• Allemagne : l’inquiétude des médecins étrangers après la victoire de l’extrême droite en Saxe et en Thuringe - InfoMigrants
    https://www.infomigrants.net/fr/post/60018/allemagne--linquietude-des-medecins-etrangers-apres-la-victoire-de-lex

    Allemagne : l’inquiétude des médecins étrangers après la victoire de l’extrême droite en Saxe et en Thuringe
    Par RFI Publié le : 19/09/2024
    Après la victoire de l’extrême droite en Saxe et en Thuringe, le 1er septembre dernier lors des élections régionales, le doute grandit auprès du personnel soignant d’origine étrangère installé dans cette région. Si certains sont déjà partis, comment ceux qui restent envisagent leur avenir dans un tel climat de hausse de la xénophobie ? Et ce, alors que le secteur de la santé ne pourrait pas fonctionner sans ces soignants étrangers.
    Arrivé en Allemagne il y a 10 ans déjà, Samer Matar est un médecin syrien qui travaille, depuis 2021, en tant que cardiologue dans la ville saxonne de Leipzig. Sa ville de cœur, comme il dit. Mais Samer envisage pourtant de quitter. En cause, les 30 % obtenus il y a trois semaines par l’extrême droite dans cette région lors des élections régionales. « Je suis en train de changer de poste pour vivre dans une région où l’extrême droite n’est pas aussi forte », confie-t-il. En Saxe, l’AfD [Alternative pour l’Allemagne, le principal parti d’extrême-droite, ndlr] a obtenu 30 % des suffrages, un score qui risque d’augmenter dans les années à venir. Je n’ose pas imaginer ma vie ici sur le long terme", se désole-t-il.
    Craintif quant à l’avenir, ce cardiologue reconnaît toutefois ne pas être victime de racisme dans son activité professionnelle, les médecins bénéficiant encore d’un certain respect de la part de la population, mais cela pourrait changer. Selon lui, la perspective de départ massif pourrait s’avérer dramatique pour des régions comme la Saxe et la Thuringe, situées dans l’Est de l’Allemagne. À l’heure actuelle, en Saxe, un médecin hospitalier sur six est étranger et un sur quatre dans la Thuringe voisine.
    En Thuringe, justement, Khrystyna Zhuk, une jeune ophtalmologue de 29 ans, s’interroge, elle aussi, sur son avenir dans cette région de l’Est de l’Allemagne. Elle a fui l’Ukraine il y a deux ans et elle y vit avec sa mère et son fils. Parmi les sujets politiques compliqués charriés par la montée locale de l’extrême droite, celui qui gêne le plus Khrystyna Zhuk, c’est le soutien assez fort d’une partie de la population locale envers la Russie. « Mes collègues ont souvent des positions différentes de la mienne sur les livraisons d’armes, ils ne comprennent pas, se lamente-t-elle. Que puis-je dire ? Les gens qui n’ont pas vécu la guerre ne peuvent pas savoir. Je le comprends. C’est comme ça. J’accepte les idées différentes des miennes. Je suis reconnaissante pour l’aide apportée à mon pays et j’essaie de me concentrer sur le positif. »
    Moins anxieux que ses collègues, le cardiologue syrien Anas Jano n’envisage pas de quitter Iéna, cette ville de Thuringe où il occupe un poste de médecin-chef. En revanche, pas question d’aller travailler à la campagne thuringeoise, où l’extrême droite, ouvertement xénophobe, est la plus forte. « Pour être honnête, dans le contexte électoral actuel, pour moi, c’est beaucoup plus agréable de vivre dans une ville internationale comme Iéna plutôt qu’en zone rurale, admet-il. En revanche, nous sommes nombreux à nous inquiéter de ce qui peut se passer pour les habitants et nos collègues d’origine étrangère sur place. » Les responsables politiques et représentants des services médicaux en Saxe et en Thuringe tentent, pour l’instant, de minimiser ces craintes. Officiellement, il n’y a encore aucune vague de départ de médecins et soignants étrangers liés à la situation politique.

    #Covid-19#migrant#migration#allemagne#thuringe#saxe#medecin#refugie#asile#syrie#extremedroite#politiquemigratoire#sante

  • European irrationality in Ukraine - Michael von der Schulenburg, Alexander Mercouris & Glenn Diesen
    https://www.youtube.com/watch?v=anNBYH-zNLM

    Si vous avez le temps écoutez von der Schulenburg (en anglais) à propos de la folie guerrière euopéenne. Ce diplomate a aidé les négotiation dans toutes les gramdes guerres depuis les amnées 1980 et il dit que jamai il a vu un refus si catégorique de tout échange prélinaire aux négotiations de paix que de la part des européens en ce qui concerne la guerre en Ukraine.

  • European abandons all rationality in the Ukraine Proxy War, and ris...
    https://diasp.eu/p/17114432

    European abandons all rationality in the Ukraine Proxy War, and risks destroying itself - Michael von der Schulenburg, Alexander Mercouris & Glenn Diesen

    Incredibly emotional discussion by von der Schulenburg (Member of the European #Parliament in #Strasbourg) about the Ukraine war, disastrous European #diplomacy and #Germany's lack of responsibility to prepare the way for peace negotiations for #Ukraine - #Europe and the #EU as war-mongering transatlantics. Important information on the #BSW (Bündnis Sahra Wagenknecht / Alliance) as part of a populist new parties in contrast to the AfD (Alternative für Deutschland / #Germany) (...)

  • Sachsen: Kinder sollen in Pirna mit Steinen Hakenkreuze gelegt haben
    https://www.berliner-zeitung.de/news/sachsen-grundschueler-sollen-mit-bausteinen-hakenkreuze-gelegt-habe


    Aujourd’hui à Pirna (Saxe)

    24.7.2024 - Gegen die neun bis elfjährige Kinder in Pirna wird wegen des Verwendens von Kennzeichen verfassungswidriger Organisationen ermittelt.

    In einem Grundschulhort im sächsischen Pirna sollen vier Kinder im Alter von neun bis elf Jahren mit Bausteinen und Kieseln Hakenkreuze gelegt haben. Mitarbeiter des Horts hätten die Polizei zeitnah informiert, teilte ein Sprecher der Polizei am Mittwoch mit. Der Vorfall habe sich in den Sommerferien am 5. Juli im AWO-Hort der Grundschule „Am Friedenspark“ereignet, berichtete die Sächsische Zeitung.

    Außerdem soll bereits einige Tage zuvor das Lied „L’Amour toujours“ von DJ D’Agostino in einem Gruppenraum des Hortes abgespielt worden sein. Daraufhin hätten der Sächsischen Zeitung zufolge die Kinder angefangen, zu der Melodie des Liedes die rassistische Parole „Ausländer raus“ zu singen. Zudem sei der „Hitlergruß“ gezeigt worden.

    Die Polizei hat den Angaben nach ein Ermittlungsverfahren wegen des Verwendens von Kennzeichen verfassungswidriger Organisationen eingeleitet. Da die Kinder jedoch strafunmündig sind, entscheidet die Staatsanwaltschaft über deren Fortgang. Details zum Hintergrund des Vorfalls nannte die Polizei zunächst nicht.

    #Allemagne #Saxe #Pirna #école #nazis

  • À Hénin-Beaumont, la difficile lutte des militants face à l’extrême droite | Mediapart
    https://www.mediapart.fr/journal/politique/250524/henin-beaumont-la-difficile-lutte-des-militants-face-l-extreme-droite

    Dans cette ville du Pas-de-Calais tenue par le Rassemblement national depuis 2014, associations, syndicats et opposants politiques continuent, malgré les pressions, de lutter contre l’extrême droite et le découragement.

    • L’article décrit +/- la situation dans les provinces de l’Est allemand et dans beaucoup de régions des autres Länder en #RFA . Seulement à Hambourg le SPD est en tête et il est politiquement aussi à droite comme le chancelier Scholz. La gauche en Allemagne ne joue plus aucun rôle dans le système parlementaire.

      Suite à une réforme du système électoral on doit se préparer à l’élimination du Bundestag du parti Die Linke qui y tient toujours quelques sièges aussi minoritaire soit-il. Les autres gauches sont dispersées en groupuscules sans influence aucune.

      Voilà les statistiques qui montrent que le pays à complètement viré à droite. En ce qui concerne les social-démocrates (SPD) ils sont aussi à gauche que les chrétiens-démocrates (CDU/CSU) parce que ces partis ont tous une aile syndicaliste. Le parti Die Linke représente les positions des social-démocrates de gauche des années 1970 mais se prononce en faveur de l’engagement militaire dans le conflit russo-ukrainien. Le nouveau parti de l’ex communiste Sarah Wagenknecht BSW est pour l’armistice et ressemble au parti Die Linke sans ses éléments gauchistes. On apprendra des nouvelles sur sa popularité par les élections européennes. Ce déclin de la gauche se produit alors que dans plusieurs Länder la droite fasciste arrive en tête de liste.

      Dison qu’aujourd’hui il est fort possible que le rois des con du chanteur Renaud soit allemand. En somme ça donne envie d’émigrer vers un pays plus sympa où le climat et plus clément qu’à l’est du Rhin.

      La gauche est responsable de son déclin parce qu’elle a arrêté de défendre les intérêts des gens ordinaires, dans le temps on parlait du prolétariat . Il ne propose toujours rien d’autre que les partis plus à droite à savoir « défendre la démocratie », « agir contre la discrimination des ... » etc. Il y a des trucs bien programme, mais aucune campagne de leur part ne vise à améliorer le sort des gens. A Berlin, lors ce que le parti Die Linke participait au gouvernement, il n’a pas su mettre en pratique le vote populaire largement majoritaire pour la socialisation des grandes propriétés immobilières. Le reste du temps on se bagarrait autour de sujets sans importance pour l’électorat.

      Au travail je constate que j’arrive mieux à faire bouger les choses dans le bon sens, cad. la protection des employés et petites entreprises contre les monopoles multinationales, avec des partenaires social-démocrates et chrétien-démocrates qu’à travers la collaboration avec les ministres et représentants du parti de gauche alors que mon programme professionnel s’aligne parfaitement avec le programme du parti Die Linke .

      #Saxe-Anhalt

      #Saxe

      #Thuringe

      #Brandebourg

      #Mecklembourg-Poméranie-Occidentale

      Le site https://dawum.de offre tous les prognostiques pour les élections allemandes à venir.

      #Allemagne #politique #avancée_fasciste #guerre

  • Sächsischer BSW-Chef über seine Partei :„Habe lange Grüne gewählt“
    https://taz.de/Saechsischer-BSW-Chef-ueber-seine-Partei/!6011252


    Dresden, 18. Mai 2024: Jörg Scheibe übergibt auf dem sächsischen Landesparteitag Sahra Wagenknecht einen Blumenstrauß
    Enfin un politicien intelligent ?
    Jörg Scheibe dans une interview :

    Aber Prognosen sind bekanntlich schwierig – vor allem, wenn sie die Zukunft betreffen.

    #Allemagne #Saxe #BSW #politique #wtf

  • Erinnerungspolitik : »Für manche ist auch der Kommandant von Fort Zinna ein Opfer des Stalinismus« 
    https://www.jungewelt.de/artikel/474270.erinnerungspolitik-f%C3%BCr-manche-ist-auch-der-kommandant-von-fort

    En Saxe la fondation du Land pour la commémoration des victimes des dictatures exclut les antufascistes des décisions sur le contenu de ses musées. Résultat : On accorde un tiers des surfaces aux détenus nazis sous l’occupation soviétique, un tiers aux prisonniers en RDA et un tiers aux victimes du fascisme nazi. Ce faisant la fondation ne range pas seulement les persécutions nazies et les injustices en RDA dans la même catégorie mais elle réduit d’une manière arbitraire l’importance du régime nazi pour l’histoire allemande à un tiers alors que le poids de ses crimes ses crimes dépasse largement de celui des époques suivantes.

    Suivant l’approche de la fondation du Land la plupart des nazis enfermés étaient innocents car on ne les a jamais condamné à des peines notables ou même pas du tout.

    L"association des prisonniers antifascistes refuse alors de participer aux réunions de la fondation.

    27.4.2024 von Nico Popp - Über sächsische Gedenkstättenpolitik, eine skandalöse Ausstellung in Torgau und die geschichtspolitische Gleichsetzung von Naziregime und Sowjetunion. Ein Gespräch mit Rolf Surmann

    Verbrecherische Militärjustiz: Einer der Zellenblöcke des Wehrmachtgefängnisses Fort Zinna, aufgenommen unmittelbar nach der Befreiung im April 1945

    Im März hat die Bundesvereinigung Opfer der NS-Militärjustiz die Zusammenarbeit mit der Stiftung Sächsische Gedenkstätten beendet. Der Geschäftsführer der Stiftung, Markus Pieper, ließ sich, nachdem das Anfang April bekanntgeworden war, mit dem Angebot zitieren, man nehme den »Gesprächsfaden« jederzeit gerne wieder auf. Zumal zuletzt ein »von uns sehr begrüßter konstruktiver Dialog zwischen unserer Stiftung und der Bundesvereinigung stattgefunden« habe. Was halten Sie davon?

