• Covid : 7 hôpitaux israéliens dépassés par le nombre de patients Par Times of Israel Staff
    https://fr.timesofisrael.com/covid-7-hopitaux-israeliens-depasses-par-le-nombre-de-patients

    Ces établissements avertissent qu’ils ne pourront plus accepter les patients atteints de la COVID-19

    Les directeurs de sept hôpitaux publics ont affirmé dimanche que leur unité Corona avait atteint leur limite. Ils menacent de ne plus être en mesure d’accepter de nouveaux patients atteints de la COVID-19 dès demain.

    Lors d’une conférence de presse, les dirigeants des hôpitaux ont invoqué la négligence du gouvernement et ont relancé une campagne de protestation publique contre ce qu’ils considèrent être un manque de financement permanent et une incapacité à prendre des mesures adéquates pour soutenir le système de santé après 16 mois de crise.

    « Nous avons été abandonnés au plus fort de la crise du coronavirus », affirment-ils. « Nous avons atteint la crise la plus dramatique de notre histoire. »

    « Dans la situation actuelle, nous ne pouvons pas continuer les traitements. Nous n’avons pas d’équipement ni de moyens, mais des salaires à payer. Notre conscience nous oblige à arrêter de traiter les patients atteints de coronavirus à partir de demain, » a déclaré le Dr Ofer Marin, directeur de l’hôpital Shaare Zedek de Jérusalem.


    Le personnel du centre médical Shaare Zedek portant des vêtements de protection déplace des patients vers la nouvelle salle de coronavirus de l’hôpital à Jérusalem, le 7 janvier 2021. (Olivier Fitoussi / Flash90)

    Israël a par ailleurs lancé dimanche une campagne de tests sérologiques anticoronavirus pour les enfants de trois ans et plus afin d’étudier les anticorps développés par les jeunes non vaccinés à la veille de la rentrée scolaire.

    Le mois dernier, le directeur général du ministère de l’Education, Yigal Slovik, avait affirmé que les fermetures d’écoles l’année dernière avaient causé « des dommages sociaux et émotionnels » aux élèves, avec « une augmentation de 44 % des risques de suicide ».

    Au total, plus de 970 000 contaminations ont officiellement été recensées en Israël, dont plus de 6 700 décès. Plus de 5,4 millions de personnes ont reçu deux doses de vaccin, soit 58 % de la population, et quelque 1,2 million une troisième.

    Le pays avait été l’un des premiers à lancer, dès la mi-décembre, une vaste campagne de vaccination ayant permis de faire chuter drastiquement les infections.

    Les contaminations sont toutefois reparties à la hausse ces dernières semaines avec la propagation du variant Delta chez des adultes non vaccinés mais aussi chez des personnes ayant reçu leurs doses il y a plus de six mois.

    #vaccination #crise_sanitaire #médecin #médecins #covid-19 #coronavirus #santé #covid #sars-cov-2 #pandémie #finance #Fric (Il n’y en plus pour la #santé en #Israel )

  • Les arguments en faveur des vaccins évoluent donc.

    1. D’abord, il était efficace à plus de 95%, n’avait aucun effet secondaire, et il empêchait l’infection et la transmission.

    2. Puis son efficacité a été revue à la baisse.

    3. Puis on a découvert qu’il n’empêchait ni infection ni transmission.

    4. On nous a alors dit qu’il empêchait seulement les formes graves et qu’il permettait d’atteindre l’immunité de groupe.

    5. Puis on a vu s’accumuler des déclarations d’effets secondaires nocifs mais les “autorités” nous ont assuré qu’il n’y avait aucun rapport de cause à effet.

    6. Puis on a reconnu du bout des lèvres qu’il y avait en effet des effets nocifs (myocardites/AVC/zonas/allergies..) mais qu’ils étaient statistiquement négligeables.

    7. Puis on a découvert que l’efficacité baissait rapidement, au point qu’il faut injecter une 3ème dose au bout de 8 mois.

    8. Puis on a découvert que la pandémie flambait dans les pays les plus vaccinés (Israël, Islande, Seychelles, Royaume-Uni…).

    9. Puis les autorités de ces pays ont commencé à déclarer que l’immunité de groupe ne pouvait pas être atteinte par le vaccin mais par l’immunité naturelle.

    10. Puis on a découvert des double-vaccinés qui souffrent de formes graves et même en meurent.

    11. On nous alors a expliqué alors que les double-vaccinés :
    • ont statistiquement beaucoup moins de formes graves que les non-vaccinés
    • lorsqu’ils meurent de la Covid 19, c’est en souffrant moins.

    CONCLUSION
    Le narratif change sans cesse sur les bienfaits des vaccins Pfizer et Moderna, mais il ne change jamais pour :
    • les vaccins russe, chinois, cubain et français (Valneva), qui restent interdits dans l’Union européenne
    • les traitements, dont l’Ivermectine, qui restent interdits malgré l’accumulation d’études positives.

    #vaccin #vaccins #effets_secondaires #épidémie #contagion #vaccination #pression_sociale #médecins #covid-19 #coronavirus #santé #covid #sars-cov-2 #pandémie #Ivermectine #Pfizer #Moderna

  • Coronavirus : Singapour verse une compensation à des victimes d’effets secondaires du vaccin
    https://www.rtbf.be/info/monde/detail_coronavirus-singapour-verse-une-compensation-a-des-victimes-d-effets-sec

    Le gouvernement de Singapour a versé un total de 782.000 dollars singapourien (environ 490.000 euros) à 144 personnes ayant souffert d’effets secondaires après avoir été vaccinées contre le coronavirus, a annoncé mardi le ministère de la Santé de la ville-État.

    Une indemnité de 225.000 dollars a notamment été versée à un garçon de 16 ans victime d’une crise cardiaque alors qu’il faisait de l’exercice la semaine suivant son injection. L’agence sanitaire de Singapour (HSA) a déclaré avoir reçu, jusqu’au 31 juillet, près de 10.000 rapports d’effets indésirables. Parmi ceux-ci, 400 ont été classés comme « graves ».

    Plus de 4,2 millions d’habitants de Singapour ont déjà reçu deux doses de vaccin contre le coronavirus sur une population totale de 5,7 millions. Cela en fait le pays d’Asie avec la couverture vaccinale la plus élevée, selon les données officielles de Our World in Data, géré par l’Université d’Oxford.

    Depuis le début de la pandémie, Singapour a enregistré 44 décès liés au Covid-19, ce qui est l’un des taux de mortalité les plus bas du monde.

    #vaccin #vaccins #effets_secondaires #épidémie #contagion #vaccination #pression_sociale #médecins #covid-19 #coronavirus #santé #covid #sars-cov-2 #pandémie

  • Association of Age and Pediatric Household Transmission of #SARS-CoV-2 Infection | Infectious Diseases | JAMA Pediatrics | JAMA Network
    https://jamanetwork.com/journals/jamapediatrics/fullarticle/2783022

    Parmi les enfants (moins de 18 ans), les plus jeunes seraient les plus contagieux

    Results 
    A total of 6280 households had pediatric index cases, and 1717 households (27.3%) experienced secondary transmission. The mean (SD) age of pediatric index case individuals was 10.7 (5.1) years and 2863 (45.6%) were female individuals. Children aged 0 to 3 years had the highest odds of transmitting SARS-CoV-2 to household contacts compared with children aged 14 to 17 years (odds ratio, 1.43; 95% CI, 1.17-1.75). This association was similarly observed in sensitivity analyses defining secondary cases as 2 to 14 days or 4 to 14 days after the index case and stratified analyses by presence of symptoms, association with a school/childcare outbreak, or school/childcare reopening. Children aged 4 to 8 years and 9 to 13 years also had increased odds of transmission (aged 4-8 years: odds ratio, 1.40; 95% CI, 1.18-1.67; aged 9-13 years: odds ratio, 1.13; 95% CI, 0.97-1.32).

    Conclusions and Relevance
    This study suggests that younger children may be more likely to transmit SARS-CoV-2 infection compared with older children, and the highest odds of transmission was observed for children aged 0 to 3 years. Differential infectivity of pediatric age groups has implications for infection prevention within households, as well as schools/childcare, to minimize risk of household secondary transmission. Additional population-based studies are required to establish the risk of transmission by younger pediatric index cases.

    #enfants #contagiosité

  • Le pass sanitaire n’est pas nécessaire pour donner son sang, rappelle l’EFS

    https://www.sudouest.fr/sante/coronavirus/pass-sanitaire/le-pass-sanitaire-n-est-pas-necessaire-pour-donner-son-sang-rappelle-l-efs-

    Le pass sanitaire n’est pas obligatoire pour donner son sang, même dans un hôpital, a souligné lundi l’Établissement français du sang (EFS) qui s’inquiète de réserves trop basses et relance son appel aux dons. « Les collectes de sang n’étant ni des lieux de loisirs et de culture, ni des lieux rassemblant des personnes fragiles, le pass sanitaire n’est pas nécessaire pour y accéder, y compris lorsque les sites de collecte se trouvent dans une enceinte hospitalière », rappelle l’établissement public dans un communiqué.

    De rares exceptions pourront concerner les collectes se déroulant dans un centre commercial de plus de 20 000 m², où le pass sanitaire est contrôlé, précise-t-il.

