• Long COVID: blood/plasma signature of mitochondrial lowered metabolic activity | Olivier Blond / Mammouth | 06.08.23

    Long COVID: there is a blood/plasma signature of mitochondrial lowered metabolic activity. If I were to head a LC lab, I would have a look at mitochondrial membranes still having remains of #SARSCoV2 proteins (with reverse phase chromatography and time of flight spectrometry).

    In the same time what protein of SARS2 localises in the mitochondry?

    Last question, is there a SARS2 protein that could act as a proton leaker?
    Because these mechanisms rely on protons H+ [...]

    https://zeroes.ca/@olireiv/110840373675444616

  • Nicolas Berrod sur Twitter
    https://twitter.com/nicolasberrod/status/1550157649601351693

    Le #PJLSanitaire adopté en commission mixte paritaire prévoit donc la réintégration des soignants non vaccinés « dès que les conditions médicales seront réunies » (dixit @BasPhilippe
    ).

    Voilà plusieurs semaines que cette marotte de faire revenir les soignants non-vaccinés tourne, et que des gens que je croyais rationnels se mettent à argumenter qu’il n’y a aucun argument scientifique pour les empêcher de revenir.

    Ils t’expliquent, en 180 caractères, que
    1) le vaccin ne protège pas contre les contaminations ni contre la contagion, surtout depuis Omikron
    2) les vaccinés viennent travailler, même positifs

    Donc, aucune raison de ne pas faire revenir des gens non-vaccinés qui s’ils portent leur masque seront aussi contaminés et aussi contagieux que des vaccinés, et que donc pas de raison de faire de discriminations.

    Ces raisonnements sont complètement tordus.

    – Pourquoi autorise-t-on les vaccinés à venir travailler alors qu’ils sont positifs ? Mais quelle idée saugrenue ?! Quand on est vacciné contre la grippe, on la chope quand même, et on peut avoir son arrêt de travail pour se reposer. Pourquoi est-ce que ça serait différent, alors même que les séquelles du Covid peuvent être autrement plus invalidantes que la Grippe ? Parce que c’est la guerre peut-être ? Et que tant pis, on va se comporter d’une manière irrationnelle, y-a pas le choix ?

    – Pourquoi en arrive-t-on à dire que depuis BA1, pour ainsi dire, que le vaccin ne sert plus à rien ? Comment peut-on tenir de tels propos et de tels raisonnements, alors même que la situation est presque soutenable malgré une 7ème vague ? D’un côté on se félicite que finalement, le pire est presque évité avec la 7ème vague, et de l’autre, on te soutient que la vaccination ne sert à rien. Et à aucun moment on ne fait le lien entre l’un et l’autre, entre le fait qu’on est massivement vaccinés, et que ça baisse les effets négatifs, malgré les nouveaux variants.

    Bref, ce débat sur la réintégration des soignants antivaxxx ouvre une nouvelle fenêtre d’Overton bien crade.

    • Je vois beaucoup de médecins sur les réseaux qui sont totalement opposés au retour des antivax. Et l’Académie de médecine a communiqué là-dessus de manière très claire : « Réintégrer les soignants non vaccinés contre la Covid-19 serait une faute »
      https://www.academie-medecine.fr/reintegrer-les-soignants-non-vaccines-contre-la-covid-19-serait-un

      Un argument qui revient souvent, c’est l’impossibilité de travailler avec des gens en qui les équipes n’ont plus aucune confiance, parce que leur comportement n’a laissé aucun doute sur le fait que ce sont de gros tarés. Dans le communique de l’Académie de médecine, c’est cette phrase :

      La réintégration de professionnels de la santé non vaccinés au sein de l’équipe soignante compromettrait le climat de confiance et la cohésion qui doivent exister entre ses membres et avec les malades.

      Je me souviens qu’au moment des suspensions, nos amis soignants (en milieu hospitalier) avaient juste dit : « bon débarras, ceux-là on ne veut plus les voir ».

    • L’autre jour, c’est Flahaut que j’ai vu se faire l’avocat de ces gens.

      Ca a commencé comme ça...

      Antoine FLAHAULT sur Twitter
      https://twitter.com/FLAHAULT/status/1549756425928327168

      1/3 - Le maintien de la suspension des soignants non vaccinés n’est plus fondé sur le plan scientifique. Il n’y a en effet pas de raison d’exiger le vaccin chez les soignants car il n’évite pas ni ne réduit suffisamment les contaminations avec les nouveaux variants du #SARSCoV2

      2/3 - Sur le plan éthique, il n’y a pas davantage de raisons de ne pas réintégrer les personnels non vaccinés. Parce qu’ils penseraient différemment des vaccinés ? Mais était-ce une condition de leur embauche que d’avoir des raisonnements scientifiques validés par le gouvernement ?

      3/3 - Ne pas réintégrer des non vaccinés sans un minimum de fondement scientifique créerait un précédent questionnable en termes de gestion des fonctionnaires.
      Blâmer ces personnels de santé pour leur comportement passé irresponsable et illégal, oui.
      Ne pas les réintégrer, non !

