il ressort qu’à J190 le pouvoir neutralisant des anticorps était considérablement réduit par rapport à J6, ce qui indique donc un accroissement progressif de l’échappement immunitaire.

  • Coronavirus : la Tchéquie renonce à la vaccination obligatoire Belga
    https://www.rtbf.be/article/coronavirus-la-tchequie-renonce-a-la-vaccination-obligatoire-10918073

    La Tchéquie renonce à l’obligation de vaccination pour les personnes de plus de 60 ans, le personnel de santé, les policiers, les pompiers et le personnel militaire. La mesure devait entrer en vigueur le 1er mars, mais le nouveau gouvernement de centre-droit l’a abandonnée en raison des divisions sociales.

    Lorsque le gouvernement précédent a pris la décision en décembre, il n’était déjà pas certain que le nouveau gouvernement poursuive dans cette voie. Plusieurs partis gouvernementaux se sont prononcés contre l’obligation de vaccination.


    « Cela ne change pas notre position sur la vaccination, c’est sans doute le meilleur moyen de lutter contre le Covid-19 », a déclaré le Premier ministre Petr Fiala. « Cependant, nous ne voyons aucune raison à la vaccination obligatoire, nous ne voulons pas approfondir les divisions dans la société. »

    L’Autriche voisine doit devenir le premier pays européen à introduire une obligation de vaccination pour les plus de 18 ans à partir du mois prochain. Le parlement de Vienne devrait voter en ce sens cette semaine.

    #vaccination #crise_sanitaire #Tchéquie #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccins #santé_publique

     

    • Il a inventé son agression au centre de vaccination
      http://www.lessentiel.lu/fr/news/grande_region/story/il-a-invente-son-agression-au-centre-de-vaccination-31950116

      Le collaborateur d’un centre de vaccination de Munster, dans le Haut-Rhin, qui avait affirmé avoir été « violemment agressé », a reconnu avoir menti. Il a été placé en garde à vue.

      Le collaborateur d’un centre de vaccination de Munster, dans le Haut-Rhin, qui avait affirmé avoir été « violemment agressé » par trois personnes début janvier a reconnu avoir menti et a été placé en garde à vue, a annoncé mercredi le parquet de Colmar. « Face à un certain nombre de contradictions entre les constatations faites et les déclarations du plaignant, ce dernier a été ré-entendu mercredi matin et a indiqué avoir menti : il n’a pas été agressé mais s’est auto infligé les blessures qui ont été constatées par les médecins », a indiqué dans un communiqué la procureure de la République de Colmar, Catherine Sorita-Minard.

      Placé en garde à vue pour « dénonciation mensongère d’un délit imaginaire » - faits passibles de 6 mois de prison et 7 500 euros d’amende -, il a indiqué « s’être blessé lui-même volontairement à l’aide d’une seringue et d’un cutter personnels et en se donnant des coups avec les poings sur la cuisse », a poursuivi la magistrate. Il a expliqué son geste « par un mal-être qu’il ressent » et « qui l’aurait incité à cette mise en scène », selon Mme Sorita-Minard.

      Expertise psychiatrique
      Sa garde à vue a été levée par la procureure qui a diligenté « une expertise psychiatrique » et « une enquête de personnalité, afin de pouvoir donner à cette affaire les suites pénales adaptées », a-t-elle indiqué. Cet homme avait affirmé le 8 janvier avoir été agressé à la fermeture du centre de vaccination de Munster, vers 20h. Une enquête de flagrance pour « violences en réunion avec arme et avec préméditation » avait été ouverte par le parquet et confiée à la section de recherches de la gendarmerie de Colmar.

      La prétendue agression avait suscité une forte émotion dans la vallée de Munster et bien au-delà en France. Dans un communiqué commun, le préfet du Haut-Rhin et la directrice générale de l’Agence régionale de Santé (ARS) du Grand Est avaient dénoncé « un acte inacceptable ».

  • #Suisse : Alessandro Diana : « Les effets secondaires sont moindres après la 3e dose » gma
    https://www.rts.ch/info/suisse/12799755-alessandro-diana-les-effets-secondaires-sont-moindres-apres-la-3e-dose.

    Alors que plusieurs cas d’inflammations du coeur ont été recensés, notamment dans le monde du sport, l’infectiologue Alessandro Diana reconnaît qu’un lien peut exister avec le vaccin contre le Covid-19. Selon lui, les effets secondaires sont toutefois « moindres » après la troisième dose.

    Deux athlètes suisses ont annoncé ces derniers jours souffrir d’une péricardite et d’une myocardite, des maladies cardiaques inflammatoires.

    Si la marathonienne Fabienne Schlumpf n’a pas évoqué le vaccin contre le coronavirus, la sprinteuse vaudoise Sarah Atcho a clairement fait le lien entre ses symptômes et la troisième piqûre.

    Selon Alessandro Diana, la myocardite et la péricardite sont des effets secondaires graves des vaccins à ARNm contre le Covid-19. « Ce sont surtout les hommes de moins de 30 ans qui sont touchés. Il y a une incidence de 6 cas sur 100’000 après la deuxième dose. Mais ce chiffre est faible en comparaison avec celui des personnes qui contractent le virus. L’incidence est de 40 cas sur 100’000 pour des myocardites dues au virus », explique le spécialiste mercredi dans La Matinale.