    Il est également possible de donner son sang après une injection de vaccin anti-Covid, sans délai. Les personnes atteintes de la maladie devront en revanche attendre 14 jours après disparition des symptômes pour le faire. Les connaissances scientifiques actuelles ne permettent pas d’affirmer que le Covid-19, un virus respiratoire, se transmet par le sang. Avec moins de 85 000 poches de globules rouges, le niveau de réserve est aujourd’hui bas en France, s’inquiète l’EFS.

    Une année de faible fréquentation
    Depuis début août, la fréquentation des collectes a « nettement diminué », d’environ moins 10 %. Il manque selon lui 500 dons par jour. « La mobilisation de tous est nécessaire y compris pendant les périodes de vacances », insiste l’EFS qui a installé des lieux de collecte sur les lieux de vacances des Français, notamment sur les littoraux. L’EFS, opérateur civil unique de la transfusion sanguine en France, avait déjà lancé un appel urgent aux dons en mai dernier, alors que les réserves de sang en étaient au même point qu’actuellement. Environ 500 000 patients sont transfusés par an, auxquels s’ajoutent 500 000 soignés avec des médicaments dérivés du plasma sanguin (immunoglobulines, facteurs de coagulation, albumine…).

    Pas de #contamination par le #sang ? ? ? ? ? famille #fabius #épidémie #contagion #vaccination #vaccin #pression_sociale #médecins #covid-19 #coronavirus #santé #covid #sars-cov-2 #pandémie

  • #Suisse : « J’ai choisi d’être égoïste », « je suis en bonne santé » : trois femmes anti-vaccin témoignent
    https://www.rts.ch/info/suisse/12418977-jai-choisi-detre-egoiste-je-suis-en-bonne-sante-trois-femmes-antivaccin

    Après des mois de campagne de vaccination, trouver de nouvelles personnes volontaires pour le sérum devient moins aisé. Alors qu’un peu plus de la moitié de la population (55,39%) a reçu une première dose, les personnes sceptiques sont toujours nombreuses. Mais ce choix n’est pas toujours facile à assumer.

    Sur huit millions de personnes vivant en Suisse, environ la moitié est vaccinée, alors que notre pays va subir une quatrième vague d’infection au Covid-19, comme l’a indiqué samedi le conseiller fédéral Alain Berset.

    Aujourd’hui, refuser l’injection et l’affirmer publiquement n’est pas chose facile. C’est pourquoi les deux femmes qui ont témoigné dimanche dans le 19h30 de la RTS ont choisi de le faire anonymement, alors qu’elles sont convaincues de leur choix.

    « Ça me fait peur de m’injecter quelque chose pour laquelle il n’y a pas énormément d’années de recherche », explique Sabrina*. « La deuxième raison, c’est que je suis en bonne santé, donc je n’en ressens pas le besoin. »

    https://dingiralfulbe.com/wp-content/uploads/2021/08/12419212.image-1024x538.jpeg

    Quant à Davina*, elle répond : « C’est mon corps. Comme je ne suis pas une personne égoïste, je protège tout le monde, donc je mets le masque, j’ai deux mètres de distance, je me lave les mains ».

    Toutes deux craignent des effets secondaires. Elles s’inquiètent notamment des rumeurs parlant de conséquences sur la fertilité (lire encadré).

    Une position assumée
    Leur position, elles l’assument, mais elles admettent qu’elles ne s’attendaient pas à une telle pression sociale : « On se fait traiter d’idiote, de complotiste, qui ne veulent pas écouter les politiciens et les médecins », note Sabrina. « On se sent un peu rejetée ou pestiférée, si on répond que non, on n’est pas vaccinée ».

    Un choix aussi compliqué professionnellement, notamment pour Davina, en contact avec la clientèle : « C’est sans arrêt la même question : ’Etes-vous vaccinée ?’ Non. ’Mais vous êtes dangereuse, on ne viendra plus vous voir’. C’est une pression extrême, mais vu que, elles, elles sont vaccinées, je ne comprends pas le problème : elles sont protégées, ces personnes », souligne-t-elle.

    Lorena non plus n’a pas reçu le sérum : pour elle aussi, le sujet est sensible. Mais elle a souhaité témoigner face caméra, afin de montrer qu’elle n’est ni agressive, ni extrémiste.

    Elle acquiesce à celles et ceux qui la trouvent égoïste : « Ils ont raison d’un côté : c’est vrai. Si on prend le monde entier, chacun doit faire sa petite partie pour aider l’autre, au final. Mais, pour une fois dans ma vie, j’ai choisi d’être égoïste à ce niveau-là, mais tout en respectant les autres et en essayant de ne pas les mettre en danger ».

    La science mise de côté
    Toutes trois connaissent les réponses des scientifiques à leurs questions, mais elles ne les feront pas changer d’avis. Toutes craignent en revanche un durcissement des mesures qui pourraient ne plus leur laisser le choix : « Si cela devient aussi dur et strict qu’en France, je ferai le nécessaire. A ce moment-là », remarque Lorena.

    D’ici là, elles se disent prêtes à renoncer à certains loisirs et, surtout, à apprendre à vivre avec le spectre de cette maladie.

    #Femmes #vaccination #vaccin #pression_sociale #politiciens #médecins #covid-19 #coronavirus #santé #covid #sars-cov-2 #pandémie

  • Durability of mRNA-1273 vaccine–induced antibodies against #SARS-CoV-2 #variants | Science
    https://science.sciencemag.org/content/early/2021/08/11/science.abj4176.full

    SARS-CoV-2 #mutations may diminish vaccine-induced protective immune responses, particularly as antibody titers wane over time. Here, we assess the impact of SARS-CoV-2 variants B.1.1.7 (Alpha), B.1.351 (Beta), P.1 (Gamma), B.1.429 (Epsilon), B.1.526 (Iota), and B.1.617.2 (Delta) on binding, neutralizing, and ACE2-competing antibodies elicited by the vaccine mRNA-1273 over seven months. Cross-reactive neutralizing responses were rare after a single dose. At the peak of response to the second vaccine dose, all individuals had responses to all variants. Binding and functional antibodies against variants persisted in most subjects, albeit at low levels, for 6-months after the primary series of the mRNA-1273 vaccine. Across all assays, B.1.351 had the lowest antibody recognition. These data complement ongoing studies to inform the potential need for additional boost vaccinations.

    #immunité #vaccins #vaccination

  • Spiral : #REACT-1 round 13 final report : exponential growth, high prevalence of #SARS-CoV-2 and vaccine effectiveness associated with #Delta variant in England during May to July 2021
    https://spiral.imperial.ac.uk/handle/10044/1/90800

    Seulement 50% d’efficacité contre le #Covid-19 ? Ce que dit précisément la nouvelle étude britannique sur la #vaccination - Le Parisien
    https://www.leparisien.fr/societe/seulement-50-defficacite-contre-le-covid-19-ce-que-dit-precisement-la-nou

    D’après des travaux de l’Imperial College de Londres, le risque d’être infecté chez les personnes ayant reçu deux doses de #vaccin serait réduit d’environ 50%, et celui d’avoir des formes symptomatiques de près de 60%. Cette étude, menée sur près de 100 000 habitants, n’a pas distingué AstraZeneca et Pfizer.

    […]

    L’efficacité de 59 % contre les formes symptomatiques est inférieure à celle obtenue par la majorité des études déjà connues. Toujours en Angleterre, deux doses de vaccin seraient efficaces contre le #variant Delta à hauteur de 79 %, d’après des données des Public Health England. La différence s’explique par la méthode utilisée. Comme les travaux de l’Imperial College portent sur « un échantillon aléatoire de la population générale, [celui-ci] comprend les individus asymptomatiques », a indiqué le professeur Paul Elliott, directeur du programme React-1 et professeur d’épidémiologie et de médecine de santé publique à l’Imperial College de Londres. Or, ceux-ci peuvent assez nombreux chez les vaccinés. Et les études en population réelle comme celle de Public Health England se concentrent en grande majorité sur les cas symptomatiques.

    Par ailleurs, toujours selon les résultats de l’Imperial College, les personnes positives vaccinées avaient une #charge_virale bien inférieure à celles des cas positifs non-vaccinés. Ce qui est contradictoire avec les données des Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) américains communiquées vendredi, suggérant à l’inverse que la charge virale serait équivalente que l’on soit vacciné ou non (sans que l’on puisse dire si cela implique une même #contagiosité).

    #react

  • #belgique #confinement : La Défense ouvre une enquête sur une Covid-party avec stripteaseuse à la caserne de Tielen, à Anvers
    https://www.rtbf.be/info/belgique/detail_la-defense-ouvre-une-enquete-sur-une-covid-party-avec-stripteaseuse-a-la

    Le ministère de la Défense a décidé d’ouvrir une enquête pour faire la lumière sur une Covid-party à la caserne de Tielen (province d’Anvers), à laquelle une stripteaseuse était présente, d’après des informations du quotidien Het Laatste Nieuws et la chaîne de télé flamande VTM, confirmées à Belga. Des vidéos de la fête montrent une vingtaine de membres du 3e Bataillon Parachutiste, une unité d’élite de la Défense, ne respectant manifestement pas les mesures sanitaires d’application à l’époque.

    D’après VTM NIEUWS, les images datent du mois de mai et montrent un soldat attaché à une chaise et fouetté avec un martinet par une stripteaseuse, qui aurait été introduite clandestinement dans la caserne sécurisée.