    Die Stellungnahme von Herrn Pieper mit dieser herausgestellten Gesprächsbereitschaft hat uns schon überrascht. Wir haben das in den vergangenen Jahren ganz anders wahrgenommen, ja im Grunde genommen genau die gegenteilige Erfahrung gemacht. Wir haben verschiedentlich Gespräche angeboten und auch mit Nachdruck darauf hingewiesen, dass sie wirklich notwendig sind, um die vorhandenen Konflikte aus der Welt zu schaffen. Es gab ein Gespräch zum Thema Torgau, nach dem wir festgestellt haben, dass wir die Bereitschaft begrüßen, mit uns zu sprechen und Änderungsvorschläge zu berücksichtigen. Wir haben aber klar gesagt, dass wir weitere Gespräche für notwendig halten. Das wurde auch schriftlich festgehalten. Ich habe das in einer Beiratssitzung im vergangenen Herbst nochmals angesprochen. Und da gab es letztlich überhaupt keine Resonanz. Weder bei der Leitung in Torgau noch beim Geschäftsführer Pieper.

    Hat man auf der Seite der Stiftung nicht damit gerechnet, dass die Bundesvereinigung tatsächlich von sich aus die Zusammenarbeit beendet?

    Davon gehe ich aus. Nach dem unfreiwilligen Abgang des vorherigen Geschäftsführers ist Herr Pieper eingestellt worden, um diese Stiftung aus den ganzen Schwierigkeiten, Problemen und Skandalen, in denen sie über viele Jahre gesteckt hat, herauszuführen. Das war verbunden mit Signalen, dass sich etwas ändern würde. Und vielleicht hat man unterstellt, dass wir uns trotz der intern geäußerten Kritik mit diesem Stand vorläufig arrangieren. In gewissem Sinne hat die Stiftung ja ein grundsätzliches Interesse daran, die Bundesvereinigung einzubinden. Es ist für sie keineswegs angenehm, wenn etwa in Torgau bei Veranstaltungen die Verfolgtenorganisation nicht vertreten ist.

    In der Erklärung der Bundesvereinigung zur Beendigung der Zusammenarbeit wird auf eine Neuerung in der Arbeit des Beirats hingewiesen. Geplant ist demnach, die Mitgliedschaft einer Rotation zu unterwerfen. Was hat es damit auf sich?

    Ganz unabhängig von einem Zusammenhang mit den Auseinandersetzungen mit unserer Bundesvereinigung, über den ich nicht spekulieren möchte, ist es ganz objektiv so, dass dieses Rotationsverfahren der Stiftung die Möglichkeit bietet, Mitglieder des Beirats, die ihr nicht genehm sind, wieder loszuwerden. Grundsätzlich zeigt sich in diesem Vorhaben aber eine strukturelle Geringschätzung der Bedeutung der Verfolgtenvertreter für die Gestaltung des Erinnerns. Der Vorschlag, wenigstens jenen Verfolgtenvertretungen eine Dauermitgliedschaft einzuräumen, deren zentrale Erinnerungsorte in Sachsen liegen, wurde abgelehnt. Unser Eindruck ist, dass diese strukturelle Schwächung der Erinnerungspolitik ihrer eventuellen Neuausrichtung unter veränderten politischen Rahmenbedingungen in die Hände spielt.

    Bemerkenswert finde ich die Feststellung in der genannten Erklärung, dass es zwischen der Stiftung und der Bundesvereinigung keine Einigkeit in der grundsätzlichen Bewertung der faschistischen Militärjustiz gibt. Wie ist das zu verstehen?

    Das ist etwas kompliziert. Seitens der Stiftung oder der Leitung in Torgau gibt es dazu keine expliziten Stellungnahmen. Man kann deren Positionierung aber aus anderweitigen Stellungnahmen ableiten. Das Hauptproblem ist unserer Ansicht nach, dass das Thema der NS-Militärjustiz und ihrer verbrecherischen Konsequenzen nicht bis zu dem Punkt einer grundsätzlichen Auseinandersetzung mit der Militärjustiz entwickelt wird. Die Leiterin in Torgau hat laut einem Zeitungsbeitrag zum Beispiel sinngemäß geäußert, eine Militärjustiz müsse anders als in der Nazizeit heute rechtsstaatlich organisiert sein. Das sei in vielen Ländern nicht der Fall. Die Bundesvereinigung ist anderer Ansicht. Sie lehnt eine Militärjustiz als Sonderjustiz grundsätzlich ab. Eine Militärjustiz schränkt die Rechte von Soldaten grundsätzlich ein, weil sie alle Fälle unter dem Gesichtspunkt militärischer Interessen verhandelt. Eine Militärjustiz entscheidet immer zugunsten des Militärs und der in dem jeweiligen Krieg vertretenen Interessen.

    Die Stiftung Sächsische Gedenkstätten existiert seit 1994. Seit wann hat die Vereinigung der Opfer der NS-Militärjustiz dort mitgearbeitet?

    Wir haben von Anfang an mit der Stiftung zusammengearbeitet. Und diese Zusammenarbeit war von Anfang an von Konflikten geprägt.

    Die Konflikte ergaben sich in erster Linie aus unterschiedlichen Vorstellungen von der Konzeption der Dauerausstellung »Spuren des Unrechts« in Torgau?

    Ja. Torgau war während des Zweiten Weltkrieges so etwas wie die Zentrale der NS-Militärjustiz, die an die 30.000 Todesurteile gefällt hat, von denen über 20.000 vollstreckt wurden. Wenn Sie durch Torgau gehen, dann stoßen Sie noch heute auf Schritt und Tritt auf Gebäude, die einen Bezug dazu haben. In Torgau befanden sich das 1943 aus Berlin dorthin verlagerte Reichskriegsgericht, zwei große Militärgefängnisse – Fort Zinna und Brückenkopf –, zwei Feldstraflager und zwei Hinrichtungsstätten. Für die Bundesvereinigung stand und steht unverrückbar fest, dass eine historische Ausstellung in Torgau den Schwerpunkt auf diesen Komplex zu legen hat. Die Stiftung aber macht geltend, dass Fort Zinna, das heute eine Justizvollzugsanstalt beherbergt, von 1945 bis 1949 als Internierungslager der sowjetischen Militärverwaltung und danach als Strafgefängnis in der DDR genutzt wurde. Die Stiftung führt diese Geschichte in »drei Verfolgungsperioden« zusammen – die Nazizeit, die Zeit der sowjetischen Besatzung, die DDR –, die sie als prinzipiell gleichwertig oder gleichgewichtig ansieht. Und das hat die Bundesvereinigung immer grundsätzlich abgelehnt. Entscheidend für unseren Standpunkt ist die Ablehnung dieser Gleichsetzung und der damit stillschweigend vorgenommenen Relativierung der Verbrechen der Nazizeit.

    Woher kommt diese auf Gleichsetzung »der Diktaturen« bedachte Linie der sächsischen Gedenkstättenpolitik?

    Da muss man sich die Debatten in den Jahren nach 1990 in Erinnerung rufen. Dem 1999 beschlossenen Konzept zur Gedenkstättenförderung gingen Auseinandersetzungen über den Umgang mit unterschiedlichen Formen der Verfolgung vor und nach 1945 voraus. Hauptschauplatz dieser Auseinandersetzungen war die Gedenkstätte Buchenwald in Thüringen. Hier gab es, angefangen bei der CDU-geführten Landesregierung, massive Bestrebungen, die unterschiedlichen »Verfolgungsperioden« in einer Dauerausstellung zusammenzuführen. Das ist nicht zuletzt durch den Widerstand von Häftlingsorganisationen und wegen der dadurch drohenden Internationalisierung dieses Konflikts abgewehrt worden. Letztlich wurde für Buchenwald eindeutig entschieden, dass die Zeit des sowjetischen Speziallagers nicht auf einer Ebene und unter einem Dach mit der Geschichte des deutschen Konzentrationslagers verhandelt oder gar gleichgesetzt werden kann.

    In Sachsen lief das ein bisschen anders.

    In der sächsischen Erinnerungs- und Gedenkstättenpolitik hat sich die in der ganzen Bundesrepublik in den 90er Jahren sehr starke Tendenz zur Gleichsetzung durchgesetzt. Es ist wichtig, sich diese Verschränkung von Bundes- und Landesebene klarzumachen, um nicht den Fehler zu machen, das für ein speziell sächsisches Problem zu halten, auch wenn es sich heute in der Zuspitzung wie ein sächsischer Sonderweg darstellt. 2004 gab es den letzten koordinierten Vorstoß aus Kreisen der CDU und CSU, die in Sachsen bereits verbindliche Interpretation des »antitotalitären Konsenses« auf die gesamte Bundesrepublik zu übertragen. Als Protagonist agierte der Bundestagsabgeordnete und ehemalige Bürgerrechtler Günter Nooke, damals kultur- und medienpolitischer Sprecher der Unionsfraktion. Diese sogenannte Nooke-Initiative ist gescheitert – auch, weil es zu einer partiellen Distanzierung im konservativen Lager kam. Der Antrag auf eine entsprechende Überarbeitung des Bundesgedenkstättengesetzes wurde wesentlich modifiziert.

    2004 geriet auch die sächsische Gedenkstättenstiftung ins Schlingern.

    Ja. Hier sieht man in der Rückschau sehr deutlich, dass nicht nur unsere Bundesvereinigung ein grundsätzliches Problem mit der sächsischen Linie hatte. Auslöser dieser Zuspitzung war, dass der damalige Vizevorsitzende des Zentralrats der Juden, Salomon Korn, demonstrativ die Eröffnungsveranstaltung der Leipziger Buchmesse verließ, bei der die lettische Außenministerin Sandra Kalniete mit einer geschichtsrevisionistischen, die Naziverbrechen durch Gleichsetzung relativierenden Rede aufgetreten war. Für den Zentralrat und für die Organisationen der Naziverfolgten war dieser Eklat damals der Anlass, öffentlich deutlich zu machen, dass sie nicht mehr gewillt waren, mit der Kalniete-Rede vergleichbare oder deckungsgleiche Erscheinungen in der sächsischen Gedenkstättenpolitik hinzunehmen. Diese Organisationen, darunter die Bundesvereinigung, setzten die Zusammenarbeit mit der Stiftung für mehrere Jahre aus. 2004 war mit dem Scheitern der Nooke-Initiative und der Zuspitzung des Konflikts in Sachsen also ein wichtiges Jahr für die weitere Entwicklung der Erinnerungspolitik in der Bundesrepublik.

    Wie wurde dieser Konflikt reguliert?

    Durch das offene Eingreifen der sächsischen Landesregierung, die eine Überarbeitung des sächsischen Gedenkstättengesetzes mit dem Ziel der Einebnung der aufgetretenen Widersprüche in Angriff nahm. Politisch musste reagiert werden, weil der Druck zu groß geworden war. Es hatte ja nicht nur die Diskussion um die Stiftung gegeben, sondern etwa auch die Skandale um das – übrigens auch im Stiftungsrat vertretene – Dresdner Hannah-Arendt-Institut, wo man sich zum Beispiel mit der Frage beschäftigt hatte, inwieweit Widerstand gegen Hitler legitim gewesen ist.

    Die Überarbeitung des Gesetzes war ein taktischer Rückzug, um ohne Preisgabe der Grundpositionen die Wogen zu glätten?

    So würde ich das auch sehen. In dem überarbeiteten Gesetz wurde nunmehr die besondere Bedeutung der Verbrechen an den Juden hervorgehoben. Diese besondere Dimension war in dem alten Gesetz nicht benannt worden. Andere sächsische Spezifika blieben aber unverändert erhalten. Zum Beispiel der Umstand, dass in den Gremien der Stiftung Vertreter der vor 1945 Verfolgten und nach 1945 Verfolgten zur Zusammenarbeit gezwungen waren. Mit der zusätzlichen Merkwürdigkeit, dass diejenigen, die sich für die Zeit nach 1945 »zuständig« fühlen, stets ein zahlenmäßiges Übergewicht hatten. Der Vorsitzende des Beirats kam immer aus diesem Spektrum. Dieser Vorsitzende hat den Beirat dann auch im Stiftungsrat vertreten. Das wurde später ein wenig abgemildert, indem man zum Beispiel einen stellvertretenden Vorsitzenden bestimmte.

    Die partielle Überarbeitung des Stiftungsgesetzes wurde dann durch eine interessante internationale Vernetzung aufgefangen.

