Post Mortem : Pourquoi j’ai arrêté mon agence Web - Dysign
▻http://dysign.fr/post-mortem-pourquoi-jai-arrete-mon-agence-web
Post Mortem : Pourquoi j’ai arrêté mon agence Web - Dysign
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On courrait littéralement après le temps, à accomplir projets clients après projets clients, inlassablement, espérant des jours plus calmes pour nous. En vain.
Tellement ça.
Par contre le passage bien patron libéral sur les méchantes charges et que même que le gouvernement il nous vole toute la majorité de notre fric, il pue.
Ok pour critiquer l’administration, la bureaucratie, les dysfonctionnements des grosses machineries étatiques, mais là c’est juste « on nous prend tout notre fric » + « dans le privé on peut choisir entre plusieurs prestataires ».
Non, ce n’est pas sur les méchantes charges, mais sur le RSI qui est un gros putain de problème, à savoir une boite privée (si, si !) avec délégation de service public et qui gère n’importe comment les cotisations sociales. Et quand je dis n’importe comment, je suis très en dessous de la vérité. Et comme le dit le gars, tu n’as ni recours ni alternatives contre eux.
Ah ok, mea culpa pour la deuxième partie. Par contre pour la première sur les charges c’est bien ce que je disais.
Passer au #savon bio, le geste écolo du matin - Rue89 Strasbourg
►http://www.rue89strasbourg.com/index.php/2015/10/10/blogs/savon-bio-gels-douches
« Ma deuxième option : Le savon d’Alep »
Le savon d’Alep c’est le bien.
C’est fait juste avec de l’huile d’olive et de l’huile de laurier, c’est pas cher, ça dure longtemps, ça donne une belle peau et ça remplace aussi le shampoing et la mousse/crème à raser.
L’huile d’olive hydrate, celle de laurier réduit l’eczéma et aide la cicatrisation (bye bye les cicatrices d’acné et les coupures de rasage.)(Permalink)
Atlas of Knowledge: Anyone Can Map
Aucune idée si c’est bien mais je référence.
Introduction
In an age of information overload, the ability to make sense of vast amounts of data and to render insightful visualizations is as important as the ability to read and write. The Atlas of Knowledge explains and exemplifies the power of visualizations not only to help locate us in physical space but also to help us understand the extent and structure of our collective knowledge, to identify bursts of activity, pathways of ideas, and borders that beg to be crossed.
Drawing on 15 years of research and tool development, the Atlas introduces a theoretical visualization framework meant to empower anyone to systematically render data into insights. It aims to teach “timeless” knowledge that holds true over a lifetime while referring to an extensive set of references for “timely” advice on what tool and workflow is currently the best for answering a specific question. Specifically, the visualization framework uses a systems science approach to cover major types and levels of analysis; it identifies and explains different types of insight needs, data scales, visualizations, graphic symbols, and graphic variables; and it deeply integrates statistical, geospatial, topical, and network analysis and visualization.
INFO « CASH INVESTIGATION ». Des gendarmes français ont formé les policiers de #Bahreïn pendant les émeutes de 2011
▻http://www.francetvinfo.fr/monde/proche-orient/info-cash-investigation-des-gendarmes-francais-ont-forme-les-policiers-
Lorsque les émeutes ont débuté, le 14 février 2011, la France a suspendu presque immédiatement son accord de coopération avec le Bahreïn, pour protester contre la répression sanglante. Mais « Cash Investigation » a découvert que des gendarmes français se trouvaient toujours sur place pour former les forces de l’ordre.
[...]
Il n’empêche, il se trouve que ce #savoir-faire s’exporte bien. La France forme de nombreux policiers dans le monde entier. Pour cela, l’Etat, c’est-à-dire le ministère de l’Intérieur et le ministère de la Défense, ont créé des services et des sociétés à capitaux privés-publics comme #Civipol (lié au ministère de l’Intérieur) ou groupe #DCI (rattaché au ministère de la #Défense). Ces sociétés dont l’Etat est actionnaire ont des clients : les gouvernements étrangers. Elles proposent des sessions de #formation de policiers et de militaires par des professionnels français. Ces stages ont un avantage majeur : ils facilitent les ventes d’armes et d’équipement de sécurité fabriqués par nos industriels. Or la France est l’un des principaux fabricants de matériel anti-émeutes, notamment de grenades lacrymogènes.
#armement #gendarmerie #police #maintien_de_l'ordre #exportation
Les Géographes (16)
▻http://www.oeuvresouvertes.net/spip.php?article3011
...