    Stripteaseuse présente
    Les images montrent également un autre militaire posant nu pour une photo de groupe avec des collègues. Beaucoup dansent et boivent de l’alcool alors qu’à l’époque les rassemblements de ce genre étaient encore strictement interdits à cause du coronavirus. Aucune distanciation sociale n’est respectée, et l’absence de masques buccaux est notable.

    Le ministère de la Défense prend les faits très au sérieux et a décidé d’ouvrir une enquête, notamment sur le fait qu’une stripteaseuse a pu entrer de la sorte dans le bâtiment. Des mesures de sécurité très strictes entourent normalement la caserne de Tielen.

    « Cela n’a aucunement sa place au sein de la Défense et nuit à l’image de tous les militaires qui font un travail exemplaire à l’étranger et en Belgique, notamment pour soutenir la nation pendant la pandémie ou après les inondations », a déploré la ministre de la Défense Ludivine Dedonder (PS). « Des enquêtes sont en cours au sein de la Défense pour trois violations possibles : la sécurité des quartiers militaires, les règles de distanciation sociale dans le cadre de la pandémie de coronavirus et la consommation d’alcool sur le lieu de travail. Si les enquêtes confirment ces violations, la Défense prendra les sanctions disciplinaires et/ou juridiques appropriées. »

    #confinement (pas pour certains) #privilégiés #covid-19 pas de #cas_contact #coronavirus #santé #covid #sars-cov-2 #pandémie #prostitution #orgie #partouze #bourgeoisie

  • Efficacité de la vaccination : Il manque plus de la moitié des décès ! Décoder l’éco

    https://www.youtube.com/watch?v=hLARwm6jqbA

    Le 13 juillet 2021, la DREES, la direction réalisant les statistiques pour le ministère de la santé a sorti une étude récapitulant les données connus des résultats de tests Covid-19 pour les vaccinés et les non-vaccinés en France.
    Cette étude a été complétée le 23 juillet 2021 par une autre étude ajoutant cette fois-ci les données d’hospitalisations et de décès liées à la Covid-19.
    Cette dernière étude est utilisée en ce moment par le gouvernement et les médias pour justifier la politique vaccinale, puisqu’elle affirme notamment que :

    – Les non-vaccinés représentent près de 85 % des entrées hospitalières, que ce soit en hospitalisation conventionnelle ou en soins critiques.
    – Les patients complètement vaccinés comptent pour environ 7 % des admissions, une proportion cinq fois plus faible que celle observée en population générale (35 % en moyenne durant la période d’étude).
    – À tout âge, la part de patients vaccinés entrant à l’hôpital est nettement inférieure à celle qu’ils représentent dans l’ensemble de la population.

    Seulement, comme l’a relevé @NiusMarco sur Twitter et détaillé Patrice Gibertie dans un article, les données utilisées pas la DREES posent un énorme problème : il manque la moitié des décès Covid-19 français. Dans cette vidéo, nous allons détailler les données de l’étude pour comprendre d’où viennent les données, comment la DREES a pu retirer la moitié des décès de son analyse et ce que cela signifie pour les conclusions de l’étude.

    Sources :
    Etude DREES sur les tests : https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/note_drees_suivi_de_la_crise_sanitaire_.pdf
    Etude DREES sur les hospitalisations / décès : https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/2021-07-23_-_sivic-sidep-vacsi_premiers_resultats_-_drees-2.p
    Géodes pour les données SIVIC : https://geodes.santepubliquefrance.fr/#c=indicator&view=map2
    Fichier public des personnes décédées : https://www.data.gouv.fr/fr/datasets/fichier-des-personnes-decedees
    Etude anglaise sur la mortalité Covid vaccinés / non vaccinés : https://assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/1001354/Variants_of_Concern_VOC_Technical_Briefing_17.pdf
    Données israéliennes sur la mortalité Covid : https://data.gov.il/dataset/covid-19/resource/8a51c65b-f95a-4fb8-bd97-65f47109f41f?filters

    #france #angleterre #israel #DREES, #SIVIC #décès #vaccination #test_pcr #covid-19 #cas_contact #économie #coronavirus #santé #surveillance #confinement #covid #sars-cov-2 #pandémie #contacttracing #france #pass #pass_sanitaire #statistiques #chiffres #data #europe #données

  • Pass sanitaire : Oui, un formulaire de « non-respect » du Pass sanitaire est utilisé à l’AP-HP
    https://www.20minutes.fr/societe/3101107-20210811-pass-sanitaire-oui-formulaire-non-respect-pass-sanitaire-

    Le personnel soignant de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris ( AP-HP) fait-il l’objet d’une surveillance démesurée de sa direction depuis l’entrée en vigueur du décrié Pass sanitaire ? 

    C’est en tout cas ce que dénonce un tweet repris par de nombreux internautes : « L’AP-HP a demandé aux cadres de faire le flicage du personnel avec une fiche de délation pour "non-respect du Pass sanitaire" en vue d’une convocation à la DRH et d’une suspension de ses fonctions. Chaque jour rajoute son lot d’ignominie ! » 

    Sur la photo jointe de ce document portant l’en-tête de l’AP-HP, on distingue, outre plusieurs champs libres - « nom/prénom de l’agent », date et heure du contrôle - un paragraphe important : « Il a été constaté que vous ne remplissiez pas les conditions prévues par la loi (un résultat d’un examen de dépistage virologique ne concluant pas à une containation par [le] Covid-19, un justificatif de statut vaccinal concernant [le] Covid-19 ou un certificat de rétablissement à la suite d’une contamination. Vous serez convoqué à la Direction des ressources humaines ou à la Direction des affaires médicales. »

    « Vous êtes informé que les personnes ne pouvant présenter un [Pass] sanitaire valide peuvent être suspendues de leurs fonctions à partir de la date de la constatation des faits. Cette suspension prend fin lors de la production et transmission des justificatifs requis », poursuit ce formulaire. 

    Jointe par 20 Minutes, l’AP-HP confirme à 20 Minutes que, « conformément à l’article 14 de la loi relative à la gestion de la crise sanitaire du 5 août 2021, le Pass sanitaire est obligatoire pour les professionnels pour pouvoir exercer leur activité dans un établissement de santé. »

    « Si l’entrée dans l’enceinte de l’hôpital se fait sur présentation de la carte professionnelle, le contrôle des justificatifs est effectué directement dans les services par l’encadrement. Il peut s’agir d’un certificat de vaccination si schéma vaccinal complet ou d’un test négatif RT-PCR ou antigénique ou autotest réalisé sous la supervision d’un professionnel de santé, de moins de 72h ou d’une preuve de rétablissement de la COVID-19 [...]. Le professionnel peut également fournir un certificat médical de contre-indication à la vaccination », ajoute-t-elle. 

    De son côté, le syndicat USAP-CGT nous confirme l’authenticité du document relayé sur Twitter, qui lui a été « envoyé par des camarades de l’hôpital Henri Mondor lundi [9 août]. », et précise : « Pour l’instant, nous n’avons pas eu de remontées sur des cas de personnes convoquées par la DHR mais les cadres mettent la pression au quotidien sur les agents pour qu’ils fournissent leur Pass ».
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    #vaccination #test_pcr #covid-19 #isolement #cas_contact #travail #économie #coronavirus #santé #surveillance #confinement #covid #sars-cov-2 #pandémie #contacttracing #isolement #surveillance #fichage #violence_administrative #france #fichage_et_surveillance #contrôle #répression #pass #pass_sanitaire

  • A ‘mix and match’ approach to #SARS-CoV-2 #vaccination | Nature Medicine
    https://www.nature.com/articles/s41591-021-01463-x

    Although triggered by the unfortunate interruption in the use of adenovirus-based vaccines, cross-platform mixed-dosing strategies have demonstrated advantageous immunogenicity outcomes, as measured by both humoral responses and cellular responses to the original SARS-CoV-2 and its #variants. These innovative vaccine-dosing schedules may be required both as proof against vaccine supply interruptions and for maximizing immune responses, which in turn will help to reduce the transmission of emerging variants and protect immunocompromised people.