    Genau. Durch den gleichsam parallel vollzogenen Beitritt der Stiftung zur sogenannten Platform of European Memory and Conscience. Das ist die auf EU-Ebene agierende erinnerungspolitische Pressure Group der Visegrád-Staaten und der drei baltischen Länder, der sich aus Deutschland neben der sächsischen Gedenkstättenstiftung auch die Gedenkstätte Hohenschönhausen und die Union der Opferverbände Kommunistischer Gewaltherrschaft angeschlossen haben. In der programmatischen Deklaration der Platform ist so deutlich wie kaum irgendwo sonst die Gleichsetzung von Naziregime und Sowjetunion postuliert worden. Der um das Jahr 2010 bekundete Reformwillen der Stiftung erwies sich also als ausgesprochen doppelbödig: Manches wurde entschärft, es wurde auch beschlossen, die Ausstellung in Torgau zu überarbeiten, und gleichzeitig wurde durch den Beitritt zur Platform die alte erinnerungspolitische Linie erneut bekräftigt. In der Kommission, die das Gedenkstättenstiftungsgesetz überarbeiten sollte, habe ich auch deshalb gegen den Entwurf gestimmt.

    Wie kann man diese strukturelle Dominanz der Gleichsetzungsfraktion in Sachsen erklären?

    Das liegt daran, dass politische Vertreter dieser Richtung in Sachsen direkt nach 1990, als Posten und Einfluss in Institutionen verteilt, Institute gegründet und Lehrstühle vergeben wurden, den entscheidenden Einfluss ausübten. Es hat da nie einen intellektuellen Wettstreit gegeben. Mir ist keine einzige Programmschrift bekannt, wo das, was in Sachsen über 30 Jahre erinnerungspolitisch vertreten wurde, argumentativ begründet und gerechtfertigt worden wäre. Es wurde einfach gemacht, weil das entsprechende Personal den nötigen institutionellen Einfluss besaß. Das war eine allgemeine Tendenz in der sächsischen Politik, ohne dass mal irgendwer gesagt hätte, so, wir beschließen das jetzt. Die einzige Festlegung war im Grunde die allgemeine Verbindlichkeit der Totalitarismusdoktrin. Verkörpert hat diese Orientierung der 2020 abgelöste Geschäftsführer Siegfried Reiprich, der ja auch den Beitritt zur Platform zu verantworten hatte.

    Wie hat sich diese so beharrlich verteidigte Linie auf Torgau ausgewirkt?

    Die Gleichsetzung der drei genannten Perioden hat de facto dazu geführt, dass die Verfolgungsgeschichte der Opfer der NS-Militärjustiz, auf der laut der anfänglichen Vereinbarungen eigentlich der Schwerpunkt hätte liegen sollen, abgehandelt worden ist auf einem Drittel der Ausstellungsfläche. Das war also nicht einmal mehr eine Gleichsetzung, sondern eine regelrechte Zurücksetzung. Und vor Fort Zinna soll gemeinsam an die Verfolgten von vor und nach 1945 erinnert werden. Die Bundesvereinigung ist der Ansicht, dass man dieses Gedenken nicht ineinander übergehen lassen kann. Nach 1945 saßen dort auch sehr viele Nazitäter ein. Darunter Täter, die im Rahmen der Militärjustiz Menschen malträtiert und getötet haben. Das war für die Bundesvereinigung eine Zumutung. Die Stiftung hat den von uns verlangten expliziten Hinweis auf diese Täter in der Gedenkanlage vor Fort Zinna abgelehnt. Wir wollten dann, dass diese Täter vom Gedenken ausgeschlossen werden. Die Stiftung hat daraufhin für die entsprechende Tafel die Formulierung verwendet, dass hier an unschuldige Opfer aus der Zeit nach 1945 erinnert wird. Das Problem dabei ist, dass viele Täter in der Bundesrepublik im juristischen Sinne bis heute als unschuldig gelten. Die Militärrichter wurden nie bestraft, galten sogar als ehrenwert und haben große Nachkriegskarrieren gemacht – siehe Hans Filbinger. Und viele Urteile der DDR-Justiz gegen Nazitäter – Stichwort Waldheimer Prozesse – wurden pauschal als Unrecht aufgehoben. Da sind explizit Nazitäter formal für unschuldig erklärt worden. Es gibt Leute, für die ist auch der hingerichtete Kommandant des Wehrmachtgefängnisses Fort Zinna ein Opfer des Stalinismus.

    Und die vor fast 15 Jahren beschlossene Überarbeitung der Ausstellung wurde bis heute nicht fertiggestellt?

    So ist es. Das ist ein Skandal für sich. Jetzt soll sie im August fertig werden. Unter dem Strich ist festzuhalten: Vernünftig beteiligt waren wir nie. Ich habe mehrmals gefordert, dass die Bundesvereinigung einbezogen wird in die Überarbeitung. Unser wissenschaftlicher Beirat, dessen langjähriger Vorsitzender Manfred Messerschmidt war, verfügt in diesen Fragen über eine besondere Kompetenz. Und das ist immer abgelehnt worden. Dann wurde nach fast 15 Jahren des Werkelns an dieser Ausstellung vom Geschäftsführer im vergangenen Herbst in einer Sitzung mündlich eine vollständige Veränderung der Konzeption angekündigt, worüber wir vorher in keiner Weise informiert wurden. Wir sehen spätestens nach dieser jüngsten Erfahrung keine Chance, dass wir da in einer sachgerechten Form an den Entscheidungen beteiligt werden.

    Wie geht es für die Bundesvereinigung Opfer der NS-Militärjustiz jetzt weiter? Torgau bleibt ja der zentrale Erinnerungsort.

    Wir werden die Auseinandersetzung um eine angemessene Erinnerungskultur weiter führen, nur eben nicht mehr innerhalb der Stiftung. Wir wollen insbesondere auch die Frage beantworten, wie es möglich war, dass sich die beschriebene Politik in Sachsen durchsetzen konnte. Erst wenn solche und andere, damit zusammenhängende Fragen geklärt sind, gibt es wieder eine Grundlage für die Mitarbeit in den sächsischen Institutionen.

    Rolf Surmann ist Historiker und Publizist. Als Mitglied ihres wissenschaftlichen Beirats vertrat er von 2007 bis zu seinem Austritt im März 2024 die 1990 von dem ehemaligen Wehrmachtdeserteur Ludwig Baumann und einigen Mitstreitern gegründete Bundesvereinigung Opfer der NS-Militärjustiz e. V. im Beirat der Stiftung Sächsische Gedenkstätten

    #Allemagne #Saxe #nazis #révisionnisme_historique

    • Pour la création de l’état de Neu-Israel !!

      Je comprends que notre passé nazi nous oblige moralement à soutenir les Juifs et Israël. C’est d’accord, en tant qu’Allemand tu n’y échappes pas. Je souscris l’unique solution logique du problème : en Palestine les Juifs ne vivront jamais en paix, alors donnons leur de notre propre chef une partie de notre pays.

      La Palestine était un mauvais choix et n’a jamais donné des résultats satisfaisant.

      Mais de là leur filer le Bade-Wurtemberg et la Bavière, les Länder les plus riches d’Allemagne,, non, c’est trop généreux.Vu les prognostiques qui annoncent qu’en septembre la plupart des mairies y seront conquises par l’extrême droite j’opte pour le Brandebourg, la Saxe et la Thuringe.

      Entre la jeunesse de village aux battes de baseball et l’AfD d’un côté et le Likoud avec ses colons de l’autre la différence n’est pas énorme. Ce serait du fair play .

      Fascholand bleibt Fascholand !

      Manque de bol, les Juifs d’Israël préfèrent acheter à Berlin-Mitte parce qu’ils n’osent pas s’en prendre aux hordes de paysans et chômeurs incultes. Mais si on autorisait qu’ils importent Tsahal et le Mossad le rapporte de force serait plus avantageux.

      N.B. Au sein de la chambre des Länder le Bundestat un seul état Nouvel-Israël ne compterait qu’un tier des sièges attribués aux trois Länder actuels. La droite sera moins influente alors à ce niveau. C’est compliqué la politique.

      #Bade-Wurtemberg #Bavière #Thuringe #Saxe #Brandebourg #juifs #philosemitisme #politique #parodie #wtf

  • Focus in Saxony: Germany-wide again significantly more right-wing extremist marches

    Most recently, 400 people celebrated the attack on refugees at a demonstration in Sebnitz

    The political gatherings organized from the right-wing scene in Germany have tripled compared to the previous year. In the first half of 2022, 52 Nazi marches were recorded nationwide. In the same period this year, there were already 162 such events.

    The figures come from answers of the Federal Ministry of the Interior to a parliamentary question of the left-wing politician Petra Pau. Together with members of the Left Party, her office queries these figures on a quarterly basis. From these Bundestag printouts, the increase in “rallies conducted by right-wing extremists or dominated by right-wing extremists” can be clearly traced. According to the documents, the highest number was recorded in 2015, the year of the so-called refugee crisis, with a total of 590; by 2021, this had fallen to 91, the lowest level in ten years. In 2022, the number had then doubled again for the first time.

    In this regard, Pau, also a Vice President of the German Bundestag, points to increased mobilization power following the Corona pandemic. “With the tearing down of supposed firewalls and right-wing rhetoric by Conservatives and Socialdemocrats in state parliament election campaign mode, there is currently a likelihood that these numbers will rise even further,” Pau told “nd.” To carry out this election campaign on the backs of those seeking protection is “more than negligent, it is anti-human.”

    The Federal Ministry of the Interior under Nancy Faeser (Social Democratic Party of Germany, SPD) counts by far the most right-wing marches in Saxony. These had been carried out for the second quarter of this year almost all by the party Freie Sachsen – only one registration had been made by an individual. Three meetings had taken place in Thuringia, registered by the III. Weg party, the Neue Stärke party (NSP) and one individual. For Mecklenburg-Western Pomerania, the statistics show two registrations by the National Democratic Party (NPD) and the NSP. Only one event each was detected by the competent authorities in North Rhine-Westphalia (NPD), Rhineland-Palatinate (Kameradschaft Rheinhessen/ Die Rechte) and Lower Saxony (Die Rechte).

    A large part of the marches mentioned by the German government took place in front of refugee shelters. In Saxony, most of them were so-called “No to Homes” demonstrations. These also appear in the answers to inquiries by Paus’s parliamentary group colleague Clara Bünger – the spokeswoman on refugee policy also requests these on a quarterly basis.

    Comparing these answers, it is striking: Apparently, only incidents of parties or organizations are reported that are classified as right-wing extremist by the Office for the Protection of the Constitution. Also, only events are counted “that were generally based on a supraregional and/or notable mobilization of participants.” Many right-wing protests, including in western Germany, are therefore missing from the overview. Events organized by the AfD are also completely omitted by the Faeser ministry.

    As a reason for the increased number of right-wing marches, the “Neue Osnabrücker Zeitung,” which first reported on the Interior Ministry’s latest response, cites “the sharp rise in the number of asylum seekers and refugees.” The newspaper does not provide any evidence for this connection. In fact, however, the far-right occupies the topic of migration in the vast majority of its events.

    Most recently, the Freie Sachsen party called for such a demonstration in Sebnitz on Monday. Around 400 people – the organizers speak of over 1000 – marched through the small town of not even 9000 inhabitants under the slogan “Stop the flood of asylum”. Other banners were inscribed with “Welcome culture for the destruction of our social system”, “Greens to the Eastern Front” or “Islam, no thanks”. This is what the Saxon Refugee Council, which observed the far-right gathering, wrote on its website. According to the report, the police were only present with about two dozen officers. A flag of the Alternative for Germany (AfD) was held at the head of the demonstration, and the supporters of the party, which received almost 40 percent of the votes in Sebnitz in the last federal election, were “greeted in a friendly manner through the microphone.” Afterwards, “Germany to the Germans” chants rang out, the Refugee Council said.

    According to the report, the participants also showed sympathy for the attack on a shelter for refugees. Three weeks ago, neo-Nazis had entered the house and attacked residents. In the call for the demonstration, the organizers of the demonstration claim that the attack was invented to distract “from the actual attacks by immigrants”.

    Among the refugees, the Refugee Council observed an anxious and fearful mood, some had therefore already left Sebnitz. The accommodation had not been protected by the police during the demonstration.

    “Sebnitz is reminiscent of the pogroms of the 90s. Neo-Nazi violence against refugees, a citizen mob that applauds and cheers, police who are no protection and let the right-wingers. The people in the shelter have to expect further attacks. Get them out of there,” demands the interior policy spokeswoman of the Left Party in the Bundestag, Martina Renner on the Internet platform “X”.

    Meanwhile, left-wing member of the Bundestag André Hahn, who maintains an office in the city, “remains convinced that the vast majority of people living in Sebnitz do not hold right-wing extremist, xenophobic or anti-Semitic positions.” As in previous protests, “apparently quite a few right-wing participants had traveled from outside,” Hahn tells “nd.” And he hopes that the “unfortunately mostly silent majority will finally raise their voices audibly, i.e. also publicly, against right-wing activities and the associated lasting damage to the reputation of their hometown”. His own office has also been the target of right-wing attacks on several occasions.

    In addition to the number of right-wing marches, Left Party politician Pau also asks about right-wing rock concerts on a quarterly basis. According to the latest answer, these have declined somewhat: In the first half of the year, 71 concerts, “song evenings” and “other events with musical performances” were counted, compared to 89 in the same period last year. Here, the scene in Thuringia apparently dominates; concerts took place, for example, with the bands “Einzelkämpfer”, “Sturmrebellen”, “Heureka”, “Flak” or “Sleipnir”. On average, however, these events were only attended by less than a hundred participants, according to the current figures.