      Puis il a enfoncé le clou comme ça :

      Antoine FLAHAULT sur Twitter
      https://twitter.com/FLAHAULT/status/1549854541474062337

      1/5 - Ce débat suscité par ma position“réintégratrice” est beaucoup plus riche et apaisé que ceux qui se sont opposés récemment à mes tweets prônant la vaccination des enfants. Mes opposants sont de culture fort différente. Je voudrais commencer à répondre à ceux d’aujourd’hui.

      2/5 - Les motifs des “suspenseurs” sont de plusieurs ordres, en vrac :
      – “Les soignants antivax sont anti science et vont ruiner l’ambiance dans les services” : mais depuis quand révoque-t-on des fonctionnaires juste parce qu’ils n’agissent pas comme la majorité bien pensante ?

      3/5 - “On est en guerre et les soignants non vaccinés sont des traîtres à la patrie qui doivent assumer” : ces propos sont-ils proportionnés ? Qu’ils aient été dans l’illégalité et donc suspendus tant qu’ils représentaient un risque pour leurs patients ok, mais aujourd’hui ?

      4/5 - “Le vaccin protège les soignants des formes graves et des Covid longs, les réintégrer aujourd’hui c’est s’en cogner” : mais n’y a-t-il pas d’autres risques que prennent les soignants vis-à-vis de leur santé (moto, plongée, tabac, alcool,…) dont tt le monde se cogne, non ?

      5/5 - “Ce serait la victoire de l’obscurantisme sur la science”, Soit on établit des critères à l’embauche de “bon raisonnement scientifique” en espérant écarter tous les homéopathes et autres médecines parallèles.
      Soit on s’y refuse et on assume une diversité inclusive.

      Et aussi :

      Antoine FLAHAULT sur Twitter
      https://twitter.com/FLAHAULT/status/1550225191594299393

      1/5 - “Par rapport au vaccin, le port du masque FFP2 par les soignants a beaucoup plus d’effet contre la propagation hospitalière du #COVID19, ainsi que la ventilation adéquate des espaces clos.”

      2/5 - “Réintégrer des soignants non vaccinés n’aurait donc qu’un très faible impact sur la circulation du #SARSCoV2 à l’intérieur des services de soins.”

      3/5 - “Désormais, #Omicron a changé la donne et les pouvoirs publics, tout comme les experts, y compris ceux de l’Académie de médecine (dont je suis membre correspondant), se devraient de reconsidérer leur position.”

      Etc...

    • Oui, j’avais vu. Il a tendance à choisir les arguments qui l’arragent (technique de l’homme de paille). Et dans la dernière série que tu cites, il termine par :

      5/5 - “Il faut restaurer un climat plus apaisé entre les soignants, mais aussi entre soignants et patients, et je pense que cela passera par la réintégration de ces personnels qui, à un certain moment de la pandémie, se sont égarés par leurs positions blâmables.”

      Qui est très exactement l’inverse de ce que dit l’Académie de médecine et bon nombre de médecins : au contraire ils affirment tous qu’être obligé de retravailler avec des gens en qui ils n’ont plus aucune confiance, ça ne va pas du tout « apaiser » les relations à l’hôpital.

      Sinon, ce point :

      4/5 - “Le vaccin protège les soignants des formes graves et des Covid longs, les réintégrer aujourd’hui c’est s’en cogner” : mais n’y a-t-il pas d’autres risques que prennent les soignants vis-à-vis de leur santé (moto, plongée, tabac, alcool,…) dont tt le monde se cogne, non ?

      Alors l’Académie de médecine, sur ce point, ne dit pas cela. L’Académie rappelle qu’elle a demandé et obtenu que le Covid soit reconnu comme une maladie professionnelle pour les soignants. C’est d’ailleurs là sur le site d’Ameli :
      https://www.ameli.fr/professionnel-de-la-lpp/actualites/reconnaissance-du-covid-19-en-maladie-professionnelle-ce-quil-faut-savoir
      Et dans cette logique, l’Académie rapelle qu’être vacciné réduit massivement les risques de faire une forme grave. C’est ce point de son communiqué :

      – que la vaccination restant très efficace vis-à-vis des différents variants et sous-variants pour protéger contre les formes sévères de Covid-19, elle permet de rendre exceptionnelle la reconnaissance de Covid-19 grave en maladie professionnelle chez les soignants vaccinés.

      À ma connaissance, faire de la moto, fumer ou boire ne sont pas reconnus comme des maladies professionnelles.

    • La Haute autorité de santé vient de rendre son avis : « Covid-19 : la HAS préconise le maintien de l’obligation vaccinale des personnels exerçant dans les établissements de santé et médico-sociaux »
      https://www.has-sante.fr/jcms/p_3356231/fr/covid-19-la-has-preconise-le-maintien-de-l-obligation-vaccinale-des-person

      Au vu du contexte épidémique dynamique, des incertitudes sur l’évolution de l’épidémie dans les prochains mois, et de l’efficacité d’un schéma vaccinal complet à réduire le risque d’être infecté et de transmettre la maladie, la HAS considère que les données ne sont pas de nature à remettre en cause l’obligation vaccinale des personnels des secteurs sanitaire et médico-social qui concourt à une meilleure protection des personnes soignées ou accompagnées, au premier rang desquelles les plus vulnérables.