#NOUVEAU_:_Les_Géographes
/ #Jean-Baptiste_Leschenault_de_la_Tour, #Le_Havre, #Premier_Consul, #Nicolas_Baudin, #Charles_Baudin, #savants_et_artistes, #aspirants, #officiers
La guerre de l’UDC contre le savoir
Selon Ola Söderström, professeur à l’Université de Neuchâtel, les attaques récentes de l’UDC contre les universités sont factuellement inexactes et cachent en réalité une guerre contre des #connaissances scientifiques qui contredisent ses thèses
Plus généralement, on peut raisonnablement penser que ces arguments prétendument économiques servent surtout de façade pour dissimuler des motifs moins avouables. Les connaissances produites de façon rigoureuse par les SHS, faisant l’objet d’analyses critiques serrées par les pairs avant publication dans des revues scientifiques, sont en effet un caillou dans les souliers de partis comme l’UDC. Des historiens suisses répondent ainsi aux mythes propagés par l’UDC sur la bataille de Marignan ou la Deuxième Guerre mondiale. Des ethnologues démontent les thèses de l’UDC sur la situation des droits de l’homme dans des pays comme l’Erythrée. Des géographes et des politologues produisent des études statistiques sur les flux migratoires qui contredisent elles aussi les thèses du parti. La liste est longue. Elle montre que, comme une partie de la droite états-unienne qui rejette le darwinisme, contraire au récit biblique de la création, l’UDC est surtout en guerre contre le savoir. Ceci parce qu’une politique active de l’ignorance est nécessaire à son succès. Moins les mythes qu’elle propage auront de contradicteurs, mieux ses thèses pourront prospérer. Voilà ce qui est en jeu dans la campagne actuelle de l’UDC contre les sciences humaines et sociales.
▻http://www.letemps.ch/Page/Uuid/a306f484-4c0e-11e5-81d9-3af08ac280c8/La_guerre_de_lUDC_contre_le_savoir
#UDC #Suisse #savoir #université #sciences_humaines #sciences_sociales #guerre_contre_le_savoir
Le gouvernement japonais demande aux universités de ne plus enseigner les sciences humaines
Pour le ministère de l’Éducation, cet enseignement ne répond pas « aux besoins de la société ».
►http://www.slate.fr/story/106865/japon-sciences-humaines
#Japon
Face au numérique, « les sciences sociales ne jouent plus leur rôle de contre-pouvoir », elles sont dépassées. Passionnant Dominique Boullier, qui propose de créer, pour remédier, les social data sciences.
▻http://abonnes.lemonde.fr/festival/article/2015/09/03/les-sciences-sociales-ne-jouent-plus-leur-role-de-contre-pouvoir_474
Je plaide pour des sciences sociales de troisième génération, qui s’emparent de ces nouveaux phénomènes pour les requalifier : il faut inventer des concepts, des outils et limites de validité sur ces nouvelles données, ces traces auxquelles nous n’avions pas accès. Ce que nous vivons a déjà été pensé par Gabriel Tarde en 1890. Dans Les Lois de l’imitation, ce juriste, sociologue et philosophe théorise la propagation des pensées par une multitude de petites transmissions. Il avait d’ailleurs proposé d’inventer le « gloriomètre », l’équivalent de la mesure du buzz. Mais à l’époque il n’avait pas les outils pour mesurer ce phénomène. Désormais, nous les avons.
A quel projet pensez-vous, concrètement ?
Je milite pour la création d’une nouvelle discipline, les social data sciences, avec un diplôme à Sciences Po.
Download this hand
#open_source
The Flexy Hand and Flexy Hand 2 | Enabling The Future
▻http://enablingthefuture.org/upper-limb-prosthetics/the-flexy-hand
Flexy-Hand by Gyrobot - Thingiverse
▻http://www.thingiverse.com/thing:242639/#instructions
À qui profitent les biens culturels gratuits sur Internet ? | InaGlobal
▻http://www.inaglobal.fr/economie/note-de-lecture/joelle-farchy-cecile-meadel-guillaume-sire/la-gratuite-quel-prix/culture-le
Ça semble être une bonne synthèse de thèmes connus
À qui appartient la #connaissance ?
par Hervé Le Crosnier @hlc
▻http://blogs.mediapart.fr/edition/les-possibles/article/050815/qui-appartient-la-connaissance
Le terme « société de la connaissance » est devenu un signe de ralliement pour décrire les sociétés contemporaines [1]. Il désigne d’une part le basculement technique qui offre une place de plus en plus grande aux machines de « traitement de l’#information » dans le processus productif. D’autre part, il souligne la place de la connaissance dans la capacité à faire société… quand celle-ci est partagée. Source d’innovations productives et sociales, la connaissance est également l’enjeu d’un affrontement mondial concernant son mode de production, d’appropriation, son usage et les règles de son partage. Si nous entrons dans une « société de la connaissance », c’est donc au sein même des processus de gestion du savoir que résident les formes nouvelles de la #lutte_de_classes. Car loin d’être inter-classistes, comme le rêvaient les promoteurs de la « société #post-industrielle » dans les années 1970, l’organisation de la production et l’usage de la connaissance conduisent au contraire à un renforcement de nouvelles formes de #domination. Au point que l’on peut penser que cette appellation recouvre en réalité la seconde phase de la #mondialisation, celle qui instaure un nouvel ordre mondial de l’usage des #savoirs.
Je n’ai pas encore lu l’article, mais je pense que ce commentaire sur les #intellectuels_précaires, ▻http://seenthis.net/messages/396351#message396384,
ainsi que l’article qui l’a déclenché ont un lien.
L’article nous dit :
Si nous devons vivre une « société de la connaissance », dans laquelle les savoirs, les pratiques collaboratives, le design ouvert, les principes d’élaboration et de création collective seraient la norme, il nous faudra la construire en nous opposant aux forces de mainmise sur tout le travail intellectuel de la planète.
Je profite donc de l’occasion pour vous faire part d’une #initiative qui me tient à cœur, mais qui ne peut être mise en place seul.