    Other music events not mentioned in the answers were “conspiratorially announced or prepared,” the ministry writes. However, these are kept secret from the MPs, “since the right-wing extremist scene could draw conclusions from this about the state of knowledge of the security authorities and target their further approach accordingly.” In addition, there would otherwise be the possibility of identifying informants employed in the scene.

    https://digit.site36.net/2023/08/16/focus-in-saxony-germany-wide-again-significantly-more-right-wing-extre

    #marches #extrême_droite #manifestations #Allemagne #Sebnitz #néo-nazis #statistiques #chiffres #Saxe #espace_public

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  • Großschweidnitz: Ein Krankenhaus als Ort des Todes
    https://www.nd-aktuell.de/artikel/1173154.gedenken-an-ns-verbrechen-grossschweidnitz-ein-krankenhaus-als-or

    11.5.2023 von Hendrik Lasch, Großschweidnitz - Als Lina Helm im Juni 1944 den Friedhof der Landesanstalt Großschweidnitz besuchte, war sie erschüttert. Die Uhrmachersgattin aus Leipzig war in das ostsächsische Dorf unweit von Löbau gefahren, um das Grab ihrer Tochter Elli zu besuchen. Sie war vier Monate zuvor in dem psychiatrischen Krankenhaus verstorben. Dieses sei, hatte Lina Helm bei einem ersten Besuch bemerkt, »sehr schön gelegen«: in einer welligen Landschaft, die in der Ferne den Blick auf das Zittauer und das Isergebirge eröffnet.

    Der idyllische Eindruck trog freilich. Die Anstalt berge »doch so viel Jammer und Elend«, schrieb Helm in einem Brief an Ellis Bruder Hans: »Es sterben dort viele Menschen.« Zu diesen sollte binnen weniger Wochen auch ihre Tochter gehören, deren Gesundheitszustand sich zuvor laut der Krankenakte angeblich urplötzlich verschlechtert hatte. Als die Mutter ein Vierteljahr nach dem Tod am Ort ihrer Beerdigung ein paar Blumen ablegen wollte, konnte ihr der Friedhofswärter nur eine kahle Fläche präsentieren. Man habe »überhaupt kein Grab« gesehen, erinnerte sich die Mutter: »Nur festgetretener Boden, und alles lief darüber hin.«

    Lina Helm war erschüttert. Ihre Bemerkung steht heute auf einer schwarzen Metallsäule. Sie ist Teil eines Rondells mit einem Dutzend ähnlicher Stelen, auf denen 3580 Namen aufgeführt sind. So viele Menschen wurden 1940 bis 1945 allein auf dem Friedhof des Krankenhauses beerdigt, das eigentlich ein Ort der Heilung sein sollte, aber in der NS-Zeit zu einem Ort des Todes wurde.

    Schon bei Lina Helms erstem Besuch wies eine ältere Frau, deren Tochter eben begraben worden war, sie auf Auffälligkeiten auf dem Anstaltsfriedhof hin: Er sei »sehr sauber gehalten«, aber seit 1942 gebe es »Hunderte von Gräbern«. Tatsächlich liegt die Zahl der Toten noch weitaus höher. »Wir wissen heute von 5500 Verstorbenen«, sagt die Historikerin Maria Fiebrandt, die dazu zwei Jahre lang akribisch in Unterlagen des Krankenhauses und in sächsischen Archiven geforscht hat: »Viele wurden allerdings in ihre Heimatorte überführt und dort bestattet.«

    Fiebrandt ist Mitglied eines Vereins, dessen Mitglieder sich seit Jahren ehrenamtlich mit einem finsteren Kapitel in der Geschichte des Krankenhauses Großschweidnitz und der deutschen Psychiatrie insgesamt auseinandersetzen: den sogenannten Krankenmorden in der NS-Zeit, denen Zehntausende psychisch kranke, geistig behinderte und alte Menschen zum Opfer fielen. Bekanntester Teil sind die geplanten Massenmorde an Behinderten, für die sich nach 1945 der Begriff »Aktion T4« einbürgerte, nach der Anschrift der zuständigen NS-Behörde in der Berliner Tiergartenstraße 4.

    Praktisch umgesetzt wurde sie ab 1940 in Tötungsanstalten wie im sächsischen Pirna-Sonnenstein, wo Patienten auch aus Großschweidnitz zu Tausenden in einer Gaskammer ermordet wurden. Doch schon zuvor und auch nach Ende der Aktion T4 im August 1941 dauerte das massenhafte Sterben an. Großschweidnitz etwa sei auch Schauplatz des frühen »Hungersterbens« gewesen, sagt Fiebrandt. Seit 1939 wurden Essensrationen von Patienten drastisch reduziert. Dass viele das nicht überleben, »wurde gezielt einkalkuliert«, sagt sie. »Man nahm ihren Tod billigend in Kauf.« Zynisches Kalkül der Nazis war es, sogenanntes lebensunwertes Leben zu vernichten, sich »nutzloser Esser« systematisch zu entledigen und die Weitergabe vermeintlicher Erbkrankheiten zu unterbinden.

    Welche Auswirkungen diese menschenverachtende Politik auf Einzelne hatte, zeigt das Schicksal von Elli Helm, das Fiebrandt bereits 2018 in einem von der Stiftung Sächsische Gedenkstätten herausgegebenen biografischen Heft nachzeichnete. Helm war im Juni 1902 in Leipzig geboren worden, im gleichen Jahr, in dem in Großschweidnitz die Landesanstalt gegründet wurde. Ab dem 15. Lebensjahr litt sie unter epileptischen Anfällen. Diese damals als »erbliche Fallsucht« bekannte Erkrankung gehörte zu den Indikationen, die laut dem 1933, kurz nach Beginn der NS-Diktatur beschlossenen »Gesetz zur Verhütung erbkranken Nachwuchses« eine Zwangssterilisation gegen den Willen der Betroffenen rechtfertigen sollten.

    Diese wurde bei Elli Helm im Oktober 1934 vollzogen. Die junge Frau, die auf Fotos stets ausgesprochen fröhlich wirkt, arbeitete danach als Hausmädchen und in einem Altersheim. Nachdem sich die Anfälle allerdings häuften, begann im Februar 1942 eine Odyssee durch Krankenhäuser: Leipzig-Dösen, Hochweitzschen, Bräunsdorf, Freiberg-Hilbersdorf. Am 27. Januar 1944 schließlich kam Elli Helm nach Großschweidnitz. Obwohl die zuständige Ärztin ihren Zustand bei der Ankunft noch als unbedenklich beschrieben hatte, war sie 23 Tage später tot.

    Was in der Zwischenzeit geschah, darüber kann nur spekuliert werden. Dass Elli Helm allerdings ausgerechnet in Großschweidnitz ums Leben kam, sei kein Zufall, sagt Maria Fiebrandt. Die Anstalt, deren Leiter Alfred Schwarz ein strammer Nazi war und über enge Kontakte zu Verantwortlichen der Aktion T4 verfügte, habe stets »große Bereitschaft signalisiert«, sich am organisierten Morden zu beteiligen. Das war auch in der NS-Diktatur kein Automatismus, betont Fiebrandt: Ähnliche Kliniken wie in Arnsdorf bei Dresden hätten sich verweigert.

    In Großschweidnitz aber propagierten leitende Mitarbeiter die »Euthanasie«-Politik der Nazis, und ausreichend Beschäftigte hatten keine Skrupel, sich Patienten zu entledigen, die sie als störend empfanden oder die »wenig leisten«, wie es an einer Stelle über Elli Helm hieß. Mit der Zeit sei unter dem Personal eine »Radikalisierung« zu beobachten gewesen, sagt Fiebrandt: Mit Aufnahme immer neuer Patienten, etwa aus Schlesien, »intensivierten sich die Morde«. Viele starben an einer zynisch »Trional-Kur« genannten Überdosierung von Beruhigungsmitteln, andere an Hunger, Krankheiten und schlichter Vernachlässigung.

    Zu den Opfern in der ostsächsischen Anstalt zählen neben Kranken auch Kinder, Zwangsarbeiter und Evakuierte. Zeitweise lag die Sterblichkeit bei über 50 Prozent. Die Tötungen endeten im Mai 1945, sagt Maria Fiebrandt, »das Sterben aber ging weiter«: Die miserablen Bedingungen im Krankenhaus und Spätfolgen der Misshandlung schlugen sich noch bis 1946 in hohen Sterbezahlen nieder.

    Großschweidnitz ist, sagt Maria Fiebrandt, ein »herausgehobener Ort«, wenn es um die Krankenmorde der Nazis und die sogenannte Euthanasie geht. Wegen der hohen Zahl und der Vielfalt der Opfer stehe er in einer Reihe mit Tötungsanstalten anderswo in der Bundesrepublik: Pirna-Sonnenstein, Hadamar (Hessen), Grafeneck (Baden-Württemberg) oder Bernburg (Sachsen-Anhalt). Dennoch wurde an dieses finstere Kapitel in der Geschichte des Krankenhauses lange gar nicht erinnert. Zwar wurden nach dem Krieg einige Verantwortliche für die Krankenmorde in Dresden verurteilt, darunter zwei Ärzte und fünf Schwestern aus Großschweidnitz.

    Als 1952 jedoch der damalige Anstaltsleiter eine Ansprache zum 50-jährigen Jubiläum der Landesanstalt hielt, erwähnte er das dortige massenhafte Töten durch medizinisches Personal in den NS-Jahren mit keinem Wort. »Erst in den 80er Jahren begannen sich Krankenhausmitarbeiter für diesen Teil der Geschichte der eigenen Anstalt zu interessieren«, sagt Fiebrandt. Eine Tafel zum Gedenken an die Opfer wurde angebracht, 1990 auch ein Denkmal aus Sandstein errichtet, das an die würdelos verscharrten Opfer erinnert. Später kamen die Stelen mit den mittlerweile recherchierten Namen dazu. Zudem wurde der Friedhof als Kriegsgräberstätte anerkannt. Eine Ausstellung, die umfassend über die Krankenmorde in Großschweidnitz informiert, gibt es erst jetzt: An diesem Samstag wird sie im Beisein des sächsischen Ministerpräsidenten Michael Kretschmer (CDU) eröffnet.

    Damit tragen jahrelange Bemühungen des Vereins endlich Früchte. Bereits 2012 legte dieser ein Konzept für eine Gedenkstätte vor, im gleichen Jahr wurde Großschweidnitz in das damals novellierte sächsische Gedenkstättengesetz aufgenommen. Danach vergingen allerdings mehr als zehn Jahre, bis das Vorhaben in die Tat umgesetzt wurde. Zeitweise erwies sich die geplante Finanzierung als schwierig, teils wurden Auflagen des Denkmalschutzes für einen geplanten Neubau auf dem Anstaltsfriedhof zur Belastung. Erst jetzt kann der Verein das wichtigste Ziel in seiner Satzung, die »Schaffung einer Gedenkstätte«, als erfüllt abhaken.

    Zu finden ist diese in einem gelben Klinkerbau, der durch einen gelungenen, unauffälligen Neubau ergänzt wurde. In diesem ist neben Empfang und Garderobe ein Seminarraum untergebracht, für den im benachbarten historischen Gebäudetrakt kein Platz gewesen wäre, der aber essenziell sei: »Wir wollen schließlich ein Bildungsort sein«, sagt Maria Fiebrandt, die in der neuen Gedenkstätte beschäftigt sein wird. Deren eigentliche Ausstellung befindet sich in den Räumen der einstigen Pathologie. An die frühere Nutzung erinnern bis in Kopfhöhe gekachelte Wände sowie in einem Raum auch Rinnen im Fußboden, die einst neben dem Sektionstisch verliefen.

    In diesem zentralen Raum wird an die eigentlichen Krankenmorde erinnert, anhand von Dokumenten, Fotos sowie Berichten von Angehörigen und Zeugen, die an Audiostationen auch nachzuhören sind. Betten oder ähnliches Krankenhausmobiliar werde es nicht geben, sagt Fiebrandt: »Die standen in diesen Räumen nie.« Ein aufwendig gestaltetes Totenbuch nennt die Namen aller 5500 Opfer in Großschweidnitz. In vorangehenden Räumen wird zunächst die Euthanasiepolitik der Nazis erklärt und die Indoktrination von Bevölkerung und medizinischem Personal veranschaulicht, etwa mit Kartenspielen, die schon Kinder lehrten, Gesichtszüge vermeintlich »Erbkranker« zu erkennen. Zwei Räume widmen sich Biografien von Opfern wie Elli Helm und von Tätern.