    • "Sinon pour info :
      Qffwffq
      @qffwffq
      1/ scientifiquement c’est débile car c’est placer des personnes en refus des règles d’hygiène face à des patients fragiles

      2/ éthiquement c’est débile car la premier droit des patients est d’avoir la certitude que ceux qui les soignent s’en donnent les moyens

      3/... Et trois c’est mon préféré par rapport à la grande Imposture de Flahaut : LES SOIGNANTS ONT DES ORDRES PROFESSIONNELS ET UN CODE DE LA SANTÉ PUBLIQUE QUI EXIGENT QUE LEUR EXERCICE SOIT FONDÉ SUR LES DONNÉES ACQUISES DE LA SCIENCE. C’EST LA LOI.

  • Selon Santé Publique Ontario (Canada), les réinfections au #SARSCoV2 augmentent les risques de décès, d’hospitalisation et d’effets indésirables sur la santé toutes causes confondues

    SARS-CoV-2 Omicron Variant Sub-Lineages BA.4 and BA.5 : Evidence and Risk Assessment - evidence-brief-ba4-ba5-risk-assessment-jul-8.pdf
    https://www.publichealthontario.ca/-/media/Documents/nCoV/voc/2022/07/evidence-brief-ba4-ba5-risk-assessment-jul-8.pdf?sc_lang=en

  • ETE Fr sur Twitter
    https://twitter.com/ete_fr/status/1532375840910102528

    Sur les cas de #variole #simesque (#MPXV) détectés de par le monde, quelques réflexions d’épidémiologie, de modélisation et d’évolution de l’équipe. Car, pour le moment, ce sont surtout les #génomes viraux qui apportent des indications !

    https://threadreaderapp.com/thread/1532375840910102528.html

    […]
    Mais ⚠️, à ce stade, les conclusions épidémiologiques sont très fragiles à cause des #biais de dépistage.
    Plus on cherche de cas, plus on en trouve.
    La hausse pourrait donc ne traduire qu’un effort de dépistage.

    Au passage, il s’agit de l’exact effet inverse observé actuellement avec le nombre de reproduction #Rt du #SARSCoV2 calculé sur les dépistages en France, en forte baisse avec le pont de l’Ascension.
    […]
    Les inconnues sont nombreuses.

    Quelle proportion des personnes infectées ont des #symptômes ?

    Combien de cas secondaires sont causés par une infection #R0 ?

    Quelle est la #virulence de l’infection et sa durée ?


    figure de @MT_Sofonea

  • Compter le coût neurologique du COVID-19
    Counting the neurological cost of COVID-19

    The neurological deficits caused by COVID-19, which were first reported in the early months of 2020, continue to intrigue neurologists and health-care professionals worldwide. As two new studies highlight, these manifestations are frequent and are expected to increase the burden of morbidity and mortality in the acute and chronic phases of COVID-19.

    vo [en] https://www.nature.com/articles/s41582-021-00593-7
    vf (traduction automatique google) : https://www-nature-com.translate.goog/articles/s41582-021-00593-7?error=cookies_not_supported&code=308d9

    Commentaires :

    #SARSCoV2 induit la mort cellulaire par apoptose dans des neurones. Une perte lente de neurones par ce mécanisme pourrait être à l’origine des caractéristiques neurologiques du #COVIDLong Cela peut provoquer d’énormes handicaps.

    https://twitter.com/Cote_Science/status/1474833784591818759

    Pour ceux qui n’ont toujours pas compris pourquoi il fallait éviter le virus, même si l’on ne finit pas à l’hôpital.
    Et rappel : la politique criminelle du laissez-circuler consiste basiquement à programmer, chez un individu moyen, 20 ? 30 ? 40 infections tout au long de sa vie.

    https://twitter.com/Panda31808732/status/1474867794252607493

    #covid #covid19

  • Report 42 - Transmission of SARS-CoV-2 Lineage B.1.1.7 in England: insights from linking epidemiological and genetic data | Faculty of Medicine | Imperial College London
    https://www.imperial.ac.uk/mrc-global-infectious-disease-analysis/covid-19/report-42-sars-cov-2-variant