Dans le monde de l’édition les #auteurs, dont font partie les #traducteurs, sont totalement soumis au bon vouloir des éditeurs, lesquels sont eux-mêmes dépendant des grands diffuseurs et des grands distributeurs. Résultat, les producteurs ne reçoivent pour leur travail que 10 % du prix de vente H.T. pour les auteurs et 4 % pour les traducteurs (il est vrai que ces derniers sont généralement payés sous la forme d’avances sur droits d’auteur, lesquelles sont souvent supérieures aux droits réellement dû par l’éditeur ; pour en savoir plus sur cet imbroglio je vous invite à vous rendre sur le site de l’Association des Traducteurs Littéraires de France). Bel exemple du pouvoir du capital sur la production, n’est-ce pas ?
Face à cette situation, nombreux sont les auteurs qui se tournent vers l’autoédition et vendent leur livre… via Amazon, ce qui leur permet de recevoir 70 % des ventes mais ne résout rien en termes de domination et de lutte_des_classes.
Mais lorsqu’il s’agit, comme moi, d’une autoédition commune à l’auteur et au traducteur, la question des droits d’auteurs se posent, notamment quand l’auteur ne peut employer le traducteur, pour des raisons économiques, et vice-versa. C’est alors que m’est apparu l’idée de former une #association de producteurs-consommateurs de #littérature_latinoamécaine (c’est mon domaine mais l’idée peut, bien sûr, être reproduite pour toutes les œuvres) dans le but de permettre aux auteurs de vivre de leur travail et aux lecteurs de lire à moindre coût. Grosso modo, l’association serait composée de deux ensembles aux pouvoirs égales : Auteurs et Lecteurs. Ceux-ci en devenant membres (j’imagine une cotisation volontaire) auraient le droit de lire et de télécharger (le projet tourne dans un premier temps autour de l’#édition_numérique) l’ensemble de œuvres de ceux-là. Les auteurs ne seraient pas rétribuer en fonction de leur vente de livre (puisqu’il n’y a pas de vente) mais recevraient : pour les auteurs originaux, 50 % des revenus de l’association répartis également entre tous, et 40 % pour les traducteurs. Ainsi, plus de relation commerciale entre auteurs et lecteurs, mais également, sous-entendu, le refus de la privatisation de la connaissance, au point de nier la création comme un acte individuel.
Hélas, je n’arrive pas encore à mobiliser sur cette question, alors si l’idée vous paraît bonne, je vous invite à m’aider à la réaliser, et notamment si vous êtes traducteurs, car la viabilité du projet est proportionnelle au nombre de titres que nous pourrons proposer.
Merci de votre attention, et si cette intervention n’a pas sa place sur @seenthis, n’hésitez pas à me le faire savoir.
Les écoquartiers, des écosystèmes dans la ville - Télérama.fr
▻http://www.telerama.fr/monde/les-eco-quartiers-des-ecosystemes-dans-la-ville,129729.php
Comme leur nom le suggère, les écoquartiers consacrent la verdure et carburent à l’énergie solaire. Ils militent aussi pour la convivialité, la mixité sociale et la participation des habitants aux décisions.
Pour les fans des articles « urbanisme » de « Télérama »
Les écoquartiers sont à la ville ce que la démocratie participative est à la politique, quelque chose entre le mensonge et l’illusion.
Aaaah Télérama, le journal bisounours pour les bourgeois catholiques blancs contents d’eux.
@touti, merci beaucoup pour cette critique et la maxime qui m’a tout de suite éclairée.
@touti Auxquels tu peux ajouter une partie importante du corps professoral (sans doute à cause de ce lectorat d’ailleurs que Télérama est un journal qui note les œuvres, ce qui est à mon sens la pire des obscénités). Télérama , @chezsoi a bien du mal à l’entendre, c’est littéralement la domination et la transmission de cette dernière par excellence. C’est l’illustration permanente de la maxime de Godard à propos de la culture : la culture c’est la règle, l’art c’est l’exception (citation approximative et hors contexte).
Non à la destruction du village de Susiya en Palestine - [UJFP]
▻http://www.ujfp.org/spip.php?article4301
Non à la destruction du village de Susiya en Palestine
dimanche 19 juillet 2015 par Plateforme des ONG françaises pour la Palestine
Le village de Susiya en Palestine est menacé de démolition par les autorités israéliennes pour forcer les habitants à partir.
L’histoire du village de Susiya est l’histoire de nombreuses communautés palestiniennes en Cisjordanie.
A travers la mise en œuvre de lois d’aménagement du territoire, les autorités israéliennes recourent depuis des années à différents moyens pour forcer les habitants à partir.
Écrivons à Laurent Fabius, Ministre des Affaires étrangères, pour que la France fasse pression sur Israël pour arrêter l’expulsion.
Signez et partagez cette pétition proposée par la Plateforme Palestine en cliquant ici
#SaveSusiya - Stoppons l’expulsion !
▻https://www.change.org/p/monsieur-laurent-fabius-savesusiya-stoppons-l-expulsion#petition-letter
EU blocks progress on international #copyright reform for libraries (again)
▻http://eifl.net/news/eu-blocks-progress-international-copyright-reform-libraries-again
"Once again, the European Union (EU) has blocked progress at the World Intellectual Property Organization’s (WIPO) Standing Committee on Copyright & Related Rights (SCCR) that met in Geneva from 29 June-3 July 2015. And this time, the EU is more isolated.