    Letztere sind ebenfalls an Hörstationen mit Aussagen aus dem Dresdner Prozess zu erleben, die ein erschütterndes Menschenbild offenbaren: »Das ist teils schwer zu verdauen«, sagt Fiebrandt. Dargestellt wird zudem der lange Weg der Opfer zu Anerkennung und Rehabilitierung. Zwangssterilisierte etwa erhalten in der Bundesrepublik erst seit 2021 eine kleine Entschädigung. Ein abschließender Raum weitet das Thema schließlich in die Gegenwart. Dort geht es um medizinethische Themen, etwa Triage oder pränatale Diagnostik. Gezeigt wird auch, wie Ausgrenzung in unachtsamem Sprachgebrauch im Alltag beginnt, zum Beispiel mit diskriminierenden Begriffen wie: »Du Spast!«

    Die künftige Gedenkstätte befindet sich einerseits an einem Ort, der regelmäßig von Menschen aufgesucht wird: Das Gebäude beherbergt auch die Trauerhalle des Großschweidnitzer Friedhofs. Die parallele Nutzung ist Sinnbild für die gute Zusammenarbeit des Vereins mit der Kommune. »Ohne deren Unterstützung«, sagt Maria Fiebrandt, »hätten wir das Vorhaben nie umsetzen können«, das immerhin mit Investitionen von zwei Millionen Euro verbunden war.

    Andererseits liegt die künftige Gedenkstätte Großschweidnitz ein wenig abseits, über eine Autostunde entfernt von Dresden, in einem Ort ohne direkten Bahnanschluss. Das werde eine Herausforderung, sagt Sven Riesel, stellvertretender Geschäftsführer der Stiftung Sächsische Gedenkstätten, die künftig Trägerin der Einrichtung in Großschweidnitz ist und damit Neuland betritt: »Das ist seit 1990 die erste Gedenkstätte, die aus freier Trägerschaft kommend in die Stiftung integriert wird.« Damit ist das Land auch für deren Finanzierung verantwortlich – vorerst allein. Riesel betont, er hielte aufgrund des Stellenwerts von Großschweidnitz für die bundesweite Erinnerungspolitik auch eine Beteiligung des Bundes für gerechtfertigt. Die aber ist vorerst nicht absehbar.

    So obliegt es der Stiftung und ihren Mitarbeitern in der neuen Gedenkstätte, diese nun auch mit Leben zu füllen. Fiebrandt setzt auf Schüler aus der Region, auf Berufsschüler in Sozialberufen und Studenten der Medizin, aber auch auf Touristen in der Oberlausitz. Angesichts der furchtbaren Geschichten, die in der Gedenkstätte erzählt werden, ist es wohl unvermeidlich, dass Besucher ähnlich erschüttert sein werden wie einst Lina Helm bei der Suche nach dem Grab ihrer Tochter. Zugleich aber ist Großschweidnitz künftig ein Ort, an dem Menschen wie Elli Helm endlich gebührend gewürdigt werden.

    #iatrocratie #Allemagne #Saxe #Großschweidnitz #histoire #nazis #euthanasie #médecine

  • Coronavirus : l’Allemagne se tourne vers les migrants pour anticiper une pénurie de soignants

    Bastion de l’AfD, le parti nationaliste et anti-migrants allemand, la région #Saxe se tourne vers ses #médecins_étrangers n’ayant pas encore obtenu de licence pour exercer afin de prévenir une #pénurie de #soignants en pleine pandémie de coronavirus. Plusieurs centaines d’entre eux se sont déjà portés volontaires pour aider.

    « Je suis extrêmement heureux de voir que je peux faire quelque chose pour le pays dans lequel je vis. » A 29 ans, Shadi Shahda se tient prêt à intervenir en pleine pandémie de coronavirus. Le jeune Syrien a expliqué à Reuters être arrivé en Allemagne en avril dernier avec un visa pour les demandeurs d’emploi hautement qualifiés et une expérience de trois ans comme médecin interne en ORL.

    Avant de pouvoir commencer à exercer en Saxe, sa province d’adoption, il ne lui restait plus qu’à passer un examen de langue ce moi-ci, lequel a été annulé pour cause de coronavirus. C’est donc tout naturellement que Shadi Shahda a répondu à une annonce du Sächsischen Landesärztekammer, le Conseil médical de la région de Saxe. « J’ai envoyé ma candidature, j’attends leur appel », s’est réjoui le jeune Syrien, soulagé de pouvoir mettre ses compétences à profit.

    Safwan aussi attend des nouvelles. Cet autre jeune migrant a fait des études de médecine générale en Syrie avant de s’installer à Leipzig, il y a trois ans. Il devait également passer son test de langue prochainement. « Je ne m’imagine pas rester les bras croisés, si j’ai voulu faire médecine, c’est avant tout pour aider les gens », explique-t-il à InfoMigrants.

    Alors que le gouvernement allemand se veut rassurant en affirmant notamment qu’il est en capacité de doubler son nombre de lits en soins intensifs et de produire davantage de respirateurs, le manque de #personnels_soignants apparaît comme le point faible de sa stratégie de lutte contre le coronavirus.

    C’est dans ce contexte que le Sächsischen Landesärztekammer a lancé, sur sa page Facebook, un appel aux migrants ayant des compétences de soignants. « Les docteurs étrangers qui se trouvent déjà en Saxe mais qui n’ont pas encore reçu leur licence pour pratiquer dans la région peuvent nous aider dans les soins pour combattre le coronavirus », a écrit l’organisme dans une publication datant du 17 mars.

    https://www.infomigrants.net/fr/post/23691/coronavirus-l-allemagne-se-tourne-vers-les-migrants-pour-anticiper-une
    #réfugiés #intégration_professionnelle #travail #Allemagne #asile #migrations #médecins #soins #santé #pénurie

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    • Refugees to the rescue? Germany taps migrant medics to battle virus

      Five years ago the arrival of a wave of refugees caused much consternation and fuelled support for Germany’s far-right. Now, the country is turning to its migrant community to plug an anticipated shortage of medical staff battling the coronavirus.

      The German government says it can double its number of intensive care beds, and even produce more ventilators but a medical staffing crunch is shaping up as the Achilles heel of its strategy to fight the coronavirus.

      In Saxony, the heartland of the nationalist Alternative for Germany (AfD), the regional medical board is advertising for migrant doctors to help tackle an expected rise in cases.

      “Foreign doctors who are in Saxony but do not yet have a license to practice medicine can help with corona(virus) care,” read a Facebook appeal. here

      The push to tap migrant medics in Saxony comes despite the AfD enjoying a surge in support in a regional election there last year, harnessing voter anger over refugees to come second behind Chancellor Angela Merkel’s conservatives.

      Merkel’s 2015 decision to open Germany’s borders to some 1 million migrants fleeing war in the Middle East - the defining moment of her chancellorship - was widely criticised by the AfD and even many of her own conservatives.

      A new film, ‘Merkel - Anatomy of a Crisis’, also takes a critical look at her handling of the refugee influx.

      But the coronavirus epidemic means medics of all backgrounds are in demand.

      Saxony’s regional medical board reported on Monday that 300 volunteers had responded to its appeal for help, including “many foreign doctors whose licensing procedures are not yet completed, whose help is very welcome.”

      As of Tuesday, there were 31,554 cases of coronavirus in Germany, with 149 deaths, the Robert Koch Institute for infectious diseases said. The government says Germany is still at the beginning of the epidemic.

      Shadi Shahda, 29, is one migrant medic ready to help.

      He came to Germany last April on a visa for highly-qualified job seekers and with three years’ experience as an ENT (ear, nose, throat) medical resident in Syria. But a language exam he needed to take this month to work as a doctor in Saxony was cancelled due to the coronavirus.

      He jumped at the medical board’s Facebook post and says: “I am waiting for their call ... I was very happy when I saw that I could do something in the country where I am living.”

      https://uk.reuters.com/article/uk-health-coronavirus-germany-refugees/refugees-to-the-rescue-germany-taps-migrant-medics-to-battle-virus-idUKK

    • Berliner Behörde überlastet - Ausländische Mediziner trotz Coronakrise ohne Arbeitserlaubnis
      Von Claudia van Laak
      5-6 Minuten

      Allein in Berlin warten aktuell 1.058 ausländische Ärzte und 1.180 Pflegekräfte auf Anerkennung ihrer Berufsabschlüsse – manche sogar schon seit Jahren. Doch trotz Corona-Krise und dringend benötigten medizinischen Fachpersonal wird sich daran wohl so schnell nichts ändern.

      https://www.deutschlandfunk.de/media/thumbs/3/340e4ca5ae39e761de447f9c0a17f2a8v1_max_755x425_b3535db83dc50e27c1bb1

      „Notruf: Mehr von uns ist besser für alle!“ steht bei einer Demonstration von streikendem Pflegepersonal an der Berliner Charite - Campus Virchow Klinikum auf einem Transparent. (imago images / Seeliger)

      Bereits vor der Corona-Krise herrschte in Deutschland der Pflegenotstand. Doch ausländisches medizinisches Fachpersonal wartet hierzulande oft sehr lange, bis die Arbeitserlaubnis kommt.

      Wir brauchen jede helfende Hand, bitte melden Sie sich bei den Landesärztekammern. Dieser flehentliche Appell von Ärztekammerpräsident Klaus Reinhardt richtet sich an pensionierte Mediziner und an Studierende. Doch was ist mit den ausländischen Ärzten? Ihre Abschlüsse – und auch die der Pflegekräfte – müssen zum Beispiel im Land Berlin vom Landesamt für Gesundheit und Soziales anerkannt werden. Auf den Schreibtischen der Entscheider liegen nicht weniger als 1.058 Anträge ausländischer Ärzte sowie 1.180 Anträge von Pflegekräften. Und diese Anträge liegen dort nicht erst seit gestern. Die Verfahren dauern viel zu lange, sagt Catherina Pieroth, gesundheitspolitische Sprecherin der Grünen-Fraktion im Abgeordnetenhaus.

      „Die Anerkennungsverfahren dauern zum Teil ein Jahr oder länger. In Einzelfällen sogar drei bis vier Jahre.“

      Bereits vor Corona gab es einen Ärzte- und Pfleger-Mangel, trotzdem mussten diese Fachkräfte Jahr für Jahr länger auf ihre Berufserlaubnis warten. Die entsprechende Abteilung im Berliner Landesamt für Gesundheit und Soziales LaGeSo ist überlastet. Tim Zeelen, gesundheitspolitischer Sprecher der CDU-Fraktion im Abgeordnetenhaus.

      „Es gibt den Aufruf auch des Bundesministers Jens Spahn, Rentner zu reaktivieren, wir wissen, dass Medizinstudenten jetzt geschult werden sollen, um Aufgaben im Gesundheitswesen zu übernehmen. Das sind alles gute Belege dafür, dass wir jeden brauchen, der qualifiziert ist mitzuhelfen. Und das gilt für Menschen, die im Ausland ihre Abschlüsse erworben haben, umso mehr. Auch die könnten jetzt ganz konkret unserem Gesundheitswesen in Berlin helfen.“

      Wer in Polen seine Ausbildung gemacht hat, hat das Nachsehen

      Noch eine weitere Gruppe könnte helfen – das sind Ärztinnen und Ärzte, die vor kurzem im Nachbarland Polen ihren Abschluss gemacht haben, darunter auch viele Deutsche. Sie erhalten von den Berliner Landesbehörden keine Approbation, weil Polen seine Medizinerausbildung zuvor verändert hatte.

      Catherina Pieroth von den mitregierenden Grünen:

      „Aktuell sind 60 Ärztinnen und Ärzte aus diesem Kontingent arbeitslos. Dieses Jahr werden weitere 350 Ärzte in Polen fertig, die gerne nach Deutschland kommen würden, dabei handelt es sich auch um Deutsche, die in Stettin studieren, weil sie in Deutschland keinen Medizin-Studienplatz bekommen haben.“

      Vorläufige Anerkennung gefordert

      Die oppositionelle CDU fordert vom rot-rot-grünen Berliner Senat eine schnelle Entscheidung. Ausländische Ärzte und Pflegekräfte müssen eine vorläufige Anerkennung erhalten, um sofort mit ihrer Arbeit beginnen zu können, sagt Tim Zeelen.

      „Jetzt geht es darum, in einem Ad-hoc-Verfahren diese Genehmigung sehr sehr schnell möglich zu machen.“
      Berliner Gesundheitsverwaltung stellt sich quer

      Die zuständige, von der SPD geleitete Gesundheitsverwaltung und das ihr unterstellte Landesamt für Gesundheit und Soziales lehnen das rundheraus ab. Auch in Krisenzeiten dürfe man nicht von den Regeln abweichen, die der Bund festgelegt habe. Zitat:

      „Die Anforderungen können landesrechtlich nicht verändert oder temporär angepasst werden. Derzeit gibt es bundesweit Überlegungen, ob und wie die Anerkennungsverfahren vereinfacht oder beschleunigt werden können.“

      Und weiter: Aus Gründen des Patienten- und auch des Gesundheitsschutzes sei es unverantwortlich, ohne entsprechende Prüfungen vorläufige Berufserlaubnisse für Ärzte und Pfleger zu erteilen. Der CDU-Gesundheitspolitiker Tim Zeelen sieht dies anders, denn:

      „Von den Menschen, die mit einem im Ausland erworbenen Abschluss kommen, ist die Anerkennungsquote nahezu 100 Prozent.“

      1.058 ausländische Ärztinnen und Ärzte warten allein im Land Berlin auf die Anerkennung ihres Abschlusses. Bei manchen fehlt nur noch die bestandene Fachsprachenprüfung. Diese Prüfungen finden allerdings gerade nicht statt – wegen der Corona-Epidemie.

      https://www.deutschlandfunk.de/berliner-behoerde-ueberlastet-auslaendische-mediziner-trotz.1773.de.