  • La vaccination à l’épreuve des faits : une mortalité inédite Volet 2 Contribution1 de Laurent Mucchielli

    La pharmacovigilance des vaccins anti-covid est déniée car elle menace l’idéologie de la vaccination intégrale portée par les industries pharmaceutiques, les gouvernements et les principaux médias. Cette vaccination de masse conduit pourtant à une mortalité inédite dans l’histoire de la médecine moderne. Il y a urgence à la suspendre pour évaluer la balance bénéfice/risque au cas par cas.
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    Enfin, aux États-Unis, où la pharmacovigilance (comme la transparence des données d’administration publique de manière générale) est beaucoup mieux organisée et plus contraignante que dans beaucoup de pays européens, des données très précises peuvent être exploitées sur le site de la Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) http://web.archive.org/web/20210802085407/https://vaers.hhs.gov/data.html . Et, contrairement à l’argument des industriels, répétés en boucle par les journalistes français (à l’image des fact-checkers déjà cités), ces données sont très largement fiables. Six chercheurs anglais viennent ainsi d’analyser un échantillon de 250 déclarations de décès attribués aux vaccins anti-covid dans la VAERS http://web.archive.org/web/20210802085347/https://www.researchgate.net/publication/352837543_Analysis_of_COVID-19_vaccine_death_reports_from_the_Vaccine_A . Il en résulte que les deux tiers des déclarations ont été faites par des médecins et qu’elles sont fiables à 86%. Or le constat qui ressort des données américaines est plus saisissant encore. En recherchant dans ces données les décès liés à la vaccination, il est possible non seulement d’avoir un comptage détaillé pour chaque vaccin anti-covid, mais de surcroît de pouvoir comparer ces résultats avec ceux de tous les autres vaccins administrés depuis plus de 30 ans dans ce pays. Au 16 juillet 2021, date à laquelle 160 millions d’Américains avaient été intégralement vaccinés, les vaccins anti-covid sont liés à plus de 6 000 décès, 91% d’entre eux étant attribuables aux seuls vaccins de Moderna et Pfizer (deux entreprises pharmaceutiques/biotechnologiques américaines, Janssen étant la filiale belge d’une autre entreprise pharmaceutique américaine, Johnson & Johnson). Nous avons reconstitué le tableau ci-dessous qui donne le détail de ces chiffres.


    Source : VAERS, calcul réalisé sur les données datant du 16 juillet 2021

    Ces décès sont en outre survenus principalement dans les 48h qui ont suivi la vaccination http://web.archive.org/web/20210804213044/https://www.openvaers.com/covid-data/mortality , ce qui renforce considérablement la présomption de causalité. Par ailleurs, ces fichiers permettent donc de comparer cette mortalité des vaccins anti-covid à la mortalité vaccinale globale dans ce pays depuis 30 ans (concernant des centaines de vaccins). Ce fichier donne un total de 16 605 décès pour l’ensemble des vaccins sur toute la période. À elle seule et en seulement 6 mois, la vaccination anti-covid représente donc 36% de la totalité de la mortalité vaccinale dans ce pays depuis 30 ans. Par comparaison, dans la même base de données, nous avons compté le nombre de morts occasionnés par l’administration des différents vaccins contre la grippe saisonnière (influenza seasonal). En 30 ans (1990-2020), ces vaccins ont occasionné 1 106 décès, ce qui représente 6,66% du total de la mortalité vaccinale depuis 30 ans. Une autre façon d’exprimer ces résultats est donc de dire que, aux États-Unis, en 6 mois, la vaccination anti-covid a contribué à tuer 5 fois plus de personnes que la vaccination anti-grippe en 30 ans. Ceci confirme d’une autre façon encore que nous sommes bien en présence de vaccins d’un nouveau genre, dont la dangerosité est inédite. Ajoutons enfin que cette dangerosité doit tout particulièrement interroger lorsqu’elle concerne des personnes jeunes et qui ne sont donc pas sérieusement menacées par la Covid. Or, 23,2% du total des morts américains imputés aux vaccins anti-covid et dont l’âge est connu avaient moins de 65 ans http://web.archive.org/web/20210804213044/https://www.openvaers.com/covid-data/mortality .

    Conclusion
    La question des effets indésirables graves des vaccins anti-covid fait l’objet d’un déni et d’un silence de la part du gouvernement et des principales agences sanitaires (Agence nationale de sécurité du médicament, Haute autorité de santé, Haut conseil de santé publique, etc.). Tout se passe comme s’il s’agissait d’un véritable tabou, en France comme dans la plupart des autres pays occidentaux. L’importance de ces effets apporte en effet une contradiction trop flagrante et dévastatrice pour l’idéologie de la vaccination intégrale qui guide des gouvernements ayant choisi de s’abandonner dans les bras de l’industrie pharmaceutique. Cette dernière est ainsi au cœur de toute la gestion d’une épidémie qui constitue pour elle une aubaine inédite dans l’histoire : quel produit commercial breveté a pour marché potentiel la totalité de l’humanité, renouvelable chaque année qui plus est ? Patrons et actionnaires de ces firmes pharmaceutiques et biotechnologiques sont en train de devenir immensément riches http://web.archive.org/web/20210731094253/https://www.alternatives-economiques.fr/covid-19-tres-chers-vaccins/00099304 . Au vu de la façon dont ces industries ont travaillé (dans l’urgence, pour générer un maximum de profits, sans tester les personnes les plus à risque http://web.archive.org/web/20210716225451/http://ctiapchcholet.blogspot.com/2021/06/techniques-de-vente-bidouillages.html — âge et comorbidités —, à grand renfort de formules de type publicitaire), notamment aux États-Unis et en Angleterre, pour mettre au point ces nouveaux vaccins génétiques (ADN ou ARN), on pouvait ainsi dès le départ redouter que ces produits ne soient pas de très bonne qualité http://web.archive.org/web/20210716225117/http://ctiapchcholet.blogspot.com/2021/04/inedit-exclusif-vaccins-contre-la-covid.html . Mais la réalité dépasse ces craintes et montre que ces vaccins ont davantage d’effets indésirables plus ou moins graves qu’aucun autre avant eux. Nous avons vu ainsi qu’aux Pays-Bas l’on parvient à un taux de 2,7 morts pour 100 000 vaccinés (16,5 millions de vaccinés, 448 morts). En France et aux États-Unis, ce taux monte à environ 3,7 morts pour 100 000 vaccinés. Et en Grande-Bretagne, ce taux grimpe même à 4,3 morts pour 100 000 vaccinés, très probablement en raison de la prépondérance du vaccin AstraZeneca que l’on sait depuis le mois de mars 2021 http://web.archive.org/web/20210731094338/https://www.sudouest.fr/sante/coronavirus/vaccin/vaccin-astrazeneca-les-pays-bas-suspendent-a-leur-tour-son-utilisation- être le plus dangereux des quatre vaccins couramment utilisés en Occident (en particulier du fait des nombreuses thromboses qu’il provoque et qui commencent à être documentées dans la littérature scientifique médicale, voir par exemple ici et là), ce qui n’est guère surprenant lorsque l’on connaît les conditions dans lesquelles il a été fabriqué en Chine http://web.archive.org/web/20210803145851/https://www.nytimes.com/2020/12/07/business/china-vaccine-astrazeneca.html . Au passage, nous avons également signalé que ce fut le premier vaccin administré en France, dès février 2021, aux professionnels de santé. De là une des raisons rationnelles probables de la grande réticence à la vaccination anti-covid que manifestent une partie d’entre eux.

    Cette mortalité vaccinale (qui n’est que la pointe émergée de l’iceberg des effets indésirables graves) est donc inédite, elle est particulièrement grave et sa dissimulation l’est plus encore. Soyons clair : dissimuler d’une façon ou d’une autre un tel danger est tout simplement criminel vis-à-vis de la population. Même réduite à ses plus élémentaires principes de déontologie (primum non nocere), l’approche de cette question en termes de santé publique devrait conduire à suspendre d’urgence la campagne vaccinale, à étudier beaucoup plus en détail les données de cette pharmacovigilance (en particulier selon les classes d’âge et en fonction des différents facteurs de risque) et, au terme d’une analyse bénéfices/risques méticuleuse, à déterminer à quelles catégories bien précises de la population il est possible de proposer la vaccination sans risque que les effets indésirables graves soient plus nombreux que les formes graves de la Covid dont elle est censée les protéger. Tout autre approche ne relève pas de la santé publique mais de postures idéologiques ou d’un marketing commercial. Et l’histoire a déjà montré (sur le tabac, sur les pesticides, sur la pollution aux hydrocarbures, etc.) que ces postures et ce marketing étaient responsables de véritables crimes contre les populations civiles. Qu’ils soient commis au nom du Bien ne devrait en aucun cas aveugler sur leur réalité et leur nature. Toutes celles et ceux qui s’y adonnent pourraient être désormais considérés comme complices de cette nouvelle mortalité vaccinale qui semble inédite dans l’histoire de la médecine moderne.

    Laurent Mucchielli

    L’intégralité de la publication : https://altermidi.org/2021/08/06/le-texte-de-laurent-mucchielli-depublier-par-mediapart

    À propos des auteurs : Laurent MUCCHIELLI (sociologue, directeur de recherche au CNRS), Hélène BANOUN (pharmacien biologiste, PhD, ancienne chargée de recherches à l’INSERM), Emmanuelle DARLES (maîtresse de conférences en informatique à Aix-Marseille Université), Éric MENAT (docteur en médecine, médecin généraliste), Vincent PAVAN (maître de conférences en mathématique à Aix-Marseille Université) & Amine UMLIL (pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier, unité de « pharmacovigilance/CTIAP (centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques)/Coordination des vigilances sanitaires » du Centre hospitalier de Cholet). Contact : laurent.mucchielli@protonmail.com

    #vaccination #test_pcr #covid-19 #isolement #cas_contact #travail #économie #coronavirus #santé #surveillance #confinement #covid #sars-cov-2 #pandémie #contacttracing #isolement #statistiques #censure # #liberté_d'expression #blogs #idéologie #mortalité #Laurent_Mucchielli

    • Une démonstration d’un sociologue sur la mortalité des vaccins ? Attention à l’interprétation des chiffres

      Dans un billet de blog hébergé un temps sur le site de Mediapart, et dépublié le 4 août, le sociologue Laurent Mucchielli affirme que la vaccination contre le Covid-19 est à l’origine d’une « mortalité inédite » en France, et responsable de « près de 1.000 morts potentiellement ». Son billet repose sur des données de pharmacovigilance qui sont des signalements de décès postérieurs à une vaccination contre le Covid. Pour une large majorité ces décès n’ont pas été à ce jour imputés à la vaccination. Pourtant, le billet est repris à tort comme une preuve du décès « d’un millier de personnes » à cause des vaccins.