The Committee is discussing copyright laws that would aid libraries and archives in fulfilling their missions in a global, digital environment. EIFL (Electronic Information for Libraries) and representatives of international library and archive organizations, observed the European Union refuse to engage in meaningful discussions that would enable an effective global information infrastructure for access to (...)
Souleymane Bachir Diagne : « La transmission de la philosophie antique fut aussi une affaire africaine »
La pensée africaine a longtemps été niée par la philosophie européenne. Pourtant, les échanges commerciaux et intellectuels transsahariens ont permis la transmission des connaissances grecques et latines antiques. Lors d’une conférence au Festival Philosophia à Saint-Emilion, le 30 mai dernier, le philosophe Souleymane Bachir Diagne a rappelé le rôle de centres culturels comme Tombouctou au Mali dans l’histoire de la philosophie.
►http://www.lemondedesreligions.fr/actualite/la-transmission-de-la-philosophie-antique-fut-aussi-une-affaire-
Peut-on parler de philosophie africaine au singulier ?
Au singulier, « philosophie africaine » possède un aspect très général et essentialiste qui ne convient pas. Quand on pense à la philosophie africaine, on cherche le prolongement de l’entreprise ethnologique d’approche d’une société sans écriture. Pourtant, le cas de Tombouctou indique bien qu’il y a une tradition écrite. « Philosophies en Afrique » signifie aussi l’enseignement de textes de logique aristotélicienne à Tombouctou ou à Djenné, également au Mali. Je ne suis pas totalement hostile à l’expression de philosophies africaines, à condition qu’on l’utilise au pluriel. Il existe plusieurs aspects de l’histoire intellectuelle sur le continent africain. Les traditions d’érudition écrite en font partie. La Translatio studii, c’est-à-dire le transfert de la philosophie antique, n’est pas simplement une affaire européenne. Elle a aussi été une affaire africaine.
Comment s’est opérée cette Translatio studii ?
Il y a d’abord eu une Translatio studii du monde grec et romain au monde arabo-musulman. Celui-ci a développé un certain nombre de centres intellectuels. Plusieurs pratiques disciplinaires se sont répandues. Tombouctou était un point d’aboutissement des voies caravanières et des routes transsahariennes. L’idée même d’un isolement physique et intellectuel de l’Ouest africain est une idée fausse. Il faut le rappeler : le Sahara n’est pas un mur. Au contraire : cet espace a toujours été traversé de tous les côtés par des populations, des biens, des idées, des manuscrits... En regardant ainsi, on voit très bien la continuité spatiale entre une Afrique de l’Ouest dite subsaharienne et une Afrique du Nord elle-même en connexion avec le sud de l’Espagne, le Soudan, l’Égypte et la Péninsule arabique.
Après l’indépendance, de nombreux régimes africains autoritaires se sont servis de cette expression de « philosophie africaine » pour renforcer un pouvoir holistique, à visée globale.
Il est intéressant d’observer les usages politiques de cette expression. Les pouvoirs africains ont créé de toute pièce l’idée que la philosophie africaine, expression de la culture africaine, mettait davantage l’accent sur la collectivité et les droits qui lui appartiennent. Le collectif devait être représenté par un parti unique, dirigé par un chef, tel un patriarche, dont on ne questionne pas les directions ni le pouvoir. Cette notion de philosophie africaine a été utilisée par les régimes les plus autoritaires et les plus despotiques, pour justifier que le collectif soit tout et que l’individu ne soit rien. Les dissensions étaient considérées comme un crime contre un consensus qu’on estimait être la marque des cultures africaines.
#Afrique #Mali #Tombouctou #Translatio_studii #Antiquité_classique #philosophie #pensée #savoirs #culture #histoire #Souleymane_Bachir_Diagne #dip
Dans la même perspective -plutôt sur la matrice métaphysique qu’a constituée la philosophie arabe-, il y a les précieux travaux de Marwan Rashed :
▻http://www.lesclesdumoyenorient.com/Article-de-Marwan-Rashed-Les.html
▻http://oumma.com/Les-civilisations-existent-elles
(C’est malheureusement tout ce que j’ai pu trouver en ligne. Le deuxième lien, c’est une bagarre avec Huntington mais ça retrace aussi toute l’histoire de la philosophie grecque s’incorporant à la philosophie arabe, et nord-africaine en général).