    The SARS-CoV-2 lineage B.1.1.7, now designated Variant of Concern 202012/01 (VOC) by Public Health England, originated in the UK in late Summer to early Autumn 2020. We examine epidemiological evidence for this VOC having a transmission advantage from several perspectives. First, whole genome sequence data collected from community-based diagnostic testing provides an indication of changing prevalence of different genetic variants through time. Phylodynamic modelling additionally indicates that genetic diversity of this lineage has changed in a manner consistent with exponential growth. Second, we find that changes in VOC frequency inferred from genetic data correspond closely to changes inferred by S-gene target failures (SGTF) in community-based diagnostic PCR testing. Third, we examine growth trends in SGTF and non-SGTF case numbers at local area level across England, and show that the VOC has higher transmissibility than non-VOC lineages, even if the VOC has a different latent period or generation time. Available SGTF data indicate a shift in the age composition of reported cases, with a larger share of under 20 year olds among reported VOC than non-VOC cases. Fourth, we assess the association of VOC frequency with independent estimates of the overall SARS-CoV-2 reproduction number through time. Finally, we fit a semi-mechanistic model directly to local VOC and non-VOC case incidence to estimate the reproduction numbers over time for each. There is a consensus among all analyses that the VOC has a substantial transmission advantage, with the estimated difference in reproduction numbers between VOC and non-VOC ranging between 0.4 and 0.7, and the ratio of reproduction numbers varying between 1.4 and 1.8. We note that these estimates of transmission advantage apply to a period where high levels of social distancing were in place in England; extrapolation to other transmission contexts therefore requires caution.

    • L’hypothèse est que non seulement la variante britannique est beaucoup plus contagieuse (augmentation du R entre 0.4 et 0.7), mais que de plus elle touche nettement plus les jeunes.

      Ici un témoignage d’une matron (infirmière en chef ?) à Londres :
      https://twitter.com/bbc5live/status/1345006866829463552

      “It was minimally affecting children in the first wave... we now have a whole ward of children here.”

      https://video.twimg.com/amplify_video/1344998209962303488/vid/1280x720/vYkmEURfwU8x1Olj.mp4

    • Commentaires de Deepti Gurdasani :
      https://twitter.com/dgurdasani1/status/1344774555718590464

      The Imperial report on the new UK B117 strain is out. Very concerning findings, that highlight why we need to act on this now. These findings suggest that the situation within the UK is likely to get much worse than it is now. Here’s why-

      Un aspect du thread : la nouvelle variante est en train de se répandre principalement chez les jeunes scolarisés (10-19). Sans mesures fortes (fermeture des écoles), elle se répandra dans l’ensemble des tranches d’âge, et la situation déjà difficile en Grande-Bretagne deviendra catastrophique.

    • Thread de Nathan Peiffer-Smadja :
      https://twitter.com/nathanpsmad/status/1345079966728396803

      Pourquoi je suis très inquiet par la diffusion du variant #SARSCoV2 au Royaume-Uni ?

      – Une transmissibilité augmentée de 56% (CI 95% : 50-74%)
      – Des charges virales + importantes chez patients infectés
      (les 2 pouvant être liés !)

      Ce variant va fatalement arriver en France

      Notamment cette recommandation :

      Concrètement, selon ces travaux de modélisation, à confirmer et avec leurs limites, pour que prochaine vague soit moins meurtrière que la précédente au Royaume-Uni il faut

      – Vacciner 2 millions personnes/semaine
      – Confinement général avec toutes les écoles/collèges/lycées fermés

    • @kassem : oui pour les deux premiers référencement.

      Mais dans le thread de Deepti Gurdasani, la part des jeunes, ce n’est pas une comparaison, c’est le constat que la nouvelle variante, considérée comme beaucoup plus contagieuse, est désormais très répandue dans les tranches d’âges des moins de 20 ans, et pour l’instant plus faiblement chez les plus âgés.

      Et que donc si on ne fait rien elle gagnera l’ensemble des tranches d’âge en faisant des dégâts considérables en aggravant une situation déjà très dégradée.

    • COVID-19 : DES ÉPIDÉMIOLOGISTES ET PARENTS D’ÉLÈVES RÉCLAMENT UN REPORT DE LA RENTRÉE SCOLAIRE
      https://www.bfmtv.com/sante/covid-19-des-epidemiologistes-et-parents-d-eleves-reclament-un-report-de-la-r

      De nombreux pays européens ont en effet décidé de reporter la rentrée de quelques jours voire semaines. C’est notamment le cas dans plusieurs régions britanniques, mais aussi en Grèce, en Pologne, en Irlande, aux Pays-Bas et en Autriche. Et précisément ce que réclame le collectif de #parents d’#élèves Ecole et Familles oubliées qui déplore qu’aucun renforcement du protocole sanitaire n’ait été mis en place alors que le nouveau variant du virus « est officiellement déjà présent » sur le territoire français.

      « La rentrée en présentiel doit être décalée, pour permettre la mise en sécurité des établissements scolaires comme de nombreux scientifiques le demandent en France et comme le font la majorité des pays européens », écrivent les responsables du collectif.

      Le report du retour en classe permettra, selon eux, de réaliser un état des lieux sur la dangerosité de la nouvelle souche du virus et de l’impact des fêtes de fin d’année sur la progression épidémique, mais aussi d’élaborer « un protocole sérieux pour la réouverture des établissements » avec des effectifs réduits, une aération efficiente des locaux et le déploiement de tests salivaires.

      « Laisser l’épidémie à l’#école, c’est exposer la société toute entière. Et il faudra malheureusement payer collectivement le prix de cet attentisme, qui déjà en mars nous avait conduit à regarder tranquillement la Lombardie sans réagir » ; estiment-ils.