    • Refugees to the rescue? Germany taps migrant medics to battle virus

      Five years ago the arrival of a wave of refugees caused much consternation and fueled support for Germany’s far-right. Now, the country is turning to its migrant community to plug an anticipated shortage of medical staff battling the coronavirus.

      The German government says it can double its number of intensive care beds, and even produce more ventilators but a medical staffing crunch is shaping up as the Achilles heel of its strategy to fight the coronavirus.

      In Saxony, the heartland of the nationalist Alternative for Germany (AfD), the regional medical board is advertising for migrant doctors to help tackle an expected rise in cases.

      “Foreign doctors who are in Saxony but do not yet have a license to practice medicine can help with corona(virus) care,” read a Facebook appeal. here

      The push to tap migrant medics in Saxony comes despite the AfD enjoying a surge in support in a regional election there last year, harnessing voter anger over refugees to come second behind Chancellor Angela Merkel’s conservatives.

      Merkel’s 2015 decision to open Germany’s borders to some 1 million migrants fleeing war in the Middle East - the defining moment of her chancellorship - was widely criticized by the AfD and even many of her own conservatives.

      A new film, ‘Merkel - Anatomy of a Crisis’, also takes a critical look at her handling of the refugee influx.

      But the coronavirus epidemic means medics of all backgrounds are in demand.

      Saxony’s regional medical board reported on Monday that 300 volunteers had responded to its appeal for help, including “many foreign doctors whose licensing procedures are not yet completed, whose help is very welcome.”

      As of Tuesday, there were 31,554 cases of coronavirus in Germany, with 149 deaths, the Robert Koch Institute for infectious diseases said. The government says Germany is still at the beginning of the epidemic.

      Shadi Shahda, 29, is one migrant medic ready to help.

      He came to Germany last April on a visa for highly-qualified job seekers and with three years’ experience as an ENT (ear, nose, throat) medical resident in Syria. But a language exam he needed to take this month to work as a doctor in Saxony was canceled due to the coronavirus.

      He jumped at the medical board’s Facebook post and says: “I am waiting for their call ... I was very happy when I saw that I could do something in the country where I am living.”

      https://www.reuters.com/article/us-health-coronavirus-germany-refugees/refugees-to-the-rescue-germany-taps-migrant-medics-to-battle-virus-idUSKBN2

    • Germany calls on migrant medics to help tackle coronavirus

      Country has 14,000 Syrian refugee doctors waiting for qualifications to be approved.

      Germany’s health authorities are appealing to medically qualified migrants to help them tackle the coronavirus.

      As increasing numbers of doctors and nurses fall ill or are quarantined, the shortage of medical staff is putting pressure on a usually well-resourced health service.

      Government initiatives have already increased the number of intensive care beds from about 24,000 to 40,000, most of them with ventilators. Staff are being retrained and non-essential operations across the country have been cancelled.

      But the health system still needs more medical personnel to care for patients, increase the levels of testing, and track down people who have been in contact with those who are sick. The Robert Koch Institute, which advises the government on public health, has said 2,300 doctors are believed to be off sick or in quarantine. But with no central collation of data, the real figure is believed to be much higher. In the state of Bavaria alone, 244 doctors’ practices have had to close because of coronavirus infections.

      Match4Healthcare, a website backed by medical authorities which was created by a volunteer team of students and hackers, seeks to match healthcare workers and volunteers – both citizens and foreigners living in Germany – to clinics and care homes needing support.

      The eastern state of Saxony is at the forefront of a campaign calling on foreign doctors, including the thousands of refugees who arrived in 2015, to help. According to the Facebook group Syrian Doctors in Germany there are 14,000 Syrian doctors waiting for their qualifications to be approved.

      “We are keen for anyone to get in touch who is in a position to help,” said a spokesman for the medical association in Leipzig (SLAEK), the capital of Saxony. “It could be someone who does not yet have their medical licence, but is on their way to getting it,” he said. “To date around 400 have been in touch.”
      Germany’s devolved logic is helping it win the coronavirus race
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      Saxony, with a population of just over 4 million, has not been as badly hit by the virus as other regions, but concern is growing. By Friday, there were almost 4,000 confirmed cases and 76 of them had died. “Right now the situation is still under control, but as it gets worse we need to prepare for that,” the spokesman said.

      In its Facebook appeal the medical association calls on German-speaking “foreign doctors already living in Saxony but who have not yet got their medical licence to help with coronavirus support”.

      What makes Saxony’s plea salient is that it is the home of Pegida, the anti-Islam protest movement, and the heartland of the far-right Alternative für Deutschland party. The AfD rose to prominence – becoming the largest opposition in parliament in 2017 – on the back of voter anger over Angela Merkel’s decision to allow almost 1 million refugees into the country in 2015.

      The chancellor’s resistance to closing Germany’s borders prompted a huge backlash against her Christian Democrats’ refugee policy, with many accusing Merkel of undermining national security. Now, although the government was initially reluctant to do so, closing the national border to most neighbouring countries is regarded as a matter of national safety, to prevent the spread of coronavirus.

      Opponents of the government’s open door policy argued refugees would be a drain on the economy and compromise national security. Those in favour said that, as the majority were young, they would help plug a growing skills shortage caused by an ageing population.

      Safwan Adnan Ali arrived from Syria in July 2016. He studied general surgery in Latakia for four years, then moved to Iraq to avoid military service, where he worked as a general practitioner for a year.

      Since arriving in Germany as a refugee, he has been learning the language and preparing for exams which will allow his qualifications to be recognised.

      “I was waiting for the exam for medical language use, but then the coronavirus came and everything has ground to a halt,” the 37-year-old said. “When the appeal was announced … I thought I’d really like to help. I need to do something useful, and I’d like to give something back to the country which has helped me so much, so I sent off my CV immediately.”

      He has also applied to help Bavaria, one of the worst-hit regions, which recently announced that doctors without medical licences would be given immediate permission to work there for a year. In recent days other states have announced easier access to exam procedures and a relaxation on qualification rules.

      Adnan Ali said: “I’m prepared to go anywhere I’m needed. Although as I have my wife and one-year-old daughter in Saxony, I’d prefer to work here close to them if I can.”

      His WhatsApp group of Syrian doctors living in Germany has been debating whether access to the medical system due to the pandemic will shorten their wait to enter the profession.

      “I really hope this will make it easier by maybe cutting down some of the unwieldy bureaucratic procedures,” he said.

      Ahmad Dahhan, 35, said when he arrived in Germany from Syria in December 2015 he hoped to be able to resume his medical career as soon as possible. “Everyone has their dreams,” he said, “but bureaucracy has made things very difficult and slow, and it has been an extremely frustrating time.”

      Dahhan studied biochemistry at the University of Aleppo before training as a gynaecologist at Damascus University. “They say they are in need of doctors, even when there isn’t a health crisis, but it’s not at all straightforward to get into the profession.”

      He has studied German, spent two months working alongside doctors at a gynaecology department in Leipzig, and attended courses of advanced training for foreign doctors, but since the coronavirus struck, he has been confined to his apartment.

      “It is extremely discouraging to know that I could be doing something far more useful,” he said. “So I welcome the opportunity to be able to do so and hope that will help Germany recognise we can also be helpful even when there is not a crisis on.”

      Germany’s health ministry said it was in the process of “investigating all possible legal options” to speed up the applications of qualified doctors, especially those who only required a medical language exam.

      https://www.theguardian.com/world/2020/apr/14/germany-calls-on-migrant-medics-to-help-tackle-coronavirus

    • Aux #Etats-Unis...

      Governor Murphy Signs Executive Order to Remove Barriers to Health Care Professionals Joining New Jersey’s COVID-19 Response and Provide Protections for Front Line Health Care Responders

      Governor Phil Murphy today signed Executive Order No. 112, authorizing the Division of Consumer Affairs to temporarily reactivate the licenses of recently retired health care professionals and grant temporary licenses to doctors licensed in foreign countries. The executive order also temporarily permits certain health care professionals to perform acts outside of their ordinary scope of practice and grants broad civil immunity to health care professionals and facilities providing services in support of New Jersey’s COVID-19 response efforts who are acting in good faith.

      “My Administration is working tirelessly with our hospital systems and the Federal Emergency Management Agency to expand bed capacities, reopen closed hospitals, and erect field medical stations to prepare for additional COVID-19 cases,” said Governor Murphy. “We need trained, experienced medical personnel to ensure proper staffing as we build out this new capacity, which is why we have put out the call to retired health care professionals to join our fight and support our existing workforce. By signing this executive order, we are removing bureaucratic roadblocks to quickly bring more health care professionals into our efforts and provide additional flexibility and protections for our front line responders to aid in New Jersey’s response to COVID-19.”

      The executive order supplements the State’s existing health care workforce by:

      Authorizing the Division of Consumer Affairs to temporarily reactivate the licensees of healthcare professionals previously licensed in the State within the last five years. This will enable doctors, nurses, and other healthcare professionals who have recently retired or have allowed their licenses to lapse to temporarily reactivate their license.
      Authorizing the Division of Consumer Affairs to grant temporary medical licenses to doctors who are licensed and in good standing in foreign countries.
      Temporarily waiving certain scope of practice restrictions on Advanced Practice Nurses (APNs) related to physician collaboration, including a rule requiring that an APN enter into a joint protocol with a collaborating physician and a rule requiring APNs to obtain authorization from a collaborating physician in order to dispense narcotic drugs.
      Temporarily waiving certain scope of practice restrictions on Physician Assistants (PAs) related to physician supervision, including a rule requiring PAs to obtain physician authorization prior to prescribing a controlled dangerous substance.

      This order will take effect immediately.

      https://www.nj.gov/governor/news/news/562020/20200401b.shtml
      #USA

  • Es gibt keine Nazis in Sachsen - Jan Böhmermann & Maik vom LKA | NEO MAGAZIN ROYALE ZDFneo - YouTube
    https://www.youtube.com/watch?v=OzB7SKJIwhM

    Herzlichen Glückwunsch zum neuen Traumjob!

    Die Sächsische Staatskanzlei und das Landeskriminalamt Sachsen haben entschieden, dass der weit über die Grenzen Sachsens bekannte und beliebte Kult-Hutbürger und Tarifbeschäftigte Maik vom LKA aus dem Polizeidienst auf eine noch verantwortungsvollere Position befördert wird: Im Auftrag der sächsischen Landesregierung, des Tourismusverbandes Freital und des Investmentstandortes Chemnitz wird Maik vom LKA fortan gemeinsam mit dem in Sachsen besonders beliebten Kabarettisten Jan Böhmermann Werbung und Imagepolitur für den Freistaat Sachsen betreiben!

    Viel Spaß bei unserem Song gegen Sachsenbashing “Es gibt keine Nazis in Sachsen!” von Jan Böhmermann und Maik vom LKA wünscht Ihnen im Namen des Nazifreistaates Sachsen, Ihre Sächsische Staatskanzlei

    Je n’aime pas le côté libéral (Ich hab’ Polizei) de JB, mais là ils ont fait fort :-)

    #Allemagne #Saxe #musique #politique #parodie #auf_deutsch

  • A #Chemnitz, la lente renaissance d’une ville dépeuplée
    https://www.mediapart.fr/journal/international/180817/chemnitz-la-lente-renaissance-d-une-ville-depeuplee

    À Chemnitz, « Plattenbau » et grandes avenues quadrillent le paysage © AP Dans l’est de l’Allemagne, Chemnitz, ex-Karl Marx Stadt, fait partie des villes à avoir le plus souffert du processus de #réunification. À l’écart des grands axes et des gros bassins d’emploi, elle affiche toutefois aujourd’hui un nouveau dynamisme.

    #International #AFD #Allemagne #chômage #ex-RDA #industrie #Saxe #transports #urbanisme

  • LeMO Kapitel - Weimarer Republik - Innenpolitik - Fürstenenteignung 1926
    https://www.dhm.de/lemo/kapitel/weimarer-republik/innenpolitik/fuerstenenteignung-1926.html

    Suite à la révolution de 1918-1919 un mouvement populaire important revendique la transformation en bien commun des propriétés appartenant aux nobles. La tentative échoue à cause des conflits au sein du mouvement ouvrier et surtout a cause de la résistance des juges et des gouvernements. Il faut savoir qu’à partir de 1919 toute tentative d’autogestion populaire devient immédiatement la cible des Freikorps, ces escadrons de la mort sous commandement de nobles et de réactionnaires bourgeois. Quand cela ne suffiit pas pour mater une révolte, le gouvernement social-démocrate envoye l’armée écraser le mouvement populaire.

    https://de.wikipedia.org/wiki/Deutscher_Oktober#Verlauf

    Am 16. Oktober wurde die sächsische Polizei direkt der Reichswehr unterstellt. Damit war der Regierung ihre wichtigste Machtbasis entzogen und sie de facto bereits weitgehend entmachtet.