Merci ! Sur la philosophie africaine – ou les philosophies africaines –, cf. le livre de Fabien Eboussi Bougala, L’Affaire de la philosophie africaine (▻http://www.karthala.com/hommes-et-societes-anthropologie/2467-l-affaire-de-la-philosophie-africaine-au-dela-des-querelles-978281110). Sur la transmission de l’héritage classique par les Arabes et le « mouvement de traduction », cf. notamment l’excellent livre de Dimitri Gutas, Pensée grecque, culture arabe (▻http://editions.flammarion.com/albums_detail.cfm?Id=21903). Cf. aussi celui de Jerry Brotton, Le Bazar Renaissance (▻http://blog.mondediplo.net/2011-11-02-Le-Bazar-Renaissance-Comment-l-Orient-et-l-islam)
La « philosophie africaine », bien qu’inconnue (mal connue) en Europe, a ses institutions : la CODESRIA ! D’où sont issus : Achille Mbembe, Ousmane kane, Paulin Hountondji, Mamadou Diouf, Valentin Mundinbe... ▻http://www.codesria.org/?lang=en
Merci pour le rappel, @le_bougnoulosophe. Un peu dans la même veine que le Codesria, cf. le site du Groupe de recherche et d’initiative pour la libération de l’Afrique (Grila), qui développe des analyses radicales sur la situation sociale et politique du continent, à contre-courant du discours dominant. Rubrique « Articles » : ▻http://www.grila.org/index_grila.php?gri=ref&lang=fr
En 1895, la Belgique invente Internet, mais version papier - Rue89 - L’Obs
▻http://rue89.nouvelobs.com/2015/06/26/1895-belgique-invente-internet-version-papier-259938
Le Mundaneum est un centre d’archives de la Fédération Wallonie-Bruxelles et un espace d’expositions temporaires situé à Mons, en Belgique. Il rouvre ses portes samedi 27 juin avec l’exposition « Mapping Knowledge : comprendre le monde par les données » dans le cadre de Mons 2015, capitale européenne de la culture.
Au-delà de cette exposition, le Mundaneum est un lieu capital, un centre d’archives pas comme les autres qui provient d’un projet pionnier et singulier. Comme le souligne sa page Wikipédia :
« Redécouvert après l’explosion du Web, le Mundaneum est aujourd’hui identifié comme un Internet de papier et plus récemment comme un Google de papier. Néanmoins, le projet de Paul Otlet et Henri La Fontaine dans son ensemble : classer tous les savoirs du monde dans un lieu unique et centralisé, apparaît aussi très proche de celui de la Fondation Wikimédia. »
Autant de raisons qui nous ont donné envie d’en savoir plus en interviewant l’une de ses responsables, Delphine Jenart, directrice adjointe du Mundaneum.
en fait, il y a déjà eu plein de (beau) monde sur le Mundaneum (recherche sur ce mot)
J’ai découvert ce projet il y a 3 mois en visitant Mons mais c’était fermé en effet :-\. Merci pour le lien ;-)
▻http://www.rtbf.be/radio/podcast/player?id=2025904&channel=http://podaudio.rtbf.be/pod/lp-histo_un_jour_dans_l27histoire2c_le_mundaneu_21915363.mp3
Cette semaine à Mons est programmée la réouverture du Mundaneum. L’occasion de retracer l’histoire de cette institution unique en son genre. L’origine du Mundaneum remonte à la fin du XIXe siècle. Deux juristes belges en sont les pères fondateurs. D’un côté, Paul Otlet, né en 1868, passionné par la bibliographie, la schématique, la photographie et les ouvrages encyclopédiques. De l’autre, d’Henri La Fontaine, né en 1854, spécialiste du droit international, pacifiste militant qui lui vaudra de recevoir le prix Nobel de la paix en 1913. Ils se rencontrent en 1890, se trouvent des intérêts communs pour le classement du savoir et la bibliographie. Ensemble, ils créent à Bruxelles en 1895 l’Office international de bibliographie, l’OIB Avec cet institut, Paul Otlet et Henri La Fontaine se lance dans l’élaboration du Répertoire bibliographique universel. En clair, les deux hommes poursuivent l’idée folle et utopiste, à l’époque, de répertorier et de classer sur des fiches papier toutes les publications de tous les temps et de tous les pays. A cette fin, ils inventent un système de classification : la CDU, la classification décimale universelle qui consiste à classer les publications sur la base d’un nombre. Un système qui a connu par la suite de nombreux développement et qui sera adopté par un très grand nombre de bibliothèques dans le monde. L’idée est formidable, généreuse, novatrice mais les deux hommes n’ont pas imaginé qu’ils seraient très vite débordé.
Ah ben on en parle ici depuis plusieurs mois ▻http://seenthis.net/recherche?recherche=mundaneum
J’ai écouté cette émission, je crois, ils parlaient beaucoup du data center de google avec beaucoup d’admiration, non ?
Oui, un tantinet de promo à bon compte, vers la fin. De manière generale, ce projet et ses avatars interrogent. Ces visées de centralisation universaliste, ça me semble douteux en fait...
La fabrication d’un « regard éloigné », Philippe Descola, Jean-Louis Fabiani et alii
▻http://www.liberation.fr/debats/2015/06/18/la-fabrication-d-un-regard-eloigne_1332170
...nos disciplines doivent savoir résister à une double tentation. La première est de répondre à l’injonction qui leur est souvent faite de produire un #savoir utilitaire, directement « valorisable ». Or la façon dont est formulée une « question sociétale » est rarement, pour ne pas dire jamais, pertinente pour une analyse des dynamiques qui travaillent en profondeur les sociétés. Ni la définition d’un seuil de tolérance des étrangers, ni celle du meilleur modèle d’organisation familiale ne sont des questions sociologiques. La seconde tentation est de céder aux sirènes militantes du dévoilement critique, et de transformer ainsi le projet politique et émancipateur que les sciences sociales ont hérité des Lumières en prophétisme académique.