    Essoufflement et fatigue
    L’infectiologue indique par ailleurs qu’il y a moins d’effets secondaires après la troisième dose de vaccin. « Cela concerne les effets banals, comme les maux de tête ou la fièvre, mais également les myocardites, qui sont moins rapportées. »

    Ces inflammations cardiaques, qui peuvent survenir dans les deux semaines après l’injection, se manifestent par un essoufflement et un état de fatigue prolongé. « Quand elles surviennent après une vaccination, elles sont généralement moins importantes que des myocardites provoquées par le virus. Elles ne requièrent souvent pas une hospitalisation », relève Alessandro Diana.

    Virginie Masserey, cheffe de section à l’Office fédéral de la santé publique (OFSP), rappelle pour sa part que le rapport bénéfices-risques est toujours en faveur de la vaccination.

    « Ces myocardites et péricardites évoluent généralement favorablement. Si les gens ont des palpitations et des douleurs thoraciques, ils doivent aller consulter un médecin et se mettre ensuite au repos », ajoute la spécialiste.

    #myocardites #péricardites #crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccins #santé_publique

  • La vaccination des enfants ne décolle pas à #Bruxelles
    https://www.rtbf.be/article/la-vaccination-des-enfants-ne-decolle-pas-a-bruxelles-10917110

    On s’attendait à des débuts difficiles, cela se confirme" , affirme ce matin Inge Neven lors du point presse hebdomadaire de la Cocom, l’institution en charge de la vaccination Covid à Bruxelles.

    A peine 6% du total des enfants bruxellois âgés de 5 à 11 ans ont jusqu’ici reçu une première dose de vaccin. « Mais en fait, c’est plutôt environ 2% », explique Inge Neven. « Parce que l’Institut fédéral Sciensano prend le 1er janvier… 2021 comme date référence pour calculer l’âge des enfants. Cela signifie donc que ceux qui avaient 11 ans à cette date ont forcément plus de 12 ans aujourd’hui, en janvier 2022, et ne font donc plus partie de la catégorie des enfants ».

    Or, les enfants âgés de 11 ans (selon les critères Sciensano) sont 4.790 jusqu’ici à avoir reçu une première dose à Bruxelles. Mais les 5-10 ans qui l’ont reçue sont, eux, à peine 2.857.

    La campagne de vaccination des 5-11 ans, avec des doses de vaccins plus légères, spécifiquement adaptées aux enfants, a débuté officiellement lundi dernier 10 janvier à Bruxelles. Elle avait été précédée d’une phase test lancée, elle, le 22 décembre. Lors de cette phase test, un seul centre de vaccination accueillait les enfants, le centre Pacheco dans le centre-ville. Depuis le 10 janvier, ce sont 7 centres qui accueillent désormais les enfants et leurs parents (Pacheco, Anderlecht, Forest, Hôpital Militaire Reine Astrid, Molenbeek, Uccle et Woluwe-Saint-Pierre). Pour rappel, il est obligatoire de prendre rendez-vous à l’avance pour faire vacciner son enfant contre le Covid.

    En Wallonie, la phase test pour vacciner les plus jeunes a débuté le 10 janvier. En Flandre, les premières vaccinations des 5-11 ans ont eu lieu le 30 décembre.

    #Suisse : Pourquoi la vaccination des enfants a peu de succès Laure Lugon
    https://www.letemps.ch/suisse/vaccination-enfants-succes

    Le taux n’est pas glorieux : seulement 4,1% des 5-11 ans ont reçu au moins une dose de vaccin, depuis que cette possibilité est ouverte à cette catégorie d’âge. Dans certains cantons, le taux frôle même l’insignifiance. Ainsi, Genève n’affichait le 16 janvier que 0,5%, le Valais 0,7%, le Jura 1,1%, Fribourg et Vaud 1,3%, Neuchâtel 1,4%. Même s’il faut nuancer, puisque vendredi dernier, Genève par exemple comptait 1900 enfants inscrits en attente du vaccin.

     #crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccins #santé_publique

  • Effets de la vaccination sur l’épidémie

    https://www.youtube.com/watch?v=_x-eozrCCNM

    Constat curieux : Les vagues de vaccination et de contamination arrivent en même temps.
    Marseille, les contaminations augmentent dans les beaux quartiers, suite au retour des sports d’hiver.
    « Dans les pays où on a le plus vacciné, il y a le plus de cas ».
    . . . . .

     #crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccins #santé_publique #raoult #didier_raoult #france

  • Où l’on nous explique que, à l’échelle mondiale (sauf rares exceptions insulaires et/ou autoritaires), les dirigeants ont fait le choix de laisser filer les contaminations par #omicron sur un air d’immunité collective. C’est comment qu’on leur explique que #SARS-CoV2 n’est pas une grippette ?

    Le Covid bientôt dans une phase endémique ? Voici ce que cela signifiera vraiment le jour venu | Atlantico.fr
    https://atlantico.fr/article/decryptage/le-covid-bientot-dans-une-phase-endemique-voici-ce-que-cela-signifiera-vra

    Tout le monde parle de la Covid qui serait en train de devenir endémique, mais en écoutant ce qui se dit, il devient de plus en plus clair que très peu d’entre vous savent ce que signifie « endémique ». Voici donc une leçon sur la façon dont les pandémies se terminent.

    Au début de toute pandémie, nous avons quatre options pour ce qui pourrait arriver :

    1) une maladie persistante, avec des poussées plus ou moins importantes.