      #covid-19 #Antoine_Flahault et alii

  • Dr Emma Hodcroft sur Twitter :

    “[...] a new graph showing the proportion of different variants in selected countries is also up. Note the sharp in increase of N501 (bright pink) at the end of many graphs: this indicates increased interest in sequencing N501 samples. 7/8” / Twitter
    https://twitter.com/firefoxx66/status/1343859971222593541

    While more sequencing is great, you can see how switching to preferentially sequencing N501 samples will distort our ability to track other variants, both current & emerging.

    Long-term, we need coordinated & regular sequencing of many samples to track #SARSCoV2 #variants! 8/8

  • Covid-19 et eaux usées : le réseau Obépine s’étend et peaufine ses modèles prédictifs
    https://www.industrie-techno.com/article/covid-19-et-eaux-usees-le-reseau-obepine-s-etend-et-peaufine-ses-m

    À l’occasion d’une conférence de presse organisée le 16 novembre, le réseau Obépine (pour OBservatoire EPIdémiologique daNs les Eaux usées), créé à l’initiative du laboratoire Eau de Paris, des chercheurs de Sorbonne Université et de l’institut de Recherche Biomédicales des Armées pour détecter la charge virale du SARS-CoV-2 dans les eaux des stations d’épuration, a présenté un point d’étape sur son déploiement.

    Lancé dès le 5 mars en région parisienne, le réseau a bénéficié des soutiens du Comité Analyse Recherche et Expertise (CARE), qui lui a octroyé une dotation de 500 000 euros à ses débuts, et du ministère de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation (MESRI), qui lui a débloqué un fonds d’urgence de 3,5 millions d’euros. Objectif : la mise en place d’un réseau national de surveillance regroupant 158 stations d’épuration et 7 laboratoires de référence pour l’analyse des eaux usées. A l’heure actuelle, le réseau compte 82 stations. Les dernières stations pourraient se greffer au dispositif d’ici la fin décembre et Obépine réalisera à ce stade entre 300 et 600 analyses hebdomadaires. [..]

    L’analyse de ces traces du virus dans les systèmes de traitement des eaux est particulièrement intéressante, car elle pourrait permettre de prédire presque une semaine à l’avance la dynamique de l’épidémie. « Certaines données nous donnent une prédiction assez fidèle de la hausse du nombre de cas 5 à 6 jours avant de les dépister », explique Laurent Moulin, microbiologiste au laboratoire Eau de Paris.

    Les chiffres sont éloquents : sur la courbe ci-dessous les effets du 1er et 2ème confinements sont nettement visibles sur la courbe de concentration du virus dans les eaux usées (courbe rouge), en Ile-de-France, ainsi que la reprise de l’épidémie qui a eu lieu à partir de la mi-juin. La dynamique était légèrement en avance sur le nombre de personnes testées positives au covid-19 dans la région (courbe bleue).

    La dynamique de concentration du virus dans les eaux usées (en rouge). L’effet du premier et du deuxième confinement sont visibles (dans les zones grisées). A la reprise de l’épidémie, en juin, cet indicateur était en avance sur la dynamique du nombre de personnes testées positives au covid-19

     

    Un modèle difficile à établir

    Si la corrélation semble évidente, il est cependant difficile d’établir un véritable modèle prédictif. Il s’agit pourtant de l’une des finalités d’Obépine : tirer du terrain des informations qui permettront de calibrer l’action publique en fonction de l’évolution de la maladie.

    #covid-19 #eaux_usées #Obépine

  • Thread by firefoxx66 on Thread Reader App – Thread Reader App
    https://threadreaderapp.com/thread/1324095151984312324.html

    Very important caveat here that I’m working with very limited information, but trying to make some sense of something that’s getting a lot of attention, with the little info I can find. However, this should be taken as a tweet thread, not a preprint or anything similar.

    2/21
    On page 8, the document describes 2 variants, defined by mutations A22920T & a 2 amino-acid deletion from 21766-21771. Both are changes in the Spike protein.

    • un point sur les #mutations sur les SARS-CoV2 des #visons.

      18/21
      If Denmark believes this is serious enough to kill their entire mink population, one would perhaps also conclude that this serious enough to pass on the information about these mutations to scientists worldwide as quickly as possible to see if variants are found elsewhere.