    Die Möglichkeit eines kommunistischen Aufstands blieb indes bis zum 21. Oktober (1923) real. Für diesen Tag hatte die KPD zu einer Arbeiterkonferenz nach Chemnitz aufgerufen. Sollte sich die Stimmung der Versammlung als günstig erweisen, sollte der Generalstreik ausgerufen werden und der Aufstand beginnen. Brandler stieß jedoch mit einem entsprechenden Vorstoß nicht auf Zustimmung der Versammlung und die SPD drohte, die Koalition aufzukündigen. August Thalheimer hat später die Ereignisse in Chemnitz mit Blick auf den geplanten Roten Oktober als „Begräbnis dritter Klasse“ bezeichnet. Tatsächlich erkannten KPD und EKKI, dass die Kommunisten selbst in Sachsen völlig isoliert waren. Der Plan einer Erhebung wurde fallen gelassen. Lediglich in Hamburg kam es zu einem begrenzten Aufstandsversuch (siehe Hamburger Aufstand).

    In Sachsen ging nun die Reichswehr mit Gewalt gegen die Kommunisten vor. Vom 21. bis zum 27. Oktober kam es in verschiedenen Städten zu Schießereien mit Verwundeten und Toten. Der Vormarsch der Armee fand ohne förmlichen Beschluss der Reichsregierung, aber im Auftrag des Reichspräsidenten Friedrich Ebert statt. Nach der Weigerung Zeigners, eine Regierung ohne Kommunisten zu bilden, kam es schließlich am 29. Oktober zu einer förmlichen Reichsexekution nach Artikel 48 der Reichsverfassung

    Deux ans plus tard la crise économique pousse dans la pauvreté extrème une grande partie des allemands. C’est comme ça que voit le jour un mouvement pour la nationalisation des richesse énormes entre les mains des nobles. Il s’agit simplement d’une tentative de mettre pratique le contenu de la constitution allemande.

    Die fürstlichen Besitztümer waren in der Revolution 1918/19 zwar beschlagnahmt, jedoch nicht enteignet worden. Da die Weimarer Verfassung in Artikel 153 das Privateigentum garantierte, forderten die Fürsten nun hohe finanzielle Entschädigungen für entgangene Gewinne und die freie Verfügungsgewalt über ihren Besitz zurück. Ein Großteil der vielfach unter sozialer Not leidenden Bevölkerung reagierte empört, als 1925 Gerichtsurteile bekannt wurden, welche die Fürstenabfindungen unterstützten.

    Die Empörung politisch ausnutzend, forderte die KPD mit großem propagandistischem Aufwand, die Fürsten zugunsten sozial bedürftiger Schichten zu enteignen. Angesichts der hohen Arbeitslosigkeit und mit Rücksicht auf die Stimmung in der Arbeiterschaft unterstützte die Führung der SPD den Vorstoß der Kommunisten.

    En Bavière, lieu des exécutions sommaires et de l’exercice brutal du pouvoir noble, seulement une petite minorité ose voter pour l’abolition des privilèges matériels de la noblesse.

    Volksabstimmung « Entschädigungslose Fürstenenteignung », 1926 – Historisches Lexikon Bayerns
    https://www.historisches-lexikon-bayerns.de/Lexikon/Volksabstimmung_%22Entsch%C3%A4digungslose_F%C3%BCrsten

    Volksabstimmung über die entschädigungslose Enteignung der bis 1918 regierenden deutschen Fürstenhäuser, initiiert von KPD, SPD und freien Gewerkschaften im Frühjahr 1926. Nach dem erfolgreichen Volksbegehren scheiterte der Volksentscheid am 20. Juni 1926 mit 36,4 % Ja-Stimmen. In Bayern ergab sich die niedrigste Zustimmungsquote aller Länder.

    L’article dans Wikipedia témoigne de l’hégémonie idéologique de la droite en Allemagne :
    – 100 mots sur l’analyse des historiens de gauche, en plus ce paragraphe ne cite que les positions prises pas les historiens en RDA
    – 850 mots sur les différentes positions de historiens bourgeois et conservateurs.

    Fürstenenteignung
    https://de.wikipedia.org/wiki/F%C3%BCrstenenteignung

    #Allemagne #histoire #révolution #Saxe #nationalisation

  • Racisme et chauvenisme et xénophobie en direct
    http://www.sz-online.de/sachsen/zutiefst-beschaemend-3327825.html

    Zutiefst beschämend
    Völlig verängstigt versuchen ankommende Flüchtlinge, in Clausnitz einen Bus zu verlassen und in eine Asylunterkunft zu gelangen. Videos dokumentieren hässliche Szenen. Eines wirft auch Fragen zum Vorgehen der Polizei auf - und wird vom Innenministerium geprüft.

    Von wegen „Reisegenuss“: Verängstigt versuchen Flüchtlinge ihren Bus vor der Asylunterkunft in Clausnitz zu verlassen.
    Von wegen „Reisegenuss“: Verängstigt versuchen Flüchtlinge ihren Bus vor der Asylunterkunft in Clausnitz zu verlassen.

    Dresden. Am Sonnabendnachmittag will die Polizei Einzelheiten zum Ablauf der Ereignisse in Clausnitz bekanntgeben. Die Polizeidirektion Chemnitz zog eine ursprünglich für Sonntag geplante Pressekonferenz vor.

    Hässliche Bilder aus Sachsen machen derzeit wieder die Runde im Internet. Anlass dafür sind Videos, die die Ankunft eines Busses mit Flüchtlingen an der Asylunterkunft in Clausnitz, einem Ortsteil von Rechenberg-Bienenmühle, am Donnerstagabend zeigen. Etwa 100 Menschen blockieren einen Bus und grölen dabei „Wir sind das Volk“. Verängstigt schauen die Ankommenden auf die bedrohliche Szenerie. Kinder brechen in Tränen aus, Frauen und Männer blicken erschrocken aus dem Bus.

    Kurz zusammengefasst, was in Clausnitz passierte:

    19.20 Uhr am Donnerstagabend blockieren Autos die Zufahrt zur Asylunterkunft.
    Bis 22 Uhr harren die Asylsuchenden in einem Bus aus. Draußen grölt ein Mob Parolen.
    Danach geleitet die Polizei die Flüchtlinge in die Unterkunft. Ein Polizist zerrt einen Jungen unsanft am Nacken aus dem Bus.
    Am Freitag verbreiten sich Videos des Abends im Internet. Die Empörung ist groß.

    Clausnitz : Polizei Sachsen kuscht vor fremdenfeindlichem Mob
    https://www.youtube.com/watch?v=nq1UF8qT4ik

    Les habitants de la Saxe ont de plus en plus de mal à se faire passer pour des gens modernes.

    Clausnitz
    https://en.wikipedia.org/wiki/Clausnitz
    « Protestler nicht aus Clausnitz »

    Le patron du centre d’acceuil serait un extrémiste de droite.
    http://www.zeit.de/politik/deutschland/2016-02/sachsen-clausnitz-fluechtlinge-markus-ulbig

    Nach Angaben der Freien Presse geht die Polizei davon aus, dass die Aktion „wohl geplant“ war. Demnach war der Bürgermeister bereits am Mittwoch über die Ankunftszeit der Flüchtlinge informiert worden und hätte daraufhin die Gemeinderäte informiert. Zuvor habe es bereits „Gerüchte im Dorf“ gegeben. Nun, so schreibt der Reporter der Zeitung weiter, halte sich der Ort mitsamt ihres Bürgermeisters „an dem Eindruck fest, dass viele der Protestler nicht aus dem Dorf kamen“.

    Unterdessen schreibt das ZDF über Twitter, dass der Leiter des Flüchtlingsheims in Clausnitz AfD-Mitglied sei. Laut Informationen des Senders, soll er als einer der wenigen gewusst haben, wann der Bus eintreffen würde.

    Avec la neige qui se fait de plus en plus rare on comprend que les gens ont des problèmes ... C’est sans doute la faute aux étrangers.

    Le comique Jan Böhmermann publie un commentaire pas drôle du tout.
    https://twitter.com/janboehm/status/700588374529191938

    Clausnitz (Sachsen), gestern. Der deutsche Angstmob begrüßt die, die dem Tod von der Schippe gesprungen sind.

    https://www.holzhau.de

    #xénophobie #Allemagne #Saxe

  • Pegida : au « world café » des patriotes - CQFD, mensuel de critique et d’expérimentation sociales
    http://cqfd-journal.org/Pegida-au-world-cafe-des-patriotes

    Les « patriotes » sont dans la rue ? Les néo-nazis se lâchent ? Les Dupont-Lajoie saxons font des heures sup’ ? Pas de panique  ! Invitons tous ces braves gens à venir papoter tranquillou autour d’une tasse de café, histoire d’engager avec eux un dialogue (constructif) et de répondre à leurs inquiétudes (légitimes). Le 21 janvier, quelque trois cents sympathisants de Pegida – acronyme à succès des Patriotes européens contre l’islamisation de l’Occident, fraternité blanche est-allemande qui mobilise une foule de plus en plus volumineuse dans les rues de Dresde chaque semaine depuis trois mois – s’engouffrent donc au Congress Center de Dresde à l’appel de Stanislaw Tillich, le président chrétien-démocrate du Land de Saxe.

    Pour optimiser cette cure de lavements à la démocratie participative, le président Tillich lui a donné une appellation souriante, évocatrice de gobelets bio et d’ouverture au monde  : le « world café ». Il s’agit d’un concept managérial importé des États-Unis, qui consiste à « créer un climat de confiance et de convivialité » en faisant croire au nigaud que « tout le monde a sa place et que toutes les personnes présentes sont nécessaires ». C’est donc sous les auspices d’une charlatanerie de consultant en com’ que les heureux élus tirés au sort prennent place autour d’une cinquantaine de tables, par petits « groupes de discussion » de cinq ou six, chaque ronde ayant pour mission de perfuser un jus de crâne sur LE sujet crucial – l’islam, et comment faire en sorte qu’on ne finisse pas tous forcés le sabre sous la gorge à manger des bratwursts halal – et d’en tirer une synthèse qui sera ensuite remise au président aux fins de dialogue. Celui-ci se tient modestement assis à une table de discussion, aux côtés de six péquins babas de se trouver en si illustre compagnie. Dans son discours de bienvenue, il explique qu’il faut arrêter de diaboliser les manifestants de Pegida et qu’il lui tient à cœur de les entendre pour piger « ce qui les préoccupe ». Regroupés sur une tribune un peu plus loin, les journalistes prennent des notes.

    Ce désir de comprendre, le président l’avait déjà exprimé deux mois plus tôt, avec la création annoncée par voie de presse d’une unité de police spécialisée dans la surveillance des demandeurs d’asile. Les réfugiés sont pourtant peu nombreux en Saxe et plutôt pressés d’en repartir  : ce Land très homogène en peaux blanches, où les étrangers ne représentent que 2,8 % de la population, est aussi l’une des régions d’Allemagne les plus enclines aux violences racistes. Selon l’ONG ProAsyl, la Saxe bat des records en termes d’attaques contre des foyers d’hébergement (153 incidents de ce type recensés en 2014 sur le territoire allemand). Sur une page facebook ouverte en janvier, des réfugiés érythréens de Dresde relatent les marques d’attention dont ils font l’objet de la part des autochtones (insultes, crachats, jets de bouteilles…) et leur souhait de quitter la Saxe au plus vite pour des coins plus accueillants – un vœu que les autorités refusent d’exaucer pour l’instant. Le gouvernement Tillich a déjà assez à faire avec la mise en place de sa police spéciale anti-migrants.