    2) élimination locale de la maladie

    3) éradication mondiale de la maladie

    4) extinction complète de l’agent pathogène

    • Un thread pour remettre un peu de raison dans toute cette affaire « endémique ». Et non, le rassurisme ne marche pas pour lutter contre une pandémie virale.

      https://threadreaderapp.com/thread/1483353969707700224.html

      Je vous rappelle juste que les gens qui disent « laissons le virus devenir endémique, il faut apprendre à vivre avec le virus », vous parlent d’un virus qui a lui seul tue un million d’Européens par an QUAND ON PREND DES MESURES. Eux veulent les supprimer.
      Sérieux quoi
      Tu crois qu’on en a pas marre nous ? Qu’on aimerait pas qu’un vieil antipaludique, un antibiotique, un vermifuge pour cheval ou des compléments alimentaires soignent facilement et efficacement cette saloperie ? Ou n’importe quoi d’autre ! Qu’on préférerait pas que l’infection
      soit immunisante à vie, et qu’une dose de vaccin aussi ? Qu’on rêve pas que le virus mute juste une dernière fois en un semi-rhume, même pas, et hop plus jamais ? Qu’on ne prie pas un dieu auquel on ne croit pas pour qu’un miracle arrête tout ça ?
      Évidemment que si bordel
      On achetèrait des poupées vaudou si ça marchait
      Seulement ça marche pas.
      C’est ça la différence. On ne s’arrête pas à espérer, on regarde aussi ce qu’il en est dans la réalité. Et dans la réalité, les protocoles Raoult (oui, LES) sont des échecs retentissants, l’infection protège au mieux quelques mois, les vaccins ont été développés contre la souche
      sauvage d’un virus qui a muté plusieurs fois depuis – sans déconner c’est déjà un miracle de la science d’avoir des vaccins aussi efficaces aussi rapidement, vous vous rendez pas compte de la chance qu’on a – et qui continue à le faire, parce qu’il circule largement, et que non,
      il n’y a AUCUNE raison de penser qu’il va nécessairement perdre en dangerosité « parce qu’il n’a aucun intérêt à tuer son hôte » ou que sais-je encore. C’est un VIRUS. L’évolution ne suit pas un but, les espèces n’ont pas d’objectif. Il n’y a pas d’intention. C’est pas comme ça que
      ça marche et des exemples de pathogènes qui sont restés graves ou pire, sont devenus plus mortels, il y en a un paquet. Et les interventions divines, ça n’existe pas. Lourdes, on vous a menti, désolé.
      En revanche, des trucs qui marchent, on en a. On en connaît.
      L’objectif à court terme c’est que les gens meurent moins, souffrent moins, aient moins de séquelles, tombent moins malades, soient moins contagieux et que le virus circule moins pour limiter les contaminations et ses possibilités de muter et répandre ses mutations.
      Et ça, on sait au moins en partie le faire.
      Pour ce qui est des soins directs, on a beaucoup appris et quoiqu’on ait pu vous dire, non seulement on soigne les patients mais on les soigne de plus en plus efficacement. Par contre, ceux qui arrivent en soins intensifs ont encore et toujours un taux de survie pas ouf et
      surtout, un temps de rétablissement particulièrement long et pénible ce qui est NORMAL. LA RÉA, C’EST PAS UN SPA. LA RÉA, C’EST CACA. Entrent en soins intensifs les patients EXTRÊMEMENT MALADES OU BLESSÉS. Par définition. Et c’est une épreuve.
      On fait subir à l’organisme des choses dont vous n’imaginez pas la violence. Parce que sinon, le patient meurt. Et ça, ça implique plusieurs vérités insupportables : d’une part, tous les patients ne peuvent y être admis, parce qu’à partir d’un certain point, leur corps ne le
      supporterait tout simplement pas. Cest trop tard, trop loin, trop. En conséquence, tous les patients ne peuvent y être admis. On ne fait pas subir ça à quelqu’un qu’on a aucune chance de sauver. Ça reviendrait à torturer quelqu’un qui va de toute façon mourir de sa maladie ou ses
      blessures. On ne fait pas ça. Autre sinistre vérité, tous les patients ne survivront pas. Parce qu’ils arrivent dans un état tellement dramatique, on ne peut pas tous les sauver. C’est comme ça. Autre chose : ça implique également un personnel à la fois extrêmement qualifié et
      spécialisé et extrêmement nombreux en comparaison avec la médecine « normale », ainsi qu’un matériel extrêmement lourd, complexe, coûteux et spécifique. Et évidemment une charge de travail et une charge psychologique extrêmes. Autre vérité pas très rigolote : quand un patient est
      à ce point malade ou blessé, et qu’il subit tout ce qu’il a fallu lui faire subir pour qu’il ne meure pas, quand il sort des soins intensifs, autant vous dire que c’est loin d’être fini. Il est dans un état DÉPLORABLE. Mais il est VIVANT. Donc il va passer du temps en
      hospitalisation classique et en ambulatoire, il va devoir faire de la rééducation, il va lui falloir du temps et des soins. Et parfois, il gardera des séquelles. LE BUT DU JEU C’EST DE NE PAS ALLER EN RÉA. Vraiment.
      Et là du coup peut-être que vous comprenez pourquoi on vous dit que la surcharge hospitalière est un problème. Parce que la, on en arrive à ne pas accepter en soins intensifs des gens qui y auraient été éligibles en temps normal. On en arrive à renvoyer chez eux des gens qui
      auraient dû bénéficier de soins longs, comme une surveillance et une oxygénation en hôpital, ou de la rééducation. On renvoie des gens chez eux en SACHANT qu’ils auront des séquelles parfois À VIE parce qu’il n’y a personne pour les soigner.
      Mais toujours est-il qu’aujourd’hui, les patients covid grave ont plus de chance de sortir vivant de l’hôpital. On sait mieux les soigner. On a des protocoles – oui vous le connaissez bien ce mot 😏 – efficaces. Pas parfaits, loin s’en faut. Mais on a parcouru un sacré chemin
      depuis les tous débuts de la pandémie. On n’a toujours pas de traitement miracle, et c’est malheureusement assez récurrent pour les infections virales, mais on a des traitements. Et oui, le paracétamol en fait partie, évidemment, surtout dans les covid peu intenses à costauds.
      Parce que oui, le paracétamol est un excellent médicament, qui permet de lutter efficacement contre la fièvre et les douleurs. Or dans les symptômes principaux du covid non grave, on a la fièvre et les douleurs. Donc oui, on donne du putain de paracétamol.
      Sérieux, je croyais que c’était votre truc, les molécules éprouvées et bon marché ? Pourquoi vous gueulez « DOLIPRANE » comme ça dès qu’on parle de soins covid ? Faut arrêter maintenant...
      Comme je le disais, l’objectif c’est que les gens meurent moins et on a vu que ça, on arrive à peu près à le faire mais la meilleure solution, ça reste de ne pas faire de forme grave. Ou au moins qu’il y ait suffisamment peu de formes graves pour que le système de santé aie les Image