      19/21
      It’s critically important that novel #SARSCoV2 findings, particularly about spike mutations, are communicated responsibly. Announcements without context spark alarm, worry, & panic headlines. That doesn’t help anyone, & scientists can’t provide assessment or interpretation

    • La comparaison grippe covid-19, fin de partie (pris à Drosten)
      https://inf-covid.blogspot.com/2020/10/faux-positifs-ecoles-mortalite-cellules.html

      [...] Les auteurs donnent également un exemple que j’ai trouvé très vivant. On a également évalué, à partir de nombreux ensembles de données, en particulier des USA, [la mortalité] de la grippe durant ces dernières années. […] Depuis le début de la pandémie, il y a des gens qui ont dit : « C’est aussi inoffensif que la grippe ». Et depuis, des chiffres fantaisistes circulent en public. Mais parfois ils ne se réfèrent qu’à un seul pays et parfois à une seule année […] Mais si vous analysez à partir de données aux États-Unis, qui ont un très bon système de déclaration, vous pouvez dire : La grippe a une mortalité par infection de 0,05% sur une période de plusieurs années. Chez nous, c’est un peu moins. Et d’après cette méta-analyse très bien faite, la Covid-19, c’est-à-dire l’infection par le SRAS-2, a une mortalité par infection de 0,8%. C’est 16 fois plus que la grippe. Pour chaque décès de grippe, il y a 16 décès de Covid-19 aux États-Unis . Mais maintenant, la population américaine est plus jeune que l’allemande. En d’autres termes, il faudrait compter avec un taux de mortalité par infection en Allemagne qui, selon cette analyse, approche le 1 %, voire un peu plus […]

      Mais je pense que nous devrions peut-être visualiser cela d’une manière différente, en regardant les taux de mortalité par infection [par âge] [...] dans la tranche d’âge entre 35 et 44 ans, c’est à peu près la même chose qu’avec la grippe. [...] Entre 45 et 54 ans, la mortalité par infection est de 0,2%. Entre 55 et 64 ans, soit les dix dernières années de vie active, 0,7%. Donc, selon la situation de comparaison, je dirais dix fois plus que la grippe. Ou même plus. Dans d’autres pays, ce serait 15 fois plus que la grippe. Les auteurs ont ici fait une comparaison intéressante, ils ont comparé avec les accidents de la route. Et ils disent que c’est un risque environ 200 fois plus élevé que de conduire une voiture pendant un an pour cette tranche d’âge. Donc, si quelqu’un est dans les dix dernières années de sa carrière, il peut conduire pendant un an et la probabilité qu’il ait un accident n’est que d’un deux centième [que celle de mourir de la] Covid-19.

      [...] Dans la tranche d’âge de 65 à 74 ans , où l’on vient de prendre sa retraite et qu’on peut vraiment profiter de la vie, la mortalité par infection est de 2,2 %, soit 30 fois plus qu’avec la grippe. Donc, dans ce groupe d’âge, nous avons 30 décès de Covid-19 pour chaque décès de la grippe. Et les chiffres dans les groupes plus âgés, sont terribles. Pour les 75 à 84 ans, 7,3% et les plus de 85 ans, près d’un sur trois. C’est autant que la variole au Moyen Âge ou certaines flambées d’Ebola en Afrique.

      […] Je pense qu’il est important de garder cela à l’esprit. C’est pourquoi de telles méta-analyses sont faites. Il ne s’agit pas de compter les morts. Il s’agit simplement d’évaluer la situation. Et ce n’est plus une science pure et froide, mais plutôt un message social qui l’accompagne. Une évaluation de la dangerosité du problème que nous avons devant nous avec l’arrivée de l’hiver.

    • A l’issue de cette journée du 22/10, il y a 41 622 nouveaux cas de COVID-19 en France (3e rang dans le classement mondial après les États-Unis et l’Inde qui ont respectivement 57 079 et 54 482 nouveaux cas ce jour).

      1,53 % de la population en France a été contaminé par #SARSCoV2.
      Depuis le début de l’épidémie, 3,4 % des personnes atteintes par la maladie sont décédées.
      Le nombre de cas total atteint désormais le nombre de 999 043.

      Le pays est en train de vivre une catastrophe sanitaire. Mais tant que la presse mainstream parlera en terme de « record », les lignes ne bougeront pas.

      (toujours la même source ; voir plus haut)

    • Notre « Douce France » bat des « records » quotidiennement. D’après LCI (ou un autre organe officiel de propagande), ce serait à cause des autres pays européens qui font rien qu’à sous estimer leurs propres résultats ... Étonnant, non ?

      La France arrive donc au 5e rang mondial pour le nombre total de cas (juste après les États-Unis, l’Inde, le Brésil et la Russie)
      https://www.worldometers.info/coronavirus

      Pour le nombre de cas toujours actifs, nous sommes au 2e rang (juste après les États-Unis). C’est ça l’effet « start-up nation ». We are one ! (Yessss !!!)

      Et en fait, si on réfléchit bien, ce doit être une volonté politique locale qui fait que l’on s’accroche encore au dogme de la « croissance exponentielle ».
      https://www.worldometers.info/coronavirus/country/france

      #cojonesvirus (2e vague)

    • Ils font, au plus haut niveau, ce qui était demandé, dans les coins où on ne leur la fait pas. En effet, c’est le confinement qui a fait des morts, lors du premier round. Oui, le confinement, parce que du fait du confinement, pleins de soins n’ont pas pu être donnés. Et ça a fait pleins de morts. Alors on ne fait plus de confinement. Comme ça, on ne fait plus de soins non plus, mais ça, leur second neurone ne va le comprendre que dans 3 ou 4 semaines, devant le mur de cercueil, pour reprendre une expression passée par ici récemment.