Les #sciences_sociales ont en effet une ambition plus complexe dans leur rapport au présent. Comme l’a rappelé Michel Foucault dans sa lecture de l’opuscule de Kant Qu’est-ce que les Lumières ?, la tâche des intellectuels modernes est de traiter de l’#actualité : « La question qui me semble apparaître pour la première fois dans ce texte de Kant, c’est la question du présent, la question de l’actualité : qu’est-ce qui se passe aujourd’hui ? Qu’est-ce qui se passe maintenant ? » Mais ils ne peuvent en rendre compte et proposer des grilles d’analyse que s’ils sont suffisamment armés pour tenir le flot de l’actualité à distance.
Avec la mondialisation, la passion de l’ici et maintenant, le repli identitaire dans l’adhérence à soi, croissent avec l’inquiétude des mutations immenses. La tentation du sociocentrisme et celle du présentisme sont partout. Dans un tel contexte, l’arme majeure des sciences sociales a un nom : la comparaison socio-anthropologique, dont l’objectif, depuis Mauss et l’essor de l’ethnographie scientifique, est la fabrication patiente, toujours recommencée, d’un « regard éloigné ».
POUR UNE ANTHROPOLOGIE PLURALISTE
L’#anthropologie_pluraliste que nous défendons ne considère pas la conscience que d’autres peuples se forgent de leurs modes de vie comme des idéologies dont il faudrait mettre à nu les principes, ni comme des cosmologies alternatives qu’il conviendrait d’embrasser car elles rendraient compte du réel avec plus de fidélité que la nôtre, En ce sens, une anthropologie pluraliste ne consiste pas à opposer un Occident introuvable à un reste du monde indéfini, mais à traiter sur un pied d’égalité ces différentes façons de trier la diversité du monde en élaborant un langage de description et d’analyse qui permette de rendre compte des formes très diverses, mais non infinies, d’assembler les existants, les qualités, les processus et les relations, en évitant de recourir pour ce faire aux outils au moyen desquels ces opérations ont été conceptualisées dans notre propre tradition culturelle. Si des concepts comme ‘société’, ‘nature’, ‘histoire’, ‘économie’, ‘religion’, ou ‘sujet’ ont joué un rôle considérable dans le travail réflexif mené en Europe pour faire advenir la modernité et créer, ce faisant, un espace au sein duquel les sciences humaines et sociales pouvaient se déployer, ces concepts renvoient cependant à des façons d’objectiver les phénomènes caractéristiques d’une trajectoire historique que d’autres peuples n’ont pas suivie et ils doivent donc être traités, non comme des universaux, mais comme des expressions locales d’une forme particulière de composition des éléments du monde, composition qui a connu ailleurs des modalités très différentes.
Depuis 40 ans, plusieurs mouvements ont affecté les sciences sociales : le plus visible est la prolifération des études spécialisées, les studies. Ces études ont permis l’émergence de nouveaux objets et de nouveaux styles de recherche dont on mesure aujourd’hui l’importance. Ainsi les women studies ont ouvert la voie à une prise de conscience majeure : celle de la dimension sexuée (gendered) des sociétés, bouleversée par les valeurs croissantes de liberté et d’égalité des sexes dans le monde. Un immense chemin reste à faire pour comprendre pourquoi et comment l’émancipation des femmes suscite des contre mouvements, non pas « moyenâgeux » mais hélas très modernes, qui peuvent embraser la planète.
LE CARACTÈRE CENTRAL DE LA TEMPORALITÉ
Mais les studies n’ont pas que des atouts : elles ont aussi contribué à la fragmentation des sciences sociales en favorisant la constitution de petits mondes largement autonomes et sans cohérence épistémologique. C’est ici qu’intervient l’enjeu majeur de l’histoire. Après le moment de l’épuisement des grands paradigmes (marxisme, structuralisme ..) qui avaient dominé dans les sciences sociales jusqu’au début des années 1970 et l’humeur déconstructionniste qui avait suivi, a émergé le souci de réorienter nos savoirs autour d’un principe directeur ou d’un schème organisateur. Ces tentatives s’appuient sur la reconnaissance croissante de l’unité épistémologique des sciences sociales comme sciences_historiques, dont l’objectif principal est de rendre compte de la succession des événements et des points d’inflexion au sein du cours historique du monde plutôt que de chercher des lois universelles du fonctionnement des sociétés. Le caractère central de la #temporalité - Time matters dit le sociologue de Chicago Andrew Abbott - a rapproché la #sociologie de l’#histoire.
RFC 7513 : SAVI Solution for DHCP
Le cadre #SAVI (Source Address Validation Improvement), décrit dans le RFC 7039, vise à rendre plus difficile l’usurpation d’adresses IP. SAVI fournit un cadre général et plusieurs solutions techniques concrètes sont ensuite développées selon le type de réseau et selon le niveau de sécurité qu’on désire et qu’on est prêt à « payer ». Ainsi, le RFC 6620 décrivait un mécanisme où le réseau d’accès assurait que le premier titulaire d’une adresse IP puisse la garder. Ce nouveau #RFC décrit un autre mécanisme, où c’est via l’utilisation de DHCP qu’on contrôle les adresses : le réseau d’accès va empêcher l’utilisation d’adresses qui n’ont pas été allouées par le serveur DHCP. (Ce mécanisme est largement déployé depuis des années, sous divers noms, comme « #DHCP_snooping », mais n’avait pas été formellement décrit dans un RFC.)