      moyens de s’en occuper correctement (ainsi que tous les autres patients, parce qu’il n’y a pas que le covid). Et pour ça, on a réussi à mettre au point une prophylaxie redoutablement efficace.
      Il existe un protocole préventif qui permet de drastiquement réduire les risques de décès, de considérablement réduire les risques de covid grave, de beaucoup réduire les risques de covid symptomatiques, de passablement réduite les risques de transmettre le covid et même
      de réduire les risques d’attraper le covid. Ça semble inespéré, pas vrai ?
      Malheureusement, même si ce produit est en réalité largement disponible et extrêmement bon marché, beaucoup de gens font beaucoup d’efforts pour vous convaincre de ne pas l’employer.
      Ça n’arrange pas leurs affaires, ça entre en conflit avec leurs intérêts, ça bouscule leur vision étriquée du monde. Alors ils mentent sans vergogne, pratiquent un lobbying intensif auprès des responsables politiques, dans les médias mainstream, sur les réseaux sociaux, dans
      la rue. Pourtant, ce protocole préventif existe et il est efficace.
      ÇA S’APPELLE UN VACCIN
      Vaccinez-vous.
      Et arrêtez de dire des bêtises pareilles, nom de dieu. Image
      Sans déconner, un vermifuge pour chevaux serait plus sûr qu’un vaccin ? Spoiler : non.
      On a vérifié.
      L’IVERMECTINE NE FONCTIONNE PAS DANS LE COVID
      Donc les soins et le vaccin, on coche déjà toutes les cases. Mais malheureusement, ça ne suffit pas. Image
      Ben non, parce que – à l’heure où j’écris ces lignes et pour encore un moment malheureusement, j’en ai peur – les vaccins disponibles sont certes très efficaces pour vous éviter de mourir ou de faire une forme grave, mais ils ne sont pas super efficaces pour vous empêcher
      d’attraper le virus, de faire une forme asymptomatique, voire symptomatique mais pas trop grave, ou encore de transmettre la maladie si vous la chopez.
      Ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit : ils réduisent la contagiosité ET le risque d’infection. À des niveaux loins d’être négligeables et ce d’autant plus qu’ils se cumulent.
      Ben oui : X chances de tomber malade × Y chances de contaminer quelqu’un. Il faut être porteur pour être contagieux. Au minimum. Donc réduire X et Y, ça fait plus que se cumuler.
      Mais malheureusement, on reste quand même à des niveaux insuffisants pour espérer sortir de la pandémie avec juste les vaccins actuels. Il faut donc d’autres solutions. En plus.
      Et ça tombe bien, on en a.
      On sait depuis plus d’un an et demi comment le virus se propage.
      Et c’est dans l’air.
      #COVIDisAirborne
      Donc on renouvelle l’air.
      On aère, on ventile, on filtre si nécessaire.
      Mais sinon, à part ça ?
      Ben on porte un masque.
      Le virus est dans votre nez et vos poumons, globalement. Donc masque et masque SUR LE NEZ. Le problème, ce ne sont PAS les gouttelettes qui suivaient une trajectoire balistique.
      Nope.
      C’est l’air qui sort de vos poumons et votre nez, et celui qui entre dans votre nez et vos poumons.
      Il se comporte exactement comme la fumée de cigarette. Il sort et stagne, des heures si vous ne renouvelez pas l’air régulièrement.
      Donc masque chirurgical ou FFP2 selon le niveau de monde, de proximité et de renouvellement de l’air. Et vaccination.
      Image
      C’est un tout, un ensemble. Un élément ne suffit pas. Image
      Bref.
      On peut s’en sortir. Collectivement. Parce que c’est une crise collective. Elle nous touche tous.
      Nous sommes tous responsables des décisions que nous prenons. Et nous pouvons choisir de prendre des décisions qui accéléreront la sortie de crise pour tout le monde, ou le contraire.
      Et il ne s’agit pas de sacrifier l’économie, ou la jeunesse, ou la liberté pour gratter quelques années de vie pour des vieillards. Ça, c’est un mensonge.
      Tous ensemble, on s’en sortira. Mais faire semblant qu’on en est déjà sorti n’aidera absolument personne, ni à court, ni à moyen, ni à long terme. Au contraire.
      Et essayer de convaincre le plus de gens possible que les solutions existantes n’en sont pas, que la pandémie n’existe pas, bref qu’il ne faut plus lutter, ce n’est pas juste de l’aveuglement ou de la lâcheté.
      C’est lutter activement pour contribuer à aggraver la situation.
      Si c’est votre cas, ayez conscience que vous n’êtes pas anti-mesures, pro-liberté, antivax ou anti-ce-vax. Vous êtes pro-covid.
      Et ça, c’est un peu dommage.
      Je suis le premier à dire que la plupart des gouvernements dans le monde ont géré – et gèrent encore – la situation d’une façon qui oscille entre « mouais » et « dude wtff ?! ».
      Et partant de là, c’est compliqué de faire confiance.
      Je suis le premier à dire que certains médias ont couvert – et couvrent encore – la pandémie d’une façon qui oscille entre « ah, il y a des petites erreurs factuelles, dommage » et « are you fouting my gueule ?!? ».
      Et là aussi, ça complique la relation de confiance.
      Je suis le premier à dire que les spécialistes ont communiqué – et communiquent encore – d’une façon qui oscille entre « wow, impressionnant travail de vulgarisation, factuel, clair et accessible » et « sinon, pourquoi il est pas zonzon déjà lui ? ».
      Et une fois encore, merde.
      Et je ne parle même pas de la loi de Brandolini ou de l’efficacité du marketing des marchands de peur qui ont gagné beaucoup d’argent et de valorisation – voire d’adeptes – en vendant des consultations, des livres, des conférences, des goodies, des extracteurs de jus et autres...
      Loi de Brandolini — Wikipédia
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Loi_de_Brandolini?wprov=sfla1
      Ni des politiciens de tous bords qui surfent comme toujours sur la vague sans le moindre scrupule – oh, on parle d’argent, de pouvoir, d’influence, de reconnaissance putain, on fait pas d’omelette sans casser des œufs, et là, quelle omelette mes amis !
      Alors oui, forcément, ça peut être compliqué de savoir qui ment, de savoir à qui faire confiance, surtout quand on n’y connaît pas grand-chose – voire carrément rien.
      Je comprends.
      Mais ça fait deux ans maintenant.
      (Et pour certains, bien plus)
      Qu’ils se trompent systématiquement, qu’ils sont rattrapés par leurs mensonges et leurs falsifications, encore et encore.
      Alors réfléchissez. Il n’y a pas de honte à s’être trompé et à s’en rendre compte. Ça fait un peu chier, ça écorne un peu l’ego. Mais c’est comme ça qu’on avance. Qu’on apprend. C’est honorable.
      Persévérer dans son erreur quand tout autour de nous nous hurle qu’on se trompe, ça n’est pas une preuve de courage ou d’intelligence.
      On va s’en sortir. Tous ensemble. On affronte le problème et on le résout. Même si c’est difficile.