    Pas un seul ressortissant étranger n’a été convié au « world café » du président, de sorte que les débats ont pu se dérouler sereinement et dans la dignité. Tillich en a résumé l’esprit quelques jours plus tard en lâchant dans une interview  : « L’islam n’a pas sa place en Saxe. »

    Film documentaire : „Bienvenue en Allemagne“
    Gewisse männliche Bedürfnisse

    Der Dokumentarfilm »Willkommen auf Deutsch« zeigt, wie die Menschen in zwei Dörfern Niedersachsens auf die Ankunft von Asylbewerbern reagieren. http://jungle-world.com/artikel/2015/10/51566.html

    www.willkommen-auf-deutsch.de

    #Allemagne #immigration #Saxe #demandeurs_d'asile #pegida #racisme #documentaire

    • Les deux metteurs en scène avaient déjà signé en 2011 un premier film documentaire "Wadim"
      "qui retrace de manière forte 13 ans de la vie d’un garçon entre la tolérance, le rejet, l’interdiction du travail, l’évasion et une mort tragique quand, en 2010, Wadim se jette devant un tramway à Hambourg." http://www.wadim-der-film.de

      "Encore enfant, Wadim doit quitter précipitamment la Lettonie pour venir se réfugier en Allemagne avec ses parents. Le petit Wadim grandit à Hambourg où il fréquente l’école et se sent parfaitement intégré. Après des démarches administratives, ses parents n’obtiennent qu’une autorisation provisoire de rester en Allemagne. Cette situation précaire va perdurer pendant des années, affectant la santé mentale des parents. Un beau jour, la prolongation de séjour est refusée et un avis d’expulsion est prononcé à leur encontre. Wadim, alors âgé de 18 ans est déporté seul en Lettonie, un pays dont il se souvient à peine. Pendant cinq ans il va errer à travers l’Europe à la recherche d’une nouvelle patrie, à Riga, en France, en Belgique et en Suisse... Finalement, après une énième tentative d’intégration, épuisé et désespéré, il finit par se suicider.
      Le documentaire « Wadim » illustre à quel point les gens doivent lutter pour acquérir le droit d’asile en Europe. La rigidité des lois concernant le droit d’asile ou de résidence et l’aspect inhumain de la bureaucratie sont mis en évidence. Des questions, très actuelles s’imposent : Qu’est devenue la notion de droit d’asile ? Quels sont les mécanismes qui précipitent inexorablement les migrants vers l’exclusion ? Existe-t-il des alternatives à la mise en détention ? Ces questions sont d’autant plus importantes que le Luxembourg a ouvert l’an passé un Centre Fermé destiné à détenir des migrants avant de procéder à leur expulsion. C’est autour de ces enjeux que nous invitons les différents acteurs de la politique des réfugiés, et tous les spectateurs à prendre la parole et à s’engager dans une discussion ouverte sur le sujet." http://rotondes.lu/agenda/details/event/non-au-centre-ferme-du-findel

  • Encore une loi sur les compétences de la police qui ne tient pas debout ...

    DIE LINKE Sachsen-Anhalt : SOG Urteil
    http://www.dielinke-sachsen-anhalt.de/politik/aktuell/detailseiten_artikel/sog_urteil

    Gekippte Regelungen

    Staatstrojaner: Die Erhebung von Telekommunikationsinhalten und -umständen ohne Wissen der betroffenen Personen (§17c SOG LSA) ist verfassungswidrig und dabei nichtig. Die Landesregierung wollte modernisieren – und ist über das Ziel hinausgeschossen. Sie hat den Polizisten Befugnisse erteilt, ohne dass die technischen Voraussetzungen in Sachsen-Anhalt vorhanden wären. Damit kann der Gesetzgeber gar nicht beurteilen, wie sehr die entsprechenden Mittel in die Grundrechte des Einzelnen eingreifen würden. Die Exekutive hat also Befugnisse auf Vorrat erteilt bekommen. Das Urteil des Gerichtes: Verfassungswidrig und damit nichtig.

    Das Alkoholverbot für Kommunen (§ 94 a) auf bestimmten öffentlichen Plätzen ist gekippt, das Gericht fehlt es hier an „tragfähigen und nachvollziehbaren Sachgründen“. Schon in der Verhandlung kam es zu Debatten über Sinn und Unsinn der Transportverbote von „Glasgetränkeverhältnissen“. Das Urteil des Gerichts: Verfassungswidrig und damit nichtig.

    Weitere Hausaufgaben der Landesregierung

    Zwangsuntersuchungen: Bei der Untersuchung von Personen mit ansteckenden Krankheitserregern ist der Richtervorbehalt zwingend. Bei Gefahr in Verzug wollte die Landesregierung hier aufweichen, und die Entscheidung zur Untersuchung dem einzelnen Beamten überlassen. Dabei sind z.B. Blutentnahmen ein Eingriff in die körperliche Unversehrtheit, eine solche Befugnis muss an die hohe Hürde der richterlichen Entscheidung gebunden bleiben. Das Urteil des Gerichtes: Die Ausnahme vom Richtervorbehalt – verfassungswidrig und damit nichtig. Nachbesserung bis zum 31.12.2015 notwendig.

    Videoüberwachungen bei Verkehrskontrollen und weitere Regelungen zur Erhebung von Telekommunikationsinhalten und -umständen: Hier fordert das Gericht verfassungskonforme Nachbesserung des Gesetzgebers bis zum 31.12.2015.

    ... mais le tribunal constitutionnel de la Saxe-Anhalt le trouve « normal » que la police te coupe le téléphone quand elle considère que c’est nécessaire.

    Demokratie bewahren und schützen - Grundrechtsverletzung des neuen Polizeigesetzes von LSA ablehnen
    https://www.openpetition.de/petition/online/demokratie-bewahren-und-schuetzen-grundrechtsverletzung-des-neuen-poliz

    Wir wollen eine 100% Rücknahme des verabschiedeten 4. Entwurfes des Gesetzes zur öffentlichen Sicherheit und Ordnung (SOG) in LSA vom 20. Februar 2013 erreichen.
    Dieses trat per 01. März 2013 in Kraft.

    Das Gesetz beinhaltet im Wesentlichen eine Fülle von neuen Befugnissen für Polizeibeamte, deren Notwendigkeit und Geeignetheit weder nachgewiesen noch begründet ist und die erhebliche Defizite tatbestandlicher Natur sowie Defizite am Grundrechtsschutz der Bürger beinhalten. Hinzu kommen rechtsstaatliche Defizite bei der Möglichkeit der polizeilichen Anordnung ohne vorherige richterliche Kontrolle. Weitere Grundrechtsverletzungen sind durch die nicht verfassungskonform ausgestalteten Regelungen zur nachträglichen Unterrichtung bei verdeckten oder nicht erkennbaren Maßnahmen entstanden. Das Gesetz ist in dieser Form komplett zurückzunehmen bzw. grundrechtskonform auszugestalten.

    Wir wenden uns an alle Menschen in Sachsen-Anhalt und ganz Deutschland, da die Gefahr besteht, dass solche Grundrechtseinschränkungen heutzutage sehr schnell in anderen Bereichen bzw. Regionen verabschiedet werden können.

    Das neue Polizeigesetz verletzt massiv unsere Grundrechte:
    § 17, § 33 Aufhebung der Gewaltenteilung und polizeilichen/staatlichen Kontrolle
    –-> Grundrechtsschutz, Rechtsschutzgarantie
    § 16 Datenerhebung bei öffentlichen Veranstaltungen und Ansammlungen
    –-> Recht auf informationelle Selbstbestimmung
    § 16 d (3) Bildaufnahmen bei Kontrollen im öffentlichen Verkehrsraum
    –-> Recht auf informationelle Selbstbestimmung
    § 17 (4) präventive Wohnraumüberwachung
    –-> Schutz der Menschwürde, Art.1 Grundgesetz
    –-> Recht auf Unverletzlichkeit der Wohnung
    –-> Recht auf Schutz des Kernbereiches privater Lebensgestaltung
    –-> Recht auf Schutz personenbezogener Daten
    –-> Recht auf informationelle Selbstbestimmung
    –-> Recht auf freie Entfaltung der Persönlichkeit
    § 17 a Erhebung von Telekommunikationsinhalten und -umständen
    –-> Recht auf Unverletzlichkeit der Wohnung
    –-> Recht auf Schutz des Kernbereiches privater Lebensgestaltung
    –-> Recht auf Schutz personenbezogener Daten
    –-> Recht auf informationelle Selbstbestimmung
    § 17 b Erhebung von Telekommunikationsinhalten und -umständen in informationstechnischen Systemen (QuellenTKÜ = Staatstrojaner)
    –-> Grundrecht auf Vertraulichkeit und Integrität informationstechnischer Systeme
    –-> Recht auf Schutz des Kernbereiches persönlicher Lebensgestaltung
    –-> Recht auf Unverletzlichkeit der Wohnung
    –-> Recht auf Schutz personenbezogener Daten
    –-> Recht auf informationelle Selbstbestimmung
    § 20 a DNA-Datenbank zur Identitätsfeststellung
    –-> Schutz der Menschwürde, Art.1 Grundgesetz
    –-> Recht auf informationelle Selbstbestimmung
    § 23a Aufzeichnung von Telefon- und Funkgesprächen
    –-> Grundrecht auf Vertraulichkeit und Integrität informationstechnischer Systeme
    –-> Recht auf informationelle Selbstbestimmung
    § 33 Unterbrechung von Kommunikationsverbindungen
    –-> Grundrecht auf Vertraulichkeit und Integrität informationstechnischer Systeme
    –-> Grundrecht auf freie Entfaltung der Persönlichkeit
    § 39 (4) Bild- und Tonaufnahmen bei Personen in Gewahrsam
    –-> Allgemeine Persönlichkeitsrechte
    –-> Recht auf informationelle Selbstbestimmung
    § 41 b (6) Zwangstests
    –-> Recht auf körperliche Unversehrtheit
    Begründung:

    Zwar können Grundrechte eingeschränkt werden, jedoch unterliegen diese Einschränkungen sehr hohen Anforderungen, wie z.B. dem Bestimmtheitsgrundsatz, dem Verhältnismäßigkeitsprinzip und der Wesensgehaltsgarantie.

    detaillierte Kritikpunkte (Auswahl):
    1) Die Kosten für die Umsetzung der Gesetzesänderung sind nicht kalkuliert. Es wird von einer kostenfreien Umsetzung ausgegangen. Die Anschaffungen für Hard- und Software zur
    Nutzung neuer technischer Möglichkeiten, wie z.B. zur Wohnraumüberwachung, zum Kfz-Kennzeichen-Scanning, zur Standortortung, für Telekommunikationsüberwachung, für das Überwachen von Computern, Handys und Laptops per Staatstrojaner wurden nicht eingeplant.
    2) Die Eingriffe in das Versammlungsgrundrecht vom SOG werden verkannt und die eindeutig niedrigen tatbestandlichen Voraussetzungen des SOG können als vermeintlich „handlungseröffnend“ interpretiert werden. Das Gesetz erhöht die Rechtsunsicherheit und sendet ein „falsches“ Signal aus. Das heißt, dass Polizeibeamte grundrechtswidrige Handlungen während z.B. Demonstrationen begehen können, ohne dafür rechtlich belangt werden zu können.
    3) Die gesetzlichen Regelungen zur Unterrichtung von betroffenen Personen der Quellen-TKÜ (Trojaner) stellen eine verfassungsrechtlich nicht zu akzeptierende Beschränkung des Grundrechtsschutzes und der Rechtsschutzgarantie aus Art. 19 IV Grundgesetz dar. Weiter wird auch in das Post- und Fernmeldegeheimnis (Art. 10 GG) unverhältnismäßig eingegriffen. Dies lehnte schon das Bundesverfassungsgericht ab.
    Die Entscheidung über eine Unterrichtung & Kontrolle einer Trojaner-Überwachung wird hier faktisch allein der polizeilichen Beurteilung überlassen. Erfahrungsgemäß wird die Nichtunterrichtung die Folge und der Regelfall sein. Auch eine möglichen Vernichtung von Unterlagen beseitigt nicht den Grundrechtseingriff.
    4) Die Regelungen zu Alkoholverboten sind rechtlich bedenklich, weil einerseits noch unterhalb der Ebene einer konkreten Gefahr oder auch nur der Verhütung von Straftaten an ein Verhalten (Alkoholkonsum) angeknüpft werden soll, welches andererseits gesellschaftlich akzeptiert, wirtschaftlich gefördert, bei Erwachsenen legal und zudem weit verbreitet ist sowie bei Jugendlichen durch vorhandene Normen, etwa des Jugendschutzrechtes und des Gaststättenrechtes, bereits gesetzlich geregelt ist.
    5) Die richterliche Anordnung wird vor Beginn einer polizeilichen Maßnahme entgegen dem Gesetzeswortlaut in der polizeilichen Praxis eher die Ausnahme sein, weil eine gegenwärtige Gefahr den klassischen Fall von Gefahr im Verzuge darstellt. Hier unterstellt das Gesetz wie auch die Gesetzesbegründung „strenge Verfahrensvorschriften“ ein Grundrechtsschutzniveau, das in der Realität selten greifen wird.

    Unterstützend möchte ich zusammen mit der Piratenpartei Sachsen-Anhalt eine Spendenaktion ins Leben rufen, um eine Verfassungsbeschwerde rechtlich prüfen (ca. 5000,- €) zu lassen. Dazu gehen wir zwei Wege:
    1) Pledgebank www.pledgebank.com/SOGLSA
    und
    2) Landesverbandskonto der Piratenpartei Sachsen-Anhalt
    www.piraten-lsa.de/partei/spenden
    Verwendungszweck: SOG_LSA
    Auf diesen Wegen wollen wir die benötigten 5000,- € für die Ausarbeitung einer Verfassungsbeschwerde zusammentragen. Falls die Summe nicht zusammenkommt, werden entweder die benötigten Mittel bei der Piratenpartei beantragt oder die Spender bekommen ihre zweckgebundene Spende zurück.

    Im Namen aller Unterzeichner/innen.

    Halle, 28.02.2013 (aktiv bis 27.08.2013)

    #allemagne #saxe-anhalt #police #constitution #surveillance