      La suite : https://factuel.afp.com/http%253A%252F%252Fdoc.afp.com%252F9JX7Z6-1

    • A propos de comptabilisation des décés covid, les chiffres peuvent être mis en doute aussi. Un exemple de décès comptabilisé covid :
      Décès d’un résident d’Ehpad dans le Tarn : la famille porte plainte « parce qu’il était attaché depuis 15 jours »
      Les enfants de Georges Bordes considèrent que leur père, décédé du 30 mars à Mazamet (Tarn), est « resté attaché dans son fauteuil ». Ils disent avoir porté plainte pour homicide involontaire, le parquet de Castres confirme qu’une enquête est ouverte.
      . . . . .
      Tout commence le 15 mars lorsque Georges Bordes, 93 ans, résident de cette maison de retraite, institution de la ville du sud du Tarn depuis des décennies, est testé positif au coronavirus. La famille précise qu’elle avait refusé qu’il soit vacciné.
      . . . . . .
      « il est resté durant les quinze jours qui ont précédé son décès, entravé sur ce fauteuil en journée et sous somnifères importants la nuit. Tout cela afin qu’il ne puisse quitter sa chambre et déambuler ». Une manière d’éviter que les résidents contaminent les autres occupants.
      . . . . . . .
      https://www.leparisien.fr/faits-divers/deces-dun-resident-dehpad-dans-le-tarn-la-famille-porte-plainte-parce-qui

  • Viral Load of #SARS-CoV-2 in Respiratory #Aerosols Emitted by #COVID-19 Patients while Breathing, Talking, and Singing | Clinical Infectious Diseases | Oxford Academic
    https://academic.oup.com/cid/advance-article/doi/10.1093/cid/ciab691/6343417

    Abstract

    Background

    Multiple SARS-CoV-2 superspreading events suggest that aerosols play an important role in driving the COVID-19 pandemic. To better understand how airborne SARS-CoV-2 transmission occurs, we sought to determine viral loads within coarse (>5μm) and fine (≤5μm) respiratory aerosols produced when breathing, talking, and singing.

    Methods

    Using a G-II exhaled breath collector, we measured viral RNA in coarse and fine respiratory aerosols emitted by COVID-19 patients during 30 minutes of breathing, 15 minutes of talking, and 15 minutes of singing.

    Results

    Thirteen participants (59%) emitted detectable levels of SARS-CoV-2 RNA in respiratory aerosols, including 3 asymptomatic and 1 presymptomatic patient. Viral loads ranged from 63–5,821 N gene copies per expiratory activity per participant, with high person-to-person variation. Patients earlier in illness were more likely to emit detectable RNA. Two participants, sampled on day 3 of illness, accounted for 52% of the total viral load. Overall, 94% of SARS-CoV-2 RNA copies were emitted by talking and singing. Interestingly, 7 participants emitted more virus from talking than singing. Overall, fine aerosols constituted 85% of the viral load detected in our study. Virus cultures were negative .

    Conclusions

    Fine aerosols produced by talking and singing contain more SARS-CoV-2 copies than coarse aerosols and may play a significant role in SARS-CoV-2 transmission. Exposure to fine aerosols, especially indoors, should be mitigated. Isolating viable SARS-CoV-2 from respiratory aerosol samples remains challenging, and whether this can be more easily accomplished for emerging SARS-CoV-2 variants is an urgent enquiry necessitating larger-scale studies.

    Although SARS-CoV-2 from saliva and respiratory swabs can be isolated using classical Vero E6 cells, a more sensitive culture assay using Vero E6 TMPRSS2 cells may be superior for culturing virus from patient aerosol samples. Human bronchial epithelial cells may also be more susceptible to infection with wildtype viruses than Vero cells [24]. Further efforts to identify optimal culture methods for exhaled breath and environmental samples are warranted.

    #charge_virale

  • #israel : Plus de 3 000 cas de COVID en un jour, pour la quatrième journée consécutive
    https://fr.timesofisrael.com/plus-de-3-000-cas-de-covid-en-un-jour-pour-la-quatrieme-journee-co

    . . . . . .
    Le ministère de la Santé a fait état vendredi de plus de 3000 nouveaux cas de coronavirus la veille, avant les nouvelles restrictions qui doivent entrer en vigueur la semaine prochaine.

    Selon les chiffres du ministère, 3 843 infections ont été confirmées jeudi, ce qui constitue le quatrième jour consécutif où les nouveaux cas ont dépassé les 3 000. Il y avait 27 525 cas actifs sur les 891 811 infections vérifiées en Israël depuis le début de la pandémie.

    Les cas graves – une mesure clé utilisée par les décideurs dans la vague actuelle – ont légèrement baissé à 253. Parmi eux, 65 personnes se trouvaient dans un état critique, dont 52 sous ventilateur. Au total, 477 personnes ont été hospitalisées pour des complications liées au COVID-19.

    Le nombre de décès s’élève à 6 509, avec trois victimes du coronavirus jeudi.

    Selon le ministère, 3,79 % des plus de 100 000 tests effectués jeudi se sont révélés positifs.

    Le ministère a également déclaré que sur les quelque 9,3 millions d’habitants d’Israël, plus de 5,8 millions ont reçu au moins une dose de vaccin, près de 5,4 ont reçu deux doses et un peu moins de 350 000 ont reçu une injection de rappel.

    Dans un contexte d’augmentation continue des cas, les ministres ont approuvé jeudi un élargissement significatif des restrictions sur les rassemblements dans le cadre du système du passeport vert, malgré les réticences suscitées par une décision de dernière minute d’exempter les lieux de culte.

    . . . . . .
    Le service d’ambulances Magen David Adom a déclaré vendredi qu’il allait commencer à gérer 120 stations de dépistage rapide à travers le pays pour les personnes devant présenter un résultat négatif au test dans le cadre des règles du Passeport vert.

    #vaccination #test_pcr #covid-19 #isolement #cas_contact #travail #économie #coronavirus #santé #surveillance #confinement #covid #sars-cov-2 #pandémie #contacttracing #isolement

  • Reduced Risk of #Reinfection with #SARS-CoV-2 After #COVID-19 #Vaccination — Kentucky, May–June 2021 | MMWR
    https://www.cdc.gov/mmwr/volumes/70/wr/mm7032e1.htm

    Summary

    What is already known about this topic?

    Reinfection with human coronaviruses, including SARS-CoV-2, the virus that causes COVID-19, has been documented. Currently, limited evidence concerning the protection afforded by vaccination against reinfection with SARS-CoV-2 is available.

    What is added by this report?

    Among Kentucky residents infected with SARS-CoV-2 in 2020, vaccination status of those reinfected during May–June 2021 was compared with that of residents who were not reinfected. In this case-control study, being unvaccinated was associated with 2.34 times the odds of reinfection compared with being fully vaccinated.

    What are the implications for public health practice?

    To reduce their likelihood for future infection, all eligible persons should be offered COVID-19 vaccine, even those with previous SARS-CoV-2 infection.

  • Pass sanitaire : « Opération ville morte » à Cambrai, une soixantaine de restaurateurs refusent de contrôler leurs clients

    Temps d’attente allongé, pas de personnel payé pour contrôler les entrées... Les restaurateurs de Cambrai se rassemblent samedi 7 août pour dénoncer les conditions de mise en place du pass sanitaire. Leurs établissements resteront fermés.

    https://france3-regions.francetvinfo.fr/image/cqHexy7JQNQmMWVOgdI1OLJR2mc/930x620//filters:format(webp)/regions/2021/08/06/610cfa46d88ed_227491296-128156722771547-727919046840472
    Une soixantaine de restaurateurs de Cambrai protestent contre le contrôle du pass sanitaire ce samedi 7 août. • © Kevin Verin

    Les restaurateurs de Cambrai ne cessent de le répéter, ils ne sont pas contre le pass sanitaire et le vaccin. « Ce n’est pas le sujet » , lance l’un d’entre eux. Ce qui leur pose problème, c’est le contrôle à l’entrée des restaurants, des bars et des cafés à partir de lundi 9 août. 

    C’est pourquoi ce samedi 7 août, une soixantaine d’entre eux a prévu de se réunir sur la place Aristide Briand au centre-ville pour protester. Ce ne sera pas pour autant une manifestation, mais une « opération ville morte » . La quasi totalité de leurs établissements seront fermés. 

    « Le pass sanitaire, c’est une chose, on le respecte, lance Morgan Sedrue, gérant d’un bar de nuit. Mais ce qu’on ne veut pas, c’est contrôler les gens. On n’est pas des anti ou des pro-vaccin, ce n’est pas du tout le débat. On veut montrer notre mécontentement sur le contrôle du pass sanitaire. » Difficile pour lui et ses collègues de s’imaginer contrôler chaque client, « comme un agent de police ». 