      Source : https://twitter.com/DracoAlpestris/status/1483353969707700224

  • #Frantz_Fanon

    Le nom de Frantz Fanon (1925-1961), écrivain, psychiatre et penseur révolutionnaire martiniquais, est indissociable de la #guerre_d’indépendance algérienne et des #luttes_anticoloniales du XXe siècle. Mais qui était vraiment cet homme au destin fulgurant ?
    Nous le découvrons ici à Rome, en août 1961, lors de sa légendaire et mystérieuse rencontre avec Jean-Paul Sartre, qui a accepté de préfacer Les Damnés de la terre, son explosif essai à valeur de manifeste anticolonialiste. Ces trois jours sont d’une intensité dramatique toute particulière : alors que les pays africains accèdent souvent douloureusement à l’indépendance et que se joue le sort de l’Algérie, Fanon, gravement malade, raconte sa vie et ses combats, déplie ses idées, porte la contradiction au célèbre philosophe, accompagné de #Simone_de_Beauvoir et de #Claude_Lanzmann. Fanon et Sartre, c’est la rencontre de deux géants, de deux mondes, de deux couleurs de peau, de deux formes d’engagement. Mais la vérité de l’un est-elle exactement celle de l’autre, sur fond d’amitié et de trahison possible ?
    Ce roman graphique se donne à lire non seulement comme la biographie intellectuelle et politique de Frantz Fanon mais aussi comme une introduction originale à son œuvre, plus actuelle et décisive que jamais.

    https://www.editionsladecouverte.fr/frantz_fanon-9782707198907

    #BD #bande_dessinée #livre

    #indépendance #Algérie #Organisation_armée_secrète (#OAS) #décolonisation #biographie #colonisation #France #souffrance_psychique #syndrome_nord-africain #violence #bicots #violence_coloniale #lutte_armée #agressivité #domination #contre-violence #violence_politique #violence_pulsionnelle #Jean-Paul_Sartre #Sartre #socialthérapie #club_thérapeutique_de_Saint-Alban #François_Tosquelles #Saint-Alban #Septfonds #narcothérapie #négritude #école_d'Alger #Blida #primitivisme #psychiatrie_coloniale #insulinothérapie #cure_de_Sakel #sismothérapie #choc #autonomie #révolution #Consciences_Maghrébines #André_Mandouze #Amitiés_Algériennes #Wilaya #Association_de_la_jeunesse_algérienne_pour_l'action_sociale (#AJASS) #Alice_Cherki #maquis #montagne_de_Chréa #torture #attentats #ALN #FLN #El_Moudjahid #congrès_de_la_Soummam #pacification_coloniale #Septième_Wilaya #massacre_de_Melouze #opération_Bleuite #histoire

  • Claude-Alexandre GUSTAVE sur Twitter : https://twitter.com/C_A_Gustave/status/1482036196779958284

    « Les 2 virus [ceux de la #rougeole et du #COVID-19] ont des capacités d’échappement immunitaires incomparables. #SARS-CoV-2 = virus émergent, début de son histoire évolutive, #Omicron n’est que le 1er #variant à échappement immunitaire. Le virus peut encore ↗️ sa transmission et échappement.