    • Les chiffres d’hier pour la catastrophe sanitaire : la France en deuxième position au niveau mondial pour le nombre de cas de Covid toujours actifs (1 495 659) juste derrière les ... États-Unis (3 437 218).
      Source : https://www.worldometers.info/coronavirus

      Ratios cas toujours actifs/population totale :

      États-Unis : 1,04 %
      France : 2,29 %
      Italie : 0,88 %
      Allemagne : 0,27 %
      Belgique : 3,85 %
      Suisse : 1,40 %

      Ratios à ce jour (20201107) en % du nombre total de cas / population pour les pays d’Europe (moins la Russie) :

      Belgique : 4,20
      République Tchèque : 3,77
      Luxembourg : 3,57
      Monténégro : 3,56
      Vatican : 3,36
      République de Saint Marin : 3,07
      Espagne : 2,96
      France : 2,54
      Suisse : 2,44
      Pays-Bas : 2,36
      Gibraltar : 2,33
      Slovénie : 2,13
      Moldavie : 2,03
      Liechtenstein : 2,00
      Bosnie-Herzégovine : 1,87
      Macédoine du Nord : 1,80
      Royaume Uni : 1,72
      Portugal : 1,70
      Autriche : 1,63
      Malte : 1,59
      Croatie : 1,58
      Roumanie : 1,55
      Italie : 1,49
      Islande : 1,48
      Suède : 1,45
      Pologne : 1,38
      Slovaquie : 1,35
      Irlande : 1,30
      Monaco : 1,15
      Biélorussie : 1,11
      Hongrie : 1,09
      Bulgarie : 1,04
      Ukraine : 1,03
      Iles Féroé : 1,01
      Danemark : 0,93
      Lithuanie : 0,84
      Albanie : 0,82
      Allemagne : 0,77
      Serbie : 0,70
      Grèce : 0,50
      Chypre : 0,46
      Estonie : 0,45
      Norvège : 0,44
      Lettonie : 0,42
      Finlande : 0,31

    • Oui, j’espère au moins que ce n’est pas aux cabanes à frites qu’elles ou ils se contaminent ... (Bon, ok) ...
      Par contre, les Italien·nes (celles ou ceux-là même qu’on accusait de tous les maux pendant la 1ère vague) n’ont plus de leçon à recevoir des universalistes franchouillards.

  • Antoine FLAHAULT @FLAHAULT sur touitteur
    https://threadreaderapp.com/thread/1315742464184127490.html

    1/8 - Il y a deux modalités de traçage des contacts :
    a) Traçage prospectif, classique, on recherche les contacts du cas ;
    b) Traçage rétrospectif,”à la japonaise”,on recherche qui a contaminé le cas.
    La priorité des priorités c’est de privilégier b) et ne faire a) que si on peut.
    2/8 - Le fondement théorique vient du paramètre k de dispersion, élevé pour la grippe (de dynamique homogène) et faible pour le #SARSCoV2 dont la dynamique est hétérogène, émerge en clusters et en événements super-propagateurs : 10 à 20% des contaminations drive toute la pandémie.
    3/8 - Si 80-90% des cas contaminent 0 ou 1 cas, on n’a pas à se fatiguer à tracer leurs contacts. Ils ne nous inquiètent pas. En revanche, il faut tout mettre en œuvre pour stopper la propagation causée par les 10 ou 20% restants, à commencer par les identifier. Comment faire ?

    4/8 - Eh bien si je détecte un cas en routine, j’ai très peu de chance d’avoir affaire à un super-propagateur. En revanche, la probabilité est plus élevée pour celui qui a contaminé mon cas. Surtout s’il l’a contaminé dans un lieu clos, bondé, mal ventilé, sans distance physique.
    5/8 - Si le suspect est positif, le jackpot n’est pas loin : vous convoquez tout le petit monde qui a côtoyé le cas index suspecté : quarantaines strictes, tests et si positifs, isolements bien sûr. Vous avez cassé le début d’un -peut-être- megacluster.
    6/8 - Seulement, il faut aller vite, dans les 24h, avant que tout cela n’essaime. Des tests rapides seraient très suffisants, voire plus intéressants car... rapides, quitte à confirmer ensuite par des rtPCR si complications/besoin de soins.
    7/8 - Demander aux autorités sanitaires qu’elles se consacrent prioritairement au traçage rétrospectif c’est soulager leur job. Et, si elles ont encore les capacités pour faire du prospectif,alors ok,c’est quand même des cas évités,mais le rendement est mathématiquement moindre.
    8/8 - Le “rendement” mathématique (expression pas heureuse) du traçage prospectif est de l’ordre de la valeur moyenne R0 (2-3), alors que celui du traçage rétrospectif est de l’ordre du R0 des évén. super-propagateurs (10, 20 ou beaucoup plus). Voilà pourquoi c’est la priorité !