    Plusieurs revendications
    Avec le déploiement du pass sanitaire, plusieurs problèmes se posent. A commencer par le temps d’attente devant les établissements. Frédéric Darras, restaurateur, constate déjà « des queues 15 à 20 personnes sur les côtés. Certains n’ont pas le temps par ce qu’ils travaillent, vous les imaginez faire une queue de 15 minutes alors qu’ils n’ont qu’une heure pour manger à la pause ? » Cela entraîne aussi un décalage « en cuisine et dans le service » qui ralentit considérablement la cadence du restaurant. 

    Ensuite, ils anticipent déjà des complications pour l’organisation : « quand on prend les additions, il y a ceux qui attendent à l’extérieur et qui vont vouloir s’asseoir de suite aux places libres, alors qu’on a pas encore contrôlé leur pass sanitaire. Si à ce moment-là, il y a un contrôle de police, ça nous fait 1500 euros d’amende et pour le client, c’est 135 euros. »

    La foire du 15 août à Cambrai inquiète aussi. Les restaurateurs prévoient « à peu près 4000 clients potentiels » dans les restaurants, les bars et les cafés en l’espace d’une journée. Comment s’organiser face à l’afflux de personnes, avec un pass sanitaire à contrôler et sans personne pour le faire ?  "Une situation intenable", pour Morgan Sedrue. 

    Casse-tête en vue
    La suite : https://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/nord-0/cambrai/pass-sanitaire-operation-ville-morte-a-cambrai-une-soix

    #grève #Douai #france #travail #surveillance #bénévolat #vichy #pétain #vaccination #test_pcr #covid-19 #isolement #cas_contact #travail #économie #coronavirus #santé #surveillance #confinement #covid #sars-cov-2 #pandémie #contacttracing #isolement

  • G20 de la santé : cynisme et indécence
    https://www.pardem.org/g20-de-la-sante-cynisme-et-indecence-0

    Avez-vous entendu parler du Sommet du G20 sur la santé qui s’est tenu le 21 mai 2021 ? Un grand moment attendu par ceux qui croyaient au ciel néolibéral et ceux qui n’y croyaient pas !
Résultats : ceux qui croyaient aux bonnes intentions du G20 sur un “droit universel à la santé” sont déçus. Les réalistes, ceux qui n’y croyaient pas parce qu’ils savent que le G20, réunion des pays néolibéraux les plus riches, poursuit son offensive économique et de propagande pour dominer le monde au dépend des peuples, n’ont pas été surpris.


    Plongée dans la nasse du G20
    Le Sommet mondial de la santé du G20, dans sa Déclaration de Rome, ne fait pas une seule fois référence au « droit universel à la santé ». Pour lui, pas question de légitimer le principe de garantir les soins de manière universelle, c’est-à-dire à tous. Car cela serait une obligation institutionnelle pour les pouvoirs publics et les États. Or, pour les pays du G20 la santé se réduit à une option charitable envers les « pauvres » et rester une machine à profit pour les multinationales.


    Certes le G20 parle d’un « accès équitable et abordable » aux outils de lutte contre la pandémie de Covid-19 (vaccins, traitements médicaux, diagnostics et outils de protection individuelle). Il confirme les principes et objectifs du marché, l’échange monétisé (vente et achat) qui n’ont rien à voir avec le droit à la santé pour tous. La déclaration insiste sur le fait que les mesures nécessaires, qui seront prises dans les mois à venir pour « promouvoir l’accès de tous aux vaccins », doivent être définies dans le cadre des traités de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) et en particulier des Traités OMC-ADPIC (Accord sur les droits de propriété intellectuelle liés au commerce). L’Organisation mondiale de la santé (OMS, agence des Nations unies) est ainsi évincée.


    Rappelons que, depuis des années, plus de 100 États, des centaines de prix Nobel, des scientifiques, des personnalités du monde de la culture et des milliers d’associations, d’organisations et de syndicats demandent que la santé soit le domaine de l’Organisation des nations unies (ONU) et en particulier de son agence l’Organisation mondiale de la santé (OMS). La primauté de l’ONU et de l’OMS signifierait que les règles en la matière seraient établies conformément à la Déclaration universelle des droits de l’’Homme de 1948 et aux traités internationaux sur les droits civils, sociaux et politiques.

    Prétendre donc, comme le fait le G20, que l’objectif de la lutte mondiale contre la pandémie est de ne laisser personne de côté est un mensonge éhonté, une pure hypocrisie destinée à enfumer les peuples. La réalité est que la stratégie de lutte contre la pandémie, adoptée il y a un an et demi au nom de l’accès équitable et abordable aux vaccins et dans le respect des traités OMC/ADPIC, a privé de soins des centaines de millions de personnes exclues de la vaccination (seul 1% de la population africaine a été vacciné). Selon l’OMS, plus de la moitié de la population mondiale était, en 2020, toujours privée de couverture sanitaire de base et l’épidémie a aggravé la situation.

    Les pays du G20, chantres du néolibéralisme, maintiennent leur suprématie et leur pouvoir dans les domaines financier, technologique, scientifique, productif et commercial. Leurs entreprises privées restent les seuls propriétaires de la connaissance du vivant, les détenteurs de brevets, les producteurs et distributeurs de vaccins, les maîtres du commerce international, les fournisseurs de services médicaux, les contrôleurs des marchés de la santé, les maîtres de la digitalisation des systèmes de santé, etc.

    COVAX : nouveau nom de la charité et de la dépendance
    Le COVAX est le mécanisme de dépendance des pays du “Sud”, mis en place par les pays du Nord, en accord avec l’OMS, pour faciliter le partage de la recherche, le développement, l’achat et la distribution des vaccins en faveur des pays pauvres. Il est géré par deux organisations publiques-privées : le CEPI (Coalition for Epidemic Preparedness Innovations) et la GAVI (Global Alliance on Vaccines and Immunisation). Les vaccins sont transférés sous forme d’aide, gratuitement, aux populations des pays dits à faibles revenus, et sous forme d’aide à prix réduit pour celles des pays dits à revenus moyens. Une version payante de la charité chrétienne sans doute…


    Mais la philanthropie a des limites.
La première, c’est que les pays riches et les organismes philanthropiques privés, tels que la fondation Gates, n’ont pas alimenté les finances du COVAX comme ils l’avaient promis la main sur le cœur. COVAX devait disposer de plus de 40 milliards de dollars mais aujourd’hui, seuls 12 milliards sont arrivés dans les caisses… Entre effet d’annonce publicitaire et réalité, il y a un fossé.


    La deuxième est la préservation des brevets qui consacre la propriété privée absolue pendant 20 ans, par les multinationales pharmaceutiques, des vaccins et des dispositifs médicaux. Le but étant de maintenir la domination politique, économique et sociale des pays du Nord sur les pays du Sud par le biais de la mainmise sur la santé des milliards d’êtres humains qui les peuplent.
Les dominants le savent. Refuser la levée des brevets est un comportement cynique, voire criminel.

    Le cirque de la suspension (provisoire) des brevets
    C’était le point le plus attendu du Sommet mondial de la santé du G20. Il a officiellement choisi de ne pas prendre de décision et de reporter le débat à la réunion du Conseil général de l’OMC… qui, depuis, discutaille…


    L’Union européenne est majoritairement opposée à la suspension du régime des brevets et encore plus à son abolition. Elle cherche à déplacer le débat sur la définition d’un nouveau traité mondial de coopération en matière de surveillance et de réponse aux pandémies actuelles et futures… L’Idée de l’UE est de proposer de signer un traité mondial reprenant les grandes lignes du système de coordination intra-européenne mis en place dans le cadre de la “création” (récente) de l’Union européenne de la santé.
La vice-présidente américaine Kamala Harris s’est dite favorable à une suspension des brevets, « à condition qu’elle soit ciblée et limitée dans le temps »…

    Quant à l’Inde, la suspension lui sert à renforcer son rôle de premier producteur mondial de vaccins à faible coût par le biais de l’entreprise privée Serum Institute of India avec le soutien
de l’université d’Oxford et de Astra Zeneca. Le laboratoire a d’ailleurs signé, en 2020, un accord portant sur la production de plus de 1,2 milliard de doses de son vaccin par le Serum Institute of In-dia. La stratégie indienne d’expansion économique dans le secteur pharmaceutique se pose, évidemment, en concurrence avec la Chine.


    De son côté, l’Indonésie (autre membre du G20) a clairement exprimé sa volonté, grâce à la réduction des contraintes imposées par les brevets, de devenir le principal hub de l’Asie du Sud-Est et ce en concurrence avec la Chine et l’Inde.
Bref, la concurrence capitaliste néolibérale au sein du G20 bat son plein.
L’échec prévisible du G20 concernant une coopération mondiale effective dans la lutte conte la Co-vid-19 s’est révélé au grand jour.

    Big Pharma : des profits stratosphériques
    Les pouvoirs publics ont pratiquement financé en totalité (vaccin Astra Zeneca) et en grande partie (vaccins Pfizer, Moderna, Johnson&Johnson, etc.) la conception, le développement, la production et la commercialisation des vaccins. S’il y a des vaccins, ce n’est pas grâce à Big Pharma mais aux colossales sommes d’argent public injectées par les États (plusieurs dizaines de milliards de dol-lars), par tous les moyens possibles, dont celui décisif, des engagements garantis d’achat public de milliards de doses commandées aux entreprises.