    Pour la rougeole, ce n’est pas le cas. Le virus a déjà atteint son optimum de "fitness" et toute mutation associée à l’échappement immunitaire fait ↘️ ses capacités de transmission chez l’Homme = pas d’échappement immunitaire pour la rougeole. »

  • Viral dynamics and duration of PCR positivity of the #SARS-CoV-2 #Omicron #variant
    https://dash.harvard.edu/handle/1/37370587

    Thread by jameshay218 on Thread Reader App – Thread Reader App
    https://threadreaderapp.com/thread/1481754708368891907.html

    1) High % had Ct<30 at day 5 post detection

    2) Omicron had lower peak viral load and more variable early viral growth durations than Delta

    […]

    Take home 1: ~50% of individuals have low Cts ≥5 days post detection, even in this highly-boosted population (see also tinyurl.com/2p8858jt). A cautious approach to shortening isolation may therefore be warranted, noting that the decision balances multiple factors. 10/13

    Take home 2: Peak viral load, proxied by Ct values, is lower, and peaks no sooner, than for Omicron than Delta. So Omicron’s increased infectiousness doesn’t seem to be through higher viral load (at least as measured in the nose and mouth by Ct values). 11/13

  • Changement de ton à propos de la « pandémie »
    De nouvelles sommités sont appelées à remplacer les fameux experts

    Madame Alice Desbiolles est autorisée, juchée sur le strapontin d’Europe numéro 1, à critiquer la stratégie du Jupiter Élyséen du pass-vaccinale « quoi qu’il en coûte » et du vaccin à tout crin.

    https://www.youtube.com/watch?v=kMiqjwlOAe8&feature=emb_imp_woyt

    Au #Canada, Le Dr Horacio Arruda a remis sa démission. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1853290/depart-directeur-national-sante-publique-quebec-pandemie-covid-19?d
    . . . . .
    "François Legault cherchera fort probablement à lui faire porter l’odieux de la situation actuelle. Or, le départ du Dr Arruda ne réglera rien. Les décisions sont prises par le premier ministre et doivent être fondées sur la science et non les sondages et son intuition." – Dominique Anglade, cheffe du Parti libéral du Québec.
    . . . . .
    "Le Dr Arruda s’est sacrifié pour les mauvaises décisions du gouvernement, mais le problème structurel demeure : il y a dans la cellule de crise un seul scientifique pour 15 spécialistes de la politique et des communications au service des décisions politiques de François Legault. Le Dr Arruda a été placé devant une crise sanitaire inédite et dans une cellule de crise où son indépendance et sa marge de manœuvre étaient loin d’être évidentes. Dans des circonstances très difficiles, il a donné le meilleur de lui-même, et il faut l’en remercier." – Paul St-Pierre Plamondon, chef du Parti québécois.

    #Doxa #crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #santé #information

  • Le cannabis peut prévenir l’infection au coronavirus, selon une étude américaine Belga
    https://www.lalibre.be/planete/sante/2022/01/12/le-cannabis-peut-prevenir-linfection-au-coronavirus-selon-une-etude-americai

    Les composants du cannabis peuvent empêcher le coronavirus de pénétrer dans les cellules saines, selon une étude de laboratoire publiée dans le « Journal of Nature Products ». D’après des chercheurs de l’université de l’Oregon, deux substances du chanvre, le CBGA et le CBDA, peuvent contrecarrer le virus.

    Ces composants se sont attachés à des protéines du virus et ont bloqué une substance que l’agent pathogène utilise pour infecter les personnes. Les scientifiques ont effectué des tests en laboratoire avec les variants Alpha et Bêta du Covid-19, mais n’ont pas mené d’études sur l’homme.

    Le chanvre est utilisé dans toutes sortes de produits, y compris les aliments. « Ces composants, qui peuvent être pris par voie orale, ont une longue histoire d’utilisation sûre chez l’homme », confirme le chercheur Richard van Breemen de l’université de l’Oregon. « Ils ont le potentiel de prévenir et de traiter l’infection par le coronavirus. »

    #canabis #Chanvre #crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #santé

  • #Belgique : Ce mercredi 12 janvier 2022 : la courbe des admissions se distancie nettement de celle des contaminations * RTBF
    https://www.rtbf.be/info/societe/detail_coronavirus-en-belgique-ce-mercredi-12-janvier-2022-la-courbe-des-admiss

    Les chiffres de l’épidémie de coronavirus en Belgique sont plutôt rassurants ce mercredi : malgré des chiffres de contaminations qui continuent à exploser, la moyenne des admissions ne suit absolument pas le même mouvement, au contraire, elle est même en diminution ces deux derniers jours, comme le montre ce graphique.