Mapping Knowledge - Comprendre le monde par les données | Mundaneum
►http://expositions.mundaneum.org/fr/expositions/mapping-knowledge-comprendre-le-monde-par-les-donnees
Aucune idée de ce que c’est mais ça a l’air pas mal. Si quelqu’un y va, vous nous dites ?
Nous vivons dans un monde régi par les données. Aujourd’hui, leur quantité est telle que nous avons bien du mal à appréhender la complexité de cette réalité nouvelle. Pour faire face à ce basculement d’échelle, une discipline connue sous le nom de « visualisation de données » a vu le jour et a connu un essor récent avec la multiplication des outils informatiques, l’avènement d’Internet, la société du tout numérique et le Big Data.
Le phénomène n’est toutefois pas neuf. Depuis des millénaires, l’homme se préoccupe de la représentation visuelle de données, comme en témoignent les cartographies antiques ou les formes d’écritures graphiques telles les hiéroglyphes.
#savoir #connaissance #cartographie #données #data
L’exposition proposera un voyage interactif au cœur de l’information. En arpentant ces cartographies de données par le biais d’images surprenantes, le Mundaneum invite le visiteur à une immersion dans un univers visuel qui fait usage d’un langage graphique commun et qui présente de nombreuses similarités avec les principes de l’abstraction géométrique utilisés par Mondrian, Malevitch ou d’autres artistes modernes.
L’endroit à l’air chouette.
Mundaneum - Mapping knowledge | Mons2015
▻http://www.mons2015.eu/fr/mundaneum-mapping-knowledge
Surnommé « Google de papier » (Le Monde) ou « Le Web oublié du temps » (New York Times), le Mundaneum est avant tout l’œuvre visionnaire de Paul Otlet et Henri La Fontaine dont le projet était, dès 1895, de collecter et d’indexer l’intégralité de la connaissance !
Centre d’archives et espace d’exposition scénographié par François Schuiten et Benoit Peeters, le Mundaneum conserve à Mons un précieux héritage documentaire, sur tous sujets. L’exposition « Mapping Knowledge. Comprendre le monde par les données », marque sa grande réouverture après travaux.
Un voyage interactif au cœur de l’univers de l’information : des pionniers de la visualisation des savoirs aux artistes contemporains qui posent un regard sur la complexité du monde actuel…
Du 27 juin 2015 au 29 mai 2016
Au Mundaneum
Rue de Nimy 76 - 7000 Mons
Ah ben tiens, bonne idée pour occuper un dimanche cet été ;)
Merci @reka #mons #capitale_europeenne_de_la_culture #Jesaispastagguer
Pôle Emploi contraint les Chômeurs à justifier leur non-candidature | Actuchômage
▻http://www.actuchomage.org/2015060326772/Social-economie-et-politique/pole-emploi-contraint-les-chomeurs-a-justifier-leur-non-candidature.htm
Voilà donc une des nouvelles dispositions visant à « simplifier » la vie des demandeurs d’emploi. On vous adresse une offre qui ne vous correspond pas et vous devez fournir le motif de votre refus à postuler.
Pour m’éviter toute complication, il va sans dire que j’ai adressé un dossier au recruteur qui m’a aimablement indiqué que mon profil ne répondait pas à ses attentes.
À défaut de me trouver un job, #Pôle_Emploi me fournit une occupation parfaitement inutile. Faut dire que je n’ai que ça à foutre de mes journées.
La #colonisation_du_temps_vécu n’est plus un concept phénoménologique mais un programme, de #contrôle.
►http://seenthis.net/messages/25383
l’essor du #capitalisme marchand et d’une conception utilitariste de la société rejettent progressivement [les pauvres] dans la marginalité. Au 16e siècle se répand l’idée qu’il faut obliger les pauvres à travailler pour justifier leur prise en charge, mais aussi les contrôler et les moraliser. Le #travail forcé des pauvres est alors considéré comme une peine qui réprime l’oisiveté. Il est aussi vu comme un progrès : le #salaire, gagné au prix d’un service rendu à la #société, remplace l’aumône, uniquement liée à un statut.
[...] Un climat de #suspicion s’installe sur ceux que l’Etat consent désormais à prendre en charge à la place de l’Eglise : on commence donc à trier entre bons et mauvais pauvres.
#guerre_aux_pauvres #histoire
►http://seenthis.net/messages/370299
▻http://seenthis.net/messages/376874
J’ai une copine au RSA qui élève ses mômes seule, elle a dit à l’A.S : pas question de m’inscrire à pole emploi, ça sert à rien, je veux pas de rendez-vous de surveillance pourris, je veux pas apprendre à monter une auto entreprise comme 90% des chomeurs en fin de droit qui y travaille 90 heures par semaine pour nourrir l’urssaf, le travail y’en a pas assez de toute façon, lâchez moi les basques, mettez mon dossier en dessous sinon soyez sure qu’on ira dormir et faire la manche dans la rue et que vous en porterez la responsabilité. Ça fait quelques années que malgré les soit disantes obligations du CG elle n’est pas inscrite à pole emploi et que plus personne la fait chier, voila voila.
#savoir_dire_merde #point_dans_la_gueule
@touti, oui, il arrive souvent qu’il fassent ça parmi leur « préconisation d’insertion » mais c’est pas systématique. Il n’y pas d’obligation à être inscrit à Pôle lorsqu’on est au RSA, il y une obligation (qui peut rester théorique) d’être #suivi, soit par Pôle soit par les services du CG, et il arrive qu’on le soit par les deux, ou que l’on trouve avantage à larguer l’un pour l’autre (desserrer l’étreinte) et lycée de Versailles.