    Ce faisant, les entreprises ont empoché le pactole et, sans investissements majeurs, ont déjà récolté des milliards de bénéfices pour les distribuer à leurs actionnaires, sans que les États, les citoyens dont l’argent public a financé les multinationales, n’aient obtenu aucun avantage financier en retour. Les gouvernements ont financé et continuent à financer les entreprises qui , elles, continuent à faire des bénéfices.
Le Sommet mondial de la santé du G20 est bien une tragique mascarade. Car il est clair que la santé des gens n’est pas la priorité des puissants du monde. La réalité d’un droit universel à la santé est inexistante.


    Qui peut croire encore que sans sortie du capitalisme néolibéral tous les peuples, nation par nation, pourront accéder aux soins de santé universels et gratuits ?

    Joël Perichaud, secrétaire national du Parti de la démondialisation, chargé des Relations internationales

    #capitalisme & #vaccination #mascarade #test_pcr #covid-19 #isolement #cas_contact #travail #économie #coronavirus #santé #surveillance #confinement #covid #sars-cov-2 #pandémie #contacttracing #isolement #G20 #Inde #Indonésie #profits #Droit_à_la_santé #OMC #ADPIC #COVAX #brevets #ue #union_européenne

  • Scientists suspect Lambda #SARS-CoV-2 #variant most dangerous
    https://www.news-medical.net/news/20210730/Scientists-suspect-Lambda-SARS-CoV-2-variant-most-dangerous.aspx

    À partir d’une étude non encore évaluée

    The findings of this study are in line with previous studies that had revealed that higher infectivity of the Lambda, Delta and Epsilon variants is due to the #L452Q/R #mutation.

    Scientists have explained that only increased viral infectivity does not attribute to a large-scale infection. Such an instance was observed for the Epsilon variant, where even after possessing high infectivity, it failed to spread in the human population. Thereby, WHO excluded it from the VOC/VOI classification on July 6, 2021.

    In order to understand if a variant would infect a large number of people, it is essential to determine two characteristic virological features of the variant, i.e., increased viral infectivity and evasion from the immune response . This study revealed that the Lambda variant possesses both these virological features.

  • « Au moins je sers à quelque chose » : des retraités appelés en renfort pour contrôler les pass sanitaires dans les restaurants
    https://rmc.bfmtv.com/emission/au-moins-je-sers-a-quelque-chose-des-retraites-appeles-en-renfort-pour-co

    Des restaurateurs vendéens ont lancé un appel aux retraités pour venir donner un coup de main à l’entrée des établissements. Certains, comme Nicole, 68 ans, sont ravis.

    https://www.youtube.com/watch?v=ZTLYfv5oYvo

    Des papys et mamies videurs à l’entrée des bars et restaurants ?
    Dans moins d’une semaine, lundi prochain, l’application du pass sanitaire sera être étendue à l’entrée d’établissements recevant du public. Comment s’organiser pour contrôler ces pass, notamment à l’entrée des cafés et des restaurants ?

    Les professionnels de la restauration ont déjà du mal à trouver des bras en salle et en cuisine, alors mettre quelqu’un à l’entrée relève pour certain d’un véritable casse-tête.

    En Vendée, le syndicat des professionnels du secteur, l’UMIH, vient de lancer un appel aux retraités. Objectif : qu’ils viennent prêter main-forte et qu’ils contrôlent les pass à l’entrée, bénévolement.

    #bénévolat #vichy #pétain #vaccination #test_pcr #covid-19 #isolement #cas_contact #travail #économie #coronavirus #santé #surveillance #confinement #covid #sars-cov-2 #pandémie #contacttracing #isolement

  • #SARS-CoV-2 #Variants and Vaccines | NEJM
    https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMsr2105280

    Given the emergence of immunity-evading variants even before vaccines were broadly deployed, it is hard to implicate vaccines or vaccine deployment strategies as the major drivers of immune evasion.

    However, prolonged viral replication in the presence of partial immunity in immunocompromised persons or circumstances in which rapid transmission of high titers of virus occurs (e.g., crowded living conditions23) could have contributed to the development of variants that can at least partially escape human immune responses. The use of antibody-based treatments (e.g., monoclonal antibodies or convalescent plasma) in circumstances in which they are of limited or undemonstrated efficacy may further contribute to the evolution of variants of concern that could evade not only these but also other antibody responses.24 Partially effective interventions may therefore encourage viral evolution. In addition, the larger the number of infected persons, the greater the chance that new variants of concern will arise. Hence, effective public health strategies such as social distancing, the use of masks, and the targeted use of effective vaccines that reduce both infection and transmission can help to limit viral evolution. Limiting transmission in the general population is extremely important for slowing the emergence of additional variants of concern.

    […]

    So far, there is no good evidence that currently identified variants of concern evade the most important vaccine effect — that of prevention of severe disease. describes key properties of and mutations in five selected variants. The fact that a few key amino acids in the spike protein have changed independently in variants identified in various parts of the world indicates that these are convergent changes and suggests that vaccines that incorporate these selected residues could cover several variants.

    #vaccins

  • #Suisse : Les tests covid ont enrichi les pharmacies

    Le groupe Galenica, qui compte 367 établissements à croix verte dans le pays, a réalisé un chiffre d’affaires et un bénéfice record au premier semestre. Notamment grâce aux tests covid, intégralement payés par la Confédération

    Parfois décriée, la stratégie retenue ces dernières années par Galenica porte ses fruits. Notamment grâce au covid. Mardi, le plus important groupe de pharmacies du pays (367 établissements dont les chaînes Amavita, Sun Store ou Coop Vitality) a annoncé des résultats qui ont positivement surpris la communauté financière.

    La suite payante : https://www.letemps.ch/economie/tests-covid-ont-enrichi-pharmacies

    #test_pcr #covid-19 #isolement #cas_contact #travail #économie #coronavirus #santé #surveillance #confinement #covid #sars-cov-2 #pandémie #vaccination

    • Et pendant qu’on y est, à la votre, ils continuent de jouer !

      Le panachage de vaccins (AstraZeneca + Pfizer/Moderna) se révèle (très) efficace
      https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/chimie-pharmacie/le-panachage-de-vaccins-astrazeneca-pfizer-ou-moderna-se-revele-efficace-8

      Le vaccin d’AstraZeneca ayant été suspendu du jour au lendemain dans de nombreux pays par les autorités sanitaires, ceux qui n’avaient reçu qu’une dose ont dû se rabattre sur un vaccin à ARN messager pour la deuxième dose, sans recul sur l’efficacité du nouveau protocole. Plusieurs études, dont la dernière publiée lundi, concourent à démontrer l’efficacité renforcée de l’administration combinée d’un vaccin à vecteur viral (typiquement, l’AstraZeneca) puis d’un vaccin à ARN messager (tel le Pfizer ou le Moderna).

      Plusieurs études publiées récemment se sont attachées aux effets de l’administration combinée d’un vaccin à vecteur viral (comme l’AstraZeneca) puis d’un vaccin à ARN messager (comme le Pfizer ou le Moderna). Certaines évoquent une efficacité multipliée par six face aux variants, notamment Beta, Gamma et Delta. Tour d’horizon.
      L’étude la plus récente, celle de l’Institut de recherche danois Statens Serum Institut (SSI), publiée lundi, montre que l’administration d’une seconde dose de vaccin contre le Covid-19 de Pfizer-BioNTech ou de Moderna après une première dose d’AstraZeneca offre une « bonne protection ».
      Un panachage obligatoire après la suspension de l’AstraZeneca
      L’étude des chercheurs danois débute quand les autorités sanitaires danoises ont, parmi les premières, interrompu en mars dernier les inoculations avec le vaccin d’AstraZeneca.
      À la fin du premier trimestre 2021, pour mémoire, les informations sur les effets secondaires rares mais graves (voir ANNEXE en pied d’article) quelques jours après la première dose d’AstraZeneca, avaient conduit les autorités sanitaires européennes, les unes après les autres, à déclarer la suspension du vaccin du laboratoire anglo-suédois.
      De fait, les 144.000 Danois (essentiellement des professionnels de santé et des personnes âgées), qui avaient reçu à ce moment-là une première dose d’AstraZeneca, avaient dû se rabattre, pour obtenir leur deuxième dose, sur un vaccin Pfizer-BioNTech ou de Moderna. Mais on n’avait alors aucun recul sur l’efficacité de ce nouveau protocole lancé précipitamment. Fort heureusement, les diverses études réalisées depuis sur le sujet de la combinaison de vaccins s’avèrent rassurantes.
      « L’étude montre que quatorze jours après un programme de vaccination combiné, le risque d’infection par le SARS CoV-2 est réduit de 88% par rapport aux personnes non vaccinées », a déclaré lundi le SSI.
      Le SSI ajoute :
      "Il s’agit d’une « efficacité élevée », comparable au taux d’efficacité de 90% de deux doses du vaccin de Pfizer-BioNTech, observé dans une autre étude danoise.
      Pour mémoire, voici les données du seul vaccin d’AstraZeneca. À l’époque des essais cliniques, ceux-ci avaient montré une efficacité de 60% seulement, bien en dessous de celle des vaccins à ARN messager de Pfizer et Moderna (90% selon les essais cliniques). Mais une équipe de chercheurs écossais, en utilisant des données réelles (données hebdomadaires de vaccination, admissions à l’hôpital, tests, décès), avait prouvé que le nombre de formes sévères du Covid-19 avait diminué de 94% pour les patients vaccinés à l’AstraZeneca, contre 85% pour le Pfizer à données comparables.
      Une limite cependant : l’étude, publiée la semaine dernière, a été menée entre février et juin de cette année, période durant laquelle le variant Alpha du coronavirus était prédominant. Elle n’a pas pu conclure, par contre, si la même protection s’appliquait au variant Delta, qui est maintenant le plus répandu au Danemark, et n’a pas non plus fourni de données d’efficacité sur les décès ou les hospitalisations liés au Covid-19.