    #Traçage_rétrospectif #tracing_retrospectif #tracing #contamination #transmission

  • Thread tests, by Le Flohic @DrGomi https://twitter.com/DrGomi on Thread Reader App
    https://threadreaderapp.com/thread/1315934752067727360.html

    je reprends certains éléments transversaux, parce qu une politique de tests n’a de sens que si elle est faite avec une vision stratégique 1/

    https://www.has-sante.fr/jcms/p_3212101/fr/avis-n-2020-0059/ac/seap-du-8-octobre-2020-du-college-de-la-haute-autorite-de-sante-relatif-a-

    https://twitter.com/HAS_sante/status/1314532172863287298

    l’HAS se trompe, l’intêret du #test_antigénique n est pas de remplacer la rtpcr chez les symptomatiques, mais de sécuriser préventivement les événements privés ou de lieux clos brassant de façon ponctuelle, afin de détecter les forts excréteurs.

    En l occurence l ’HAS propose ici de suppléer à un systême défaillant , plutôt que de régler les problêmes qui aujourd ’hui empêchent les symptomatiques d ’avoir accès à un résultat de RTPCR dans les 24/48H 2/
    de même je vois qu’il est question d’utiliser les tests antigéniques en intrahospitalier ce qui me semble contraire à l’idée que là ou la rtpcr NP peut être faite dans des délais de 24H elle doit être priorisée 3/
    notre problématique de tests est simplement à mettre en rapport avec la façon dont diffuse le #SARSCoV2 , là ou il est dangereux, là ou nous sommes trop lents et ou nous n ’avons aucune chance d aller plus vite sans changer de technique 4/

    nous savons que 10% des porteurs du sars sont responsables de 80 à 90% des contaminations ultérieures en lieu clos en particulier, et nous savons que les porteurs asymptomatiques, mais surtout présymptomatiques et paucisymptomatiques 5/
    (dont on ne parle pas assez car en fait beaucoup d’ asympto sont souvent des pauci sympto) contaminent 24/48 heures avant d être malades, ce qui a rendu le contrôle de cette épidémie très problématique 6/
    nous savons que les pays qui ont réussi à contrôler ont réussi deux choses : ils ont limité la diffusion communautaire pour pouvoir tracer les cas, et ils ont tracé les cas en remontant et en cherchant les lieux et groupes vecteurs ; nous n’en sommes hélas plus capables 7/
    au vu de la diffusion communautaire ; ce que nous faisons peut encore avoir une incidence sur la dynamique, mais probablement à la marge (70000 nx cas /semaine, 200000 cas contacts a tracer...) et seulement dans les zones de faible incidence 8/
    Nous sommes donc à la merci des caprices du sars, et d’une aggravation de virulence liée à l augmentation de la charge virale territoriale, et aux modes de vie autpmnaux/hivernaux 9/
    Comment « attraper » les vecteurs , c est la question que soulève la mise en place d une stratégie de tests. Sur les lieux clos et stables, a risque, ainsi que sur les groupes principaux vecteurs a risque (ambulanciers...) 10/

    en ayant un résultat de test en 24H, on a déjà laissé diffuser l’infection pendant deux à trois jours ; c est la raison de la mise en place d’une politique de prévention et de dépistage systématique bihebdomadaire sur ces groupes stables : détecter en période présymptomatique 11/
    car le tracing ne peut y arriver ; sur la diffusion telle que constatée dans les universités et autres lieux (travail...) les mesures ne sont pas a niveau (télétravail, masques, demi groupes , aeration etc) mais sur le plan des tests 12/
    si on veut sécuriser, c est ici que prend tout le sens des tests antigéniques, qui peuvent permettre de sécuriser des événements de lieux clos dans des groupes non stables et non organisés, qui ne peuvent faire l objet de pooling qui concernent les communautés stables 13/
    la aussi la « perte de sensibilité » (qui est maintenant minime et a donné lieu au retard sur l intérêt mais aussi dans la compréhension de la stratégie à déployer) est largement compensée par la répétition, mais surtout par l usage stratégique de ces tests 14/
    car sécuriser les événements privés, familiaux, culturels, PREVENTIVEMENT en détectant les forts excréteurs ce que ces tests font très bien devrait être une priorité 15/
    reste enfin les tests POC( point of care) qui permettraient aux soignants et groupes a risques lieux a risque (entreprises) de détecter rapidement tout paucisymptomatique, et pour nous médecin , de faire le tri entre syndromes grippaux/HRV etc et Covid sans attendre deux jours16/

    voire parfois bien plus (question en passant quel est le cout de ces arrets de travail par rapport à l équipement des cabinets de médecins générale en POC ?) 17/
    A vo Eugeno en testant l ensemble des 3000 habitants deux fois a dix jours d intervalle, l ’épidémie a été éteinte, malgré les 30% de faux négatifs RTPCR. parce que les tests ne laissent pas passer les forts excréteurs 18/
    cette notion date de mars. J ai donc un message à faire passer : c est la politique de tests (en sus des mesures de prévention) qui peut nous sortir d affaire à la condition de réfléchir à une stratégie tenant compte de l ’épidémiologie du #SARSCoV2 19/

    #superspreaders #tests #covid-19