Si cette obligation d’inscription à Pôle existait, les chiffres du chômage seraient plus élevés encore... (ou il faudrait trouver moyen de virer du monde du RSA en masse).
une enquête collective sur le suivi : Techniques de pouvoir pastoral : le suivi individuel des chômeurs et des #allocataires du #RSA
►http://www.cip-idf.org/article.php3?id_article=5787
@colporteur pour des histoires d’argent et… de communication (parce que la politique n’existe plus à ce stade) l’Etat (Pole Emploi) et les Régions (RSA) se font la guerre des chiffres du troupeau de pauvres à contrôler. Les régions imposent aux allocataires les contraintes qui leur chantent, puisque ce sont elles qui déboursent le RSA, cela se fait donc en fonction de l’offre et de la demande économique, comme pour les marchandises. Le marché du pauvre (surveillance, gestion, formation) est un secteur porteur en pleine progression qui risque même de dépasser le nombre de pauvres à vampiriser. Il faut maintenir la pression et la misère non seulement pour faire peur aux travailleurs honnêtes et TFnisés (mais tellement libres) mais parce qu’il faut fournir de la main d’œuvre à bas prix aux patrons sponsorisés, vive la crise.
Compte avec cela les campagnes perpétuelles de communication anti pauvres à la télé (dénigrement constant parce qu’il n’y a que le riche qui y est beau) où encore chez les coiffeurs et cabinets dentaires où sont distribués gratuitement (c’est pas pour rien) des magazines de frustration consumériste où les prix sont inabordables.
4月29日のツイート
▻http://twilog.org/ChikuwaQ/date-150429
Top story: Twitter shares fall 4% after online reports that earnings may have l… www.cnbc.com/id/102573751, see more tweetedtimes.com/ChikuwaQ?s=tnp posted at 07:52:59
Top story: @French_Gov: ’France opposes the death penalty #SaveAtlaoui ’ , see more tweetedtimes.com/ChikuwaQ?s=tnp
posted at 03:29:27
昨日は、北沢書店まで足を延ばした。二階の洋書は楽しいし、圧倒される。シェイクスピア関係はあいかわらず凄まじい。出入り口の踊り場には本が積んであって、John Barth, “The Sot-Weed Factor”が一番上にちゃっかり鎮座していた。 posted at 03:23:52
Dans le contexte de la création de la collectivité territoriale Savoie Mont-Blanc, rapprochement de la Savoie et de la Haute-Savoie, les auteurs s’attachent à analyser les points communs et les spécificités de ces départements aujourd’hui.
▻https://goo.gl/maps/Q9xBO
Après avoir stagiairisé (sans salaire ou presque) 3 mois par-là il y a 13 ans, avec des conditions de squat-dodo parfois relativement précaires, même pas peur de Niort ! :D (et si c’était à refaire, Montsecret, je le referai... larmichette de premier site pro réalisé... avec Frontpage à l’époque, mouahaha... j’étais secrétaire dans mon ancienne vie et une secrétaire ça apprend Frontpage lol)
#minuteNostalgie #avantMission #savoirRelativiser
▶ Savina Yannatou & Primavera en Salonico - To Yasemi (The Jasmine) - YouTube
▻https://www.youtube.com/watch?v=oPtI8hRzieo#t=87
About MAX | Movement Against Xenophobia
▻http://www.noxenophobia.org/about
The Movement Against Xenophobia came out of frustration at the constant anti-immigrant, anti-immigration policies and rhetoric coming from the Coalition Government, the populist media and organisations such as Migration Watch.
▻http://www.abolishforeignness.org/blog/archives/2745
Migrants play a positive role in the UK, financially, culturally, socially and in differing arenas such as public services, sport, the arts, academia, business science, cuisine, construction, agriculture and retail.
It is argued that “it is not racist to debate immigration” which is true, unless you come out with racist things in that debate. Racist things like the advertising vans calling on migrants to ‘Go Home’ just like the National Front did in the 1970s and 80s.
▻https://metrouk2.files.wordpress.com/2015/04/ad_165619435.jpg?quality=80&strip=all
▻http://election2015.brandrepublic.com/files/B9t0kTeIEAEHt6-.jpg-large.jpeg
#migrations #asile #immigration #diversité #culture #savoir #société_multiculturelle
Mécontent de la qualité du cannabis, il va se plaindre au commissariat
▻http://www.lamontagne.fr/auvergne/actualite/2015/04/07/mecontent-de-la-qualite-du-cannabis-il-va-se-plaindre-au-commissariat_113
Ah que non, il n’en avait pas pour son argent !
Après avoir protesté de la mauvaise qualité du cannabis auprès de son vendeur, vendredi place Saint-Pierre à Clermont-Ferrand, un SDF de 43 ans est allé se plaindre... au commissariat.
Posément, devant les agents ébahis, il a expliqué qu’il voulait acheter pour 20 euros de résine de cannabis. Et que la marchandise que lui a servie son revendeur ne valait certainement pas ce prix-là. Il a enfin quitté l’hôtel de police en indiquant qu’il se réservait le droit de porter plainte.