      Le nombre d’anticorps multiplié jusqu’à 6 fois
      Fin juillet, une étude sud-coréenne a démontré que l’administration successive d’un vaccin d’AstraZeneca puis d’un vaccin Pfizer multipliait par six les niveaux d’anticorps neutralisants contre le Covid-19 par rapport à deux doses d’AstraZeneca.

      La méthodologie impliquait la participation de quelque 499 travailleurs médicaux dont 100 se voyaient administrer le panachage de vaccins à vecteur viral et à ARN messager, 200 prenant deux doses du vaccin Pfizer/BioNTech (ARN messager), et le reste de l’échantillon recevant deux injections du vaccin d’AstraZeneca (vecteur viral).

      Résultat : tous les participants ont développé des anticorps neutralisants (qui empêchent le virus d’entrer dans les cellules et de se répliquer) et l’échantillon ayant reçu la combinaison de vaccins a montré des quantités similaires d’anticorps neutralisants à ceux trouvés dans le groupe qui a reçu deux injections du vaccin de Pfizer/BioNTech.

      Une étude britannique publiée en juin a abouti aux mêmes résultats, mais introduit une différenciation selon l’ordre de vaccination : ainsi, une injection d’AstraZeneca suivie de Pfizer a produit une meilleure réponse des lymphocytes T et une réponse en anticorps plus élevée que l’injection d’un vaccin Pfizer suivie d’un vaccin d’AstraZeneca.

      L’étude sud-coréenne a également analysé l’activité neutralisante contre les principaux variants, a déclaré l’Agence coréenne de contrôle et de prévention des maladies (KDCA). Aucun des groupes n’a démontré une activité neutralisante réduite contre le variant Alpha, identifié pour la première fois en Grande-Bretagne, mais le titre de neutralisation a diminué de 2,5 à 6 fois contre Beta, Gamma et Delta, détectés pour la première fois en Afrique du Sud, au Brésil et en Inde respectivement.

      Le retour d’AstraZeneca dans les programmes de vaccination ?
      Ces résultats pourraient améliorer l’efficacité des campagnes de vaccination en cette période de nouvelle flambée due au variant Delta, tout en contribuant à redonner une place au vaccin d’AstraZeneca, actuellement écarté de la plupart des programmes de vaccination nationaux notamment en Union européenne à cause de ses effets indésirables rares mais graves, notamment l’apparition de caillots sanguins, qui avaient entraîné une désaffection d’une partie de la population.

      Mais il y a peu de chances que cela se produise dans l’Hexagone. En effet, mardi 20 juillet 2021, le ministère de la Santé a annoncé que toutes les nouvelles livraisons à la France du vaccin d’AstraZeneca contre le Covid-19 prévues par contrat avec le laboratoire anglo-suédois seraient désormais basculées vers les dons aux pays en développement, au bénéfice du programme Covax, le dispositif de solidarité internationale contre la pandémie. Le million de doses d’AstraZeneca livrées en France fin juillet, ainsi que les 4,5 millions de doses attendues en août, seront « 100% fléchées vers le programme Covax », avait assuré un représentant du ministère de l’Economie et des Finances.

      L’Allemagne propose le panachage en dose de rappel
      La question d’un panachage de vaccins se pose même avec une acuité nouvelle, après la décision, lundi, de l’Allemagne qui va proposer dès le 1er septembre l’administration d’une dose de rappel de vaccin contre le Covid-19 aux populations âgées et vulnérables, et donc notamment, à tous ceux qui, vaccinés en premier, ont reçu deux doses d’AstraZeneca avant la suspension, et qui n’ont donc encore jamais été vaccinés avec un vaccin à ARN messager :

      « Les vaccinations de rappel seront réalisées avec l’un des deux vaccins à ARN messager (Pfizer ou Moderna, Ndlr) », a indiqué lundi le ministère de la Santé allemand selon lequel cette décision est « dans l’intérêt des soins de santé préventifs » et tient compte de préoccupations concernant « la réponse immunitaire réduite ou en déclin rapide » chez les personnes vulnérables.
      (avec Reuters et AFP)

  • #Belgique Groen estime que l’application Coronalert doit être progressivement abandonnée Anne François
    https://www.vrt.be/vrtnws/fr/2021/08/02/groen-estime-que-lapplication-coronalert-doit-etre-progressiveme

    Les écologistes flamands estiment que l’application Coronalert, qui permet de signaler une infection au coronavirus de façon anonyme à des contacts afin qu’ils puissent se faire tester, doit être abandonnée progressivement. D’après Groen, l’app ne représente actuellement aucune valeur ajoutée.

    Le député écologiste Jeremie Vaneeckhout a demandé au ministre flamand de la Santé Wouter Beke (CD&V) les chiffres concernant l’application Coronalert. Il en ressort que celle-ci a partagé 27.800 résultats de tests positifs jusqu’à présent. « Cela ne représente que 2,7% de tous les tests corona positifs depuis le lancement de l’application, il y a près d’un an », conclue Vaneeckhout. « Je ne pense pas que l’on puisse considérer cela comme un grand succès ».

    Groen réclame une évaluation approfondie de l’application et souhaite que le ministre Beke ne fasse plus aucune nouvelle dépense pour ce projet. « Avec 2.758.000 téléchargements de l’app, nous arrivons à un taux de couverture de 30% seulement de tous les utilisateurs de smartphones », constate Jeremie Vaneeckhout. « Quelque 806.000 résultats ont été signalés via l’application, dont 76.000 positifs. Mais seulement 27.800 tests positifs ont effectivement été partagés via l’app avec d’autres contacts. Avec un investissement de 1,25 million d’euros à la clef, on peut se demander si l’app est jamais parvenue à remplir sa fonction d’outil de lutte contre l’épidémie ».

    Le parti propose donc de réduire progressivement l’utilisation de l’application et ne lui voit pas non plus jouer un rôle pendant de grands événements. « Il est important de prendre encore toujours des précautions pour éviter une contamination, mais Groen estime que l’app Coronalert n’offre plus de valeur ajoutée ».

    Pour rappel, en mai dernier, le professeur en médecine Jan De Maeseneer (UGent) avait déjà indiqué, lors d’une audition au Parlement flamand, que l’application Coronalert lancée l’an dernier n’a fourni « aucune contribution » dans la lutte contre la pandémie.

    Interrogée également par les députés flamands, Karine Moykens, responsable du comité interfédéral Testing et Tracing, n’avait pas partagé cette analyse. Selon elle, l’application pouvait être un « instrument complémentaire » important dans les prochains mois. Mais d’après le Pr De Maeseneer, sa contribution ne peut être démontrée. « Il n’y a aucune preuve scientifique pour cela. Si on avait vraiment voulu qu’elle ait un impact, il aurait fallu la rendre obligatoire, comme c’est le cas à Singapour », avait ajouté le professeur.

    #inefficacité #gaspillage #application #smartphone #Coronalert #pandémie #vaccination #test_pcr #covid-19 #isolement #cas_contact #travail #économie #coronavirus #santé #surveillance #confinement #covid #sars-cov-2 #pandémie #contacttracing

  • Pfizer et Moderna augmentent le prix des vaccins en Europe, selon le Financial Times

    Le vaccin Pfizer passe ainsi de 15,5 à 19,5 euros et celui de Moderna de 19 à 21,5 euros. La Commission européenne s’est refusée à tout commentaire, au nom de confidentialité des contrats.

    La facture va s’élever. Les entreprises pharmaceutiques Pfizer et Moderna ont augmenté le prix de leur vaccin contre le coronavirus dans le cadre d’un accord avec l’Union européenne, révèle ce dimanche le Financial Times, qui a consulté le contrat.

    Le vaccin Pfizer passe ainsi de 15,5 euros à 19,5 euros et celui de Moderna de 19 euros à 21,5 euros, selon les données consultées par le quotidien financier britannique. Cette hausse intervient alors que l’inquiétude sur la flambée du variant delta monte et que des études ont prouvé que les vaccins de Moderna et Pfizer/BioNTech devraient rester efficaces face à ce variant. Interrogée par l’AFP, la Commission européenne s’est refusée à tout commentaire, mettant en avant la confidentialité des contrats. Contactés à leur tour par l’AFP, Pfizer et Moderna n’ont pas immédiatement réagi dimanche.

    La suite : https://www.lefigaro.fr/societes/pfizer-et-moderna-augmentent-le-prix-des-vaccins-en-europe-selon-le-financi

    #ue #union_européenne #vaccination #test_pcr #covid-19 #isolement #cas_contact #travail #économie #coronavirus #santé #surveillance #confinement #covid #sars-cov-2 #pandémie #contacttracing #isolement