    Les chiffres révélés ce matin, et qui concernent surtout les entrées à l’hôpital de lundi, montrent en effet une diminution par rapport au même jour de la semaine précédente, et ce pour le deuxième jour consécutif. C’est ce qui fait baisser le chiffre de cette moyenne sur 7 jours.

    Si on compare les chiffres de la semaine écoulée par rapport à la semaine complète, il reste une légère augmentation, mais dont le taux diminue (+10% contre +22% il y a quelques jours), et surtout sans aucune mesure avec la hausse des contaminations (+99%).

    Les indices continuent ainsi à s’accumuler, en Belgique et ailleurs dans le monde, d’une sévérité moins grave d’Omicron : la ministre de la Santé bruxellois a ainsi révélé qu’il n’y avait pas le moindre patient contaminé avec Omicron dans les soins intensifs bruxellois.

    Des soins intensifs qui continuent d’ailleurs à afficher globalement sur le pays une tendance à une moindre occupation (-11% par rapport à la semaine précédente). Le nombre de décès poursuit lui aussi une baisse importante (-29% par semaine).
    . . . . . . . .

    #tests #dépistage #crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #santé #vaccins

    • Aucun patient Omicron dans les hôpitaux bruxellois : est-ce la preuve qu’Omicron est définitivement moins sévère ? RTBF
      https://www.rtbf.be/info/societe/detail_aucun-patient-omicron-dans-les-hopitaux-bruxellois-est-ce-la-preuve-qu-o

      Malgré une incidence record depuis le début de l’épidémie, il n’y a, pour le moment, aucun patient infecté par Omicron en soins intensifs dans les #hôpitaux bruxellois. C’est la bonne nouvelle annoncée mardi par la Cocom (Commission Communautaire Commune de Bruxelles).

      L’incidence, soit le nombre d’infections sur 100.000 personnes, a pourtant atteint un record avec plus de 3000 cas positifs sur 14 jours, tout comme le taux de positivité de 30%.

      Les hospitalisations, elles, augmentent, mais beaucoup plus doucement que les cas, qui font plus que doubler en une semaine. « On est passé de plus ou moins 350 personnes admises la semaine passée à 450 cette semaine, a commenté Inge Neven. Mais l’occupation des lits en soins intensifs est en légère diminution. D’après les retours reçus des hôpitaux, les patients soignés sont encore principalement des personnes infectées par le variant Delta ».

      La bonne nouvelle, vu la hausse spectaculaire des contaminations, c ’est que les patients infectés avec le nouveau variant ne nécessitent souvent que des soins plus légers : « Les personnes contaminées par le variant Omicron qui arrivent à l’hôpital n’ont pour le moment besoin que de soins ’normaux’ et il n’y a pas encore de patient avec #Omicron en soins intensifs », a-t-elle ajouté.
      . . . . . . .
      En #Afrique_du_Sud, la vague est passée avec beaucoup moins de conséquences sur les hôpitaux que les précédentes. Dans toutes les tranches d’âge, il y a eu moins d’hospitalisations par rapport au nombre de cas (record), et des séjours plus courts.

      Au #Royaume-Uni, on semble tout juste avoir passé le pic, avec des admissions qui semblent repartir vers le bas. Les services hospitaliers ont plus été préoccupés par les absences, très nombreuses, du personnel, en lien avec les contaminations que par les cas graves : le nombre de patients Covid en réanimation n’a lui que très peu augmenté.

      Au #Danemark, malgré un nombre de contaminations record, l’impact a été très léger sur les hôpitaux. A la fin décembre, il y avait toujours moins de 5 patients identifiés Omicron en unités de soins intensifs. A ce jour, il reste 71 patients Covid en tout, contre 61 avant l’arrivée d’Omicron.

      En #Norvège, « L’analyse préliminaire des données suggère que le risque d’hospitalisation avec le Covid-19 comme cause principale est 69% plus bas avec le variant Omicron comparé aux infections avec le variant Delta », selon l’Institut norvégien de santé publique.

      En #France, Selon les premières données sur les hospitalisations par variant, du 1er décembre 2021 au 4 janvier 2022 dans la capitale, les patients infectés par Omicron auraient surtout besoin d’une hospitalisation conventionnelle plutôt que de soins critiques. La durée de l’hospitalisation serait aussi réduite, avec une prise en charge inférieure à une journée pour 43% des patients infectés par le variant Omicron contre 19% des patients touchés par Delta.

  • #Tournai (Belgique) : Actuellement, le nombre de patients diminue chaque semaine au CHwapi.
    https://www.notele.be/it18-media108457-covid-le-chwapi-s-attend-a-une-hausse-des-hospitalisations-d

    Avec 16 patients Covid, le CHwapi a repris ses activités normales. Néanmoins, l’arrivée d’Omicron laisse les médecins perplexes quant à la capacité du centre hospitalier d’avoir suffisamment de personnel. En effet, depuis la 4ème vague, il a été observé que le taux d’absentéisme s’élève à 15% chez le personnel soignant. Ce taux s’explique par l’enchainement des vagues Covid depuis bientôt 2 ans, forçant le personnel à travailler sans relâche.


    Pourtant, avec la 5ème vague qui approche, l’hôpital s’organise et anticipe avec la création d’une unité Covid en pédiatrie. « Omicron diffère des autres variants à bien des égards. La nouveauté est qu’il touche tout le monde. Les personnes âgées ne sont plus les seules à être impactées, bon nombre d’enfants comme de femmes enceintes le sont également. De plus, sa durée d’incubation passe à 3 jours contre 5 auparavant », explique Mélanie Delvallée, infectiologue.

    Suivant les inquiétudes que cette nouvelle vague procure, la dose booster est fortement conseillée. Il a été observé qu’elle diminuerait les chances d’hospitalisation et permettrait une guérison plus rapide.
    Caroline Colard

    #tests #dépistage #crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #santé #soignants #enfants

  • « Ils pleurent, se débattent, hurlent » : le cri du cœur d’une préparatrice en pharmacie, obligée de tester des dizaines d’enfants Jules Fresard
    https://www.bfmtv.com/amp/sante/ils-pleurent-se-debattent-hurlent-le-cri-du-coeur-d-une-preparatrice-en-pharm

    Sur Instagram, Lara a tenu à alerter le gouvernement sur les difficultés qu’entraîne le nouveau protocole sanitaire à l’école pour les centres de dépistage contre le Covid-19.

    « On ne peut pas tester une classe entière à 19h car il y a un cas positif ». Dans une lettre ouverte https://www.instagram.com/p/CYgxLi4jFNL publiée sur Instagram dimanche, Lara est venue en quelques lignes décrire les difficultés et la pression que vivent au quotidien les centres de dépistage au Covid-19 depuis la mise en œuvre du nouveau protocole sanitaire en vigueur à l’école. « Aujourd’hui, rien ne va plus », met en garde la jeune femme, préparatrice en pharmacie et réalisant des tests de dépistage.

    Ce nouveau protocole, applicable dans les établissements scolaires depuis le retour des vacances de Noël, prévoit de garder les écoles ouvertes. Mais à chaque cas positif au Covid-19 détecté dans une classe, tous les élèves doivent se faire tester à J+0 avec un test PCR ou antigénique, puis à J+2 et J+4 avec un autotest.

    Une exigence nécessaire au retour en classe, mais qui fait peser une forte pression sur les centres de dépistage, en pleine flambée épidémique. Plus de 296.000 nouveaux cas ont été recensés dimanche. Et entre le 31 décembre et le 6 janvier, 9,5 millions de tests ont été réalisés en France.

    Des enfants qui « hurlent à la mort »
    Dans sa lettre ouverte, accompagnée d’une photo où elle se montre écouvillon en main, coiffée d’une visière, d’un masque, d’une charlotte et d’une blouse, c’est les difficultés connues face à ce nouveau protocole que Lara évoque. Et notamment celle de tester de jeunes enfants.

    « Je suis devenue celle qui fait pleurer les enfants pour les tester coûte que coûte. Les enfants pleurent, se débattent, hurlent à la mort, sont maintenus de force par leur parent, eux aussi, à bout », écrit la jeune femme.

    Chez les parents, la volonté de faire tester à tout prix les enfants s’explique par l’incapacité pour certains de les faire garder en cas de test positif. « Parfois, je refuse de tester un enfant dans ces conditions, et c’est alors que le parent me supplie en pleurant de tester et d’infliger cette souffrance à son enfant sinon il ne pourra pas retourner à l’école et le parent doit travailler, donc l’enfant doit aller à l’école le lendemain », détaille Lara.

    Les plus jeunes touchés de plein fouet par cette cinquième vague
    Relativement épargnés par la pandémie jusque-là, les enfants, en pleine cinquième vague les contaminant plus qu’avant, sont touchés de plein fouet par ses effets délétères. Lara évoque notamment des enfants dont le résultat revient positif, soumis aux reproches de leur parent, estimant qu’ils n’ont pas assez fait attention à l’école.

    « Et parfois, les parents me disent : elle va être enfermée dans sa chambre pendant une semaine, les repas seront servis sur un plateau qu’on posera devant sa porte, pas de câlin, pas de bisou jusqu’à qu’elle puisse sortir de l’isolement. Non mais ! », s’insurge la jeune femme.

    Hausse des violences
    Ce témoignage est également une plongée dans la violence verbale à laquelle est soumis le personnel des centres de dépistage. En août déjà, face aux violences, verbales comme physiques, connues par de nombreux professionnels de santé, Olivier Véran, leur ministre de tutelle, leur avait adressé une lettre.

    « Ces dernières semaines, alors qu’une nouvelle fois ils répondent présents pour vacciner la population et pour augmenter notre capacité de tests de manière à freiner l’épidémie, plusieurs de nos professionnels ont été lâchement agressés parce qu’ils faisaient leur métier. Je n’accepterai aucune violence, aucune intimidation, aucune atteinte à leur intégrité physique ou à leur outil professionnel », écrivait à l’époque Olivier Véran.

    Une situation qui n’a pas évolué pour le mieux, si l’on en croit le témoignage de Lara. La jeune femme écrit : « Parfois je me fais assaillir, insulter des tous les noms, l’impression d’être jetée en pâture aux loups, parce que je dis non. Les patients ne comprennent pas ce non, ben oui partout les politiques disent d’aller en pharmacie se faire tester... ».

    Face à cette situation, Lara « pleure » quand elle sort du travail. En attendant, elle s’en remet désespérément à l’exécutif. « Allo le gouvernement ????? » écrit-elle à la fin de sa publication, qui en moins de 24h a déjà récolté près de 90.000 « j’aime »

    #violence sur #enfants #tests #dépistage #crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccins #santé

    • Emmerder les parents, avec en prime la violence envers les enfants.
      Il faut à tout prix des tests afin d’augmenter le nombre de #cas.
      Curieux que les parents ne réagissent pas.
      Bientôt 2 contons tiges dans les trous de nez, en sortant de chez soi.